I. fila

ie innée H«> #>77
Port
AU
Mardi 10 Mai 1921
Prince, liaili
Il y a deux manières de
tromper le public, soit eu
disant ce qui n'est pas,
soit en taisant ce qui est.
WRbCrEUR-l'ROPRJflTAIRS
OiBeDt-MAGLOIRK'
^NOMERCT^O
CENTWMJ
Francisque BOUILIKR
Quotidien
REDACTION; R^Ara*ricam«:No.!rr,s
POLITIQUE GENERALE
TBlWFVOfiffli
Nouvelles Etrangères Le
[1 U M
PAR CABLE
WASHINGTON 6 - La Plaident
Lia deux fêtes nationales de la
llardiog a nommé gouverneur de France, r^un'roT uesoronis tous lea
Porto Rico, If, ïù. Mont.
frarçua q'ii ont le senti m »nt de la
Jamais le mot na é é plus de rat
PARIS 7 — Les j «uniaux enri nià;cor.iinuité Irstoiiqae
de la Fiance et
Le Général Wooi et W.Garaeion
son que inaintenart et dune meil trent avec un« vive satisfaction la (qui accepte avec|reCOonaisaanc, 100 Fof bes qui furent l'un et l'autre,preleure application Ko présence île dépêche de Washington, annonçint noble patrimoine le libe-lé, d Lgilité mier coinmandiDtfdei loreti milidu gouvernement qui ' que les Etala Unie ont docid* di re- sociale, decou<ag* chevaleresqaa et taires américaines et premier Gon*
lumière s'est faite depuis long nl'impuissance
arrive en dépit des doléances ve prendre leur place dans les conseils de grandeur. D'importants cortèges verrenr dps lien Philippines, sont
sur la question des causes nues de toutes parts, à piendre au de8 aluéa
01t d
' '"' a devant les dférents pa lis le ".» avril de Sei Ile à destina
jfcbec de la L'gue des Notions cune mesure susceptible d'améliorer' Cette décision, dont 1 importance »ta u a de Jenne d'Arc. La (été 'ion de ces Ile» en mission exlrarr
Etats-Unis, échec qui s'atûima notre situation econora'q i«.le décou n'échappera à personne, dit le Petit de la Sain'e a élé célébrée solennel dinaire à bord du bà'eau Weuat[élection du candidat républi rageraent a lini par gog-ier les urnes •'aiia'en. représente 1 heureuse con-.lement dans 'oi'es les églises, en C'IlPi •'.
[lia présidence et s'est réaffirmé ea plus robustes"
iflusion des efforts prolongés de 'a présence d'une assistance aussi non
lia y séjourneront au moins deux
déclarations du président Depiis l'ouvrier des usines à bout, di »'oma ie frarça-se et s<rvira à fi breuse que recueillie,
mois et f ront une enquête rainu*
le règlement général «le ii IPARIbS— « Le Matin » annonce lieuse tant au point de vue civil que
et de sou seciétaire d fcta leconmis du magasin défaillant, le cilirer
a,x
que le général Allen, coromanJan* militiire.
spéculateur en denrées devenu oisif | l' ,a M. Viviaai.
«
Le
Matin
»
revinint
sur
les
diles troupes américain s doccupaisqu'au
banquier
au
por'efeuille
L° général Vood et Mr l'orbes délut et restent hostiles à tou
vergences qui ae sont manifestée* feiODj a décidé d'envoytr à Paris le cideront de l'opportunité de la ques
veuf
d'effe
s
tou*.
ila
se
regardent,
{international susceptible dt
entre MM. Lloyd George et Hriiul
Aemire la liberté de mouvement n'interrogent, l'un essayant de acru aucojrsdela couférence de Lon- }-i mai, une compagnie avec le dra* lion concernant ^Indépendance à
la pensée de l'autre et ae deman
accorder aux Philippins et l'Admima
leur pays. L'opposition provient ■•u
dres, note que l'opposition do II . peau, pour rendre hommage au so'■ tration iiarding conformera incoo
tant dt qioi sera fait 1 avenir<\i'
inconnu.
ibir des Américains ae garde
Le présent, c'est ci- |i le passé on Lloyd George a c^aaé comme pari \) e délégation de 192 nvmïres leatahlement sa polit que au rapport
indépendance. Comment M. o'y pense'plus, il eat enterré, mais enclavement le o* mai quand la ré
qui lui sera présenté.
ne s'est il pas mieux rendu demain comment serona nous et ou ponse des Etatl Uuis à l'Allemagne le la région, anciens combattants
En considérant la situation de eea
ifte de cet é ai d'esptit de ses serons noua.'Voilà la pensée lugubre fat coanue 11 ressor. des dépécb M imèticaius, visitera les champs de Iles, les commissaires ne pourront
(ui préoccupe tous les esprua et qui de Herlin que lés parti < s?ntl*ès di bat.iUe en jui',1 t piocha n ei parti | pu s'empéchei: d'envisager la ques
Moyens ?
tion japonaise- Durant leur court Bé
ne
laissent indifféient que ceux là visés devant 1 ultimatum des alliés cip:ra i la revue du 14 juillet.
lies portraits qu'il vient d<
Sai/ant "Le Jouruat" il y aurait
•
«
Le
lournal
»
promu'gue
une
jour sur les tôtes du Pacifique.Mes
qui
nagent
en
pleine
inconscience.
des t JJg Four »— Wlsoa
aujourd'hui, autan' de chances pour oi rtLtive a la liberté du commerce sieurs Wood et Forbes ont noté le
Dea
maisons
d)
commerce
fati
£i GeorgeS, C émenceau ei (_>.d'une lutte d venue impossible le rejet quejpour l'accei tation au a* tl a la circulation des céiéales <t Bentimert et les craintes qu'inspiie
- M. Lansiog répond lucide- gnéea
ce poiut dé vue dans cette région.
ferment leurs portea, des uaiuea ca où cette dernière alternative prévau farines.
â cette toit îutéressante que* lôière » en pleine récolte S'ispeodent drait- C'eat au docteur S'resemann
U lecture de cet expose fait out trafic, une grosse Baaj.ua nui pi incomberait la tache de signer.la
PARIS 8- D'après un lélégram
e ch:z le lecieur l'irrita tellement établie, s'en .remet à une candidature de Bulow semble écar- me de Berlin au Journal, 'e Dr Ma
c au début par l'attitud tutre pour liquider ses opérations et tée ; le concurrent de Stieaemann yer.a nbassadeur d'Allemage i Paris,
lion américaine et fa t n*ttrt aisse ainsi désemparés d honnêtes S3rait le doc'eur SchwanJer, récégat a nuancé A déaouer la crise ministi
qui aest souvent signalé riell". La ten-.tin:e semblait hiei
ression d'espérance quant » aères de famille, le liord de mur ai alsacien,
par
la
violence
de ses sentiments eue i la résistance. Le premier miComme le dit le « Times ». mimé et qui fut naguère le pour vo galloph .bes
Suivant les derniers renseignenistre
de
13
vièe,
Von
Karl,
menacolones duquel les stlhouet ;eur de toates les aclivi es préaente
ments
que nous avons eus, la quesPARIS 7 — Le conseil des arnlns
tujourd'hui
l'aspect
d'un
cimetière.
çait
de
démissionner
si
Berlin
recoD
. Lansing out paru, le Sénat Kntiu du toutes paît, c'est un môme sadeura a prescrit à la Commission
tion de la mélasse se corse de plus
pie améiicain ont agi d. cri de désolation qu'on entend sortit du plébiscite d'adresser une procla nail l'ultimatum. Le Keichstag serait en plus et devient même un sujet
mation à la population de \x haute invité a émettre un vote: l'accepta- d'aogoisse pour plus d'un.
fletment a U lin de bon le toutes les poi rines meurtries.
«abandonner l'idéal qui
Quand il y a trois ans la Sugar s'é
Et toutes ces âmes en proie au ^ilésie» dénoaçant les désordres et tion ou le rejet de l'ultimatum.
PARIS 8— Une dépêche de Berliu tait décidée i passer de s contrats pour
t conduite au moment où funeste désespoir n entendent poui informant les habitants du recour.-» à
la patticipation des Etat toute réponse que l'éch J de leurs la force des gouvernements alliés au au Jaurnal annonce que les milieux la livraison de la mélasse, elle ne
sujet de la repartition du territoire nilitaires continuent i piècher la guer
grande luPe pour la liber gém'ssementS'
le la haute Silésie, conformément re contre la Pologne et à préconiser pouvait point disposer d'une quantifMt une paix durable. La dé
aux dispositions du traité de Ver- 1 envoi de la Reichswer en Haute té suffisante de ce liquide pour réparti démocrate aux élec
pondre aux demandes produites
sailles.
novembre 1918 ne con.ti
Alors, le sucre était haut cô'é, le
Saivant une dè^éjhe dûppeln. la Silésie.
P'u'deurs milliers d hommes ap- clairin et le tafia également.
une répudiation de cet idéal
situation s est améliorée dans la ré
partenant
i la police militaire et i la
^ion
iusurgée.les
troupes
françaises
lie condamaauon de la Lço
Les heureux contractants n'enviKei.hswer
munis de mitrailleuses et sageant que les prix alléchants du
assurent
le
maintien
de
l'ordre.
Le
""1. Wilsoa avait essayé de l
nouvement n'a pas gagné lea villes; ie grenades ont déjà quitté Berliu moment n'avaient nullement perdu
A
gardé
sa
vielle
répu'at
on
de
les
municipalités léguiè es re8ientjpOJ, ia s lésie supérieure. Le capi leur temps 1 discuter et «étaient
',*|»rd, M Lansing se trpuv
orrection
de
promplitudi
et
de
com
10
fonctions
Des g cup>s i insu-'gV-» uine Dcb ois, qui avait été arrêté en toul simplement empressés d'é'ablir
■» en opposition coastanU
létence. — Produits de tontpr«VlT«> iennent la catnp.'giee ass z gran I Silés.e, a é é re à hé sur U demind.- ieur contrat sur les bases présentées
chtf. San principe était 1 >rde, spécialités, «-xécution prompte n jrnbre grâce à U tenue almirabl'
de I amb lisait u de Fiance i Bei
«s de l'égalité des nations
les troupe< françaises q li ont par- lin La Wilhelmiirasse a «xprimé se par la Hasco Afin d'en tirer meilhur
les
ordonnances,
Service
de
naiw
pari, beaucoap d'ti »re eux engagéfn«« par la garantie mutuell
tout fut preuve d o"8 fermeté et
reot
leurs te res pour une pé iode
l'un
sing
fioid
dignes
de
toat
éloge,
'egre.s.
' M pacte de la Ligue, entr-i
1
p
us
OJ miini'o^gae. A ce moment,
le
conflit
est
en
voe
«t
apaisement.
PALIS
8—
D.ns
les
milieux
auto
Ç * la force et a la classi
PAB1S
7—Le
corseil
des
raini8-!
f
,
a
dément
formelle
ceux
qui n'avaient pas réussi A ob:isés
ranÇ4
St
0
tdei nations en « petites» et et -oyant l attich^men' de M Wilsor.
tees
s
eat
réuni
à
lElya».
BJI
Bnand;
i
G
zett;
de
mect
u
nouve
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de
la
tenir
pareille faveur et lient regaidés
«n Etats fables tl Eta'< isoa pacte, lui laissèrent cute blafl
lexposHa
■■tuat.oi
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d-s Milhir»ceux..
ls préiominaace— over he. dans le but dobieair dauanl cieiire et iadid'ie es ro id t ons dans
.* . . »
,r . ., . .
M.is, vola qae depuis quelques
•Je ces derniers. Or, 1« P'us aisément son a:qu escement a i !q ,e?e esUnte.venu l'accord da **£«• j™ft*** pénétré daDi
mo s la s.tuatioo d i sucre de canne
Wilson, a:rivé en France, eurs solutions perso înel'ei. M Ci o idres et les r^sul a'a q i on a oVe l» é8'° > de la Rhurl entre homme. Faut-il croire nenceau avait les siennes sur la pré nus LeGonatil a app;ou»é un pro
,,,n.,.ir.
^ .
, s'»st toalement tran.foimèe daas le
«çeption délirante dont il iominance des g andes naiois il tel de loi qui sera déposé à la chamj C URAÇ KO 9— Trois avions d moadr, et de; économistes remarqua
j lut tourna la tête au pain mr le système de l'équihb:e. M- bre, garanti.sant leir travail ou leir con; ruction français: pilotés par 1? blés croient, i une revanche décisive
. «r cht= l'homme d'Etat Uoyd George et les Anglais avattnl mploi aux hommes rappsMf sous cip.taine Fieschi.chet.ei deux autres du sucre de betterave.
o'fiMers de la mission française d a
■• l'opinion de sa valeur per es leurs concernant les quesions laa drapeaux.
1
LE
fl
kVRBG^org^s
Carpentier,
via 10 1 au Venezuela, viennent d et
Pour ce qui a trait a notre rnaichi
olontales
M
Orlando
avait
en
vu.
' En tout cas, ses quatorze
champion
d
s
poids
d
Euiope,
s'est
fectuer,
volant
constamment
au-despaniculiè
emenl.tous les produits de
a
m.lmse
de
l
Asiatique,
le
lapon
W» lemieut de base à un
emb rqaô o« soir pour New York, à sus d'uoe chaine de mo ; lignes, le la cannne sont en baisse et on préi
coasolida'.ioa
de
sa
situahoi
au
J«"Mi peu défiai ei malprépa-é
bord de "La Savoie".
voyjge périlleux de Miracay à CariJ «» peuples, subirent le :hintouagetauxr.es du Paciûiu
PAMUS8 — La tète natioaale de cas où ils viennent i 1 occasion des voit que ce contretemps durera aussi longtemps que le cours du sucre
des hom(
leanne d'Arc a été chaleureusement
est «L
nes à± m nord de l'Equat.-ur.
Éeo,
:ê
es
organisées
en
l'honneur
du
ne Sî sera pas rallermi à 1 étranger.
- •2
t idées qui ne corres
célébrée pour la première fois, dans
priace
Fernani,
inl^nt
d'Fpagoe.acD où une situation absolument inL*
naufrage
du
pacte
WiUon
n'ix
«M pas du tout parfois avec
toutb la Frauce Le major May, de
1
tuellement
hôte
du
gouvernement
verse pour ceux qui avaient Jû tirer
l
armée
américa.ne
aisistait
aux
fêtes
.lique pourtan - celui de Du
Euu Ujis
LWii gUeaHX
t
Orléans,
ou
M.
Bonnevay,
garde
Vémizuéliea.
De rCDan|
il
y a quelque temps des profits si
RUa
P
conseil que es pnacipes.Soi suc:esseur eu pu des sceaux, a fait dans un discours
rénumérateurs
de la mélasse. Tout
isan d'uae eaiente mondiale en vue
diUS U SU,U
ïlml,44,er0pp0Sa
in
éloquent
paiallèle
en're
lea
deux
a'més
Loin
en
payant
le
même
prix pojr la ma5 1 00
1 MùV '" *
quelconque sug Je prévenir les conlli
cité*<dOrléans
e.
de
Verdun,
symbo
lièrr
premère,
en
ayant
les mêmes
mis soit
s;s le se tenir conp'èemeot i l**car« ,iaant I épopée nntionale llrfe céré
Cfi*?"
*
'
P"
La
s
généraux,
les
mêmes
déchets,ils
™ U président démocrat- iu nouvel et't de choses ciré par le uonie officielle .t eu heu à Paris.place
Le public et le commerce en gêné
tua
svoient
obligés
de
vendre
le même
autocratique .raité de Versailles, il s-oppose .t » des Pyramides.
rai soct avisés, que pour le temps
bien ie politique
produit
au
tiers
dj
mix
des
annôes
M \|airaud,ministre de l'intérieur, de mon absence, MM. Camille, M
«.ilséU a Conférence de la qu il soit disposé, sans Passeotimcl
le soi pays, d-aacun des terrdotres,
prononcé un discours, dans Auxila et Georges Mag'oire, ïoat précédentes. Certains d'entre eux
l'W
ild0!niûeri t*l poiQ' ^d'aucun desdroitsque.FAIlemagrie à i ui
il a rappelé le lOle glorieux chirg's de ma procuration, et ils si voudraient bien résilier leur contrat,
,a ence a
■eoctr|i^7 J
* . S"'»' du-.
mais se heuiterd i l'opiau rcté judi
.aincu: a été contrainte de céder. 1 • Jeaune d Arc. Le grand souille gietont conjointement.
Chevaleresque de la bouue Lorrenit,
cieuse des Directeurs des grandes
vlais
il
a
une
maa.ere
d.liéreote
N.ÇK.,% comme
Port au Prince, le 7 Mai 1921.
Usines de Chanccrelle. Et c'est ainsi
8
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i'envisager la coopérât on dis lfW ajouta t-iL a réalisé l'union de tous
I Un«i.„
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françaisque la mélasse a ses revers.-.
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- S ses collègues eutojée^s, no-des i 1 otavre de la oux
I. fila
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Av'n commercial