11 Septembre 1875
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11 Septembre 1875
,37 71e Anal _, ûi Kt k mmlols ulal-aaagoé,W!1mo _ _.... __. _.. Samedi 11 Septembre 1875. itn4-.Aa)lOr, 4y tAlae. _.. _. M-MWMM a'" JOURNAL DE TOULOIJSE Taatl I aie fi, UN ARO1MfMEMTS +1X n[ 1. 0 ( Anndnt na ? iinCWaea, fil s¢ tt i tJ f i iL lnnwe ae o- IX MUIY. 4n I et a ewoev+'a LN AN. rROIS MO{b ;: r. Id. I f1 { A ID,gaza-.. Srir (AFei ), 1 A s-, TOULO7 FR. phlgaea lIgldgrraeu uvas), ... A iintitulée Les Responsabitiuda, des inalituleurs primaires à 1,200 frime. et celai dos ina0tulricee à 1,000 fracs mais en interdi sant le cumul des funetLoMd'iMtitoleur avec celles de sevré. loien de la mairie. il a été fait défense non armuriers de meure, eu étalage et mémo de garder u magssle des armes prohibées telles uleaux, potque cannes plombées, ards, revolvers de poche, etc.; l'exé- gmrion de celte mesure est générale. PLU VÉE paria, 10 septembre, 4 h. 19 soir. pp e de Constanlinopie t l -s+ q f de l'incurreJ Mahmo id porto, lue le gouv rn m n lin t ga -il.àClé .g L elles fort !. 'Cure, p rr de L dre école. lite de ]a erbe et du Monténégro, 0070e(rait à la Serbie l'é nuWm de la forteresse de zvornieh et cerlainee facilités .ancer.aLt la sons. (ructiun des railesys. tl ancnrdail m, Monténégro une reclificaeiun te frontières. Itelutivemeut à la Bosnie et à l'Ileraéguvinx, le gouvernement Tarc cecirait fuira acte de faiblesse. en accédant { nmedi:.ton,eot à toutes les demandes des i: vergés. I.e correspond:ml ajouta que les Chrétiens eu Turquie lent déjà admis à tous les emplois de ('01,1. nliendenit char. Le gouvernement l me,l l'état politique actuel de la Turgni mm,t a et troué été porterait uniryne- le côté administrati P. Notre et responde t rroil ai. que la I. d'accord pou r exn les pu Iasanres a rr la gnesliun ù ce point dle vue. Berne, 10 septembre, I.e pelure Cnrtschakoff est parti matin peur Vevey. e c. ci Je compta sur l'appui de le .utile Serbe duos les elfe ttr':plus. cieoonetuncra actuelles nation Serbe lit toujours doua les moments difficiles. . (Applaugisssep,mns enthouaiusles). aumssamw na JOURNAL Da TOULOUSg un il septembre 4875. A g'f Mue. y n II. Frosdorm, par l'échec onarchique, loi du 20 novembre 1873, et IP ps RI ) ntr81 ) 10 30:Smr,' de 25 à février IB cherché à en établir une ralliés loyale- suite à In République entourée d'iuali- AV 1S M. le Ministre de fa marine et d'a tu[ious conservatrices organisées par la loi du 21i février. . La brochure indiquée eLmeten quel. lion ces résultats que nous ussidéroua quia et indiscutables. Elle est m en e opposition absolue Mec 1. politi. donc colonies a Informé son collègue de l'instruction publique qu'il y a lieu de que que nous avons suivie et dans laquelle vola sommes, plus que jamais, traction pnbligne à file de la Réunion. décidés à persévérer. outre le cabinet actuel et contre le m+réchat de Mal Malle.. Fronpare dit que 1^ A un emploi Le traitement l'amiral La Roncière ueeieren à Paris dons la soirée. Il ee plaindrait Il. bruit 'ait entour de aa lettre par les jouniaux bduaparlistre, qui aur.i, lit dénaturé ses intentions. sueur. eévéa,x Paris, 40 septembre, Il h. 55 cuir, Ilelgrade, 10 septembre. Le passage du discours de prince Mi, Jit lao relatif à 111., elgnv n . La nation inquiétée sur ses truc tiéres,lroublée dons sen développement, alloula Pères quittent ses loyers, nous dùmes, à mala amie, it veiller la si,rete de la patries événements créaient une situation grave. a Ss, espoir d'mnélioestion,ca peuple a pris les are Cs rentre aeo anus. La Portenamassent des troupes sur n.s frontières, la situation a été .n mplignée. La nation Dues a demandé de la protéger. N Ces cils espérons que la sagesse de Sol taet des pnissances, garuntns trouera le eaoyen d'apaiset Ae satisfaire ue paya . N.ma souffrons plus que personne de ces lattes périodiq.ea. Nous nous ifforcerons de créer en état de choses qui rendra la paix à la Bosnie et à l'Ileeeé- goviue. . A.Tlra mouron Paris, 1f septembre, 6h: malin. 'iEe Journal Officiel ne contient rien d mportant. er fait leCol puetratt. I1 dit se no,n- 111e et être le mnyordomo, ou l'homme de confiance du mer Mathias eieé le matin même à le Nouvelle-0eProvince LE VOLA DERO lX Ce pue n'était erre rnnntes' dols. L'alur -Nan, maintenant jeu .sis sur nui, i l'histoire en deux [nets o quoigne je taule vu tel Immrne qù uu instant, ,l y avait quelque Chose de si singulier, léani. Il est resté don. ma mémoire. Je avait avec lui les enfants de se. maître, que celui-ci, disait-il, l'avait chargé de msites Ô. pension à 1. Ne.- d frais de I noire, d p és talion locale. t é, payé les tarifs de la régie lé accompagné d en France pour aire appelé aux l'ormticns d'inspec[cur primaire. Les membres de l'Uaivrr.siié, qui dé. sirent oceaper les emplois dent leurs deman- Rit, sont priés d' ad recaser des, dans le plus bref délai, minis- tonné météorotag gon de l'ouest mdditeeealée., s'est élevée de 427- 5, ee qui présente environ 1(6 de 1. quantité de pluie 'qui todlbe saeusllament, en moyenne, dans notre Iosu lit depuis, vous .'avez plus en- tend,, parler de cet homme 0 Ni. foi, je vous avoue eu toute humilité que rue connem cette .Raire ne regardait en aucune reçu., je ue es.cte sur l'époque oh s'est passé cette - Gela me serait assez difficile , ce pendIutje crois pouvoir vous affirmer qai il y a de cela au moins,,, deux ans .,.en assez difficileapprécier; frit, ci n'est la quantité. 9 ux rann rov 1 a :t e. f6°a 766,1 7 R 146,0 ' s ! I 43,2 16 81 id.0 éa,tdans laquelle M. Alfred Naquet i été inv itb é prendre la Parole dr. va,t rvu, e I,eu hier airo o 0. 50 d ChI m reux Légère pluie aune la matinée et . Ist^scré ,nbliruins en sont réunies dans une salin située eu,, de 1. pluie tombée dans la journ da 9, 25,^,,li. Quantité de pluie tombée dans lu nuit dl, 1 10, 11 ,,,,-6. prés d es rouera unit plusieurs membres de laci,.n o, sait paj et des ima.a.- .p. Miui. de. la nuit suivante + 11'u Qué¢mité de u q uarlier A liait heures et demie précises, 250 personnes environ, parmi lesryuelles on fhermomA[re cenngrude o Maxiruum ci. 9......... que pri Une nouvelle réunion politit vdv- 1(INOinsru,s. isr 3 id. ONO t.fai. 17^ 2 d. 0\0 iJ 15. premier étage. lbunique a ai 18, u vaste, in salle conienait ares peine l'n- du 70. de l'enseignement supérieur(. 1.51.101 a..o. ce r.A»Abeina. Demain dimanche, fêl, patronale de la paraisse. A 9 heures, grand meane en les s lon aeront cla signe de Dieclh ; chantés par M. Renjami n. A 3 heures, d éclaté de N. Pe,eh, chanté par M. V..., avee le ,e, ,le NI. Suubaméa, iolnu, lao. do r. n. errstoire de Paris, Ton- 1h01 oego de Dieclh. N demi. Est-ce tout ce que vous dési. rez sa voir de Mempenti, M. le commandant l'état de cet ce. été. Pendant cette lecture, à nnuf'hseees, ont arrivé M. Haquet. ISdappreoant que - 0. nous écrit de Péaeuas, le 9 sep« tembev 1875 ; I entre elles, la jeune Ilosario â était un éloignde, ou ne soit peur quel réClleme.t confus, mon, sieur, de vous entretenir si longtemps, intéresser pour vous parler de choses qui doiolet très.médiocrement vous ;mais je vous avoue que pour moi, elles out un intérêt immense. - Soyez convaincu, monsieu, r, queje ex eosrenueseignements emat heureux si les motif, et n'avait point reparu. Tuuiea q e celn arrive trop souvent dans les déserts et les hautes savanes amérioei. C'est que, malgré leur déclaration à nelfais là, il n'y a aucun contrôle pos sible, et u bout de doua jours, tout cadavre, réduit à l'état de squelette par la police, et la publieutiou dans fous les de la disparition de celle personne, dopais deus ans, enla rdetamer. n'était vu Au lycée, ei, il se présenta ensuite, les mémos épouses furets faites à va tonton Guillois. Jnfuntus les louves et les oiseau. de proie, devient à jamais méconnaissable. Biea qua l' 6 Curilé se fit de plus en plus an!our de lui, \'alenliu .e se déranea pas. mémo heure et dans tes mômes conditions, le jeuoe Luis avait disparu. Lge proyusent un nul vont jusqu'au boni e incidence dans la façon duel avait en lieu re double eulé vemeot, affermit Valentin dons 1. pela. ée quo don Miguel Tadeu devait seul sans Lé,rter, sain fhjhlir, Bans se laisser découregor pop s .prés aou entrée chez elles, uni IL à la promeBade, tandis que ces compagnes juu0ieut o ubslacles qui sur- ',ou le pouvoir d'arrêter. Après avoir fait les deux visitas que so ,a rapportées, Valentin et la ,muni lui rentra Mondaine Cliaubard lui annonça que, Avalant-! la été aasasxinés4 I que 'ait possède de se leulien r- Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés depuis plus d'une heure déjà, nn gent' leman l'attendait au parloir. Valentin s'y rendit immédiatement. A su vue, en homme assis deus fnntarsil à disque se leva, elle salua r,au 1 pecWeusement. Cc peramu:,go émit uu grand gai,- 1 fa, LI les gisent sous [Cure pas, et que seule la ohea mi, i chasseur était use de ces .iaI jetions énergiques, qui, dés qu'outra se Crue étrange Lion contre hs ppnvren enfante. Maintenant, qu'étaient devenus le lié. a's, u Ces dames avaient alé une pariicu lardé étrange, téuéhres déjà Ii épaisses qui entouraient affaire. cnue Ces dames se rappelaient parfaitement en douceur; mas h î la contrebande du tabac, ne p t pr céder h leurs recherches, car la mai fut im édiatx qu'ils voulaient visiter er t envahie par en grand ombre de ufemmen et l'enfants qui paralysA- reet leurs mouvements, tandis que les hommes l'aisaien[ dieparattre faut le tubas de contrebande ainsi que tons les o lits servant à cette prép:,ralion. Les employés se dirigèrent alors vers une autre maison mais il, Leonvére,t rr te seuil une jeune femme armés meuaçnnte. Le garde champêtre appelé fut -ciselé par la foule nmpéchn de remplir suis devoir. C'est la gendarroeein qui, le lende- main, a dû revenir rdiablir l'ordre et oe le triomphe de la loi eu acte. Lot les principaux coupables. (Dfesaayse do JJidi.) "MANGER ESPAGNE' . 5ladeid, 2 septembre. L'Pmpseeial en çoit du correspondant qui est attaché A l'élut-major dn gsar. tira général de blaeinez Campus des lettres loure intéressantes. C'est re général qui a pris les devants peur mener hizarruga à cxpitsler, il u envoyé, nmére dérisi.n du sort, à des assiégés, dont le plus grand tmrnnent était la art[, sue 'n; de camp, le capimine Fueetes taillé ce hercule, dont les traita avalent u tans, de tions clora un habitant qui a ter, avec une rapidité être l'a none de ne doubla guet-aprna, et o e dirigé cette odieuse maclu.a- lutina comu,e pensionnaire. Tout le inonde l'aimait i le. baeiDuu j d'Arepilea, our le lieulenaot roln.el. Quand le bandeau qui couvrait homme ne saurait disparaltre sans Iaissar de marques de son passage, ainsi Vivaient-ila encore y Voilà en qu'à tant prix il falinit savoir. 11 importait, amntant, de découvris les traces du ravisseur. Si grande que soit la liberté d'action d jouisse en Amérique, et la rendus Linsceage dan qu'il obtint segmentèrent moere les .oe charmam niant, ou plutôt une s'étant elleCtuer dés perquisi- quitté la salle en protestant. 11. le corcunissaire cament a alors i.v it.é l e public à é... uer a selle. éI. été, Le même jour, presque la Alleur h pour (fontaine), pour leseegager à cesser une les eochereh's 'lit" pour la vair. ,er, New yoek, N- Orléas et autres, quelque actives qu Nlles eussent étaieul demeurées sans résultat. 2.,1; celle réunie. était de eneneuU dissoute, le député de Vaucluse a ausailôt extrême, d'an point à ne autre , Cependant dans les grandes villes de l'Union, frites que peu - Je tonte espèce de rénnioo politique, puis, mm l'invitation qui lui eu a été [rite, il a dmmé lecture ln récolte cé o nqùà Mont. à:.,nsieur te directeur, pluie torrentielle a commencé p jamais fait remarquer par la douceur de leur caraelére et l'aménité de leurs ma'éres, et ils ne paraissent pas diapoà changea car samedi encore Ils i ré bataille , avec leur garde général Commandant l'état de de siège a'npposait à pellier et dans ses environs. réal le le mmissai .lier et MM. Roochet et Rauvier. rM. Berler a déclaré que, arréti en date du 4 septembre interdisant la réunion v la Ville. L'a tendre, taule avec grand des viol yes Marseille, 9 septembre. Les habitante d'AllaucL ne se sont alors entre frneas et la ploie imnhz à tneerntu. Ilo assure que des orages d'une vi laces excessive ont éclaté sur plusieurs Salut sulennel, Ave Maria Jtalla """t, voiture pour venir N l. rénmWn. (Petit Maraeïllaie.) Urn échange a eu lieu ai. d'expoltoatiens presse une véritable tempête se déchalne s do est coeionme.tt du chemin de fer, aurait pria son bu' rit lot Peur Aubagne, mai,, quittant le train àOlaueurde, il serait monté qui siège, oument. L'orage a cessé à dix heures du malin environ, mais la pluie rie ontinuédelomberjnsqu quater tientos du soir. Elle a été parliculiéremee,t1erla à midi. Au ummeet oh ions maltons sans anus rgno saue dans quel but : En quittant l'hOtet vers sept heurts, il serait allé à la gare; pourl'l'nrréter M, du ciel semblait annnneer un pareil dé- vêpres, 'Vau- ificul en musique de Luigi n par M, l'abbé Douraloi, Dordéue reo de la paroisse. anAu i si .'nouée aire qu'il a en solo de de de police chargé de service de la elreté et d'an grand nombre d'agents et de gordiens de la paix, u dédoré Le énm disscote en vertu d',,. ae blé de sar Montpellier. Uepuie deux jours l'élut pois 'est faire suivre à M. élaitnl assis prés du président. -il Ili,., jen:li, vers les six heures do ma. tin' u violent orage, accompagné de ton narre lelgore ts, le Plus parfait. Un détail qui n'est pas sans llie IthGne, ovulent pris place au bureau et l'arrivée de AI. Renier, comcentral Cr fonctionnaire, quo étaitaaccompagné ils Ni, le commissaire Montpellier, 9 septembre. o, ps 1de tout le monde s'est retiré dans le Calme d'une écossa pierre et dans une attitude une Unci la Cmu d'appel, décédé, la uni[ denüére à la suite d'une courte maladie. Ires obségnes auront lien demain dl. mnnrhe, sor lu paraisse de la Ilalbadr, à nec heure de l'aprés.midi. droit, il l'allait obéir et se relieur puis il a anifesté l'intention de ,e ortie s que le dernier. A neuf heure et quart, aussi Lumbeese réunion. MM. Itenvinr et Bm,chet , députés des Bouches-duLa séance venait d'être ouverte et M. Rour.het avait la parole , lorsqu'on a Nous av s le regret d'annoncer la mort de M. Fort, président honoraire à Idl /4 h ,. issaire de police, Mueseme, u septembre. 1 Ils, Il I1E 11 h lit I champêtre, dans les cieoontanws su,vautes : Les employée des o leihutioea indirectes assistés de M. Poinso[, rom- (Meecuyer du Midi.) vsurts. I tète de l'inatrnntiou publique (direction M'slheureusement, les renseignements ç 8r, Les et, dégât' oeca.ienuée alâlil 1et orage mate ou pont dite d'ores et déjà que la qualité des vins aura beaucoup à suuP- ___ 11 la h. 11Y m Bouchet lui a demandé ai, dans le cas où les membres de la rétinien ne voudraient pas an séparer, or emploierait la force. Snr sa eé;uenn ullrmative, M. Douchet a ,est contenté de protester, en disant que, puisgai, la force primait le calife. t'nuaavarolx[ ursrnea : 494 . é. ails appniutr,uents de !1000 (rave,. Les c:ulJldab à cet emploi ,le. "..,t remplir les rnndi liens exigées I, 4 h aa h h. ]E a, a ü. III1. Nev - L. .-de. da a P50. evmmee . d ] s. êu none a mi, d 9 A.:êe eou tueux. La pluie tombée, mesurée 1-média' lament .prés l'orage, au pluviomètre du Dar H -- i0 6npterubre g7g f1 2 A en emploi de ^r,élui en d ar.n- démie 5f 15 h , nn dirait nu véritable Duujve, eddon cours e.céssivement iIhpé- --.-. ralrY a p.T oe it on maximum de gnat se Bars ORSB1tVAT[ON5 METEOROWGIUUF.S 'a fondions l gé de 25 n 'L' jenue fille ncoup éeeRosariu da Riva d'AAéjeunais un nui. eh,e duo Pedro m'en sais nullement occupé. - Pourriez.vans me fier une date gueyro, avait été placée dans leur instimpnt "' les IJaroips d'Anne, qui louelinnn de rnnauI du Brésil, lorsqu'an édrengm b,eiab, pour lui parler... Ilml Pndr, donna l'aides: du l'introduire net individu entra.,. Il ressemblait trait pour L, ail à la personne dont vous (Ll ej, égé d, Il ans, O°us. 74;, 4I m a violent l'a conduit ers l'es[ avec la rapidité eRr.+yante ; les éclairs et les coppa de tonnerre doue forte intena i l é , se succ é daient il d e cour ts i n t erde l(. Dans quelques foutes les rues Pé a e étail eransPormées eu for 'octs, t l rivé de Peyne subissait r nsitérab(e. il er le de cet affuenl de I Hérault n m n a tlitqu àop lit sec aimai le p ad': d'an grand hemun é à ce fonctionnaire it daa appointements toril toucherait en France ai, ornent do sa nomination et d'un supplément ses n leu lame lamente à 12,500 fli (y colr,pri les frit, le berlue). Il t r, qû il m'a été elle Orléans, pour leur taire appreD- quelques dru La tangues aoglafse et fruvçaisa. permis de vous fournir peuvent vous Cet homme présenta à dan Pedro uan âtre utiles. Après avoir échangé quelques uniras lettre dn sou maître, lettre fart pros. roles de politesse, les deux heinmes ,ante sana doute, puisque dm, Pedro aprde rélne e.cu.é auprès de moi -P: parèrent et ae mélérent aux invi de me laisser ce iodant seul, me tés. I.e lendemain, Valentin Caillais, en.. quitta et sortit avec l'étranger... ,rappris plus tard, dia consul lui' perdre un instant, se présenta au penmême, que par ses soins les plants aionnat des demoiselles Fmderlé, qui lé avaient été placés, la jeune fille dans reçu,enLde le façon la plus courtoise et l'instituliou des demoiselles Fooleriel ne tirent aucune difficulté pour répondre et le jeune homme au oollége frau- à n.n gnestiaus. je dirais presque de si étrange dons on, ber pbyaiunumie que ao. sou- 40 SOU , e partie de la population des (écu. de M000.Geeseo... Il était ar- Pue Guam,. AIMARD 6 6 fixes an 24 septembre courant. 111eecleur de lins. e 11: durée des neur, pour l'empereur du Rriml, de la - BBi1LÉS 4 t baisée aans interruption jusqù à -Cet heures ; l'orage est ,sen de l'ouest ; un pourvoir meuit La Liberté dément que ta lettre de l'amiral I.n Roreiére et le discours de M Banal Duvsl soient le prélude dune ampagne dn parti de l'apptl au poupin I .q 5h h vont vers cinq heure., du nove et s'est Con- cet accident. AeadArIDte de, TmsimxnS ment en premier lieu ans séptenoat, en. Le 55 v_o 40 S 55 S o r, ires. personnes, les nommés .t D. , âgé ae 18 a tus, logés es. S t-Louis, eouait, nue tra.vive allure, nn cheval à une il jardinière n 1 de Lyo aimé I nneot (Illumine), q ... tenait nue jean. mifont dans les bras, payant pas eu le temps de se garer, s été jetée à terre d'un pan, coup de brancard. Elle a eu l'ée droite fracturée ;l'enfant n'a pas ede mal. Une requête est ouverte sar )11RON1QUI LOCALE IJD 7 h 118 m , h h lIP -e. aA. lmh m 4, a h aa ., 3 h ] h 9 MM. P... et Lombard informent que Yi. autre. a Noua nous sommes f0 de d DfarcSi de Parie du t0 septembre 1975. Spiritueux. . . . 45 .e à .. y d cabs h 11 n I.ea Bh lra.m. 4h M1 sh i 5,Sh,. a. b 1 W s h] h h 11 h h I'oueertuer de la foire, qai se tient aux allées Lafayetle, reste invariablement B ah 111, m 9.53 , S0n. N0 If a.ovnsuvrn.far l 9 YJ bon, 1111111 . La démar-be de l'resluioef lut un pas Y L l5ar ..... t U, Y r C,.cneo:. P. , C6 1 n aow`a"v..n, ,i h 11t 4h1 6 II per leva 4rl h 1Y h 3 6. nr a,ar,e, nw 4h s nevavn,.n, P,ee soee ....'h (®rlbhlv6 G eYOe A@. f_.IL., n+v Acaa, eaaraa.r.... .... ] h': 0 h. m : G: h, r P°aae ;]h Non.-é.ea-a'ALR.. eh4uMC e WdID<: J p D t ]h IOL 12 ai.Y9 7h hr0 tr]Yh $l, ]a ]R 9h A s ergl00. B 50 6 Jeudi matin , à huit heures , surit allés à éL angors singe pn r -blé CI. Co r r aviLaillê t i en s . insurgés une eaoaervf leurs puai. Les L.s consul 55i S dam, 4 bo par la eésnlmt qù il n'est su pouvoir de per une d'annuler et que nus résume tons en deux mots : la monarchie sera héréditaire ou elle ne sera pas. l'a moarohie héréditaire a échoué nous vons Le générai Usse.impachn a ar les /1 4' 5 `+ 9l 21 M '..n 1'.n. a a6Mt(M 1rL gnlaMt, y ,,,, esr- déa,cluc il,. le la tenmHve p,, la 5t ,isx, 5 ëpn r 4 10 1 d` i y Pu Sa ,r. 4DÎ M t (d '1y;i " h PAIE f5 i les fortins1 il .t'est eusnitx retiré à Tré. créée marquis de Riva dgneyrn, 'A gouver- venir 46 sinratinn i mnére les projets de loi qui seront LES BOIS ASISoe (C e.. Iiaguse, 40 septembre. nouveau combat a eu lieu Ubei. I.e. Dosniagnes se réh:giant en Ser- I.e discours pruuunné par le Prince à l'uuve'W er de la Shupl.eohina parle daa (coure événement de la Ituaie et de l'Nrr Agovine, exprime ans sympathies et termine ¢n disant :. q 9 bie la situation e est aggravée. tlalgradLI, 10 septembre. enta à l'Assemblée. P,mi,n :wuonce a,,., 4 l'auteur, quel qu'il soit, paraît méconnlitre compléteme»t la lois eonslilnununeDes 1875. voir élever le minimum du traitement le Journal de Paris dit : surin principal des quatre eontribntions directe., augmentation dont le produit seru destiné au budget d e l'instructino peelique. unnil e émis plusieurs vieux Le relatifs au. école., notamment celui de TILE1fiG1if ïcillE 4 I e t) M tU U N 40 tN 2 4 l L(a gOlair, Paris, 10 septembre, 6 h. 25 soir. .Cession de la récente Clenche'. de restauration con ,talent que l '.eIPT.I, 9 43 Soit, Vears Cette, et vile maeussion, a volé, par 14 voie centre 6, une aogmeutdelon d'un quart informations n S j L nue'ne e(rhone 1. Marseille, 9 septembre. L. conseil général, agrée une lo rgue Les 41 a255Ml Toulouse, 11 Septembre 114maa MAe Pr Il i, 1 y e[ n i fd'rnCL i 3, Pues ce u Beoesa, Matin (esp. ) 1-m'" PARIS,MaOr{S É 80N'C REÇUES Yn,en. l trnvéea //5 Mien d PO f (AR . Il 1 0A M il1é gas àll 6u. am B nn Ch.. 022M DépOebew I ép t 5IL J à fa H aU r daa>tau v ara Ranlreon 33mIDAbun d LES (IEMINS IIE FEA IIO MIDI S.T D'oesr.$ANS [)£PARTS ET DES 4RIIIVEUS DES TReRES DES, 1 ea Paves Larges . LESBaILE$! RLU ! lard de prés do six pieds de réaistunce inutile. Cet officier à servi avxr, do t celui-ci fut e rare expression d'astuce et les yens pétillaient de fnease. Ils reste, il était oreeelemm,t vélo de noir, et avait tous les dehors d'un par. fait geulteman. l'honneur de PParler 4 demandalui V:dennn, eu faisant à l'incon- -A nu en geste pour l'engager à s'asseoir. - Monsieur, reprit l'autre en exceBlet français, bien q.'.,. ...léger ccent, monsieur Rouquette, l'udes chefs de la grande maison Arthur 'uVil. son, Rouquette et Rlondeau, m'a t'oiL fi .,or de me donner celle lelire d'introduction prés de vous. Et il présenta au chasseur un large pli cacheté, que celui-ci ouvrit et purcour.t des Noua. - Fort bien, eepritil au bout d'un instant, en repliant le papier qu'il mit duos le poche ; monsieur ISouquelte, à qui j'avais demandé de me mettre en ra ppoul avec vues, me dit que je puis v nus accorder toute congunoe ; vons ôIes monsieur Aller Y - John Aster, ai, monsieur, ancien chef de la police sec@te do l'Etat, en lire depuis quelques années, riche, et ne Travaillant plue que pour mon plai- sir et pour rendre service aux hono- rables genuemen qui veulent bien m'ho- noter de leur continuos. M. banquette mots d'une mis 1 m'a glissé quelques ion fort délicate et surtout fort difficile dont voua désirez me charger. c anciens d'aunes échaegér«n 1. cale poignée de n et ioimédin- des Beurs, .1jiegnons Le se la deaCastnllciudad ; preuves es d 'ou valeureux putriolisme; puis a ajouté que l'armée libérale avait emporté les forts de donné des Cosroo la prise ['artillerie, de marine Sen que les crlistes avaient e levé par surprise ; enfin, il a manifesté l'espoir qui un Te Deum solennel, pour fêter la fia de la guerre carliste eu Catalogne, pourrait être eh:mté à bel délai, et qu' aeurs il aurait entrepris duos le Nord une campagne qai serait vigoureusement p suée. S. barangue s cet terminée par des vivats ce lho.aeur de Puycerda, de l'Espagne et de la C'csl. rit vain ,1,1'11 avait cherché la mort pro oot- soc las r ciel main il riel ne Ini avait pas l'ait cette grdce. Pour lui, il préférait en finir avec la vie, et il était décidé à s'eose- es les ruines de la forteresse Nelir Ni 200 hommes déterminés étaient réso- lus à le suivre. Néanmoins, comme il y avait pour Ici u devoir à ne pas il s'engagea armée. les rand es ont b.,.. guirlandes dLs, dee Renrs part frè,, r laissés libre- chefs et ofieiers et las d'arrmemes, frèrens ment ae décider. Prévoyant une reddition, Lizarraga demanda à ce que ['évêque d'Hegel engagement, disant q. il novait oondait, les yens bands aux avant-pos- grande senealfon. C'est le durer jusqu'au lendemain devait heure, avait été convenue. d'hui. On parle d'uns rébellion au sein de la province de Biscaye, qui, déjà trés-irrites de voir Mendtri, Iparaguire, le marquis de las Iiorm.,zas, ma,, un sortant le marquis de V.ddespiu i,, sr des ch f, le plus aimes du puy. n é de côté .'aimait pa d lmufer so _Lentement quand Ils a ap ` in vés L ué .de que vield; de prea.ure Parula se serait vu tops Don l'obligation de prendre avec lui q ni- âuune Il paraît que Lie-aga et l'évêque d'Urgel, cherchèrent à mettre à profit quelques heures pour ranimer rre courage de la garnison. 11 tallait co ces app ochaienl, tinser le leu ; les était à disait .1.1, a avec 30,00e la [i1ms, et après Ga I. Lizarraga ; O ,voie fait appela Iiféhté I, 1 de ses troupes, et leur avoir de'lue' qu'il était tre bataillons aavareuta, trois escadrons, ée ta loostton par ulhvivat laelhonneur six pièces d'artillerie, et de se porter de Don Cartes, qui trouva peu d'écho. L'évéquc paria après lui, et loua ceux qui .s. aient se sacrifier pour la reli- rapidement de Mueata dans la province de Biacape. Qu'y a-t-il de vrai deus cette rumeur? Les lettres de Bilbao certaine agiconfirment qu'il y a Tution en puys carliste, -eset disent qu d e u une ému ute. Les Larrabezua il r fusaient à aller rele. voloaaires gion ? ic le. soldats lûelarôeent qu'ils voulaiael an cour, et que 'Jeu ne tea en empéctterail. Aussi, le lendemain, sorts attendre la lin de l'armistice, l'u. des aides de camp de Lizarraga, ru méme temps que sou secrétaire et le gouverneur sey var les geauds'gardes si ou ne leur don- .ait pas de chaussures, Les chefs out pu tenir tête ... mutins et ont fait sortir des rangs trois des plus vifs récalcitrants et leur ont fait appliquer élitaire du château, étaient conduits devant Martine' Complice moment où il allait se mettre à table ; il les invita trente coups de bâton. aa prendre place à ses côtés, mats eeuxrelaaùrent et demandèrent nn verre i d'en a. Ils proposaient le ceddilion de. forts, mais ds demandaient que la gte' nisou sortit avec les honneurs de Is dont ma dernière lettre voua su.onçait la blessure, vient d'adresser an ment de Madrid un rapport dont j'exe gueay de ta situation acriti,jne de la place et de e. lui demander des ,nuls. Comme couas- pension d'armes fut lancine, Ire défenseurs dn eh-Ma et de la citadelle fucommuniquer entre rent eux ; les armistices Purent reuonvelée en dernier lieu, on accepta d'eovoger deux délégués à Dorregaray, mxisils ne autorisésenS et' revinrent plus. ll a talhs z C; repos a truité euoemi avec s honneurs de la guerre ont été accordés aux défenseurs de la leu. qui ont défilé des t meours let des clâ roo Lizarraga marchait en tête et salon de son épée le général Marti.ez Campos, qui se porta à sa rencontre, le fit sertir des rangs, l'embrassa et le fi t assisdéfilé. Les carlistes es côtés an déposèrent les armes à la Seo. ter'' - 0. noua écrit de Berne, le 8 sep- lui paraissent ..,a, nos tembre : s La amtscription pour les inondés qui avait été close au 15 août, s'est ce IL de toute né,,sdité . que le gouvernement don.' ordre de s'emparer de San Marcos, qui com- manda ce post, et où les earllsIss ont placé pltvirnes canons. , . Or, ll est à peu prés impossible de donner l'assaut de front à Sao Marcos, il 'est accessible que par le lave de la montagne, ciao(-à'dire du côté de Santiagomendi, mais pour cela, il tant éviter le feu de l'artillerie établie sue ce dernier mont, et par conséquent sen em. parer. ce point qui, aujourd'hui. est inexpugnable ; avant huit jours, le fort de àlendizorots, montagne qui domino StSébastien, sera complètement achevé, grâce au déneormeat de ses paysans inl'atsgables, qui ne connaissent aucun relies, leengt'il s'ag,t tle leur roi. a Ente, ta position de St-Sébastien, Passages, Heroani, sans cesse menaeés par notre artillerie, va devenir insoute- Le général Martinez Campes a quitté la Seo de Urgel, le 211 août et est arrivé le jeu demain, à 5 heures du soir à Puycerda. La réception qui lui e été faits tient do délire ; des salves d'artillerie ont salué son entrée en ville. Les troupes formaient la haie et ont ensuite défilé devant le général qu',l à - Ea rIt'et, cher monsieur I lent depuis ma mois à la fortification de ajou- cette mission est nonterai qudile'licils, mais sera encore profil. seule-ne.,{ biement lrés-périoeuse. -Très'bien, voilà comme j'aime tes alfeiees ; je sois artiste dans me. métier, moi, monsfeugje travaille pour l'art bien plus que peur l'argent, quoique... ajouta-t il, avec ne sourire presque Imperceptible, je me dédaigne pascelui-ci. en vous cacherai pas qae, d'après Je ne que vots m'aminne.ez, comme il y aura, sans uante, des déplacements, des agents à expédier on :à entretenir dons :e. tains endroits, enfin une masse co.e,idéeuble de faux frais de tontes sortes, ans parler des coups de remisera ou de Aov.ie-knif À éehanger avec des bandits de la pire espèce, M. coûtera cher, - Vous fixerez le prix vous-même. Allons, foi de loba Ester Ije vais que vous êtes ula véritable genllemnn - Vunlez vous que nous fixions nu prix tout de suite, àftn de ne plus avoir ! nable. .Avant-hier, une col hommes de 4,000 quitté Toiles. et pris la direction de de ngiiesa ;le but de celle colonne est de s'emparer des positions que Weue occupons du côté de Aoia, à l'est de Pampelune. fr.... avec vous : mille , mais ce n'est cinquante pas trente mille dol- laes;que je vous donnerai, que vous réussissiez ou .on ; et oftu de vous prouver la ce. fiance que je mets ru svous recevrez vingt mille dul1arsd'avance, et dix mille de gratifica- liondi vous réussissez; en tout soixante mille dollars, cela vous convient-il ainsi ? - Allons) allons 1 gentleman, je suppose que vo.s voulez .n'obliger à faire des miracles. 11 faudrait que je fusse feu pour an pus être satisfait. Ainsi nous nous entendons? Oh l parfaitement, monsieur; maintenant ï attends vna ordres. Valentin Caillots dansa alors lecture à Belgrade uu la gagesde mita nuà arrêter net la Serbie sur la pente dangereuse où elle était engagée, et les dépêches de Belgrade elles-mémes avouent que le nouveau cabinet serbe a considérablement sou attitude depuis cet canto. panure qui n'a ce_ pu faire beaucoup. Le jura bernois a noyé directement ses envoie à l'ambassade de France. . mapiquent pas sua autres. Noua seutow toua les jours pourtant e Alsre, depuis l'saneaie., que nos traditions s'écartent sensiblement de celles de uns vainqueurs, et tandis que ceuxet remarquent ce qui rechercheul rappeler ilILILLES-PARIS pourrait o.oc rima s plus .v vemrnt frap (Currespnndunee portneuliâee) liés p,r en qui dénote une divrsité d Om pns. à On voudra bien noue permettre, duale de ne pas taire nos sentimentsen" cet égard ; I,Olleinag.e elle-méme doit désirer être renseignée exactement s ce. .o les de faits et de phénomènes de psycolegie int...ationate. Ce qui nous conduit à .nus occuper de cette lacslion en ce moment, ce sont diverses ma. n ides(. Il se confirme, d'autre part, que les insurgés n'ont obtenu aucun succès aérien. et que la plupart des dépêches consacrées à célébrer leurs triomphes sont de pures inventions des comités .lave. Le prince de Hohenlohe, ambassadeur d'Allemagne Pour en France, partira demain de Belli. ses propriétés de Li- . oifeatatiens que .nus il ....à dans ta presse allemande et que nous comeer' mous trés-difficilement en Alsace. Nous voulons parler de l'importance que L'AIsousere parait attacher aux voyages, A ,.s1 hier, M. lamiral La Bouvière a été de 1. lettre adressée par loi au rédacteur du Courla aiédilnecnnée à l'Eure et lue dimanche par ce fermer au banquet d'F.vreux. Le gounemnvt .e pouvait pas laisser p ser attaque aussi directe conte test une 'joli.. su existantes, et il n'y a qoi une vx, excepté pourtant dans les rangs font a fait do parti bouapartiale, pour déplorer qu'un homme tel que l'amiral La Mon. cière n'ont pu. m us competa les de. s qu- lui inoaaient les hautes Pouctivan dual il était revêtu. Le Cous il des ministres qui s'est réuni hier à I Elysée, dés l'arrivée de l'amiral Moutcignuc, qui se lcouvaiL coi une In ma. tin en Nurmva tir, ne se composait que extraordinaire pour nous, et elles le font dent M. talfaL Dafau re et de 3lontaignac. I:snsdea termes qui .nus para fissent plus eus( 5110v -dirai, encore. Noue en parlons lin e a été prise à ras excursions, aux inspections militaiet. autre. de tels hauts personnages priveiers de prcnél famille impériale. Le a na soin extrême et semble fort ruer sol. de Inter les rn ires ir ei lents ae rues voyages ; l'a nul x s'en o ecapentd'uulfore. La meuler publie.reconnu à l'O((ic' I de ce masans qu'on- qoi semple nmtues[ h l'Allemagce, ci'. débat ait ce lieu et sans qoi il y ait présenté aucune des observations ou réll,siuus que rapportent ce natta le Figaro et la France. J'ajoute que, dés rdi le président de la fié Pu. bloque avait été saisi, à a.., arrivée à l'Glysée, à 1l heures, de la lettre de pour nus; qu'en Alsace l'esprit pn- l'amiral La Roncière par les ministrea présents h Paris, qui avaient appelé us phlpant a nn point de vue e fièrement bjectiu et dans les sentilente que nous Pont con éprouver c mêt..u pu. de ..a. ell'eseatioos, tenus rs de la dernière guerre ms dn l'anui tua nsidéea que ce. sur :e terrain là, ne l'est point du tout hlic n'est point, comme eu Allemagne, 00vert à rte pareils aealirnrels dyuan' tigoes, allemands, français ou a lfils que, l'Alsace e fût-elle pas assurée à l'Allerngoe, et vécut-elle sous une mo -hie française ou autre, elle ne res- sentir. iLions à l'égard de set princes ce que l'Allemagne paraIL à un i bout degré, ressentir à l'égard des siens. LES AFFAIRES D'ORIENT. soir, u attention sur une lettre, eu fui demandant s'il Ii y avait pas lieu de saquer le conseil. Le naeéchal avait ssiWt parlagéce sentiment, ce sorte q le, si la résolution n'a P. être prise ufliciellemen[ «hier, après le ministre de la marina, or. peut dire qu'elle était virtuellemeutuerétée dés que la lettre de l'amiral La Roaciéen est venue x la ee du président de la République et de ses ministres. Le maréchal de Mac-Mahon est repar- ti hier peur le Loiret d'où il ne revien. La Burgerueigang de Berlin, parlant de la si,latlo. de la Turquie, se 1 1, re ux redeviens suivantes : set sensiblement . Lie situation modifiée aux dépens de la Turquie, vu que les puissances icterprêt,.t mainte- mnl d'une manière toute différente le lrailé de Paris de 1856. Il importe peu de savoir Ni les lroup'e turques répei semelle et l'insurrection vont réprimeront ; d'an quand elles la autre presque sûr que il est côté, la situation vis 1 vis des de la Sublime provinces changé complètement Porte insurgées s avec rassenlt- ent et par suite de Pimitiative grande pnise.nces. Il fou[ surtoa, marquer que l'idée de la clé des nie. es' de nouveaux Liste Nosnanx gagne aimai de Ce récit fut long ; il dura plus de fi n'y aura pas d'ici là de conseil Pendant tout ce temps,a.ttention, lohn Ester se oetentanl de hocher affirmativement s sans la tête, à certains passages, se permettre d'interrompre nos seule foie. -Eh bien ! lut demanda Valentin, à présentque vous antmn tout, que pensez. vous de cette affaire ? - Hum I fil l'autre, je vous dirai, pour me servir d'ou terme de notre mé. lier à nons, qu'elle est rude et qu'il y aura diablement du tirage. - Mais vous ne désespérez pas de réussir ! Il des ILe dépêche qui faisait ressortir der- ment, diaprés le ourent de Si Pi tersbourg, que la Russie avait fait les premières démarches relatives aux affaires de l'Hrzégovine et désirait main. tenir le statu que en l'améliorant, a produit une grande sensation à Berti n. D'après la Gazette de Cologne on consi. dé,, dans cette ville 1. communication me trés-impoetaute, parce qoi H. émane probablement du prince Gortschako6' et l'on dit dans .ertaira cercles que la Bassina déjà élaboré des praposttions pour le cas où les grandes puissances tiendraient une. conférence au sujet des affaires d'0. tien[. question c perdre la trace des enfants, et au moyen d'un faux acte de décès qu'il pourra facilemest faire confectionner ici, moyen s'approprier la fortune salut finaure, deuheures. ééouta avec la plus sérieuse dru probablement que mardi qu'il conru' s'il - Mais il l les a réeilemest assassi- nés? on asassin. - Ce que vous me dites là est bien fort. - Non pas, monsieur, ce n'est que logique. Suivez bien mo. raisonnement. Les animaux féroces se divisent e deux classes. Ceux qui procèdent brave .ce t, comme le tigre, loura gris ; animaux qui vont brutalement à leur but, anus bée simple soldat, sans tergiverser. Ils mi- sent leur De"victime, la tuent et la dé- - By Col ! monsieur, je ne désespéra jamais. Je suis venu à bout de tâches beaucoup plus rudes que celle-ci : je chirent. Les autres procèdent par ruse; dais cependant convenir que nous avons cuité, ce sont les chacals, les hyénea ils saut plus féroces peut être que les premiers dont ils sont le sous-genre. ils ont horreur de verser le sang, ... pas par bonté de cour, mais par Id. C'est à un individu appartenant à ce sous-genre qae sons avons affaire. Votre serrer do. Miguel Tadla avait cinquante nopens de tuer les enfants. D'abord lors du sac de la chacra, ensuite pendant la traversée, par une nuit noire, n temps d'orage ; plus tard au Brésil, dans une savane quelconque, il n'en .motel pas par là ; fl les a laissés v' ver, parce q 'i1 n'a pas osé les tuer ; uu meurtre, du sang, cela l'effraye. Il Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés plus exnlusivement de drapeaux prussiens blancs .t n ira, ouleare allemandes, noir blancsetu ronge. Lesbâtiments du gouvernement avaient seuls arboré le pavillon prussien aans y joindre le drapeau allemand. Aux thénars, on s'est borné à lire des pro- logues, mais il y a eu absence complète de pièces militaires. Les illuminations n'était pas géaérules. Toutes les légalions, notamment, s'étaient abstenues. 11 y arc e aujourd'hui nue grande fermeté à la Bourse ; mais les affaires combattent à être fort restreintes. Comme je vous l'écrivuis mea jours derniers, le mois de septembre paraît devoir 'ce- tsr aussi calme que celui d'août a été agité. Le 3 0/0 est côté 66,65 s.us sur hier ; quant au 110/0, il faut 104,32 eu hausse de 2 clef. ehangement Bien cm tainement le principal obstacle à ta ausse eet l'absence des apéculateurs habituelle à cette époque de l'année. Les achats au comptant sur os fonds publics ont faibli. Les _IL,,Ira généraux mat fait acheter "'Il coin: 1,300 Ce. de rente S 0/0 et 11,000, de rmsts 5 0/0. mue Hector REVUE DES JOURNAUX Lesjoumans républicains du mati. fêtes du ceuteuaire.'il qoi un c...aissaient, pas encore la non. velle du remplacement de l'amiral La le te Bancière à la de l'escadre de la Antre correspondance. Paris, le 9 septembre 1875. Voilà le vice-amiral I It ; Ace L n ules d Noury te p! é clos t de 1 d déni t retard, n ud d'an d Médllcre, niée c, , 1mnnà réclamer la é M 1 p ieip'taOOe et à il d-, nl,stres dont Maréchal Pr :crient «lievau sa provoqué le la limier, r dieaua qui réclamais ut depuis hier la convocation anticipée de la commission de permanence afind'aviser? La chose parait généralement don. teuse. Et comme les feuilles rêpublinai. .ce est tout d'abord comparé le cas du vice-amiral de La Ronciérel celul du général Cserey de Rellemare , ou mrois qu'elles 'nststerout pour la mise endispunibilité du vi e-amiral. En tout css il y a mille à parier que pas aas d'el l'a ne rendra hommage à la vigilance dont a fait preuve dans le cil. constance le gouvernement. Plusieurs jeurnsas assurent que M. Ducros ayant insisté peur que aa dé lun de préfet du fillette fut accepe fer,M. Buffet l'aurait prié d'ajourner as résolution afin de laisser au gouvernnent le temps de lui trouver u le ompensatiou. On espère aans doute, à l'aide de cette rumeur, faire prendre patience sua frères et amis de Lyon, mais malheureusement pour la né. ritéest juste le contraire. eux M. Dacron et il est jamais question de le changer 'n pas envoyé sa démissio. moins la, résidene. télégrammes de Ragions confe. Les ment ce que nous savions déjà depuis de Vienne, quelques jours par la voie insurgés ont refusé de air conférer à Moelle avec les men. bres de la commission international. Ce refus motivé par la crainte d'être retenus prisonniers par les Tares, au. rait déterminé, dit-on, une demande d'inatroclion de la part des connouis. grue les chefs es à leur' gouvernements. Ici, aux alf.lrea étrangères, on a ssare que M. Donou a été déjà avisé qu'il pouvait sans inconvénient se prêter à la réa- n d'une conférence peint à Rages ou sur àla convenance des margés. Les antres commissaires raient été l'objet d'aumrisalions ana. ' tout autre lognde la part de leurs gouverne. .,aie. trouve, dans une lettre de Berlin en date d'avant-hier, des détails sur la façon dont a été célébré dans cette capitule l'anniversaire de Scion, qui, malgré leur cnraclére rétrospeetif, me pa sent intéressants à reproduire. L'auteur de cette lettre constate que cette année l'anniversaire du 2 septembre vail perdu le cachet eaclusivemrat mi- ,.,a ire et prussien qui l'avait distingué jusqu'à présent, pour revêtir un carac- tère national rappelant beaucoup plus que le souvenir de la bataille, celui de l'unification de la patrie allemande et de la signature de la pais. Cette année tiret avant tout à s'empares de leur lui fortune. Pour obtenir ce résultat, faut supprimer les eaf.nts. Soit, ilil les supprimera, mais ans commettre un meurtre; voilà précisément pourquoi ü est venu ici. parlez par énigmes. - Nos pas, monsieur ; je parte dernier. souvenant, DAL, I tuue.,êr nlem j L s'écrient les I honorable amiral de La No ry fut promu an com- td l'eseadre d'évolutio., :a, pas de susciter quelques inquiétudes. On rappelait les te.lances très notoirement bonapartistes de l'amiral, son passé, ses prédilectiaen certaine. pour l'avenir. Le maréchal de Mac-Mahoa qui veut tenir, selon le propre exemple de sou passé militaire,l'arnoir et 1. marine en dehors de nos discordes politiques, ne l'arrêts point le ces propos ; jugeant les autres à sa, mesure et à la lumière de sou palriun Liane, il préféra noblement avoir confiance il nomma l'amiral de La D.oneièur Le Nonry commandant de l'es. cadre de la Méditerranée. Cette ton. e choix 1 fiance, nous constatons avec étonnement et douleur qu'elle avait été celle fois mal placée. . Le Rappel qualifie la lettre de l'amiral La ltonriére de scandale et cite à ras propos l'ordre du jour adressé par le réehnl de Mac.Mahoa à l'armée. le 28 octolure 1873, à l'occasion d'une taure miressée au ministre de 1. guerre par le général ulueré de Dellemnece qui y déeicrnit qu'il an serait jamais ie soldat do drapeau blanc. Le Siècle signale ce fait que les feuilles parisi,nnes sont presque unaoimea pour blâmer la lettre de 1'amiral. Le Cens Jftutiennel est d'avis qu'eu su qualité de député, M. de La Bu.-, cière avait . parfaitement le droit dn s'es A.primer avec celle indépendance. . moment où les attaques les pu,m audacieuses sent dirigées contre laCuns- titntinn et les lois du pays, il est Sqn e. (tendant que le gouvernement fasse son devoir, de lire et de relire des déclarations honnêtes, droites, libérales, com- celile que l'ho...aide M. Léonce de Lavergne a faites dans le discours dont co r o -mu donné des extraits. Ce disde M. de Lavergne preuve à la llépuôlique Française q .'il ras fief pus .uafondre tels les conaerra[eurs sous la dénomination commune d'eanemta dé. clavés dus institutlions répablieainesr Hnuerasement, i lot s reste des conreuteurs qoi .e rr.,iguent pas de coca. fier leur cause, leurs intérêts pub',ica et privés à cvaisseau de la République, halloté par tant d'orages, à l'heure Ame où 1 quitte fe port pour prendra la haute mer.. i a Des déclarations corome celles de M. Léonce de Lavergne sent de grands services rendus an pays. Nous tenons, dit la République Française, à honneur de signaler ces services à la l'rance. Nous sommes républicains et meure radicaux auront que bien d'au- tres. Nous préférons cependant, pnnr notre cause, ne discours comme celui fausses err messes, l'intimidation, et, au besoin, la vieileece. Ce que vous me dites là est afferx, je ne pois croire... - Tout cela est. Du reste, l'idée peu. nièce .e .nus appartient pas; elle vient de France. N'est'ce pas aluni qu'avant la grande révolution, les sous. officiers recruteurs proeédaieut n homme qui pessèie une lo.gne habi- tude, une vieille ezpérieuce de ces affaires. La épullique des Etata-L'nis est le pays do monde où il est le plus lafaire disparaître uu cite dividu ; la Louisiane, la comrée de l'Union o stte disparition peut le plus facilement i eséculer, la Nouvelle Orléans, la le cetl N [N s', n'a ph. -Cher monsieur, vous - Non, nous n'avons pas Ici affaire à particulières étaient elles pavoisées cou Buo..rofil, dernier descendant du célè- aan t r plus Arian Peler, ".aie le National Peal allema. I. Aussi la plupart des n,aiso,is bre sculpteur, a été envoyé en congé à Flnreoee pour q. pet assister aux I privé du commandement de l'escadre de 1, 'aile er de Un dtarai ft je vous le faisais prenne l est annoncé par une feuille - Versailles, 9 septembre, don,. Berlin a commencé à célébrer non modifié Nopals est tuiles se , de pensée elles-mémes des uns ne à lui ter contre un gaillard madré; trop madré méme, ajouta l-il avec un sourire sardonique, sa finesse le perdra. A àyJene4 farce de vouloir ruser, il se découvre. demande pas mieux. pn Le double enlèvement des enfants exéJihu Est., le la leller qoi il suait reçue Ls policier en recueillit ; il sembla se enté de cette fuçaa est une sottise; son tierce a u calcul mental ; puis au bout de don Gregono Peraim; paie il entra voyage u Brésil, nos niaiserie. Je vois da.s tons les détails de l'affaire, dont il reprit quatre m toutes Il de trois ou maintenant aussi clairement dans le jeu raconta les incidents les plus minutieux, en regardant Valentin qui pouvait ds cet homme que si je regardais par sans rien onhlier de ce de trente mille - Que pensez-vous dessus son épaule. guider les recherches et mettre sur la dollars? Explique-roas. entionnant les renseignements - Trente mille dollars !... fit Vaien. - Pour moi, l'affaire est limpide ; il enfin me laissant qu'il avait obtenus, tin. faire - Oui, mais je me mettrai corps et rien dans l'ombre de tout ce qu'il était est évidant que cet homme veut : Le prince de Serbie a dû ir aujourd'hui la Skaptebiaa. On ne pas que sas discours contienne rien t do belliqueux. [I set avéré aujourd'hui que que les mmurs, les corttumes, les final- nécessaire que l'es.chef de police secrète onnût. que vous jouez cartes sur table, je serai le Florence. âme à cette affaire; et je vous orange ma pareil, à laquelle je n'ai jamais manqué, que tout ce qui il aera humai.ement possible de faire, je le ferai; et regardant à sue tour bien en face, puisa rtuellemeut ce Suisse où il a dû ae rencontrer hier à Interlaaeu avec p r Le p G t h a ko ff donné 46,00(1 ce. Vaud environ 80,000; Fribourg 35,000; Néuchâ tel 30,000. Le ma terrain en Angleterre et que les pré- - Eh bien ! répondit Valentin en le est feuve : les frontières des Elala, et tes nations ne sont pas des barrières telles la v Le 5, la petite rlit. de Lequeitto que si je se réusaia pas, c'est que ce sera absolument impossible. é trangères, tiennent la tête ale la liste. Genève a Suisse française, notamment les cantons A. Cenéve, Vaud, Fribourg et Neuchâtel, aveu des voisins dont nous ne som- peécisémeol en prévision d'une attaque, que les carlistes travailC'est d es a ff aires Laà atrit largeur d'un néanmoins continuée jusqu'à aujourd'hui, Elle a pendait 485,000 fr. I.a que soutenir aujourd'hui penchai enfin ae rendre, et Mrti- une générosHô lien r nergeable. Les oue¢a.. était mena'é par le tribunal du district de Dresde. A ce propos on me doo.e. comme vilain qae M. In duc Decazes, outre thuanie. Le pèlerinage belge se continue sans aucun incident. A l'occasion des prochaines fêles du centenaire de Michel-Agey ne fait ce. de vouloir lieu r que fotte, il sauf séqueaes de cette entrevue, nue est. a côte euutnbrique sans avoir s de refuge dan. ce, pacagea couverts d'écueils. Passages étant le sels) port qui Ifeu quelque -fierté pour abriter les foetlfcations de la Seo de Ergel, dit le général Joenilce en ..urt,nt. L. général Martine' Campos offrit aux d, aeer o 11 dit-il, de la plan grande imprudence, dans lu satssu uIl noua alioas outrer, de continuer nos opérations sur la un du Lion, soit, vous faailileece la gouvernement, qui a résolu de raser drndnRélégués de leu, r trais les ligues qui suivent : des émissairea. - Eh autel! dit les palots qui Peuple, pris la fuite pour échapper à ues condamnation dont il re. po. danses de la plupart des jour- . Le contre-amiral Polo de Baraabé, Tentes ces peopenitiens furent rejeléea, et le général Martinez Campes de. manda la reddition pore et s mple, ma , tarons as nonefortin . Eh bien ancien ré facteur du Les j.... aux allemands relèvent vo té légeuphs - On écrit d'Azpeitia, le 5 septembre lui conviendrait. bl, Velkseinanq, de Berlin, que M, Elemp, On lit deus l'Indwtriel Alsacien (de Inodore à la f,, de Dresde, journal su, billets, a 1875 : guerre et put se rendre librement où - On écrit le LES SENTIMENTS DES ALSACIENSLORRAINS. mes séparés que par cas -jour. mana. La Sublime-Porte est forcée d'avalev une amère pilule, et les médecins qui la soignent ae as donnent plus (Courser de Bayo..e). nous n'avons aLSUlumeut rie. de cam- les moments où la n...elle manque, on est toujours sûr de voir subitement se produire quelque bruit à dt guère la peine de corriger le mauvais goût des potions qoi ils lui ordonnent. , du géuéral en chef de Duos aes de l'armée. Uue suspension d'armes, . Le même joue, Charles Vil est allé à ]),,range ; Sa Majesté a quitté Dura.. go hier et s'est rendue à Asccitis, où elle s passé la nuit. . Ce matin, le roi est arrivé à dupai fia au milieu des acclamations d'une foule nombreuse. s C. Il M. évidemmea[ ridicule à nous, Alsaciens, de la Seo prend ses cepas. L'évêque d'Urgel a passé la nuit à Alp. d'iustrncliona à cet égard. A sent 100' les était reres du soir, le coloneé Foca, témoignages d'affection. prie onnier avec la plus grande déférence ; le plus souvent, l'armée de Catalogne que le défenseur Pas il 0'001 presque pas question de la parlie loi souffre le plus, é es[ e-lins de la Turquie. On discute maintenant la tues[ius de la dissolution de la Turquin 'Europe avec u emusulfranc chi se qoi doi faire frémir les u ,es Le général Martinez ast à la table fût laissé libre, et insista sor ce peint ; mais le robinet Fueutes refusa tout pour lui offrir de nouveau heura a marquer uas conformité de Campos traite son fût pas compris dans la capitol'atiev et grand de tradition, ou de pensée, de l'Alsace er les pays d'outre-Rhia ; et il serait carliste Segarra. ne l arrivé avec son d'artillerie tentons des insurgés Nerf à peu prés qû elle a e1 a sontri, da dernici. bmn- 1 fur ici Des duos ce sans. Dan. tous les bardemest c'est quelle possédmt son cas, il estcurieax de conntaler qae dans as puissances, oi, et qù elle Bavait o bliee ses mal - louis les projets des Mulhouse) du 9 : tonal le avait il air de fête, malgrA tout er fêtes d cnt giorno, s des arren tous les 'foute la ville n'a cessé d'être à trou smettre 1. communication au conseil de guerre, auquel Prendrait a santé le qui avait libéralisme de lde , Ici voit tint épro(ver oeano,np de ma], nn fan. et il re pouvait répondre il verser il., sang inutile, Ses, a cou deu ratsnifv ras p r il une courte allocution; il perdue depuis jour nà les positions do enl été enlevées et car 1, vainqueur de la voir repondre à ces fieier fut chordé. I,issrrsgs se put dissimuler sa tristessitnal.ina était couronne, et des pi- .les geons. l'or tement le aujet ds: Iul missio. dr aeelamatinna, des balcon, a reçu l son Sas jeux lai fui enlevé, les Aenx ville pour emb...bu, les soldats? Et avant cela, sous la régence, n'empioyail-on pas les mémes moyens, lors do système de Lave, pour expédier aux colonies des milliers d'individus des deux sexes ? - Tout cela est malheureusement x et, monsieur, je le rII...lis ; .a- 'prie. ù se ennoostreot le plus d'individus ailla niés - Il est donc possible que le cesse du. Miguel se soit ehouché avec une de à uee suppression de personne ; pédié les pauvres enfants deus l'Utah. à prêter la main à un rapt ou i1 y a cela deux causes, qui, réunies ici, se trouvent rarement ailleurs: l'esclavage et le Mormonisme. - Je vous avoue que je ne saisis pas encore. - Voua allez me comprendre : Il y a ici dix agences qui fonctionnent libre. ment ; les ..ce font le e .rlage de l'Utah. Eu rapport avec Brighom Young et les antres chefs du Mormonisme, elles se chargent, moyennant une foi te peine, d'expédier à Dexeref les hommes et 1. femmes q 'ils réussissent à ambon. cher pour le Mormonisme. Tous les moyens leur sont bons ; l'ivresse. les agences et ait tout simplement ex- - C. serait ,Beaux. Oui, d'actuel plus que s'il es était .ainsi, il serait presque impossible de réussir à sauver las enfants. Le cas s'est déjà présenté à plusieurs reprises, .t jamais, quelques efforts qu'on ait faits, on n'a pu parvenir à enlevr aux Mure, as les victimes dont lis s'étaient amputés. (A rcontinuer). dMd l 1. Il li u , l ep n, t qui - 'iii, d a t ,,,"i.,,, e é la,.s rect ' p a,o t f I lf élu des qu'il t 'III -à uns discours lie M. flaoul Ducal, que D las ne pouvons repro foire ail end", a muse d0 sa longueur, peut fange. t I tt n . faveur de 1'F.mpue, foot les arguments suas depuis fo rgfe r li cocon, ter fis te ttainen1 dans Las les jouru'n0 1évotés t cetlc r t e 1,I tout est ageém entr, ,I'alta'i.ls, 'al. . , nt: n nt vives et toisa bnte . ,],i ',l l.... On I pou, , 1 lI1 1 Le l' gr réside, non é ais, rues dans I , et limpnlsiun dou drrnande, Conan[atn.... 1 a d :I b II pci,ounalilés haineuses. voie, ileol- lie : q ,i s'ee achevée il y a Ln srs e,i n éclore. , iii constitution , v Crin ;airs ou, v ins dniven1 co... Pte tendue (Rires); l ll, p d u u I,it' 11 niros de la I I t li vert il, , Ici é l.'ilx ont cru [ d.vo rI, oppos Ir. Je i y peut co- 1 i loi on[p,a l t an bout refusé la sanct,oo de bar vote, et,j ai le sentiment d'avoir agi on. furmhneul dau devoir que rue traçait l'esp, it du bre des dépités q Ir - . deja nJ Ioai, gens passages de celle première par. passe comme duos n. engrenage. 11 fou t mar ppalaut.l ' h clore des joannaux n peu blasé de l'A Pp et au p euI ,I .sur le chuPdie des Don, il fuuty e le corps ton atelier y F fi I jourd'iral que le discorde en. un c:,mp d'Agramont et que il"; radic,uxlicitai leurs secrets respectis, . Il h, rentra poutre ne va pus eeniprcu Ire laf)n que, lui qui rêve de duper M. Cun,belm, 'I est à 1. veille d'étreontllreusenr,+,t dupé. rin doue lu révoluOu and eu a min la d peut l ie , de repus q, ntebille, Ae séeu cité ,Ine dr. rempli, ,tuons , le l' lira les ali ors r,l ' m bo de bmncoap la plas dév01Jppée, col g ent un p ai d oyer vehé m e.t 0 . PI a1 I t' ,o divise, en deux parties. d. I bi'n 'ii x r il is -, foot partie des conseils municipaux, qu'ils se gardent soigneusement les blocus seings; qu'ils se rapprllcel Jnsa- ! anx Inrauct I1 uu,Ylo 1 rI,. e,nlre gauche conte, . daine an ces,o de Le Bleu PublicIl félicite le gouvere.t . d'avoir sévi avec pron,p- aaseniidn,l que u ,duite titude cri tee l'inqualifiable . aw de 1'amirut denLa Ronciers. On au ait pu, e énerver la .a.1iment de la discipline lui reçu 1que871 ). Les député. (Applsuez vous ornés eu 1871 contre fa liste républi. 'out pas reçu de vous le mandat dents lus causai ls Je lu net lino pour ÿlitre sont leste. la même béa.. d allernaié militaire, sana autoriser dans le pays, la gne qu'a rira ien t faite les candidats en. :mépris vécues que le eon pahie appelait poussés per uns suffrages. C'est bien cependant le démoralisant spectacle qui violation de le loi, et sans mériter les sur le France répub1 " ifé e . Oa sailcumment lia Salnry avinés w; l'orgie pré- vientles ae nous être donné spécialement partisans orléanistes. par torienne crie :. Vive l'empereur! . pré. Ducs et prises en tète, ils avaien. ' nnteslabiemem,adroitde deve cèdent les Deux-Décembre, nu 1 un tue publicains: I1 n y a pur l es con dé s Ot ro i, :a prés avoir bua Ceen Surent ;dar lettre l'hnnoeuru lieux- tes qui puuasen5 a r la prétention de dons un balle Décembre, a piteusement avorté. Le, refuser à lexpér,eil cele u,,,,tde ma'if1 temps n'est plus où l'on a factieuse, liure jugements en les éclairent. Mois ment raison de la loi IL de la franc,. 4 . e, qa ils n'uvnienL pus le droit de paire, c'était ô'l,nposee à leurs électeurs une La Gazette de Frmtce approuver l'acte enuutitutidn républinaiue, . vertu du r et la fcrmeté , du gon l de vigur ont . urElle est In,rvatucrie q ii vob- ( mémo mandat qui fur servait de titre, ti udra l'assentiment de tous Ceux qui il D'y s pas emco o dans ans, pour traeumprennent combien, il est nécessaire vriller, avec l'ardeur que none sucez, .u -de faire respecter lu discipline dans rétablissement de la monarohle de lune. bon,.. d'armée. Si ndulgenl qu'an puieae être pour nt La Tampa V+licim le gouvernement f les faiblesses hmnaines, il y a des oal. uni e d ir . réparé avex- nue promptiuude I uns qui ne s'expl p l at pas. Ceux rie lu "Il,"s",, t qui lui fait le plus grand mis l'utilité à la plane d drer i, confiant à tin député bouc p'mtistn, de 'aura gréa M. il, ' 1 peuvent ae les e cenxnqui ..Il gai dé a culte de l'honuPleié las réprou- le présb Lu seconde partis contient 1'exposé d'un programme pohttque, clair et nos lac- l lu mcar égaré à e"1. de a tête de l;as entimeuluauni are cillera ,.eue ".aatoraux qui oscillera de tore Ies vrai. re fana les a a l'ex.chef d'er.cadre patrioira pro politique raligio ri à .ce et Pom la première fois, la France renellemé e, libre de regarder mien ont a.as, l'avenir, sans canarder du e 1 nations du passé, a.. stériles r n gm, ment, choir allait pua gnond il .'est trouvé une najror Lr, par et le,nentaire puer jeter eoute les ra rien «,, ae ondrdxanl congre eux et lunettes de pronunciamiento,, et diOi,rlles et tes entrav,",'C,',']. rCunstitt lien du février. Si, par cuite, mes- 4 ,fil. notre pays ont mal arn,o c eut mp,ils calao u lent nutlui gouvernement mVginant ,lui lea lais.erail faire.. Presse Lient le rnéme langage. e11La .sieurs, la Frnncen!init être Poussés aux abimra -ont d'avoir pu s'su dégage rait pas la responsabilité quel l e , es salants tant' du 2'; féern re pa ,. Français regrette que e le gonvre' nmaenl ait dit fia pper nu officier à la 7.e na poché duquel tons rendent trmmnage, et tin homme petit. que qui r e'nclin's ,ait nstans tir pi para n 111.1 a ré. Maiajoute-t-il II'élicli.ns pas m o le n'en gouvernement laquelle il e réda lu fereirte dos désordregni ne pouv,r it être ,,,"(Il primé. absolument inadtoléré. Il est, e missible qu'a. commande. t supérieur e., à la vête us lea a ,une faite Un. 'o'p' de troupe r u d'une unie, mifeatalion politique, u, ara, de il, partiul.u discipline des armées nomme le paix politique en seraient trop grave- nment ztteie les. e Le Jenrnal de Paris croirait faire injure un gouvernement en le féliuilunt d'avoir lait ,oui devoir. Il a,, borne à dire que . le remplacement de M. l'amiral de le ltonciére est tin, preuve de plus de l'énergie avec laquelle le gourent de rmrréchal, et le cabinet Ballet, savent faire re pecter la eonstitutiun, les loi. et la dirigé pur Ni. .1iveiplrne, , L'Union approuve également le go.veraemeat. r. Puys descenddépl ..ce eu ore la « faiblesse et la . du gouvernement. r Le gouvernement, dit-il, semble être las de lutter centre les dénom;iations IL le. déelarati... du parti radical. On ont plus le rieur de dirait qu'il ne résister à ace exigences. Peux souhaitons bien Sincèrement que cette preiére eonuessieu, qui a écho n suit .ma douloureuxdan. au compagné par d'autres r ' qui, petit a petit, et Sons'gii,Lel sloen le paysan rende compte p ornaient a.asjeter, tlatin I pi. et il il ra ae lesmoains phanie. e "démO riom- publie le r vrAlnisn 1 lulsmrz vous, rues ,hors 00v' s le voulez, la France eiwyen ment de sur clona ; a le sgeo elle teonvea bteir le moyeu de faire entende ,a volonté, et quand elle l'aura ni[marée, .lie ,compte, ,moire, je v In ju,°eolonté as c,, d'enfants résolus pour que soit obéi,. Ha v ll y avait, entre Ies eoelraetsnls par. lomeuturrea du 2!; février, trop de Jé fanas, 1 op de mépris pour leuraeompromfs réciproques, pour qui ils ne bissent pas réservé une p., désarma5 : 'e.,t celle de la révision. bu Elle est ouverte à toux, et il y o u senti nelle yii n'y laissera passer que la volonté de la France. Assurez vues, mes chers conciloyeus, deus l'impartiale rv rf'er neté dumaréchal et de s.u texte du décret qu'il aloi dit-il, que l'en connaisse, ,sidérante sur lesquels sappuie M. le ministre de Pralin Lion de sénateurs qui s nflexible envers I es pecinrbu- IL députés ceux - là seuls pr........... t pour la révl- m urérbal les soyez-en la nu- fi.n, et le gouvernement formé par le cite la de Mac-M. lmn demandera, sirrsque chaque Frauçaie nn libre vole, exprimer ses préférences guuveelenlentales. pmsse, dans marine.. 11 .'est pas possible, eu effet, l'uni nommer les députés, vous cou- de croire quo las déno.ciaLions épilepti. serverez, sans dente, le snlfeage univer- pins tira radiaux suffisent àamiral jus'ifer la e prise envers un de Prince, Le gouvernement de M. le marécbal de liter.-Mahou n'en est point à obéi' aux 'mpéeiuse. injonetious de la faction nmiéanoaépublicei.e. e v..s si souvent à détruire les n'aue le prétexte de faire un peu de bruit dans les réunions élecmralea eeuvres. Français et patriote., serrez en. ,ange lesrFenoçais, assez site de le et de peo.oe- cer d'interminables discours, II nous leurs la inutile d'analyser la 1 InImarts. airs connus. Les 1lommes de l'appel au peuple ont approprié L mine meeunis. me à la éeopngsude politique. Nos lecteurs conquissent le réperteiro du parti. L'oppusiliou du corps Iégislali . loup rojets du maréchal Nie,, Ies causes des La ...paelusfes sel ; il fout travail ler à le reeongaéeme noralemenl pour l'élection des membres du Sénat. Dites hardiment ce que vous 00111,, aux membres de vos renarils de commuse, d'arro.dissement et de départe. do 1, guerre, les dis huit ans de pros. périlé i suie se déroulent toujours dons le club, de parole bridante 'ne d'nu néophyte, le mot d'ordre taure été donné d'enleudre la leader de l'Appel deson disemum. a peuple, parlant du Irarécent, W. ménagé sce ex peeslions sur la fia ,I té de la vie humaine. If est des o m vidéralions l,iloso hi ries s dev n é le' qui coure,L grain1 ris gae,11 chef, le programme du nu,do je au leader. non. Nos lecteur. trouveront plus ifeste de l'amiral impéria. loin le liste; nous leur laissons le soin d'appré. 'er de quelle foi nu les hommes de l'Appel au peuple en landau! l'a discipli. nn et le respect des institutions établies; tuent à nous, en prenant connaissance an cet éfrsnge factum, nous n'usons pu us défendre d'un sentiment de sue. prise, noas demandant ai c'était à bord d'un vmsseari français qü ne pareille letlreavait été écrite, eu bien dans les eaux de révérencieuses quand allas s'applignenf meu a n chut' de lÉtat. Si le pIlire manquéedes disoréu.n ré e mesure, l'homm politique n'a pas té 1, p lus pruplus modéré. PI. Ducal a fuit nntprendre t se a drteurs que malgré les termes formels de la constitution il ne fallait pas considérer le présidant de la République comme investi d'eu pouvoir qui ne pourrait pas lire révuSons insister davantage sur la lettre de M. de La Glacière, nous nous bar. i qué avant I année 1880. Lorsque l'oranerons à signaler .ne expreasion bien i Lenr bon.partistereprésente le gouve.rmalheureuse qui n échappé à an éuri- nemenl du maréchal comme décidé ie hm,aparliste, Nous lisions Lier nu I d'avance à se soumettre au ,non de la noilon dans le cas où Ies élections proair du.. une des fouilles Ies plus a torisées du parti : « L'amiral a brillé sea chaires repaient favorables à l'empire, vaisseaux.. -Comment! l'amiral a I! c'est pua dififcile de conclues de cet. br01é ans vaisseanxt Ce n'était donc pas te supposition que si le maréchal rie, d'on navire, d'nu navire coulé à si lait le parti Je l'Appel au peuple fond dans nue manmuvre a,alheur¢usa, n'hésiterai; pas li Ini furee.r la main. dent ni Cadix. 1 Si p belle d .o fion, g 1) 'ai pet nrrairque Ies doué: frères ppoÎ biques! i c'unseeualeura. En résumé, Is discours de M. Rural Ducal q été pour le public une déce.pfion littéraire et une déception politique, Ou s'atte.ndait à con.aitre les projets de l'lmpérialisme libéral, et l'orateur s'est borné a une allusion basale aux l,ahitricks britanniques. On attendait eue idée nouvelle, la pensée intime d'eu jeune d noms , et s ae .nous pafriotnlue Ce (dfaniEeur) Prvv Are v, Failli; Blvern. Par décret d, pr. d. t d pr é ten d ant, l e n rente ofnciel d'an programme, lad l e lé et 9rquelquaies voilà quo tuul s, réduit in- ers adreaaéesau nemre droit et à une électorale centre M. de Pro glie. (liche taniuerael). bliqlo In lo Ducal duos une réunion bonapartiste tenue à Evreux. Cette harangue du membre le plus militant du groupe de l'Appel O. peuple avait été précédé de la lecture dune lellee adressée pur M. le vi -amiral La Roncière Le Noury Noua ne croyons I I - fin lit dans le Jeu-a/ of iciei : Le conseil des mimai, cs crut réuni hier au palais de 1'b.lvsée, sous la préblésidence do maréchal président de la publique. L outre plions pour les inondée les malus de Mme la muré. chale de clac Alahnn et des membres du vara mité central, s'élèvent à la somme de fr. 31 a Les e nsoriplions versées jusqu'à ce 4,1394'945 jour à la caisse centrale d'Trésor pet lotie à Paris et aux caisses d'a s trésorierspayeurs généraux dans les départements s élèvent à la somme de 18,753,306 fr. Ol I. Si l'on ajoute cette somme au montant de la liste ci-dessus, on obtient In total de 23,1 LS,311 Cr. 32 I. - Le Bien Public apprend que l'amiral de Montaigoac, ministre de la marineet des colonies vient, après s'être concerté avec son collègue, le générul de Cissey, ministee de la de donner des ordres pour qu'une nop,elle impulsion fùt impeimée aux Ira- ,a.. .,repris aprés la dernière guerre, afnde compléter la défense de notre littoral. - Le ministre de la guerre er,h au. jnned'hui en possession de toutes les let. leos des colonels dans les régi enta desquels des réservistes ont été ver- sés. Ces lettres sent Ioutes à la louange des réservistes, qui, sauf' de rares exnep. 11- bien, ont bonne e ns la .cadre récrimination à la dis. - ET LA POLITIQUE cipline qui leur est imposée. pas qu'il y ait une - 0. assure que le ministre des trapublics et le ministre de l'inté- vaux i riene vont raie, un voyage enr la Seine, de lime, à Melun, à bord d'un bateannoibu, lie ne 30) prépaeé pour la rleouetanre. 11 s'agit, dans elle expée de se rendre compte de la pou. sibilité d'étahOe un servir. par eau et à grande vitesse, étant donnés l'allon- culé gen.en par les partes pour ie jemr à la tète de leurs adversaiea, et qui ou t'ood ne niunifie rien. Si le besoin d'ordre, de Ilabilité, l'attactmmeut h ce qui existe, et le crainte des .ira tores politiques sont Pas rie l'on o voulu désigner l is dél'a rite quo lariFe ee de u à mtoua-. s nouveaux navires, et l'zugnenlafion des propulseurs dont le bureau na 30 est le actif type. - Vers le I5 de en mois, le prince Cortschakolf quirtera Interlaken p... a Iler passer quelques joues à Oachy, chez ommp M. Thills, villesulcomme aux u; c t exempte seuls eu - On vient, dit la rouvrir composent celle tourb'agitateurs, ','il Do teuts de [ou, les régimes, parce nécessité de faire respecte, Ies lois, et n'existent que pour cela. Mais ce quo l'on peut dire, c est que le nombre de ceux-ci est plus grand dans les villes que dans les canipagnes, qu'ils y sont surlout plus bruyante, et qu'ils peuvent mieux ainsi y donner le change suc leur nombre et ils s sont dans la bloc. sce plusieurs antres. Ce n é t qne dernièrement qo il s'est aperçu de la ,aleur d. l'objet qu'il possédait, eu faisant nettoyer un grenier oii le Lablean était relégué depuis longtemps, Ou l'att,dbue, ajoute la Preaxe, au peintre leur I P. taille' écossais Ponoeen le manie qui peignit l'étendard de la pucelle. Aux hamps comme dans les villes, ce que veut cette grande majorité qui a - M. Robinet de Cléey, preenreer général de Lyon, appelé par M. Enflure à La suite de l'affaire Ilouvier, se trouve cnu,er à Paris, ait il a de fréquentes entrevues aveu M. le ministre de le justice besoin d'on lendemata assuré, parce que sans lendemain il uly a ni c gêner personne dans Iu et M. Baedoux. libre dévelop- pemeut de son activité légitime, assez - Le lfanileur Universel annonce que le projet de loi sur la presse, élaboré par hl. le garde des sceaux, a été com- fort pour imposer à tous le respect et l'obéissance, pour faire rentrer tous les rifracmlres dans les rangs. mun,qui au vice-président du rotatif Voilà ce qu'on demande partout en France, ce à quoi partout o aspire : seulement' celle grande voix d'ordre et fera p .lus gies quam notee qsn me nt entend re dans dans Ira vyles, parce que Ies cardantes les noies dis- qui l'a approuvé, après quelques modi lestions, Ce projet de loi sera déposé sur le bureau de l'Assemblée dans les premiers jours de novembre, - M 'occasion de l'anniversaire du yont moine d'éclat et m.i.s comte de Chambord, un certain nombre de députés légitimistes et de oombilités dIl partis re P. Iront à Feohsduel' le 20 septembre. journal .Ire qu'à celte ucesaioa le comte de chambard adressera à ses visiteurs une alloculimr qui sera oe eéponse aux attagnos de la qui porte ce titrée On, Des. ponmbililée.. d'habileté à dissimuler leur petit nom. bel sonna leur activité criarde. La politique n ésl pas sans doute dif. férente le t là ; mais les jugements qu'on y porte sur la politique sont aoe. ,cet plus téméraires dans les cités que dans les champs; et Cas r brochurae leurs résulmts mêmes, sans s'inquiéter de ce qu'en pensent les partis, lndi s que le citadin laisse trop souvent les partie communigirer leur ou s- - Dans car eénnio. filon à Auril ar de cés ,in ds iii fin Cantal, lui ;dicter eon approbation ou sa a prononcé len .a le regret que pa monarchie coustitutfo.- n discours dans capte la république, en exprimant critique L'absence d'esprit de parti, voilà ce qui nous a frappé dans un récent voya- le nelle n'ait pas Olé rétablie, - Nous apprenons quhfin de permetaux réservistes d'accomplir tes devoirs de religion qui leur sont imposés par leur culte, le ministre de In guerre ge air nous avons P. nous faire une idée lent de donner des ordres pour quo lat'arevue et la parade qui ont lieu elm- e matin oient fixées, le ,taloche, Mue Droits convenable, de façon que ° le officiers et les hommes de toute. ar- mes aient tnnjuurs, dans la malinée fin di manobe, la possibilité de se rendre an temple ou d'assister à la messe vii- ooIonss' ,e Presse, de déanlhenltque de .leaone d'Arc, rail du vivaul de la pur,elle d'Orléans, 11u amatis, de Paris l'acheta il y n plusieurs années, eu q quu'' les doux Marenllus de la cause impéria. à M. Tardive.,., l'on des organisateurs exacte de l'opinion publique d'une des régions les plus étendues et les plus rile, n'emploient pas toujours les mêmes de la réunion, la lettre et le discours neuf des actes ches de France. Y est on plus répabli. procédés oratoires M. Ollivier, nourri chisteplus monarchiste ie que de fortes éludes, aimait les citations et de la plus haute gravité. Mans la Duel. surveillait de très- nés la c orrection de lion olft.ielle ,ln'il occupe, M. le vice- que r pu nlnain voilà ce ,qu'il s rait la vérité, sou langage et l'élégance de an diction; amiral l'a R.nriéro se I:lisse entminer a difficile de dire, et ce qui, il loi est même arrivé parfois d'obtenir parler c rnme un chef de pilé. Per. ne préoccupe personne. La question s'y eceter paie m,trement et à peu prés ainsi : Le d'éelztams succès de tribune et deenm- sonne r es'étonne le le vidéo.. K Ira affec- rganesemenluiâ mander l'admiration à ses adversaires, fidèle àn se n ntmaintenant ls tions politiques; mais les termes dans e Est-cm parti pris, est-ce pour tout a rc onstitulionnellés, aura-t-il l'aura ire cause ? - L'orateur de Ménilmon- lesquels fl s'associe d'avance à la m tant et d'Evreux ne point, attacher au- nifesmlien d'Evreux dépassent, à Outre lité nécessaire pour assurer celte sage rune impuelanee aux questions de forma avis, la mesure dont ae devrait jamais liberté sous la loi, qui est le grand de la Frence P et il faudrait u.e révolution dans la lao. s'écarter un homme qui sert son pays Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés séné l.aprutn Nonry. politique pour les villes, et nue autre politique pour les campagnes, ni qu'il y ait lie. de les opposer l'une h l'autre. Sous l'E,upire on a beaucoup perlé des oraux ; ;uetains journaux qui ne pé ,,brut pas par la modération et la clairvoyance, eu parlent mime encore quel. n, 1 Repn Ire de lu marins, M. été nnrnê au rndoelent le 1 ,rcadre A écot lien de la Méditerranée, en eemplacnutenl du vice.xmiral buron de la lluueiè,, Le est que le pays.. juge les chosesarsur L'Ordre et la Ciselé publient le discours que vient de prononcer M. Ilxun1 /fi. l I b .p L tenue, bonne volonté et se su mettent LES CAMPAGNES e 8 d lev , la, rncaux goes, et posent d f:l 1 poml c.nservatri ces. (:Veueuger de Paris), A. M. Baranv, c'est un régime assez libéral peur i p e les F !es impérialistes et les autres fesclrous . , u tout se mr I.' bonapartiste à Evreux, il oe peut plus dire question d'une entente et d'un accord, sur le tannin électoral, entre n fnduatrier gl agrlaullure pnsiible, ni saisira certain, ni travail et ni repos, I 1 1 ,,ge cegi in pourrait sep' 'i Ion ferla p I i q,n d.s g elg tacot sesoll ri e n t ' d allait r ait les et les I I s , eL il doit le penser, Ibrgane officiel du parti , il faut eucorsgse l'amiral détruise pari Nou sig.ai.ns on passage du manifeste impérialiste aux méditations de tous les le feu le reste de sa fnttel Revenons au eue de à1. tes fin force mont "enli,tr le. t I soltats et I l g p flic rais 1 l'impudence de ce langage. M. Rural Ducal a été, comme on régularité ,I pats c'est l1 un mot ordre toute .,.Iiréêstigne. u Peatrétre il, 1?nval at il un peu foncé la nota ordinaire quand il .L arrivé à la derniers partie [Fera : ils ont reçu nue lettre de M, de La Itonciére, et le rnéme jour "I - eus I I icor"[ donnée do I tut ,, r on t treuil l parti périr dans i r . Ce. p I , t n. pr Prouvent l'a nombre très-limité de v.trintlens sur des M. Raoul Ducal est allé du droit an groupe de l'Appel au peuple et ducésurisme autoritaire à l'empire fi. béral. 11 était tout naturel qui un hemne politique, habitué aux migrations loimeiera , choisit ma amiral pour présider à sa dernière évolution. Noirs ,s le sert c l'industrie appliquée à la musique, eues inslrumepts ',génie us qui exécutent avec une précision remarquable un pmrr pouvoir eoomnir toutes les mou' ires volontés et dompter toutes parait harangue de M. France Raoul Dnval, glemps le Jeune dépilé J. la Seine. io s de l'ordre publie, il ,calmi. vJ ru à mitasaIarontsc c rx qui, Inférieure a brillé à l'Assemblée, sinon ecmio prépxrerl'avenoie, L,,,, ,e égale parmi las orateurs les plus écoutés, du plu' peur os pa,mt les membres les plus actifs fermer don. les limites tracées parus r r t les plus vidés du centre avait. Dons lois. C'est la pensée de la révision que nous la .aile nous l'avons vn à Ménilmontant, faireles plus grands efforts pour rails. devon. aans cesse avoir devant le. yeux. C'est eu vue de la révision que vous de. cher per des moyens artificiels au parti nez vous préparer ans élections, aussi de l'Appel au peuple la luegne queue bien pour le $ë.., que pour l'Assemblée démagogique qu'avait laissé tomber M, Gambetta. Aujourd'hui c'est une cou. législative. Vainement on vn s dira qim, jusqu'en ,elle métamorphose. M. Ducal reprend 4880, le droit de révisiu,i est suspendu. le cille de M. Ollive, et essaye de cou. Répondre hardiment que oeIl faux. office deux chosesinconciliables : l'en.. Nous sommes tous dans la main de Dieu; pire et la liberté,« principulum se liberet vous avez, du reste, trop d'estime et ta'etrineuis a C' est lu destinée de M. Roulier de réde respect pour le duc de Magenta pour consentir à voir en lui l'instrument d'un der de loin e. loin la place à de jeunes parti, aoe barrière opposée à la volonté rivaux qui ne tardent pas à le faire regretter. De niée pua M. Ollivier avait de la Fem,ce. Si vous n'êtes pas satisfaits de l'on' autrefois ravi le pouvoir au vice-ema ee.versé le vie équivoque au 2!; février, .omrnez pereur, M. Itaoul emit. I n pur vol d'appel direct à la L'ordre attend que le Journal officiel il électoer centre précis do la moralité duquel la concience publique cnntrr. les i leu ra jugeront tê1te le audacieux éc;uue dent aff va êm; napartiste sont coulés dans le même moule. Vous connaissez ces produits de u snnq ét t te D,e,etre s pa vs avec d g L . . basses on b. ,o'nu attr, d dm I, t m Ver gué depuis un siècle, un gouvernement Port pour pouvoir accueillie tous il République d'avoir ainsi chu abendcne la seule chose qui loi ait man. s lu défense de le discipline "tard et i de la aunutitutiou, d avoir rassuré sans .af t h- p V il ,e qu'in 1 ! la commandement d'ue escadre. Le 1 vent et les IlétrissenL pays, oit 1 'Ou' Ducal. Nos lec' naissent sans l'avoir lue. IL Tous les spécimens de l'éloquence bu. dent faut, qui il avait en m se I , permettre , la l pis a et ne les laissez plus ..lamer ! RI',..,ire des d vos, consciences, dictez volonli,s et vus aurea conquis à la yii aies ne goav,ruement antre que lui fin son chois, Quant au discours de I hnuoeuble député de la Seine-Inférieure, devenu le porte-voix ambulant d, parti balittéraire et Wusrot I .Spartiate, ce n'est rien mors qu'on I moyeil de propagande. réquisitoire véhément et passioeoi nde collier ire roux qui ont vote la C.oat L t o fait par tant de leurs Autant al Olhv,er s'e qui I 2ti février. Certes, o is s les glorieux d e députés de 1871. Nos coustituanls le e a, g,nv-rnement loin d'éf,e fanatiques de celte courir. etc des loues pou le,oe t ont interdit de débattre, tant le rani. sur Lotion, enseufiellement révisable; .cils 'a out. t M Il al poursuit de ses sel, la valeur et la moralité de leur If d p et elle de la est devenue le e: I p t leuvre : précaution inutile, qnr n e, à ce titre, d t ce ce p tee I Ib I t à le C tt J antre effet quo d'en manrlrste I .atl M. cCuaut luval avait débuté dan. I o du 2u tenu ie Q I dép té de blesse, car il n'est point en ta p oser aIL des lois de proscrire jusqui à la réllexioa la Se ne-Inférieure, qui lut si longtemps celte Assemblée comme s-ext rangéodansv le usait à In réunion du centre droit, Leur avant tout. et la délbération. firme s t t o i t mainna, t are ace aumem p et q Lns emycns honorés d m é ergique a Mars aprés avoir attaqué t lurel, puisq ' il I 't municipal ont le devon de re d ,1 e, t Ies rev duttouo , , il ne faut pas és Seul .ment il est à rima,rc quo réclaalu l'intérAt de la I rem,. et de prendre des précautions pour eu quai que c, o'est pas senlmmeat aile les empeuntee lrur langage ,nous ses 01. aires poht iquea asnrer le sucés, lis devront se rani, memh,es du groupe Lavergoe a.. le L'heoeeuble dépoté a r , mbattn, jusjeune leader de l'Appel au peuple fait àleurs amis pour examiner les eau Il ta qu'au dernier moment, dans l'AssamL ont l e poids de ses colères i, b tares an Sénat et choimr entra Ill. Ils iroghe Inrméme qui blés, l a constitution sorti,, I m,eaiel t M Nos C pour obé r la loi i l t eu p .cet SVsllon combiné suce l'ameldeat p.rsonr Ilemeu[ pris à partie, et p r le tonti biale, (Ri,,,) t s de toute raison et do .rat Durant,, ; il exposa devant ace t uagné audelà d. , épi c "disaccord d 'Item ant libéraux, élire, aa,e davier tonI' justce. Ces attaques sont, à n,Le électeurs ou devant un public choisi les lori bien, is nne bonne fortm,e peur cet émi. motifs dont il s'est dans le cunaeil, un délégué, auquel, e peut trouver, à redire à cela. Mais sont prudents, ils donneront, pour vent homme d'Elat. Les injures dont les s'il' l'acte unique qu'il aura à accomplir, le bonapartistes le poursuivent aujeor- M. Itaoul Iluval ne sacrait-il expliquer confia[ précis, clair et défini d'aller d'h,n Insgnes dans son département de aa conduite sans faire le prou.. à Cruz qui ut suivi ..O marche différente, perte, dans l'orne fin chef.lien le vote de l'Eure sont la meilleure ans les accuser d'avoir trahi leur lion. d o la majorit de sec collègues du corps que le principal ministre du 26 mai manicipalnietoupposer aux acensations passion. dot et forfait aux principes de l'hon. se-é agissant de la nées auxquelles il est en boue depuis nOteté publique Y C'est ulement e Les journaux qui reprochaient à M. sorte, eu faisant comme ou fait ux deux ans. Erats Il se pourrait du reste que le fuit le duc de Broglie d être le complice des pour la uotmualiau des élan bonapartistes poureontrecoenaitre camLeurs préaidesLin s, que vous arriverez d'avoir ,clé les Joie cnmtit.Dounelles couper court aux c mpéhliona dissi- rie III pas le eau! griot que M. Ducal bien profonde étau leur erreur. C ont malées, aux brigues honteuses, à cette eéi à ',Proche, a l'honorable duc de précisément l'ancien vice-président du .orruptio. que les foulant la prétention Broglie. Deus la distribution de porte- conseil que M. Raoul Dirval altagne qence et dans le déravec le plus de violue de. prévenir, et qu'elles ne pa rvieooemt feuilles qui suivit la chute de M. M. de RrugIle le. t pas pu emul mémé le vainqueur du 26 m pat t corps m 5 résaa .prlmer quand le IL L rait présente à l'Assemblée. l'aurait restreint pour les récompenser I n ne ml a Nous ne mêmes peint surpris que tous les bommes qui l'aillent assisté Permettre. président du eon. énéral r d elr,uure Ne vous laissez ai décourager ni rollt dans celle mémorable journée. Plusieurs M. lgnémul et qu certes, re a de l'E eider Oa ae peut rien vol, faire, et dépolis qui se croyaient destinés aux se' g us devez demander .on. pet, à veux hunneers mptislérie e lb des érut une jamais dissimulé ai ses idéal, ai ses sympathies, ail refusé d'assister a qui solliciteront vos coffrages, de l'usage cruelle déception. De a des ... u le qu'ils listes 1, fe cas échéant, du droit qui no sont pas encore aspsouvies, de le baegnet dcomm Y. Dans M.re guép,asse de réristou que tous, sans exception, des blessures d'soleil ropre que le Quartier, comme dans or Magné, le et d'ord temps o'a pas cicatrisées, de la le se. conservateur, ['beau pourront être appelé, à exercer. avant l'homme de parti, net de beanroup de versions p Trop souvent les partis politiq, s se minces. A ceux qui n'était pas arrivés sont, dans leurs compétitions, passés de Il Après avoir cité quelques passages est temps, grand à à temps pour prendre part aux au.votre volonté. temps nufin, que la France fasse en- cours du ponvuIes omitéa impéeia du discours, le Messager de Paris tendre sa voix. et réduise à Fimpuis- listes purent odrtr des m nistéres le ajoute ; ce tous ces m eur, d'imrig,res et purriéue, qui à défunt de lent autre Tous les hommes modérés dés, p!rus ces artisane de cuises, dont nous ému!u,nent, fu fui saieul font au mains il. tl ers, Le ta I elle se heurte, quant à pré- erse ; jourd'hui, Q,ent à ceux d'entre ces , I- t .d 1, laisser, lib e, n sont, I . Ducal les portes de l'Académie. M I é ['identité de leurs prinmpes le deux reprénent:mts de polIi1 Ie. t pas p I 1F I n'apparlien à quelles conditions vous les élimez, an- Ils1o t relu fa e i -, atteinte a 1 union des .II I Le dinemxrc de M. Baoul Ducal f. e,, I .. I Lu l q ut a I I g e. .V , t 1 o d .l 'e t are !eusestsn p>nr courir à M. Ruent ment. Vous ne les suer pas élus pour émettre des votes politiques, dites-!crie In em,ut . Si pg - l v n qop hl1 mer p - 1 -in. I I I"I t. 1 qu'il entreprend LAI q e le parti r u I né .abat t le h p 1 L, Fronce t -i1 ce, ,l lr I I. up I litalin. - U. déplorable événement a s,rivf de près l'arrivée des réservistes à nia. sons. L'un d'euæ craignant les d'une ligèee punition qui In1 avait été in llkgér, t'ss jeté r uoelnM1 ,tee de la e et s'est rt brisé la entoure Ce Ce . néee. vérole" La mort a été installa malheurooa et ait de Chabny testament dépose chez ne notaire de Paris une aumme. de 300,000 0e. est léguée au ministère des Beauæ.Arts, à la condition de faire exécuter une statue colossale, de marbre, de la France, qui Oul1é (Marie), épouse Palma, 84 ans, rue St-Michel, 58. aies. MM. Moudre tertio e cloues et professeurs eduos des écoles libres, font mer moment des démarches pourr tar- Fourers, vécus no 7 sneuanuac. 1 Dufour (Étienne), 33 soa, route de Fron[ou. Jude Louis), 67 ans CôteSa issac pavée ueard )Bed au. (Bernard Jean), 4 moi 112, GiM net le lits d'en ,/aprcuce de lliema lie d'hondécoré de la cier fr ur. Issu d'une ère,u nns famille d'origine slave, si-en lisot le comte Frédéric I f "é par fis e de 11 mil I t 00 roi do suites d'un duel de I h r ' i teIL e au roi de li IIa .180 celui le Ri- ie VAIeiS annuelle Dite de cavalerie. Se trouvant de cette de fa nkére eu 1809 , au service s ce obtint os lit rtaieeo Frauce, il les dé ...Lions mib fit de V' lurtem ber . ta campagne campagne ch de 80 18 50119 00 France Et Pois .......... ... Graina de I......... Colza .............. mouds, gnakà Raidie, foesasame. par M. L. Foin nouveau les 50 kit. Luzer e nouveau -- la croit d'oflicier de la de Société le Il devant eu 1816, protection, Lanis-Lande. d'honneur. Wurtemberg, et général au p service du e0 Im mstre plénipotentiaire à Bade. Lé Al- - Les Alsaciens.Lorrains e V. - L'invention de l'écriture, les trèfl e, TERRE EAU ANTINÉVRALGIQUE paie nA Ena Il R''4 1 LULRIb01 I\sT,AG'I,1NÉR t I 'g oo r nt 1ps eett ADJUDICATION halée d De à oe'eup s, p de l'DU I I la ro L p '. Lielc-d'Albi (Cern), chargé de la i,rbrôiae de; sur Mea lioux, au sien Am- 1878 aura lieu le vendredi 8 do ressort de tn Cour d'appel du ni Iratioe, rue St.Jérdme, 4d. i d: armante tl m", '.I PO 1 1 I1 r rua de la (11/ a YCNTE EN GUIS AI. houx, 11400:: -"` RANIS 1 r da s septembr e peéxd, I uieolo a 66 7$ L 16 7n A 81177 s. a jsuie. lai 80 f0 puyf. . iü4 10 ql$ 1675, 491 N 1 At (IVrur. !. JJ l qt6 r gon. ). a lortu ds pnms, ut 1.net00e,. 6fi 7a 96 10 Tesuls anügae, °t . 11,4 7r. 680 68U .. E97 EU 600 a b00 497 611 041ig. IW fr. 4 010. 1 Of$, . d 0f: 3 O, 9a feu 407 97 58 âno 498 436 49b 440 r- fP SW h }p gis f {007e, 6 010.01. a, J. jmviu-laiüu. tsailtf .218 7 , SW h. 2b0 fr. payYs Ib.mio ds tu lhanmgsa gaL df. j: jmvtshjulhy avr i léulsheh rvrü 71l 16 L e. t1 ttü ! d4 tr b . UXt 6U c b Trdeorr 19$9 . 1679. Oh rtm W $6 6 1 867 60 8U6 t46 SS [ U ol 45 217 Eu Ardamee 1010. Sud à2 - 483 Yu r ohiiiéru . Y de. L ta mci{itatae Pormtalus. 477 50 tlomamn, 60 847 3 S4 29U 6 Sut SU 347 373 cU d sra{osas, AI 94 s°aalloaugar i &ls 21 4] YG l 1 11 td 1 1 0, n'a ae6 , 794 146 b'adre,sIr n la So réé 1,0 fi . 'Ibinbemvle, a 5l1s - grand 4:. i, al-Jeam, J . 1 t e -y lutes: 5er010 I 13 kilo,u'I, s de de 11 gara d, 5imnt- et... 186$. talee f toacta[a A Oule le da Me Lalu, 6506. .,-. Su.(oass. 1a11ia qel 21 - terme sons go..,U MULLBTIN 996 Danphml. 308 308 1144,-Lais. Iq0 dal 416 995 nie Piu-r 616, 315 7U8 71E eau gaPa6n à U py xtR rlaar PxgaN $Il 95 671 97X 6U 6 75 04 50 X91 1b 407 55 437 15 14E 499 @ddit EO 6Â8 440 ,=i pis4s-®eh 9.S6, rI re 11 1 0 p de t d Le S 010 a oert uv I f6 à 60, 7h son cours d Le 5 1110 n J tient à 2 centimes pr f ce cou 1 y minutes t soas l ' an dt c Yaleura die, SOI`' à 104 52 112. Le Turc finit aux oui ions d e cours d e cldture d'hier sana variation . L. co- case une au ca i ssetio ô"Je $ Dlyglbi$ millions 1 9 d ans l ' encmese métallique qui sé Ié ve a" ourd 'h u i eu chitt' re n i de 1 , G10 m illi ons, sa it Prés de fi s 0 0 des ' rire 4et 467 UIO 9'5 ne diminuent p . I.es mal bé étrangers sont fermes.NE Bsde Londres supporte a Gaa central la plus grandis fusil té lesretraits nu 0 g déialli de numéraire qui lui saut f 0 8nénl d M arani 5 ib.. 105 75 ale rainievu c 1114 9(i 7'x1a'.n, cours 1.6 70 66 u5 5 0/0 f ^' copra L6 05 1(!4 30 t 73 04 35 16 75 5 U0 dit renoua 5 0!U Ital. Bao ue Sue u 711 95 Mobilier Mob. Espag. 171 50 f58 75 a Cusmav os - i ar 10d 251 lut 32 7J GJ Orléans Nord I,yun Mi1i Autrichieua ce& La /0 ( d i minué de 12 mil. l a c i rcu l a fi on d e m illi ons 1 3 re pr é sen té e par w e nas 3` e a et id u d e 17 m il o 5 sur l e comte r Cel a it es Tré sor e Ld d e 12 m illi ons su r ce l u i d es p arti cu li ers. O u vc it que t ees ressouret 1 Docks de auieailla. esad. ue 1 lions hiS 104 24 A S 00 d case m i F C. 1. JmaL Il. Vide 0b 62 48 00 94 g6 y(1 1 4/X 0/0 5 0 IU 5 010. 71 U F, I Au Conr d aires. ires valeurs n'ont P as varié. Le Lilan d e la look de R*,vv' __e'Y q { et l m 1 du 10 septoseI l un. is de d loure hanta 35, IS 112. a près B mse 4 1 es, oiU: RUURSE ma in n dent ardent ur 106 i2 1 I .= 't`: . f. me L ( 1 ue poules y ALgO gg rs L ur I dei néres nain nl 1 rfdct XO 60 n ie .j . mbi(4e. m 49P sa u f un m ouvemen t Ponciar vison 4969. Aomai b 01d 1 les Consolidés s Lce trésoriers généraux ont fai t aeheter 1,400 fr. de 3 0,0 et 1 r. de O ible. Il l Dondmca. 993 76 Buse vola . Anse 1867. Poi fnns, Aatrieb 39 EO 94 EO 144 40 IIa{sains gfuénea 311 lin 36 30 349 , se de erra 0 i 04 494 W S4E ef8 g et 16. 2 4U 313 se de O Du reste PLU d - 489 80 Bonrbmmn»s, l t ( b ons. achat important 'été 1 l iohaa 4869, yk 196$. 418 76 D mnni als v . 86 Eryptieu 1864. 16 4848, NDS iT4AH0ggi 't I Dernier j 973 76 840 818 tde 1 m ,c rue Pnyrue, le pN éd. f eomre 94U 1aa -.. 1859. 49L 75 polo ma. Remous. eauveclea. a Sll f.utser a Tu I 310 leci 840 11 bl- p 36 b0 00 28. Y35 lYl 60 dde npaef r°detnentarna,hAtimentsdnxploirzat Inse n nl taries P,nr dl ., C osa ' f, h ctt - ]mulet' 9X8 5Y 939 9b 8011 Ir S 01® nouvelles. aatrirbimn s 6 0101$76. 3r. 891 60 819 F B 7E l hast 1016 31 521 C80 618 7E DF TT'OI1LOUSU succès de la troupe Cüinrini. Iq, r la, die La Bourse a été 'tlrc°e Tu %n en T T 586 083 . Loe Cape 1 I ava ter k A VENDRE le b u 1pl) 1 OBLIGATIONS 3l6 EU nome 989 75 Obliption lembardu . - lt'x 9 frl,u0, I Mnntaubml, 36 abh, 309 70 909 b0 308 75 318 EO 693 7b Lgen $ 070. 7t0 n. 0572 $0 177 b0 0 I Nord-gspaga prin rlll. b08 50 603 76 2 01ü. a. 017 ,1 gal 5 810. 962 60 312 b0 .915 040 486 iampalams d 010. 348 78 ddO E `75 71 76 177 Il 986 1075 bal GO L,52 EU i IXeseagorreL t. 562 S U 549 CO 0 mien. . 0SLI014I0N0 7E 995 u' 909 r.( d1b 78 40 139 0 I. CASINO spectacle toua les des An non oes, 20, ru due B,Ian- 13, ou sac lo domaino, mu ion nec. (loue) dm Imnepartler (looôj JLJ 76 lu 117 EU T a bases f rmtan. 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Dfl/ptkm. gmpmnt otice , ) Imvier-jaillit, b4iar Rosirai. Il t ailÎeama-Lnsambsul 100 U5 - lanvi.r, $aagaa Otwmav. U30 L . I. 006 . 98 7$ Midi d 070 t. Ynaser teiller. 0hemm da fer AmtrinhNa. c ; 1 lauvserlmllet. 7803 s; III a. Elle Qddit 80q,«(ddciar celoalit. da ?,sucs, en me', Invasion d $1$. 1000 1000 . 1UIl s . X93 0anil de $1Y. t. gryd tl eseufs, r D I,, bm'eaq 4 la la pcEPeohno da 7'aeLea ifaataubis. 80, PNeéd 66 60 lump. pseuslemada 0u, s tmr GBacomlta. j. tevrier-ao1[. Goura 6e alaasn n sit d 111 104 70 U4 9 386E 11NIOt 39«1r. Puaalea Dernier coula t. es. j. Toulouse, Impe. e 'er domaine parue bélier11f drauligue 1 u d.)1'01 t i noI ph 1.. .,cc 4 l d m 1 g 1.1 tt' d P Le directeur gérant: L. JOUGLA des (093) P, bu, 16, SEI'l'ESIBftI 1875 s.ùsrun as, lueusua s 8 (Voir l'affiche pour les détails). (54889) derasoa her'aree at 1,1e rit '110 e0 Vi00 nt kl,u cariwe d ito' ea on peractmmé et rlnuu 4 tone l 10011v. 8 ¢p $1$, 0160Na6 On ncliquera. 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Cuarv son. classe -o et- 19 18 178. 5 0/0 délivrés dit 15 mai IouleL 20 u 10 octobro 1876, vdablca pon fuma, avec faculté d'arrêt dors s toutes les stammns du parcmu's circulaire, indiqué LIV11 Le cahier des Larges, ce (9e5) 18 114 5 Peine museI Plunies dr.J.ALEXANDRE de on domamdn m [ermiee ger,eo 1 à une heu re 5 1+.awibe, homme d'elfaires octobre 175 L E.,Men de Co elége de l'adm do M1f. Ghlisi et a )141. lue Noialres précise, au mit as e e Toulouse. ,ambre 1e75. 'l'oulovae. édit., p.;01. Ir O. es Se ce'. , 10 - Billets de peut I I ol.nbeün u uvs lfui, ou e bois à brûler, pour le service A 2 n,Laetne s IL LA VILE du bureau de bienfaisance, en Asana S'adrasvcr à M1lee, 1/, i- h notoire è 1 I3 11 7.1 f. du 40 septembre. UX PVIIFNÉEB 80,000 dores annuelles, y compris de Madame la Duchesse de Castl.. 3n duo s et bl L'adjudication pour la four. set p'0',,` hectares 7. niture d'environ 650 stérer de M A fveo dGhLe t ,a d 1 extétéo',e 800 Rsr, DE TOULOISSI Voyage à prix réduits sordres de le Poitrine, gorge, haleine, oix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et sang. - le lp té r 1 lérieure: Chemine de, Per, du Midi épuisement, anémie, chlorose, toua dé- , Rois romse. de Fourniture la I Anve A T;mlo use, phacm. Vida)-Abbadie. aomnies, mélancolie, diabète, [aiblease oix for t C en 510010,sp ale. Ruent f anntra t 6e. f9'adrNSSr 4 . DELSesi1, Ic6-bdip, 93, ytaxa de f'aaots-df-rédràru. a Paris. .mi or" constipation, diarrhée, dyaseumrigcolignes, phthieie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, congacnon, névrose, neplemre ld 134 p celle, le 26, Place ET nn La 111005050E -exquis Traitement nouveau. - Brochure G. n Îarfne de fienté de â revvniI, 1 65 à 0 00 ms Colles des rentes espagnoles Lombes, 9, d Guérison de la PHTHISIR PULMONAIRE digestions, gastralgies, glaires, vents, pituites, nausiea, aigreurs, oeiditéx, J=b . 72 40. Florence, 11, 78. a ma t chas tex de lu renie italàeuue. Berlin, Vingt-hult ana d'un insatiable sureè. 20 -r-7 et Curara Londr s, 1171 118. Am,lYrdanl,.1, udér lLnre médecine gg Bruxelles, 8, 5 0/0: 404 12112. Vendûme, Parcs. an combattant les dyspepsies, mauvaises 200 2 50 - les eO kilos de Füatke.. REVALESEIÈRE 0 00 0 00 - 2e ne xocnousx t prS'drahe, auDu do Collier. 1p - " se haie. par la des. die Barre de Londres, dite nmlq x itéULEP. 21 fr. Bacs, stère Ire qualité tué- d I Rd td Paille, nurtesu cnnrner, ne manrhftuvne en bloc ou la A VENDRE par lots,cala 1 - TG ée o iginea et le développement des alphabets, par M. Alfred Moury, de llnsOn nous écrit de Limages que dea lieut de Frauce. arrestations et des perquisilions mut été VI. - L'avenir du commerce -téfastes à l'occaeton d'un banquet qui rieur de la France pur M. René Millet. avait réuni, le 4 septembre un, ocelots VII. - Une visite aux églises mtio- nie Aosso'e ,ee 9,u ÔÏ ûü., - u e ea A YO SlNO 4 75 4 00 0 00 4 25 3 50 0 00 ç Du Bsaar ett r épmmra. Cn ra manie, fe. 52 ; 00 14 00 0028 50 50 28 CO 50 23 Co 00 21 50 50 12 00 103 518. s Fila' lieue,, Ruozoul, épicier, 5, rem es tire,, Lahroquerie, épicier 10,eieruenfJei ue indigène, e, Londres 9 300 : 661/8 1 -5 00 de E7d rases des conditions Le tout les 50 k l,g d'usage. Le stock à ce jour estde 4,000 balles environs. ---- gérie et tees nouveaux villages fondés par fi. rail,, Sal,mifisse 62; Sainfoin (graine) Lus. 900 80 00 100 0 PmiuAna Il Wnla M), la Qualité S. ( balle de 9YY k. 1/4 47 0048 Co 45 00 hi 00 4 marqque (SS) 42 00 44 t0 S m. (SF-SB) 30 00 35 00 Résill. (RF-RB) 18 00 20 00 Repasses, Il 0142 (0 Suas. . Gaston Buiseire, V 93 18 27 21 21 11 bon l t 5 010 r Co.. des rand, fronçais. sp R5 o, 1 ère e4a eo 94 9/10 ; - : 103 318. 60 G. - Dépôt eh., V-idal-Abad es , pharmacien; Sigaloux, eue Lafayette, $; Chcueblein-Poteina, rue du Tour, 46 I ProsP 'il-l", ié rue Anste rlitz S;Gélaberl Devon ; perAip. Haglon ; Bo, sue he,111,u alnbin,aria. 5,-Paul, r, notre n'a 1l e0 balles Pires, 85 39 h lle, Oomrannttec fr. ; 10 II L alquia , d5 ; Esp rc tin (Sainfoin). TrBtte (graine)....... 100 85 t19 !IG 00 première partie, par M. Octave Feuil. pIr aM. r,;r ses...... Vesces sous lut à la journée de la Iowa, oh let, de l'Académie Frauçaiae. II. - La lieder et la Turquie en 1875, son régiment, dont il prit le commanM. ,aille Bornouf. dement, fat un des plus mallrailés de l'armée. Après le passage de la Dérésina, P"111. - Les Iciggi es de la poésie chréil fut chargé de rdonndmre en Wurtem- tienne. - H. - L'égitse et l'art antique, berg les débris de divers régiments pour les reconstituer, reçut le commandement du 1e. des ohevau-légers et f ie. $6 80 80 66 65 5U Fèves .............. Vesces noires........ I. - Un mariage deus le du commandement de l'extréree avant garde. Il eut trois chevaux tués . lanall belfalles 107 50 ; 39 fi. 77 50 ; W 78 1008 00 22 00 78 00 10 00 82 00 00110 00 LentIII............ Livraison du 1°_septembre 1875. ses, 70 balles 11 25 75 13 50 1h GO Harts........... REVUE DES DEUX-MONDES ut chargé, pe dent , maréchal plusieurs marches nocturnes périlleu- Hé7 si nalérs. U 13 00 942D (DO Maïsicoblanc...:..:... 75 92 00 f 3 50 (Marie Robin), épouse Dey, 26 pour arrivées buttés -la e0 7 et 60 Ire 6 te. de é Londres.- Consolidés 010 franç. : (16 118 3 eu baltes G. ie ds R a Les Bis la se mont de it p1793 balles vendues, parmi lesquelles eml rquons r n ..lie des ventes r0 10 50 11 25 Maïs vaux........... 7. ans, rue des Fllatîers, 36. Il fit partie, pendant .rpu du Iussiil f ..... .... Avoine .... (Catherine), épouse Camboulichemin de la Gloire. se, 93 a Muet ,622 Blé mitsdin ordinaire sengle...... 5 Plus nourrissante tue la nonde, ale ' économisn encore 5o focs son prix tr. 45; édec.n4 f ;1 boite : 114 kit., 2 60 fr.118 kit. 4aiesPr.; 4 ill., 7fr.; 14ki1. magne se résume ainsi éui il l lui Olé mitsdin fin...... 8U f9 5010 00 (Marie lemme Pauline), 46 ocette Wurtembregerg. Batuètsie conditions d'usage. lis 9 septembre 1875. : 3 0/0 i '' ,e - 5 0,0 ¢ 404 30.- Lyon , 3 010: 6r. 89 ; 5 0/0 f04 27. -Bo rdeaux 3 0/0 :6r.80.5010: 104 35. Marseille, l'y avait pas moyen de le guérir. nos. - On a rendu Tripoli, fr. 92 50 ; 25 balles Grèce noi50 kilos, re geises, 0e. r.5, le mut les Pl 760 27,557 : TÉLénnunslnu e,euunsees. t duc médru ires hors ligne avaient déclaré qu'il euidtre de 9 sus. C'émit terrible, 30 balles Damas suint, fr. 82 50 ; 19 balles Damas suint, fr. 92 50 ; 25 bulles 80 21 50 11 00 I A 0 211 0 0 1 21 0) (l ri aux Cure ne 70,421. Importations de la journée Bladette bonne Bladette ordinaire... .. des Paradoux, 1, aRoien h,tel Solomiaa. M. A. Spadaro, d'une Couetàpatiuva opi- Les 1 60 litres, escompte 1 0/0 à l'entrepol. Blé fin ou Bladette auP. 80 21 50 25 23 rue des Amidonniers, 27. L'étude de Me 1). cap, avoué, snrceanr de Jul Tourraton, est transférée rua Cure n 62,845. terme, 0e. 34. corons. - Le Ilaynaud (Jacques Cameeier), 37 ans, uo le douterait g orer Pins bas CHANGEMENT DE DOMICILE 9,000 hait. Tain ...Ils dol 128/23 à ® ï l'estomac gonflé, parfaitement guéri par fr. 31 50. C mes axr $1 af raempRa. en (Marie), 17 mois, quartier Franpoisi d'Assises, doént le bat est Il'ensei nement. Ces d marchesui, a dans Par I es éci+r u x lin PP U 88 élérueut es ,,a, le trouver là de dru pro ' reornelTI1nIl des proélémeuta avenir, pour e s des n hiver si'tés c athi7 nos. Essear - On ne se NOMS 20. Negeeueyereneys. de Saint tiers.ordre régulier ai dormir, ayant toujours le creux de M. b ille,t, curé, de SG ans d'Asténve, avec élnntîcmenls dans 1. nuit. blet. Croix.Daurade. BlMoury (Jean-Marie), 14 mois, rue des plusieurs prêtres, P rétros Plusi s tin ut, 5. Perchepi°e' le. Il ne pnnvoit plus se )mur sur ses jambes, lu Ilevaleeoiére. 8lalfre (Marie), 8moi 1s, quartier de - La Patrie apprend de bonne source er l 4 ans, rue Srte), s1167s ph. Bwual, 46, Place 31. cours teurs .lent peu nombernæ, nos de 25 ont été plus faciles et en hausse centimes par heetol Etienme), Ilurand (Germain Augustin la guerre à l'Ordre et aa Polir. que ue 'a" blés,'éaussi, et malgré que nos ache- Fable (Maximilien Armand Paul), 1 ans, rie SI. Martin, 14 bis. sous le patronage du priece Nappoléon Richard, Ad Ion, etc. Cejournal temps, notre a été fort peu approvisionné vu CONSTIPATION, Iwaara, Optas Cure e' 65,112. E. Fayard, de lueteulgieetVomiaaemenb. 800 hart. Marianopoli 128/24 dise., fr. 31 25. 040 hier. Marianopoli 128124 disp., A muse du maniais Reyt (Françoise), épouse Ségnéla, 20 ans, rue des Amidonniers, 17. Fruit lexeur rafrandissant coutre past'aileme°t guérie par la Revalesciére. Nous avons noté : MARCHE DE TOULOUSR Du 10 septembre 1875. Loménie. Armand (Marie Jasephioe Mdu T., 2. épacne au épouse l'érés, rue '1 Danse da SainI-Guy, déclarée incurable, 4,800 hect. Pologne 130/26 dise., fr. Grenouiller (Pierre), 2 ans, rue de joiernal fo dé et avec le concours ie 8alletiu CommerclÉM TAMAR INDIEN GRILLON Aille Martin, Suppression des règles, et aux nouvelles du dehors. Delaux (Auguste), 3 sus, rue Goep, 2 bis. Le Diily News publie une lettre de M. Louis Blanc dans laquelle il se défend, loi et s n parti, de mériter l'épithète d'irréconciliable. - Dans les premiers jours d° mots Universel, Prix de l'abonnement: 50 te. pour ; 16 fr. lause Cure ne 62,986. A Marseille, outre marché continue à être tués.calme. De nouvelles su penions de paiement ont lieu e1 en présence d'une situation de place eæ eptionnellemeut mauvaise, ou ferme l'oreille ua an ; 30 0e. pour six mu pour trois mois. liomond (Pierre Marc us Lucien), 16 ans, rue Marché au Bois, 3. rait placée au sommet de l'Air. de Triomphe. Le testateur est 7g8 de 08 grains eue varient presque pas. A Toulouse chez Mme Joug lu, 14, Ae. cades du Capitole. elle eue li nT 6 sr.P'easmaoi, 1675. être d'un Les farines continuent à brillant S'adresser à la Gendarmerie de Ton(ahevai Bofllcier I rédaoliun d'effectif). avec a maigeisaemeny battement nerveux sur mut le corps, agitation nerveuse et telstesse mortelle. placement très.laborieux et les meusis te , 17. grand et Lai.brun, propre an service de la selle celui de la voiture. eo 1 Mme la marquise de Ilréhan, de 7 ans de Maladie do fois, d'estomac, blés. On s'ehonue à Parie, an bureau de la Revue dus Deux-Nandes, rue Boonpar- beau f f1EVAL , A VENDRE . Cure m 48,614. jures moins disposés à faire de ouvelles eonceselmns sur les pris des X. - Bulletin Bibliographique. pratiquées let lendemain au domicile de MM. Lafont Et Leymarie. - Un journal assure que, d'après un céaéALes. - Les apporta sur nos balles de l'intérieur sent plus faibles et les codeurs se montrent depuis quelqques le la Quin¢aine, histoire politique et littéraire. rédacteur eu chef du Ripublinain Landais, qui se trouvait de passage à out été Limoges. Des perquisitions a faats. ries, pair d'Angleterre, etc., etc magne. - La fête d'Armiuies. lb. - Chrmüqun marquise de $eéhao, lord Stuoel de 11e' Marseille, le 9 septembre. VIII. - Un nouveau culte mn Alle l'arrêta eu même temps que M. Lay- laisse, p:irail-il, une veuve et trois d'octobre, assure t'P'cho un parxilea à Genèv Goblet d'Alviella. sale et polira lie irruption dans la stuart, le duc de Pluskoe, Madame la oalistes de Londres, P., M. le comte nombre de républicains. A. dire de plu' et Os journaux, un des convives, M. chantait une soc ré pn icaine, Lefort, 'bu'quand tout à coup la suites 7X h5 X 717 R0 173 75 653 75' + 91r5 .. 995 .. i 9(13 75 455 1174 .. ,.. 610 ... fy 7pp fil ; 75 , .. e 98 I I 1 D c( (é [ 1 IOfI(IA. t 705 1 7tt 1D6 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 194