11 Septembre 1875

Transcription

11 Septembre 1875
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Samedi 11 Septembre 1875.
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JOURNAL DE TOULOIJSE
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s-, TOULO7 FR.
phlgaea
lIgldgrraeu
uvas),
...
A
iintitulée
Les Responsabitiuda,
des inalituleurs primaires à 1,200 frime.
et celai dos ina0tulricee à 1,000 fracs
mais en interdi sant le cumul des funetLoMd'iMtitoleur avec celles de sevré.
loien de la mairie.
il a été fait défense non armuriers de
meure, eu étalage et mémo de garder
u magssle des armes prohibées telles
uleaux, potque cannes plombées,
ards, revolvers de poche, etc.; l'exé-
gmrion de celte mesure est générale.
PLU VÉE
paria, 10 septembre, 4 h. 19 soir.
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e
de Constanlinopie
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l -s+
q
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de l'incurreJ
Mahmo id porto,
lue le gouv rn m
n
lin
t
ga -il.àClé .g
L elles
fort
!. 'Cure, p rr
de
L
dre
école.
lite de ]a erbe et du
Monténégro, 0070e(rait à la Serbie l'é
nuWm de la forteresse de zvornieh
et cerlainee facilités .ancer.aLt la sons.
(ructiun des railesys.
tl ancnrdail m, Monténégro une reclificaeiun te frontières.
Itelutivemeut à la Bosnie et à l'Ileraéguvinx, le gouvernement Tarc cecirait fuira acte de faiblesse. en accédant
{ nmedi:.ton,eot à toutes les demandes
des i: vergés.
I.e correspond:ml ajouta que les
Chrétiens eu Turquie lent déjà admis à
tous les emplois de ('01,1.
nliendenit char.
Le gouvernement
l me,l l'état politique actuel de la
Turgni
mm,t a
et troué été porterait uniryne-
le côté administrati P. Notre
et
responde t rroil
ai. que la
I. d'accord pou r exn
les pu Iasanres
a
rr la gnesliun ù ce point dle vue.
Berne, 10 septembre,
I.e pelure Cnrtschakoff est parti
matin peur Vevey.
e
c.
ci
Je compta sur
l'appui de le .utile Serbe duos les
elfe
ttr':plus. cieoonetuncra actuelles
nation Serbe lit toujours
doua les moments difficiles. . (Applaugisssep,mns enthouaiusles).
aumssamw na JOURNAL Da TOULOUSg
un il septembre 4875.
A
g'f
Mue.
y
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II.
Frosdorm, par l'échec
onarchique,
loi du 20 novembre 1873, et
IP
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RI
)
ntr81 )
10 30:Smr,'
de 25
à
février
IB
cherché à en établir une
ralliés loyale-
suite à In République entourée d'iuali-
AV 1S
M. le Ministre de fa marine et d'a
tu[ious conservatrices organisées par la
loi du 21i février.
. La brochure indiquée eLmeten quel.
lion ces résultats que nous ussidéroua
quia et indiscutables. Elle est
m en
e opposition absolue Mec 1. politi.
donc
colonies a Informé son collègue de l'instruction publique qu'il y a lieu de
que que nous avons suivie et dans laquelle vola sommes, plus que jamais,
traction pnbligne à file de la Réunion.
décidés à persévérer.
outre le cabinet actuel et contre le
m+réchat de Mal Malle..
Fronpare dit que
1^ A un emploi
Le traitement
l'amiral
La
Roncière ueeieren à Paris dons la soirée.
Il ee plaindrait Il. bruit 'ait entour de
aa lettre par les jouniaux bduaparlistre,
qui aur.i, lit dénaturé ses intentions.
sueur. eévéa,x
Paris, 40 septembre, Il h. 55 cuir,
Ilelgrade, 10 septembre.
Le passage du discours de prince Mi,
Jit
lao relatif à 111., elgnv n
. La nation inquiétée sur ses truc tiéres,lroublée dons sen développement,
alloula
Pères quittent ses loyers, nous dùmes, à
mala amie, it veiller la si,rete de la
patries
événements créaient une
situation grave.
a Ss, espoir d'mnélioestion,ca peuple
a pris les are Cs rentre aeo anus.
La Portenamassent des troupes sur
n.s frontières, la situation a été .n mplignée. La nation Dues a demandé de
la protéger.
N
Ces
cils espérons que la sagesse de
Sol taet des pnissances, garuntns trouera le eaoyen d'apaiset Ae satisfaire
ue paya
. N.ma souffrons plus que personne
de ces lattes périodiq.ea. Nous nous ifforcerons de créer en état de choses qui
rendra la paix à la Bosnie et à l'Ileeeé-
goviue. .
A.Tlra mouron
Paris, 1f septembre, 6h: malin.
'iEe Journal Officiel ne contient rien
d mportant.
er fait leCol
puetratt. I1 dit se no,n-
111e et être le mnyordomo, ou l'homme de confiance du
mer Mathias
eieé
le matin même à le Nouvelle-0eProvince
LE VOLA DERO
lX
Ce pue n'était erre rnnntes'
dols. L'alur
-Nan, maintenant jeu .sis sur
nui, i l'histoire en deux [nets o quoigne
je taule vu tel Immrne qù uu instant, ,l
y avait quelque Chose de si singulier,
léani. Il
est resté don. ma mémoire. Je
avait avec lui les enfants de
se. maître, que celui-ci, disait-il, l'avait
chargé de msites Ô. pension à 1. Ne.-
d
frais de
I noire, d p és
talion locale.
t
é, payé
les tarifs de la régie
lé
accompagné
d
en France pour aire appelé aux l'ormticns d'inspec[cur primaire.
Les membres de l'Uaivrr.siié, qui dé.
sirent oceaper les emplois dent
leurs deman-
Rit, sont priés d' ad recaser
des, dans le plus bref délai,
minis-
tonné météorotag gon de l'ouest mdditeeealée., s'est élevée de 427- 5,
ee qui
présente environ 1(6 de 1.
quantité de pluie 'qui todlbe saeusllament, en moyenne, dans notre Iosu
lit
depuis,
vous .'avez plus en-
tend,, parler de cet homme 0
Ni. foi, je vous avoue eu toute
humilité que
rue
connem cette .Raire ne
regardait en aucune reçu., je ue
es.cte sur l'époque oh s'est passé cette
- Gela me serait assez difficile , ce
pendIutje crois pouvoir vous affirmer
qai il y a de cela au moins,,, deux ans
.,.en assez difficileapprécier;
frit, ci n'est la quantité.
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ux rann rov 1
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766,1
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éa,tdans laquelle M. Alfred Naquet
i été inv itb
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prendre la Parole dr.
va,t rvu, e I,eu hier airo
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0.
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d
ChI
m reux
Légère pluie aune la matinée et
.
Ist^scré ,nbliruins en sont réunies dans
une salin située eu,, de 1.
pluie tombée dans la
journ
da 9, 25,^,,li.
Quantité de pluie tombée dans lu nuit
dl, 1
10, 11 ,,,,-6.
prés
d es
rouera unit plusieurs membres de laci,.n o, sait
paj et des ima.a.-
.p.
Miui. de. la nuit suivante + 11'u
Qué¢mité de
u q uarlier
A liait heures et demie précises, 250
personnes environ, parmi lesryuelles on
fhermomA[re cenngrude o
Maxiruum ci. 9.........
que pri
Une nouvelle réunion politit
vdv- 1(INOinsru,s.
isr
3
id. ONO t.fai.
17^ 2
d.
0\0 iJ
15.
premier étage. lbunique a
ai
18,
u
vaste, in salle conienait ares peine
l'n-
du 70.
de l'enseignement supérieur(.
1.51.101 a..o. ce r.A»Abeina.
Demain dimanche, fêl, patronale de
la paraisse. A 9 heures, grand meane en
les s lon aeront
cla signe de Dieclh ;
chantés par M. Renjami n.
A 3 heures,
d
éclaté
de N. Pe,eh, chanté par M. V..., avee le
,e, ,le NI. Suubaméa, iolnu, lao.
do
r.
n. errstoire de Paris,
Ton-
1h01 oego de Dieclh.
N demi. Est-ce tout ce que vous dési.
rez sa voir
de Mempenti, M. le commandant l'état
de cet ce. été.
Pendant cette lecture, à nnuf'hseees,
ont arrivé M. Haquet. ISdappreoant que
- 0. nous écrit de Péaeuas, le 9 sep«
tembev 1875 ;
I
entre elles, la jeune Ilosario â était un
éloignde, ou ne soit peur quel
réClleme.t confus, mon,
sieur, de vous entretenir si longtemps,
intéresser
pour vous parler de choses
qui doiolet
très.médiocrement vous
;mais
je vous avoue que pour moi, elles out
un intérêt immense.
- Soyez convaincu, monsieu, r, queje
ex eosrenueseignements
emat heureux
si les
motif, et n'avait point reparu. Tuuiea
q e celn arrive trop souvent dans les
déserts et les hautes savanes amérioei.
C'est que, malgré leur déclaration à
nelfais là, il n'y a aucun contrôle pos
sible, et u bout de doua jours, tout
cadavre, réduit à l'état de squelette par
la police, et la publieutiou dans fous les
de la disparition de celle
personne,
dopais deus ans,
enla rdetamer.
n'était vu
Au lycée, ei, il se présenta ensuite,
les mémos épouses furets faites à va tonton Guillois.
Jnfuntus
les louves et les oiseau. de proie, devient à jamais méconnaissable.
Biea qua l' 6 Curilé se fit de plus en
plus an!our de lui, \'alenliu .e se déranea pas.
mémo
heure et dans tes mômes conditions, le
jeuoe Luis avait disparu.
Lge
proyusent un nul vont jusqu'au boni
e incidence dans la
façon duel avait en lieu re double eulé
vemeot, affermit Valentin dons 1. pela.
ée quo don Miguel Tadeu devait seul
sans Lé,rter, sain fhjhlir, Bans se laisser
découregor pop
s .prés aou
entrée chez elles, uni IL à la promeBade, tandis que ces compagnes juu0ieut
o
ubslacles qui sur-
',ou le pouvoir d'arrêter.
Après avoir fait les deux visitas que
so ,a rapportées, Valentin
et la ,muni
lui
rentra
Mondaine Cliaubard lui annonça que,
Avalant-! la été aasasxinés4
I
que 'ait possède de se leulien r-
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
depuis plus d'une heure déjà, nn gent'
leman l'attendait au parloir.
Valentin s'y rendit immédiatement.
A su vue, en homme assis deus
fnntarsil à disque se leva, elle salua r,au
1
pecWeusement.
Cc peramu:,go émit uu grand gai,-
1
fa, LI
les
gisent sous [Cure pas, et que seule la
ohea
mi, i
chasseur était use de ces .iaI
jetions énergiques, qui, dés qu'outra se
Crue étrange
Lion contre hs ppnvren enfante.
Maintenant, qu'étaient devenus le lié.
a's,
u
Ces dames avaient alé une pariicu
lardé étrange,
téuéhres déjà Ii épaisses qui entouraient
affaire.
cnue
Ces dames se rappelaient parfaitement
en douceur; mas
h
î
la contrebande du tabac, ne p
t pr
céder h leurs recherches, car la mai
fut im édiatx
qu'ils voulaient visiter
er t envahie par en grand
ombre
de ufemmen et l'enfants qui paralysA-
reet leurs mouvements, tandis que les
hommes l'aisaien[ dieparattre faut le
tubas de contrebande ainsi que tons les
o lits servant à cette prép:,ralion.
Les employés se dirigèrent alors vers
une autre maison mais il, Leonvére,t
rr te seuil une jeune femme armés
meuaçnnte. Le garde champêtre appelé
fut -ciselé par la foule
nmpéchn de remplir suis devoir.
C'est la gendarroeein qui, le lende-
main, a dû revenir rdiablir l'ordre et
oe le triomphe de la loi eu acte.
Lot les principaux coupables.
(Dfesaayse do
JJidi.)
"MANGER
ESPAGNE'
.
5ladeid, 2 septembre.
L'Pmpseeial en çoit du correspondant
qui est attaché A l'élut-major dn gsar.
tira général de blaeinez Campus des
lettres loure intéressantes. C'est re général
qui a pris les devants peur mener
hizarruga à cxpitsler, il u envoyé, nmére dérisi.n du sort, à des assiégés, dont
le plus grand tmrnnent était la art[, sue
'n; de camp, le capimine Fueetes
taillé ce hercule, dont les traita avalent
u
tans, de
tions clora un habitant qui a
ter, avec une rapidité
être l'a none de ne doubla guet-aprna,
et o e dirigé cette odieuse maclu.a-
lutina comu,e pensionnaire.
Tout le inonde l'aimait
i
le. baeiDuu
j
d'Arepilea,
our le lieulenaot
roln.el. Quand le bandeau qui couvrait
homme ne saurait disparaltre sans Iaissar de marques de son passage, ainsi
Vivaient-ila encore y
Voilà en qu'à tant prix il falinit savoir.
11
importait, amntant, de découvris
les traces du ravisseur.
Si grande que soit la liberté d'action
d
jouisse en Amérique, et la
rendus
Linsceage dan
qu'il obtint segmentèrent moere les
.oe charmam niant, ou plutôt une
s'étant
elleCtuer dés perquisi-
quitté la salle en protestant.
11. le corcunissaire cament a alors i.v it.é l e public à é... uer a selle. éI.
été,
Le même jour, presque la
Alleur h pour
(fontaine), pour leseegager à cesser une
les eochereh's 'lit" pour la vair. ,er, New yoek, N- Orléas et autres,
quelque actives qu Nlles eussent
étaieul demeurées sans résultat.
2.,1;
celle réunie. était de eneneuU dissoute, le député de Vaucluse a ausailôt
extrême, d'an
point à ne autre , Cependant dans les
grandes villes de l'Union, frites que
peu
- Je
tonte espèce de
rénnioo politique, puis, mm l'invitation
qui lui eu a été [rite, il a dmmé lecture
ln récolte
cé o nqùà Mont.
à:.,nsieur te directeur,
pluie torrentielle a commencé
p
jamais fait remarquer par la douceur de
leur caraelére et l'aménité de leurs ma'éres, et ils ne paraissent pas diapoà changea car samedi encore Ils
i ré bataille , avec leur garde
général Commandant l'état de
de siège a'npposait à
pellier et dans ses environs.
réal
le
le
mmissai
.lier
et MM. Roochet et Rauvier. rM. Berler
a déclaré que,
arréti en date
du 4 septembre interdisant la réunion
v la Ville. L'a tendre, taule avec grand
des viol yes
Marseille, 9 septembre.
Les habitante d'AllaucL ne se sont
alors entre
frneas et la ploie imnhz à tneerntu.
Ilo assure que des orages d'une vi
laces excessive ont éclaté sur plusieurs
Salut sulennel, Ave Maria Jtalla
"""t,
voiture pour venir N l. rénmWn.
(Petit Maraeïllaie.)
Urn échange
a eu lieu
ai. d'expoltoatiens
presse une véritable tempête se déchalne
s do est coeionme.tt
du chemin de fer, aurait pria son bu'
rit
lot Peur Aubagne, mai,, quittant le
train àOlaueurde, il serait monté
qui
siège,
oument. L'orage a cessé à dix heures
du malin environ, mais la pluie rie
ontinuédelomberjnsqu quater tientos
du soir. Elle a été parliculiéremee,t1erla
à midi. Au ummeet oh ions maltons sans
anus rgno
saue dans quel but : En quittant l'hOtet
vers sept heurts, il serait allé à la gare;
pourl'l'nrréter
M,
du ciel semblait annnneer un pareil dé-
vêpres, 'Vau- ificul en musique de Luigi
n par M, l'abbé Douraloi,
Dordéue
reo de la paroisse.
anAu
i si
.'nouée aire qu'il a en solo de
de
de police chargé de service de la elreté
et d'an grand nombre d'agents et de
gordiens de la paix, u dédoré Le énm disscote en vertu d',,. ae blé de
sar Montpellier. Uepuie deux jours l'élut
pois
'est
faire suivre à M.
élaitnl assis prés du président.
-il
Ili,., jen:li, vers les six heures do ma.
tin' u violent orage, accompagné de
ton narre lelgore ts,
le Plus parfait.
Un détail qui n'est pas sans llie
IthGne, ovulent pris place au bureau et
l'arrivée de AI. Renier, comcentral Cr fonctionnaire, quo
étaitaaccompagné ils Ni, le commissaire
Montpellier, 9 septembre.
o, ps 1de
tout le monde s'est retiré dans le Calme
d'une écossa pierre et dans une attitude
une Unci
la Cmu d'appel, décédé, la uni[ denüére
à la suite d'une courte maladie.
Ires obségnes auront lien demain dl.
mnnrhe, sor lu paraisse de la Ilalbadr, à
nec heure de l'aprés.midi.
droit, il l'allait obéir et se relieur puis
il a anifesté l'intention de ,e ortie
s
que le dernier. A neuf heure et quart,
aussi Lumbeese réunion. MM. Itenvinr
et Bm,chet , députés des Bouches-duLa séance venait d'être ouverte et M.
Rour.het avait la parole , lorsqu'on a
Nous av s le regret d'annoncer la
mort de M. Fort, président honoraire à
Idl
/4 h ,.
issaire de police,
Mueseme, u septembre.
1
Ils,
Il I1E 11 h lit
I
champêtre, dans les cieoontanws su,vautes : Les employée des o leihutioea
indirectes assistés de M. Poinso[, rom-
(Meecuyer du Midi.)
vsurts.
I
tète de l'inatrnntiou publique (direction
M'slheureusement, les renseignements
ç 8r,
Les
et, dégât' oeca.ienuée alâlil 1et orage
mate ou pont dite d'ores et déjà que la
qualité des vins aura beaucoup à suuP-
___
11
la h. 11Y m
Bouchet lui a demandé ai, dans le cas
où les membres de la rétinien ne voudraient pas an séparer, or emploierait
la force. Snr sa eé;uenn ullrmative, M.
Douchet a ,est contenté de protester, en
disant que, puisgai, la force primait le
calife.
t'nuaavarolx[
ursrnea : 494 .
é.
ails appniutr,uents de !1000
(rave,. Les c:ulJldab à cet emploi ,le.
"..,t remplir les rnndi liens exigées
I,
4 h aa
h h. ]E a,
a ü. III1.
Nev - L. .-de. da a P50. evmmee . d ] s. êu none a mi, d 9 A.:êe eou
tueux.
La pluie tombée, mesurée 1-média'
lament .prés l'orage, au pluviomètre du
Dar H -- i0 6npterubre g7g
f1
2 A en emploi de ^r,élui en d ar.n-
démie
5f
15
h , nn dirait nu véritable Duujve, eddon
cours e.céssivement iIhpé-
--.-.
ralrY a
p.T oe
it on maximum de gnat
se
Bars
ORSB1tVAT[ON5 METEOROWGIUUF.S
'a
fondions
l
gé de 25
n
'L'
jenue
fille ncoup éeeRosariu da Riva d'AAéjeunais un nui. eh,e duo Pedro m'en sais nullement occupé.
- Pourriez.vans me fier une date gueyro, avait été placée dans leur instimpnt "' les
IJaroips d'Anne, qui
louelinnn de rnnauI du Brésil, lorsqu'an
édrengm b,eiab, pour lui parler... Ilml
Pndr, donna l'aides: du l'introduire
net individu entra.,. Il ressemblait trait
pour L, ail à la personne dont vous
(Ll ej, égé d, Il ans,
O°us. 74;, 4I
m
a
violent l'a conduit ers l'es[ avec
la rapidité eRr.+yante ; les éclairs et
les coppa de tonnerre doue forte intena i l é , se succ é daient il d e cour ts i n t erde l(. Dans quelques foutes les rues
Pé
a e étail eransPormées eu for
'octs, t l rivé
de Peyne subissait
r
nsitérab(e.
il er le
de cet affuenl de I Hérault
n m n a tlitqu àop lit sec aimai le
p
ad':
d'an grand
hemun
é à ce fonctionnaire
it daa appointements toril
toucherait en France ai, ornent do sa
nomination et d'un supplément ses n leu
lame
lamente
à 12,500 fli
(y colr,pri les
frit, le berlue). Il
t r,
qû il m'a été
elle Orléans, pour leur taire appreD- quelques
dru La tangues aoglafse et fruvçaisa. permis de vous fournir peuvent vous
Cet homme présenta à dan Pedro uan âtre utiles.
Après avoir échangé quelques uniras
lettre dn sou maître, lettre fart pros.
roles de politesse, les deux heinmes
,ante sana doute, puisque dm, Pedro
aprde rélne e.cu.é auprès de moi -P: parèrent et ae mélérent aux invi
de me laisser ce iodant seul, me tés.
I.e lendemain, Valentin Caillais, en..
quitta et sortit avec l'étranger...
,rappris plus tard, dia consul lui' perdre un instant, se présenta au penmême, que par ses soins les plants aionnat des demoiselles Fmderlé, qui lé
avaient été placés, la jeune fille dans reçu,enLde le façon la plus courtoise et
l'instituliou des demoiselles Fooleriel ne tirent aucune difficulté pour répondre
et le jeune homme au oollége frau- à n.n gnestiaus.
je dirais presque de si étrange dons
on, ber pbyaiunumie que ao. sou-
40 SOU ,
e partie de la population des (écu.
de M000.Geeseo... Il était ar-
Pue Guam,. AIMARD
6
6
fixes an 24 septembre courant.
111eecleur de lins.
e
11: durée des
neur, pour l'empereur du Rriml, de la
- BBi1LÉS
4
t
baisée aans
interruption jusqù à -Cet
heures ; l'orage est ,sen de l'ouest ; un
pourvoir
meuit
La Liberté dément que ta lettre de
l'amiral I.n Roreiére et le discours de
M Banal Duvsl soient le prélude dune
ampagne dn parti de l'apptl au poupin
I
.q
5h
h
vont
vers cinq heure., du nove et s'est Con-
cet accident.
AeadArIDte de, TmsimxnS
ment en premier lieu ans séptenoat, en.
Le
55 v_o
40 S
55 S o r,
ires. personnes, les nommés
.t D. , âgé ae 18
a
tus, logés es. S t-Louis, eouait,
nue tra.vive allure, nn
cheval
à une
il jardinière
n
1
de Lyo
aimé
I nneot
(Illumine), q ... tenait nue jean. mifont dans les bras, payant pas eu le
temps de se garer, s été jetée à terre
d'un
pan, coup de brancard. Elle a eu l'ée droite fracturée ;l'enfant n'a pas
ede mal. Une requête est ouverte sar
)11RON1QUI LOCALE
IJD
7 h 118 m , h h lIP -e.
aA. lmh m 4, a h aa
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MM. P... et Lombard informent que
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Jeudi matin , à huit heures ,
surit allés à
éL angors
singe pn r -blé CI.
Co
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r aviLaillê
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s . insurgés une eaoaervf leurs puai.
Les
L.s consul
55i S
dam,
4 bo
par la
eésnlmt qù il n'est su pouvoir de per
une d'annuler et que nus résume
tons en deux mots : la monarchie sera
héréditaire ou elle ne sera pas. l'a moarohie héréditaire a échoué nous
vons
Le générai Usse.impachn a
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9l 21 M '..n
1'.n.
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les fortins1 il .t'est eusnitx retiré à Tré.
créée
marquis de Riva dgneyrn,
'A
gouver-
venir
46
sinratinn
i
mnére les projets de loi qui seront
LES BOIS
ASISoe (C e..
Iiaguse, 40 septembre.
nouveau combat a eu lieu
Ubei.
I.e. Dosniagnes se réh:giant en Ser-
I.e discours pruuunné par le Prince à
l'uuve'W er de la Shupl.eohina parle daa
(coure événement de la Ituaie et de
l'Nrr Agovine, exprime ans sympathies et
termine ¢n disant :.
q
9
bie la situation e est aggravée.
tlalgradLI, 10 septembre.
enta à l'Assemblée.
P,mi,n :wuonce a,,.,
4
l'auteur, quel qu'il soit,
paraît méconnlitre compléteme»t la
lois eonslilnununeDes
1875.
voir élever le minimum du traitement
le Journal
de Paris dit :
surin principal des quatre eontribntions
directe., augmentation dont le produit
seru destiné au budget d e l'instructino
peelique.
unnil e émis plusieurs vieux
Le
relatifs au. école., notamment celui de
TILE1fiG1if ïcillE
4
I
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L(a
gOlair,
Paris, 10 septembre, 6 h. 25 soir.
.Cession de la récente Clenche'.
de restauration
con ,talent que l
'.eIPT.I,
9
43 Soit,
Vears Cette,
et vile maeussion, a volé, par 14 voie
centre 6, une aogmeutdelon d'un quart
informations
n
S
j
L
nue'ne e(rhone
1.
Marseille, 9 septembre.
L. conseil général, agrée une lo rgue
Les
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a255Ml
Toulouse, 11 Septembre
114maa
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Il i,
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3, Pues ce u Beoesa,
Matin
(esp. )
1-m'" PARIS,MaOr{S
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LES (IEMINS IIE FEA IIO MIDI S.T D'oesr.$ANS
[)£PARTS ET DES 4RIIIVEUS DES TReRES DES,
1
ea
Paves Larges .
LESBaILE$!
RLU
!
lard de prés do
six
pieds
de
réaistunce inutile. Cet officier à servi avxr,
do t celui-ci
fut
e rare expression d'astuce et les yens
pétillaient de fnease.
Ils reste, il était oreeelemm,t vélo
de noir, et avait tous les dehors d'un par.
fait geulteman.
l'honneur de PParler 4
demandalui
V:dennn, eu faisant à l'incon-
-A
nu en geste pour l'engager à s'asseoir.
- Monsieur, reprit l'autre en exceBlet français, bien q.'.,. ...léger
ccent, monsieur Rouquette, l'udes
chefs de la grande maison Arthur 'uVil.
son, Rouquette et Rlondeau, m'a t'oiL
fi
.,or de me donner celle
lelire
d'introduction prés de vous.
Et il présenta au chasseur un large
pli cacheté, que celui-ci ouvrit et purcour.t des Noua.
- Fort bien, eepritil au bout d'un
instant, en repliant le papier qu'il mit
duos le poche ; monsieur ISouquelte, à
qui j'avais demandé de me mettre en
ra ppoul avec vues, me dit que je puis
v nus accorder toute congunoe ; vons
ôIes monsieur Aller Y
- John Aster,
ai,
monsieur, ancien
chef de la police sec@te do
l'Etat,
en
lire depuis quelques années, riche, et
ne Travaillant plue que pour mon plai-
sir et pour rendre service aux hono-
rables genuemen qui veulent bien m'ho-
noter de leur continuos. M. banquette
mots d'une mis
1 m'a glissé quelques
ion fort délicate
et surtout
fort
difficile dont voua désirez me charger.
c
anciens
d'aunes échaegér«n 1.
cale poignée de n
et ioimédin-
des Beurs,
.1jiegnons
Le
se
la
deaCastnllciudad
;
preuves
es d 'ou valeureux putriolisme; puis a ajouté que l'armée
libérale avait emporté les forts de
donné des
Cosroo
la prise
['artillerie, de marine
Sen que les crlistes avaient e
levé par surprise ; enfin, il a manifesté
l'espoir qui un Te Deum solennel, pour
fêter la fia de la guerre carliste eu
Catalogne, pourrait être eh:mté à bel
délai, et qu' aeurs il aurait entrepris
duos le Nord une campagne qai serait
vigoureusement p suée. S. barangue
s cet terminée par des vivats ce lho.aeur de Puycerda, de l'Espagne et de
la
C'csl. rit vain ,1,1'11 avait cherché la mort
pro
oot- soc las r
ciel
main il riel ne Ini avait pas l'ait cette
grdce. Pour lui, il préférait en finir
avec la vie, et il était décidé à s'eose-
es les ruines de la forteresse
Nelir
Ni 200 hommes déterminés étaient réso-
lus à le suivre. Néanmoins, comme il
y avait pour Ici u devoir à ne pas
il s'engagea
armée.
les rand es ont
b.,..
guirlandes dLs,
dee Renrs
part
frè,,
r
laissés libre-
chefs et ofieiers et las
d'arrmemes,
frèrens
ment ae décider.
Prévoyant une reddition, Lizarraga
demanda à ce que ['évêque d'Hegel
engagement,
disant q. il novait
oondait, les yens bands aux avant-pos-
grande senealfon. C'est le
durer jusqu'au lendemain
devait
heure, avait été convenue.
d'hui. On parle d'uns rébellion au
sein
de la province de Biscaye, qui, déjà
trés-irrites de voir Mendtri, Iparaguire,
le marquis de las Iiorm.,zas, ma,,
un
sortant le marquis de V.ddespiu i,, sr
des ch f, le plus aimes du puy. n
é
de côté .'aimait pa d lmufer so
_Lentement
quand Ils a ap ` in
vés L ué .de que vield; de prea.ure
Parula se serait vu tops
Don
l'obligation de prendre avec lui q ni-
âuune
Il paraît que Lie-aga et
l'évêque
d'Urgel, cherchèrent à mettre à profit
quelques heures pour ranimer rre
courage de la garnison. 11 tallait co ces
app ochaienl,
tinser le leu ; les
était à
disait
.1.1, a avec 30,00e la [i1ms, et après
Ga I.
Lizarraga ; O
,voie fait appela
Iiféhté
I,
1
de ses
troupes, et leur avoir de'lue' qu'il était
tre bataillons aavareuta, trois escadrons,
ée ta loostton par ulhvivat laelhonneur
six pièces d'artillerie, et de se porter
de Don Cartes, qui trouva peu d'écho.
L'évéquc paria après lui, et loua ceux
qui .s. aient se sacrifier pour la reli-
rapidement de Mueata dans la province
de Biacape. Qu'y a-t-il de vrai deus
cette rumeur? Les lettres de Bilbao
certaine agiconfirment qu'il y a
Tution en puys carliste,
-eset disent qu d
e u une ému ute. Les
Larrabezua il
r fusaient à aller rele.
voloaaires
gion ? ic le. soldats lûelarôeent qu'ils
voulaiael an cour, et que 'Jeu ne tea
en empéctterail.
Aussi, le lendemain, sorts attendre la
lin de l'armistice, l'u. des aides de
camp de Lizarraga, ru méme temps
que sou secrétaire et le gouverneur
sey
var les geauds'gardes si ou ne leur don-
.ait pas de chaussures, Les chefs out
pu tenir tête ... mutins et ont fait
sortir des rangs trois des plus vifs récalcitrants et leur ont fait appliquer
élitaire du château, étaient conduits
devant Martine' Complice moment où
il allait se mettre à table ; il les invita
trente coups de bâton.
aa prendre place à ses côtés, mats eeuxrelaaùrent et demandèrent nn verre
i
d'en a. Ils proposaient le ceddilion de.
forts, mais ds demandaient que la gte'
nisou sortit avec les honneurs de Is
dont ma dernière lettre voua su.onçait la
blessure, vient d'adresser an
ment de Madrid un rapport dont j'exe
gueay
de ta situation acriti,jne de la place et de
e.
lui demander des ,nuls. Comme couas-
pension d'armes fut lancine, Ire défenseurs dn eh-Ma et de la citadelle fucommuniquer entre
rent
eux ; les armistices Purent reuonvelée
en dernier lieu, on accepta d'eovoger
deux délégués à Dorregaray, mxisils ne
autorisésenS
et'
revinrent plus.
ll a talhs
z
C; repos a truité
euoemi avec
s
honneurs de la guerre ont été accordés
aux défenseurs de la leu. qui ont défilé
des
t
meours let des clâ roo
Lizarraga marchait en tête et salon de
son épée le général Marti.ez Campos,
qui se porta à sa rencontre, le fit sertir des rangs, l'embrassa et le fi t assisdéfilé. Les carlistes
es côtés an
déposèrent les armes à la Seo.
ter''
- 0. noua écrit de Berne, le 8 sep-
lui paraissent
..,a, nos
tembre :
s La amtscription pour les inondés
qui avait été close au 15 août, s'est
ce IL de toute né,,sdité
. que le gouvernement don.' ordre de
s'emparer de San Marcos, qui com-
manda ce post, et où les earllsIss ont
placé pltvirnes canons. ,
. Or, ll est à peu prés impossible de
donner l'assaut de front à Sao Marcos, il
'est accessible que par le lave de la
montagne, ciao(-à'dire du côté de Santiagomendi, mais pour cela, il tant éviter le feu de l'artillerie établie sue ce
dernier mont, et par conséquent sen em.
parer.
ce point qui, aujourd'hui. est inexpugnable ; avant huit jours, le fort de
àlendizorots, montagne qui domino StSébastien, sera complètement achevé,
grâce au déneormeat de
ses paysans
inl'atsgables, qui ne connaissent aucun
relies, leengt'il s'ag,t tle leur roi.
a Ente, ta position de St-Sébastien,
Passages, Heroani, sans cesse menaeés
par notre artillerie, va devenir insoute-
Le général Martinez Campes a quitté
la Seo de Urgel, le 211 août et est arrivé le jeu demain, à 5 heures du soir à
Puycerda. La réception qui lui e été
faits tient do délire ; des salves d'artillerie ont salué son entrée en ville.
Les troupes formaient la haie et ont
ensuite défilé devant le général qu',l à
- Ea rIt'et, cher monsieur I
lent depuis ma mois à la fortification de
ajou-
cette mission est nonterai qudile'licils,
mais sera encore profil.
seule-ne.,{
biement lrés-périoeuse.
-Très'bien, voilà comme j'aime tes
alfeiees ; je sois artiste dans me. métier, moi, monsfeugje travaille pour l'art
bien plus que peur l'argent, quoique...
ajouta-t il, avec ne sourire presque Imperceptible,
je me dédaigne pascelui-ci.
en
vous cacherai pas qae, d'après
Je
ne que vots m'aminne.ez, comme il y
aura, sans uante, des déplacements, des
agents à expédier on :à entretenir dons
:e. tains endroits, enfin une masse co.e,idéeuble de faux frais de tontes sortes,
ans parler des coups de remisera ou
de Aov.ie-knif À éehanger avec des
bandits de la pire espèce, M. coûtera
cher,
- Vous fixerez le prix vous-même.
Allons, foi de loba Ester Ije vais
que vous êtes ula véritable genllemnn
- Vunlez vous que nous fixions nu
prix tout de suite, àftn de ne plus avoir
!
nable.
.Avant-hier, une col
hommes
de 4,000
quitté Toiles. et pris
la
direction de de ngiiesa ;le but de celle
colonne est de s'emparer des positions
que Weue occupons du côté de Aoia, à
l'est de Pampelune.
fr.... avec vous :
mille ,
mais
ce
n'est
cinquante
pas trente
mille dol-
laes;que je vous donnerai, que vous
réussissiez ou .on ; et oftu de vous
prouver la ce. fiance que je mets ru
svous recevrez vingt mille dul1arsd'avance, et dix mille de gratifica-
liondi vous réussissez; en tout soixante
mille
dollars,
cela
vous
convient-il
ainsi ?
- Allons) allons 1 gentleman, je suppose que vo.s voulez .n'obliger à faire
des miracles. 11 faudrait que je fusse feu
pour an pus être satisfait.
Ainsi nous nous entendons?
Oh l parfaitement, monsieur;
maintenant ï attends vna ordres.
Valentin Caillots dansa alors lecture à
Belgrade uu la gagesde mita nuà arrêter
net la Serbie sur la pente dangereuse
où elle était engagée, et les dépêches
de Belgrade elles-mémes avouent que
le nouveau cabinet serbe a considérablement
sou attitude depuis cet
canto. panure qui n'a ce_
pu
faire beaucoup. Le jura bernois a
noyé directement ses envoie à l'ambassade de France. .
mapiquent pas sua autres. Noua
seutow toua les jours pourtant e
Alsre, depuis l'saneaie., que nos traditions s'écartent sensiblement de celles
de uns vainqueurs, et tandis que ceuxet remarquent ce qui
rechercheul
rappeler
ilILILLES-PARIS
pourrait
o.oc rima
s
plus .v vemrnt frap
(Currespnndunee portneuliâee)
liés p,r en qui dénote une divrsité
d Om pns.
à
On voudra bien noue permettre,
duale de ne pas taire nos sentimentsen"
cet égard ; I,Olleinag.e elle-méme doit
désirer être renseignée exactement s
ce.
.o les de faits et de phénomènes de
psycolegie int...ationate. Ce qui nous
conduit à .nus occuper de cette lacslion en ce moment, ce sont diverses ma.
n ides(.
Il se confirme, d'autre part, que les
insurgés n'ont obtenu aucun succès
aérien. et que la plupart des dépêches
consacrées à célébrer leurs triomphes
sont de pures inventions des comités
.lave.
Le prince de Hohenlohe, ambassadeur
d'Allemagne
Pour
en France, partira demain
de Belli.
ses propriétés de Li-
.
oifeatatiens que .nus il ....à dans ta
presse allemande et que nous comeer'
mous trés-difficilement en Alsace. Nous
voulons parler de l'importance que L'AIsousere parait attacher aux voyages,
A ,.s1
hier, M.
lamiral La Bouvière a
été
de 1. lettre
adressée par loi au rédacteur du Courla aiédilnecnnée à
l'Eure et lue dimanche
par ce
fermer au banquet d'F.vreux. Le gounemnvt .e pouvait pas laisser p ser
attaque aussi directe conte
test une
'joli..
su
existantes, et il n'y a qoi une
vx, excepté pourtant dans les
rangs
font a fait
do parti bouapartiale, pour déplorer
qu'un homme tel que l'amiral La Mon.
cière n'ont pu. m us competa les de.
s qu- lui inoaaient les hautes
Pouctivan dual il était revêtu. Le Cous il des ministres qui s'est réuni hier à
I Elysée, dés l'arrivée de l'amiral Moutcignuc, qui se lcouvaiL coi une In ma.
tin en Nurmva tir, ne se composait que
extraordinaire pour nous, et elles le font
dent M. talfaL Dafau re et de 3lontaignac.
I:snsdea termes qui .nus para fissent plus
eus( 5110v
-dirai, encore. Noue en parlons
lin e a été prise à
ras excursions, aux inspections militaiet. autre. de tels hauts personnages
priveiers de
prcnél
famille impériale. Le
a
na soin
extrême et
semble fort ruer sol. de Inter les
rn ires ir ei lents ae rues voyages ; l'a
nul x s'en o ecapentd'uulfore.
La meuler publie.reconnu
à l'O((ic' I de ce masans qu'on-
qoi semple nmtues[ h l'Allemagce,
ci'. débat ait ce lieu et sans qoi il y ait
présenté aucune des observations ou
réll,siuus que rapportent ce natta le
Figaro et la France. J'ajoute que, dés
rdi
le président de la fié Pu.
bloque avait été saisi, à a.., arrivée à
l'Glysée, à 1l heures, de la lettre de
pour nus; qu'en Alsace l'esprit pn-
l'amiral La Roncière par les ministrea
présents h Paris, qui avaient appelé
us phlpant a nn point de vue e
fièrement bjectiu et dans les sentilente que nous Pont
con
éprouver c
mêt..u pu. de ..a.
ell'eseatioos, tenus
rs de la dernière guerre ms dn l'anui tua
nsidéea
que ce.
sur :e terrain là, ne l'est point du tout
hlic n'est point, comme eu Allemagne,
00vert à rte pareils aealirnrels dyuan'
tigoes, allemands, français ou a lfils
que, l'Alsace e fût-elle pas assurée à
l'Allerngoe, et vécut-elle sous une mo
-hie française ou autre, elle ne res-
sentir. iLions à l'égard de set princes ce
que l'Allemagne paraIL à un i bout
degré, ressentir à l'égard des siens.
LES AFFAIRES D'ORIENT.
soir,
u attention sur une
lettre, eu fui
demandant s'il Ii y avait pas lieu de
saquer le conseil. Le naeéchal avait
ssiWt parlagéce sentiment, ce sorte
q le, si la résolution n'a P. être prise
ufliciellemen[ «hier, après le ministre
de la marina, or. peut dire qu'elle était
virtuellemeutuerétée dés que la lettre
de l'amiral La Roaciéen est venue x la
ee du président de la République et de ses ministres.
Le maréchal de Mac-Mahon est repar-
ti hier peur le Loiret d'où il ne revien.
La Burgerueigang de Berlin, parlant
de la si,latlo. de la Turquie, se 1 1, re
ux redeviens suivantes :
set sensiblement
. Lie situation
modifiée aux dépens de la Turquie, vu
que les puissances icterprêt,.t mainte-
mnl d'une manière toute différente le
lrailé de Paris de 1856. Il importe peu
de savoir Ni les lroup'e turques répei
semelle
et
l'insurrection
vont
réprimeront ; d'an
quand
elles
la
autre
presque sûr que
il est
côté,
la
situation
vis 1
vis des
de
la Sublime
provinces
changé complètement
Porte
insurgées s
avec
rassenlt-
ent et par suite de Pimitiative
grande pnise.nces. Il fou[ surtoa,
marquer que l'idée de la clé
des
nie. es'
de
nouveaux Liste Nosnanx gagne aimai de
Ce récit
fut
long ; il dura plus
de
fi n'y aura pas d'ici là de conseil
Pendant tout ce temps,a.ttention,
lohn Ester
se
oetentanl de hocher affirmativement
s sans
la tête, à certains passages,
se permettre d'interrompre nos seule
foie.
-Eh bien ! lut demanda Valentin, à
présentque vous antmn tout, que pensez.
vous de cette affaire ?
- Hum I fil l'autre, je vous dirai,
pour me servir d'ou terme de notre mé.
lier à nons, qu'elle est rude et qu'il y
aura diablement du tirage.
- Mais vous ne désespérez pas de
réussir !
Il
des
ILe dépêche qui faisait ressortir der-
ment, diaprés le ourent de Si Pi
tersbourg, que la Russie avait fait les
premières démarches relatives aux affaires de l'Hrzégovine et désirait main.
tenir le statu que en l'améliorant, a
produit une grande sensation à Berti n.
D'après la Gazette de Cologne on consi.
dé,,
dans cette ville 1. communication
me trés-impoetaute,
parce qoi H. émane probablement du
prince Gortschako6' et l'on dit dans
.ertaira cercles que la Bassina déjà
élaboré des praposttions pour le cas où
les grandes puissances tiendraient une.
conférence au sujet des affaires d'0.
tien[.
question c
perdre la trace des enfants, et au moyen
d'un faux acte de décès qu'il pourra facilemest faire confectionner ici, moyen
s'approprier la fortune
salut finaure,
deuheures.
ééouta avec la plus sérieuse
dru probablement que mardi
qu'il conru' s'il
- Mais il
l
les a réeilemest assassi-
nés?
on asassin.
- Ce que vous me dites là est bien
fort.
- Non pas, monsieur, ce n'est que
logique. Suivez bien mo. raisonnement.
Les animaux féroces se divisent e
deux classes. Ceux qui procèdent brave
.ce
t, comme le tigre, loura gris ; animaux qui vont brutalement à leur but,
anus bée
simple
soldat,
sans tergiverser. Ils mi-
sent leur
De"victime, la tuent et la dé-
- By Col ! monsieur, je ne désespéra
jamais. Je suis venu à bout de tâches
beaucoup plus rudes que celle-ci : je
chirent. Les autres procèdent par ruse;
dais cependant convenir que nous avons
cuité, ce sont les chacals, les hyénea
ils saut plus féroces peut être que les
premiers dont ils sont le sous-genre.
ils ont horreur de verser le sang, ...
pas par bonté de cour, mais par Id.
C'est à un individu appartenant à ce
sous-genre qae sons avons affaire. Votre
serrer do. Miguel Tadla avait cinquante
nopens de tuer les enfants. D'abord
lors du sac de la chacra, ensuite pendant la traversée, par une nuit noire,
n temps d'orage ; plus tard au Brésil,
dans une savane
quelconque,
il
n'en
.motel pas par là
; fl les a laissés v'
ver, parce q 'i1 n'a pas osé les tuer ;
uu meurtre, du sang, cela l'effraye. Il
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
plus exnlusivement de drapeaux prussiens blancs
.t
n ira,
ouleare allemandes, noir blancsetu ronge.
Lesbâtiments du gouvernement avaient
seuls arboré le pavillon prussien aans
y joindre
le drapeau allemand. Aux
thénars, on s'est borné à lire des pro-
logues, mais il y a eu absence complète
de pièces militaires. Les illuminations
n'était pas géaérules. Toutes les légalions, notamment, s'étaient abstenues.
11 y arc e aujourd'hui nue grande
fermeté à la Bourse ; mais les affaires
combattent à être fort restreintes. Comme je vous l'écrivuis mea jours derniers,
le mois de septembre paraît devoir 'ce-
tsr aussi calme que celui d'août a été
agité. Le 3 0/0 est côté 66,65 s.us
sur hier ;
quant au
110/0, il faut 104,32 eu hausse de 2 clef.
ehangement
Bien cm tainement le principal obstacle à ta ausse eet l'absence des apéculateurs habituelle à cette époque de
l'année. Les achats au comptant sur
os fonds publics ont faibli. Les
_IL,,Ira généraux mat fait acheter "'Il
coin:
1,300 Ce. de rente S 0/0 et 11,000,
de rmsts 5 0/0.
mue
Hector
REVUE DES JOURNAUX
Lesjoumans républicains du mati.
fêtes du ceuteuaire.'il
qoi un c...aissaient, pas encore la non.
velle du remplacement
de l'amiral La
le te
Bancière à la
de l'escadre de la
Antre correspondance.
Paris, le 9 septembre 1875.
Voilà le vice-amiral I It ; Ace L
n ules d
Noury te p! é clos
t de 1
d
déni t
retard, n
ud d'an
d
Médllcre, niée c, , 1mnnà réclamer la
é
M
1
p ieip'taOOe et
à
il d-, nl,stres dont
Maréchal Pr :crient «lievau sa provoqué
le
la
limier,
r dieaua qui réclamais ut depuis
hier la convocation anticipée de la
commission de permanence afind'aviser? La chose parait généralement don.
teuse. Et comme les feuilles rêpublinai.
.ce est tout d'abord comparé le cas du
vice-amiral de La Ronciérel celul du général Cserey de Rellemare , ou mrois
qu'elles 'nststerout pour la mise endispunibilité du vi e-amiral.
En tout css il y a mille à parier que
pas aas d'el l'a ne rendra hommage à la
vigilance dont a fait preuve dans le cil.
constance le gouvernement.
Plusieurs jeurnsas assurent que M.
Ducros ayant insisté peur que aa dé lun de préfet du fillette fut accepe
fer,M.
Buffet l'aurait prié d'ajourner
as résolution afin de laisser au gouvernnent le temps de lui trouver u le
ompensatiou. On espère aans doute, à
l'aide de cette rumeur, faire prendre
patience sua frères et amis de
Lyon,
mais malheureusement pour
la né.
ritéest juste le contraire.
eux
M. Dacron
et il est
jamais question de le changer
'n pas envoyé sa démissio.
moins
la,
résidene.
télégrammes de Ragions confe.
Les
ment ce que nous savions déjà depuis
de Vienne,
quelques jours par la voie
insurgés ont refusé de
air conférer à Moelle avec les men.
bres de la commission international.
Ce refus motivé par la crainte d'être
retenus prisonniers par les Tares, au.
rait déterminé, dit-on, une demande
d'inatroclion de la part des connouis.
grue les chefs
es à leur' gouvernements. Ici, aux
alf.lrea étrangères, on a ssare que M.
Donou a été déjà avisé qu'il pouvait
sans inconvénient se prêter à la réa-
n d'une conférence
peint
à Rages
ou sur
àla convenance des
margés. Les antres commissaires
raient été l'objet d'aumrisalions ana.
'
tout autre
lognde la part de leurs gouverne.
.,aie.
trouve, dans une lettre de Berlin
en date d'avant-hier, des détails sur la
façon dont a été célébré dans cette capitule l'anniversaire de Scion, qui, malgré leur cnraclére rétrospeetif, me pa
sent intéressants à reproduire. L'auteur de cette lettre constate que cette
année l'anniversaire du 2 septembre
vail perdu le cachet eaclusivemrat mi-
,.,a
ire et prussien qui l'avait distingué
jusqu'à présent, pour revêtir un carac-
tère national rappelant beaucoup plus
que le souvenir de la bataille, celui de
l'unification de la patrie allemande et
de la signature de la pais. Cette année
tiret avant tout à s'empares de leur
lui
fortune. Pour obtenir ce résultat,
faut supprimer les eaf.nts. Soit, ilil les
supprimera, mais ans commettre un
meurtre; voilà précisément pourquoi
ü est venu ici.
parlez par
énigmes.
- Nos pas, monsieur ; je parte
dernier.
souvenant,
DAL, I
tuue.,êr
nlem
j
L
s'écrient les
I honorable amiral de La
No ry fut promu an com-
td
l'eseadre d'évolutio.,
:a, pas de susciter quelques inquiétudes. On rappelait les te.lances très notoirement bonapartistes
de l'amiral, son passé, ses prédilectiaen
certaine. pour l'avenir. Le maréchal de
Mac-Mahoa qui veut tenir, selon le propre exemple de sou passé militaire,l'arnoir et 1. marine en dehors de nos discordes politiques, ne l'arrêts point le
ces propos ; jugeant les autres à sa,
mesure et à la lumière de sou palriun
Liane, il préféra noblement avoir confiance
il nomma l'amiral de La D.oneièur Le Nonry commandant de l'es.
cadre de la Méditerranée. Cette ton.
e choix
1
fiance, nous constatons avec étonnement
et douleur qu'elle avait été celle fois
mal placée. .
Le Rappel qualifie la lettre de l'amiral
La ltonriére de scandale et cite à ras
propos l'ordre du jour adressé par le
réehnl de Mac.Mahoa à l'armée. le
28 octolure 1873, à l'occasion d'une
taure miressée au ministre de 1. guerre
par le général ulueré de Dellemnece qui
y déeicrnit qu'il an serait jamais ie
soldat do drapeau blanc.
Le Siècle signale ce fait que les feuilles parisi,nnes sont presque unaoimea pour blâmer la lettre de 1'amiral.
Le Cens Jftutiennel est d'avis qu'eu
su qualité de député, M. de La Bu.-,
cière avait . parfaitement le droit dn
s'es
A.primer avec celle indépendance. .
moment où les attaques les pu,m
audacieuses sent dirigées contre laCuns-
titntinn et les lois du pays, il est Sqn e.
(tendant que le gouvernement fasse son
devoir, de lire et de relire des déclarations honnêtes, droites, libérales, com-
celile que l'ho...aide M. Léonce de
Lavergne a faites dans le discours dont
co r o -mu donné des extraits. Ce disde M. de Lavergne preuve à la
llépuôlique Française q .'il ras fief pus
.uafondre tels les conaerra[eurs sous la
dénomination commune d'eanemta dé.
clavés dus institutlions répablieainesr Hnuerasement, i lot s reste des conreuteurs qoi .e rr.,iguent pas de coca.
fier leur cause, leurs intérêts pub',ica
et privés à cvaisseau de la République,
halloté par tant d'orages, à l'heure
Ame où 1 quitte fe port pour prendra
la haute mer..
i
a Des déclarations corome
celles de M. Léonce de Lavergne sent de
grands services rendus an pays. Nous
tenons, dit la République Française, à
honneur de signaler ces services à la
l'rance. Nous sommes républicains et
meure radicaux auront que bien d'au-
tres. Nous préférons cependant, pnnr
notre cause, ne discours comme celui
fausses err messes, l'intimidation, et, au
besoin, la vieileece.
Ce que vous me dites là est afferx, je ne pois croire...
- Tout cela est. Du reste, l'idée peu.
nièce .e .nus appartient pas; elle
vient de France. N'est'ce pas aluni qu'avant la grande révolution, les sous.
officiers recruteurs proeédaieut
n
homme qui pessèie une lo.gne habi-
tude, une vieille ezpérieuce de ces affaires. La épullique des Etata-L'nis est
le pays do monde où il est le plus lafaire disparaître uu
cite
dividu ;
la Louisiane, la comrée de l'Union o
stte disparition peut le plus facilement
i
eséculer, la Nouvelle Orléans, la
le
cetl
N
[N s', n'a ph.
-Cher monsieur, vous
- Non, nous n'avons pas Ici affaire à
particulières étaient elles pavoisées cou
Buo..rofil, dernier descendant du célè-
aan
t r
plus Arian Peler, ".aie le National Peal
allema. I. Aussi la plupart des n,aiso,is
bre sculpteur, a été envoyé en congé à
Flnreoee pour q.
pet assister aux
I
privé du commandement
de l'escadre de
1, 'aile
er de
Un
dtarai ft
je vous le faisais prenne
l
est annoncé par une feuille
-
Versailles, 9 septembre,
don,. Berlin a commencé à célébrer non
modifié
Nopals est
tuiles
se
, de pensée elles-mémes des uns ne
à lui ter contre un gaillard madré; trop
madré méme, ajouta l-il avec un sourire sardonique, sa finesse le perdra. A
àyJene4
farce de vouloir ruser, il se découvre.
demande
pas
mieux.
pn
Le double enlèvement des enfants exéJihu
Est.,
le
la
leller
qoi
il
suait
reçue
Ls policier en recueillit ; il sembla se
enté de cette fuçaa est une sottise; son
tierce a u calcul mental ; puis au bout de don Gregono Peraim; paie il entra voyage u Brésil, nos niaiserie. Je vois
da.s
tons
les
détails
de
l'affaire,
dont
il
reprit
quatre
m
toutes
Il
de trois ou
maintenant aussi clairement dans le jeu
raconta les incidents les plus minutieux,
en regardant Valentin
qui pouvait ds cet homme que si je regardais par
sans
rien
onhlier
de
ce
de
trente
mille
- Que pensez-vous
dessus son épaule.
guider les recherches et mettre sur la
dollars?
Explique-roas.
entionnant les renseignements
- Trente mille dollars !... fit Vaien.
- Pour moi, l'affaire est limpide ; il
enfin me laissant
qu'il
avait
obtenus,
tin.
faire
- Oui, mais je me mettrai corps et rien dans l'ombre de tout ce qu'il était est évidant que cet homme veut
:
Le prince de Serbie a dû
ir aujourd'hui la Skaptebiaa. On ne
pas que sas discours contienne rien t do
belliqueux. [I set avéré aujourd'hui que
que les mmurs, les corttumes, les final-
nécessaire que l'es.chef de police secrète onnût.
que vous jouez cartes sur table, je serai
le
Florence.
âme à cette affaire; et je vous orange
ma pareil, à laquelle je n'ai jamais
manqué, que tout ce qui il aera humai.ement possible de faire, je le ferai; et
regardant à sue tour bien en face, puisa
rtuellemeut ce Suisse où il a dû ae
rencontrer hier à Interlaaeu avec
p r Le p G t h a ko ff
donné 46,00(1 ce. Vaud environ 80,000;
Fribourg 35,000;
Néuchâ tel 30,000. Le
ma
terrain en Angleterre et que les pré-
- Eh bien ! répondit Valentin en le
est
feuve : les frontières des Elala, et tes
nations ne sont pas des barrières telles
la
v Le 5, la petite rlit. de Lequeitto
que si je se réusaia pas, c'est que ce sera
absolument impossible.
é trangères,
tiennent la tête ale la liste. Genève a
Suisse française, notamment les cantons
A. Cenéve, Vaud, Fribourg et Neuchâtel,
aveu des voisins dont nous ne som-
peécisémeol en
prévision
d'une attaque, que les carlistes travailC'est
d es a ff aires
Laà atrit
largeur d'un
néanmoins continuée jusqu'à aujourd'hui, Elle a pendait 485,000 fr. I.a
que
soutenir aujourd'hui
penchai
enfin ae rendre, et Mrti-
une générosHô lien r nergeable. Les
oue¢a..
était mena'é par le tribunal du district
de Dresde.
A ce propos on me doo.e. comme
vilain qae M. In duc Decazes, outre
thuanie.
Le pèlerinage belge se continue sans
aucun incident.
A l'occasion des prochaines fêles du
centenaire de Michel-Agey ne fait ce.
de vouloir
lieu
r que fotte, il
sauf
séqueaes de cette entrevue, nue
est.
a côte euutnbrique sans avoir
s de refuge dan. ce, pacagea couverts
d'écueils. Passages étant le sels) port
qui Ifeu quelque -fierté pour abriter
les foetlfcations de la Seo de Ergel,
dit le général Joenilce en ..urt,nt.
L. général Martine' Campos offrit aux
d, aeer o
11
dit-il, de la plan grande imprudence,
dans lu satssu uIl noua alioas outrer,
de continuer nos opérations sur la
un
du
Lion, soit, vous faailileece la
gouvernement, qui a résolu de raser
drndnRélégués de leu,
r
trais les ligues qui suivent :
des émissairea. - Eh
autel! dit
les palots qui
Peuple,
pris la fuite pour
échapper à ues condamnation dont il
re. po. danses de la plupart des jour-
. Le contre-amiral Polo de Baraabé,
Tentes ces peopenitiens furent rejeléea, et le général Martinez Campes de.
manda la reddition pore et s mple,
ma ,
tarons
as
nonefortin
. Eh bien
ancien ré facteur du
Les j.... aux allemands relèvent vo
té légeuphs
- On écrit d'Azpeitia, le 5 septembre
lui conviendrait.
bl,
Velkseinanq, de Berlin, que M, Elemp,
On lit deus l'Indwtriel Alsacien (de
Inodore
à la
f,, de Dresde,
journal su, billets, a
1875 :
guerre et put se rendre librement où
- On écrit le
LES SENTIMENTS DES ALSACIENSLORRAINS.
mes séparés que par
cas -jour.
mana. La Sublime-Porte est forcée d'avalev une amère pilule, et les médecins
qui la soignent ae as donnent plus
(Courser de Bayo..e).
nous n'avons aLSUlumeut rie. de cam-
les moments où la n...elle
manque, on est toujours sûr de voir
subitement se produire quelque bruit à
dt
guère la peine de corriger le mauvais
goût des potions qoi ils lui ordonnent. ,
du géuéral en chef de
Duos
aes de l'armée. Uue suspension d'armes,
. Le même joue, Charles Vil est allé
à ]),,range ; Sa Majesté a quitté Dura..
go hier et s'est rendue à Asccitis, où
elle s passé la nuit.
. Ce matin, le roi est arrivé à dupai fia au milieu des acclamations d'une
foule nombreuse. s
C. Il M.
évidemmea[ ridicule à nous, Alsaciens,
de la Seo prend ses cepas. L'évêque
d'Urgel a passé la nuit à Alp.
d'iustrncliona à cet égard. A sent 100'
les était reres du soir, le coloneé Foca,
témoignages d'affection.
prie onnier avec la
plus grande déférence ; le plus souvent,
l'armée de Catalogne que le défenseur
Pas
il 0'001 presque pas question de la parlie loi souffre le plus, é es[ e-lins de
la Turquie. On discute maintenant
la
tues[ius de la
dissolution de
la Turquin 'Europe avec u emusulfranc
chi se qoi doi faire frémir les u
,es
Le général Martinez
ast à la table
fût laissé libre, et insista sor ce peint ;
mais le robinet Fueutes refusa tout
pour lui offrir de nouveau
heura a
marquer uas conformité de
Campos traite son
fût pas compris dans la capitol'atiev et
grand
de tradition, ou de pensée, de l'Alsace
er les pays d'outre-Rhia ; et il serait
carliste Segarra.
ne
l
arrivé avec son
d'artillerie
tentons des insurgés Nerf à peu prés
qû elle a e1 a sontri, da dernici. bmn- 1 fur ici Des duos ce sans. Dan. tous les
bardemest c'est quelle possédmt son cas, il estcurieax de conntaler qae dans
as puissances,
oi, et qù elle Bavait o bliee ses mal - louis les projets des
Mulhouse) du 9 :
tonal
le
avait il air de fête, malgrA tout er
fêtes
d cnt
giorno, s des
arren tous les
'foute la ville n'a cessé d'être
à
trou smettre 1. communication au conseil de guerre, auquel Prendrait
a santé le
qui avait
libéralisme de lde ,
Ici voit tint épro(ver oeano,np de ma],
nn fan.
et il re pouvait répondre il
verser il., sang inutile,
Ses, a cou deu
ratsnifv
ras p r
il
une courte allocution; il
perdue depuis
jour nà les positions do
enl été enlevées et car
1,
vainqueur de la
voir repondre à ces
fieier fut chordé.
I,issrrsgs se put dissimuler sa tristessitnal.ina était
couronne, et des pi-
.les
geons.
l'or
tement le aujet ds: Iul missio. dr
aeelamatinna,
des
balcon, a reçu
l son
Sas jeux lai fui enlevé, les Aenx
ville
pour
emb...bu, les soldats? Et avant cela,
sous la régence, n'empioyail-on pas les
mémes moyens, lors do système de Lave,
pour expédier aux colonies des milliers
d'individus des deux sexes ?
- Tout cela
est
malheureusement
x et, monsieur, je le rII...lis
;
.a-
'prie.
ù se
ennoostreot le plus d'individus
ailla
niés
- Il est donc possible que le cesse
du. Miguel se soit ehouché avec une de
à uee suppression de personne ;
pédié les pauvres enfants deus l'Utah.
à prêter la main à un rapt ou
i1 y a
cela deux causes, qui, réunies ici, se
trouvent rarement ailleurs: l'esclavage
et le Mormonisme.
- Je vous avoue que je ne saisis pas
encore.
- Voua allez me comprendre : Il y a
ici dix agences qui fonctionnent libre.
ment ; les ..ce font le e .rlage de
l'Utah. Eu rapport avec Brighom Young
et les antres chefs du Mormonisme,
elles se chargent, moyennant une foi te
peine, d'expédier à Dexeref les hommes
et 1. femmes q 'ils réussissent à ambon.
cher pour le Mormonisme. Tous les
moyens leur sont bons ; l'ivresse. les
agences et ait tout simplement ex-
- C. serait ,Beaux.
Oui, d'actuel plus que s'il es était
.ainsi, il serait presque impossible de
réussir à sauver las enfants. Le cas
s'est déjà présenté à plusieurs reprises,
.t jamais, quelques efforts qu'on ait
faits, on n'a pu parvenir à enlevr aux
Mure, as les victimes dont lis s'étaient
amputés.
(A rcontinuer).
dMd
l
1.
Il li u ,
l ep
n,
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discours lie M. flaoul Ducal,
que D las ne pouvons repro foire ail
end", a muse d0 sa longueur, peut
fange.
t
I
tt
n
.
faveur de 1'F.mpue, foot les arguments
suas depuis fo rgfe r li cocon, ter fis
te
ttainen1 dans Las les jouru'n0 1évotés t cetlc r t e 1,I tout est ageém entr, ,I'alta'i.ls, 'al. . , nt: n nt vives et
toisa bnte . ,],i ',l l.... On I pou,
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pci,ounalilés haineuses. voie, ileol-
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Ici
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l.'ilx ont cru
[
d.vo rI, oppos Ir. Je
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y
peut co-
1
i loi on[p,a l t an bout
refusé la sanct,oo de bar vote, et,j ai le
sentiment d'avoir agi on. furmhneul
dau devoir que rue traçait l'esp, it du
bre des dépités q
Ir -
.
deja nJ
Ioai,
gens passages de celle première par.
passe comme duos n. engrenage. 11 fou
t
mar ppalaut.l '
h clore des joannaux
n
peu blasé
de l'A Pp et au p euI ,I .sur le chuPdie
des
Don, il fuuty e le corps ton atelier y
F
fi
I
jourd'iral que le discorde en. un c:,mp
d'Agramont et que il"; radic,uxlicitai
leurs secrets respectis, . Il h, rentra
poutre ne va pus eeniprcu Ire laf)n que,
lui qui rêve de duper M. Cun,belm, 'I
est à 1. veille d'étreontllreusenr,+,t dupé.
rin doue lu révoluOu and eu a min la
d
peut
l
ie
, de repus q, ntebille,
Ae séeu cité ,Ine dr. rempli, ,tuons
,
le
l'
lira
les ali ors r,l
'
m bo de bmncoap la plas dév01Jppée,
col g ent un p ai d oyer vehé m e.t 0 .
PI a1
I
t'
,o divise, en deux parties.
d. I
bi'n
'ii
x r il is
-,
foot partie des conseils municipaux,
qu'ils se gardent soigneusement les
blocus seings; qu'ils se rapprllcel Jnsa-
!
anx Inrauct
I1 uu,Ylo 1 rI,. e,nlre gauche
conte, .
daine an ces,o de
Le Bleu PublicIl félicite le gouvere.t . d'avoir sévi avec pron,p-
aaseniidn,l
que
u
,duite
titude cri tee l'inqualifiable .
aw
de 1'amirut denLa Ronciers.
On au
ait pu, e
énerver la .a.1iment de la discipline
lui
reçu
1que871
). Les député.
(Applsuez
vous
ornés eu 1871 contre fa liste républi.
'out pas reçu de vous le mandat
dents lus causai ls Je lu net
lino pour ÿlitre sont leste. la même béa..
d allernaié
militaire, sana autoriser dans le pays, la
gne qu'a rira ien t faite les candidats en.
:mépris vécues que le eon pahie appelait
poussés per uns suffrages. C'est bien cependant le démoralisant spectacle qui
violation de le loi, et sans mériter les
sur le France répub1 " ifé e . Oa sailcumment lia Salnry avinés w; l'orgie pré-
vientles
ae nous être donné spécialement
partisans orléanistes.
par
torienne crie :. Vive l'empereur! . pré.
Ducs et prises en tète, ils avaien.
'
nnteslabiemem,adroitde deve
cèdent les Deux-Décembre, nu 1 un tue
publicains: I1 n y a pur l es con dé s Ot ro i,
:a prés avoir bua Ceen Surent ;dar lettre
l'hnnoeuru lieux- tes qui puuasen5 a r la prétention de
dons un balle
Décembre, a piteusement avorté. Le, refuser à lexpér,eil cele u,,,,tde ma'if1
temps n'est plus où l'on a factieuse, liure jugements en les éclairent. Mois
ment raison de la loi IL de la franc,. 4 . e, qa ils n'uvnienL pus le droit de paire,
c'était ô'l,nposee à leurs électeurs une
La Gazette de Frmtce approuver l'acte
enuutitutidn républinaiue, . vertu du
r
et
la
fcrmeté
,
du
gon
l
de vigur
ont . urElle est In,rvatucrie q ii vob- ( mémo mandat qui fur servait de titre,
ti udra l'assentiment de tous Ceux qui il D'y s pas emco o dans ans, pour traeumprennent combien, il est nécessaire vriller, avec l'ardeur que none sucez, .u
-de faire respecter lu discipline dans rétablissement de la monarohle de lune.
bon,..
d'armée.
Si ndulgenl qu'an puieae être pour
nt
La Tampa V+licim le gouvernement f les faiblesses hmnaines, il y a des oal.
uni
e d ir . réparé avex- nue promptiuude I uns qui ne s'expl p l at pas. Ceux
rie
lu
"Il,"s",, t
qui lui fait le plus grand mis l'utilité à la plane
d drer
i,
confiant à tin député bouc p'mtistn,
de
'aura gréa M.
il,
'
1
peuvent ae les
e
cenxnqui
..Il
gai dé a culte de l'honuPleié las réprou-
le présb
Lu seconde partis contient 1'exposé
d'un programme pohttque, clair et
nos lac-
l lu
mcar égaré à
e"1.
de
a tête de
l;as entimeuluauni are
cillera ,.eue ".aatoraux qui oscillera
de tore Ies vrai.
re fana les
a a l'ex.chef d'er.cadre
patrioira pro
politique
raligio
ri à .ce
et
Pom la première fois, la France renellemé e, libre de regarder
mien ont a.as, l'avenir, sans canarder
du e
1
nations du passé,
a.. stériles r
n gm,
ment,
choir
allait pua
gnond il .'est trouvé une
najror Lr, par
et
le,nentaire puer jeter eoute les
ra rien «,, ae ondrdxanl congre
eux et lunettes de pronunciamiento,, et
diOi,rlles et tes entrav,",'C,',']. rCunstitt
lien du février. Si, par cuite, mes-
4 ,fil.
notre pays
ont mal arn,o
c
eut
mp,ils calao
u lent nutlui gouvernement
mVginant ,lui lea lais.erail faire..
Presse Lient le rnéme langage.
e11La
.sieurs, la Frnncen!init être Poussés aux
abimra -ont d'avoir pu s'su dégage
rait pas la responsabilité
quel l e ,
es
salants
tant' du 2'; féern re pa
,.
Français regrette que e le gonvre'
nmaenl ait dit fia pper nu officier à la
7.e
na poché duquel tons rendent trmmnage,
et tin homme petit. que qui r e'nclin's
,ait
nstans
tir pi
para
n
111.1
a
ré. Maiajoute-t-il
II'élicli.ns pas m o
le
n'en
gouvernement
laquelle il e réda lu fereirte dos
désordregni
ne pouv,r it être
,,,"(Il
primé.
absolument inadtoléré. Il est, e
missible qu'a. commande. t supérieur
e., à la vête
us lea a
,une faite
Un. 'o'p' de troupe r u d'une unie,
mifeatalion politique, u, ara, de
il,
partiul.u discipline des armées nomme
le paix politique en seraient trop grave-
nment
ztteie les. e
Le Jenrnal de Paris croirait faire injure un gouvernement en le féliuilunt
d'avoir lait ,oui devoir. Il a,, borne à
dire que . le remplacement de M. l'amiral de le ltonciére est tin, preuve de
plus de l'énergie avec laquelle le gourent de rmrréchal, et le cabinet
Ballet, savent faire re pecter la eonstitutiun, les loi. et la
dirigé pur Ni.
.1iveiplrne, ,
L'Union approuve également le go.veraemeat.
r. Puys
descenddépl
..ce
eu
ore la « faiblesse et la
.
du
gouvernement.
r Le gouvernement, dit-il, semble être
las de lutter centre les dénom;iations
IL le. déelarati... du parti radical. On
ont plus le rieur de
dirait qu'il ne
résister à ace exigences. Peux souhaitons bien Sincèrement que cette preiére eonuessieu, qui
a
écho
n
suit .ma
douloureuxdan.
au
compagné par d'autres r '
qui, petit a petit, et Sons'gii,Lel sloen
le paysan
rende compte p ornaient a.asjeter,
tlatin I
pi. et
il il
ra ae lesmoains
phanie. e
"démO
riom-
publie
le
r
vrAlnisn
1
lulsmrz vous, rues ,hors 00v'
s le
voulez, la France
eiwyen
ment de sur clona ;
a le sgeo
elle teonvea bteir le moyeu de faire
entende ,a volonté, et quand elle l'aura
ni[marée, .lie ,compte, ,moire, je v
In ju,°eolonté
as c,, d'enfants résolus pour que
soit obéi,.
Ha v
ll y avait, entre Ies eoelraetsnls par.
lomeuturrea du 2!; février, trop de Jé
fanas, 1 op de mépris pour leuraeompromfs réciproques, pour qui ils ne
bissent pas réservé une p., désarma5 :
'e.,t celle de la révision. bu
Elle est ouverte à toux, et il y o u
senti nelle yii n'y laissera passer que la
volonté de la France. Assurez vues, mes
chers conciloyeus, deus l'impartiale
rv rf'er neté dumaréchal et de s.u
texte du décret qu'il
aloi dit-il, que l'en
connaisse,
,sidérante sur lesquels sappuie
M. le ministre de
Pralin Lion de
sénateurs
qui
s
nflexible envers
I
es pecinrbu-
IL députés ceux - là seuls
pr........... t pour la révl-
m urérbal
les
soyez-en
la
nu-
fi.n, et le gouvernement formé par le
cite
la
de Mac-M. lmn
demandera,
sirrsque chaque
Frauçaie
nn libre vole, exprimer
ses préférences guuveelenlentales.
pmsse, dans
marine.. 11 .'est pas possible, eu effet,
l'uni nommer les députés, vous cou-
de croire quo las déno.ciaLions épilepti.
serverez, sans dente, le snlfeage univer-
pins tira radiaux suffisent àamiral
jus'ifer la
e
prise
envers
un
de
Prince, Le gouvernement de M. le
marécbal de liter.-Mahou n'en est point
à obéi'
aux
'mpéeiuse. injonetious
de la faction nmiéanoaépublicei.e. e
v..s si souvent à détruire les
n'aue
le prétexte de faire un peu de bruit dans
les réunions élecmralea
eeuvres.
Français et patriote., serrez en. ,ange
lesrFenoçais, assez site de le
et de peo.oe-
cer d'interminables discours,
II nous
leurs la
inutile d'analyser la
1 InImarts.
airs connus. Les 1lommes de l'appel au
peuple ont approprié L mine meeunis.
me à la éeopngsude politique. Nos
lecteurs conquissent le réperteiro du
parti. L'oppusiliou du corps Iégislali .
loup
rojets du maréchal Nie,, Ies causes
des
La ...paelusfes
sel ; il fout travail ler à le reeongaéeme
noralemenl pour l'élection des membres
du Sénat.
Dites hardiment ce que vous 00111,,
aux membres de vos renarils de commuse, d'arro.dissement et de départe.
do 1, guerre, les dis huit ans de pros.
périlé i suie se déroulent toujours
dons le club,
de
parole
bridante
'ne d'nu néophyte, le mot d'ordre
taure été donné d'enleudre la
leader de l'Appel
deson disemum.
a peuple, parlant du Irarécent, W.
ménagé sce ex peeslions sur la fia ,I té de la vie humaine.
If est des o m vidéralions l,iloso hi ries
s
dev n é le'
qui coure,L grain1 ris gae,11
chef, le programme du nu,do je
au leader.
non. Nos lecteur. trouveront plus
ifeste de l'amiral impéria.
loin le
liste; nous leur laissons le soin d'appré.
'er de quelle foi nu les hommes de
l'Appel au peuple en landau! l'a discipli.
nn et le respect des institutions établies;
tuent à nous, en prenant connaissance
an cet éfrsnge factum, nous n'usons pu
us défendre d'un sentiment de sue.
prise, noas demandant ai c'était à bord
d'un vmsseari français qü ne pareille
letlreavait été écrite, eu bien dans les
eaux de
révérencieuses quand allas s'applignenf
meu a
n chut' de lÉtat. Si le pIlire
manquéedes disoréu.n ré e mesure,
l'homm politique n'a pas té
1, p lus pruplus modéré. PI. Ducal a fuit
nntprendre t se a drteurs que malgré
les termes formels de la constitution il
ne fallait pas considérer le présidant
de la République comme investi d'eu
pouvoir qui ne pourrait pas lire révuSons insister davantage sur la
lettre
de M. de La Glacière, nous nous bar. i qué avant I année 1880. Lorsque l'oranerons à signaler .ne expreasion bien i Lenr bon.partistereprésente le gouve.rmalheureuse qui n échappé à an éuri- nemenl du maréchal comme décidé
ie hm,aparliste, Nous lisions Lier nu I d'avance à se soumettre au ,non de la
noilon dans le cas où Ies élections proair du.. une des fouilles Ies plus a
torisées du parti : « L'amiral a brillé sea chaires repaient favorables à l'empire,
vaisseaux.. -Comment! l'amiral a I! c'est pua dififcile de conclues de cet.
br01é ans vaisseanxt Ce n'était donc pas te supposition que si le maréchal rie, d'on navire, d'nu navire coulé à si lait le parti Je l'Appel au peuple
fond dans nue manmuvre a,alheur¢usa, n'hésiterai; pas li Ini furee.r la main.
dent ni
Cadix.
1
Si
p
belle d .o fion, g
1) 'ai
pet nrrairque Ies doué: frères ppoÎ biques!
i
c'unseeualeura.
En résumé, Is discours de M. Rural
Ducal q été pour le public une déce.pfion littéraire et une déception politique,
Ou s'atte.ndait à con.aitre les projets de
l'lmpérialisme libéral, et l'orateur s'est
borné a une allusion basale aux l,ahitricks britanniques. On attendait eue
idée nouvelle, la pensée intime d'eu
jeune
d
noms
,
et
s
ae .nous pafriotnlue
Ce
(dfaniEeur)
Prvv Are v,
Failli; Blvern.
Par décret d, pr. d. t d
pr é ten d ant,
l
e
n rente ofnciel d'an
programme,
lad
l
e
lé et
9rquelquaies
voilà quo tuul s, réduit
in-
ers adreaaéesau nemre droit et à une
électorale centre M. de Pro
glie.
(liche taniuerael).
bliqlo In
lo
Ducal duos une réunion bonapartiste
tenue à Evreux. Cette harangue du
membre le plus militant du groupe de
l'Appel O. peuple avait été précédé
de la lecture dune lellee adressée pur
M. le vi -amiral La Roncière Le Noury
Noua ne croyons
I
I
- fin lit dans le Jeu-a/ of iciei
:
Le conseil des mimai, cs crut réuni
hier au palais de 1'b.lvsée, sous la préblésidence do maréchal président de la
publique.
L outre
plions pour les inondée
les malus de Mme la muré.
chale de clac Alahnn et des membres du
vara
mité central, s'élèvent à la somme de
fr. 31 a
Les e nsoriplions versées jusqu'à ce
4,1394'945
jour à la caisse centrale d'Trésor pet
lotie à Paris et aux caisses d'a s trésorierspayeurs généraux dans les départements
s élèvent à la somme de 18,753,306 fr.
Ol I.
Si l'on ajoute cette somme au montant de la liste ci-dessus, on obtient In
total de 23,1 LS,311 Cr. 32 I.
- Le Bien Public apprend que l'amiral de Montaigoac, ministre de la
marineet des colonies vient, après s'être concerté avec son collègue, le générul de Cissey, ministee de la
de donner des ordres pour qu'une nop,elle impulsion fùt impeimée aux Ira-
,a.. .,repris aprés la dernière guerre,
afnde compléter la défense de notre
littoral.
- Le ministre de la guerre er,h au.
jnned'hui en possession de toutes les let.
leos des colonels dans les régi enta
desquels des réservistes ont été ver-
sés. Ces lettres sent Ioutes à la louange
des réservistes, qui, sauf' de rares exnep.
11-
bien, ont bonne
e
ns la .cadre récrimination à la dis.
-
ET LA POLITIQUE
cipline qui leur est imposée.
pas qu'il y ait une
- 0. assure que le ministre des trapublics et le ministre de l'inté-
vaux
i
riene vont raie, un voyage enr la Seine,
de lime, à Melun, à bord d'un bateannoibu, lie ne 30) prépaeé pour la rleouetanre. 11 s'agit, dans elle expée de se rendre compte de la pou.
sibilité d'étahOe un servir. par eau et
à grande vitesse, étant donnés l'allon-
culé
gen.en
par les partes pour ie jemr à la tète de
leurs adversaiea, et qui ou t'ood ne niunifie rien. Si le besoin d'ordre, de Ilabilité, l'attactmmeut h ce qui existe, et
le crainte des .ira tores politiques sont
Pas
rie l'on o voulu désigner
l is dél'a rite quo
lariFe
ee de u
à mtoua-.
s nouveaux navires, et l'zugnenlafion des propulseurs dont le
bureau na 30 est le actif type.
- Vers le I5 de en mois, le prince
Cortschakolf quirtera Interlaken p...
a Iler passer quelques joues à Oachy, chez
ommp
M. Thills,
villesulcomme aux u; c
t exempte
seuls eu
- On vient, dit la
rouvrir
composent celle tourb'agitateurs,
','il
Do
teuts de [ou, les régimes, parce
nécessité de faire
respecte, Ies lois, et n'existent que
pour cela. Mais ce quo l'on peut dire,
c est que le nombre de ceux-ci est plus
grand dans les villes que dans les canipagnes, qu'ils y sont surlout plus
bruyante, et qu'ils peuvent mieux ainsi
y donner le change suc leur nombre et
ils s sont dans la
bloc. sce plusieurs antres. Ce n é t qne
dernièrement qo il s'est aperçu de la
,aleur d. l'objet qu'il possédait, eu
faisant nettoyer un grenier oii le Lablean était relégué depuis longtemps,
Ou l'att,dbue, ajoute la Preaxe, au peintre
leur I P. taille'
écossais
Ponoeen le manie qui peignit
l'étendard de la pucelle.
Aux hamps comme dans les villes,
ce que veut cette grande majorité qui a
- M. Robinet de Cléey, preenreer
général de Lyon, appelé par M. Enflure
à La suite de l'affaire Ilouvier, se trouve
cnu,er à Paris, ait il a de fréquentes entrevues aveu M. le ministre de le justice
besoin d'on lendemata assuré, parce que
sans lendemain il uly a ni c
gêner personne dans Iu
et M. Baedoux.
libre dévelop-
pemeut de son activité légitime,
assez
- Le lfanileur Universel annonce que
le projet de loi sur la presse, élaboré
par hl. le garde des sceaux, a été com-
fort pour imposer à tous le respect et
l'obéissance, pour faire rentrer tous les
rifracmlres dans les rangs.
mun,qui au vice-président du rotatif
Voilà ce qu'on demande partout en
France, ce à quoi partout o aspire :
seulement' celle grande voix d'ordre et
fera p .lus gies quam notee qsn
me nt entend re dans
dans Ira vyles, parce que Ies
cardantes
les noies dis-
qui l'a approuvé, après quelques modi
lestions, Ce projet de loi sera déposé
sur le bureau de l'Assemblée dans les
premiers jours de novembre,
- M 'occasion de l'anniversaire du
yont moine d'éclat et m.i.s
comte de Chambord, un certain nombre
de députés légitimistes et de oombilités
dIl partis re P.
Iront à Feohsduel' le
20 septembre.
journal .Ire qu'à
celte ucesaioa le comte de chambard
adressera à ses visiteurs une alloculimr
qui sera oe eéponse aux attagnos de
la
qui porte ce titrée On, Des.
ponmbililée..
d'habileté à dissimuler leur petit nom.
bel sonna leur activité criarde.
La politique n ésl pas sans doute dif.
férente le
t là ; mais les jugements
qu'on y porte sur la politique sont aoe.
,cet plus téméraires dans les cités que
dans les champs; et Cas
r
brochurae
leurs résulmts mêmes, sans s'inquiéter
de ce qu'en pensent les partis, lndi s
que le citadin laisse trop souvent les
partie
communigirer leur
ou s-
- Dans car eénnio. filon à Auril ar
de cés
,in
ds
iii
fin
Cantal,
lui ;dicter eon approbation ou sa
a
prononcé
len .a le
regret que pa monarchie
coustitutfo.-
n discours dans
capte la république, en exprimant
critique
L'absence d'esprit de parti, voilà ce
qui nous a frappé dans un récent voya-
le
nelle n'ait pas Olé rétablie,
- Nous apprenons quhfin de permetaux réservistes d'accomplir tes devoirs de religion qui leur sont imposés
par leur culte, le ministre de In guerre
ge air nous avons P. nous faire une idée
lent de donner des ordres pour quo
lat'arevue et la parade qui ont lieu elm-
e matin oient fixées, le ,taloche,
Mue Droits convenable, de façon que
°
le officiers et les hommes de toute. ar-
mes aient tnnjuurs, dans la malinée fin
di manobe, la possibilité de se rendre
an temple ou d'assister à la messe vii-
ooIonss'
,e
Presse, de déanlhenltque de
.leaone d'Arc, rail du vivaul de la pur,elle d'Orléans, 11u amatis, de Paris
l'acheta il y n plusieurs années, eu
q quu''
les doux Marenllus de la cause impéria. à M. Tardive.,., l'on des organisateurs exacte de l'opinion publique d'une des
régions les plus étendues et les plus rile, n'emploient pas toujours les mêmes de la réunion,
la lettre et le discours neuf des actes ches de France. Y est on plus répabli.
procédés oratoires M. Ollivier, nourri
chisteplus monarchiste
ie que
de fortes éludes, aimait les citations et de la plus haute gravité. Mans la Duel.
surveillait de très- nés la c orrection de lion olft.ielle ,ln'il occupe, M. le vice- que r pu nlnain voilà ce ,qu'il s rait
la vérité,
sou langage et l'élégance de an diction; amiral l'a R.nriéro se I:lisse entminer a difficile de dire, et ce qui,
il loi est même arrivé parfois d'obtenir parler c rnme un chef de pilé. Per. ne préoccupe personne. La question s'y
eceter paie m,trement et à peu prés ainsi : Le
d'éelztams succès de tribune et deenm- sonne r es'étonne le le
vidéo.. K Ira affec- rganesemenluiâ
mander l'admiration à ses adversaires, fidèle àn se
n ntmaintenant ls
tions politiques; mais les termes dans
e
Est-cm parti pris, est-ce pour tout a
rc onstitulionnellés, aura-t-il l'aura
ire cause ? - L'orateur de Ménilmon- lesquels fl s'associe d'avance à la m
tant et d'Evreux ne point, attacher au- nifesmlien d'Evreux dépassent, à Outre lité nécessaire pour assurer celte sage
rune impuelanee aux questions de forma avis, la mesure dont ae devrait jamais liberté sous la loi, qui est le grand
de la Frence P
et il faudrait u.e révolution dans la lao. s'écarter un homme qui sert son pays
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
séné
l.aprutn
Nonry.
politique pour les villes, et nue autre
politique pour les campagnes, ni qu'il
y ait lie. de les opposer l'une h l'autre.
Sous l'E,upire on a beaucoup perlé des
oraux ; ;uetains journaux qui ne pé
,,brut pas par la modération et la clairvoyance, eu parlent mime encore quel.
n,
1
Repn
Ire de lu marins, M.
été
nnrnê au
rndoelent le 1 ,rcadre A écot lien
de la Méditerranée, en eemplacnutenl
du vice.xmiral buron de la lluueiè,, Le
est que le pays.. juge les chosesarsur
L'Ordre et la Ciselé publient le discours que vient de prononcer M. Ilxun1
/fi. l
I
b
.p L
tenue, bonne volonté et se su mettent
LES CAMPAGNES
e
8
d
lev
,
la,
rncaux
goes, et posent
d
f:l
1
poml
c.nservatri ces.
(:Veueuger de Paris), A. M. Baranv,
c'est un régime assez libéral peur
i
p e les
F
!es impérialistes et les autres fesclrous
.
,
u tout se
mr
I.'
bonapartiste à Evreux, il oe peut plus
dire question d'une entente et d'un
accord, sur le tannin électoral, entre
n fnduatrier gl agrlaullure pnsiible, ni
saisira certain, ni travail et ni repos,
I
1
1 ,,ge
cegi in pourrait sep' 'i Ion
ferla p I i q,n d.s
g
elg
tacot sesoll ri e n t ' d
allait
r ait
les et les I I s , eL il
doit le penser, Ibrgane officiel du parti
,
il faut eucorsgse l'amiral détruise pari Nou sig.ai.ns on passage du manifeste
impérialiste aux méditations de tous les
le feu le reste de sa fnttel
Revenons au eue de à1.
tes fin force mont
"enli,tr le.
t I
soltats et
I
l g p flic
rais 1
l'impudence de ce langage.
M. Rural Ducal a été, comme on
régularité ,I pats c'est l1 un mot
ordre
toute .,.Iiréêstigne. u Peatrétre il, 1?nval at il un peu foncé la nota ordinaire
quand il .L arrivé à la derniers partie
[Fera : ils ont reçu nue lettre de M,
de La Itonciére, et le rnéme jour "I
-
eus
I
I icor"[ donnée
do
I
tut ,, r on
t
treuil l
parti périr dans i r .
Ce. p I , t n. pr
Prouvent
l'a nombre très-limité de v.trintlens sur des
M. Raoul Ducal est allé du
droit an groupe de l'Appel au peuple et
ducésurisme autoritaire à l'empire fi.
béral. 11 était tout naturel qui un hemne politique, habitué aux migrations
loimeiera , choisit ma amiral pour
présider à sa dernière évolution. Noirs
,s le sert
c
l'industrie appliquée à la musique, eues
inslrumepts ',génie us qui exécutent
avec une précision remarquable un
pmrr pouvoir eoomnir toutes les mou'
ires volontés et dompter toutes
parait
harangue de M.
France
Raoul Dnval,
glemps le Jeune dépilé J. la Seine.
io s de l'ordre publie, il ,calmi. vJ ru
à mitasaIarontsc
c rx qui, Inférieure
a brillé à l'Assemblée, sinon
ecmio prépxrerl'avenoie,
L,,,,
,e égale
parmi las orateurs les plus écoutés, du
plu'
peur
os pa,mt les membres les plus actifs
fermer don. les limites tracées parus
r
r t les plus vidés du centre avait.
Dons
lois.
C'est la pensée de la révision que nous la .aile nous l'avons vn à Ménilmontant,
faireles plus grands efforts pour rails.
devon. aans cesse avoir devant le. yeux.
C'est eu vue de la révision que vous de. cher per des moyens artificiels au parti
nez vous préparer ans élections, aussi de l'Appel au peuple la luegne queue
bien pour le $ë.., que pour l'Assemblée démagogique qu'avait laissé tomber M,
Gambetta. Aujourd'hui c'est une cou.
législative.
Vainement on vn s dira qim, jusqu'en ,elle métamorphose. M. Ducal reprend
4880, le droit de révisiu,i est suspendu. le cille de M. Ollive, et essaye de cou.
Répondre hardiment que oeIl faux. office deux chosesinconciliables : l'en..
Nous sommes tous dans la main de Dieu; pire et la liberté,« principulum se liberet vous avez, du reste, trop d'estime et ta'etrineuis a
C' est lu destinée de M. Roulier de réde respect pour le duc de Magenta pour
consentir à voir en lui l'instrument d'un der de loin e. loin la place à de jeunes
parti, aoe barrière opposée à la volonté rivaux qui ne tardent pas à le faire regretter. De niée pua M. Ollivier avait
de la Fem,ce.
Si vous n'êtes pas satisfaits de l'on' autrefois ravi le pouvoir au vice-ema ee.versé le
vie équivoque au 2!; février, .omrnez pereur, M. Itaoul
emit. I
n pur vol d'appel direct à la
L'ordre attend que le Journal officiel
il
électoer
centre
précis do la moralité duquel
la concience publique cnntrr. les i leu ra jugeront
tê1te
le
audacieux éc;uue dent aff
va
êm;
napartiste sont coulés dans le même
moule. Vous connaissez ces produits de
u
snnq ét
t
te D,e,etre s
pa vs avec d g
L
.
.
basses
on b.
,o'nu attr, d dm I,
t
m
Ver
gué depuis un siècle, un gouvernement
Port pour pouvoir accueillie tous
il République d'avoir ainsi
chu
abendcne
la seule chose qui loi ait man.
s lu défense de le discipline
"tard
et i de la aunutitutiou, d avoir rassuré sans
.af
t h- p
V il ,e qu'in
1
!
la commandement d'ue escadre. Le 1 vent et les IlétrissenL
pays, oit
1
'Ou' Ducal. Nos lec'
naissent
sans l'avoir lue.
IL
Tous les spécimens de l'éloquence bu.
dent
faut, qui il avait en m se
I
,
permettre
, la
l
pis
a
et ne les laissez plus ..lamer ! RI',..,ire
des d
vos, consciences, dictez
volonli,s et vus aurea conquis à la
yii
aies ne goav,ruement antre que
lui
fin son chois,
Quant au discours de I hnuoeuble
député de la Seine-Inférieure, devenu
le porte-voix ambulant d, parti balittéraire et Wusrot I .Spartiate, ce n'est rien mors qu'on
I
moyeil de propagande. réquisitoire véhément et passioeoi nde collier ire roux qui ont vote la C.oat L t o
fait par tant de leurs Autant al Olhv,er s'e
qui I
2ti février. Certes, o is s
les glorieux d
e
députés de 1871. Nos coustituanls le e a, g,nv-rnement
loin d'éf,e fanatiques de celte courir.
etc des loues pou le,oe t
ont interdit de débattre, tant le rani. sur
Lotion, enseufiellement révisable; .cils
'a
out. t M Il al poursuit de ses
sel, la valeur et la moralité de leur
If
d
p
et elle
de la
est devenue le
e: I
p t
leuvre : précaution inutile, qnr n
e,
à ce titre, d t ce ce p tee
I
Ib
I
t à le C
tt
J antre effet quo d'en manrlrste I .atl
M. cCuaut luval avait débuté dan.
I o du 2u tenu ie Q I dép té de
blesse, car il n'est point en ta p
oser aIL
des lois de proscrire jusqui à la réllexioa la Se ne-Inférieure, qui lut si longtemps celte Assemblée comme
s-ext rangéodansv le
usait à In réunion du centre droit, Leur avant tout.
et la délbération.
firme
s
t
t
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mainna,
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are ace aumem
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Lns emycns honorés d m
é ergique
a
Mars aprés avoir attaqué
t
lurel, puisq ' il
I
't
municipal ont le devon de re d ,1
e, t Ies rev duttouo , , il ne faut pas
és Seul .ment il est à rima,rc quo réclaalu l'intérAt de la I rem,. et
de prendre des précautions pour eu quai que c, o'est pas senlmmeat aile les empeuntee lrur langage ,nous ses 01.
aires poht iquea
asnrer le sucés, lis devront se rani, memh,es du groupe Lavergoe a.. le
L'heoeeuble dépoté a r , mbattn, jusjeune leader de l'Appel au peuple fait
àleurs amis pour examiner les eau Il ta
qu'au dernier moment, dans l'AssamL ont l e poids de ses colères
i, b
tares an Sénat et choimr entra Ill. Ils
iroghe
Inrméme
qui
blés, l a constitution sorti,, I m,eaiel
t
M
Nos
C
pour
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la
loi
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l
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.cet SVsllon combiné suce l'ameldeat p.rsonr Ilemeu[ pris à partie, et
p r le tonti biale, (Ri,,,)
t
s
de
toute
raison
et
do
.rat Durant,, ; il exposa devant ace
t
uagné
audelà
d.
,
épi
c
"disaccord
d
'Item
ant libéraux, élire, aa,e davier tonI' justce. Ces attaques sont, à n,Le électeurs ou devant un public choisi les
lori bien,
is nne bonne fortm,e peur cet émi. motifs dont il s'est
dans le cunaeil, un délégué, auquel,
e peut trouver, à redire à cela. Mais
sont prudents, ils donneront, pour vent homme d'Elat. Les injures dont les
s'il'
l'acte unique qu'il aura à accomplir, le bonapartistes le poursuivent aujeor- M. Itaoul Iluval ne sacrait-il expliquer
confia[ précis, clair et défini d'aller d'h,n Insgnes dans son département de aa conduite sans faire le prou.. à Cruz
qui ut suivi ..O marche différente,
perte, dans l'orne fin chef.lien le vote de l'Eure sont la meilleure
ans les accuser d'avoir trahi leur lion.
d o la majorit de sec collègues du corps que le principal ministre du 26 mai
manicipalnietoupposer
aux acensations passion. dot et forfait aux principes de l'hon.
se-é
agissant de la nées auxquelles il est en boue depuis nOteté publique Y
C'est
ulement e
Les journaux qui reprochaient à M.
sorte, eu faisant comme ou fait ux deux ans.
Erats
Il se pourrait du reste que le fuit le duc de Broglie d être le complice des
pour la uotmualiau des élan
bonapartistes poureontrecoenaitre camLeurs préaidesLin s, que vous arriverez d'avoir ,clé les Joie cnmtit.Dounelles
couper court aux c mpéhliona dissi- rie III pas le eau! griot que M. Ducal bien profonde étau leur erreur. C ont
malées, aux brigues honteuses, à cette eéi à ',Proche, a l'honorable duc de précisément l'ancien vice-président du
.orruptio. que les foulant la prétention Broglie. Deus la distribution de porte- conseil que M. Raoul Dirval altagne
qence et dans le déravec le plus de violue
de. prévenir, et qu'elles ne pa rvieooemt feuilles qui suivit la chute de M.
M. de RrugIle le.
t
pas
pu
emul
mémé
le
vainqueur
du
26
m
pat
t
corps
m
5
résaa
.prlmer
quand
le
IL
L
rait
présente à l'Assemblée.
l'aurait
restreint pour les récompenser I n ne
ml a
Nous ne mêmes peint surpris que
tous les bommes qui l'aillent assisté
Permettre.
président du eon.
énéral
r d elr,uure
Ne vous laissez ai décourager ni rollt dans celle mémorable journée. Plusieurs M. lgnémul
et qu certes, re a
de l'E
eider Oa ae peut rien vol, faire, et dépolis qui se croyaient destinés aux se' g
us devez demander .on. pet, à veux hunneers mptislérie e lb des érut une jamais dissimulé ai ses idéal, ai ses
sympathies, ail refusé d'assister a
qui solliciteront vos coffrages, de l'usage cruelle déception. De a des ... u
le
qu'ils listes 1, fe cas échéant, du droit qui no sont pas encore aspsouvies, de le baegnet dcomm Y. Dans M.re guép,asse
de réristou que tous, sans exception, des blessures d'soleil ropre que le Quartier, comme dans or Magné, le
et
d'ord
temps o'a pas cicatrisées, de la le se. conservateur, ['beau
pourront être appelé, à exercer.
avant l'homme de parti,
net de beanroup de versions p
Trop souvent les partis politiq, s se
minces. A ceux qui n'était pas arrivés
sont, dans leurs compétitions,
passés de
Il
Après avoir cité quelques passages
est temps, grand à à temps pour prendre part aux au.votre volonté.
temps nufin, que la France fasse en- cours du ponvuIes omitéa impéeia du discours, le Messager de Paris
tendre sa voix. et réduise à Fimpuis- listes purent odrtr des m nistéres le ajoute ;
ce tous ces m eur, d'imrig,res et purriéue, qui à défunt de lent autre
Tous les hommes modérés dés, p!rus ces artisane de cuises, dont nous ému!u,nent, fu fui saieul font au mains
il.
tl ers,
Le
ta
I
elle se heurte, quant à pré-
erse ;
jourd'hui, Q,ent à ceux d'entre ces
,
I-
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Londr s, 1171 118.
Am,lYrdanl,.1, udér lLnre
médecine
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Bruxelles, 8, 5 0/0: 404 12112.
Vendûme, Parcs.
an combattant les dyspepsies, mauvaises
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REVALESEIÈRE
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Bacs, stère Ire qualité
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Paille,
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en bloc ou
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o iginea et le développement des alphabets, par M. Alfred Moury, de llnsOn nous écrit de Limages que dea lieut de Frauce.
arrestations et des perquisilions mut été
VI. - L'avenir du commerce -téfastes à l'occaeton d'un banquet qui rieur de la France pur M. René Millet.
avait réuni, le 4 septembre un, ocelots
VII. - Une visite aux églises mtio-
nie Aosso'e ,ee 9,u ÔÏ ûü.,
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103 518.
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lieue,, Ruozoul, épicier, 5, rem
es
tire,, Lahroquerie, épicier 10,eieruenfJei
ue indigène,
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Londres 9 300 : 661/8 1 -5 00
de E7d rases
des
conditions
Le tout les 50 k l,g
d'usage.
Le stock à ce jour estde 4,000 balles
environs.
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gérie et tees nouveaux villages fondés par
fi.
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Sal,mifisse
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Sainfoin (graine) Lus. 900 80 00 100 0
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Qualité S. (
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45 00 hi 00
4 marqque (SS)
42 00 44 t0
S m. (SF-SB)
30 00 35 00
Résill. (RF-RB)
18 00 20 00
Repasses,
Il 0142 (0
Suas.
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94 9/10 ; -
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103 318.
60 G. - Dépôt eh., V-idal-Abad es ,
pharmacien; Sigaloux, eue Lafayette, $;
Chcueblein-Poteina, rue du Tour, 46 I
ProsP 'il-l", ié rue Anste rlitz S;Gélaberl
Devon ; perAip. Haglon ; Bo, sue
he,111,u alnbin,aria. 5,-Paul, r,
notre
n'a 1l e0 balles Pires, 85 39 h lle, Oomrannttec fr. ; 10 II L alquia , d5 ;
Esp rc tin (Sainfoin).
TrBtte (graine)....... 100 85 t19 !IG 00
première partie, par M. Octave Feuil.
pIr
aM.
r,;r ses......
Vesces
sous lut à la journée de la Iowa, oh let, de l'Académie Frauçaiae.
II. - La lieder et la Turquie en 1875,
son régiment, dont il prit le commanM. ,aille Bornouf.
dement, fat un des plus mallrailés de
l'armée. Après le passage de la Dérésina, P"111. - Les Iciggi es de la poésie chréil fut chargé de rdonndmre en Wurtem- tienne. - H. - L'égitse et l'art antique,
berg les débris de divers régiments
pour les reconstituer, reçut le commandement du 1e. des ohevau-légers et f ie.
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80
80
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Fèves ..............
Vesces noires........
I. - Un mariage deus le
du commandement de l'extréree
avant garde. Il eut trois chevaux tués
.
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fi. 77 50 ; W
78 1008 00 22 00
78
00 10 00
82 00 00110 00
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Livraison du 1°_septembre 1875.
ses,
70 balles
11 25
75 13 50 1h GO
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REVUE DES DEUX-MONDES
ut chargé, pe dent
,
maréchal
plusieurs marches nocturnes périlleu-
Hé7 si nalérs.
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Maïsicoblanc...:..:... 75 92 00 f 3 50
(Marie Robin), épouse Dey, 26
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ans, rue des Fllatîers, 36.
Il fit partie, pendant
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Avoine ....
(Catherine), épouse Camboulichemin de la Gloire.
se, 93 a
Muet
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Blé mitsdin ordinaire
sengle......
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Plus nourrissante tue la nonde, ale
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économisn encore 5o focs son prix
tr. 45;
édec.n4 f ;1 boite : 114 kit.,
2 60 fr.118 kit. 4aiesPr.; 4 ill., 7fr.; 14ki1.
magne se résume ainsi éui il l lui
Olé mitsdin fin...... 8U f9 5010 00
(Marie lemme Pauline), 46
ocette
Wurtembregerg.
Batuètsie
conditions d'usage.
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9 septembre 1875.
: 3 0/0 i '' ,e - 5 0,0 ¢
404 30.- Lyon , 3 010: 6r. 89 ; 5 0/0
f04 27. -Bo rdeaux 3 0/0 :6r.80.5010: 104 35.
Marseille,
l'y avait pas moyen de le guérir.
nos. - On a rendu
Tripoli, fr. 92 50 ; 25 balles Grèce noi50 kilos,
re geises, 0e. r.5, le mut les
Pl
760
27,557
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TÉLénnunslnu e,euunsees.
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médru ires hors ligne avaient déclaré qu'il
euidtre de 9 sus. C'émit terrible,
30 balles Damas suint, fr. 82 50 ; 19
balles Damas suint, fr. 92 50 ; 25 bulles
80 21 50 11 00
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A 0 211 0 0 1 21 0)
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Cure ne 70,421.
Importations de la journée
Bladette bonne
Bladette ordinaire...
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des Paradoux, 1, aRoien h,tel Solomiaa.
M. A. Spadaro, d'une Couetàpatiuva opi-
Les 1 60 litres, escompte 1 0/0 à l'entrepol.
Blé fin ou Bladette auP. 80 21 50 25 23
rue des Amidonniers, 27.
L'étude de Me 1). cap, avoué, snrceanr de Jul Tourraton, est transférée rua
Cure n 62,845.
terme, 0e. 34.
corons. - Le
Ilaynaud (Jacques Cameeier), 37 ans,
uo le
douterait g orer
Pins
bas
CHANGEMENT DE DOMICILE
9,000 hait. Tain ...Ils dol 128/23 à
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l'estomac gonflé, parfaitement guéri par
fr. 31 50.
C mes axr $1
af raempRa.
en (Marie), 17 mois, quartier
Franpoisi d'Assises, doént le bat est
Il'ensei nement. Ces d marchesui, a
dans
Par I es éci+r u x
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PP U 88
élérueut es ,,a, le trouver là de dru pro '
reornelTI1nIl des proélémeuta
avenir, pour
e s des n hiver si'tés c athi7 nos.
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- On ne se
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20.
Negeeueyereneys.
de Saint
tiers.ordre régulier
ai dormir, ayant toujours le creux de
M. b ille,t, curé, de SG ans d'Asténve,
avec élnntîcmenls dans 1. nuit.
blet.
Croix.Daurade.
BlMoury (Jean-Marie), 14 mois, rue des
plusieurs
prêtres,
P rétros
Plusi s
tin
ut, 5.
Perchepi°e'
le.
Il ne pnnvoit plus se )mur sur ses jambes,
lu Ilevaleeoiére.
8lalfre (Marie),
8moi
1s, quartier de
- La Patrie apprend de bonne source
er
l
4 ans, rue Srte),
s1167s
ph. Bwual, 46, Place
31.
cours
teurs .lent peu nombernæ, nos de
25
ont été plus faciles et en hausse
centimes par heetol
Etienme),
Ilurand (Germain Augustin
la guerre à l'Ordre et aa Polir.
que
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'a"
blés,'éaussi, et malgré que nos ache-
Fable (Maximilien Armand Paul), 1
ans, rie SI. Martin, 14 bis.
sous le patronage du priece Nappoléon
Richard, Ad Ion, etc. Cejournal
temps, notre
a été fort peu approvisionné vu
CONSTIPATION, Iwaara, Optas
Cure e' 65,112.
E. Fayard, de lueteulgieetVomiaaemenb.
800 hart. Marianopoli 128/24 dise.,
fr. 31 25.
040 hier. Marianopoli 128124 disp.,
A muse du maniais
Reyt (Françoise), épouse Ségnéla,
20 ans, rue des Amidonniers, 17.
Fruit lexeur rafrandissant coutre
past'aileme°t guérie par la Revalesciére.
Nous avons noté :
MARCHE DE TOULOUSR
Du 10 septembre 1875.
Loménie.
Armand (Marie Jasephioe Mdu T., 2.
épacne au
épouse l'érés, rue
'1
Danse da SainI-Guy, déclarée incurable,
4,800 hect. Pologne 130/26 dise., fr.
Grenouiller (Pierre), 2 ans, rue de
joiernal fo dé
et avec le concours ie
8alletiu CommerclÉM
TAMAR INDIEN
GRILLON
Aille Martin, Suppression des règles, et
aux nouvelles du dehors.
Delaux (Auguste), 3 sus, rue Goep, 2
bis.
Le Diily News publie une lettre
de M. Louis Blanc dans laquelle il se
défend, loi et s n parti, de mériter
l'épithète d'irréconciliable.
- Dans les premiers jours d° mots
Universel,
Prix de l'abonnement: 50 te. pour
; 16 fr.
lause
Cure ne 62,986.
A Marseille, outre marché continue à
être tués.calme. De nouvelles su penions de paiement ont lieu e1 en présence d'une situation de place eæ eptionnellemeut mauvaise, ou ferme l'oreille
ua an ; 30 0e. pour six mu
pour trois mois.
liomond (Pierre Marc us Lucien), 16
ans, rue Marché au Bois, 3.
rait placée au sommet de l'Air. de
Triomphe. Le testateur est 7g8 de 08
grains eue varient presque pas.
A Toulouse chez Mme Joug lu, 14, Ae.
cades du Capitole.
elle eue li nT 6 sr.P'easmaoi, 1675.
être d'un
Les farines continuent à
brillant
S'adresser à la Gendarmerie de Ton(ahevai Bofllcier I rédaoliun
d'effectif).
avec
a maigeisaemeny battement nerveux sur
mut le corps, agitation nerveuse et telstesse mortelle.
placement très.laborieux et les meusis
te , 17.
grand
et
Lai.brun, propre an service de la selle
celui de la voiture.
eo
1
Mme la marquise de Ilréhan, de 7 ans
de Maladie do fois, d'estomac,
blés.
On s'ehonue à Parie, an bureau de
la Revue dus Deux-Nandes, rue Boonpar-
beau
f f1EVAL ,
A VENDRE
.
Cure m 48,614.
jures moins disposés à faire de ouvelles eonceselmns sur les pris des
X. - Bulletin Bibliographique.
pratiquées let lendemain au domicile de
MM. Lafont Et Leymarie.
- Un journal assure que, d'après un
céaéALes. - Les apporta sur nos balles de l'intérieur sent plus faibles et les
codeurs se montrent depuis quelqques
le la Quin¢aine,
histoire politique et littéraire.
rédacteur eu chef du Ripublinain
Landais, qui se trouvait de passage à
out été
Limoges. Des perquisitions
a
faats.
ries, pair d'Angleterre, etc., etc
magne. - La fête d'Armiuies.
lb. - Chrmüqun
marquise de $eéhao, lord Stuoel de 11e'
Marseille, le 9 septembre.
VIII. - Un nouveau culte mn Alle
l'arrêta eu même temps que M. Lay-
laisse, p:irail-il, une veuve et trois
d'octobre, assure t'P'cho
un
parxilea à Genèv
Goblet d'Alviella.
sale et
polira lie irruption dans la
stuart, le duc de Pluskoe, Madame la
oalistes de Londres, P., M. le comte
nombre de républicains. A. dire de plu' et Os journaux, un des convives, M.
chantait une
soc
ré pn icaine,
Lefort,
'bu'quand tout à coup
la
suites
7X h5
X
717 R0
173 75
653 75'
+
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