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RACINES. Vivre entre Sèvre et Loire
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RETRO
2014 |
QUE SONT-ILS DEVENUS
?
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| 8 | RACINES | Janvier 2015 |
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MARIEFRANCE,
blogueuse
En avril, MarieFrance Thiery-Bertaud faisait la Une
de Racines. CETTE
BLOGUEUSE CULINAIRE DE SOULLANS
nous avait raconté sa passion pour la
cuisine et la littérature. “Je vous avais parlé
d’un roman que j’étais en train d’écrire. Les choses
se sont accélérées : en été, je le terminais et il sortait en librairies en
octobre sous le titre Les violons
du marais. Cette saga familiale m’a permis de rencontrer des lecteurs qui m’ont
dit des choses très agréables,
notamment à la Foire du livre de Brive. Cela
a renforcé mon idée de continuer l’écriture de
romans. Je vais poursuivre l’aventure avec un
tome 2 en 2015 !
Côté cuisine, j’alimente mon blog dès que je
le peux sur mon temps libre. Je suis toujours à
la recherche de nouvelles recettes, de nouvelles
découvertes. Pour la première fois cette année,
je suis allée déjeuner chez Thierry Drapeau le
chef du restaurant étoilé de la Chabotterie,
c’était merveilleux ! J’ai également découvert
la "bistronomie", ce mélange entre cuisine du
marché et découverte de vins. D’ailleurs, je
vous conseille le bistrot Le vers de vin à Challans ! Pour 2015, mon envie est de tester le restaurant Le Quai des saveurs aux Sables.”
 Son livre : Les Violons du marais, éditions Mines de rien,
15 €. Le blog : http://unecuillereepourpapa.net/
“UN OUVRAGE
PRÉVU EN 2016”
RETRO
2014 |
BENOÎT
PERROTIN,
dessinateur
naturaliste
Que s’est-il passé pour vous en 2014, depuis que nous
nous sommes rencontrés (article publié en mars) ?
En 2014, j’ai illustré un dépliant sur les oiseaux de Côte-d’Or et
réalisé des illustrations humoristiques pour la signalétique de la
Maison de la réserve naturelle de la baie de Saint-Brieuc. En mai,
j’ai travaillé avec des enfants pour illustrer des panneaux (signalétique) sur la commune de Pouzauges. Je collabore toujours et
régulièrement pour la revue La Salamandre (Suisse).
Plus récemment, j’ai contribué à l'ouvrage de Marc Giraud (auteur de nombreux ouvrages sur la nature) : Comment se promener dans les bois, sans se faire tirer dessus ! Par ailleurs, j'ai
animé des stages au Centre Beautour (La Roche-sur-Yon), à
Couëron et au musée de l’Erdre (Carquefou). En
fin d’année, j’ai participé à l’exposition anniversaire (20 ans !) d'Artistes pour l’Espoir à Chantonnay.
Quels sont vos projets pour 2015 ?
Je vais surtout poursuivre un travail entamé en
début d’année 2014 sur la baie de L’Aiguillon
(Vendée et Charente-Maritime) dans l’optique d’un projet d’ouvrage prévu en 2016 ou 2017.
ROSELYNE
DURINGER,
directrice du
Musée de Louis
“LOUIS DE FUNÈS ÉTAIT
UN DÉFENSEUR DE
L’ENVIRONNEMENT…”
“A
près avoir quitté son petit deux-pièces dans le bourg du Cellier (44), le Musée de Louis a ouvert ses portes
au château de Clermont le 30 avril. Depuis cette date, plus de 25 000 visiteurs de tous âges et de tous
pays sont venus admirer les souvenirs de Louis de Funès. Dans le musée, ils revoient les affiches, les photos
et des centaines de souvenirs de ses films et de sa carrière, mais surtout ils découvrent qui était cet homme grâce à
sa correspondance, des archives, photos et objets personnels confiés par sa famille et des personnes qui le connaissaient
personnellement, et tout cela dans une partie de son ancien château.
En 2015, le musée continuera à évoluer : nouvelles pièces exposées, nouveau film, aménagement
du parking. Nous étudions des projets d’agrandissement car l’espace nous manque. Nous travaillons à un programme spécifique pour différents publics, notamment les groupes d’enfants. Les thématiques à aborder sont nombreuses, car outre celles qu’inspirent ses talents d’artiste musicien, comédien et acteur, d’autres sont au registre de la
nature : Louis de Funès était défenseur de l’environnement, protecteur des animaux, jardinier écologiste…”
 Musée de Louis : orangerie du château de Clermont, 44850 Le Cellier. Contact : 02 51 85 36 26.
Relire notre article Coup de cœur publié en janvier 2014.
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| 9 | RACINES | Janvier 2015 |
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RETRO
2014 |
QUE SONT-ILS DEVENUS
JEAN-CLAUDE En juin LE COMÉDIEN JEAN-CLAUDE
DROUOT
comédien
DROUOT était président d’honneur
de “La Vendée recrute ses talents”. Nous l’avions rencontré à Mouilleron-le-Captif juste
avant qu’il ne reprenne la route pour
les répétitions de la pièce L’Annonce
faite à Marie…
“Cette pièce de Paul Claudel
a été un succès ! Au bout de
dix jours, les représentations
affichaient complet aux
Bouffes du Nord. Ensuite,
nous sommes partis en
tournée jusqu’à la fin de
l’année. En 2015, je repars pour
une pièce qui s’appelle Intrigue et amour de
Friedrich Schiller, une création du Théâtre
du peuple de Bussang (dans les Vosges).
Après avoir joué un grand monsieur comme
Jaurès, je vais endosser le rôle d’un homme
politique qui s’avère être un vrai salaud. Il va
falloir que je lui trouve une faille pour me le
rendre sympathique ! Car il ressemble à tout
ce que je déteste !!!
"La Vendée recrute ses talents ?" J’y ai vu des
jeunes qui avaient l’envie, le désir, la force, le
plaisir mais aussi le besoin de s’affirmer publiquement. Mais il ne faut pas oublier que
le talent c’est 5 %, le reste c’est du travail obstiné.”
 À paraître en mars ou avril : l’autobiographie Le Cerisier
du pirate. De Thierry la Fronde à Jaurés, éditions de L’Archipel.
Jean-Claude Drouot a fait la Une de Racines en juillet
2014.
“
Le talent c’est
seulement 5 %.
Le reste ? Du
travail obstiné !”
?
“C’EST FOU,
ON L’A FAIT !”
MATHIEU
MARTINEAU,
globe-trotter
Souvenez-vous ! En juin, Mathilde et Mathieu Martineau
terminaient leur tour du monde. Dix mois à traverser l’Amérique du Sud, la Nouvelle-Zélande, l’Australie et l’Asie. Six mois
après, Mathieu nous parle du retour au bercail ! “En arrivant à
La Guyonnière chez nos parents, la campagne était verdoyante et
en ordre. Cela contrastait avec notre dernière étape du voyage, à
savoir Delhi ! Juste avant, à l’aéroport de Londres, c’est véritablement là qu’on s’est rendu compte du chemin parcouru et que nous
nous sommes dit "C’est fou, on l’a fait !"
Finalement, le plus bizarre a été de se retrouver tout à coup très
entourés alors que nous avions passé dix mois tous les deux. Nous
avons rencontré les élèves de Pouzauges qui avaient suivi le voyage :
nous leur avons parlé des enfants rencontrés qui mettaient deux
heures le matin, à cheval, pour rejoindre leur école. Ça peut faire
relativiser… Début juillet, nous reprenions le travail. Et finalement,
il n’y a pas de révolution dans notre manière de voir le monde. On
se réadapte très vite. Mais depuis deux mois, il y a comme des
flashes qui nous reviennent, des choses qui, sur le moment, n’avaient
pas eu une importance particulière mais qui, apparemment, nous
ont marqués plus qu’on ne le pensait. Mais en 2015, on va certainement rester en France ! Ce serait trop frustrant de partir quelques
semaines à l’étranger sans pouvoir profiter pleinement des choses.
Nous ne sommes plus vraiment des touristes comme les autres…”
Que retenez-vous de 2014 ?
ÉTIENNE
Il y a d’abord eu la sortie du film Lulu,
DAVODEAU,
femme nue, avec Karin Viard, inspiré de
auteur
angevin de
ma bande dessinée, puis celle de notre
album commun avec Joub, Il s'appelait bandes dessinées
Geronimo, dernier épisode de notre
série sur l'adolescence.
À quoi ressemblera votre année 2015 ?
Je poursuis une enquête sur les coulisses sanglantes de la Ve République dans les années 70, qui s’intitule Cher pays de notre enfance. C’est un travail que nous avons commencé avec Benoît
Collombat (journaliste à France Inter), dont le premier chapitre a
déjà été publié dans La Revue dessinée fin 2014. Le
deuxième chapitre devrait paraître dans ce même
support en mars prochain. L’ensemble du livre (qui
comportera quatre chapitres) sera publiée par les
éditions Futuropolis à la fin de cette année. Enfin,
à partir d'août, une exposition sur mon livre Le
chien qui louche est organisée à Taïwan.
Étienne Davodeau a fait la Une de Racines de février 2014.
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MYRIAM
THIBAUDEAU,
PRESQUE 27 000 € !
Le 21 juin la Route du Goëland traversait la
Vendée, à cheval, jusqu’au Pin (79), en portant un message solidaire : aider les malades du
syndrome X-fragile. Edgar, 14 ans, était le parrain de l’opération
organisée par des randonneurs équestres (Reva). “Grâce à la Route
du Goëland, nous avons reçu presque 27 000 € ! C’est une grande
réussite ! Une bonne partie de cette somme est mise de côté pour financer un projet fort : l’ouverture d’un foyer occupationnel dans notre
région (peut-être en Vendée). Quant à notre fils Edgar, il poursuit
son chemin. Il va terminer son cycle de collégien à Saint-Barthélemyd’Anjou. Pour la rentrée prochaine, nous attendons une place dans
un institut professionnel spécialisé… pas trop loin de la maison.”
Le Goëland(1)
(1) Association qui agit en faveur des enfants et adultes atteints du syndrome X-fragile.
2014 |
HENRI-PIERRE
TROUSSICOT
Nous avons publié
dans nos pages, en
peintre
février et mars
2014, Accache sur la
bouffie, une des
nouvelles vendéennes d’Henry-Pierre
Troussicot, par ailleurs peintre et graveur. Quels sont ses projets et ses réflexions pour cette nouvelle année ?
“J’ai un roman qui est en préparation, d’après une histoire
vécue qui s’est passée en Vendée
en 1921, que j’aimerais bien
pouvoir publier : c’est un premier souhait ! Une autre actualité pour 2015 : quelques
expositions de gravures sur cuivre
dont un événement en mai à Chantonnay ou
à Champ-Saint-Père où j’ai mon atelier. Ce
rendez-vous s’appellera “Manifestampe”.En
Vendée, nous sommes très peu, c’est une discipline artistique assez confidentielle.
(Dessin : Roger Ducrot)
En avril, Isabelle Savariau, de
Maillé, nous racontait dans Une
prairie pour 10 dollars, l’extraordiet son arrière-grand- naire histoire de son arrière-grandoncle canadien
oncle canadien, livre écrit avec la
complicité de l’écrivain deux-sévrien Jean-Claude Courdaud.
“J’ai eu une petite enfance bercée par une histoire que me racontait ma grand-mère. Celle de cet oncle parti à la conquête
de l’Amérique du Nord. Qu’est-il devenu ce lointain pionnier installé au pied des Montagnes Rocheuses au Canada ? Paraît-il
même qu’il exploitait “un ranch” comme on voit dans les films,
enfin, c’est ce que je comprenais. Presque quarante ans sont passés. À tout prix, il me fallait retrouver ces cousins. Mes recherches
commencent en 2008. Miracle, un
beau matin, je reçois un courrier de la
Poste canadienne ! Je décide alors d’aller
à la rencontre de ces lointains cousins et de
leurs grands espaces. On fait connaissance. Je suis surprise par
leur accent, beaucoup plus anglais que québécois.
Mais, l’aventure ne s’arrête pas là. Intrigués par ce qu’on leur
raconte de la France, du Marais poitevin où a grandi leur ancêtre, les cousins canadiens annoncent leur arrivée pour Pâques
2014. Quel bonheur pour moi et quelle émotion pour eux ! Ils
veulent voir d’où vient leur grand-père, ce petit bonhomme qui
a donné son nom à une rue de son village canadien.
Finalement, des liens très forts se sont créés : les Canadiens et
les Français forment une belle et même famille. D’ailleurs, il n’y
qu’à chercher les ressemblances… Que l’année 2015 renforce
encore ces relations et que les voyages se perpétuent entre nos
deux continents ! Les rêves peuvent devenir réalité !”
ISABELLE
SAVARIAU,
RETRO
Dans un autre registre, j’aimerais bien pour
cette nouvelle année, que les hommes politiques aient conscience qu’ils pourraient
avoir valeur d’exemple. On laisserait ainsi les
les futilités à la porte ! Et alors les journalistes feront vraiment leur travail, et ne seront pas pollués par ces affaires qui font
vendre de la copie, mais qui cachent les vrais
problèmes. Il faudrait aussi que la société
prenne conscience, d’une manière générale
(car il y a, bien sûr, des cas particuliers), que
l’on est quand même assez heureux. On nous
parle toujours de la crise, mais les vacances,
la consommation, globalement, se portent
bien… Arrêtons de nous plaindre, profitons
du temps, parce qu’il passe vite…”
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RETRO
2014 |
MICHELLE
LANDREAU,
militante du
monde rural
QUE SONT-ILS DEVENUS
?
“IL FAUT SE PRENDRE
EN MAIN”
À quelques jours de son départ de la présidence de la
grande fédération ADMR Vendée, Michelle Landreau
nous racontait son long parcours. “Depuis que j’ai laissé la
présidence de la Fédération départementale de l’ADMR de
Vendée en mai, j’ai d’abord pu consacrer plus de temps à ma
famille alors que nous vivions des moments difficiles suite à un
deuil.
Je n’ai pas tout à fait lâché les responsabilités associatives et les
projets. Je suis présidente d’une structure ADMR qui gère cinq
établissements pour personnes handicapées vieillissantes (à
Saint-Denis-la-Chevasse, Fontenay-le-Comte et Aizenay).
Nous réfléchissons à de nouvelles solutions pour ces personnes
qui ne peuvent plus rester en Esat(1) et pour qui les Ehpad ne
conviennent pas. Un autre projet me motive aussi : la Maison
de l’Agapè. Il s’agirait d’un lieu de répit presque familial à destination de malades en soins palliatifs(2). Plus localement, en
tant que présidente du centre de soins infirmiers et du service
de soins, j’ai participé au lancement d’une action originale à
Benet et Maillezais : des ateliers d’activité physique adaptée à
destination de malades, de personnes convalescentes… encadrés par un professionnel formé. Ces séances ne sont pas
qu’une façon de faire de la gym, c’est aussi l’occasion de sortir
de chez soi et surtout d’être acteur de sa santé. C’est pour moi
un message très important.”
(1)Ancien CAT.
(2) Plusieurs organismes portent cette idée : l’Admr et le CHD de La Roche-sur-Yon, le
réseau Althéa, Jalmalv et Alma.
PHILIPPE
Vous n’avez pas CANDELORO,
patineur
pu passer à
côté ! Le patineur Philippe
Candeloro était l’invité phare des
Rencontres Racines en octobre 2014.
Inoubliable !
“J’adresse à tous vos lecteurs
mon bonjour ! Je garde un
souvenir chaleureux de ma
venue aux Rencontres Racines. Je crois que nous
avons passé une bonne journée tous ensemble !
Cette nouvelle année 2015 devrait être
plus calme. Enfin ! 2014 fut très chargée,
entre les différents spectacles, mes participations à France Télévisions pour les championnats du monde et d’Europe… Et puis
une hernie survenue à Sotchi m’a vraiment
brisé le moral. Malgré la douleur, je devais
assurer le show d’Holiday on Ice. Ce fut une
belle année quand même : les tournées ont
bien marché. Et puis, j’ai adoré patiner avec
Surya Bonaly, Sarah Abitbol et Stéphane
Bernadis. Ça fait des années qu’on se
connaît. On se retrouve à 40 ans !!! Franchement, on aurait dû faire ça plus tôt !!
2015, c’est sûr, je prends un autre rythme. Je
vais partir trois semaines aux États-Unis
avec mon épouse et mes trois filles pour leur
faire découvrir ce pays de fous !”
Que s'est-il passé pour vous en 2014, au niveau professionnel ?
MARIE-GÉRARD MOLIÈRE,
L'événement qui m'a énormément choqué et traumatisé a été mon liex-salariée de Fagor-Brandt
cenciement et surtout le fait d'accepter que "S20" à La Roche-sur(anciennement Esswein)
Yon, c'était fini… enfin pas vraiment puisque ça continuait sans moi.
Que les responsables ne voulaient pas de moi ! À ce moment-là, je
m'en suis voulue de m'être battue pour rien, en fin de compte, d'avoir mis mon couple en péril, d'être allée à
Paris, etc. Tout cela pour rien. Quel sentiment d'injustice, de colère, de frustration, d'inachevé. J'allais
devoir m'inscrire au chômage pour la première fois en trente-sept ans de travail (trente-six passés chez S20), faire
un CV, des entretiens d'embauche. Je me suis posée la question : “À 55 ans, mais qu'est-ce que je vais faire de
ma vie ?” À ce jour, je n'ai toujours pas de réponse !!!
Quels sont vos projets et vos attentes pour 2015 ?
Grosses inquiétudes !!! Je vais à la cellule de reclassement. Je pense faire une formation en comptabilité courant
2015 et ensuite, "coucou me voilà" sur le marché du travail !!! Bien sûr, ils n'attendent que moi.... Je ne me
fais pas trop d'illusions. Mais je n'ai pas le choix, d'autres ont décidé que S20, c'était désormais sans moi !!!
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| 12 | RACINES | Janvier 2015 |