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N°94
Mai 2015
Pays de Lons
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2 actu
1
Pays de Lons n°94 - Mai 2015
Lons La légumerie de la ville est en service
La nouvelle légumerie bio, bâtiment de 400 m2 construit en face du restaurant municipal, est opérationnelle
depuis début mai. Une tonne de légumes bio et locaux pourra être travaillée et stockée sur place. Visite guidée.
La grande épopée du bio dans la restauration
collective lédonienne débutait en 2000. Cette
dernière prépare quelque 1,2 million de
repas par an, à destination du restaurant
municipal, des restaurants scolaires desservis
par le SICOPAL, des EHPAD, hôpitaux, centres
aérés, administrations, entreprises… du sec­
teur lédonien, ainsi qu’au domicile des per­
sonnes âgées. “Depuis les années 2000, on a
vu les avantages du bio dans nos assiettes, et
on a pu observer que cela était économique­
ment viable”, explique Didier Thevenet, direc­
teur de la cuisine centrale de Lons.
“Aujourd’hui, nous sommes sur la ligne d’arri­
vée, c’est un peu un marathon.” L’aboutisse­
ment logique de cet engagement de la ville
était donc d’investir dans une légumerie
digne de ce nom, pouvant recevoir jusqu’à
200 tonnes de légumes par an, pour y être
travaillés dans de bonnes conditions. En
2014, une centaine de tonnes de légumes
étaient préparée dans une légumerie de
18 m2. “On y passe 500 kg/jour. C’est trop
petit”, reprend le directeur de la restauration
municipale. Aujourd’hui, sur la marge globale
des achats, 30 % de produits proviennent du
Jura, et les produits bio sont tous locaux.
Objectif 200 tonnes par an
Ce projet de légumerie ne date pas d’hier,
mais il a fallu une décision politique forte
pour passer à l’acte. Les légumeries publiques
ne sont d’ailleurs pas légion en France. Débu­
tés en novembre 2014, les travaux viennent
de s’achever. Dans ce vaste bâtiment de
400 m2, une nouvelle machine pour déterrer
les légumes a fait son arrivée, ainsi qu’un local
pour les congeler. Les lieux sont divisés en
trois espaces : un pour le déterrage, un pour
l’épluchage et le lavage, et un pour la coupe
et le conditionnement. Une tonne de légumes
par jour pourra être travaillée et stockée ici.
“On espère atteindre 150 tonnes de légumes
en 2015, et 200 tonnes en 2016. L’objectif à
terme est aussi de travailler en bonne intelli­
gence avec d’autres cuisines centrales du
département.” Porté financièrement par la
ville de Lons­le­Saunier, le projet a bénéficié
d’un financement d’un million d’euros pour sa
construction.
C.G.
Montaigu L’aménagement
2
de la côte en suspens
Les aménagements de la côte de Montaigu permettant le transit
des poids lourds auraient dû débuter le 1er avril dernier. L’arrivée
d’un nouvel exécutif ainsi que les réserves du maire de Montaigu
rendent ce projet pour l’heure incertain.
Le 13 mars dernier, l’ancien président du
conseil général du Jura, Christophe Perny
annonçait le début des aménagements qui
devaient permettre aux poids lourds en transit
de descendre en toute sécurité la rampe de
Montaigu. C’est cette option qui avait été rete­
nue par le précédent exécutif départemental
pour désengorger la vallée de la Vallière très
fréquentée par les poids lourds. Bretelle de
détournement pour les camions avec stop au
sommet de la descente, création d’un lit d’ar­
rêt d’urgence à mi­côte, signalétique dyna­
mique avant le rond­point de la Condamine…
La sécurité avait été privilégiée dans ces amé­
nagements prévus pour un budget minimum
estimé à un million d’euros. “Avant le 1er avril”,
avait­il promis, à la satisfaction du président
Pierre Chavon et des adhérents de l’association
Défense de la vallée de la Vallière. Créée en
2002, cette association a pour objectif princi­
pal de s’opposer au trafic des poids lourds
dans la vallée, avec le souci affirmé de ne pas
transférer les nuisances aux communes avoisi­
nantes, que sont notamment Perrigny, Pannes­
sières et Montaigu. Le dialogue s’est ainsi ins­
tauré entre les différentes municipalités et
l’association au point qu’on puisse parler de
consensus. Le projet présenté par Christophe
Perny, “s’il n’est pas parfait, est une avancée
que l’on a pris en compte de façon positive”
assurait Pierre Chavon, admettant depuis tou­
E TAT C I V I L
3
LA FILIÈRE SE STRUCTURE
Les maraîchers de l’association Entente Bio fournissent
les produits bio de la légumerie de la cuisine centrale.
Née en 2011, l’association Entente Bio est à la base un
groupement d’une quarantaine d’éleveurs de vaches en
agriculture biologique, tous installés dans la région lédonienne,
qui approvisionnent, entre autres, le restaurant municipal de
Lons-le-Saunier. Aujourd’hui, ce sont environ 150 bêtes
jurassiennes par an qui sont vendues à l’établissement public.
Les maraîchers bio, de leur côté, livraient de façon individuelle
depuis cinq ans la cantine lédonienne. Ils ont rejoint en août
dernier le groupement d’éleveurs, afin de répondre de manière
plus cohérente aux commandes du restaurant municipal.
“Aujourd’hui, cela prend tout son sens, nous sommes ouverts à
tous types de production. A la différence qu’il y a un seul et unique
interlocuteur pour tous les produits” explique Julie Parrot,
animatrice filières au sein de l’association. Entente bio
approvisionne en viande, légumes et fruits le restaurant
municipal, mais aussi des boucheries, et l’Hyper U Montmorot.
Les commandes sont réparties équitablement entre la dizaine
de maraîchers locaux, du Val d’Amour, de Sellières, de Pagnoz…
L’animatrice de l’association reste plus mesurée quant aux
quantités fournies cette année. “Il n’y a pas de certitude sur les
volumes, c’est une année test. Nous partons plus sur un volume
de 100 tonnes cette année, et 150 tonnes en 2016.”
A Lavigny, une autre façon
de penser son logement
Le concept d’habitat participatif en est presque au stade expérimental en France. A Lavigny, petite
commune de 380 âmes aux portes de Lons-le-Saunier, le maire Luc Michaud souhaite proposer ce
mode d’habitat alternatif sur un projet reposant sur quatre parcelles.
En France, on entend encore assez peu parler d’habitat
participatif. Quelques expériences essaiment par­ci par­
là, mais on est encore loin des modes d’accès classique
à la propriété. Le concept en soi n’a pourtant rien de
nouveau, surtout dans une région historiquement
dotée d’une forte culture de coopérative : des particu­
liers se regroupent et réalisent ensemble une opéra­
tion immobilière. Ces personnes élaborent conjointe­
ment un projet composé de logements privés et
d’espaces partagés. Au final, chacun est chez soi, on y
vit comme on l’entend, mais on partage des espaces
communs avec les autres participants du projet.
Martial Vincent, maire de Montaigu.
jours la complexité du dossier. Mais voilà, les
changements à la tête du département entraî­
nent forcément une prise de connaissance des
engagements en cours, et en conséquence une
modification des délais de réalisation auxquels
il convient d’ajouter les réserves de Martial
Vincent, maire de Montaigu. Il juge les travaux
de la bretelle de déviation trop près du puits
de captage de la Croix, principale source en
eau potable, et de préciser “qu’il souhaite
avant tout une étude d’impact” sans négliger
l’hypothèse d’une augmentation possible du
trafic des véhicules légers à travers les rues tor­
tueuses du village… Les poids lourds descen­
dront la côte de Montaigu une fois ces incerti­
tudes levées, pas avant.
B.W.
Lisabella de Romain BAZAILLE et
Sabrina CISLAGHI, Courlans
Célestine de Fabien BRIZARD et
Keziah de Thomas DRANEBOIS et
Alexandrine BILLER, Arthenas
Sophie JAILLET, Courlaoux
Brice de Loïc KERAVEC et Floriane
Jules de David GUILLEMIN et
BRELOT, Beaufort
Sandrine MAIGNAN, Domblans
Margaux de Nicolas ROTA et Emilie Manoé de Mathieu PERRARD et
JACOB, Beaufort
Marie­Françoise ARNOUX, Fay­en­
Loucia de Michaël PETIT et Paméla Montagne
PRUNIER, Bletterans
Marie de Pierre­Emmanuel
Naël de Jean­Luc NICOLAS et Sonia BOUSSAUD et Floriane­Marie PAYET,
MAUBLANC, Bletterans
Frontenay
Grégoire de Teddy BON et Iléana
Laurianne de Jérôme SYRAME et
BURGAT, Buvilly
Irène MICHOULIER, Geruge
Jessie de Cédric ESSEIVA et Magali
Jules de Jérémy GUERRIN et Fanny
DUFAU, Chevreaux
Cléa de Maxime BENOIT et Marine MARIE, Le Louverot
LHEUREUX, Chilly­le­Vignoble
Eileen de Valentin GROUT et
Johanna TETART, Lons­le­Saunier
Sam de Antoine BRICHAUX et
Roxane GIBOULET, Clairvaux­les­Lacs Tallya de Damien BOIVIN et
Lylou de Nicolas DURAY et Aurélie Samantha HAU­SANS, Lons­le­
CUENIN, Cosges
Saunier
NAISSANCES
Didier Thevenet, devant la nouvelle légumerie.
AGRICULTURE BIO
Sacha de et Jessica PETITJEAN, Lons­
le­Saunier
Léon de David MOSNIER et Emilie
NOËL, Lons­le­Saunier
Gabriel de Raphaël HARRIBEY et
Lorène MONOT, Lons­le­Saunier
Sarah de Laurent PONTIROLI et
Marion BONJEAN, Lons­le­Saunier
Gabrielle de Alain BATAILLON et
Linda NKOLO ODOUMS, Lons­le­
Saunier
Liam de François HERMOUET et
Christelle GONZALES, Macornay
Valentin de Julien LINARD et Sophie
DENIDET, Mantry
Julie de Jean­Yves GUERMONT et
Sandrine ROUSSELOT­PAILLEY,
Messia­sur­Sorne
Salih de Ugur KORKMAZ et Serap
ONCU, Montmorot
Gabriel de Benjamin DUVOID et
Flore HERVE, Nance
Environ 150 000 euros terrain compris
par logement
C’est sur ce concept novateur et social qu’a misé la
commune de Lavigny. Tout a débuté en 2007 par la
construction d’un lotissement d’une douzaine de par­
celles, dont quatre sont invendues à ce jour. La collec­
tivité a alors planché sur un mode d’habitat alternatif
pour ces quatre terrains allant de 319 à 333 m2. “Ce
projet est né de trois volontés”, explique le maire de
Lavigny Luc Michaud “préserver le confort de nos habi­
tants, préserver notre attachement à la ruralité, et por­
ter une offre novatrice à caractère social.” Un groupe
de travail lance alors plusieurs études : une première
auprès des banques, afin d’identifier le montant mini­
mal d’endettement lors d’un accès à la propriété, soit
150 000 euros terrain compris. Puis une seconde
Lilou de Raphaël ROUTHIER et
Aurélie GUILHEM, Orbagna
Julia de Julien CHRIST et Amandine
DUVAL, Perrigny
Samuel de Jérémy COMPARET et
Lucie PICAUD­BERNET, Pimorin
Nina de William DELLA­CHIESA et
Jessica FOURNIER, Poligny
Sylvia de Manuel LOUREIRO et
Patricia DE SOUSA, Poligny
Alix de Martial GAY et Nathalie
GUILLAUME, Présilly
Emma de Jean­François GENTET et
Marie­Eglantine PAIN, Publy
Paul de Damien CARDINAL et Laura
CORRARO, Reithouse
Antoine de Stéphane BOUQUEROD
et Nathalie SELVA, Sarrogna
Naomie de Boris CROLET et Anita
FIEUX, Sarrogna
Kylian de Thomas BONDENAT et
Daïana BAILLY, Sellières
auprès de constructeurs et architectes afin de valider
la faisabilité du projet, à savoir la construction de qua­
tre maisons mitoyennes de quelque 80 m2 chacune, et
de type T4. “Compte tenu l’ensemble des retours, nous
avons acquis la certitude que le financement de
chaque lot s’inscrirait dans une fourchette de
150 000 à 160 000 euros, en respectant les normes
d’isolation et de performances énergétiques de la RT
2012” reprend Luc Michaud. Les futurs propriétaires
intéressés par la prise en charge complète du projet
devront alors décider ensemble du type de construc­
tion, du constructeur, du mode de ressources énergé­
tiques, des espaces partagés (potager, aire de jeux…),
et du volet paysager. Afin de porter le volet social
jusqu’au bout, la commune de Lavigny se propose
d’instruire les divers dossiers de demande de subven­
tions des futurs propriétaires, de différer le paiement
des parcelles à la fin de la construction, et de prendre
C.G.
en charge les premières réunions de travail.
Le groupe de travail, composé d’élus et d’habitants de
la commune, autour du maire Luc Michaud.
LAJEUNE Gérard, Lons­le­Saunier,
70 ans
CORNET Jeanne, Lons­le­Saunier,
89 ans
JOUVENCEAU Simone, Lons­le­
Saunier, 87 ans
BERNIER Jean, Lons­le­Saunier,
87 ans
DÉCÈS
BÉNARD Denise, Lons­le­Saunier,
ROUSSET Roger, Bletterans, 84 ans 91 ans
OUDOT Monique, Cesancey, 80 ans VAYEUR Louis, Lons­le­Saunier,
MILLET Henri, Commenailles, 91 ans 95 ans
PINSOLLE Lucienne, Desnes, 100 ans CANQUE Gisèle, Montmorot, 91 ans
Jean, Montmorot,
VUILLERMET Jeannine, Domblans, MOSIMANN
80 ans
92 ans
DOLE Fabrice, Montrond, 59 ans
FROISSARD François, Gizia, 89 ans
SALVI Attilio, Orgelet, 92 ans
GIROUD Pierre, Gizia, 88 ans
MALESSARD Jean, Orgelet, 87 ans
JULLEROT Roger, La Frasnée, 87 ans JOUFFROY Michel, Perrigny, 91 ans
VUILLOZ Simone, Lombard, 82 ans GIRARD Marie, Villeneuve­sous­
Pymont, 88 ans
LEDUC Roland, Lons­le­Saunier,
70 ans
MINY Bernard, Villevieux, 76 ans
Sophie de Raphaël BOILLOT et Céline
DANANCHÉ, Toulouse­le­Château
Alec de Rémy PERRET et Virginie
ANDREANI, Vincent
Tiphaine de Jean­Louis DE VETTOR
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4 actu
5
Pays de Lons n°94 - Mai 2015
EXPRESS
Culture Plus de 20 spectacles
pour le 6e festival de caves
CARTE SCOLAIRE
DISPARITÉ AVEC LA NIEVRE ET 15 POSTES
EN MOINS POUR LE JURA
Le mois dernier, Sylvie Vermeillet, présidente de l’association
des maires du Jura, rencontrait le directeur académique des
services de l’éducation nationale et le recteur, concernant la
carte scolaire. Dans les grandes lignes de cette rentrée
scolaire 2015, à l'aube de la fusion entre les régions
Bourgogne et Franche-Comté, il apparaît que le taux
d’encadrement, le fameux P/E qui mesure le ratio entre le
nombre d’enseignants et d’élèves, est de 5,87 dans la Nièvre,
contre 5,51 dans le Jura. “Notre Recteur convient que la
disparité est inexplicable et m’a assuré d'en discuter avec son
homologue de Bourgogne. En attendant, les Jurassiens ne
peuvent se satisfaire de ce taux d’encadrement qui nous
conduira à rendre encore 15 postes à la rentrée prochaine”
expliquait Sylvie Vermeillet.
Née en 2005 en Franche­Comté, sous l’impul­
sion de la compagnie bisontine Malanoche,
ce festival a aujourd’hui essaimé un peu par­
tout en France, et même au­delà, puisqu’on le
retrouve à Lilles, Nantes, Orléans, Toulouse,
en Allemagne et en Suisse. Tout est parti
d’une commande du Musée de la résistance
et de la déportation de Besançon : l’idée était
de faire écho, dans une création, à la néces­
sité fondamentale pour les artistes et intellec­
tuels de se cacher pendant l’occupation. La
proposition de jouer dans une cave, propice à
la discrétion, est alors retenue. Dès lors, ce
concept de créer des spectacles dans un lieu
unique reviendra chaque année, en se déve­
loppant urbi et orbi, grâce aux relais d’associa­
tions locales.
Dans le Jura, c’est l’association Page 27 qui
relaya l’événement en 2010, avec un specta­
cle joué à trois reprises dans une cave de Vil­
leneuve­sous­Pymont. Cette année, grâce au
bouche à oreille, ils sont quelque vingt parti­
culiers à ouvrir gracieusement leur cave pour
6
y accueillir un public restreint (une vingtaine
de spectateurs par cave). “Il y a des caves
magnifiques, d’autres plus modestes, mais
elles font partie de notre patrimoine architec­
tural”, explique Béatrice Morel­Jean, prési­
dente de l’association Page 27. “L’important
est de sortir la culture de son cadre. Mais le
lieu précis reste une surprise pour les specta­
teurs, on leur fixe un rendez­vous dans la
commune avant de les mener dans la cave.”
C’est pour cette raison que les réservations
sont obligatoires. “Là aussi, on reste dans la
discrétion, à l’image des artistes pendant l’oc­
cupation.” Du 1er mai au 26 juin, 21 specta­
cles seront présentés dans 13 communes
jurassiennes, et l’ouverture du festival,
unique exception concernant le lieu, se tien­
dra à l’Amuserie de Lons­le­Saunier. Dans un
cadre intimiste, ces créations spéciales, pro­
posées uniquement pendant le festival, per­
mettront aussi aux spectateurs de se retrou­
ver après le spectacle autour d’un verre pour
C.G.
échanger avec les artistes.
© Patrice Forsans
Du 1er mai au 26 juin, des particuliers ouvriront leur cave à la culture dans le cadre du festival de caves, qui fête sa sixième
édition jurassienne. Plus de 20 spectacles seront proposés dans 13 communes du département.
de l’école dans le Jura
Pour répondre à la demande de la ministre de l’Education nationale, les
premières assises départementales de la mobilisation de l’École pour les
valeurs de la République viennent de se dérouler dans le Jura.
ES
BR
NÈ
FU
ES
MP
PO
L’ETAT S’ENGAGE POUR AMÉLIORER LA
SÉCURITÉ DU PERSONNEL ET DES USAGERS
DE LA POSTE
Le 2 avril dernier, le préfet du Jura, Jacques Quastana, le
colonel Vincent Lamballe, commandant du groupement de
gendarmerie du Jura, et les dirigeants régionaux de la Poste
ont signé une convention visant à améliorer la prévention et
la sécurité du personnel et du public dans les bureaux de La
Poste et les centres de courriers implantés dans les zones de
compétence de la gendarmerie du département du Jura.
Arbois : 20, 24 et 25 mai. Château-Chalon : 28 mai.
Dole : 10 et 16 mai, 14 et 16 juin. Frontenay : 17 mai.
Lons : 1er et 22 mai, 2 et 4 juin. Montmirey-leChâteau : 21 mai. Plainoiseau : 19 mai. Poligny :
21 mai. Rainans : 7 juin. Rochefort-sur-Nenon :
30 mai. Saint-Claude : 11 juin. Saint-Germain-lesArlay : 30 mai. Salins-les-Bains : 6 juin.
Education Premières assises
Cette rencontre, qui s’est déroulée le 15
avril dernier à Lons­le­Saunier, avait pour
objectif de mobiliser l’ensemble de la com­
munauté éducative et des partenaires de
l’école évoluant sur le territoire, pour per­
mettre un temps partagé autour de
mesures partenariales. L’idée étant d’éla­
borer des propositions d’action qui seront
transmises au niveau départemental pour
éclairer le débat et assurer la mise en
œuvre des premières mesures annoncées
par la ministre de l’Education nationale le
22 janvier dernier. Pour rappel, Najat Val­
laud­Belkacem a lancé une grande mobilisa­
tion de l’école pour faire vivre les valeurs de
la République et transmettre la laïcité.
Répartis en trois ateliers, les acteurs pré­
sents ont abordé librement des thèmes dif­
férents : comment associer pleinement les
parents à l’action éducative de l’école ?
Comment mobiliser les acteurs associatifs,
le monde économique et la société civile
pour soutenir l’action de l’école dans la lutte
contre les déterminismes sociaux ? A la
SECURITÉ
lueur d’expériences vécues et dévoilées à
l’assistance, présidents d’associations, res­
ponsables de structure éducative, direc­
teurs d’établissements ont fait part de leurs
remarques et ont soumis des idées. Des
constats ont retenti sur la surcharge des
programmes scolaires, sur l’implication et la
présence des parents dans le collège ou le
lycée, sur les incohérences qui existent dans
un même lieu de vie suivant les horaires et
qui en conséquence entraînent l’incompré­
hension des élèves, la définition de la laï­
cité…
La mise en commun de ces travaux qui se
déroulent sur l’ensemble du territoire est la
constitution d’une véritable base nationale
de données en vue d’harmoniser l’ensem­
ble de la communauté éducative, des parte­
naires de l’école et des services de l’Etat. La
conclusion officielle de ces travaux par la
ministre de l’Education nationale, de l’ensei­
gnement supérieur, de la recherche est
fixée au 12 mai.
B.W.
7
Lons Vélorution : 200 adeptes du
déplacement doux traversent la ville
L’association
Vélo Qui Rit
souhaite
interpeller les
pouvoirs locaux
sur les questions
du “tout
voiture” et des
déplacements
doux.
A l’initiative de l’association Vélo Qui
Rit, présidée par Claude Changarnier,
ce sont près de 200 adeptes du dépla­
cement doux qui se sont retrouvés
samedi 18 avril dernier place de la
Liberté, à Lons­le­Saunier, tout
d’abord pour une traversée de la ville
en musique, puis pour une escapade
sur la voie verte et la découverte de la
nouvelle passerelle qui enjambe le
futur contournement de Lons. Vélos
bien sûr, mais également rollers, tan­
dems, skates, trottinettes étaient de la
fête, sans oublier les triporteurs de
l’association EPART, et les vélos cou­
chés qui surprennent toujours ceux
qui les voient passer, tant la position
du coureur est inhabituelle. “L’idée est
de prendre possession de la ville en
faisant effet de masse pour nous ren­
dre visible et pour poser la question
des déplacements doux. C’est une
action directe contre la circulation du
tout voiture, pour qu’émerge réelle­
ment une volonté politique et indivi­
duelle de transformer les villes en cités
calmes et solidaires” indiquait la prési­
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Vos mutuelles vous informent…
I
Entre généralisation des mutuelles d’entreprise et contrats responsables, le vent du changement souffle pour les complémentaires.
Au 1er janvier 2016, toutes les entreprises devront proposer une couverture de prévoyance santé à leurs salariés, suite au vote de l'Accord national interprofessionnel (ANI) du 14 juin 2013. Elle concerne les patrons, les salariés et, parfois, les ayants droit, conjoint ou
enfant. Ce changement n’est pas sans susciter des interrogations, tant de la part des chefs d’entreprises que de leurs collaborateurs. La
notion de “surcomplémentaire” va t-elle se développer encore ?
I
I
Tiers payant généralisé : les députés votent et les mutuelles s'inquiètent. Elles rejoignent les médecins... dans la défiance.
Quelles prestations les mutuelles devront-elles prendre en charge en 2015 ? A quel niveau de remboursement ? Les pouvoirs publics
préparent la réforme des contrats de santé dits “solidaires et responsables”. Parmi les principales nouveautés : le plafonnement du remboursement des dépassements d’honoraires ainsi que celui des lunettes.
I
Comment les mutuelles opèrent le virage en collectif alors que leur cœur de métier est centré sur l’individuel ? Le rythme des rapprochements déjà commencé va-t-il s’accélérer ?
I
Vos mutuelles vous informent et communiquent… n’hésitez pas à les consulter.
Complémentaire santé : les
nouveaux contrats responsables
Avec la publication par la Direction de la Sécurité sociale d’une circulaire concernant
les contrats d’assurance maladie complémentaire dits responsables, la réforme de la
complémentaire santé a enfin été bouclée en ce début d’année. Marisol Touraine,
ministre de la Santé, entend favoriser l'accès aux soins avec ces nouvelles dispositions.
La notion de contrat responsable s'applique aux contrats santé
collectifs à adhésion obligatoire ou facultative ainsi qu'aux
contrats individuels.
“Parcours de soins” et “contrat responsable” :
les incitations au juste soin
Les complémentaires santé proposent donc désormais à leurs
adhérents qui souhaitent bénéficier de ces exonérations fiscales
des contrats conformes aux règles définissant le “contrat
responsable”. Pour qu’un contrat de mutuelle soit considéré
comme “responsable”, il doit prendre obligatoirement certains
frais de soins en charge et à l’inverse il ne doit pas permettre
d’en rembourser d’autres.
Loi de finance de la Sécurité sociale
Il aura fallu plus de 15 mois, depuis la présentation du projet
de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2014,
à l’automne 2013, à la publication d’une circulaire de la Direction
de la Sécurité sociale, le 6 février, pour achever la réforme
des contrats de complémentaire santé responsables, qui
représentent la quasi-totalité du marché. Pour bénéficier des
aides fiscales et sociales prévues par la réglementation, ces
contrats devront respecter un ensemble de règles beaucoup plus
conséquent qu’auparavant.
Ces nouvelles régles s’appliquent à tous les contrats individuels
souscrits ou renouvelés à compter du 1er avril 2015. Pour les
contrats collectifs obligatoires, les pouvoirs publics ont tenu
compte des dispositions régissant les garanties applicables aux
salariés et prévu une période transitoire avec plusieurs cas de
figure. Même si tout paraît clair sur le papier, certains
spécialistes, avocats en particulier, n’excluent pas des risques
de contentieux, comme des redressements par les Urssaf.
Les soins dentaires oubliés
Pour l’ensemble des contrats, la circulaire clarifie les mécanismes
d’encadrement des remboursements en optique et des
dépassements d’honoraires de certains médecins […]. Un
système de planchers et de plafonds de prise en charge par les
organismes complémentaires est la véritable innovation de
cette réforme. Avec celle-ci, le gouvernement a fait le pari de
réguler les tarifs de l’optique et les tarifs des médecins libéraux,
spécialistes en particulier. En revanche, aucune contrainte n’a
été introduite pour les soins dentaires prothétiques, qui sont
pourtant l'une des causes principales de renoncement aux soins.
Les lunettes rationnées
En optique, si les garanties prévoient une prise en charge audelà du ticket modérateur, elles doivent respecter les six
combinaisons de planchers (de 50 à 200 ) et de plafonds
(de 470 à 850 ), prévues selon les corrections et ne rembourser, sauf cas particulier, qu’un équipement tous les deux
ans. En revanche, cette limitation bisannuelle ne s’applique pas
si les garanties sont limitées au ticket modérateur (au maximum
quelques dizaines d'euros selon les âges et corrections).
...et sur les dépassements d'honoraires
Au chapitre de la prise en charge des dépassements
d’honoraires, la circulaire énonce clairement ce qui
n’apparaissait pas de manière limpide à la lecture du décret, à
savoir qu’il n’y aura pas de plafond de remboursement pour les
médecins qui respectent le contrat d’accès aux soins […].
Elle apporte aussi un point nouveau pour les médecins qui
n’adhèrent pas au CAS, en indiquant que “le contrat peut prévoir
que seuls les dépassements d’honoraires facturés au titre de
certains actes techniques et cliniques font l’objet d’une prise en
charge”. Les organismes complémentaires pourraient donc faire
des choix en tenant compte du fait que les dépassements sont
plus importants sur les actes cliniques.
Une option n'est pas une surcomplémentaire
Du nouveau sur
le forfait journalier hospitalier...
Pour la prise en charge de la participation de l’assuré au forfait
journalier hospitalier de 18 , le décret prévoyait une prise en
charge intégrale. La circulaire vient stipuler que “cette obligation
concerne uniquement le forfait journalier facturé par les
établissements de santé et non pas celui facturé par les
établissements médico-sociaux comme les maisons d’accueil
spécialisées (MAS) ou les établissements d’hébergement pour
personnes dépendantes (EHPAD)”. […]
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Bref, on se serre les coudes.
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Une histoire humaint etout !
Enfin, un autre point de la circulaire retiendra l’attention des
professionnels de la complémentaire santé. Tout d’abord, le
texte établit une distinction claire entre “garanties optionnelles”
et assurance “surcomplémentaire”. La différence n’est pas que
sémantique : un contrat avec des options est un contrat unique,
et le respect des critères des contrats responsables doit être
regardé pour la base et les options, tandis que le contrat
surcomplémentaire est considéré en tant que tel. Enfin, un
tableau récapitulant les caractéristiques des contrats “socle” et
“surcomplémentaire” devrait en principe lever les ambiguïtés.
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Pays de Lons n°94 - Mai 2015
BPIFRANCE FRANCHE-COMTÉ
501 entreprises jurassiennes soutenues en 2014
La Banque publique d’investissement présentait le mois
dernier son bilan 2014 pour la Franche-Comté. Dans le Jura,
501 entreprises ont été accompagnées, tous types
d’intervention confondues.
Aux côtés de Marie­Guite Dufay, présidente de la région Franche­Comté,
le directeur régional de Bpifrance, Pierre Couturier, dressait le 30 mars
dernier, le bilan 2014 de l’organisme d’investissement, partenaire du
conseil régional. Créé en 2012, Bpifrance a pour vocation d’accompa­
gner les entreprises, de l’amorçage jusqu’à la cotation en bourse, en cré­
dit, en garantie et en fonds propres. Dans le Jura, en 2014, 501 entre­
prises, soutenues par Bpifrance Franche­Comté à hauteur de 47 millions
d’euros, ont obtenu 86 millions d’euros de financements publics et pri­
vés. Dans le détail, 91 interventions en financement ont permis la mise
en place de 41 millions d’euros de financements, en partenariat avec les
banques et les organismes de fonds propres, dont 13 millions d’euros de
concours de Bpifrance. 263 interventions en garantie des banques ont
donné lieu à 26 millions d’euros de prêts garantis. Côté innovation,
17 projets innovants jurassiens ont été soutenus à hauteur de 7 millions
d’euros, dont 3 millions d’euros de concours de Bpifrance.
2015, cap vers l’innovation sociale
Par rapport à 2013, le nombre d’entreprises aidées dans le Jura est en
légère hausse (496 en 2013), alors que les risques pris par l’organisme
stagnent (47 millions d’euros en 2013). Au niveau régional, les chiffres
2014 affichent une nette hausse par rapport à 2013 (+ 8 % d’entreprises
soutenues, et + 15 % de risques pris). Les entreprises jurassiennes se
tourneraient­elles moins vers la banque publique par manque de proxi­
mité avec cette administration centralisée à Besançon ? “Pas du tout,
répond Marie­Guite Dufay. Le réseau des développeurs fonctionnent
bien et se réunit régulièrement pour informer les entrepreneurs de
toutes ces ressources. Je crois plus en la synergie des acteurs, et je ne
pense pas qu’ouvrir des antennes locales soit une solution.” Pour Pierre
Pierre Couturier, directeur régional de BPIfrance Franche-Comté, et
Marie-Guite Dufay, présidente du conseil régional de Franche-Comté.
Couturier, le sentiment d’une économie à deux vitesses est encore bien
présent : “On sent un frémissement pour certains chefs d’entreprise,
avec des bilans 2014 moins mauvais, et qui se demandent si le moment
n’est pas venu d’investir pour se développer. Mais dans d’autres secteurs
comme le BTP, cela reste très dur.”
Alors que la Bpifrance était créée pour pallier aux réticences des
banques à prendre des risques en accompagnant les entreprises, la
question de son avenir se pose aujourd’hui dans un contexte où les taux
des banques affichent une baisse historique. “Le métier de Bpifrance ne
sera plus le même demain, précisait Marie­Guite Dufay. Puisque les
banques vont plus loin aujourd’hui, quelle sera la plus­value de la
Banque publique ?” “Nous allons accentuer notre accompagnement sur
les “à côtés” non financés par les banques, comme l’innovation, le prêt
de développement, la transition énergétique…” répondait Pierre Coutu­
rier. Pour 2015, le cap sera donc tourné notamment vers l’innovation,
avec un axe nouveau autour de l’innovation sociale.
C.G.
LONS-LE-SAUNIER
CHANGEMENT DE DIRECTION A JURATRI :
UNE PAGE SE TOURNE
Après 21 ans d’engagement qui ont permis un développement économique fulgurant, l’ex-PDG Pierre Grosset de Juratri
a fait valoir ses droits à la retraite le 1er avril dernier. Son fils Matthieu Grosset reprend les rênes de la société.
On savait officieusement que le fils de Pierre Grosset, Matthieu, repren­
drait top ou tard les rênes de l’entreprise. C’est désormais officiel depuis
le 1er avril, et le départ en retraite du créateur de la société. C’est une
page qui se tourne pour Juratri, avec l’arrivée de nouveaux dirigeants. Le
conseil d’administration de la SCOP Juratri, composé de 11 salariés­
associés, a décidé de nommer Matthieu Grosset à la fonction de direc­
teur général. Ce dernier s’appuiera sur Géraldine Aymonier, co­directrice
en charge des ressources humaines et Emmanuel Troubat, co­directeur
en charge de l’exploitation.
Une nouvelle certification
En 21 années, Pierre Grosset a positionné Juratri comme un des leaders
de son secteur dans l’est de la France. Fort d’une belle progression
(+ 20 % en tonnage de déchets en deux ans), Juratri continue de rempor­
ter des marchés (celui du meuble) et se caractérise par son volet social
et insertion. La nouvelle direction a tenu à remercier les associés de la
Scop pour leur confiance et leur choix de favoriser la promotion interne.
Elle souligne sa gratitude à Pierre Grosset, qui restera président de la
coopérative jusqu’à la fin de son mandat en juin 2016 : “Si Juratri compte
aujourd’hui 115 salariés, dont 65 en CDI, c’est grâce à la vision, à l’énergie
et aux choix effectués par son dirigeant depuis la création de l’entreprise,
en 1994. La stratégie de partenariat mise en œuvre dès le départ a per­
mis d’en faire un acteur incontournable au niveau régional dans la filière
du recyclage, et un expert de l’insertion reconnu nationalement” explique
Matthieu Grosset.
Pour 2015, la nouvelle direction devra relever de nouveaux défis : déve­
lopper des activités en zone industrielle, participer à la démarche “zéro
gaspillage, zéro déchets” sur le territoire, lancer le “Clus’Ter Jura” pour
Dossier de permis
de construire
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Matthieu Grosset reprend les rênes de l’entreprise
faire émerger de nouvelles activités dans le Jura, lancer d’Altera Interim
(nouvel outil d’insertion par le travail temporaire)…
Par ailleurs, Juratri apprenait le 14 mars dernier qu’elle était désormais
certifiée “WEEE Labex”, à l’instar de cinq autres entreprises françaises.
Cette démarche qualité ajoute l’obligation de traçabilité des déchets élec­
troniques pris en charge. Les process de l’entreprise lui permettent
aujourd’hui de prendre en charge plus de 8 000 tonnes de déchets élec­
troniques par an. Cette certification constitue un réel atout à l’aube du
renouvellement de ses marchés par l’éco­organisme Ecosystèmes et dans
la perspective de nouveaux marchés commerciaux.
vivre ici 9
Pays de Lons n°94 - Mai 2015
JURA La fête de la nature 2015 sur le thème “Au bord de l’eau”
La musique a sa fête, la nature aussi ! La Fête de la nature est
l’événement national dédié à la nature. Chaque année au mois
de mai, cette célébration fait l’objet de milliers de
manifestations gratuites offrant au public un contact direct
avec la nature en France métropolitaine et en outre-mer. Pour sa
9e édition, elle se déroulera du 20 au 24 mai 2015 et aura pour
thème “Au bord de l’eau” en l’honneur de l’anniversaire du
conservatoire national du littoral et de ses 40 années d’action
de protection. Voici les animations prévues dans le Jura.
I Les cascades du Hérisson,
randonnée tous publics, organisée
par la communauté de communes
du Pays des Lacs. Le torrent “le
Hérisson” prend sa source au Saut
Girard, né des eaux du lac de
Bonlieu et du lac d’Ilay. Il présente 31
sauts et 7 cascades, accessibles au
cours d’une randonnée de 3 heures.
Avec un animateur, vous
découvrirez et observerez la faune
et la flore que possède le site des
Cascades du Hérisson.
21 mai, de 14 h 30 à 17 h 30, RV devant
la Maison des Cascades du Hérisson,
lieu-dit Val-Dessus, 39130 Ménétrux
en Joux.
I Découverte des amphibiens de
petite montagne, balade tous
publics, organisée par Natura 2000
Petite Montagne du Jura,
communauté de communes Petite
Montagne. La sortie sera l’occasion
d’aborder les différentes espèces
d’amphibiens vivant en Petite
Montagne, leurs écologies, leurs
milieux de vie et comment les
préserver. Une sortie en partie
nocturne où vous partirez à la
recherche des grenouilles et tritons
dans les mares et les milieux
humides du secteur de Vescles.
Prévoir bottes et lampes torches.
Le 23 mai, de 19 h 45 à 22 h 30. RV
devant l’église de Vescles.
Rens. 09 67 08 39 78.
I Sortie nature sur la rivière, à
Nevy-sur-Seille. Pour découvrir et
mieux connaître la biodiversité de
nos rivières, comprendre
l'importance de protéger nos
rivières franc-comtoises et la
ressource en eau plus
généralement.
23 mai à Nevy-sur-Seille. RV à 10 h au
parking à l'entrée de Nevy-sur-seille.
Prévoir son casse-croûte pour un
pique-nique partagé en fin
d'animation vers midi.
Rens. 03 84 85 18 04
I Pause détente au jardin du
Seillon. Une après-midi tranquille
au jardin du Seillon, entre jeunes et
moins jeunes, pour se reposer dans
un cadre agréable et aborder, aux
choix, deux questions : “Une mare,
pour quoi faire ?” : comment
fabriquer une mare dans son jardin,
pour quel intérêt ? (14 h 30-15 h 30).
“Nos enfants et la nature : c’était
comment avant, c’est comment
maintenant ?” - Temps d’échanges
et d’expression libre, pour partager
un souvenir, une impression, une
réflexion…
23 mai, après-midi, à Bletterans, au
“jardin du Seillon” (jardin du foyer
logement - Ehpad, 2bis Faubourg
d'Aval). Rdv au jardin à partir de 14 h,
jusqu'à 17h. Goûter à partir de 16 h.
Rens. [email protected]
I Sorties Nature sur l’écopôle de
Desnes. Découvrez la diversité des
milieux naturels de l’écopôle de
Desnes à l’occasion de visites
guidées et confidentielles (site
interdit au public) dans cette
ancienne gravière réaménagée en
Horaires :
espace de nature. Pour le grand
public et les familles (enfants à
partir de 8 ans) - inaccessible aux
PMR.
22 mai : sortie nature, zoom sur les
oiseaux nicheurs et les orchidées.
RDV à 17 h 30 au rond-point des
anciennes carrières de Desnes avec
l’animateur. Chemin de la base de
loisirs sur la D38 - 39140 Desnes.
Prêt de matériel d’observation /
départ de la visite guidée en groupe /
retour au parking vers 19 h.
Sur inscription : 03 84 85 12 75.
11e Nuit européenne des musées le 16 mai
Chaque année depuis 2005, les musées ouvrent leurs portes gratuitement au public
pendant une nuit et multiplient les propositions incitant à découvrir autrement leurs
collections, dans un contexte festif et insolite. Programme dans le bassin lédonien de cette
11e édition.
Lons-le-Saunier
Poligny
- Maison du Comté. Gratuit le samedi 16 mai : 18h30 – 22h00
Espace muséographique ludique et interactif pour découvrir toutes les facettes
du 1er fromage AOP de France, de la prairie à notre assiette.
Visites guidées suivies d’une dégustation de Comté avec accords à 19h, 19h45, 20h30, 21h15.
(possibilité de réserver vos places au 03 84 37 78 40).
© montagnes­du­jura.fr
- Musée des Beaux-Arts. Gratuit le samedi 16 mai : 14h00 – 23h00. “La classe, l’œuvre !” :
présentation des copies de fleurons réalisées autour de la découverte de mosaïques galloromaines mises au jour à proximité du collège (classe de 5e Latinistes – collège Sainte-Marie,
Lons-le-Saunier. Présentation du travail de restitution d’objets provenant d’un sanctuaire
gallo-romain autour de la découverte de fibules émaillées et d’un élément de statue
représentant une tête de Gorgone (classe de 6e Patrimoine – collège Sainte-Marie, Lons-leSaunier). Présentation du projet d’écriture de dialogues entre objets du passé et objets du
présent développé autour d’éléments de parure, du Paléolithique au Moyen Age (CAP Vente
– lycée Montciel, Lons-le-Saunier). Visite libre des collections de sculptures et de peintures.
Une table qui revit après la reprise par
Christophe Bassard, chef de La Comédie.
La table de Perraud propose une cuisine
tradionnelle, des plats mijotés et
néanmoins subls, avec le brin de féminité
qui fait la personnalité de cee table devenue
très prisée à deux pas du musée des beaux-arts.
En été, les nombreuses salades se déclinent
à l’infini : truite fumée, ferra du Lac Léman,
rillees de truites…
Ouvert du mardi au samedi
Service du déjeuner : 11 h 45 à 13 h 30 / Service du dîner : 19 h 30 à 21 h 30
LONS-LE-SAUNIER
11, Place Perraud - 39000 LONS-LE-SAUNIER
03 84 86 49 68 Réservation par téléphone uniquement
10 loisirs
Pays de Lons n°94 - Mai 2015
Pocket Théâtre :
Léon au festival d’Avignon
“Léon”, le “one-man” théâtral de la compagnie Pocket Théatre, a été selectionné pour le festival d’Avignon, du 4 au
8 juillet, un des plus importants festivals du monde du spectacle vivant contemporain. Une folle aventure pour Thierry
Combe, auteur, metteur-en-scène et acteur ce de solo théâtral bien connu des Jurassiens.
enfants : Qu’est-ce que tu vas faire quand tu seras grand ? J’avais envie, à
travers le spectacle, de la formuler aux adultes : à quel moment ça se décide
ce qu’on fait quand on est “grand” ? Par pudeur, j’ai donc créé “Léon”, personnage fictif nourri d’une part de ma réalité… “Léon”, c’est donc un spectacle que je souhaite à la frontière entre la nostalgie et le militantisme…
Mais que je veux bien loin de la mélancolie !
Depuis, que de chemin parcouru, de sa création à Voiteur au…
Festival d’Avignon. Imaginiez-vous cette progression ?
Thierry Combe a écrit, mis en scène et interprète l’histoire
de ce facteur pas comme les autres.
Comment est né ce solo théâtral ? Quel message souhaitiez-vous
faire passer derrière l’histoire de ce facteur ?
Avant d’écrire ce spectacle, j’avais plusieurs envies… D’abord, l’envie de parler du monde, de son évolution, et de ce qui semble être la tendance
actuelle : le “toujours plus vite”. J’ai eu envie aussi de parler de mon enfance,
passée pour partie dans les Monts du Lyonnais. Et puis, il y a une question
qu’on m’a posée petit, et que j’entends toujours aujourd’hui posée aux
Non pas vraiment. Mais je crois que c’est finalement aussi de là que vient la
force de “Léon”. C’est que dès le départ, je ne l’ai pas pensé pour qu’il soit
joué beaucoup, mais pour qu’il ressemble à ce que j’avais envie de faire à ce
moment-là. Sans contrainte sur le rendu, sans pression non plus… Et comme
les retours “publics” et “critiques” étaient positifs, alors j’ai eu envie de poursuivre sans cesse son travail. De l’investir pleinement, et que nous puissions
en Avignon présenter un spectacle le plus abouti possible.
Pour l’occasion, Léon a eu droit à un “relooking”.
Qu’est-ce qui a changé ?
C’est plus qu’un relooking, c’est un vrai travail de fond sur plusieurs choses…
Nous avons d’abord repris le texte (avec Céline Chatelain), le jeu sur scène,
le costume (avec Juliette Flambard), la création “lumière” (avec Caroline
Nguyen). Mais le plus gros boulot, c’est probablement Ben Farey qui l’a
“RIQUET”, UNE AUTRE CRÉATION
MADE IN JURA AU FESTIVAL D’AVIGNON !
“Riquet”, spectacle jeune public, création jurassienne coproduite
par Les Scènes du Jura et mise en scène par Laurent Brethome, a été
sélectionné pour faire l’ouverture du 69e festival d’Avignon en juillet
prochain. Cette adaptation libre du conte de Charles Perrault “Riquet
à la Houppe” a été produite et répétée aux Scènes du Jura, et a été
présentée la première fois le 21 avril dernier à 19 h 30 au théâtre de Dole.
fourni. Il a refait entièrement l’armoire qui sert de décor au spectacle. Elle
devait devenir une partenaire de jeu. Embarqué avec nous dans cette aventure, il y a également Thierry Laroche, photographe professionnel, qui va
nous suivre pendant tout le temps du Festival. L’idée est de garder la trace
de cette aventure humaine, et de rendre compte aussi des dessous de ce festival très particulier ! Et sans oublier une nouvelle affiche très classe !
Vous prévoyez un “before” à Voiteur le 12 juin prochain.
Qu’est-ce qui sera prévu ?
D’abord que ça soit le plus convivial possible. Nous voulons faire la fête avec
tous les gens qui le souhaitent autour de ce “Léon” tellement attachant ! Il
y aura donc le spectacle dans sa nouvelle version à 20 h 30. Puis nous
accueillerons “Les Frelots”. Pour le 12 juin, nous commençons déjà à avoir des
appels de personnes qui veulent réserver, donc si vous voulez venir, appelez
rapidement !
Quels projets pour le Colombier des arts, l’espace culturel
qui accueille entre autres la compagnie Pocket Théâtre ?
Dans cette pépinière fourmillante d’idées, nous avons planté quelques
petites graines de projets culturels. Certaines ont germé et poussé. Placer
l’artiste et sa création au cœur de notre action est devenu notre objectif
principal. Nous accueillerons des artistes en résidences et les accompagnerons en nous appuyant sur les ressources de notre beau territoire, pour nourrir leurs recherches artistiques. Ainsi chaque mois, nous proposons un à deux
événements programmés dans différents villages de Haute Seille.
Propos recueillis par C.G.
L’actu de tout ce qui roule...
Voiture électrique: comment profiter
du “bonus Royal” à 10 000 euros ?
La super-prime de 10 000 euros pour l'achat d'un véhicule propre
est entré en vigueur le 1er avril 2015. A qui s'adresse-t-elle, et
quelles conditions faut-il remplir pour en bénéficier?
A compter de ce mercredi 1er avril, la France donne un sacré coup
d'accélérateur sur l'automobile propre. A l'instigation de la ministre de l'Environnement, Ségolène Royal, l'Etat va verser jusqu'à
10 000 euros de bonus aux acquéreurs d'une voiture électrique.
Ce dispositif annoncé par Ségolène Royal, en février doit inciter
le plus grand nombre à mettre à la casse leur vieux véhicule polluant et à passer à la motorisation la plus vertueuse possible
en terme environnemental. Les conditions d'application de cette
super-prime ont été dévoilées ce mardi 31 mars au Journal Officiel.
Pour pouvoir en bénéficier, il faut :
I Être un particulier, propriétaire de son véhicule depuis plus
d'un an
I Que son auto actuelle soit un diesel
I Qu'elle ait été mise en circulation avant le 1er janvier 2001
I Qu'elle soit immatriculée en France
I Qu'elle ait passé le contrôle technique
I Que le propriétaire ait remboursé l'éventuel prêt contracté
pour l'achat de sa voiture
I
Remettre son ancien véhicule à la casse dans les six mois qui
suivent l'achat ou la location longue durée d'une électrique
Un montant modulé en fonction du modèle acheté
Le montant du super-bonus, qui remplace l'actuelle prime à
200 euros, est plafonné à 10 000 euros. Mais la “prime Royal”,
annoncée au Journal Officiel, oscille en réalité entre 2 500 et
3 700 euros en fonction des caractéristiques du véhicule acheté.
Elle n'atteint 10 000 euros qu'en s'ajoutant aux aides qui existent
déjà. Des aides qui, elles, s'échelonnaient jusqu'à 6 300 euros.
Voici ce que vous pouvez toucher, si vous répondez à toutes les
conditions précitées
I 10 000 euros (6 300 d'aides existantes + 3 700 de “bonus
Royal”) pour l'achat d'un véhicule tout électrique (ou hybride
toute dernière génération, très légère, qui émettrait moins de
20 grammes de dioxyde de carbone au kilomètre).
I 6 500 euros (4 000 euros d'aides existantes + 2 500 de
“bonus Royal”) pour l'achat d'une hybride dite “plug-in”, celles
des dernières générations, dont le moteur électrique dispose
d'une autonomie de 30 à 50 kilomètres. Comme par exemple la
Porsche Cayenne hybride ou l'Audi A3 e-tron.
I 500 euros pour les ménages non-imposables qui achètent une
hybride d'entrée de gamme, ou de première génération, du type
de la Prius de Toyota, dont le moteur électrique n'excède pas
les 5 kilomètres d'autonomie. Elle s'applique aux mêmes ménages qui achèteraient une voiture parmi les plus récentes, à
motorisation diesel ou essence, mais tellement légère qu'elle
n'émettrait pas plus de 110 grammes de dioxyde de carbone
par kilomètre.
Source bfmtv
Honda Forza 125, le meilleur des deux mondes !
Les amateurs de scooters en rêvaient, Honda l’a fait : modèle totalement inédit, le Forza 125 redistribue les cartes dans le
monde du scooter en alliant le meilleur du segment sport et du grand tourisme. D’un chic haut de gamme, il revendique des
technologies innovantes, un moteur vif et un goût très prononcé pour le confort et les aspects pratiques.
Derrière ses formes acérées et futuristes, ses lignes tendues, sa silhouette compacte et ses flancs creusés s’exprime la patte du designer de la Vultus.
Mais la technologie se mêle aussi à l’esthétique pour créer une signature unique : éclairage Full LED, jantes sport et découpe originale des rétroviseurs
de CBR1000RR. S’y ajoute une très belle finition d’ensemble qui séduira les plus exigeants. Le Forza 125 existe en cinq coloris différents.
Sportif et moderne également, le tableau de bord surélevé intègre un compteur et un compte-tours encadrant un écran numérique qui regroupe
une montre, une jauge à carburant, un indicateur de consommation moyenne, deux totalisateurs journaliers ainsi que le thermomètre du liquide
de refroidissement.
Chez le Forza 125, la sportivité n’est pas qu’une attitude. C’est aussi un
tempérament qu’il doit à son tout nouveau monocylindre à injection
électronique, refroidissement liquide et 4 soupapes, un moteur vif qui
développe 10,5 kW et 12 Nm de couple. Il est associé à une transmission
continue V-Matic pour des démarrages nerveux, des reprises vigoureuses et une
vitesse de pointe parmi les meilleures de la catégorie.
Ce qui ne l’empêche pas d’afficher une sobriété record : 2,29 l/100 km (Normes
WMTC), aidée par les technologies basse friction eSP et le système Idle Stop
(coupure du moteur à l’arrêt). Avec le réservoir de 11,5 l, l’autonomie peut ainsi
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aller jusqu’à 500 km.
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éléments de confort : hauteur de selle de 780 mm, coffre logeant deux casques
intégraux et boîte à gants intégrant une prise 12 V.
En outre, la bulle réglable manuellement sur 6 positions (120 mm) permet
d’optimiser l’ergonomie de conduite, quel que soit le gabarit du conducteur ou
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nouveau Forza 125 repose sur un
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d’amortisseurs réglables sur
7 positions. Ses roues de
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