MulticulturalInterview - Vous avez reussi a donner une dynamique

Transcription

MulticulturalInterview
Club de Bucarest Celidea
InterviewFrancophone
«
“Le mot clef “ENSEMBLE” – Nous devons tous
travailler ensemble pour donner plus de force aux
initiatives de développement soutenu qui vient de
commencer, continuer les interventions qui ont
donnée bons résultants et répliquant avec efficacité
les initiatives qui ont obtenu des résultats
significatifs.
Jan Sorensen, Ambassadeur des Nations Unies
(message)
“Je félicite Florin Paun, fondateur du Club de
Bucarest Celidea et du Congrès des cadres
roumains en Europe,ainsi qu'Ingrid Vaileanu ,
d'avoir conduit cette initiative de réunir ce congrès
sur un sujet qui devient la préoccupation majeure
de nos sociétés européennes et d'ailleurs du monde
entier: le développement durable.” Sénateur Henri
Révol, Président du Groupe d’Amitié FranceRoumanie (message)
“The National Sustainable Development Strategy
will guide Romania in its efforts to align its social
and economic development within the European
framework.”
Minister Attila Korodi (message)
Pot sa ma uit si eu inauntru? »
NEWS
Henri Chapier, Président de
l'Institut pour le dialogue des
cultures et auteur du film
documentaire "Printemps
Roumains" qui fait une vrai
fresque des mentalités des
roumains dans le moment de
l'intégration de la Roumanie à
l'Union européenne.
Le printemps des liens francoroumains
EVENTS
European Press Conférence :
« L’image de la Roumanie en
France !, CAPE, Maison de la
Radio à Paris, 2002
Congrès des cadres roumains en
France (Maison de l’Unesco,
2004)
“Tout d'abord je voudrais vous exprimer tout mon
regret de ne pas pouvoir participer directement à
cette réunion du Club de Bucarest, dont j'avais déjà
eu l'occasion à plusieurs reprises de saluer la
création comme une initiative non seulement riche
mais nécessaire.
En tant que rapporteur du Parlement européen sur
le degré de préparation à l'Union européenne de la
Roumanie, je me suis toujours exprimé
favorablement vis-à-vis de la Roumanie. J'ai eu
alors l'occasion de travailler avec des cadres
roumains et cette collaboration a été bien plus que
fructueuse. “
(Lire le message complet)
Message de M. Pierre Moscovici à l’occasion du
Congrès des cadres roumains en Europe, édition
2008
Congrès des cadres et étudiants
roumains en France (IssylesMoulineaux, 2005)
“Vă doresc să analizaŃi lucid şi în acelaşi timp cu
pasiune în ce direcŃie şi în ce mod v-aŃi putea
angaja în mişcarea de modernizare actuală a Ńării
noastre.
Cred că ar fi util ca Congresul dumneavoastră să
adopte un document care să fie adus la cunoştinŃa
opiniei publice din România. Mi-aş dori să văd un
asemenea
document, ferm şi curajos, care să
arate clar potenŃialul de mare valoare, încă
nefolosit, ce îl reprezentanŃi pentru dezvoltarea de
a acum a Ńării noastre.”
(Lire le message complet)
Message de M. Petre Roman à l’occasion du
Congrès des cadres roumains en Europe, édition
2008
European HR Forum,
Bucharest, 2007
Contact : Ingrid Vaileanu
00 33 685432789
[email protected]
[email protected]
RECRUITMENT
en Europe (Palais de
Luxembouorg, 2006)
European Congress of
Romanian Professionals and
Students in Europe (Issy-lesMoulineaux 2007)
International Congress for an
Energy Efficiency in Romania,
Cretulescu Palace, UNESCO –
CEPES, Bucharest
European Congress of
Romanian Professionals and
Students in Europe /
EuropeanProfessionalRecruitme
nt Forum (La Tour Eiffel, 2008)
European Congress for a
Sustainable Development of
Romania (European Parliament
and Maison Europeene de la
Photographie à Paris, avril
2008)
www.DezvoltareDurabila.com
www.JobsForEuropeans.com
www.Stagii.com
www.ZiarulSeniorilor.com
InterviewFrancophone
Articles en francais
(Repris aussi par www.médiaf.org)
European Congress for a Sustainable
Development of Romania
Plus de 150 personnes ont participé aux
débats du premier Congrès européen pour
un développement durable de la Roumanie
organisé par Club de Bucarest Celidea et le
partenaire media Bucharest Business
Week (www.bbw.ro) à Paris, la future
capitale de l’UE et en présence du Ministre
roumain du Développement durable, M.
Attila Korodi, de l’Ambassadeur des
Nations Unies à Bucarest, M. Jan
Sorensen, du président de l’Académie
Roumaine, M. Ionel Haiduc, de
l’Ambassadeur de la Roumanie en France,
M. Teodor Baconschi.
Plusieurs idées et recomandations seront
prochainement présentées suite aux débats
dans le cadre de la table ronde au siège du
Parlement Européen à Paris, comme partie
du Congrès.
Dans le cadre du Congrès, le Ministre
Attila Korodi a été invité à une conférence
de presse au Centre d’Accueil pour la
Presse etrangere à Paris (CAPE) organisée
dans le cadres du Congrès dans le but de
présenter les enjeux de la future stratégie
nationale du développement durable.
Les organisateurs du Congrès ont ainsi
annoncé le Prix du Congrès Européen pour
un développement durable de la Roumanie
pour l’excellence de son parcours
professionnel, ses efforts pour soutenir la
nouvelle stratégie du développement
durable et l’impact positif de ses actions
sur l’image de la Roumanie en Europe.
Le Monde à l’heure francaise !
Dacia au cœur d’une nouvelle dynamique
du secteur automobile en Roumanie
Roumanie
Logan Sandero lancé en Roumanie
Sandero m-a mai surprins si cu capacitatilee “offroad” pe care le are. Sa nu credeti ca poseda
punte reductoare si transmisie integrala dar
“inalta” cum este se strecoara bine pe drumuri
practicate de Aro-uri, IMS-uri (da da, ati citit bine
si mai exista fiind sublim intretinute de ciobanii
din Novaci), camioane si alte tractoare ce urca
valea Gilortului trecand de la o falie granitica la
una calcaroasa cu o oarecare nonsalanta si
permitindu-va sa descoperiti adevarate piscine,
jacuzzi si tobogane acvatice naturale nebanuite
(Va rog sa nu o luati ca o recomandare la turism
de masa caci cu cat mai putini turisti “respectuosi”
ai naturii acolo, cu atit mai bine.
Rog cititorul sa-mi ierte tonul sarcastic dar iubesc
muntele, am mers pe el si in off-road si la picior si
m-am saturat de picturile neorealiste realizate cu
sprijinul nenumaratelor PET-uri pe muntii nostri
de “iubitorii” naturii la un mic, o bere si o manea,
caci nu se poate altfel fiind la moda printre
“mujici”, si cum sunt destul de multi...).
Dumneavoastra, cititorii nostri, va acord toata
increderea, impartasesc cu dumneavoastra si va
recomand chiar sa va duceti pe acolo dar sa nu
spuneti la nimeni, nu veti regreta.
Masina, intr-un cuvant, sta bine pe drum (poate
sunt subiectiv dar sta mai bine decit Loganul desi
se trage din aceeasi platforma), are reprize (daca
stii sa folosesti motorul – a se citi a-l trimite la
4500 rot/min – dar va rog numai cand este cald
caci altfel plang de pe acum caci se intampla sa
iubesc si mecanica), este robusta (a “mancat” si
nisipul Dobrogei, si colbul Baraganului, si piatra
Gilortului dar mai ales autostrazi si nationale
asfaltate) si pare in argoul soferilor bine
“inchegata” (era si noua cind am folosit-o eu,
ramanand de vazut cum imbatraneste).
Bucarest recoit à bras ouvert les
francophones
Des nouveaux élus locaux pour une
Roumanie à forte croissance économique
ParisParis-Bucarest à grande vitesse
Entre croissance économique et
protection de
l’environnement,
l’environnement, la Roumanie trace sa
voie européenne
Ford suit Renault dans l’aventure de la
production en Roumanie
Les relations francofranco-roumaines
commencent avec une éducation
francophone
Le Président de la Roumanie parraine le
roumains en Europe, Paris 2008
Petre Roman, l’ancien Premier Ministre
soutient les efforts d’efficacité
énérgétique de la Roumanie
Récital du pianiste roumain Matei Rogoz
à Paris
Interview avec
Henri Chapier, Président de l'Institut pour le dialogue
des cultures et auteur du film documentaire "Printemps
Roumains" qui fait une vrai fresque des mentalités des
roumains dans le moment de l'intégration de la
Roumanie à l'Union européenne.
Le printemps des liens franco-roumains
Sofia Visan, jeune cadre franco-roumaine, présente sa
vision sur le dévéloppement durable de la Roumanie.
Sofia a fait partie de l’équipe d’organisation du Congrès
Européen pour un Développement durable de la
Cat despre raportul calitate pret, cred ca nu mai
exista nici o indoiala. Nu ma cheama Toma dar
dupa ce am vazut, acum cred ca in Romania,
"Dacia by Renault" a reusit sa faca masini bune si
nu-i putem dori decit sa continue pe acest drum al
calitatii. Daca vi se propune la inchiriere Sandero
in vacante, nu ezitati!
Roumanie, comme volontaire
"Je considère que la Roumanie ne doit pas suivre
une
trajectoire
développement
spécifique
exogène,
au
mais
modèle
elle
de
devrait
considérer l'exemple historique des pays avec une
trajectoire endogène, basée sur la connaissance du
potentiel et des valeurs propres."
Le monde à l'heure française!
25/06/2008
En juillet 2008 la France va être à la tête de 3 institutions internationales clé dont les décisions et
stratégies peuvent influencer et même faire changer les règles du développement économique au niveau
mondial: le Président de la France Nicolas Sarkozy, à la Présidence de l'UE, Pascal Lamy a la présidence
de l’Organisation Mondiale du Commerce, Dominique Strauss Kahn à la direction du Fond Monétaire
International.
En dehors des appartenances politiques ou des influences des différents courants économiques, est-ce
qu’on peut parler d’une VISION FRANCAISE sur le développement humain et économique qui pourrait
apporter un nouveau modèle économique et de société qui conjugue croissance économique, protection
de l’environnement et des ressources, garantie des droits sociaux et des bonnes conditions de vie?
Si la France a montré la voie en 1789 avec la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en
proposant un compromis entre la liberté de l’individu dans sa quête pour bien-être et le bien-être
collectif, assuré par la loi capable à limiter la liberté individuelle, comment pourraient aujourd’hui ces
leaders français des institutions internationaux réunir leurs énergies pour proposer des solutions
cohérentes à des crises économiques et sociétales et environnementales actuelles?
“La présence concomitante de personnalités françaises à la tête de grandes institutions internationales,
que vous rappelez, est un atout. Je n’en ferai pas pour autant un levier : ceux qui dirigent ces organismes
sont heureusement au service de l’intérêt de tous les pays membres et non d’une vision française” a
déclaré André Santini, Secrétaire Etat chargé de la Fonction publique, et Président de Global Cities
Dialogue.
“L’enjeu pour ces leaders français, c’est donc avant tout de faire comprendre à tous les pays membres
que la protection de l’environnement n’est pas l’enjeu de la France ou de tel ou tel pays mais un défi qui
s’impose à la collectivité internationale. Dans cette perspective, vous avez raison de citer la déclaration
des droits de l’homme et du citoyen. Je pense à son article 4 : la liberté consiste à pouvoir faire tout ce
qui ne nuit pas à autrui et l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui
assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. La lecture de cet article a
longtemps été politique ou sécuritaire. Elle doit être désormais environnementale : la croissance dont
nous tirons les fruits ne doit pas être obtenue au détriment de la liberté d’en jouir qui sera laissée aux
générations futures” a ajouté André Santini dans un interview exclusive pour notre journal.
“I believe that the European Congress for the
Sustainable Development of Romania is very
important. Let me express my wish that your work
will be fruitful. The congress is very timely as it
takes place only a few months before the foreseen
adoption of the Romanian Strategy for Sustainable
Development. I expect your contributions will
provide valuable input for shaping the final stages
of Romania's strategy. “ European Commissioner
Stavros Dimas
Europe Sociale et Protectrice
"Je souhaite parler à toutes les nations, et leur dire quel sera désormais l’engagement de la France pour
le maintien de la paix. A tous, je veux adresser un message simple: la France veut la paix, la France veut
la sécurité. Pour elle-même et pour le monde" déclarait le Président Nicolas Sarkozy lors de son
investiture.
« L’Europe protection », telle est l'idée qui devrait résumer l’action du gouvernement au cours de la
Présidence française de l’UE au deuxième semestre 2008.Les priorités de la Présidence française de
l’UE (PFUE) ’agenda se sont fixées sur cinq dossiers : la conclusion d’un accord sur le paquet énergie
climat et sur le pacte européen sur l’immigration, le renforcement de la politique européenne de défense,
la mise en œuvre du traité de Lisbonne et l’ouverture des débats sur la réforme de la politique agricole
commune.
Mais cette présidence s’annonce difficile avec le “Non” des irlandais pour le Traité de Lisbonne et les
efforts de sortir de cette crise institutionnelle en continuant le processus de ratification pars les autres
membres parce que les élections du Parlement Européen en juin 2009 devraient se faire avec le Traité en
vaguer.
«Depuis trop dànnées lÈurope se confronte à des problèmes de nature institutionnelle. Cependant, les
citoyens de lÈurope attendent des solutions pour les problèmes concrètes, comme, par exemple, la
croissance des produits agricoles et du pétrole, le rapport énergie – changements climatiques », déclaré
le Premier Calin Popescu Tariceanu, Premier Ministre de la Roumanie, pays qui soutient les propositions
de la France.
La Roumanie a été le 4eme pays qui a ratifié le traité de Lisbonne et le Président Traian Basescu a été
toujours un défendeur de cette reforme: “UE ne peut plus fonctionner sur la base du Traité de Nice!” a
déclaré –il.
Lors de ce bref discours, Nicolas Sarkozy a affirmé sa volonté de « remettre de la politique en Europe »
et que la France y « soit de nouveau (…) une force de proposition et une force d’entraînement ».
« La Présidence française sera citoyenne, marquée par la réconciliation entre les Français et l’Europe »,
avait déclaré Jean-Pierre Jouyet, Secrétaire d’état chargé des affaires européennes, en septembre 2007. «
L’Europe protection » signifie également que l’Europe doit être capable de défendre son modèle
économique et social. Selon le gouvernement, cela passe par une coordination des politiques de la zone
euro, une politique active et ambitieuse dans le domaine des services publics, des actes forts en matière
d’éducation et de recherche et des réponses concrètes aux inquiétudes face à la mondialisation” a ajouté
t-il. Avec son Grenelle de l’environnement, la France veut faire de l’Union européenne un exemple
mondial en matière de protection de l’environnement. En janvier 2008, la Commission européenne a
présenté son paquet "énergie climat". Visant à atteindre les objectifs ambitieux que s’est fixé l’Europe en
matière de réduction des émissions de gaz à effets de serre – 20% d’ici à 2020 – le paquet propose des
mesures, notamment en ce qui concerne la révision du système communautaire d’échange de quotas de
CO2, les biocarburants et la répartition de l’effort entre les Etats membres pour développer les
renouvelables.
"Je vous félicite pour l'organisation du Congrès des
cadres roumains. Cette action est un bon exemple qui
prouve que les professionnels roumains ont franchi les
barrières linguistiques ou culturelles et ont réussi à
imposer leur valeur dans les pays de l'Union
Européenne ou d'autres pays.
En même temps, l'organisation de cet événement
montre que les Roumains qui travaillent à l'étranger
trouvent des idées et initiatives à réaliser, importants
pour le pays. Je vous félicite chaleureusement pour
cette initiative et je vous souhaite beaucoup de
succès!" Leonard Orban, Commissaire Européen,
responsable du Multilinguisme.
Le monde à l'heure française!
“La France n’entend pas mettre à profit sa présidence de l’Union européenne
pour donner de bons conseils en la matière mais plutôt pour, modestement,
tenter de donner de bons exemples. Le Grenelle de l’environnement qui s’est
tenu en France en 2007 ne s’est pas voulu un colloque d’experts, donnant lieu à
des parutions brillantes et savantes. Il s’est voulu un ensemble de mesures
concrètes et raisonnées : la définition d’une politique d’urbanisme éco
responsable par la promotion des éco quartiers, des administrations locale et
nationale exemplaires, une collecte des déchets repensée, des éco pastilles pour
des véhicules propres, des avantages compétitifs pour les produits respectueux
de l’environnement, la promotion de l’agriculture biologique, la réduction de
l’usage des pesticides… Ce sont en portant ces actes forts sur la scène
européenne et internationale que la France se donnera les moyens de
convaincre, plus que par des mots, que le développement durable et l’efficacité
économique, le bien-être collectif et le bien-être individuel, sont toujours, à
moyen et long terme, les deux faces d’une même médaille” a précise André
Santini.
“Pour ce qui concerne la Roumanie, compte tenu du fait que la croissance des
produits pétroliers entraîne une croissance des produits des gaz naturels, il y a
une raison supplémentaire de continuer sur la base de la stratégie que nous
avons adoptée, à savoir de finaliser les travaux à la Centrale nucléaire de
Cernavoda, notamment aux réacteurs 3 et 4 et la le commencement de la
construction dùne seconde centrale nucléaire, en sorte que l`énergie électrique
devienne une alternative sérieuse à la consommation des gaz naturels”, a
déclare le Premier Ministre roumain Calin Popescu Tariceanu à Bruxelles la
semaine passée.
Education et PMEs : le future de l’UE
L'Union européenne doit présenter aujourd’hui, 25 juin, un plan d'actions pour
les PME en assurant plus de transparence sur les marchés au niveau européen,
en proposant des allègements administratifs (notamment via un nouveau statut
de la "société privée européenne"), en demandant aux Etats membres de
développer des programmes d'aide au financement pour les PME et de
simplifier l'attribution des aides d'Etat, et en réduisant les délais de paiement.
Une fois présenté, le texte pourrait prendre force de loi sous la présidence
française de l'UE.
Le secrétaire d'Etat français aux Affaires européennes, Jean-Pierre Jouyet, a
d'ailleurs appelé l'Union à se doter "d'une véritable politique destinée aux
petites et moyennes entreprises, qui représentent 99% des entreprises
européennes” et a évoqué toute une série de domaines qui constitueront
l’Europe de demain comme la recherche, la technologie, la politique spatiale
(Galiléo, l’Institut européen de technologie) ou encore les échanges entre
Européens avec le renforcement du programme Erasmus.
Au dela de l’EUROPE
Le sujet de l’immigration inclue l’objectif de mettre en place une collaboration
avec les pays du Sud pour élaborer une solution collective. Jean-Pierre Jouyet
avait déclaré, lors de la conférence aux ambassadeurs, que l’objectif de la
Présidence française était de « conforter l’efficacité des instruments euro
méditerranéens dans le cadre du processus de Barcelone, d'améliorer les
partenariats existants (…) et de promouvoir une véritable Union ». Le Sommet
sur l’Union pour la Méditerranée, en juillet 2008 est un exemple de courage
pour passer des paroles à l’action ou même la Syrie invite parce qu'elle est un
pays méditerranéen, parce qu’on a des opportunités de paix dans cette région
avec l'élection du nouveau président de la République libanais, parce qu'il y a
un dialogue entre la Syrie et Israël sur le Golan.
La Roumanie soutien cette attitude responsable de l’UE pour les régions
voisines. Le président Traian Basescu propose la consolidation de la
perspective européenne des Balkans de West, les pays de cette zone signataires
d’un Accord de stabilité avec l’UE. Le chef de l’Etat roumain a mentionné la
semaine passé à Bruxelles l’accès des serbes dans l’UE.
“Il faut reformer le “Fond Monétaire International”
Dominique Strauss Kahn (DSK), se propose de reformer le FMI, cette
institution créée après la seconde guerre mondiale pour favoriser la croissance
et le développement du commerce grâce à la stabilité financière. La reforme
s'impose pour mieux répondre aux enjeux du développement mondial dans un
nouveau contexte ou les rapports de force géopolitiques ont changé et le pays
comme la Chine, l'Inde, le Brésil, l'Afrique de Sud ou Mexique veulent peser
davantage et que leurs la stabilité financière ne soit plus acquise au détriment
des équilibres sociaux. En plus, le FMI voit tarir ses ressources parce qu'il vit
des intérêts des prêts qu'il consent aux pays en crise et les derniers années il n'y
a pas eu des crises de change.
"Qu’est-ce que la politique, pour moi ? Défendre les convictions
auxquelles on croit et les mettre en application lorsqu’on le peut. Cela fait
des années que je dis qu’il est nécessaire et possible de réguler la
mondialisation pour en réduire les aspects négatifs. Là, j’ai l’occasion de
ne pas seulement le dire, mais de pouvoir le faire, bref, de mettre la main
à la pâte." déclarait DSK dans un interview pour Le Monde. ”Il faut en
finir avec l’image d’une Banque mondiale ” bonne maman ” et d’un FMI
maniant le ” gros bâton ” ! Avec Robert Zoellick, le nouveau président de
la Banque, nous avons décidé de travailler de concert. Nous pourrions
travailler aussi avec d’autres institutions comme le Programme des
Nations unies pour le développement - PNUD - et l’Organisation
mondiale du commerce - OMC - . Chacun doit remplir sa propre mission
mais, quand les problèmes sont globaux, les solutions doivent être
globales” propose le leader français à la tête de FMI, cette institution
internationale qui essai d’apporter des solutions aux pays pauvres.
"Nous ne pouvons pas nous satisfaire du capitalisme"
Pascal Lamy, le Président de l’Organisation Mondiale du Commerce
considère que le modèle capitaliste a tendance à ce que les riches
deviennent plus riches dès lors qu’ils accumulent du capital et les pauvres
plus pauvres dès lors qu’ils ne sont détenteurs que de leur travail.
“D’où la priorité que j’ai donnée à l’objectif de maîtrise de la
mondialisation lors de mon mandat de commissaire européen au
Commerce. A l’époque, en 1999, cela avait surpris. Il faut écouter ceux
qui parlent de modes de croissance alternatifs, ceux qui s’inscrivent
contre cet énorme poids consumériste qui fait que tout est matérialisé,
merchandise. On ne peut pas se satisfaire du capitalisme. Il est un moyen
qui doit rester au service du développement humain. Pas une fin en soi.
Un seul exemple : si on n’interroge pas vigoureusement la dynamique du
capitalisme, croyez-vous que nous parviendrons à maîtriser les
changements climatiques ?” avait déclaré Pascal Lamy, Directeur de
l’OMC pour la revues Challenges.
"Nous ne pouvons pas nous satisfaire du capitalisme. Je crois
profondément à la nécessité et à la possibilité de changer ce monde, mais
aussi je crois que toute politique se fonde sur des faits” concluait en 2007
le chef de l’Organisation Mondiale du Commerce.
Le développement durable semble être le fil rouge de la politique de tous
ces leaders français qui doivent agir au nom du développement mondial
en respectant les intérêts de chaque pays et culture.
“Cette démarche active de la France pour un développement durable
procède aussi d’une conviction qui est au fondement du système
démocratique français : celle de l’équilibre et des contre-pouvoirs.
Montesquieu l’a théorisé en son temps sur le terrain de la philosophie
politique : c’est de notre rôle de le faire sur le terrain du développement
humain. Autrement dit, il s’agit de porter haut l’idée que croissance
économique et protection de l’environnement ne sont précisément pas les
deux branches d’un dilemme mais bien les deux racines sur lesquelles
grandit en équilibre un même arbre: le développement humain. La France
n’aura pas, à ce titre, la prétention de proposer un nouveau modèle mais
plutôt de partager sa vision avec le plus grand nombre” a précisé le
Secrétaire d’Etat français André Santini, qui est aussi à la tête d’un réseau
des maires des capitales du monde entiers, Global cities Dialogue.
Si la volonté de changements structurels, de sortie des crises
institutionnelles qui bloquent l’évolution ainsi que le courage de
s’attaquer aux causes des crises actuelles sont des traits communs dignes
d’admiration de ces leaders français qui dirigent le monde à travers les
leviers des institutions mondiales, il en reste la question sur la capacité de
réunir les énergies et les efforts pour pourvoir agir de manière cohérente
pour un nouveau modèle de développement économique et de société
responsable.
Dacia Groupe Renault au cœur d'une
nouvelle dynamique du secteur automobile
en Roumanie
03/07/2008 - Roumanie / Interview Francophone / Economie
Lancé tout d’abord au Salon de Genève et après à Bucarest en juin 2008, le nouveau modèle Dacia Sandero dérivé sur
Renault Sandero déjà commercialisé au Brésil et en Argentine, ce cinquième véhicule développé sur la plateforme Logan
(B0) est déjà un succès.
Dacia Sandero est graduellement introduite sur le marché européen, en Turquie et au Maghreb à partir de juin 2008.
„Tout comme les autres modèles de la gamme Dacia, Sandero s’adresse aux clients rationnels, aux jeunes pragmatiques qui
place le prix parmi les critères prioritaires au moment de l’achat d’une voiture”, explique le directeur de communication
Liviu Ion. „Dacia Sandero va séduire les clients qui cherchent une voiture spacieuse et accessible en terme d’achat et
d’usage” a ajouté Ion.
L’offre complète proposée par Dacia en Roumanie inclus maintenant 5 modèles: Logan berline, Logan Van, Logan PickUp et Sandero. En Europe de l’West, en seulement 3 ans dès le lancement de la marque, Dacia propose déjà trois modèles
inédits : Logan, Logan MCV şi Sandero.
L’industrialisation du modèle Dacia Sandero dans l’usine roumaine de Mioveni a commencé en octobre 2007. La
réalisation de la Sandero se fait sur la même ligne de montage que les autres modèles Dacia et Mioveni est la deuxième plus
grande plateforme industrielle de production de Sandero après l’usine de Curitiba au Brésil.
„L’équipe Dacia a eu une contribution importante dans le développement du modèle Sandero, 45% des ingénieurs qui ont
travaillé pour le projet étant roumains” a précisé Silviu Sepciu, le porte-parole de l’usine Dacia.
Une grande partie de la production de prototypes a été réalisé à Mioveni, ce qui a réduit la phase de conception et les coûts
associés.
La plateforme industrielle de Mioveni reste l’usine pilot du projet X90. Ici on produit toutes les modèles de al gamme et en
plus le Centre International de logistique siège à Mioveni aussi avec le rôle de fournir des components pour les autres
usines du monde entiers qui font l’assemblage des modèles de la plateforme Logan.
„L’usine de Mioveni détient le rôle prépondérant pour la définition du processus de fabrication mais aussi pour la formation
du personnel” a ajouté Silviu Sepciu, porte-parole de l’usine.
Depuis le lancement du modèle Dacia Logan, l’usine de Pitesti a doublé sa capacité de production en arrivant à un
production annuelle maximum de 350 000 véhicules par an et à 60 véhicules par heure en 2008.
La production du modèle Sandero va arriver prochainement à représenter la moitié de l’activité de l’usine du montage en
Roumanie.
L’investission totale pour le développement et la fabrication du modèle Dacia Sandero en Europe monte à 147 millions
d’euros dont 65 millions d’euros pour le développement et 82 million d’euro pour les investissements spécifiques de l’usine
de Mioveni.
Article repris par : www.mediaf.org
Bucarest recoit à bras ouvert les
francophones
25/06/2008
Le ministère roumain des Affaires étrangères (MAE) et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) ont organisé
à Bucarest du 19 au 21 juin, la réunion des Réseaux institutionnels de la Francophonie, qui a regroupé des représentants de
20 pays, selon un communiqué du MAE. Des présidents des Cours constitutionnelles, des hautes juridictions francophones,
des Hautes Cours de Cassation et de Justice, des Commissions nationales pour les droits de l’homme des États membres de
l’OIF ont débattu débattus des thèmes visant le renforcement des coopérations entre les réseaux institutionnels et les
perspectives du partenariat avec l’OIF, le développement des activités dans les domaines du droit et de la justice en vue de
la mise en oeuvre concertée de la Déclaration de Paris (février 2008), l’approfondissement du partenariat avec les
opérateurs francophones et les perspectives de coopération avec les autres organisations internationales et régionales. Les
conclusions de la réunion seront présentées lors du XIIe Sommet de la Francophonie (Québec, 17-19 octobre 2008). Le
MAE sera représenté par le secrétaire d’État aux affaires stratégiques et globales, Iulian Buga, qui prononcera une
allocution dans le cadre de la cérémonie officielle d’ouverture. Le nouveau ministre des Affaires étrangères, Lazar
Comanescu, qui a prêté serment aujourd’hui, le 15 avril a déclaré lors d'une rencontre avec la presse, que les priorités de
son mandat à la direction du MAE visent trois directions principales d'action: le renforcement de la position de la Roumanie
en tant qu'acteur régional, la promotion des intérêts économiques de la Roumanie et la promotion et la protection des
intérêts des Roumains qui vivent à l'étranger.
"Je me propose, aux côtés de toute l'équipe du Ministère des Affaires étrangères, une activité déroulée sous la devise :
professionnalisme, action, responsabilité", a affirmé le chef de la diplomatie roumaine. Selon le ministre, des améliorations
sont nécessaires, notamment en ce qui concerne l'assomption de la responsabilité dans la chaîne décisionnelle du ministère.
Lazăr Comănescu a annoncé aussi un plan pour perfectionner la communication publique du ministère, dont les principaux
rôles seront accomplis par Cosmin Boiangiu, le nouveau porte-parole du MAE, Oana Marinescu, directeur général chargé
de la Communication, de la Diplomatie publique et de la Culture, et Doris Mircea, directeur de la Communication et de la
Diplomatie publique.
L’ambassadeur Lazar Comanescu a une carrière diplomatique de plus de 3 décennies. Entre 1995-1998 il a été secrétaire
d'État au Ministère des Affaires étrangères. En 2001 il a été nommé ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire, chef de
la Mission de la Roumanie auprès de l’Union européenne. Depuis le 1er janvier 2007 il est devenu le Représentant
permanent de la Roumanie auprès de l’Union européenne.
Message diffusé lors du Congrès des
cadres roumains
Pierre Moscovici
25 janvier 2008
Mesdames, Messieurs,
Chers amis,
Tout d'abord je voudrais vous exprimer
tout mon regret de ne pas pouvoir
participer directement à cette réunion du
Club de Bucarest, dont j'avais déjà eu
l'occasion à plusieurs reprises de saluer
la création comme une initiative non
seulement riche mais nécessaire.
En tant que rapporteur du Parlement
européen sur le degré de préparation à
l'Union européenne de la Roumanie, je
me suis toujours exprimé favorablement
vis-à-vis de la Roumanie. J'ai eu alors
l'occasion de travailler avec des cadres
roumains et cette collaboration a été bien
plus que fructueuse.
La place de la Roumanie dans l'Union
européenne n'est plus à démontrer : sa
position stratégique, son potentiel
économique alors qu'elle poursuit la voie
des réformes, son processus de
rattrapage rapide, et surtout sa
francophonie et même sa francophilie
sont des atouts indéniables qui doivent
inciter à développer également des liens
toujours plus solides et étendus entre la
France et la Roumanie.
Les réticences qui ont provoqué durant la
campagne du référendum de 2005 en
France des remarques scandaleuses sur
les dangers d'une telle immigration pour
le marché du travail sont pour
heureusement, pour la plupart, derrière
nous. Mais nous devons rester vigilants
sur ce thème et c'est le rôle d'un club
comme celui-ci, des cadres roumains
francophones
qui
sont
présents
aujourd'hui, de clarifier les choses sur les
bénéfices historiques et concrets d'un tel
partenariat avec la Roumanie, et au-delà
même des bénéfices de cette dynamique
de l'élargissement. Les richesses d'une
telle adhésion doivent être montrés
clairement, sans ambiguïté, sans idée
reçue implicite : des débouchés
économiques importants, une demande
adressée aux entreprises de pays plus
rapides dans leur croissance et leur
développement que les nôtres. Dans le
cas de la Roumanie on le sait c'est
l'automobile française qui est tirée par la
croissance roumaine. Donc ce ne sont
pas seulement et pas d'abord des
délocalisations mais d'abord des marchés
supplémentaires.
C'est donc à nous tous qu'il incombe
aujourd'hui d'oeuvrer plus avant encore
dans cette voie.
Paris-Bucarest à “Très Grande Vitesse»
24/04/2008
En visite officielle à Paris, Le Premier Ministre roumain Calin Popescu Tariceanu espère voir les collaborations francoroumaines se développer à Très Grande Vitesse
La visite officielle du premier ministre roumain Calin Popescu Tariceanu à Paris le 22 et 23 avril intervient comme
concrétisation par la feuille de route du partenariat stratégique signé déjà par les deux présidents lors de la visite de Nicolas
Sarkozy en Roumanie en février 2008 ce qui encourage les leaders d’affaires et rassure les leaders politiques.
http://ro.wikipedia.org/wiki/Imagine:GheorgheNichita.jpg
«La feuille de route mettra en application un mécanisme bilatéral de coopération et échange dìnformations concernant les
principaux points de làgenda européen, comme l`énergie, le développement régional, les transports, la protection de
lènvironnement. Nous sommes intéressés à ce que le partenariat stratégique contribue à l`édification dùne Europe plus forte »,
a souligné le Premier ministre Tariceanu.
Les deux premiers ministres sont convenus dèncourager la participation des compagnies françaises à la réalisation de projets
communs qui utilisent des fonds structurels sachant que la Roumanie va recevoir plus de 30 milliards euros des fonds non
remboursables dans les prochaines 5 années.
« La France et la Roumanie feront un échange dìnformation et dèxpertise dans les domaines de la décentralisation, de
l`énergie, et du développement durable, de la recherche scientifique et du développement de làgriculture, dont la Roumanie fait
une priorité », a déclaré le Premier ministre français François Fillon.
La visite officielle intervient dans un contexte favorable des relations politiques franco-roumaines grâce aussi au travail des deux
ambassades roumaine à Pais et française en Roumanie qui ont œuvré au repositionnement de l’axe Bucarest Paris dans le
développement durable de la Roumanie.
«Cette nouvelle ouverture de la France coïncide heureusement avec un nouveau statut de la Roumanie en tant que membre de
l’UE et avec une croissance économique en expansion. En même temps, dans les domaines sélectionnées pour le partenariat
stratégique, la France détient un profil européen et même mondial que la Roumanie va en bénéficier en tant que partenaire » a
déclaré l’Ambassadeur Teodor Baconschi qui dans les seulement quelques mois dans son poste à Paris a réussi par une stratégie
de communication et une attitude ouverte et professionnelle de donner une autre image de la Roumanie en France.
A quelques semaines seulement de la Présidence de la France au Conseil de l’Union européenne, cette nouvelles étape dans la
coopération franco-roumaine confirme que la Roumanie est un partenaire fiable de la France, vu que la Roumanie représente le
septième pays de l’UE en terme d’habitant, des députés dans le Parlement Européen et des voie dans le Conseil de l’UE.
« La Roumanie et la France ont une vision convergente ou commune sur nombre de sujets de làgenda international, comme la
région méditerranéenne, l`énergie ou la migration. Nous soutenons intégralement les objectifs de la présidence française
concernant le développement dùne défense européenne et dùne identité européenne au sein de lÒTAN », a déclaré le Premier
ministre Tariceanu.
Un accord-cadre a été signé entre lÌnstitut roumain pour les recherches nucléaires et le Commissariat à l`énergie atomique de
France concernant la recherche dans les domaine de l`énergie nucléaire et du traitement des déchets radioactifs. L’Agence
roumaine pour la conservation de l`énergie et lÀgence à lènvironnement et à l`énergie de France vont aussi signer un accord en
vue de la réalisation de projets communs visant làmélioration de lèfficacité énergétique.
L’un des projets concrets de collaboration est le projet de prolongement de la ligne Vienne-Budapest jusqu’à Bucarest ou même
Constanta que le Premier Ministre roumain espère voir aboutir d’ici huit à dix ans. Le projet est stratégique dans un monde où le
transport public devrait prendre une plus grande place.
Le chef du Gouvernement français a apprécié làttention que le Premier ministre Tariceanu attache à la promotion en Roumanie
de lènseignement en français.
« Le nombre des étudiants roumains qui sont en train d`étudier en France est de 5.000 et ils sont parmi les meilleurs. La France a
une politique ouverte concernant le marché du travail pour ce qui concerne les citoyens roumains, avec 150 métiers quìls
peuvent pratiquer », a fait connaître le Premier ministre Fillon.
Ford suit Renault dans l'aventure de la
production de ses voitures en Roumanie
20/03/2008
Aujourd’hui à Craiova plusieurs leaders politiques et d’affaires ont assisté à la cérémonie officielle de la signature des
documents transférant à la compagnie Ford les droits de propriété sur Automobile Craiova
Tout comme le Groupe Renault à Pitesti, Ford fait confiance à la Roumanie et s’installe à Craiova pour produire un nouveau
modèle qui devrait bénéficier de la main d’ouvre qualifiée et bon marché.
Les documents ont été signés par Sebastian Vladescu, le chef de la Commission de privatisation Atomobile Craiova, Lyle
Watters, directeur de stratégie pour Europe de chez Ford, en présence du Président Traian Basescu, du Ministre des Affaires
Etrangères Adrian Cioroianu, dàutres membres du Gouvernement et du Parlement roumain.
« Il faut tenir compte du fait que la firme Ford a une tradition concernant la responsabilité sociale. Je suis heureux que la
présence de Ford à Craiova ne soit pas seulement une présence industrielle, mais aussi, une contribution importante au
développement et au soutien des projets de la communauté locale. Un emploi dans une fabrique de construction automobile
génère pas moins de quatre emplois dans lìndustrie horizontale. » a jouté le Premier.
Le chef de lÈxécutif a déclaré aussi que la privatisation de la société Automobile Craiova fera en sorte que lìndustrie de
construction automobile de la Roumanie ait un nouveau produit dèxportation, aux côtés de la Logan et de la Sandero.
La Roumanie entend ainsi soutenir la démarche de lÙE relative à la protection de lènvironnement et la limitation des industries
qui génèrent des changements climatiques.
Mesajul lui
Petre Roman
fost Prim Ministru, pentru participantii la
Congresul de la Paris al Club de Bucarest
Celidea
Paris, 25 ianuarie 2008
În momentul în care vă desfăşuraŃi congresul
dumneavoastră în Ńara noastră au loc
frământări politice şi reacŃii publice care
arată un mare deficit de competenŃă şi voinŃă
de înnoire. Dumneavoastră, cadrele ce au
reuşit performanŃa de a se afirma în Europa
dezvoltată, reprezentanŃi – cred – voinŃa de
performanŃă unită cu competenŃa.
România se află într-un punct stelar al
evoluŃiei sale, momentul unui salt de
modernizare bazat pe valorificarea integrării
în UE. Alte Ńări au reuşit miracole pe acest
drum (Irlanda, Spania, Grecia, Portugalia),
noi de ce nu?
Pentru a reuşi avem nevoie de o schimbare a
politicii în România. Această schimbare
înseamnă aducerea în primplanul vieŃii
publice şi a vieŃii economico-sociale a
direcŃiilor aflate în suferinŃă în România, în
primul rând a producŃiei naŃionale de bunuri
capabile
de
competiŃie,
a
creării
infrastructurilor moderne de comunicaŃie şi a
celor sociale (educaŃie şi sănătate).
Valorificarea
extraordinarei şanse a
României de dezvoltare prin dinamica
fondurilor europene presupune existenŃa unui
nivel de competenŃă ridicată la nivelul
tuturor administraŃiilor din România.
Este momentul dumneavoastră!
Cei care nu înŃeleg sau cărora nu le pasă de
acest imperativ – competenŃă prin oamenii
tineri formaŃi profesional în Europa Mare –
sunt nepăsători şi incapabili faŃă de Ńară.
Vă doresc să analizaŃi lucid şi în acelaşi timp
cu pasiune în ce direcŃie şi în ce mod v-aŃi
putea angaja în mişcarea de modernizare
actuală a Ńării noastre.
Cred că ar fi util ca Congresul
dumneavoastră să adopte un document care
să fie adus la cunoştinŃa opiniei publice din
România. Mi-aş dori să văd un asemenea
document, ferm şi curajos, care să arate clar
potenŃialul de mare valoare, încă nefolosit, ce
îl reprezentanŃi pentru dezvoltarea de a acum
a Ńării noastre.
Petre Roman
Récital de
Matei Serban
Rogoz à Paris:
une
“concertation”
du talent,
passion et
exigence!
Entre croissance économique et protection
de l'environnement, la Roumanie trace sa
voie européenne
14/04/2008
Le premier Congrès européen pour un développement durable de la Roumanie, organisé le 14 avril à Paris, la future capitale de
l’UE, par Club de Bucarest Celidea et le journal d’affaires Bucharest Business Week (le seul journal d’affaires en Roumanie qui a
créé une rubrique dédiée aux informations concernant le développement durable) a réunit auprès du Ministre roumain du
Développement durable, M. Attila Korodi, le Président de l’Académie roumaine Ionel Haiduc, l’Ambassadeur des Nations Unies
à Bucarest, Jan Sorensen, des présidents de conseils régionaux roumains, des maires représentant des grandes villes roumaines
comme Craiova et des petites villes comme la station touristique Novaci –Ranca à 1600 mètres altitude qui est en train de naître
dans les Carpates.
Le Ministère de l’Environnement et Développement durable ensemble avec l’UNDP est en train de redéfinir cette année sa
stratégie de développement durable, élaborée déjà en 1999, en conformité cette fois-ci avec les objectifs européennes.
« La stratégie nationale pour un développement durable est le document grâce auquel la Roumanie va s’inscrire dans la trajectoire
du développement et du progrès européen. » a déclaré le Ministre Korodi dans son discours l’ouverture du Congrès. « L’UE est
devenue plus riche en ressources naturelles avec l’intégration de la Roumanie On a la responsabilité de la garder et le
développement économique de la Roumanie doit intégrer l’écosystème naturel, dont nous faisons partie comme espère humain et
société » a ajouté le Ministre Korodi qui a récu à le Prix du Congrès Européen pour un développement durable de la Roumanie
grâce à ses efforts pour cette nouvelle stratégie nationale et grâce à l’excellence de son parcours professionnel, un vrai modèle
pour les cadres roumains.
Plus de 150 personnes ont participé aux travaux du Congrès et plus de 2000 messages d’encouragements ont été reçus de la part
des personnes d’affaires, diplomates, leaders politiques, cadres roumains en Europe qui n’ont pas pu se déplacer à Paris pour le
Congrès.
L’importance du Congrès réside dans la transparence des discussions entre différents acteurs du développement de la Roumanie
dans un terrain neutre et indépendant ou les leaders politiques, les autorités locales, les leaders des grands investissements
européens en Roumanie, les ONGs ont analyser les barrières et les solutions éventuelles pour un développement durable de la
Roumanie.
« Je tiens à féliciter les organisateurs de ce Congrès unique à Paris et je suis très heureux que l’Ambassade aie soutenu ce projet.
D’ailleurs j’admire les activités du Club de Bucarest Celidea qui réussit à réunir des personnes dans différents domaines sur des
sujets d’intérêt commun. » a déclaré l’Ambassadeur de la Roumanie à Paris, M. Teodor Baconschi, invité d’honneur de
l’événement.
Le Congrès a contribué à la stratégie nationale avec plusieurs recommandations concrètes concernant une meilleure transparence
des informations concernant les critères de sélection pour les fonds européens, une meilleure coordination entre les Ministères et
les facteurs de décision locaux, l’importance du pouvoir d’arbitrage entre les intérêts économiques, sociales et
environnementales, et donc une transversabilité du pouvoir de décision du Ministère de l’Environnement, l’introduction d’une
charte de l’innovation et proposer des leviers législatives et fiscales pour encourager les innovations qui respecte l’environnement
et surtout réduise l’usage des ressources naturelles.
Le soutien et l’encouragement pour un développement durable de la Roumanie des acteurs politiques et d’affaires ont été
appréciés et reconnus par les Prix du Congrès, édition 2008 qui ont aussi donné une image positive de ce pays européen, une
Roumanie dynamique et responsable.
Legende Photo : Henri Chapier, Président de l’Institut Dialogue des Cultures, Son Excellence l’Ambassadeur Teodor Baconchi,
le Ministre Attila Korodi, l’Ambassaeur des Nations Unies à Bucarest M. Jan Sorensen, le Président de l’Académie roumaine, M.
Ionel Haiduc
Le récital du pianiste Matei Serban
Rogoz à la Fondation des EtatsUnies à Paris, jeudi 15 mai a été très
apprécié par les participants qui sont
restés début plusieurs minutes à
applaudir.
“En l’écoutant, j’ai senti les
vibrations dans une armonie totale
avec moi-meme, mon bebe et la
musique” a avoué une jeune future
maman participante au récital. C’est
peut-etre le plus beau compliment,
qui trancède le moment précis du
récital, le succes professionnel et
offre une autre dimention du talent:
l’émotion.
Beethoven, Liszt, Schubert et
Prokofiev ont recu encore une fois un
homage par la passion, l’attitude
febrile du pianiste et l’admiration des
participants.
Né en 1973 à Bucarest, Matei Serban
Rogoz a commencé ses études
pianistiques à l’age de six ans au
lycée de musique “Dinu Lipatti”
dans la classe de Mme. Ligia Pop.
M. Rogoz s’est produit dans
plusieurs salles de concerts en France
aussi bien en tant que soliste qu’un
collaboration
avec
d’autres
instruments. En 2003 il a été invité à
soutenir un récital de piano à Vienne,
à la Salle Boesendorfer. Depuis 2001
il est régulièrement inclus dans les
saisons artistiques de la Société
Philharmonique “George Enescu” de
Bucarest ou il a soutenu plusieurs
récitals de piano.
Les relations franco-roumaines
commencent avec une éducation
francophone.
Interview avec Etienne Cazin, Campus France
09/02/2008
IF : Comment avez vous décidé d'ouvrir le bureau Campus France à Bucarest (facteurs qui ont encouragé
cette décision et d’éventuelles barrières à surmonter)
Le gouvernement français, à travers l'agence nationale CampusFrance et l'Ambassade de France en Roumanie,
souhaiter renforcer le dispositif d'information offert aux étudiants roumains sur l'enseignement supérieur
français. La Roumanie se développe en effet très rapidement, du fait en particulier de l'adhésion à l'Union
européenne. Les possibilités de faire un séjour d'études à l'étranger pour les jeunes générations se multiplient au
même rythme. La France, première destination des étudiants roumains aujourd’hui doit donc répondre à une
demande de plus en plus précise sur son offre éducative, laquelle a connu de son côté des évolutions importantes
depuis quelques années. Il était donc important pour CampusFrance d'ouvrir un bureau aujourd'hui à Bucarest,
qui permettra, au sein de l'Institut français et sous l'autorité de l'Ambassade de France, d'informer un très large
public.
IF : Quels sont les objectifs de Campus France à Bucarest et comment comptez -vous réussir à les
atteindre?
Au-delà de Bucarest, c'est dans toute la Roumanie que nous cherchons à relancer la promotion de l'enseignement
supérieur français, par tous les moyens possibles. Notre objectif est de toucher le plus grand nombre d'étudiants,
qu'ils soient francophones ou non-francophones, pour leur montrer, quels que soient leurs besoins, que des
solutions adaptées à leur besoin existent en France. Nous allons ainsi participer pour la deuxième fois au salon
RIUF (www.riuf.ro) organisé cette année à Bucarest, Timisoara et Iasi. Plus d'une trentaine d'établissements
d'enseignement supérieur français devraient être présents. Autre exemple : les lecteurs français travaillant dans
les universités roumaines ont récemment reçu une formation de la part de CampusFrance, destinée à leur
permettre de mieux répondre aux étudiants qui souhaitent s'informer sur l'enseignement supérieur en France.
IF : Quels sont les besoins et les caractéristiques spécifiques des étudiants de l'Europe Centrale et
Orientale et plus précisément, des Roumains ?
Il est difficile de généraliser mais nous sommes très sensibles à la qualité remarquable de la plupart des étudiants
en provenance d'Europe centrale et orientale : la volonté d'apprendre, le goût du travail, associés à une excellente
formation préalable, font régulièrement des étudiants d'Europe centrale et orientale les meilleurs de leurs
promotions. Les Roumains n'échappent pas à la règle, particulièrement brillants en sciences, en lettres, en
sciences humaines et sociales. Les établissements français sont donc toujours très content de les accueillir.
IF : Quelle est l'image des étudiants roumains sur les écoles et les formations en France par rapport à
d'autres pays en Europe? Quels sont les avantages d'étudier en France?
Avantages multiples, parmi lesquels je citerais par exemple la qualité de l’enseignement dispensé dans des
domaines très variés autant dans les universités françaises que dans les autres types d’établissements tels que les
grandes écoles. Le système français, dans lequel l’Etat subventionne massivement les établissements
d’enseignement supérieur, rend les frais d’inscription demandés aux étudiants, tout particulièrement dans les
universités, très modiques par rapport à ceux pratiqués dans la plupart des grands pays occidentaux. Etudier en
France, c’est aussi bien sûr l’occasion de perfectionner une langue majeure qui peut faire la différence dans une
carrière internationale, alors que tout le monde parle déjà anglais. C’est aussi la possibilité de vivre des
expériences culturelles, et multi-culturelles, particulièrement riches, compte tenu du patrimoine français et de
l’ouverture de la France à tous les grands courants d’échanges internationaux.
IF : Comment développer une carrière européenne grace à des études en France et comment valoriser les
études francophones dans les milieux d'affaires anglophones en Europe?
Le français est une des deux langues officielles de l’Union européenne : une carrière dans le cadre de l’Union
européenne rend indispensable la pratique de cette langue et une bonne connaissance de la réalité de la France,
l’un des membres moteurs de l’Union. En ce qui concerne les carrières dans le secteur privé anglophone, une
formation supérieure en France, cinquième puissance économique mondiale, est sans aucun doute un avantage,
pour accéder au marché français, mais aussi développer des relations d’affaires avec des entreprises françaises
implantées en grand nombre dans toute l’Europe.
IF : Quels sont vos conseils et votre message pour les étudiants roumains qui veulent étudier en Europe
dans le futur proche? Ouvrez-vous à l’international et n’hésitez jamais à profiter d’une expérience à
l’étranger, mais soyez fiers de votre beau pays qui retrouve toute sa place en Europe et continuez toujours
à travailler avec lui !Quel est votre opinion sur le Congres des cadres et étudiants roumains en Europe,
une innitiative des cadres roumains francophones qui soutienne autant les entreprises francaises en
ROumanie que les étudiants et cadres roumains en Europe?
C’est une initiative, qui montre à la fois la qualité des étudiants et des cadres roumains, et la pertinence d’une
approche francophone ambitieuse dans le monde des affaires d’aujourd’hui.
Le Président de la Roumanie parraine
le Congrès franco-roumain à Paris
20/12/2007
«Je voudrais transmettre mon salut cordial aux organisateurs ainsi qu’aux participants au Congrès des cadres et des étudiants franco-roumains. Devenu déjà
une tradition puisqu’il se trouve à sa cinqième édition, ce congrès a le rôle de mettre ensemble des gens compétents ainsi que ceux qui savent mettre en valeur
ces compétences. Ce gendre de manifestation est représentatif pour un nouveau type de relation de la Roumanie et des Roumains par rapport à la France, une
relation où se retrouvent la tradition d’un échange culturel centenaire déjà ainsi que le pragmatisme spécifique pour la participation à un marché commun." a
déclaré Traian Basescu, Président de la Roumanie.
La ROumanie, ce nouveau membre de l'Union Européen qui enregistre une croissance de plus de 5% chaque année, se confronte avec une pénurie des cadres
pour soutenir les projets de développement importants d'infrastructure, services, industrie, etc. «Nous sommes conscients que l’image de la Roumanie ne se
construit pas seulement à Bucarest, mais partout dans le monde où vivent les Roumains. Beaucoup des jeunes sont partis à l’étranger pour construire leur futur
la-bas. Nous espérons bien sûr qu’ils reviendront en Roumanie prochainement. Mais avant ce moment, nous souhaitons leur accorder notre support pour les
projets qu’ils initient pour la promotion de la Roumanie à l’étranger.» Calin Popescu Tariceanu, Premier ministre de la Roumanie.
Les investisseurs francais en Roumanie sont parmi les premiers qui encouragent le retour en Roumanie des roumains qui ont fait leur études en Europe pour
soutenir leur projets de développement.
La France contribue à l'éducation des cadres roumains et plus de 400 bourses d'état sont offert aux roumains et 5000 étudiants roumains viennent chaque
année étudier en France. Après leur édudes peu d'entre ces étudiants trouvent des jobs en Europe et souvent les entreprises anglophones les récupèrent. « Il me
parait important de renforcer l'image de la Roumanie en France qui n'a été que trop dégradée dans la presse. Cette manifestation est aussi et surtout l'occasion
d'une rencontre entre industriels francais et roumains afin de mettre en commun nos forces de production et pour réaliser des investissements croisés entre nos
deux pays. Je saisis également cette opportunité pour réaffirmer ma volonté d’œuvrer au renforcement des relations d’amitié et de coopération entre nos deux
pays." a transmit Monsieur Nicolas Sarkozy, Président de la France en félicitant les orgnaisateurs du Congrès.
Le Congrès des cadres roumains en France est le seul projet indépendant qui depuis 4 ans encourage les cadres roumains de soutenir les projets francais en
Roumanie en facilitant le rendez-vous avec les leaders de ces entreprises francaises en ROumanie et en promouvant la culture des entreprises francaises en
Roumanie.
Le Congrès, organisé par le "Club de Bucarest CELIDEA" (CELIDEA CONSULTANTA SRL) avec le partenariat de l'APEC a reucu l'encouragement et la
participation des leaders d'affaires et politiques comme Monsieur Nicolas Sarkozy, Monsieur Domminique Strauss Kahn, Monsieur, André Santini, Monsieur
Henri Révol. L'édition 2008 sera ouvert par le parrain du Congres, M. Jean Francois Bernardin, Président de l'AFCCI et L'Ambassadeur de Roumanie en
France, M. Teodor Baconschi. "Cette action est un bon exemple qui prouve que les professionnels roumains ont franchi les barrières linguistiques ou
culturelles et ont réussi à imposer leur valeur dans les pays de l'Union Européenne ou d'autres pays. En même temps, l'organisation de cet événement montre
que les Roumains qui travaillent à l'étranger trouvent des idées et initiatives à réaliser, importants pour le pays. Je vous félicite chaleureusement pour cette
initiative et je vous souhaite beaucoup de succès!" a déclaré le Commissaire Européen, responsable du Multilinguisme, Monsieur Leonard Orban. Le journal
officiel du Congres "InterviewFrancophone" fait la promotion du "CV MULTICULTUREL" qui donne de la valeur à la diversité culturelle dans un milieu
d'affaires international et qui se place comme meilleure solution que le "CV ANONIME" qui cache et nie l'identité culturelle et les capacités et compétences
multiculturelles: http://web.mac.com/ingrid.vaileanupaun/iWeb/MulticulturalInterview
Photo - conférence de presse au CAPE pour le lancement du Congres en 2006
Petre Roman, l'ancien Premier Ministre roumain, milite
pour un développement durable
04/12/2007
La Roumanie est contrainte à respecter les critères du développement durable en qualité de nouveau membre de l'Union Européenne. Les enjeux sont de taille
vu les dépenses pour augmenter l'efficacité énergétique. "Notre monde a besoin plus que jamais d’être géré par une idée : arrêter le gaspillage des ressources
de la planète, de l’environnement, du potentiel humain" nous a déclaré Petre Roman, en qualité de Professeur à l'Université Polytechnique de Bucarest et
invité du Forum. Pour l'ancien Premier Ministre roumain, qui représente un modèle pour les cadres roumains, l'éducation de haut niveau pourrait soutenir un
développement durable. C'est avec ce message que Petre Roman va représenter la Roumanie dans le cadre du Forum Mondial du Développement Durable à
Paris cette semaine.
"Avoir peur de l’incertitude ? Nous devons croire en la science non pas parce qu’elle serait certaine mais justement parce qu’elle ne l’est pas. La pensée
illumine lorsqu’elle balance entre la certitude et le doute. Et une note supplémentaire. La recherche est seule en mesure d’opérer des sauts d’efficacité et de
fournir des outils performants." a jouté Petre Roman. Dans un courrier adressé au Directeur de la revue Passages, Emile H. Malet (organisateur du Forum), le
Président de la République souligne avoir «particulièrement apprécié la qualité des réflexions engagées dans le cadre des précédents forums » et accorde «
avec plaisir» son Haut Patronage au 5ème Forum. Nicolas Sarkozy considère également que les thèmes du débat du 5ème FMDD « posent bien les enjeux de
sécurité et de stabilité mondiales ». "En conclusion je propose : N’ayons pas peur de l’incertitude! Adaptons-nous à l’imprévisible! Tout cela passent par le
plein emploi de la recherche!" a conclu Petre Roman dans un interview cette semaine pour InterviewFrancophone.
Photo de gauche à droite: Florin Paun, fondateur Club de Bucarest, Remus Pricopie, Secrétaire d'Etat dans le Ministère de l'Education en Roumanie, Petre
Roman ancien Premier Ministre de la Roumanie.
EUROPEAN HR FORUM
2007
"Europe needs to unlock its potential for innovation and creativity in the globalized
world." His Excellency Alexandre Vassalo, Ambassador of Portugal, who has
the presidency of European Union
"Today's forum is a milestone in the development of Romania's economic life. This
is the first HR European Forum to be held in this country. First, let me thank the
Club de Bucharest Think Tank, for the kind invitation to address you today. It is a
pleasure to be asked to talk about Romania's most important resource: its people."
Ambasadorul Donato Chiarini, Seful Delegatiei Comisiei Europene in Romania
"We are facing a very serious crisis in the human resources market in Romania. The
salaries are growing unpredictable and the multinationals are moving in other
countries. The quality of the human resources in Romania is suffering from the
reforms occurred some years ago in the education system. I am worried about the
future of Romania as this crisis of human ressources is expected in the near future if
no action is taken to improve the situation." Varujan Pambucian, President of the
IT Parlamentary Commission
"I am very disapointed about the quality of the students in Romania who are also
victims of the actual education system but also of doubtful models of professional
career. I hope that proposals from different experts and communities will be taken in
considerantion for increasing the quality of the human ressources in Romania" Petre
Roman, former Prime Minister of Romania.
"Je représente l'Ambassade de France en Roumanie. Notre message pour le Forum
Européen RH est clair. Nous sommes conscients des difficultés des entreprises en
Roumanie pour recruter et nous apprécions les initiatives qui essaient de trouver des
solutions à ces besoins des ressources humaines de qualité en Roumanie" Aurélien
Juliard, Mission économique de l’Ambassade de France en Roumanie
"Orange inseamna peste 2000 de angajati. Cultura organizationala a Orange este
speciala mai ales pentru ca este bazata pe un brand emotional si relational, care
serveste o nevoie umana esentiala - comunicarea. Intr-o astfel de cultura, deschiderea
catre valorile brandului este vitala si trebuie cautata incepand chiar cu procesele de
recrutare si selectie. Din pacate, in Romania nu exista legislatie care sa aduca
studentii in organizatii, asa cum se intampla in Franta, spre exemplu, unde tinerii
trebuie sa faca sase luni de practica pe an in companii, ceea ce inseamna ca, in
momentul absolvirii, au deja o experienta de lucru serioasa" Roxana Rotaru,
Director de resurse umane, ORANGE
« In numele Michelin Romania va multumesc pentru aceasta distinctie care ne
onoreaza si de care suntem foarte mandri. Grupul Michelin este angajat de mult imp
intr-un demers de dezvoltare durabila. O data cu aparitia sa, Michelin Romania si-a
asumat in mod natural acest demers, promovandu-l la nivelul Romaniei si al
comunitatilor romanesti. » Radu Mavrodin, Director de resurse umane, Michelin
« In Romania activitatea de resurse umane urmeaza tendintele mondiale din cel putin
3 considerente: In primul rand liderii marilor companii valorizeaza aceste activitati la
nivelul organizatiei pe care o conduc: directorii de resurse umane sunt asociati din ce
in ce mai frecvent la deciziile strategice, se investeste foarte mult in formarea si
dezvoltarea personala a oamenilor de resurse umane, in instrumente, aplicatii
informatice; In al doilea rand nivelul de expertiza al colegilor nostri a crescut
simtitor si aici ma refer atat la manageri, cat si la specialisti din diferitele domenii de
HR; In al treilea rand, valoarea de piata a celor care lucreaza in HR urca din ce in ce
mai sus, acestia facand parte, dealtfel, din categoria celor mai bine platiti oameni din
companii. Toate acestea, cat si dezvoltarea rapida a companiilor sanatoase, ca urmare
a boom-ului economic din Romania, fac ca recrutorii, trainerii, specialistii pe
dezvoltare HR, comp & ben, relatii sociale, administrare si salarizare sa devina
talente rare, dar foarte apreciate. » Florin Luca, Director Executiv Resurse
Umane, BRD SOCIETE GENERALE
“Am avut personal surprize placute cu angajatii mei. Fireste au existat greseli dar
greseala este omeneasca. Am avut si absolventi de politehnica si ingineri care au
cerut sa intre in prima linie acolo unde sa atinga avionul... Sunt mai mult decat
multumit Trebuie sa avem incredere in angajatii nostri si daca vrem sa construim
Europa putem incepe sa o construim de aici din tara.” Gheorghe Racaru, Director
General Blue-Air
Romanians to build Europe ! Europeans to build Romania !
“CLUB DE BUCAREST CELIDEA” AWARDS
Created in Paris in 2004
European RH Forum
30 of November –1st of December 2007
The awards recognize the efforts of both Romanians and Europeans in Europe
for a sustainable development of Romania, as active member of the European
Union
His Excellency, Alexandre Vassalo, Ambassador of Portugal
For his continuous support in helping create a better image of Romania in
Europe thanks to the success of European businesses in Romania and for his
achievements during Portugal’s successful six-month EU Presidency
Mr. Attila Korodi, Minister, Ministry of Sustainable Development
For his contribution to a better image of Romania in Europe thanks to the
recent efforts for a sustainable development of Romania as active member of
the European Union
Mr. Alexandru Gussi,
For the excellence of his carreer in Romania after his European studies and for
his excellente communication and contribution to a better Romanian image
abroad
Mr. Anton Anton
For his contribution to the development of the working conditions for
researchers in Romania an his role in the development of the innovation
strategy of Romania, as activ member of the European Union
Mr. Varujan Pambucian, President of the IT&C Parlamentary Comission
For promoting better work conditions for professionals in IT & Telecoms and
attracting greater attention toward the need for urgent reforms to assure a highlevel quality Romanian human resources system.
Mrs. Luminita Mihailov, Director, Agentia de Dezvoltare regionala SudEst
For her co-operative spirit in the human resources fields and particularly for her
work in the ARISE project, which promotes local human resources
development and the European collaboration
Mr. Ionel Muscalu, Presedinte ANOFM
For supporting companies in recruiting processes in Romania and promoting
better conditions for career development.
Mr. Viorel Lefter
For contribution as professor and expert in human resources to the education
of Romanian professionals
Mr. Florin Luca, DRH, BRD SOCIETE GENERALE
For his contribution to the development of professional human resources
strategies throughout Romania and maintaining a high standard of excellence
throughout his own career, a model for young Romanian professionals
Mr. Richard Moat, Orange, “Emotional Intelligence” Award
Through your support of interactive social, sporting and cultural initiatives,
including CSR, classical music and performance art – as well as multi-level
business initiatives.
Mr. GHEORGHE RACARU
For his role in developing a successful local airline with expanding destinations
that helps facilitate easier access for Romanian students to greater European
human resource education models
MICHELIN ROMANIA
For efforts to introduce into Romania the values of CSR and sustainable
development, strong elements of the overall HR strategy of the Michelin
Group.
Mrs. Alina Profiroiu and Mr. Marius Profiroiu
A model couple of Romanian professors who encourage excellence in
education of the Romanian students
Mrs. Alina Perrin, DRH L’Oreal
For her successful European career and standards of excellence and efforts to
facilitate the return of
Romanian professionals back home
Mr. ANTONI KUHNEN
For his contribution to the promotion of human resources development within
hospitality sector, a key element of Romania’s future tourism success
Mrs. Monica Tatoiu
For supporting greater opportunities for women professionals within the work
place in Romania
Mr. Mihail Volintiru, Amma Print SRL
For a successful career in a Romanian SME
SOROS FOUNDATION
For its contribution to the a better understanding of the specific human
resources needs for the development of the Romanian society
RESULTS EUROPEAN RH FORUM
Recomandarile "European HR Forum", Bucuresti, 1 Decembrie 2007
(organizat de CLUB DE BUCAREST CELIDEA – Celidea Consultanta SRL ) :
Necesitatea crearii unui cadrul legislativ si dezvoltarii unor leviere financiare pentru:
1. Recunoasterea si valorizarea STAGIILOR in intreprindere : STATUTUL STAGIARULUI in ROMANIA
- incitare fiscala pentru intreprinderi
- protectia stagiarului (responsabilitate sociala, medicala, etc)
- reglementarea statutului de "stagiar" prin conventia intre intreprindere si universitate dar si prin monitorizarea nivelul de cunostiinte implicate sau invatate pe
perioada stagiului
- recunoasterea experientei profesionale oferite de stagii prin echivalarea cu proiecte de diplome sau acordarea de note (prezentarea unui raport)
- formalitati simplificate pentru stagiari europeeni
2. Dezvoltarea proiectelor de FORMARE CONTINUA
- Crearea unei Agentii nationala de formare continua care ar functiona cu bugetul prelevat pentru formare si ar monitoriza si acorda bugetele necesare formarii
continue
- e.g. 1% din masa salariala poate fi externalizata catre cabinete specializate in formare sau institutii din invatamint superior (daca nu acest procent este ipozitat)
- Evaluarea actiunilor de formare continua cu un raport obligatoriu despre rezultatele obtinute in urma procesului de formare catre expertii Agentiei nationale de
formare continua
3. Dezvoltarea sistemului de Profesori Asociati prin atragerea specialistilor din mediul de afaceri si din diaspora
- simplificarea formalitatiilor si definirea unor criterii de selectie coerente (expertiza recunoscuta de mediul de afaceri, talent pedagogic, disponibilitate, costuri
de deplasare si remunerare, etc)
4. Cursuri de antrepreneuriat generalizate in invatamintul superior
- crearea unei culturi a rezultatului si a valorizarii efective a cunostiintelor dobindite (strategii si exemple)
- cuplarea cunostiintelor din tehnologie cu cele din economie si promovarea strategiilor de inovatie si transfer tehnologic
5. Prezenta comunitatii de afaceri in Consiliile de Administratie ale Universitatilor – noua lege a invatamintului
- crearea Advisory Board in fiecare Universitate pentru pregatirea tranzitiei prin cooptarea representantiilor comunitatii de afaceri si experti/profesori universitari
din strainatate (orientarea curriculei in acest sens)
- burse private
- statut al inventatorului si al expertului incluzind comisioane din contracte de cercetare si procente din redeventele incasate de universitati in urma transferelor
tehnologice
- folosirea resurselor publice pentru cercetarea fundamentala si a celor private pentru cea aplicata
- orientarea cercetarii si dezvoltarii in functie de nevoile existente in piata
- centre de transfer tehnoloic ; juristi, ingineri brevete, analisti marketing, negociatori...
6. Intoarcerea specialistilor romani din strainatate
- contractele pentru bursele studentesti in strainatate trebuie sa includa in plus de clauzele de retur in tara si mecanisme eficiente de identificare a posturilor
disponibile si de plasare a celor ce se intorc in posturi corespunzatoare calitatii educatiei si experieintei acestora
- Dezvoltarea unor programe concrete de integrare a romanilor cu studii superioare in strainatate care doresc sa se intoarca in Romania
- Crearea unui OFICIU UNIC DE INTEGRARE si ECHIVALARE a diplomelor si a anilor de munca in strainatate, capabil sa centralizeze informatiile si sa
puna la dispozitie consilieri
- sustinerea initiativelor de genul programului pentru intoarcerea cercetatorilor romani in tara
- integrarea economica eficienta a europenilor in stagii si locuri de munca in Romania (simplificarea formalitatilor de angajare, securitate sociala, mobilitatea
resurselor umane in spatiul european)
Contact : [email protected]
00 33 685432789
Interview Jan Sorensen, UN à Bucarest
14/04/2008
M. Sorensen, quelle est la contribution du PNUD au Développement Soutenable de la Roumanie ?
Mr. Sorensen : Le Développement Soutenable constitue le thème essential du programme du PNUD.Tenant
compte du réseau global de développement de l’ONU, le Sommet mondial de 1992 de Rio de Janeiro a assigne au
PNUD le rôle de base dans la formation des capacités des pays inclus dans le programme. Le Sommet de Rio a
plaide pour une manière intégrée de conduire l’économie et pour les dimensions sociales et d’environnement du
développement. L’Agenda 21 a été définie à Rio comme le plan détaille du développement soutenable
Depuis plus de trois décennies l’ONU et le PNUD ont assume le principal rôle, celui de dirigeant dans la promotion
du concept du développement soutenable en poussant vers des mesures concrètes au niveau local, national, régional
et global de sorte a construire des relations de longue durée, harmonieuses entre l’action humaine et le milieu
naturel, pour répondre aux besoins de la génération pressente, sans pour autant compromettre les possibilités des
générations prochaines de résoudre leurs propres besoins. Les deux Sommets Mondiaux (Rio de Janeiro, 1992 et
Johannesburg, 2002) ont été dévoues a ce sujet, tendis que la Déclaration de l’ONU du Millénaire, de l’an 2000 a
mentionne 8 buts a atteindre avant 2015.
Pouvez-vous mentionner quelques activités de PNUD qui ont une relevance directe pour le Développement du
Progrès Soutenable en Roumanie.
Au début de 1997 le PNUD a soutenu l’établissement du Centre National pour le Développement Soutenable,
opérant sous l’égide de l'Académie Roumaine. Le Centre a prouve être le mieux qualifie dans le procès de
préparation de la Première Stratégie Nationale de Développement Soutenable (projet en commun avec l’ONU) et
pour conduire une série de débats publics avec plusieurs partis indépendants (1997-1999), dont la version finale a
été endossée par le Gouvernement Roumain. Le PNUD a rendue possible la publication de Roumanie 2020, un
exercice compréhensif de pronostic ayant comme base les principes d’une économie soutenable et raisonnable.
Depuis 2000, le PNUD de Roumanie a implémente avec succès l’Agenda Locale 21, un programme dans plus de
quarante unités locales de différentes dimensions, a partir de petites villes jusqu’aux départements du pays. Tout un
utilisant une manière diversifiée s’adressant aux différentes dimensions du développement local, AL21:
- a établi un procès de participation a l’aide duquel les différents partis locaux sont associes dans la prise de
décisions pour planifier un développement soutenable de leurs communautés. Les autorités locales, les institutions
publiques locales, l’académie, le secteur privé, les associations, les ONGs, media et d’autres partis ont forme des
plateformes locales qui sont devenues des structures régulières dans le cadre du gouvernement local;
- a développe des réseaux locaux et des relations de collaboration en impliquant toutes les ressources locales
relevantes,
- a produit trois instruments majeurs ayant comme but de promouvoir le développement local: (i) une stratégie de
développement a terme moyen, (ii) un plan d’action pour la mise en pratique de la stratégie, et (iii) un portefeuille
de propositions de projets prioritaires;
Quel est le stade actuel de prise en compte des enjeux du développement durable en Roumanie ?
Mr. Sorensen : L’Agenda Locale 21 couvre maintenant plus de 40 unités de différents dimensions a partir de villes
jusqu’aux départements entiers. Le procès de préparation des stratégies de développement local et les plans d’action
mobilisent l’expertise locale et plus de 2000 personnes ont été impliquées dans les Comites de Direction Locale, les
Groupes de Travail et les Bureaux de l’AL21. Le procès de développement des plans locaux pour un
développement soutenable ont compris plus de 90 débats publics organises dans les respectives
localités/départements, assemblant plus de 10.000 participants. On a identifie plus de 1200 projets prioritaires
couvrant une variété de secteurs, y compris le développement de l’infrastructure, le développement social et
l’allégement de la pauvreté, la renaissance urbaine, la protection de l’environnement, la protection de l’héritage
historique etc.;
Comment a démarré la coopération entre PNUD et le Ministère de l’Environnement et du Développement
durable et comment s’organise et s’articule cette coopération ?
Mr. Sorensen : A la fin de l’an 2007, le Gouvernement Roumain a sollicite le support du PNUD pour revoir et
mettre au jour la Stratégie Nationale de Développement Soutenable en conformité avec les prévisions de la
Stratégie de l’Union Européenne.
Il este prévu de conclure l’entier procès de révision de la SNDS en Juin 2008, de sorte a soumettre, le mois
prochain, le document final a l’attention de la Commission Européenne. En conformité avec le dessin conceptuel, la
Stratégie établi des objectives de politique a terme moyen et a longue terme et identifie les mesures a prendre, ainsi
que les ressources réelles qui sont nécessaires pour implémenter ces objectives avec des buts spécifiques pour 2013,
2020 et 2030. Ayant comme cible l’an 2013 le brouillon va inclure les éléments pertinents des stratégies de secteur
et des programmes d’opération déjà convenus ou développent. Le but stratégique de la Roumanie pour l’an 2020
sera d’atteindre le niveau moyen de l’UE-27 de l’an 2007 pour ce qui est des indicateurs du développement
soutenable ; le but pour 2030 sera d’atteindre le niveau moyen de l’UE de la date respective.
En conformité avec le plan d’action convenu, les recommandations de l’UE et la pratique de l’UN, les versions
successives du brouillon de la SDS sont rédigées par un Groupe Interdisciplinaire et sont validées par le Conseil
Scientifique de l’Académie Roumaine de Sciences.
La structure planifiée de la SDS suit la SDS de l’UE, mise au jour en 2006 et contient en même temps des chapitres
distincts concernant les besoins spécifiques de la Roumanie de sorte a assurer la conformité avec les indicateurs
convenus de développement soutenable.
Interview Jan Sorensen, UN à Bucarest
14/04/2008
Quelle est votre opinion sur les capacités et la volonté des acteurs majeurs roumains pour le succes de
cette stratégie nationale de développement durable
Mr. Sorensen : La révision de la Stratégie Nationale de Développement Soutenable est une tache commune
du PNUD et du Ministère de l’Environnement et du Développement Soutenable. J’aimerais souligner en
particulier la manière constructive et l’engagement de si bon cœur du Ministre Attila Korodi et du Professeur
Ionel Haiduc, Président de l’Académie Roumaine, qui ont obtenu l’appui de l’élite des hommes de science
nationaux pour le développement de la Stratégie.
Quels sont les secteurs et les régions qui s’impliquent le plus ou qui sont concernés le plus par les
nouveaux dispositifs de la stratégie du développement durable ? Pouvez-vous nous donner des exemples
concrets ?
Mr. Sorensen : Tout comme déjà identifie dans la SNDS l’une des priorités nationales stratégiques a terme
court, moyen et long est le développement soutenable du tourisme, bénéficiant du fabuleux héritage naturel et
culturel de la Roumanie.
Le PNUD a aborde la promotion du développement du tourisme par l’entremise d’une série d’interventions
locales pilote, ayant pour but la réhabilitation de l’héritage culturel et la préservation des parcs naturels.
Du cote de la réhabilitation l’expérience du PNUD comprend plus de 10 ans en Roumanie. Nos projets les
plus importants, Magnifique Bucarest et Magnifique Roumanie, reconnaissent le rôle clef des cites comme
acteurs économiques et lieux de créativité qui peuvent promouvoir une meilleure image du pays. Permettezmoi de vous présenter quelques exemples éloquents :
-Entre 1998-2001 PNUD Roumanie a commence la phase pilote du Merveilleux Bucarest. Dans le cadre de
cette initiative pilote 6 façades ont été restorees et 3 rues ont re-pavées dans le centre historique de la ville.
En 2003, PNUD a lance le projet Magnifique Roumanie en coopération avec les autorités locales, Le
Ministère de la Culture et le Ministère du Travail, de la Solidarité Sociale et de la Famille. Ce projet a été
implémente avec succès dans 9 villes de la Roumanie (2003 - 2005: Alba- Iulia, Brasov, Braila, Medias et a
été suivi par cinq projets dans la période 2006 - 2008: Sighisoara, Sulina, Targoviste, Craiova, Campulung
Muscel) jusqu’a présent, par la rénovation de 2-3 espaces urbains et bâtiments dans chaque ville. Pendant les
travaux de réhabilitation et restauration PNUD a aide les personnes les plus désavantages de ces communautés
locales en en faisant disponibles des cours de formation et lieux de travail pour les jeunes vulnérables sortant
des centres de placement. Les endroits historiques négliges dans toutes ces cites étaient comme des bijoux
caches dans le centre des villes avec un grand potentiel de développement. A pressent ce potentiel est sousdéveloppé et la vitesse de transformation trop réduite. Une fois une transformation arrive a un certain stage le
monument va se soutenir lui-même, car ces régions vont devenir attractives pour plus d’investisseurs prives et
hommes d’affaires, qui seront intéresses de s’établir la, ouvrir des magasins, bars, restaurants, clubs, salles de
musique, théâtre et art.
Le projet a été le promoteur des traditions locales et de l’artisanat a Brasov et Alba Iulia, a établi d’importants
centres culturels a Craiova et Bistrita, a restaure des muses a Medias et Brasov. Du cote de l’environnement
PNUD a déployé depuis 2005 des projets de conservation de la biodiversité dans le Parc Naturel des
Montagnes de Macin, situe a une distance de 80 km du Delta du Danube et dans le Parc Naturel des
Montagnes de situe a la frontière avec l’Ukraine, dans les Carpates de l’Est. Dans les deux régions les
interventions du PNUD apportent beaucoup d’aide au développement de l’infrastructure de tourisme, y
compris la délimitation des routes touristiques, l’infrastructure d’hébergement et des conventions avec les
habitants locaux aussi bien que la mise au point des paquets touristiques attractifs. Par exemple, dans le Parc
des Montagnes de Macin les touristes peuvent bénéficier d’un paquet attractif qui inclut une croisière dans le
Delta du Danube et promenades a cheval dans le Parc, sur des routes touristiques spécifiques et dans le Parc
de Maramures l’attraction de base contient des randonnées et un voyage avec un petit train a vapeur, construit
pendant la Première guerre Mondiale.
L’intervention du PNUD dans le Parc Naturel de Macin a initie et conduit un modèle de pratiques écologiques
dans l’agriculture, autour du Parc, en réveillant la conscience, par formation et support effectif par la mise a
disposition de semences organiques certifiées pour les fermiers autour du Parc. La prise de conscience
concernant la vraie valeur des ressources naturelles peut contribuer d’une manière importante à obtenir des
fonds supplémentaires pour la conservation de la biodiversité et pour un développement soutenu à l’intérieur
et autour des zones protégées. Les interventions du PNUD en Maramures et dans le Parc de Macin aident,
pour la première fois en Roumanie, les études concernant l’évaluation économique et des services de
l’écosystème dans les zones protégées. Les résultats des études sont étonnants. Rien que dans le Parc Naturel
de Maramures, le total annuel des services des ressources naturelles évaluées arrive a environ 60 mil US$.
Ce ne sont que quelques exemples de la contribution importante du PNUD au progrès du développement
soutenable en Roumanie. Comment peu-on mieux étendre cette activité ? En répliquant les meilleures
pratiques au niveau national et en participant aux efforts de tous les partis relevants de sorte a atteindre un
développement économique et social a longue terme dans un milieux plus propre.
Quel est votre message pour les acteurs du développement durable en Roumanie et pour les roumains
en général ?
Mr. Sorensen : Le mot clef “ENSEMBLE” – Nous devons tous travailler ensemble pour donner plus de force
aux initiatives de développement soutenu qui vient de commencer, continuer les interventions qui ont donnée
bons résultants et répliquant avec efficacité les initiatives qui ont obtenu des résultats significatifs.
« On ne peut pas reconstruire la société
roumaine avant de reconstruire ses élites ! »
Interview avec l’Ambassadeur
Teodor Baconschi
24/01/2008
Interview avec l’Ambassadeur de France en Roumanie, M. Teodor Baconschi, en exclusivité pour le journal
INTERVIEW FRANCOPHONE
IF : Comment définissiez-vous la personnalité de l’Ambassadeur de la Roumanie en France ?
C’est délicat de chercher à me définir ainsi sans être ni trop sévère ni apologique.
Je pourrais me définir comme un européen « à l’ancienne » et un intellectuel roumain avec une activité éditoriale assez
soutenue. Je suis aussi un diplomate roumain qui a acquis les compétences nécessaires lors de sa mission comme
Ambassadeur au Vatican et à Lisbonne mais aussi comme secrétaire d’état au MAE. En revenant à Paris, je retrouve la
ville où j’ai fait mes études doctorales, j’ai publié mon premier livre et où ma fille, Irina, est née. Cette nouvelle mission
est un honneur pour moi et m’offre la chance de contribuer directement au développement des relations francoroumaines avec ingéniosité et efficacité.
IF : Une grande partie des professionnels roumains est partie de Roumanie à cause de la corruption ou du système de
promotion de carrière qui valorise les relations plutôt que la qualité. Dans un article apparu en avril 2007 et publié par le
journal Cotidianu, vous parliez de la nécessité de définir « le bon roumain » et de la responsabilité que chaque roumain a
de soutenir son pays. Quel rôle peut avoir le professionnel d’origine roumaine qui a choisit de vivre en France et qui n’a
pas oublié la Roumanie mais qui ressente plutôt le sentiment d’identité européenne?
Je crois être le premier Ambassadeur roumain à Paris qui a connu aussi les difficultés de la diaspora et qui a pris la
décision de retourner en Roumanie après avoir vécu la tentation justifiée de rester dans l’Hexagone. Vous pouvez être
sûre que je comprends mes compatriotes établis en France parce que je connais les raisons pour lesquelles ils ne sont pas
repartis, je comprends leurs frustrations humaines et professionnelles par rapport à la Roumanie et je vais chercher non
seulement à être un partenaire mais aussi à créer les liens nécessaires avec la Roumanie.
C’est évident que chaque cadre roumain en France œuvre comme vecteur essentiel de l’image de la Roumanie et comme
preuve de notre vocation européenne.
IF : Dans la période interbellique, l’Ambassade de la Roumanie en France jouait un rôle important pour réunir les cadres
roumains et français autour des idées et projets nouveaux, bénéfiques pour l’humanité dans des secteurs comme la
politique, l’aéronautique, etc. Quels projets avez –vous pour ouvrir de nouveau l’Ambassade aux professionnels,
intellectuels, étudiants roumains et français qui veulent s’impliquer dans des projets européens novateurs ?
Je suppose que vous faites référence à la Roumanie « normale » quand vous évoquez la période interbelique avant la
catastrophe communiste. Il faut réinventer cette Roumanie-là. J’ai beaucoup de projets concernant le rôle de
l’Ambassade dans la communauté roumaine en France. Je vais inclure dans le programme de l’Ambassade tout
événement capable de valoriser la présence qualifiée des cadres roumains en France et j’attends des suggestions de la
part des associations dans ce sens. De plus, nous allons restaurer la Salle de Théâtre du Palais de Behague qui va être un
espace privilégié de référence franco-roumain.
IF : L’image de la Roumanie en France s’améliore petit à petit et votre stratégie de communication ainsi que vos attitude
et vision sur les sujets d’actualité ont donné une dynamique positive à cette évolution. Quelle est votre opinion sur
l’immigration des roumains en France, souvent la cause d’une image négative de la Roumanie à l’étranger?
Je suis ravi que l’image de la Roumanie s’améliore avec l’intégration de la Roumanie à l’Union européenne mais aussi
grâce à des succès roumains dans différents domaines comme par exemple la récompense d’un film roumain à Cannes en
2007. Je considère malheureusement que la mauvaise image que nous avions était bien méritée. La Roumanie doit
changer véritablement et évoluer pour que notre stratégie d’image ne soit pas une suite des mensonges livrés à l’export
comme avant. Si nos partenaires français et plus généralement européens ont des informations datant d’il y a 5 ans, ce
n’est pas leur faute. Concernant l’immigration illégale, il s’agit d’une problématique qui demande des solutions
communautaires, une stricte coordination politique entre plusieurs partenaires. Chaque Etat membre a le droit de recevoir
de l’immigration de manière souveraine et en conformité avec les critères établis, compatibles avec les possibilités
d’intégration et de soutien financier. La France a signé des accords avec les différents pays membres et la Roumanie
aussi va prouver qu’elle peut agir de manière responsable face à un problème d’envergure paneuropéenne.
IF : Votre Excellence, quel est le message que vous voulez donner aux cadres roumains francophones expatriés ?
Si vous voulez rester à l’étranger, restez en même temps de bons roumains en utilisant aussi votre droit de vote. Si vous
souhaitez retourner en Roumanie, faites-le avec confiance dans le futur parce que le pays a besoin des compétences, des
réflexes démocratiques, des connaissances spécifiques, et surtout des expériences occidentales récentes. On ne peut pas
reconstruire la société roumaine avant de reconstruire ses élites.
“Au-delà du fait que ces cadres
ont une vocation naturelle à
contribuer au succès de
l’investissement français en
Roumanie, ce Congrès a la
vocation de maintenir la
qualité et la profondeur des
relations historiques entre la
Roumanie et la France.”
déclarait Patrick Gelin, PDG
de BRD Groupe Société
Générale,
partenaire
du
Congrès depuis 2004.
Interviu cu noul Ambasador al Romaniei la Paris, Domnul
Teodor Baconschi (versiune in romaneste publicata de Bucharest Business Week)
Interview Francophone : Domnule Ambasador, cum putem rezuma cel mai bine personalitatea Domnului Baconschi si viziunea cu care ati venit la Paris pentru
a intreprinde actiuni concrete in aceasta capitala europeana de care va leaga personal anii de studentie la Sorbona ?
Ambasador Teodor Baconschi: Mi se pare delicat să-mi caut o „definiŃie” care să nu fie nici prea severă, nici apologetică. M-aş caracteriza ca europen „de
modă veche” şi intelectual român cu o activitate editorială mai degrabă susŃinută. Sînt, pe de altă parte, un diplomat care a dobîndit abilităŃile necesare atît în
calitate de ambasador (la Vatican şi Lisabona), cît şi ca secretar de stat la MAE. Acum revin la Paris, în oraşul unde mi-am desăvîrşit studiile doctorale, unde am
publicat prima carte şi unde s-a născut fiica mea, Irina. Poate că e vorba despre un destin. Oricum, noua misiune mă onorează şi îmi oferă şansa de a contribui
direct la dezvoltarea relaŃiei româno-franceze. Sper să fac acest lucru în chip ingenios şi eficient.
Interview Francophone : O mare parte din profesionistii romani din Franta au plecat din tara din cauza coruptiei si sistemului de promovare injusta a nonvalorilor…Intr-un articol din aprilie 2007 in ziarul Cotidianul* vorbeati de necesitatea definirii « romanului bun » si de responsabilitatea pe care fiecare o are in
a sprijini Romania dincolo « de pretentia declarata de a-si iubi tara ».
In viziunea dumneavoastra, ce rol pot avea profesionistii romani din Franta care au ales sa traiasca in aceasta tara europeana pentru a putea valorizeaza
sentimentul de justete dar care au in ei deopotriva dorul de Romania si sentimentul de identitate europeana ?
Ambasador Teodor Baconschi: Cred că sînt primul ambasador la Paris care a cunoscut personal dificultăŃile diasporei şi care a luat decizia de a se întoarce
acasă după ce a trăit, la fel de personal, tentaŃia justificată de a „rămîne” în Hexagon. Din acest punct de vedere, puteŃi fi siguri că voi avea o totală deschidere
faŃă de toŃi compatrioŃii mei stabiliŃi aici. Ştiu din ce motive au hotărît să nu se întoarcă, înŃeleg perfect frustrările umane şi profesionale pe care le au în raport cu
România şi voi căuta să le fiu nu doar un partener, ci şi un mijlocitor devotat. Mi-e limpede că fiecare dintre cadrele româneşti din FranŃa lucrează ca vector
esenŃial de imagine şi ca dovadă „vie” a vocaŃiei noastre europene.
Interview Francophone : In perioade interbelica, ambasada Romaniei in Franta isi exercita din plin rolul de a reuni romanii si francezii in jurul unor idei noi
care sa dezvolte relatiile franco-romane in cadrul unor proiecte concrete care au sprijinit evolutia societatilor in diverse domenii cheie (politica, aeronautica, etc).
Ce proiecte aveti pentru ca Ambasada Romaniei in Franta sa devina un loc deschis tuturor profesionistilor romani (si nu doar unor grupuri sprijinite de relatii
personale) care vor sa se implice in dezvoltarea relatiilor franco-romane ?
Ambasador Teodor Baconschi: Presupun că atunci cînd evocaŃi „perioada interbelică”, vă referiŃi la România „normală”, de dinaintea catastrofei comuniste.
Trebuie să reinventăm acea Românie şi să o aducem, prin eforturi de solidaritate naŃională, în secolul XXI. Am multe proiecte legate de rolul firesc pe care
Ambasada noastră trebuie să-l asume în sînul comunităŃii româneşti. Guvernul de la Bucureşti a hotărît de curînd să finanŃeze restaurarea Sălii de Teatru din
Palais de Béhague. Cînd va fi gata, acest spaŃiu privilegiat trebuie să devină un loc româno-francez de referinŃă. Şantierul va dura, probabil, vreo doi ani. Dar şi
pînă atunci, voi pune în programul Ambasadei orice eveniment capabil să valorizeze prezenŃa calificată a românilor din FranŃa. Aştept în acest sens şi sugestii
din partea asociaŃiilor pe care le-aŃi înfiinŃat.
Interview Francohone : Imaginea Romaniei in Franta se amelioreaza lent gratie in special integrarii Romaniei in Uniunea europeana. Care este mesajul
dumneavoastra pentru francezii care inca mai privesc Romania din prisma stereotipurilor aparute in ultimii 10 ani si ce actiuni concrete considerati necesare
pentru a schimba aceasta imagine ?
Care este opinia dumneavoastra despre imigratia romanilor in Franta avind in vedere ca una dintre prioritatile Presedintelui Nicolas Sarkozy este sa gaseasca
solutii pentru controlul imigratiei in Franta ?
Ambasador Teodor Baconschi: Mă bucură faptul că imaginea noastră se ameliorează pe seama integrării în UE, dar şi pe fondul unor succese de talia trofeului
obŃinut la Cannes. În rest, am convingerea că imaginea proastă pe care am avut-o a fost una, din păcate, meritată. Trebuie ca lucrurile să evolueze obiectiv, în
România, pentru ca strategia noastră de imagine să fie mai mult decît o suită de „minciuni pioase”, livrate la „export”. Dacă francezii – sau oricare alŃi parteneri
din UE – au rămas cu informaŃiile despre evoluŃiile pozitive ale României la nivelul de acum 5 ani – nu e vina lor. În ce priveşte imigraŃia ilegală, şi aceasta e o
chestiune care pretinde soluŃii de tip comunitar, adică o strictă coordonare politică între mai mulŃi parteneri. E dreptul fiecărui stat membru să primească pe cine
vrea, după criterii stabilite în mod suveran, conform posibilităŃilor de asimilare şi susŃinere financiară de care dispune. FranŃa a încheiat Acorduri de readmisie
cu diferite state membre din „noul val”. Vom face şi noi acest demers bilateral, pentru a proba că putem gestiona responsabil o problemă de anvergură
paneuropeană.
Interview Francohone : Domnule Ambasador, sinteti Invitatul de Onoare al editiei a cincea a « Congres des cadres roumains en France », cea mai mare
adunare independenta a romanilor cu studii superioare din strainatate, organizat la Paris de catre profesionistii romani din Franta.
Care este mesajul dumneavoastra pentru romanii care vin in Franta sa-si completeze studiile superioare si doresc sa se intoarca in Romania pentru a-si dezvolta o
cariera profesionala europeana?
Cum pot ei sprijini imaginea Romaniei in Franta, relatiile franco-romane si chiar proiectele europene ?
Ambasador Teodor Baconschi: Vă mulŃumesc de pe acum pentru onoarea de a-mi încredinŃa un rol în viitorul „Congrès des cadres roumains en France”.
Mesajul meu pentru românii din FranŃa e unul de bun simŃ: sînteŃi oameni liberi. Dacă rămîneŃi în Hexagon, rămîneŃi şi buni români, inclusiv prin exercitarea
responsabilă a dreptului de vot. Dacă doriŃi să vă întoarceŃi acasă, faceŃi-o cu toată încrederea în viitor, pentru că Ńara are nevoie de competenŃă, de reflexe cu
adevărat democratice şi de specialişti cu experienŃe occidentale recente. Nu vom reconstrui societatea românească înainte de a-i reconstrui elitele.
« Cetateanul care se sterge la bot cu interesul national, insul care, prin atitudinea sa, contribuie la dizolvarea solidaritatii dintre noi, personajul care face tara
aceasta de rusine, individul care strica rinduiala civilizata si obiceiurile frumoase (atitea cite mai sint). ..Discrepanta fariseica dinstre felul in care ne decalram
iubirea de tara si felul in care ne purtam efectiv cu ea va persista cita vreme « bunii romani » vor umple pina la refuz guvernele, administratia, parlamentul,
ambasadele, partidele, sindicatele, ONG-urile, si desigur, bisericile » Teodor Baconski, « Otrava « bunului roman », Cotidianul, 7 aprilie 2007.
Evaluarea companiilor din Romania incepe acolo
unde se sfarseste cu risipa de energie!
Premiile “CLUB DE BUCAREST CELIDEA” pentru rolul in dezvoltarea unor proiecte pentru o eficacitate energetica si pentru
constientizarea importantei actiunilor pentru individuale si colective pentru o dezvoltare durabila (premii decernate in cadrul
FORUMULUI INTERNATIONAL pentru EFICACITATE ENERGETICA in Romania, 2007
Emile Malet - Forum Mondial du Développement Durable: www.fmdd.org, Petre Roman - Profesor, Universitatea Politehnica, fost
Prim Ministru, Corneliu Rotaru, Director, Romanian Agency for Energy Conservation, Sean Hillen, Editor of Bucharest Business Week
the only business magazine dedicating a special column to the Sustainable Development information, Ambasador Donato Chiarini,
Seful Delegatiei Comisiei Europene si PRO TV.
CLUB DE BUCAREST CELIDEA is the organizer also of the first European Congress for a Sustainable developpement of Romania, Paris 2008, aiming
to promote the succes stories and the efforts of Romania to support EU objectives concerning energy efficiency, environment protection and sustainable
economic growth.
Cum rezumati parcursul si experienta dumneavoastra si de ce ati acceptat postul de Ministru cu responsabilitati importante nu doar pentru Romania,
avand in vedere impactul mondial al politicilor de protectie a mediului?
Postul de ministru a venit ca o consecutie fireasca in cariera mea politica, intrucat, ca fost secretar de stat in cadrul acestui minister, pe problemele de
mediu si integrare europeana, am pastrat o linie de continuitate cu politicile si proiectele pe care le-am dezvoltat in decursul ultimilor doi ani. Am si o experienta
relevanta in sectorul privat, unde am avut, timp de cinci ani, importante atributii manageriale si de consiliere, inclusiv in ce priveste participatiunile statului
ungar in Romania, intr-o experienta bilaterala foarte importanta.
Functia de ministru pe care o detin acum vine, prin urmare, sa completeze un traseu care acopera intregul camp al interesului public, dar si al
partenerilor sociali din domeniul privat, in plan intern si international, interese racordate la obiectivele de protectie a mediului si dezvoltare durabila. Am fost
implicat puternic in momentele cheie care au decis aderarea Romaniei la Uniunea Europeana si in aplicarea acquisului comunitar de mediu, astfel incat cunosc
in detaliu fiecare dintre zonele de impact pe care le implica acest domeniu atat de provocator.
Care sunt principiile care v-au coordonat in viata profesionala?
Transparenta, interdisciplinaritate, incredere si un management profesionist si modern. Si multa comunicare cu toti partenerii
Ca ministru al mediului, am mizat pe o crestere a transparentei in activitatea noastra, si am insistat pentru descentralizarea si responsabilizarea
deciziei la nivelul directiilor din minister, dar si al institutiilor din subordinea sau coordonarea noastra.
Apoi, vorbind de politicile destinate dezvoltarii durabile, am intarit mult coperarea cu societatea civila. Am „in spate” o foarte buna relatie de
colaborare cu ONG-urile, dar, pentru ca deciziile noastre sa fie intemeiate si in baza unor studii foarte serioase, acord o mare atentie si relatiei cu mediul
universitar si cu institutele de cercetare. Deciziile si politicile pe care le adoptam sunt astfel fundamentate, avand la baza si aceste studii si proiecte de cercetare.
Cum sprijina Romania obiectivele europene pentru dezvoltare durabila? Care sunt programele concrete si eventuale “success stories”?
Strategia revizuita de dezvoltare durabila a Uniunii Europene reclama o noua abordare a modului de elaborare a politicilor in toate domeniile, pentru
a creste coeziunea intre obiectivele politicilor economice, sociale si de mediu ale UE.
Romania a luat intotdeauna atitudine, atat in perioada de aderare la Uniunea Europeana cat și dupa 2007, cand Romania a devenit stat membru al
Uniunii Europene.
In sensul principiilor dezvoltarii durabile, Romania a avut o serie de programe și proiecte de succes, finanțate prin diversele structuri și instrumente
financiare ale Uniunii Europene, ce au avut drept scop imbunatațirea factorilor de mediu și reducerea emisiilor, reducerea saraciei in zonele rurale, crearea unui
spațiu socio-economic competitiv, conservarea capitalului natural. Cateva exemple in aceasta directie ar fi: proiectul de tip Joint Implementation “Rumegus
2000” (in cadrul Protocolui Kyoto), proiectul “Controlul Poluarii in Agricultura” finantat de GEF, programul de management pentru Biosfera Delta Dunarii si
programul de dezvoltare rurala ale Bancii Mondiale, proiectul PNUD de creare a Centrului National de Dezvoltare Durabila, implementarea “Agendei Locale
21” in Romania si multe proiecte derulate de catre societatea civila si mediul de afaceri.
”Agenda Locala 21”, de exemplu, este un program care permite administrațiilor locale sa defineasca dezvoltarea durabila pe termen mediu și lung, sa
preia scopurile generale ale Agendei 21 și sa le transpuna in planuri si actiuni concrete pentru o anumita localitate.
Succesul programului este asigurat de
avantajele pe care acesta le dezvolta, și anume: dezvoltare descentralizata, promovarea proiectelor cheie pentru zona locala respectiva, asigurarea cadrului pentru
finanțarea proiectelor de infrastructura, promovarea parteneriatului public – privat, implicarea tuturor actorilor locali. Pana in prezent, peste 40 de orase si
municipii au trecut prin acest proces.
Poate ca legat de eventuale povesti de succes, este inca devreme sa ne pronuntam, succesul actiunilor noastre, ale administratiei, depinde in foarte
mare masura de implicarea populatiei si a mediului economic. Un exemplu in acest sens sunt campaniile MMDD in domeniul schimbarilor climatice, al
managementului deseurilor si al deciziei de mediu, toate reprezentand subiecte de actualitate si de interes major pentru populatia Romaniei. MMDD a preferat
pentru aceasta campanie un mesaj agresiv, usor amenintator, legat de gravitatea situatiei mediului in Romania si de faptul ca populatia si marii operatori
economici sunt principalii responsabili pentru aceasta situatie. Spoturile acestei campanii sunt intens difuzate pe 11 posturi de televiziune si pe 7 posturi de radio
si speram ca populatia sa constientizeze atat gravitatea situatiei, cat mai ales importanta actiunilor individuale, a sustinerii eforturilor noastre pentru protectia
mediului. De altfel, semnalele pe care le avem din partea publicului, dar si a mass-media, dupa doua saptamani de la lansarea „pe sticla” a acestor campanii, sunt
foarte incurajatoare.
Si campania de colectare a deseurilor de echipamente electrice si electronice s-a bucurat de un mare ecou public. „Ziua Debarasarii Nationale”, cum
am numit noi aceasta actiune, a permis autoritatilor locale sa colecteze intr-o singura zi – 3 noiembrie - intreaga cantitate de deseuri de acest tip, colectata in tot
anul 2006!
Revenind: o strategie nationala de dezvoltare durabila va fi elaborata in urmatorii doi ani, sub coordonarea Ministerului Mediului. Eforturile
ministerului in aceasta directie nu sunt insa de data recenta si nu asteapta elaborarea unui document; situatia mediului in Romania este ingrijoratoare si reclama
actiuni imediate. Banii europeni (instrumentele structurale) rezolva doar o parte din aceste probleme, dar implicarea mediului economic, a societatii civile si a
populatiei este esentiala pentru depasirea problemelor de mediu.
Care este viziunea dumneavoastra personala despre rolul Romaniei in
promovarea criteriilor de dezvoltare durabila in Europa de Sud-est?
Romania, avand in vedere atat amplasarea geografica, cat si suprafata
ocupata si nivelul populatiei, poate avea un rol major la nivel regional,
impunandu-se ca model de bune practici in sud-estul Europei.
Romania, ca stat membru al Uniunii Europene, are misiunea de a fi
promotorul valorilor europene la nivel regional, prin constientizarea problematicii
dezvoltarii durabile ca un concept integrator al aspectelor economice, sociale si de
mediu (ecologice), luand in considerare si dimensiunea intergenerationala.
As sublinia mai ales rolul pe care Romania ar trebui sa-l detina, prin
implicarea activa in regiunea Marii Negre, care se confrunta cu probleme ce
afecteza nu numai mediul.
In cadrul grupurilor de lucru la nivel european pe diferite aspecte
legate de dezvoltarea durabila, reprezentantii MMDD participa activ, incercand sa
preia din bunele practici ale statelor cu experienta. Mentionam astfel realizarea
unei campanii pe tema achizitiilor publice ecologice, precum si traducerea
manualului pentru achizitii publice ecologice in sprijinul autoritatilor publice care
doresc sa cumpere bunuri si servicii cu impact scazut asupra mediului, care,
asadar „dau tonul” pentru mediul privat si pentru populatie.
Imediat dupa traducere, manualul a fost transmis tuturor ministrilor,
primarilor din municipiile resedinta de judet, precum si tuturor prefectilor. Au fost
transmise, in format electronic 115 Manuale de Achizitii Publice Verzi (42 de
Manuale catre prefecti, 42 catre primariile resedinta de judet, 1 Primariei
Capitalei, 6 primariilor de sector, 1 Manual Presedintelui Camerei Deputatilor,
restul catre ministere si consilii judetene). Speram sa le fie util si sa-i convinga de
necesitatea achizitionarii de produse ecologice, demonstrandu-si astfel
disponibilitatea de a „inverzi” Romania.
Chiar institutia Ministerului Mediului si Dezvoltarii Durabile da un
exemplu de buna practica si sa dea tonul cumparaturilor verzi. Astfel:
•
Am achizitionat circa 3000 de topuri de hartie etichetata ecologic
•
Anul acesta am lansat o licitatie publica in vederea achizitionarii de
calculatoare cu consum scazut de energie. Vrem sa achizitionam circa
100 de astfel de calculatoare.
•
Intentionam de asemenea ca in timp, pe masura ce becurile din
minister se vor arde, sa le inlocuim cu cele cu consum de energie
scazut. Vom achizitiona becuri care sa aiba o durata mai lunga de viata
decat cele obisnuite si care sa ne ajute in acelasi timp sa reducem
facturile ministerului la lumina. In birouri trebuie instalate sisteme
automate care asigura stingerea luminii in momentul parasirii camerei.
In cazul in care acestea nu exista (si ele deocamdata nu exista in
minister!) trebuie sa fie informatii usor accesibile care sa reaminteasca
fiecarui coleg sa stinga lumina in momentul parasirii biroului. Asta am
si facut deja! Fiecare intrerupator din minister are deasupra lui lipit un
mic afis cu rugamintea de a folosi lumina doar atunci cand este cazul.
•
Ne dorim in acelasi timp sa nu irosim in minister nicio picatura de apa,
sa o folosim cu chipzuinta, iar in acest sens exista tehnologii care
impiedica risipa de apa. Pana le vom achizitiona ne limitam la masuri
mai mult sau mai putin performante. Am lipit afise in toaletele
ministerului, care recomanda economisirea resurselor de apa.
Tehnologiile noi, pe care speram sa le putem achizitiona in viitor
prevad ca debitul mediu in cazul tuturor robinetelor sa nu depaseasca 8
l/min.
•
Si pe partea de deseuri am luat masuri. Fiecare birou din minister este
dotat cu un sac pentru colectarea hartiei.
Am insistat asupra unor exemple practice, pentru ca eu cred ca, dincolo de
strategii de „lideri regionali”, exemplul practic este cel care conteaza foarte mult.
Ce oportunitati de afaceri exista in contextul protectiei mediului si ce criterii
de selectie a partenerilor aplicati?
In primul rand, vor exista numeroase oportunitati de afaceri in perioada
2007-2013 legate de protectia si imbunatatirea calitatii mediului si a standardelor
de viata in Romania, urmarindu-se conformarea cu prevederile acquis-ului de
mediu, prin propunerile de proiecte in cadrul Programului Operational Sectorial
pentru Infrastructura de Mediu (POS Mediu).
Recent, Ministerul Mediului a lansat etapa de preselectie a proiectelor
din cadrul
Axei Prioritare 3 a POS Mediu, Alocarea financiara prevazuta pentu aceasta axa
prioritara este de aproximativ 460 milioane Euro. Aceasta axa vizeaza
“Reducerea poluarii si diminuarea efectelor schimbarilor climatice prin
restructurarea si reabilitarea sistemelor de incalzire urbana in localitatile cele
mai afectate de poluare”, fiind, iata, orientata spre una dintre tintele cheie
cuprinsa in obiectivele legate de dezvoltarea durabila.
De asemenea, firmele isi pot asigura un avantaj competitiv
prin crearea si promovarea pe piata a produselor ”prietenoase” fata de
mediu, implementarea unor proiecte de reciclare, folosirea eficienta a
resurselor care determina reducerea costurilor de productie, implicarea
in societate prin proiecte de responsabilitate sociala, investitii in
tehnologii curate, energii regenerabile etc. Toate acestea sunt elemente
importante care vor fi luate in considerare din ce in ce mai mult in
dezvoltarea viitoare a pietei achizitiilor (publice) verzi si care pot sa
contribuie inclusiv la dezvoltarea unui capital de imagine in randul
potentialilor clienti.
O alta oportunitate de afaceri este reprezentata de ecoetichetarea produselor, ceea ce confera avantaj competitiv atat pe piata
interna - e adevarat, inca nu foarte selectiva - dar mai ales pe piata
europeana, unde aceasta eticheta este recunoscuta si foarte cautata, ea
reprezentand garantia unui produs care nu este nociv pentru sanatatea
umana si la a carui realizare s-au utilizat tehnologii curate, cu consum
redus de resurse si cu nivel scazut de emisii nocive.
De asemenea, ministerul nostru analizeaza posibilitatea
aplicarii la nivelul Romaniei a conceptului de simbioza industriala.
Acest concept este relativ nou si se refera la transferul de deseuri sau
produsi secundari rezultati dintr-o activitate industriala intr-un alt flux
de productie, asadar valorificand deseuri care in mod normal ar fi
depozitate sau gasind solutii pentru ca anumiti produsi secundari sa
devina materii prime in alt flux de productie. Exista deja doua astfel
de exemple foarte interesante, in domeniul deseurilor, cu capacitati de
productie din fire si fibre din plastic de PET-uri, reciclat, existente la
Iasi si la Buzau, si cu o capacitate de reciclare a ambalajelor de
aluminiu (de genul cutiilor de bere) recent deschisa la Constanta. Cheia
dezvoltarii durabile este, in opinia mea, si valorificarea oportunitatilor
de – sa-i spunem asa - business ecologic.
Un instrument economic relevant aflat in vigoare in
prezent pentru protectia mediului din Romania, la care firmele pot
apela este Fondul de Mediu. Creat in 1995 prin Ordonanta de Urgenta
a Guvernului nr. 196 si imbunatatit prin Legea 105/2006, fondul este
un instrument economic si financiar destinat sprijinirii implementarii
proiectelor de mediu prioritare. Un alt exemplu ar fi introducerea in
Romania a sistemului de certificate verzi incepand cu anul 2006,
certificate care promoveaza producerea energiei din surse regenerabile.
Ce sfaturi ati dori sa dati tinerilor romani si europeni pentru a-i
incuraja intr-o dezvoltare durabila?
In primul rand i-as sfatui sa integreze in partea de pregatire
profesionala considerente de mediu si sociale, prin optiunile oferite de
sistemul educational cat si complementar prin cursuri speciale,
participari la conferinte, voluntariat in organizatii non-guvernamentale,
informare din mass-media sau resurse online. In felul acesta vor fi
pregatiti pentru o piata viitoare a fortei de munca ce va trebui sa
raspunda din ce in ce mai mult diferitelor aspecte si obiective pentru
dezvoltare durabila. Iar cand isi aleg locul de munca sa o faca
responsabil si sa fie atenti si la practicile de protectia mediului si
sociala ale organizatiei respective.
In al doilea rand i-as incuraja sa puna in practica lucruri
simple, de zi cu zi, care fac diferenta in felul in care ne dezvoltam: sa
foloseasca bicicleta cat mai mult si mijloacele de transport in comun,
sa nu lase aparate electronice in priza sau stand-by cand nu sunt
folosite, sa stinga becul la iesirea dintr-o incapere, sa recicleze, sa
reduca consumul, mai ales de ambalaje, sa manance natural, sanatos si
din productia locala, sa protejeze natura atunci cand calatoresc, sa nu
risipeasca apa, sa planteze un copac in fiecare an etc...
Prietenii mei si chiar publicul stiu ca, din punctul meu de
vedere, acestea nu sunt doar vorbe, pentru ca sunt unul promotorii si
practicantii acestor idei: eu circul cu bicicleta constant, inclusiv,
uneori, de la locuinta de resedinta pana la minister si inapoi. Chiar si la
una dintre intalnirile cu presedintele Traian Basescu m-am deplasat tot
cu bicicleta...
Tinerii de azi fac parte din generatia care va beneficia cel
mai mult de acum incolo de resursele planetei si felul in care ne purtam
cu ea este si felul in care aceasta ne va raspunde.
Ingrid Vaileanu Paun , rubrica Dezvoltare Durabila a Bucharest
Business Week
Articles in the FIRST COLUMN in a business
magazine in Romania dedicated to
SUSTAINABLE DEVELOPPEMENT issues
Le lancement officiel du premier journal sur internet dédié en exclusivité aux cadres
roumains bi-culturels - INTERVIEW FRANCOPHONE- à été organisé au CAPE à
Paris en collaboration avec l’Association de la Presse etrangère, dans le cadre de la
première conférence de presse internationale dédiée à « ces roumains qui font la
France ».
Cette conférence de presse a permit aux journalistes et à l'opinion publique de
découvrir les cadres roumains qui «font la France», comme le disait dans son
discours en roumain, Philippe Etienne, ancien Ambassadeur de France en Roumanie,
et actuel Directeur Général des relations internationales et développement dans le
cadre du Ministère des Affaires Etrangères.
« Il me revient l’honneur de vous transmettre au nom de Son Excellence, Monsieur
Traian Basescu, Président de la Roumanie, un salut cordial aux participants à la
Conférence « Ces roumains qui font la France ». qui est un temoignage de notre
volonté commune de nous retrouver dans l’espace de l’Europe unie, en partageant les
memes valeurs et les memems aspirations. » a précisé Bogdan Chiritoiu, consilier
du Président de la Roumanie dans un message officiel le 11 septembre.
« Je suis certain que les efforts qui ont accompagné l’orgnaisation de cette
conférence aboutiront à informer correctement le public francais sur les réalités
roumaines et à approfondir les modalités concrètes de développement économique et
social » a ajouté Chiritoiu.
Dans le contexte des débats sur l’immigration en Europe et dans la perspective de
l’intégration de la Roumanie à l’Union européenne en 2007 et l’organisation du
Sommet de la Francophonie à Bucarest le 28 et 29 septembre, le journal « Interview
Francophone » va réussir à donner une image réelle sur les qualités et les exploits des
cadres roumains qui vivent en Europe et dans le monde entier.
« Les Roumains en France jouent un rôle de trait d'union et favorisent la
compréhension entre les cadres de nationalités différentes. Ils sont à même de définir
les opportunités de rapprochement politique ou économique dans ce pays. La
francophonie est pour la Roumanie un atout décisif » a déclaré Pierre Moscovici, le
rapporteur spécial du parlement européen, pour la Roumanie.
“En raison de particularités historiques, il est important pour les jeunes roumains de
France de passer par des institutions éducatives à fort pouvoir intégrateur, puis, à
terme, de nouer des réseaux sociaux denses. C'est sans doute l'une des clés de leur
adaptation en France.L'un des problèmes clés pour l'adhésion de la Roumanie à
l'Union européenne est celui de l'image. Pour de nombreux français, Roumanie rime
avec bas salaires, corruption et compétition inéquitable. A nous de savoir corriger
cette perception» a ajouté Moscovici en exclusivité pour Interview Francophone.
Cette conférence de presse a été l'occasion du lancement officiel du premier « Salon
de recrutement bi-culturel» prévu, en février 2007, à Paris, en continuation du
Congrès annuel des cadres roumains en France qui depuis trois ans est le plus grand
rassemblement annuel indépendant des cadres roumains en France.
“Il faut développer ce projet indépendant à Paris pour pouvoir répondre chaque
année aux besoins differents des cadres roumains à l’intérnational et des leaders
d’affaires qui veulent les recruter. En gardant ce but pragmatique du Congrès, on
réussit à changer aussi l’image des roumains en Europe grace aux témoignages des
leaders d’affaires francais qui participent de plus en plus chaque année” a ajouté
Florin Paun, l’innitiateur du Congrès après avoir remercié tous les partenaires de ce
projet indépendant et surtout à Patrick Gelin, Christian Esteve et Jean Francois
Boucher.
« Je tiens à vous féliciter pour l’organisation de ce Congrès car il
me paraît important de renforcer l’image de la Roumanie en
France qui n’a été que trop dégradée dans la presse. » M. Nicolas
Sarkozy, Ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du
Territoire.
Des leaders d’affaires et politiques ainsi que des représentants de
l’Organisation Internationale de la Francophonie ont participé au
lancement officiel du journal "Interview Francophone" à Paris
auprès des journalistes et cadres roumains invités.
« Mon expérience roumaine de 4 années passées à Bucarest pour
promouvoir la francophonie universitaire en qualité de Directeur
Régional de l’Agence Universitaire pour la Francophonie m’a
ouvert les yeux sur la qualité des étudiants roumains. J’ai passé
quatre années à voir une société se développer, à entendre des
messages minables sur la Roumanie a travers les medias français
qui donnaient une image qui n’était pas celle que nous
observions sur place. » a déclaré Roger Manière, sous-directeur
de la coopération universitaire au Ministère des affaires
étrangères.
« Il y a 5000 étudiants roumains qui peuplent les écoles et les
universités françaises chaque année et qui font le délice et le
bonheur des écoles et laboratoires français. Ils sont, malgré la
désorganisation du système d’éducation roumain et de manque
des moyens, magnifiquement formés. Les étudiants roumains
viennent de toute la Roumanie (Cluj, Timisoara, Brasov, Iasi) et
terminent leurs études en France souvent en tete de liste. C’est ça
l’image de la Roumanie en France! Mais la question est de savoir
ce qu’ils vont faire suite à leur formation en France, quelle image
de la France vont retenir et quels ambassadeurs de leur pays vont
être parce que ce sont eux aussi qui participent à la construction
de l’Europe. » a ajouté Roger Manière lors de la conférence de
presse de lancement du journal "Interview Francophone".
Le lancement officiel a été l’occasion unique de remercier à Ilie
Nastase, Président de la Fédération Natioanle de Tennis pour son
role dans l’amélioration de l’image de la Roumanie en France. Le
Congres des cadres roumains en France lui ont attribué le prix
pour le plus connu et apprécié roumain contémporain en France.
« Vous etes tous les meilleurs ambassadeurs de la Roumanie à
l’etranger et j’ai confiance que chacun d’entre vous pourra aider
à l’amélioration de l’image de la Roumanie à l’intérnational, si
vous faite bien votre métier. La balle est dans votre camps ! »
avait encouragé Ilie Nastase les cadres roumains lors du premier
Congres à la maison de l’UNESCO en 2004.
« Ce que vous faites est extraordinaire et je vous encourage de
continuer vos projets de reunir les roumains à l’etranger pour
soutenir les objectifs de la Roumanie, future membre de l’Union
européenne. » a déclaré Ilie Nastase présent au lancement officiel
à Paris du journal “Interview Francophone ».
CLUB DE BUCAREST
C E
L I
D E A
Think Tank CELIDEA
Club de Bucarest CELIDEA est l’organisateur du plus grand Congrès annuel indépendant des cadres roumains à
l’international organisé à Paris depuis 5 ans et l’éditeur du journal internet MulticulturalInterview (avec sa section en
français InterviewFrancophone). Avec un réseau de bénéficiaires de plus de 30 000 cadres roumains dans le monde et
leaders d’affaires et politiques européens, Club de Bucarest CELIDEA est un conseiller et un soutien des projets européens
et réussit à promouvoir aussi les idées et les solutions européennes des jeunes cadres de l’Europe Centrale et Orientale et de
l’Europe de Sud-Est. Parmi les projets innovants du Club de Bucarest CELIDEA c’est la proposition (dans le domaine des
ressources humaines en Europe) de remplacer le « CV anonyme » par le « CV Multiculturel » qui met en valeur la
multiculturalité des candidats, une vrai valeur ajoutée dans le contexte de la mondialisation, au lieu de cacher ces véritables
atouts.
Pour devenir bénéficiaire des projets du CLUB DE BUCAREST CELIDEA il suffit de participer activement à ces
événements ou de se faire recommandés par des bénéficiaires de notre réseau indépendant qui ne demande aucun cotisation
mais trouve sa valeur dans la dynamique du réseau qui ne cesse d’augmenter et évoluer en fonction des projets.
Florin Paun (gauche)
le fondateur du Club de
Bucarest Celidea et du
Congrès des cadres
roumains en Europe,
lors de la Conférence
de Presse Paris, 2006
en présence d’Ilie
Nastase (droite)
Traian Basescu, Président de la Roumanie.
«Je voudrais transmettre mon salut cordial
aux organisateurs ainsi qu’aux participants
au Congrès des cadres et des étudiants
franco-roumains. Devenu déjà une tradition
puisqu’il se trouve à sa cinquième édition,
ce congrès a le rôle de mettre ensemble des
gens compétents ainsi que ceux qui savent
mettre en valeur ces compétences. Ce gendre
de manifestation est représentatif pour un
nouveau type de relation de la Roumanie et
des Roumains par rapport à la France, une
relation où se retrouvent la tradition d’un
échange culturel centenaire déjà ainsi que le
pragmatisme spécifique pour la participation
à un marché commun."
Dominique Strauss Kahn
« C’est bien de dire que les français ont des
affinités particulières avec la Roumanie mais
il faut que cela se traduise en quelque
chose. Et ce « quelque chose » n’est pas
suffisant dans le domaine de la recherche, de
la coopération administrative et même dans le
domaine de la coopération politique. Vous,
les cadres roumains en France, vous avez un
rôle très important à jouer. »
Henri Revol, Sénateur
«Pour les cadres roumains en France, mon vœu
est qu’ils aident à faire connaître leur pays
aux français. Pour les cadres roumains en
Roumanie, mon souhait est qu’ils aident au
développement de la Roumanie en prenant
modèle sur les bons exemples français et en
se fondant sur les mauvais exemples afin
d’éviter à la Roumanie de les imiter : par
exemple de développement des villes, de la
grande distribution qui en France a favorisé
l’exode rural et réduit à néant notre vie
rurale. Le Congrès des cadres roumains en
France est déjà un succès.»
Florin Paun (gauche) Petre Roman (droite)
et les invités du
European RH FORM,
1 dec. 2007 , Bucharest
Nicolas Sarkozy, Président de la
République
« J'ai bien récu votre invitation à
participer, en tant qu'invité d'honneur,
au Congrès des cadres roumains organisé
le 10 février prochain avec la
collaboration du groupe d'amitié FranceRoumanie du Sénat et je vous en remercie
vivement ... Je tiens à vous féliciter
pour l'organisation de ce Congrès car il
me parait important de renforcer l'image
de la Roumanie en France qui n'a été que
trop dégradée dans la presse. Cette
manifestation est aussi et surtout
l'occasion d'une rencontre entre
industriels français et roumains afin de
mettre en commun nos forces de
production et pour réaliser des
investissements croisés entre nos deux
pays. Je saisis également cette
opportunité pour réaffirmer ma volonté
d’œuvrer au renforcement des relations
d’amitié et de coopération entre nos
deux pays."
Ambassadeur Donato Chiarini, Chef de la
Délégation de la Commission Européenne
en Roumanie
"Today's forum is a milestone in the
development of Romania's economic life.
This is the first HR European Forum to
be held in this country. First, let me
thank the Club de Bucharest Think Tank,
for the kind invitation to address you
today. It is a pleasure to be asked to
talk about Romania's most important
resource: its people."
Calin Popescu Tariceanu,
Premier ministre de la
Roumanie
«Nous sommes conscients que
l’image de la Roumanie ne se
construit pas seulement à
Bucarest, mais partout dans le
monde où vivent les Roumains.
Beaucoup des jeunes sont
partis à l’étranger pour
construire leur futur là-bas.
Nous espérons bien sûr qu’ils
reviendront en Roumanie
prochainement. Mais avant ce
moment, nous souhaitons leur
accorder notre support pour
les projets qu’ils initient
pour la promotion de la
Roumanie à l’étranger.»
Son Excellence l’Ambassadeur de
Roumanie en France,
M. Teodor Baconschi
« Je tiens à féliciter les organisateurs de ce
Congrès unique à Paris et je suis très heureux
que l’Ambassade aie soutenu ce projet en
2008. D’ailleurs j’admire les activités du
« Club de Bucarest Celidea » qui réussit à
réunir des personnes des différents domaines
autour des sujets d’intérêt commun. »
Pierre Moscovici
Tout d'abord je voudrais vous exprimer tout
mon regret de ne pas pouvoir participer
directement à cette réunion du Club de
Bucarest, dont j'avais déjà eu l'occasion à
plusieurs reprises de saluer la création comme
une initiative non seulement riche mais
nécessaire. En tant que rapporteur du
Parlement européen sur le degré de
préparation à l'Union européenne de la
Roumanie, je me suis toujours exprimé
favorablement vis-à-vis de la Roumanie. J'ai
eu alors l'occasion de travailler avec des
cadres roumains et cette collaboration a été
bien plus que fructueuse. “
Leonard Orban, Commissaire
Européen, responsable du
Multilinguisme
"Je vous félicite pour
l'organisation du Congrès des
cadres roumains. Cette action
est un bon exemple qui prouve
que les professionnels
roumains ont franchi les
barrières linguistiques ou
culturelles et ont réussi à
imposer leur valeur dans les
pays de l'Union Européenne ou
d'autres pays. En même temps,
l'organisation de cet
événement montre que les
Roumains qui travaillent à
l'étranger trouvent des idées
et initiatives à réaliser,
importants
pour
le pays.
Je
Ingrid
Vaileanu,
Directrice
vous CLUB
félicite
chaleureusement
DE BUCAREST
CELIDEA
[email protected]
Ingrid.Vaileanu/@centreurope.org
00 33 685432789
www.MulticulturalInterview.c
om
www.InterviewFrancophone.com
www.stagii.com
André SANTINI, Député-Maire d’Issy-lesMoulineaux
« La ville d'Issy-les- Moulineaux est
heureuse et fière d’accueillir la
Maison de l’Unesco,
2004
Issy-les-Moulineaux
2005 et 2007
Palais de
Luxembourg,
2006
Paris
, Janvier 2009, Gustave Eiffel Hall, 1st floor of
EIFFEL TOUR
EUROPEAN
CONGRESS
for a
Sustainable Development of Romania
GUESTS OF HONOR of the European INDEPENDENT Congress in Paris
In 2004 - Maison de l’Unesco à Paris
Dominique Strauss Kahn, actual Director of International Monetary Fund
In 2005 - Palais des Congrès à Issy les Moulineaux
André Santini, former Minister and President, Global Cities Dialog and Prime-Minister Calin Popescu Tariceanu
In 2006 - Palais de Luxembourg à Paris
Henri Revol, Sénator and Cristian Preda, Agence pour la francophonie
2007 - Palais des Congrès à Issy les Moulineaux :
Nicolas Sarkozy and the Member of the Romanian Accademy, Basarab Nicolescu
2008 – La Tour Eiffel, Paris
President Traian Basescu and Jean Francois Bernardin, President International Chamber of Commerce of France
Persons in the DataBase
380
260 2800
360
2004 Unesco
2 0 0 4 Un esco
340
10020
2 0 0 5 I ssy- e
l s- M ouln
i eaux
320
2 0 0 6 Palas
i de Luxembour g
300
2 0 0 7 I ssy- e
l s- M ouln
i eaux
39432
2006 Palais de
Luxembourg
28200
2 0 0 8 La T our E fi f el
280
260
R e c r u it m e n t m e e t in g s
600
500
400
300
R e c r u it m e n t m e e t in g s
200
10 0
0
2 0 0 5 Issy - l e s-
2 0 0 6 P a la is d e
2 0 0 7 Issy - l e s-
20 08 L a To ur
M o u lin e a u x
Luxem bourg
M o u lin e a u x
Ei f f e l
Jobs in Romania
100
80
60
Jobs in Romania
40
20
0
2004 Unesco
2005 Issy- les-
2006 Palais de
2007 Issy-les-
Moulineaux
Luxembour g
Moulineaux
2008 La Tour Eif f el
B e tte r job or inte rnship in E urope
35
30
25
20
B et ter j ob or i nter nshi p i n Eur ope
15
10
5
0
2004 Unesco
2007 Issy-lesMoulineaux
2008 La Tour Eif f el
Par t icipan t s
2 0 0 4 U n e sc o
2005 Issy-lesMoulineaux
2005 I ssy-l es-
2006 Pal ai s de
2007 I ssy-l es-
2008 La T our
M oul i neaux
Luxembour g
M oul i neaux
Ei f f el
Paris
, Janvier 2009, Gustave Eiffel Hall, 1st floor of
EIFFEL TOUR
EUROPEAN
CONGRESS
for a
Sustainable Development of Romania
Organized by
Club de Bucarest CELIDEA
With the patronage of Romanian Academy
Club de Bucarest Celidea is the
th organizer in Paris of the biggest annual Congress of Romanian profesionnsals in Europe, of the
Europpean Congres for a sustainable developpement of Romania and éditor of the Internet Journal dedicated to romanian
professionals abroad : MulticulturalInterview (special section for France InterviewFrancophone)
Practical Guide
(in Romanian, French and
English)
HOW TO WORK WITH
ROMANIANS
“Understanding Romanians is
crucial to do business in
Romania!
Edition : Club de Bucharest
Celidea
ROMANIANS PROFFESSIONAL RECRUITMENT FAIR dedicated to
ROMANIAN STUDENTS and PROFESSIONALS in EUROPE :
350 participants
- More than 500 INDIVIDUAL RECRUITMENT MEETINGS
- More than
YOUR SUSTAINABLE DEVELOPMENT EFFORTS and
SUCCESSES supporting ROMANIA to respect European sustainability objectives will be promoted within :
-
The biggest Independent professional event in Europe of Romanian students and professionals
-
in this independent network
More than
Unique NETWORK of Romanian professionals who studies in Europe
40 000 persons
PROGRAM (provisionary)
10h00 – 22h00 « PROFESSIONAL RECRUITMENT FAIR »
dedicated to Romanian students and professionals in Europe
More than 500 INDIVIDUAL RECRUITMENT MEETINGS : Internships and Jobs for
ROMANIANS in Europe (Promotion stands, Recruitment stands)
17h00 -21h00 : GUESTS of Honor Panel : The main trends for the development in
Romania, business and investment opportunities. How to access the European funds for
regional development.
Mr. Ionel Haiduc, President of the Romanian Accademy
His Excellence, Mr. Theodor Baconschi, Ambassador of Romania in Paris
Mr. Lazar Comanescu, Minister of Foreign Affairs
Mr. Mugur Isarescu, Governor of the Romanian National Bank
EUROPEAN PARLIAMENT and ROMNIAN GOVERNMENT REPREZENTATIVES
(further to the elections in Romania in autumn 2008)
LOCAL AUTHORITIES IN ROMANIA : SUCCESS STORIES from the Romanian
regions
WORKSHOPS dedicated to the BEST EUROPEAN PARTNERS of the Sustainable
Development of Romania:
Banking and Finance WORKSHOP
Industry and Production WORKSHOP
IT & Telecom WORKSHOP
Distribution and Services WORKSHIP
Energy WORKSHOP
INNOVATION for a sustainable development of Romania
Club de Bucarest Celidea is The
organizer in Paris of the biggest
annual Congress of Romanian
profesionnsals in Europe, of the
Europpean Congress for a
sustainable developpement of
Romania and éditor of the Internet
Journal dedicated to romanian
professionals abroad :
MulticulturalInterview (special
section for France
InterviewFrancophone)
21h00 – 21h30 : GALA VIP - CONGRESS AWARDS
Contact :
Ingrid Vaileanu, Congress Director :
00 33 685432789 / [email protected]
The Excellence Awards of the European Congress 2009
(Club de Bucarest CELIDEA) for Romanian professionals contributing to
the development of the education and innovation system in Romania:
BEST EUROPEAN PARTNERS for Romania
and for Romanian
professionals !
21h30 – 23h00 - Concert :
Romanian Talents in Europe and European Talents in Romania
Maison de
l’Unesco, 2004
Issy-les-Moulineaux
2005 et 2007
Palais de
Luxembourg
,, 2006
2008 Tour Eiffel
EUROPEAN
HR FORUM
CSR and HR strategies,
BUCHAREST, 2009, Cretulescu Palace, UNESCO -CEPES
Organized by
Club de Bucarest CELIDEA and the “Oxigen
Oxigen Foundation”
Foundation” under the
Honorary Patronate of the Romanian Academy
The 2008 dedicated to the IMPORTANT ROLE OF the IT &C in the
development of the European career of Romanian professionals
«Pour une Culture
entreprenariale et mobilité
des apprentis en Europe ! »
The Edition 2009 is dedicated to the IMPORTANT ROLE of the
internships for the practical training of young professionals in
Europe and to the importance of a better valorisation of a
Student Internship Statute in Romania for the benefits of employees,
employers and a sustainable development of Romania
Club de Bucarest Celidea is The
organizer in Paris of the biggest
annual Congress of Romanian
profesionnsals in Europe, of the
Europpean Congres for a sustainable
developpement of Romania and
éditor of the Internet Journal
dedicated to romanian professionals
abroad : MulticulturalInterview
(special section for France
Provisional program
PANNEL I : 09.00 – 16.00
Photo Exhibition : These Europeans who are building Romania and these Romanians who are building Europe!
Painting Exhibition: “Back home?”
PANNEL I: 16.00 – 18.00 :
Mr. George Soros, Guest of Honor
Mr. Ionel Haiduc, President of the Romanian Academy, Guest of Honor of the European HR Forum 2009
Mr. Jan Figel, European Commissioner for Education, Training, Culture and Youth: “Why European Union offers the best
opportunities for developing your professional career?”
Mr. Henri Revol, Senator
ROMANIAN GOVERNMENT REPRESENTATIVES
BEST ROMANIAN BUSINESS and POLITICAL PERSONS who choose to return to
Romanian after their studies in Europe!
The role of European companies in developing the Corporate Social RESPONSIBILITY (CSR) in Romania
PANNEL II: 18.00 – 19.30 : BEST EUROPEAN PARTNERS for Romanians!
European Ambassadors, Directors of different European Chambers of Commerce, European Consular officials, European
investors in Romania, best European recruitment companies in Romania.
EUROPEAN collaboration, the way in building your professional success !
Ambassadors’ Message: Why the young Romanian generation choose to get trained in different European countries ! The European
business models and their advantages for managing Romanian talents and creativity.
The best Educational programs and internship opportunities in each of the EU countries
Best companies to work for after having studied or worked in EU countries: BEST EUROPEAN COMPANIES : BEST JOB
OFFERS for Romanians with studies in Europe.
Best advice how to study in EU countries and make this count for an European career. Best practices and networks to help students
and young professionals get the best of their education in EU countries. : Romanian professionals in German or Romanian
professionals who get back home after having studied or worked in EU countries. How to work with Europeans! The guide for
succeeding in a European business environment!
PANNEL III: 19.30 – 20.30 - Gala CLUB DE BUCAREST CELIDEA – Champaign reception (invitation only)
“CLUB DE BUCAREST CELIDEA” AWARDS
European CSR Awards for the most responsible EUROPEAN COMPANIES IN ROMANIA
European HR Forum Awards for the Romanians who got back to Romania after having studied and worked in the EU countries
and are supporting the European development having important responsibilities in developing Romania as responsible EU member
country
Official launching by Club de Bucarest CELIDEA of :
the first « Practical Guide for a European Career »
the first « European Practical Guide : How to work with Romanians »
the first Ranking of the Best European Companies in Romania in recruiting and CSR activities!
Closing speech by Mr. George Soros, invited as Honory guest for his support for Romanian students and professionals thanks to
SOROS Foundation scholarships, the first after 1989 to encourage Romanian professionals to develop their European
careers.
Participants will benefit of :
one free copy of the European Guide « How to work with Romanians » and of the « Practical Guide for a European
Career »
European RH Forum 2009 DIPLOMA « for their EXCELLENCE in their EUROPEAN EDUCATION AND
PROFESSIONAL CHOICE » (only for Romanians who got back home in important professional positions after having
studied in Europe)
Entree fee at the Forum : 200 euros per person
Students and Romanian professionals who studied in Europe will benefit of a VIP INVITATION (for two persons)
Contact : Ingrid Vaileanu, Forum
Director : 00 33 685432789 /
[email protected]

MulticulturalInterview - Vous avez reussi a donner une dynamique

Transcription

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