Mars 1918 - Site en travaux, le week

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Mars 1918 - Site en travaux, le week
îSamedi, 2 M a r s
1918
l.E NUMERO : 10 CENTIMES.
39» A n n é e . —
N*
JOURNAL F R A N Ç A I S - B R E T O N P A R A I S S A H T L E S A M E D I
Kimsicrc. ('Ôtevdu-Nc.ro
Moiiohin
.
.
(un an)
BUREAUX & IMPRIIflERIE
4 — R u e d u Château — 4
5 fr
Auire»- D^pariemente ei <:oloi;:cs . . . .
—
6 fr
Eiraiiper (Union PosjaU)
—
? fr
Chungnueni dafir^-a* ù fr. 3r> atfc
derniere feanJî
Les aîiOnr.'-mer.îi partant
de I" C-f cija'iu»- Tii^ij p:
pr.vni
T(lE>nll.t
3-07
BREST
v.n.srii'. ministre de ta Guvrt-c.
•^Vs mesures vont f^ire irnm^-liaiemfnt
:i.;,liqt'ées aux nd mini ^'.rations centrales
fieuT de nos plus l a m e u s aviateu.'-s.
es dijfvrents dppiirfments
ministériels, Garros et Marchai, etaient 'ombés aui
r le personnel enco'/é aux armée.' nr
ff-ns i/?v AiUmariris pr.r swti de pan
f .i remplace que '!an' !o ..rorAji-iion
ifS deux-tiers, r-e personnel étant d'une
Dep-.i!'' rie ionçs mois ils ciaien: er.fcfnçon générale troji nombreux.
inéi dani' tir. ou''rc-'t^ souterrair. lie la
,lor:eresse de Mag-'.eb'jvrr,
.^iires dr
nombreuses r'éri/ etu'S. î'.'s ont réussi a
Continuant l'œuvve de d é b u s q u a g e atteindre li Hollande, d'où ils ne tarde
•f laïuelle il est nttete denuis diux ti.oi.t. ront pat a rentrer er. France.
commissariat aur e'fecti/i- rient de
-endre à l'arm.ée 104 unités qui se trou• iàe^i servir irrégulièrement a .''int'?rieur
Le.= t r i b u n a u E beiges
• iei.uis de longs mois et qu: pont rejoinPour /ivotesler contr e i'arrestation
du
''••f le^ trr in,rs combattantes dans if premier président et des deux présidents
'p!us bref délni.
de la Cuur d'appel de Bruxelles,
tous
Jl a/ii!t '•tn''lir des plaintes en conseil lef tribunaux
ont cessé de
fonctionner
de guerre et dein<xnd-i des sanctions con a la date du H
février.
tre les embustjuei'rs.
L'optn-ou en 'Belgique, est que cet éréLe commissirint
n. en outre pris une nenicnt est le /ilus iniportant
depuis l'ocsérie de décision:- d'ordre collccli'' qi> cupation.
vont permettre au générai en chef de rc
M. Carton de Wiiirt,
exprimant
son
cupérer ur. grand
nombre
d'hommes sentiment sur l'admirable
conduite des
pour le front.
magistrats belges, a déclaré : u L'attitude de la magistrature
belge m'a remet de fierté II faut s'inUn re'toutahle c e n t r e d ' e s p i o n n a g e pli d'admtration
cliner
arec
respect
decant
de tels magise t de d é f a i t i s m e vient d'efe
découvert
qu'il
a Saint-EOenne.
Quelques individus, qu trats qui, pas un moment et.quoi
n'onl
paraissent n'être que des comparses, ont dût leur en couler personneltémeni,
perm
is
à
la
force
et
à
la
ruse
de
s'appeété arrêtes. Parmi
eux se trouvent un
Allen.and,
un Suisse et un
Espagnol ler impunément le droit. »
mm^Â
CE QUI SE PASSE
Ces b o n s p a r l e m e n t a i r e s : 2 0 dé
cident p o u r 4 9 1
La scrnai'ieflerniere.
la chambre, prise
d'un beau zcl>; avait ilécidé dcsicjer
h
Jeudi matin. 21 fe.rner.
Il s'agissait >ia discuter v.nc propost
iion rte lot, ra/iportèe par \1. Compère
Morél, et a;/ant pour objet
d'organrssr
la prorluction
du Idé,
A l'oucrrture
de ta séance,
plusieurs
d^.putès tirent remarquer qu'il n'tj avait
pas dix présents et demandèrent la remise de la discussion . ii II n'est pas possible, disaient-ils. quënotis discutions une
pareille loi et un crédit de 100
millions
en présence de di'x députés. »
La demande Sut soumise à un scrutin,
eiér^irtcc par Ûlfitoix
contre 17.'t, alors
qu'a ce moment il ],aurait
// avoir
tout
au plus i<> députés en séance.
Un temps fut où il y arait
des listes
de présences. Il y a longtemps
qu'elles
sont abandonnées : elles étaient
trop
gênantes.
• »
Le 21 fécrier. la Chambre a terminé,
pour la quatrième ou cinquième fois, le.
discussion
du projet
de loi sur les
l o y e r s . Pour en finir, la commission
du
Sénat demande
d'adopter
les modincations
apportées
en dernier
lieu, au
projet.
« *
Le lendemain, la Chambre
s'occupait
de la c h a u s s u r e n a t i o n a l e . Tout se
mêla à la
discussion.
Par son mauvais vouloir
ou par sa
négligence,
l'intendance
a fait
perdre
plus de 150. 000 peaux de chevaux.
Pourquoi
des chaussure» de marche
reviennent-elles
à 22 francs
à l'intendance, alors que des chaussures de mauvaise qualité sont payées 50 francs
dans
la vie civile ?
Les fabricants
n'ont jamais fait
l'effort
•nécessaire en faveur de la chaussure nationale. C'est parce que son prix
n'est
pas assez rénumérateur
ni pour eux, ni
pour les détaillants,
t t surtout,
ils sont
arrêtes par le formalisme
administratif.
Il faut réparer les vieilles
chaussures
de mobilisés pour la population
ouvrière
et paysanne : bon moyen d'augmemter
le
nombre des estropiés !
M. Clémcntel,
minisire du commerce,
fait observer que par suite de
l'invasion
le quart de notre cuir se troncaii
fierdu.
Depuis l'intendance
a rétabli la production ; mais il y a fallu du temps.
La tcbncaiifjn
de la chaussure nationale est en progression
constante ; de
50.000 paires en octobre, elle atteint actuellement :t00.000 par mois, La surveillance a fait découvrir certains
sabotages,
oui ont été reprimés.
On reproche à la chaussure
nationale
d'être trop élégante. Si Von arait
fabri
qric uniquement de la chaussure rie terras.wrs personne n'en, aurait
voulu.
Finalement,
la Chambre se
déclare
a confiante dans le ministre du Commerce
pour assurer la fabrication
rtes chavs
sures nationales, l'es galoches et du drap
national, et la création d'un
organisme
chargé de centraliser
les fabrications
et
la répartition.
t>
L a loi Mourier allongée.
ioî (lu 10 aovt 19IZ a fait
diriger
SUT le front
des miirtaires
de ciaises
ieur,és qui depuis h début de la guerre
n'i, avaient fait qu'an trop court
séjour.
L txamen des situations
du fiersonr.ei
err.pioijé à l'interieur
n amené AI. le preTiatr.t du Conseil, ri.mistre de la Guerre,
u compléter
les dupoiiti'.ns
de la tc'i
ilcurier
par les mesures
suivantes:
r Les militaires
de l active
(officiers,
assimiles, hommes de troupes) non cists
par la loi Mour:-:r(i
.y.tts. gin n'.yr.fpas
r.iinimi'T.i ,1e
.,., fr.-.r.t •l-'T,r
U-. l'-e s, .-..i.i e.tr,,.^,—. ,;.•>..- „rr.,ii .
/.es 7/rlitj'ri:s
oc -u rti.'.rrrr e* ^/c i'J
tcrri!<jriufc (officitry, asxiJi.ilcs. ii'>,:ii ,cs
de troupe) non. risi.t/,nr- In l»-. M-'iunrr \
Des aftiches ei'- des tracts imprimés en
Allemagne, croit-on, ont ete saisis.
Celte organisation
visait
naturellement
à pousser les ouvriers aux émeutes pour
imposer la r-aix à tout prix, u .•iux barricade.i ' » lisait-on en lettres rouges sur
une affiche.
.Au conseil socialiste tenu à Paris, M.
lîenaudel lui-même a dénoncé cette propagande et mis ses «r camarades u en
gnrde.
Mais en même temps on annonce que
le grouite parlementaire
du. parti socialiste a demandé à M. Clemenceau des explications
sur des poursuites
engagées
pour délits
d'opinion.
Les chefs directeurs du parti
socialiste
entendraient-ils
considérer
comme un
simple délit d'opinion
le fait de pousser
à la révolution devant l'ennemi ? On vou
drait être fixé.
M . C a l l l a n x indisposé.
Il parait que M. Caillaux a eu des vomissements. Ses amis attribuent
cette
indisposition
au régime sédentaire auquel
est astreint le i? maitre du bal. »
De méchantes langues donnent
une
autre version. .4« cours d'un
int-;rrQgatoire, gêné par les questions que lui posait le capitaine Bouch ardon, M. Cailloux
se serait
écrié:
— Voits oubliez que vous parlez à un
ancien président du Conseil
— Vous oublie:, aurait répliqué
tranquillement
le magistrat,
que vous êtes
inculpé de haute trahison,
et que cette
inculpation
est d'autant plus grave que
vous occupiez une situation
plus élevée.
M. Caillaux
n'avait pu digérer cette
riposte. D'où ses nausées et ses coliques.
Un de ses avocats, qui n'est pas M'
Démangé, ayant cru devoir se plaindre
au directeur de la Santé qu'il pouvait g
avoir pour son client des craintes
d'empoisonnement, te fonctionnaire
répliqua
aussitôt en instituant
un régime
spécial
de précautions qu'il définit ainsi : a Votre client étant nourri
par un restaurateur extérieur,
les mets devront désormais lui parvenir
en des récipients cadenassés. Le restaurateur
aura une des
defs, le prisonnier
l'autre, et
l'ouverture
se fera devant deux gardiens. Si ce régime ne lui plaU pas, il sera purement et
simplement remplacé par [ordinaire
de
la prison, a
1.3 fabrication des monnaies es
T U t H M t a-0?
Les M a n u s c r i t s non insérés ne sont pas r e n d u s
• n: If/.. 1111 n't.nt pas encore ne temps
e l iùce^ d'or, 3.097. 719 fr. 50 de nièces
s.ejdiir aux armées, y seront "nrn-iér,.
"argent. SOC.Oft-l fr
05 d'. pièces de
Les d^rhirati'in!^ de i'inr/isr,ensn',ilit^ brome, puw la Serbie, -1-^95.05(> franco
front toufs soumises nu président eiv de pièces d'argent
S t a r l eo hor c'halon enn tior c ' h r e l z
H a s l a r t o c h ar Groaz eun hor B r e l z l .
PUBLICITÉ
fiada ëvit Sosii
An amzer a zo brao, a lavaren-me
er zizun dreraenet : liadomp ar muia
ma c'hellirap.
Hada a zo eun dever ; hag liada a
vezo red dre bei-z eul lezenn lakaet
var ar stern er Gampr d'an 2! a viz
c'iiouevrer.
Pell' zo ara beuz lavaret d'an dud
laosk e chachfent var-n-ho eun hevelep lezenn, eul lezenn d ho c'hondaoni da obcr enn despet d'ezho ar
pez n"e rafeat ket a voloatez vad.
An doktored socialist n'e c'houlen
nent ket gwell' : ho mennoz a zo roi
galloud d'ar c'houarnamant var an
oll ha var bep tra. Meur a esa o doa
ereet, hep dont a benn euz nemeur a
dra. Âzalek ma oe karget ar C'homper-Morel da ren an douarou da hada
didan ed, ez oa eaz goazout n'e zalefent k e t d a c'houlean eur reiz strisoc'hN'ez aint ket c'hoaz keit ha ma
k a r f e n t , n'e lakaint ket an oll douarou nag an oll staliou didaa galloud
ar c'houarnamant : ar c'hannaded
ail a vire. An hirra ma c'hellint ez
aint. Evez a vezo lakaet enn oll douarou e stad da zougen eost ; hag an
douarou-ze a vezo hadet, gant ar
perc'henn, pe enn despet d'ezhan...
ma kaver tud d'hen ober. C'hoant ez
euz zoken da verka da bep tiek eur
pouez ed da eosti.
Dioc'htu eun nebeud bennag en
em zavaz a-enep ar mennoz-ze, displeget gant eur socialist euz a Baris.
O komz enn doare-ze, eme-z-ho, e
tiskouezit n'e anavezit ket an douar.
E daou bark euz ar memes ment, n'eo
ket dibaot eosti an hanîer nebeutoc'h
enn cil eged enn egile. Er memes
ark zoken e c'heller, eur bloavez,
août eost founuz, hag ar bloaz varlerc'h ken nebeud ha netra; rak,gant
an amzer ez euz da gonta ; hag an
amzer, den ne c'hell gouzout petra e
vezo araok ma vez irèmeaet.
RÉGIONALE
I>«rm^rc Golonoe de U 3* pa|[« .
Aw adrtau au JoùrMt Ifr.ennupmt
_
a
tatMiou
Pour l i n a b l i c i i i eitr»-rf(rion»le. • « i l r t o i t t
S 1 Accock l l a v a s . Wscf d» la Bourw. 8. àI P«
Pute
rustoc'h avad, ha dre ze ar pennouiiegcz troaa?.ot miiioc'h
Ar prefeted liag lio c'huzulicrien fi
oevezo 101' inillioùn et;e lic. daoïiarn
Al million.iou-ze, orne paerouneci
al lezenn, a zeuio buan d'ar gear ma
vez eosiei niuioc'h.
Ma vez eosfet niuicc'h, 3 dra zur
Rak. 0 lakaat e vefc- paet an ed eosteî
p Frar;.s
iur ar c hant lit;i, aa hin'
m.'i îi>-(;r digas euz an .^raeiik a gousi
iOiur pe (vjspenn. Dek hir eia d'an
nebeuta da c'hounit dre gant liur
oc'h eosti niuioc'b e Frans.
Mes gant al lezenn, evelheptezenn
ar c"nenta tra da c'houîenft a vezo
tud. Ha tud n'e weler ket e pe leac'h
o c'hellfet kaout Emgannou b.'-az a
zo da c'hcdal ; belek ma vezint tre
menet, ar voazed a dleo choum el
leac'li m'eniaint. Ha c'houde hebken
ar rc gosa anezho a c'hello beza lezet
da zistrei d'ar gear, dre ma teuio an
Amerikaned.
Ha neuze, pa zeuio ar re-ze d'ar
gear, ezomin ebed a c'hourdrouzou
nag a lezennou evit doiigen an dud a
volo.itcz vad da hada, breraa dreist
oll pa 'z int digollet euz ho foan dre
ar bnz deread ma paer an ed.
Mes mouzerien a zo, evit doare
Rouez e tieont bezae Breiz. E leac'h
aîl e c'hellont beza stankoc'h, o veza
ma "z euz departamanchou, leshanvet gAvechall grignoliou ar Frans,
ha n'o deuz ket eostet varlene neadra
da gaout da hada zoken ! Évit ar
seurt-ze e komprenan e vefe ezomm
eul lezenn. O choum hep hada, o
tremen ho amzer da frikota gant ar
mouniz roet d'ezho divar goust ar
^'ro, e labouront, hep labourat, evit
ar Boch.
Hag ar c'houarnamant n'eo ket direbech penn-da-benn ken nebeud
Mekanikou nevez ez euz bet prenet e
pevar c'horn ar Prans. Labour founuz a reont pa c'hellont troi. Hogen,
ezomm o deuz essence, ezomm ivez
eur mekaniker gwiziek var ho zro.
Hag essence n'e gaver ket, na mekanikerien n'e c'heller kaout : ma rank
ar mekanikou Ichoum da ehan, ha
kement ail a labour o c'hortoz ! Pa
dorr eun dra bennag enn-ho eo red
her c'has da bell : diou, teir zizun
kollet be wech.
Phospha*; n'e gaver ket ken nebeud. Kompren a reer n'e c'hellfet
ket kaout kement hag e peb amzer.
Evelato, ma vije bet reizet eeun an
traou, hag amzer awalc'h a zo bet
d'hen ober abenn vrema, e vefe deuet
muioc'hik.
*
m
Lezomp ar rebechon. An amzer
dremenet n'e zistroio ket. Sonjomp
kentoc'h enn amzer da zont, evit
îoania da ober gwelloc'h, ma c'helomp.
An darn vuia euz va lennerien a
reaz euz ho gwella, her gonzout a
ran. Ra gendalc'hint. Had enn douar
d'an nevez-amzer, ar muia ma vezo
gallef ; ha patatez ivez, rak, ezomm
a vezo.
Hervez ma lavar ar paper — g o n zout a rit ez eaz aotrouned e Paris
hag a oar muzula achano oll barkeier ar Finister — ez euz bet hadet
er goanv-ma frîO.OOO dev-ez-arat
muioc'h didan ed eged d'ar goanv
araok. Ha dre ze, eme-z-ho, o konta
1.000 liur ed dre zevez-arat, e vezo
eostet er bloaz-ma 6.400.000 sac'had
muioc'h eged varlene.
la, ma plij gant Doue.
Ha c'hoaz, na pegement a dra e
vefe e-skoaz ma vefe ezomm.
N'e ket hebken 6 raillioan a zac'hadou eo a vanke d'omp evit ar
bloaz-ma; hogen; c'houezek kwech
muioc h, 160 millioan a zacliadoa !
Hag e leac'h kaont eun eost ponneroc h craaomp e risk marteze da
gaout skanvoc h abent an hanvazeu;
rak, an douar n'e ro nemed henez
ma vez presiet d'ezhan E bloavezion
kenta ar brezel e c belle kaoutdrasoni
awalc'h evit dougen frouez; abaone
n'en deuz greet nemed treataal, pa
n'e gavet na teil na tempsiou cbimik
da roi d'ezhan.
bro Hag evil euD den deuet pe da
zont ama, ped a vezo du-hont o labourat d'he armi v Daou pe dri marfeze
Kement ail n e b e u t o c ' h d a z o u r s i a l
euz an d o u a r ; ha dre ze ao A m e r i k
a hado liac a eosto nebeutoc'h er
bloavezion kenta da zontKrosinol a zav divar-benn ar bara.
ha kro.snioJ a zavo muioc-b-mui dre
•ma skanvaio he lod da b e p - h i n i A r
c'hrosmol-ze. allas ! n ' e r o i o k e t e u r
c hreiinenn muioc'h. L a k a a t k o l l a m .
zer hji disteraat bon nerz-kalonn n'e
raio ken Hogen, n ' o r b e u z d a g o l f
n a g euz an e i l n a g euz e g i l e . D a l -
c homp d'hor bolontez vad. .
Pa echuo ar brezel, ha p l i j e t g a n t
Doue ec'h echufe mad e r 1 ) l b a i i W
eo e vezo ar gwasa, e v i d - o m p ^
Perak ? Ablamour, o l a k a a t e d e f e
an Amerik ed dazioueroutevid-omp.
n e c'helhmp ket hen digas ac'hano :
n or beuz ket listn a w ^ c ' b .
An hanter brasa euz al listri a d i o
breman evit ar Frans n'e d-int j à ^
euz ar Frans , hag ez e u z k a l z r è
nebeud c'hoaz.
Raktal ma vezo s i n e t a r p e o c ' h .
peb-hini a labouro evit-han he-unan
N i en em gavo berrik-berr g a n t h o n
listrK Ouspenn eged ed a v e z o d a
gas h a da zigas , h a g o l a k a a t e * e n t
implnet oll da gerc'hat ed, n W n
dare ha digas a c'helKent, ena eur
bloaz, ar c nant millioun a z a c ' h a d o â
a vanke d'omp gant h o n e o s t t r e u t
diveza.
Sonjit e kément-se, v a l e i u j e r i e n ,
ha beac h da blanta p a t a t e z , b e a e l t
da hada gwiniz-hanv.
,^ ,
N'eo ket awalc'h d l i o p u g a i l e , dTio
priejou ha d'ho preudeur h e h â onz
ar Boch, difenn o u t - h a n d o n t b e t e k
Breiz ; n'e vezo k e t a w a l c ' h d ' e d i o
he gondaonl da blega : da c'houde o
devezo ezomm bara g w e n n h a k i g
druz da r ^ a r i ho nerz. Var-n-hoc?:
hebken o deuz da g o n t a e v i t k e m e n t <
se. E r broiou ail tfè vezo ket kavet,
pe, ma vez kavet, ar B o c h e n d e v e z t f
marteze muioc'h a v a t i m a n d u m
oiOT da gerc'hat.
Bolontez vad h a start.
CoBSSm.
liiire, les S j M
m\
Nos bavards de la Sodale se soat
offert le luxe de noqveBes palalffea
à Paris, en conseil natiOBal s'il m m
plaUPonr jeter un peu de d a i i £ ^ait»
les nuées au milieu desquelles flg ae
complaisent d'habitude, ils avùeat
fait venir de loin qddoiies astres,
entre autres Vanderrdae et HiQrsmans, de Belgioue, le premier, président du bureau socialiste inteni»tional, le second, secrétaire ; et Headerson, d'Angleterre.
Naguère, Huysmans ne 'vinit'
^
pour la conférence de Stoddioliii. n
Iqnes semaines, so^ j o a n a l ,
.liste Belge, puraait un n a n LUS leqnâ on lisait ea tootes
lettres : < Soldats dans les t m d i é M ,
bas les armes! Camarades dans les
fabriques de munitions, crnsez-Tons
les bras ! »
Quant à Henderson, nos lecteurs
se rappeUent que, faisant partie da
gouvernement anglais. Fan deniiep
il obtint des Travaillistes an vote aa
faveur de la conférencede Stockbalm
en leur laissant entendre que c ^ t e
conférence était vivement soobaitée
par le gouvernement Tasse de K e renskv, alors qu'il avait en podie on
télégramme de ce mvemesieitf ^ '
sant <ia'il se dé^téressait de
l'aventure. A la suite de cet esciH
motage, Henderson firt prié pnimwiit
de démissionner.
Les trois oracles parièrent donc;
Us parlèrent même kngneaeDt, e *
qui ne veut pas dire qa'Os pariènot
assez ciaireiueat poor "
1917.
D'aprh un rapport de la
Commission
rie la circulation
monétaire
publié à
X'euz fors, cun iJra iiennag a vezo
roaiciel.
les opérations ejltctuées piar la
grect, pe nierket da obor da viana.
Monnaie en 1917 ont ételes
suivantes
Dre eul lezenn genta, ar nieariou
Il a eièfrapaê
pour la France,
pour
11-1.57S.144 francs de pièces
d'argent a oa bel karget da lakaat da dalvede 2 francs, 1 franc, et 0 f r . 50, corrcs zoaî an douarou dilezei. Ar meariou
pondent à l'emis^ion
de
rj-j.237.rji o doa alTeriou ail da gemer ho amzer:
pieccs : pour lf,. -j:,0 fr. .50 de pwces de ha netra n'e oe greet.
niciielde 25centimes ; pour2.1
lO.OSGfr
Eo, .56 kommun, var ouspenn
10 fie pièces de bronze de nickel rie 25.
10 tt 5 centimes ; pour '.1.069.500fr. 75 32.l)oO choumet didrâbas euz a berz
an Allmanted, a reaz enn esa, hag a
de pièce de bronze de 10 et 5 centimes.
A noter qvt les opérations
de 1917 c'houlennaz. enn ampr^st digaiit ar
clôturent celles qui visent la frapue des r'houarnaraànt, I OH'.SIl lur e v i t l a pu tes de bronze de 5 et de lù
ctniimei,: boiiral S.;ifJ4 devez-arat Pegement
lorsque la loi du 4 août 1913 recevra son bened.s o deus bel ? N e lavarer ket
entière execution, ces pièces seront reti- donap.
rées rie la
circulation.
Pa n'o devezo ar meariou nag amH a été. d'autre pnrt, frrrj!,é:
pour
l i a muioc'h-mni or beuz da gonta appl.indir l'an dernier des soldais
i..r,y. ries ! ifr-"! (!',ir';cnt
et <!••. zer iK- nerneur a chonnt «l'fn em
/•::,: .-n
..;•
, :c;<i : ; v a ! r.-oTiij,
r
r/.-V"- loln'^ile
.Au A m e r i k a rus.^es. e n le-^vpairlaat
français!
hag iir uii/.:thci icii c i .
_:r. /A; /„>„,• le .Maroc.
i i c . i il l i i i c i i i.a l ui .•^kuiszcll <i hor z o u - ,
* «
CCS „r-jcr.t rc, rts^r.t int /-/.
ai!cziit>- f>.iuii>! j i a
c . ' / o i . ' i : v c i o '^l J . i r J o i i .-i-ciicp a r O i - c i i n'e vezint ket
rr.-. : r>r.-r
/. -jr>,j /y^
s'apiSKUit-iK'-^m'
Tv oitn tiare. -A.i uoimune-d-zr
^ \-c.^r>l cj mcrrc^ .-imzcr c Fr.mt: h^ic enn h€> f Be txjoî
1 an TTrtllMïm r r m m a m i t m » m t*3J»!Iitvt>
II
«aïw an ^
mssr
de fSNT les condi-
Elle a en outre nommé une com- Dans sa séance de vendredi dernier, Chambre et du Sénat, l'aflaire Int troupes rentrèrent dans leurs Ugae» «e départ, après avoir ialUfé de» pertes à Foamission comoosée de MM. Albert la Chambre devait s'oe«apar de ces iiis- remise.
en ramenaat nne dizains de prison_ K B a e t d i i a i t i m i o n r , àlaCham Thomas iPranc^, Yandervelde îBel- toires. M a i s M . Q é m e n c e a n a v a n t c r u X a n s oe perdrons sans doute rien aemi,
s i e n et nne mitraillras».
devoir
communiquer
tout
l
e
dossier
u f w c t t f B c r t i o M sont da ressort f ^ e ) , Arthur Henderson ;Grande- aux commissions de 1 armée de l a pour attendre.
des goCTememects, seuls Brêtagne), et qui a été chargée d'obdMsalkms.
M û , tenir de tous les gouvernements la
f t B tf'aalooidliai que mms promesse qu'un représentant au
~ ' Msekefs Modistes s'ar- •oins du parti ouvrier socialiste fera
partie de la dél^ation offîcieile à la
Iwânits.
Fnacais, neigeant conférence de la paix.
ne. pouvait reconnaîtra, plus
RUSSIE
OaiiemMtt que les socialistes ne
Les co&vuisions de ce q u i f u t autrefois
( veakat iBiit sabard<Mmer à sauraient prctendre dicter sKtls les
l'empire des tsars continuent. Ce sont
\ d ' u p«rtf. Après avoir dai- conditiœis de paix.
peut-être les dernières. Chaque j o u r l'état
de déliquescence de ta Russie nous paraît
Sae « p r ^ lieara hommes à la déEt alors, de quoi sa mêlent-iis?
u
n peu plus marqué. On d i r a i t a.ne
tense satûwale, • ils entendent tost Qu'ils se contentent donc de faire
Ligne de fAileite
gaseure.
T ^ r ; tovt brooilln sortoat.
leur devoir de Français comme le.s
Nos lecteurs se sconennent des derniers
S û t doute craigDent-ils que, le autres citoyens ; ou nous serons en
B«a» U régiCB d-UBCEI. (sur U r«nte d« évècements. L e 10 février le g o u v e r c e A b ^ tK an oll a zo var c'hed gaji: ïoissans
à Laos) nsns avons rémsî nn coup icent des oommissaires d u peuple fit sawnmeat «esa, aos gouvernants ne droit de dire qu'ils veulent inst-iurer
de main, dans la anit dn 24 an 25 février, et voir q u ' i l se refusait à conclure :a p a i x
MdieBt pas exiger toutes les garan- chez nous ces soviets qui ont conduit ar ZGiij n'e zale* ket an enguin braz ramené
IS prisenaïas et n a * jaitrailleas
avec les empires centraux,mais q u ' i l d é da zîjjeri- Ar c'.hai:o]icu a groz gwaties OM de ibMt? En fiit ils erai- la Russie ou l'on sait
pis» an sud-est. aux environs c U r a i t l'état d« guerre terminé. L ' A l l e m a soclt-wasa. An AOniantcil n'e lezont deliëgâremeat
ioeat s v t m q u e des cooditions trop
COKKNTIX.
CBCTBEGHT. nous avions réussi nne gne réplique qu'elle interprétait cet acte
• •
miii den 6z voirt c permission, evît autre incursion hardie, dans la matmée du comme nne de:ionciation p u r e et simple
1 aoiwrt ieipesées aux « frères »
de l'armistice. K l l e agit en conséquence.
i ! février.
doare.
Le délai «le sept j o u r s écoulé, elle rep.-it
Cette
opé.'atlien
avait
été
confiée
à
une
disent
Pedomp Doue hag av Werc'hez -•entaine d'hommes, p i u r la plupart Bre- le» opérations militaires contre lesKusses
effondrés. Les commissaires aux ai>ois
: de placer les
cvït iior zoudarded kdz. Goulennomp uins et Vendéen?. ï i volontaires améri firent « Kamarad . L e u r s adversaires ne
d'Allemagne au
conduits par î officiers, étaient du tinrent pas compte de ce geste misérable.
dîgant-ho kaout pelJoc'h trucz ouz ar cains.
nombre. l î s'asL'saiî de connaître la compo- I l s continuèrent en avant l e u r m a r c h e
pied Sa a n r . en leur disant, a Berne
Frans.
Pedomp
gant
fizians
:
ma
teu
sition
des troupes ennemies occupant le peu glorieuse.
iHs a'ont pD se rendre à Stoc- Les g é n é r a a x dénonçaient l a
A l o r s les bofrheviks eurent r e c o u r s à
propagande e r i m i n e U e : les kair cuz hor c'heavToiz d'en cm roi -ccteur.
' * - Voici nos conditions de
Une distance de 300 mètres séparait, en i e u r ç r a n d . a leur seul arsïument: la pa1 ! > Et, ajoo- miniswes f u s a i e n t l a soorde miDOc'b-nnii d'an dizurz, kalz knste- cet endroit, les tranchées françaises des role.
I l s se mirent a pérorer une fois de
o r e i l l e ; — et les dossiers Bolo mcn a Iaka ho foan d'en em zantelaat premières lignes allemandes.
, aous saurons enfin ce que
plus. Les mots sonore» de l a Révolution
La préparation d'artillerie ne dura que i française les empêche de d a r m i r . I l s tiendormaient dans l e coffre-fort bemdez
couent les sozîaldemocrates !
niaïutes. Elle f u t assurée par ime eoneen nent à les rééditer fous l'un après l'autre.
de Painteré, • poche restante. »
Ce ^ ' Q s pensait ? On ne sait .-rue
Kanforted ar Rusi a gendalc'h gant tration de feux d'orne extrême violence à la Ce
style désuet et grandiloquent les
Tuelle
participèrent uo nombre important comblc d'aise. On dirait qu'ils en-font uno
trop, et dirais .quatre ans, m ils
ho c'Imari mezuz.
de batteries françaises de gro.< et de petit panacée p o u r tou.": les maux.
d&^mentconune leur Kat- M . H e n r y Bërenger. sénateur, vient
CVklevoat s kerze a nevez an All- alibres, renforcée» nar des' baflerie^ amé- I l s p u b l i e n t des appels. Contre les cade porter de graves accnsatioas contre
Commencée à 5 h. 53. elle Yais^l
manted varztrgweled^ho bro, e rajont ricaines.
place à S heures à un bari^ge roulant pro- nons et les mitrailleuses de l'Allemafrue
A^As xnàr raconté aux Jaurès et M M . M a l v y et Painlevé.
?
Mes
an
neuz
da
c'hoantaat
herzel
gressif
qui
permit à noire rPconnai?.«an«e c'est l e u r u l t i m e recours. V o i c i des f r a g - cosDMrts ipi'tai cas de guerre ils n'ac- n rattache l'affaire de Saint-Etienne,
de se porter en avant sans subir de pert^-s ments de l e u r dernier factum :
» La patrie socialiste est en danger...
ôMderaiei^id un homme ni un mark d o n t ^ o n s toncbons a n m o t pins haut, penaos herzel ? Re vad e ouîent o doa Cfinduite par le lieutenant DulIIliol le déune organisation occulte et concertée, dizarmet ar Russi. Ha dizaJe o deuz tafSement principal pénétra k TflO mètres i Evidemment le «ouvernement de B e r l i n
poftr MHS eoffibattre, ils s'empres- àcréée
pour provoquer des grèves dans
refuse
la paix. Le m i l i t a r i s m e allemand
"intérieur
des
lignes
allemandes.
Les
hom
sèrent, dès la mobilisation, de voter les asines et des mutineries dans les 'kemennet d'an AJImagn e plegent d'he les firent preuve d'un :n,^ZDinque ciiurage veut étoulier
la cla.s£e ouvrière, rendre l a
tous lee crédits de guerre me récla- régiments d u !ront.
cil dirizou.
.\u cours de'cette pro.irression, deux ofll- terre aux propriétaires, les fabriques et
ciers
allemands,
dont
un
c^immandant
d
les
usines
aux
banquiers et le p o u v o i r
« a t t la caste mili&iste f ÂllemaQtons:
Etre daou, e rojont tro avad d'ar
qui effectuaient nne ronde en à la monarchie.,. L a République so
^ne, comme également d'applaudir « C é t a i t le temps o u A l m e r e y d a partait Boched da astenn ho c'hraban var compagnie,
^niière iigne au momonl de l'atlaque, eî rouve en iininenso danger. L e dea tous les succès de l'armée alle- en mission » p o u r Bilbao, o ù Gullbeaux
qu!. surpris par notre préparation d'artille- voir dos soldats, des ouvriers et des pavmande envahissant notre territoire. obtenait u n passeport p o u r la Suisse, ou' 1.5oo pez-kanol muio^h, ha var m e u r rie. s'étaient tapis dans les trous d'obus sans russes est la défense à outrance de
a
vil
karr
hent-houarn,
hep
konta
eur
furent faits prisonniers sans résistance de la République des Soviets contre les
D u v a l se voirait conOer des rapports de
6s qu'Os pensent, ils l'ont encore police
leur part.
à l'étranger, o ù Sébastien Faure.
menées bourgeoises et impérialistes de
assez montré ces temps derniers. — traitait avec l a place Beau\-au. o ù les bem armou ail.
r.illemagne.
A 5 h. 28. le détachement rentrait dans les
A n dra-ze a diee beza c'hoaz enn ho
Une certaine effervescence s'était agents provocateur.* tenaient à Bourges,
Cel.a est fort bien dit. Mais encore fautlignes françaises, rannaian! 25 prisonnie.-s 1 prendre qiielaues mesures pour attein'aaai^stée en Allemagae dans les des conférences germanophiles devant marc'had Judaz.
et
une
mitrailleuse.
soldats en uniformes, etc., etc.
Ire ces buts n-aimifiques. C'est bien ce
YniHewt ouvriers : Scheidemann de»
Ha breman n'ez euz ken hano gant- An snd de CORBEîfY, nuit du 23 an 24 fé- que
O s temps-là sout heureusement passés
font les comniissaires... <jl i l s c o n t i «'«aploya à émiser ce mouvement mais i l ! o a i laissé u n reliquat q u ' i l faut ho nemcd da vcrzcria ar re euz ho vrier, en conp de laaiz ennemi sur nos pe- nuent leur manifeste avcc une désolante
tit»
postes
est
resté
sans
succès.
liquiderimprécision
:
qui
aurait
pu
devenir
gênant
pour
la
c'henvroiz ha n'e ganont ket ora pro
—
•
'
• Cette organisation a fonctionné dès le:
« Toutes les forces d u pavs doivent être
début de 1917, quelques mois avant la nobis drra-z-ho.
entièrement consacrées à là défense de la
En Champagne
russes avaient grande offensive. KUc a été dénoncée le
Révolution.
D a m a lavar ema ar vosenn e r v r o .
dit : «
paix, ni guerre, » dans l'es- S février par le général Xivelle. comman- N ' e v e f e n kct souezet : peb afced a d i e Ban» la région da LOIVRE, n n coup de
Tous le.' Soviets et organisations rédant
en
chef
d'alors.
Les
mesures
utiles
volutionnaires
doivent participer à la déjxiir que les démocrates allemands
mam allemand a éclioné sous nos fenz, dans
fense de chaque position ju.squ'à la derse voadraient pas combattre plus n'ayant pas été prises, le complot a a b o u t i ; beza dilezet gant an dudioou-ze, ar la nuit du 20 an 21 février.
de sanç. (Nous sommes c u d'eu cm zizober ouztl lousdoni An conrs da la nuit d u 32 an 23. no» déta- - icre goutte
loBgtemM les démocrates russes déde savoir ce que peuvent bien
Cest alors que le général Pétain. succès-1 evel ar peurz ; hag e leac'hiou a zo, chements ont pénétré en plusieurs points rieux
sarmés. Le Kaiser a lancé ses trou- seur
f l c r ces derniers mots po-ur des gens
du général Nivelle, a dénoncé à nou- „v <raver ket a heo seurt da TÏtirî dans las tranchées allemandes, et ramené qi ut 'in in'ont
qu'un seul d é s i r : celui de ne
pes en avant: et les sozialdemocra- veau les agents provocateurs, et l'organi-! "
"«et a Dep seurt da ziûn, nne dizaine de prisonniers.
plus se battre.)
tes n'ont pas levé le petit doigt pour sation occulte dans sa lettre-rapport du ; ni oarvad.
n L'orfranisation des chemins de fer et
essayer de s'y opposer.
m a i a u ministre de la guerre, lettre ;
En Lorraine
les Soviets reliés à eux sont obligés dans
-XXSi nos cbefs socialistes ne sont pas corroborée en j u i n et j u i l l e t par les rap- ;
toute la plénitude de leur force de contrepqrtg des chefs d'unité dans lesquelles s"é- ;
Dan» notre dernier numéro nous avons carrer t o u f f s les tentatives de l'ennemi
eneose suffisamment édiSés, c W iaieot
produites les mutineries militaires. '
signalé que, le 20 février, nos troupes pour tirer parti du matériel et des voles
.qne vraiment ils ont des yeux nour
Q u ont fait les ministres de la guerre
avaient pénétré profondément, et sur un le communication... »
et de l'intérieur d'alors? Quelle instruction
w point voir.
large front, dans les positions allemandes,
\ o u s demandions des précisions ! Cette
lasitDatioflàlllniBger
Eiz dez Brezel
FROUT FRXHt^MS
Malîy ^Painlevfi
faié
des OpMions
(Timinelle d'ensemble ont-ils fait o u v r i r
à r e H d» MOMCEL (région d'Arraoonrt).
fois en voici. Les mesures q u i suivent pacontre le c^implot aussi clairement dé« »
Cette -opération, vivement menée, f u t pour rai.»sent extraites de quelque bouflonnorie
noncé ? Aucune. I l s avaient c r a i n t d'en•thr:îtrale
:
S'il faut entrer dans quelques dé- freindre la consigne de « confiance à la
l'ennemi une surprise complète.
» Les ouvriers et les p.avsans do PctroLa préparation en avait été confiée au gétails sur leur dernière parlote, disons classe ouvrière. »
néral comni.indant la 123" division, l'exécu- grad, de ivief, et de tous les villages et les
l'on se chamailla fort à propos L'impunité ayant été ainsi assurée a i u
tion au colonel commandant le i i l - d'infan- villes q u i sont sur la ligne d u nouveau
«es crédita de guerre, et auUnt à véritables inspirateurs d u c r i m e contre
front, doivent lever des contingents p o u r
terie.
l'Etat, i l s ont continué. I l s se sont r e n f o r frmos de l'Alsace-Lorraine.
Deux comp.Tgnies du Rénie. l'une munie creuser des trancliées sous la direction
cés ; ils ont étendu les racines de leur En Belgique
des socialistes mililîires.
Dans ces conrie
lance-flammes,
l'autre
de
puissants
exSMHieoBp, et le citoyen Goude était propagande germanique sous le couvert B u s la l e c K o r da HERCKEH, les troupes plosifs pour détruire les abris ennemis, par- tingents doivent entrer tous les membres
on nombre, voulaient m e les élus du de revendications soi-disant économiques belgea
de l a classe bourgeoise, hommes et femticipaient
éçalement
à
l
attaqne.
ont
r«po<u>«
d
n
tantatives
ennemies
P M refusent les crédits de guerre, o u révolutionnaires. >
La o répétition
du conp de main, faite mes, sous l-i s>irvoill3nce des (/ardes roudan* la loirée d u 21 fevrier, et dans la nuit
a IMm.-re des lignes, avait éfé particiiliôre- ccs ; en c-is de refus, ils seront fusillés.,. »
du 22 au 23.
ils furent liattas par 1.548 mandats
Les « socialistes militaires » et les « garmcnt
soignée
au
cours
de ccs huit derniers
An nord de FtlELCAPPELLE, un déta
contre 1.415, et 19 abstentions.
D ' a u t r e p a r t , l a Liberté r e v i e n t s u r
des rouges » vont donc avoir une occupaallemand qui attaquait nn posta jours. Les troupes d'assaut n'avaient été t i o n toute trouvée : ils mettront à m o r t
La motion concernant l'Alsace- les r e t a r d s de t r a n s m i s s i o n des dossiers ehemeat
am'-nées
sur
la
position
que
dans
la
nuit
britannique, dans la nuit du
au 23 février,
Ijoiraine disait notamment que < la B o l o . et en r e n d responsables l ' e n t o u a été rejeté a m n t d'avoir p u aborder les li- jjnjcedant le jour fité. Une formidable artil des femmes russes pendant que les A l l e leric avait été concentréc; quelques régla- mands, que tous ces jeu.v d'ciilants ne reWnaca pourra donner son adhésion r a g e de M . P a i n l e v é , et M . P a i n l é v é gnes de nos aUiéi.
tarderont pas d'un j o u r , marcheront presges essentiels furent fajts,. mais
mais's*ulem>nt
seu'
â une consultation nouvelle des po- l u i - m d m e .
que tranquillement sur la capitale.
An nord de PASSCHEHOAELE, matinée la Veille de l'atta
et lorpqiie les av
L e J o u r n a l r a p p e l l e q u e l e d e r n i e r du 2."). une autre tentative allemande n'a pas
Teile est la dernière utopie d u gouverVS^tions alsacienne et lorraine. <
allemands vinrenf pour reconnaître l'em
r a p p o r t C a s e l l a f a t t r a n s m i s à l a section en plus de saccès.
nement
des comissaircs "du peuple. O u
placement de cJ-s renforts d'artillerie inusiEllfrrénnlttfiie mandats contre 218 c e n t r a l e des renseignements d u m i n i s bien ces gens-Ift sont do mauvaise foi, o u
tés
dans
ce
secteur
très
calme
à
l'habitude,
Près
de
la
voie
ferrée
d'TPRÏS
à
ROU
«t toS abstentions, après que quel- tère dû la g u e r r e I s 6 a v r i l 1917. Les
bien
ils
ont
la cervelle brouillée. I l semLZRS, dan» la aoirée du 21 février. les Aile il était trop tard pour le commandement al<3ues d é l i é s eurent déclaré, cri du chefs de services le r e m i r e n t i M . mands
ble \Taimont qu'on ne saurait choisir
ont exécuté un important raid sur lemand.
jeoeur. que « le peuple se f... de l'Al- P a i n l e v é . q u i le déposa dans le c o f l r e - dcax postes britanniques, et enlevé quel
Le t i r de préparation se dcclancha le 2,1 qu'entre ces deux alternatives,
Pend.mtce temps M. do Kuhlmann, q u e
février, à huit heures du matin, sur un
f o r t d u cabinet des ofTiciers de son en- qnes bommei.
eac»>Lorraine ! >
front de plusieurs kilomètres, et une pro- toutes ces puérilités n inquiètent probat
o
u
r
a
g
e
p
a
r
t
i
c
u
l
i
e
r
,
d'où
i
l
s
o
r
t
i
t
seuleVers BROODSEIHDE, dans la nuit du 23 fondeur de trois kilomètres environ. Les po- blement pas beaucoup, signifie froidement
Encore un coup debâion -Jansreau
an 24 févTier. une tentative de coup de main sitions ennemies furent écrasées. Les rou- a u gouvernement des commissaires d u
De deux choses Tune : ou toute la m e n t l e 18 septembre.
Q u a t r e o u c i n q fois le 2' b u r e a u l a v a i t ennemi a échoué sous les lenx de nos alliés, tes, les camps à l'arrière f i i r e n f impaoya- peuple les conditions auxquelles i l con,'popalafion actuelle d'Alsace-Lorsentir.i désormais à conclure la paix.
r é c l a m é : Jamais le m i n i s t r e n e r é p o n d i t . qui tuèrent un certain nombre d'assaillants blcment battus,
et firent 15 prisonniers, dont un officier.
raine sera consultée : ou l'on consul- M
V o i c i , au moins dans leurs grandes
a i s , le 30 août, i l r é c l a m a i t c o n t r e les
ifi h. 15. les troup»s d'assaut sortirent
jterasealementles habitants d'origine l e n t e u r s de l ' i n s t r u c t i o n ! P o u r f a i r e A r«st du BOIS DU POLYGONE, des trou- des tranchées françaises. Les lignes alle- lignes, les propositions de B e r l i n :
;française. Dans l'un et l'autre cas s o r t i r le r a p p o r t de la « p o c h e restante » pes néozélandaises ont réussi une incursion mandes. situées à SOO mèt.-es de nos trandans les tranchées allemandes, au cours de chées, en étaient séparées par un petit ruis•• 1° L'.Mlemacne et la Russie proclament
lia quèstion est réglée d'avance.
de M . Painlevé, i l f a l l u t l ' i n t e r v e n t i o a la
nuit du 20 au 21 fè\Tier, et capturé quel- seau. la Loutre-Noire; la première va'^ue, la lin de l'état de guerre. Les deux nations
' "• I actuelle d'AIsace- de .M. R i b o t , m i s au c o u r a n t par M , ques prisonniers.
qui avait pour mi«?ion de progresser le plu? ! croient pouvoir, à l'avenir, vivre en relajrande majorité aile B r i a n d . et une i n t e r v e n t i o n n o n m o i n s Dans la région du canal d'TPRES i CO- nipidement possible, jeta des ponts lé^rer.' tions pacillqucâ et a.Tiicalrs.
aborda la position; la deuxième vague,
•2' Les régions qui sont à l'onest de la
A consulte entière- pres.<ante de la c o m m i s s i o n sénatoriale • ' " E S , dcs tsutatlves allemandes sur deux et
plus spécialement chargée du ~ nettovage »
indiqu.>e "i Bresl-Littovsk ii la délégaânent l'Alsace-Lorraine restera aile- de l a r m é e , p r e . , I d é e p a r M . C l é m e n c M u , poste» britannique» ont échoué, dans la ma du terrain et des destniclions opérer la ligne
tion russe et qui, .auparavant, appartenaient
I
l
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a
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u
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m
e
r
a
p
p
o
r
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.
L
u
i
tinée
du
24
février,
sans
pertes
po
--- pour nos uivait de près; une troisième vague devait h l'Etat nisjp. ne sont plus dé,sorma!5 piabnande. Si au contraire on ne cond o r m i t q u a t r e mois dans la a poche alUés.
r.imcner nos blessés et les prisonniers a! récs sous le nrotectorat de la niis.sie: dan.s
;sulte que les habitants issus de fa- aussi
» L e 15 octobre 1917. i l y eut,
la région de nvin~k, cotte ligne droite dr.it
A Test de WTTSCHAETE, des patrouilles lemands.
milles alsaciennes et lorraines. àrestante,
la m ê m e c o m m i s s i o n sénatoriale de anglaise» ont ramené des prisonniers, dans
Le " coup de main •• se, déroula exacte être .avancée jii.sqn'à la fronlière orientale
TAlsace-Lorraine redeviendra fran- l ' a r m é e , u n e scène très v i v e e n t r e M la nuit du 22 au 23 février.
de la Courlande. L'.ittacîiemcnt. ,inlérie>ip
ment comme on l'.^vait prévu.
chise.
En une demi-hoiire. tous les objectifs de CCS régions ."i la niissi" ne doit, en anenn
C l é m e n c e a u et M , D o u m e r , ce d e r n i e r
étaient farilemrnt atteints; nos troupes oc- c.is. lo.s engager h de? "bligntions à l'étrard
En réalité, c'est le sort des armes r e m p l a ç a n t M . P a i n l e v é , en ce m o m e n t EnFlandre Française
••iip.iipnt
la position ••jll-'mnn'le sur une lar- rie b niisslo. La Russie rononeo .'i toul,--.
irétention pour inlervenir n,ins les affiipo^
seul qui tranchera la question. Si à L o n d r e s . M . Clémenceau menaça d ' i n
Acz environs d'ARHENTlERES, des ten. ïoiir de trois kilomètr.'s. Six lieues siicccs- prél rieiires de ces pays. L Allumagiie et
e r p e l l o r . P r é v e n u par câble, M. Pain
•^ives
de
tranrhées avuienl été enlevée.».
nous sommes vainqueurs, rien ne tlevé
inté
t é l é g r a p h i a de p r e n d r e l e r a p p o r t taiives de coups de main allemands ont
nous empêchera de reprendre notre e t de l e r e m e t t r e a u c a p i t a i n e Bou'char échoué, avec pertes pour les assaillants, On estime qiie dt>iix l).i;.ilIlons al!i>ni,inds l'-Xiilriche-Hongrie ont l intenlion do déterdans U matinée du 20 février, le lendemain jnt dil èiro anéantis. C'est .linsi qu'un offi- miner plus tard le sort rie ces régioi.î. d'acbien. SI au contraire l'Allemagne d o n .
cier .nlleninnd se rendit r.ver, 19 de «ps conl avec leurs populritions.
matin, et le 35 an lever du jcur.
réussit à nous tenir tète, rien ni pernommes en déolar.mt; " C'est tout ce rii'ii
L'Allemagne est prête, anrè.s la crncîuL a Liberté c o n c l u t q u e M . P a i n l e v é et
sonne, et les sozialdemocrates moins s o n e n t o a r a g e v o u l a i e n t étoufTerrafTaire Dans la région de LA BASSES, le 2,5 fé- me rrste do n n compacniie. .. rtins un .aliri on de la paix générale et m eomplèle dévrier, l'artillerie annlaiio a attaqué et dis- •le v.islos din.onsion^, on anéantit la pre^- mobilisation russe, à r-vacm-r les pays qui
que tous autres, ne l'empêchera de Holo. E t elle pose ce.s quei^tions précises persé des gronpes d» travaillcar» ennemis. qne totalité d une compagnie allemande qui 30 trouvent à l'est de la liene siis-no'mmee.
conserver ce qu'elle nous a volé : lèk- a Bst-il exact que le capitaine LaOou.T,
refusait do <e rendre.
Allant qu'il n'en est pas statué autrement
dsssus l'opinion de Scheidemann est chef de t>ureau à la section centrale des En Artois
I n important l o i de mitrailleusus, lance- djnai la claut» 3.
rcnseignemiints,
te
même
q
u
i
est
mOlé
si
bombes, etc.. fut ramené dans n»s lignes
3° La Livonie et l'Etthonic doivent être
U«B connue.
intimement i l'affaire di> cnéquo. soit enVer» la c i t e 70 (nord de LENS), une ten- 530 prisonniers, dont une douzaine ct'ofn- immédiatement évociiéOB par les troupes
tré en fureur eu apprenant que |i?s inves- tative de ooup de main allemand sur les ciorji, restaient entre nos miiins.
»t 11 gardf! roiigci «t occupées p?
tigations d« M. Ca^elU avaient donnédcs positions de nos alliés a échoué avec pertes
Nos pertes ont élé Mg-res, r.a
ip;<rt la polies aile in.inde jusqu'an mnment n
Et alors il îautrccounaitre ((ue !es résultats q u i fur>Tt relates dans le second pour Irs assaiilMitf, dans la matinCc du >:! .'Ont impiilahl»e k im tir d'' m i i r
in <"ins(i|iitji> n des . lis
ran!
••iir.g, par d»-!].* .ivi'-n- a i T . i i T l ^ OUI. .-Ml ' c'iu'ilé son aie r; li-uimenées de nos chefs socialistes n'ont r a p p o r t ?
• P' litii
cours de noir,- ,ill.-,r)iir. d ' - f r ' n •'n! il .Vi •É-.,rjn îe« iMhii.i
.••lé.,;
»
Est-il
exact
que
notre
attaché
militaire
d'autre but, d'autre résultat tout au i Berne, le colonel — depuis général — Près de MONCHY-LE.PPElj.X, dans la métre.s aii-d»-siis rie nos çi^Mals. 1
iCï mol ifs pr.li
>5 do ru f i r
feront.
nuit
du
-22
au
2.1
fcvr!?'.
Iî3
troupes
écosmoins, que de troubler les esprits, Morier, transmettant par ordre la consimm>'ilu!fmfnl
b.itl:is toi;s deux à roiips dt: fiis
saises ont réussi un raid et fa:t quelques m i T i i l l o
•l» La Biis-ie
oncli.rf 1-1
ce qui n'est certes pas le meilleur gne d u ministre de la Guerre émanée d u prisonniers.
N"» Ir
s d'assaut occiipi - n i per.d-int "S ppiml.-s dr
piihl-iv " u k r i n i
xnoven de servir la cause de l'En- capitaine Larloux, ait dit à l'atitcur d u
M"Ki.iine
el 1;
imc derr
r.<i'* d') vent .Mr.: imr a p p o r t : « H n'y a p j s plus (Crf/.'ai, c Le:re la posi'ion
Au
sad
do
la
roiilo
d'ARRAS
à
CAMBRAI,
tente.
Tié'1..-,ieir.^'nl é'
ImpnrMriies y f'
nuii- qued'af/atre [Solo ?»
i L-oupes rusdans la nuit du ÎTi au i"> i'év. ior. une tcntiif^ et pai- ir.s i
ri''""
Et cependant, après avoir palabré « Est-il exact que M. Ca<cUa étant venu tiva de ooti? de insiu ennemi a éohoué soui; 1-Ijcm n t,
ni cris'i.lr, lijns ii
Lu licissiu
.ui
son
possible
Us
feux
d
i:i!antcrie
des
Anglsis.
è Parts,, ils sont allés continuer U
_ à l'arls peu de temps âpre.», a i i 11'- de
ii 1.. l u
• •• l
Londres <uins uns conférence socia- nouveau menaté par le capiiain .- Lad ux
Région de Sa nt-i^uentin
taie. Lu iCis.siè rccviunciit i'aïuiuidlion ucsA u c o u r s de U n u i t d n 23 a n
févrif
capitulations turque
les «OCiaUstM d Amérique et d Italie.
. K s t - i l exact qu l l y ait lA-de^sus une
Un détachement illf.nînd, c(i li ?cntiit nn os d é t a c h e m o n l » c m h a r d i i n c n t p é n é !
liw. ompl?- de r,
e Ln d f m '
Cette coniercnce a préconisé la déiiostiion cor.i'j, !:-o .Ui <• ,ioti< i « .oui rt t t coup
rte in.-.in s .r un ^^t.t r- i-tR irqlaj.,. d a n s P O N T D ' A S P A n ; ; et <lr.rs Jii t , i i t - i :
= i-i-, •
réamou d'une conférence iuternatio-In^cmo
i-n'iouv ait o-o, pai- i' tir.: ii
r u - o i i t i t d ' A S ^ A C H l.'-'-aAS
où
lis'u
a ^.le f t j U s
n i d e « « OTgamaatoona ouvrières
)ut« de. qrc- I r m u i r c n t les o r t j a n i s a t i o i i s a l l c m a n d o ^
c « n d i t r e i l t de n o o i h r e n x abr^». t i n hai:<
i«s taseiux
»
FRONT B ^ M H I Q U E
'rt ^ î j «) m'v™ «
« im n..
a o i r e n t i i m n M i a t e f f l e n t . o u bien être en
Nous laissons cela à l'équitable jugement arrondissement l i m i t r o p h e de l'Océan, comALLEMAGNE
CoUisi éUrioral des directrica :
xayés d m » les p o H s russes e t y être i n t e r de l'actuel gouvernement anglais, et en p a r - me pour y e n t r e r , i l f a u d r a u a sauf-con nzun,
nés j u s q u ' à l a conclusioa de U paix génédii'cL-ice J o G ^ r s X . - D .
L e t r a i t é d e p a i x a v e c l ' U k r a i n e a éîé
rale. o u l i i e n être désarmés. L e s naTires d e d e l i n i t i v e m c a t a d o p t é p a r l e R e i c b s t a g . ticulier de l o r d Ceci', q u i , non seulement duit. o u une c a n e de circuIaiiOD. Cette car- AsfocuTio.\> txacAUT
LE M n a e u f i *
ne peut en aucune façon se v o i r i m p u t e r
^ r r e de l'Entente q u i sont dans les si
L i c h o s e n e v a u d r a i t c e r t e s pas l a p e i n e la responsabilité de l'inserl!on de la clause ie est à demander a u sous-préfet, en même
I.T.Î'SEti.MS DE U CCECU
temps que l'on envoie une épr- uve photoTes d e l ' a u t o r i t é russe seront considérés d ' ê t r e m e n t i o n n é e , s i u n i n c i d e n t c u r i e u x
en
question,
mai<
n
u
i
a
montré
nar
ailleurs,
Lx
Roi
Aîlmi,
c
haaaiM
UM.
c o m m e des b l t i m m t s rasée».
n e s'était p r o d u i t à c e s u j e t . N o u s e n dans l'exe.rciee de ses h a u l ' s fonctions e! graphique revente, non eoliée s u r c a r l - u . et
Oeimp>^^r : Shuimox. iaspectear
L a n a v i n t i o n ni?rctiande do l a n j e r N o i r e d o n n o n s l é c o m p t e - r e n d u d'après l e Jour- dans les diseussions parlemen.'aires. v com- mesurant i centiméîres s u r i
école» ch.'tUcnues. à (Joiaper ; — l
e t l a m o r l ^ l t i q u e d o i t être r « o u v c l é e coia- nal de Genite :
p r i s celle d'hier, une parfaite corrèctio.n
d'été
directeur des A t r i s du M a r i s , t C o n t e i t ; —
j n e U a ..té stipulé dans lels traités d a r envers le Saml-Siëge. .Vous regreltoDS, t o u
.\!!:a5te Cmamesuelle, p-.-re. à P n m m m r r ; —
Le
Conseil
des
m
i
n
i
s
t
r
e
i
a
fixé
a
u
9
njistiee. L e drainage des mines d o i t cotnM . Scheideraaon. socialiste
tefois. de d e \ 0 ! r différer d'avis avec l u i
•nars
l'ouverture
d'été.
Cela
revient
&
d
i
r
e
KzNArtT, direrieur de l'éjole l i b r e de zargaa*,
meoeer immédiatement. L e blocus d e l ' o - Malgré nos apprébecsi-ins en ce q u i con q u a n d i l afOrme q u e le contenu de l'article
céan A r c t i q u e d o i t rester en v i g u e u r tu>- cerne l a tixation des f r o a t i i r e s . nous ap- X V n'est - rien • ; évidemment i l s'eîforc. lue les aiguilles de-s hori<^es seront a v a n » m e lie Erest, à C'uimper ; — Cteoii l i i i n i h
-ées d'une heure, dans la n u i t d u 9 a u 10 .a'gcciaot, vice-f résident des FamDIes aam. i j u ' i l a conclusion de la paix générale
prouvons le traita dans l a certitude que l a
îireoses. i «.Juimper ;
S* L e traité d e tonun^rce russo-allemand conclusion d<; .'a paix ébranlera t o u j o u r s de rondre t o l é r i b l e le malencontreux a r t i m i r s sans doute.
COBCIU en 19(U entre en v i g u e u r comme i l davantage, dans chaque pavs. la p s i i l i o n de c!e, mais sa bienveillante înîen'ion ne peu: Successions
l i m e L t r u i . place St-Ccreetiii, i Qaimper; —
dos
ntiliialt^»
a r r i v e r 4 obtenir l'hnpo^sib!?
a éîé établi dans le pa.racrapiie 11 clause î . ceux q u i poussent à l a guerre. UE V l ^ o u u s , k Jrisaiic ; — l l l l r l l f l l —
tués
à
l'emaeitÊJ M:.>e
Ls Rsmaz, areaus i
d u t r a i t é de paix avec i - l î t r a i n » à r e x c p o .M. FiscSbeck. progressLste :
de la (îare, Er^né-AiMeL
Des iasirtîctions ont été données a c x
t i o o d e ce q u i e s t p r é v u dans l e paragraphe
- ? i l est possible d'en finir avec la R o u
tStautine ReligieuteJ
••naires. leudaiir .=>. si.'iipiiiier les dcinai>rtses
•11, clause 3, d u traité de eommercc concer- manie, ce sera u n i q u e m e n t parce que nos
XX
pour e!iir>?r en poi£-:=?i-)n de la succession
nant les priviléTes soéciaiix dans I»'^ r ê - n-^ocûitenrs oirt rapport-i de BresULitovsk
•les BOililSires decéiJé-i. priacipilement en ce
v i o n s d e rocéanArcliqae. trn outre, l a l o t a - le t.-aité de l ' I - k r a i n e . S i maintenant Lénine
l u i concerne l'eccaiisement d u came» d e
l i i l é des points p r i m i t i m o c n t fixés est r ^ et T r o t z t y sent m o i n s intransigeants, c'est
pécule.
t a b l i e . De p l u s . T e x p o r U i i r a libre e t sans uniquement p i r e e q u ' i l s voient que l ' . M l
teriî des minerais doit être garantie dès le .-nagne ne peiroet pas qu'on se moque de
L--.S maires délivreront dans la mesure d u
L m i s e o i b n s d u b o r n a de l a Saei<ti
Rémmi»HIan
aos
câféafa/s,
- "ossiM". a u x ink-n-sséà les certiScats de
d é b u t des négociations.
ses armées. •
d a?ricalttire se ( o a t rénnis i l a H a l r f s i
OusuÊtHéa
â
la
disposition propriétés.
En ce q u i côneeme la conclusion d i i n o u - M. StTcher, Pcionais :
Slorîaix le
février, ponr étndSer ta* rcMl
(Tes
eaMiifateui's.
v e f a u traité commerci-ii, l .MIemaime aura
- Les Polonais sont traités cnmm'- des ot>
tiocs a.'fopîecs à lairi'onîoa géaérale d a 9
Sarnutiténaffat
des
postes
! î traitement de la nalif^rn la pins fîivoriS'"e. j e i s de commerce: i l s'agit d ' e m p j c h e r des
L a réquisjlion _général' d ' s e'-réale? aurr
r
r
i
e
r
.
et
télsgfapbos
a u m o i n s j u s q u ' e n 19K>. mÇme a n cas de rapports amicaux entre les Tkniiniens el lieu dans
' ns le département
dép artemen d u FinislJ're.
f-a -•^"ié'.é fait, nae fois l e plus, appel a a x
onrour» p o u r i'ad:ni5sfon a u s u m u cessation d u régime crrjvLwire »t d s l'ac- les Polnnsis. Des Ukrainiens choisis d.ins
Cette réquisition
réquis
portera s u r I' Iles l " de»
Postes
e'
d
" 5 Tél-'craphes aura cultivateurs posr qu'iU répondent dans I r
ceptation Cnnie des ciaiisc.» correspondan- de» camps de prisonniers o n t s u i v i un cours quantités de céréales p.-iniDab!es et d is t
:;eu !»s j - u I IS et vendredi n m a i ÎSl-^ au i
" J ® m . j s n . , aux demaada d »
tes a n paragraphe U d u traité d e paix avre péeial de propaeande p o u r l'Ukraine. •
condition» spécifiées aux articles 20. ;1. ! ! •hef-iieu fie chaque
chaqi
dépn.-t.:ment. J.a liste ' la!eadtu.:e aia-s elle demande. égaJemeet
l'Ukraine.
L e comte W e ^ t a r p . conservateur :
» . î i e t 25 d u décret d u SO n o v - m b r r 1917 •i'ip.scrrplinn «era close le
Mars I f l S a n ux autorités cbargeés d a R a ï U a i l J e i B n t '
S" Les r f U î i o n s j u r i d i q u e s e t peliliqnes
- L a nation polonaise a laissé êciisripei
. \ r t i r l e î . — ^"e seront p r * soumise: : » !> «oir. Ce concours e-^t esclusivement r é s e n é d'apporter dans l'asécatioa de l e c r m l a i o a les
seront r.5g;.ies d'accord avec les décision»
o-Tcasion de c o m b a t t r e p o u r sa liberfé et i r q n i s i t i o n I t s quantités d• - céréales pari- t u x militaires et marins frsnca •< réformés ménagemeats ccmpatitles arec l a s t o s t k i a
de l a première ve.'sion d e l a convention g<T- < son avenir et a refusé de marcher a u x crt- lisibles n . ' r - saires a u x c u l ' i v a t e i i r s ci i.san- •«u reirait.-s. o u en insiance de retraite o u actnelie de l'agricnltare.
mano-nisse, autant q u e ces décisions n e és des pu!s«snee* centrales s u r !a base de rux-m'-mes l e u r pain q u i pourront conser 4e réforme, p a r suite d i a 3 r m i t é s o u de
Ea particulier, la Société demande q i u l a
sont pas entrées en v i g u e u r , en p a r t i c u l i e r
proclalmation impériale. XI. Scîicidemann ver à l e u r disposition uns quantité do 17 l : Mesïures reçues o;i de maladies contracen ce q u i concerne !cs indemnités pou» les « parlé de ceux q u i poussent à la guerre Ingrammes par tête e l p . i r muis soit u n to tées devant l'ennemi au cours de l a guerre îirraison des oijets réqaisiUoDnês soit,aataat
que
possible, faite à la gare l a îplos rappr»
dommages c h i i s . Ce point d o i t « I r e r ^ r l é 'Isns tous les pays (Kriegstreiber). En .Mle- l.-.l de 110 kiles pou-- l a période compri»ctuene ou résull.nnt des événements de cr.e< :1a domicile da ccItiTatenr.
d'accord avec les propositions aUemmiïes m a ^ e . i l n ' y en a p o i n t . . (Rires chez les entre le IS f é v r i e r e t le 1 " sepieinl
• - l i e guerre. L a l i m i t e d ' à i e maximu.-n est
En
ce q u i eooceroe les aaimanz d * booehset i l y aura une i.-.dfmnisation des di^penies socialistes.)
A r t i c l e S. — Les çuanlités de céréale" « i * e à 30 ar.s a ' i j o u r d u c j n c n u r s . Les posp o u r les prisonniers de guerre. d ' n r c i M
L s député Cohn. d e Norrlhausen. s'écri» • i»is«ees à la disptjsilion des cultivalefi-.. luIaBts peuvent se faire inscrire dès main- n e , le bareao renatiTcUe le yœa que l a I t a l siUon
s'exerce dans le* foires, et aoa à d M t aven I.?s e x p o s i t i o n s russes. L a Rii.««ie ado i u r les semailles sont calculées s u r !•« >*n«nt à la Pireetiou des Postes e l des T é - Cilï et qa;il y soit p r 8 c « é par des e i p e t t i o n
- Oîi l a grierrc a - t - e l l e été couvée î >•
m e t t r a e t soutiendra, autant qtie ocssible.
i-gmphe« k O'iîmper o u i leur fournira teus
L e comte W e s f a r p , continuant :
Bases suiva.itrs :
par
des
adjudications.
Jes commissions allemandes pour "î^s pri'
- M . Cohn a apparemment le courage et li»
B l * . 200 kilogrammes p a r heclare; a-.oio' ,es rcBseipi^ments utiles.
.-sonniers de guerre, les prisonniers civils c l
Iiass ces réquisitions, certaiBS eomBKRanto
f
r
o
n
t
de
dire
q
u
a
i
i
gue.Te
aurait
été
cou1*0;
orge.
iSC;
sarrazin.
âO:
l e s réfugiés de guerre.
se sont arrogés le droit de prélever sur lesêol,
vée en Allemagne. »
de
retaonte
.^r^ic^e -S. — P o u r la n o i ' r r i t u r e d s ar • DépOt
tivateurs une somme de 0 t r . iO par 100 Uloa
M . Cohn :
maux, les c u l t i v a t e u r s seront aiiloi is:'s I C L a Russie promet de m e t i r e fin à t o u do
Guiagatnp d'aTOine. l i v r é s dans les mansins de l l n i s a t e propagande e t a g i u t i n n , soit de la p a r !
• Oui. j ' a i ce courage. - (Violents cris conserver les quantités nécess.iires :îu!r»r
Achats de Chevaux oe «elle de 4 .ans à D dance, sous prétexte de récupérer la valeaz d«
d u gouvernement, soit de la p a r t de person- •i'.ndiçnaîiûn dans toute la C h a m i r c : • de- que le falé.
»fls. d'attelage de 5 .ans à 15 ans, et de la livre du cent. Les membres de l a SodélË
nes soutenues p a r le gouvemcmpnt c o r t r ' 'p.ors ! est-ce l à u n A l l e m a n d ? • )
RégiemBnlation
des
maith'ns^ j o l i t s chevaux de b a t de 5 à 1& ans t a i l l e d agriculture ont émis le vœu que l e remboor^
des membres de l a Ouadniple ACiancft e i
m. 4J à 1 m . M .
sement de ces sonimes soit fait aux intarassés,
contre les institutions politiques o u m i l i à
façon
Rendons j u s t i c e a u d é p u t e d e XorrthauLes chevaux class'-s dits < de L n i c i p a r qai devront les réclamer par reotremisa de'
taires même d=ns les locaiiics occupSes sen. I I f a u t a v o i r e n effet d u couras.^
A r t i c l e I*-". — \ p a r t i r d u 1': mars 191?
leurs mairies ; la commission de raritailler.--ceEsement étabh par les .Msires.
p a r les puissances centrales.
p o u r oser d i r e p u b l i q u e m e n t e n A l l c n i a - seront seuis a n t o r i f é s à effectuer i.-i mot:
ment fonmissant eux maires la lisb,- des 11Itinéraire p o u r le moi^ de >WRS 1918.
11* Toutes i ' s conditi'^nc préppdentos doi- •jnc q u e la g u e r r e a i - t é c o u v é e dans cc
: des céréales paniDabies lii.sséCi à 1.Landemean, s u r I - ; ; .ju^is. les i . T>. «. 22 vraisoas faites dans cas eooditions. La Société
vent e i r e acceptées dans u n d<î!ai de qua- pays. .Mais ce n'est c e p e n d a n t q u e l'ex- disposition des producieiirs pour l e u r cor.
i l mars, a S h. l / i : ï f o r l a i x , près la gare, demande en outre que les mesures nécessaires
r a n t e - h u i t heures. Les pli^nipotenliaires rus- >
ir
e
s
s
o
i n d ' u n e v é r i t é q u i u n j o u r o u l ' a u'ommjslion familiale, aux lenn?s de i ' a r
" u d i 7. à .S h. : Chiteaulin, près la caré^ Or- l'Oient prises poor éviter le resouTeilemeot da
ses d o n c n t p a r t i r imm.'(Jialement pour t r e d e v r a ê t r e i n d i s c u t a b l e m e n t reconrmu licle 2 de l'arrélé préfeeNiral d n - l î f é v r i '
'nns. vendredi S. à l' h. 1 / 2 : Crozon. s u r la ces laits.
B r e s t - i i f o v s k et signer là. dans les trois
»:aee. samedi '.•. à )0 h . : Landivîsiaa, champ
(«18 ci-dessus, les m o i i i m s o u i en o n l f;i
Eu terminant, le bnreau emet le vœo osa
.lours. l e traité de paix q u i doit être r a t i l l ^
foire, les 11. ( i 13 h. . 12 et l . r à R h. J/->: les déplacements poar livraison de marcbairJa demande p a r écrit à la préfecture avj.'!
dans u n délai de deux semaines. »
SAINT-SIÈGE
îaoulas, s u r la place, lundi I I . à 8 l i . : Pley- dises soient partout remboarsés conformément
'e •:.") février.
.A. p r o p o s d e l ' a r t i c l e XV d e l a convenA r t . 2. — L ' a u i o r i s a l i o n do moudre se." •jîn, s u r la place, m a r d i 12. à 8 l i . ; Cltâtean- aax prescriqtions ministériellae, soit O.J»iiar
A i n s i , p a r reHet de l ' a r t i c l e .•?, l a l . i v o n i f t i o n signée à L o n d r e s l e îf. a v r i l
ar- donnée par le bureau perm.mcn' des cé -suf-du-Faou, s u r la plaee. mercredi 13, à 100 kilos poar les 3 premiers kilomètre», 0 fr-.-«I,
e U l ' E s t h o n i e v o n t p r a t i q u e m e n t d e v e n i r t i c l e q u i est r e l a t i f
h.: LaaaiUs, s u r la place, le l i . à 1.1 h., le ponr les 3 solvants, et G. Oi oonr le reste, t e s
l ' e x c l u s i o n d u ï^aint
réaies, q u i fera remettre p-ir 1" m.iire de ir
d e s t e r r i t o i r e s allemand.,, e ! , p a r I V f l e i .•>iége lies p o u r p a r l e r d e p a i x e t d o n t ii- r minime, .i chnqiie producteur, un .'iMlle'ip !-".. à S h. l / ' i : St-PoI-de-Lécn, place d u pommes de terre sont évidemment comprise*
reisker le 11!. A 11 Ii.. et le 19. k 8 h. t / 2 : dans ces marchandises.
d o l ' a r t i c l e î , nos a d v e r s a i r e s d é t i e n d r o n t ;exte d a i l l e u r s m a l c o m p r i s , a été trù.< fiortoiil In dèsisn.ition d u moulin rhnii.-'; I^esnevsn, ehamp de foire, les 20 et 21 à
j u s q u ' à l a conclu.sion d e l a p a i x gënéraie discuté, iOsservatore
romano
p u b l i e u n moudre à façon ses céréales avee inri:i-.
La Société d'Agricoltare sachant la grands
des gages d ' u n e i m p o r t a n c e . ' n o r m e .
très i m p o r t a n t a r t i c l e q u e n o u s r e p r o - l;on des quantités par télé et par nvois.
h . : Brest, place d " 'a Liberté, l u n d i 2.'i.
quantité de pommes de terre q u i reste d u s te^
C'est le c o u t e a u s u r l a g o r s e . L c n i n .
luisons partif-îlcmcnt :
.Art. 3. - - L e meunier ne peut eîTectu'r < h. 1/2: Qnimper.
j c e de la Préfecture, région, et qae.^'lnteadance ne pourra enlsveE
l ' a d i t , avec u n e a u t r e m é t a p h o r e , à I:
- " t t e m o u t u r e à façon que c.intr" r e m i î - l.inrii 2,=). à 10 h. 1 / . : St-Renaq, s u r la place. en tems utile, demande qne les cnltiTataun
• l / o ç e n r r =1- f,ini c o m m i i n i q i i ï i i hier im» •iu dit bulletin. I l doit fabriquer i,i f a r i n - . lardi •:<''. h S 11. 1 , 2 : Rosporden, champ de puissent di'^poser des quantités se trouvant an
séance d u c o m i t é c e n t r a l e x é c u t i f d e
S o v i e t s q u i s'est tenue a u palais d e T a u répCche de Londres où l'on r a p p j r t e q t i ' Se Ml- froment eonlcnant tous les élémenlre. mardi 2fi. à 8 h . ; Scaër, champ de f o i - leur possession.
iord Robert Cecil. interrogé par le dépiiti' <!u blé. hormis le son t t les impuretés.
r i d e p o u r d i s c u t e r les p r o p o s i t i o n s a i l
mercredi 27. à !> h . : Plouvorn, su
rlamlais .M. M'Kcan. n t d'importanles démandes : « Nous avons leurs genoux su
-XXEn eonspquence. non seulement les re
lare, jeudi -33. .'i 9 h . : Qningamp, les 8.
sur notre p
- o- i t-r-i n
- -e-. N o t r e s i t u a t i o n est ^•laratio'ns. rendant un chaleureux homma- :nou;sges hl.ine% mais les remouKi^-es l i i
S. 2:j et 29: Bannalec, s u r 11 place, jeudi
ge a u concours donné p.tr le Pontife en et '.es r e t r a i t s devront rester incorporés
B
R
EST
désespérée Celte p a i x d o i t ê t r e u n r é p
H h . : St-Nic, s u r l a place, vendredi 8,
q u i n o u s m e t t r a à m ê m e d o préparer
une riiverses questions q u i regardent la guerre, \i. tr.rine.
h . : BraspsTtB, s u r l a place, mardi 12,
B a g a r r e . — Le 20 février, vers 2 i
résitlance
décisive
A In bourgeoisie
et ;i et dis,mt à propos de r . i r t i c l e X V que
Art.
— Tous les meuniers, notamment ' i h Carhaix, près la gare, mercredi 13.
nne bagarre éclatait à Recouvraoce, i J-'ang
l'article d u traité avec l'Italie s t i p u U i ' :es meuniers .à façon sont tenus de fair
l'impérialisme.
La p r o l é t a r i a t d u m o n d r
Il h.
des rues du Pont et de la Fontaine. La souse n t i e r n o u s v i e n d r a en aide, et a l o r s noua feulement que si celle-ci avait f a i t une ohnaître chaque semaine nu eontrùlenNe! localités ci-dessous seront probable- brigadier Le Cad et l'agent Quéinoec voulojection à ce que le Pape envoyai son repn:te combat. »
recommencerons
-oen' visitées pendant le mois d'AVRTL c n l séparer les combattants, et se saisirent d u
noulins
L e m a x i m a l i s m e c a p i t u l e d e v a n t r , V l l o - semant au Congrf's de l a paix, r . \ n g ! e l e r r
I» I.e r.-Iev ries qusntilés
Quimpor, P l o a v o m , Rospcrdca, Sizon, plus agressif, Paul Coadou, pour le conduira
réréale
m a g n e pour se préparer à /a guerre
rinie. aurait appuyé celte oiijcetion. T o u t se licrasé^s el. le stocks .ju'ils ],( vert avo
Carh
au poste.
T e l l e e s t l a c o n c l u s i o n q u i p a r a î t B'im- mite. ^ cela ; i l n ' y a r i e n d'autre dnns lei
n msçasin :
A ce moment, tous les batailleurs se retonrtraité, et ce:a équivaut h ri.;n. p.irce que la
poser.
2" l,é nom
personne» : ;,lijcnes i.
^nerent contre eux et les frappèrent avec d ^
E t cette p a i x h o n t e u s e est p e u t - ê t r e e n - confériînee de ia paix se tiendra entre |e«
n t l i v r é le
fa mes d i i n n 1-.
ceintures et des 'mouchoirs dans lesoneli deat
c o r e p r é f é r a b l e à 1,-i burle.sque c o m é d i e Seiligérant», e l q u ' i l s a u r o n t .seuls le droi» -coulée et celui ï d e s personu'
eailloux avaient été noués. Bien pliis, l a { ô u t n
q u i a été o r d o n n é e p a r le g o u v o r n e m c i u -i'y psrtteipev. •>
.•emple desquelles des céMale»
s'omeuta contre eux. Si bien q u ' i l leur b l l ô S
I I n'est permis à personne de douter d^ rines son! entreposée.s che* eux.
des c o m m i s s a i r e s d u p e u p l e e t «[ui n o u s
lâcher le prisonnier pour se renfemier dansi&.
a u r a i t m o n t r é les l e n i m e s c r e u s a n t der. SI parole de Inrd Robert t'ecil : en eonsé
î ' o i i r éviter tous abus, e l la con^til ii.Iio:
^poste. Dans la bagarre, l'ageot QaéinDce psSn r a n c h é o s sous l a s u r v e i l l a n c e d e l a g a r d e 'juenee. estimant exacte !a transmission ié- de stoeks invisibles, i l ••^t interdit au;
-dit son képi et sa pèlerine. La foule assiégea
Touge. L ' h e u r e n'est pas à l a p l a i s a n t e r i e ! i''gr.-.phiquc. nous prenons acte de i-a dô- meunier? à façon de l i v r e r des farines e t
ensuite le poste, et t r i s a quelques .«itres. Une
• iaration. On p o u r r a i t seulement d e m a n d ' i iioulangerie.
patrouille de marins survint fort à propornonr
!>i l'article X V a loii.jours été t e l que le, préA r t . 5. -.- Le piicraent en nature artue
la disper#!r.
sente aujourd'hui l î distin.gué s»erélaire lement pratiqué dans le;; mmlin.s .i façoa
ROUMANIE
Le principal agresseur, Paul Coadoa, S4ans^
des A f r j i r c s étr.^ng^res de l a Gmnrle-Bro- est supprimé et remplacé par le p.Tieine.sl
m n t l l é de la guerre, et u n de ses canijBaiteS
EIcctiou d e s repré!>eii(nnts à
L e s n é g o c i a t i o n s d e p a i x sont c o m m e n - tngne ; et c e r b i n s en doutent, parce que en espèce Tlsé h.T, i r . SO au m a x i m u m p*iroftree départ einciital
François (Jnéré. 17 ans. furent
arrtïSrtK
cées e n t r e ie.s e m p i r e s c e n t r a u x e t la l i o u n ce ea!<. pour taire, d'autres considéra- tGO l;i!os dejgrains moijlus.
m a n i e . L e c o m t e C z e n i l n et -M. de K u l - tions. «a réponse d u f. décembre deviendrai!
Voici la liste des eandi'ials qiR Dous propo après à la ca.'erne des équipages de Ii» frotte*
Comme censéquefiec .de. ce.,mode de pair
où ils s étaient réfugiés. l i a habitaient ton» l e i
n i a n n s o n t a r r i v e s à R n c a r e s t o ù .".'es; inexplie.ible. où i l admet) fc rexistenee rie
'Ons
a
u
i
suffrages
des
électeurs
des
divers
deux la rue \ aaban, 52. et travaillaient i Û B
r e n d u e o g a l n m e n t u n e di-légation h u l g a r p . la i - h u î e qui avnit fait; l ' ri b j e l ' d e L'inlerro ment, tous les pïnduits»de la l o . ' u i i i r e pe-Olléscs électoraux, pour le vote du 10 Mars.
pyrotechnie de Saint-Nicolas.
D ' a p r è s l a Vossische ZcinUinq,
Biicare.»! palion. Mais ces i n v e s t i r allons réirospec teront la propriété des-,cuitivateiirc.
EvSEIGVtMKXT rRlMMr.C
A
r
t
.
6.
—
Tout,
transport,
des
c
é
r
é
^
j
i
s
a
i
^
a u r a i t été c h o i s i p o u r l e s n o u r p . i r l e r . i tives. f o r t inléreîsanie« yiirement, nous
J e u n e s v o l e u r s . — Le « t fécrlervaMms'
[nflitmeurf : M. NiCùi,, directeur de Saint
finées :^des.<floutn-as(à faron pour^^tTTft
a v e c l a i l o u m a j i i e p a r c e q u e r.'^uatro-.vi- préférens les l.iisser h l ' h stoire.
•Grinzarl, demeumnt.rne Choquet de j^indJU
ipmrrcilînn familiale o u de farines o u s t n - Rlaise, à Douarnciiez ;
I c m a g i i c v o u d r a i t so s e r v i r d e certaine.'
L a portée de l ' a r l i c l
;lait
prévenue que dénx gamins vogaient^dH
. W . telle qu el
pruvenaat;- rie. ces mrfulure». ne n - u l i M r ' lustilutrici^ : Mlle P a i n t o i x , dir.;ctrico di
p e r s o n n a l i t é s r o u m a i n e s restées dans la nijus est.indiquée p a r l o r d Ceeil dans le, té 'ITccliié p a r u n producteur qu'avec I» pep
•pénétrer dans sa
ve. E t a n t descendtiaj,^
c a p i t a l e p e n d a n t l ' o c c u p a t i o n e n n e m i e e t . légramme de l a Stefani, se limitant au Con rjjis do circulation délivri* par le msire e. '^oiirs normal, à î.antlerneau.
n'ayant pu les dé
ecouvr , elle l)oac}iâ
totesle^
EM-r:ir..\EMr,.vT pnoprsssio.NEi.
s u r lesquelles elle penserait
[ o u v o l r grés de la paix, aiténue r s r lo f.iit mi'm". p o r t o t les nom et adresse du producteur
•issues et envoya p r é v e n i r la; policé. OeiuD<
-M. I.E r,M , directeur é l'école profesâion- j g e n t s arrivèrent, qui- trouvèrenf lesTparaa-^
c o m p t e r p o u r l ' a i d e r p e n d a n t les négocia nous le reconnaissons, l o l f e n s e e l l'injure ft et d u d ë . i j i n a t i j r " ainsi que lo.' f f j r . n l i l é s e,
nello de la Croix»}tou^e H Lambé) •llcc :
l i o n s et l u i d o n n e r certaiiic.s garantie.», e i l'égard d u Sainl-Siége: m.iis personne ne l a nature de.s denrées.
itleurs : .Marcel Artus, 14 ans. né wMorlaisiet:
Mme .\ur.i<t» Cn.oc :nE LE, d rectrioe de demeurant chez ses parents, rue <1iDiitaJSbla '
échange d e q u o i elio p o u r r a i r p c v i t O t r e s i s'étonnera si nous ajoutons q u elle no l'éliSi ces rieniV'cs pont Irsnsp.-'rl. •
f i p - /école manuelle d'appre:
m o n t r e r p l u s c o n c i l i a n t e dans l a q u e s t i o ; m m c pas tout à f a i t . Si, en effel, l'arliele
tissagi
ta, e t Gabriel Vidroc, 13 ans. né è> L f c n n î l t o ^
aDonarnenez
• n question avait p o u r v u k cc qu'aucun des permi.5.. elles son! r.'qui=ilioiinées et i l
d u m a i n l i e n do l a d y n a s t i e .
.•VSSOCHTIOX» Er Si \uic.m: OivniERs
d o m i c i l i é au Petit-Kergus. en-LatoIiézellée.
fsil application a u x e/ujfreventints ries riHL e g é n é r a l A v e r e s c o , c h e l d u nouveau non-belligérants ne p ù t Otre admis au Con- positions de l'arliele 28 d u décret d u
Les gamins déclarèrent qu'ils vonlalentieDi
n"
à Linrico ;
M. le colonel Ili«0T-r nvu.
miiii.<ilère r o u m a i n , a o b t e n u des A l l e - .?rés de la paix, sans le consentement des vembre 191;.
M. Coniit Loi IS, président da j Secours Rre lever la bicyclette de M . Grinzard, offlcler de:
raaiids u n d é l a i de- q u e l q u e s j o u r s p o u ; quatre puissances signataires rie !a eonvrnla direction des travaux à l'arsenal. Aop&raI.e préfet : Pierre GE^'E.^RIEri. ton 1), à Quiiiiper
r e p o n d r e au.\ p r o p o s i t i o n s c u l l u i o n t étO tion. il n ' y .aurait rien .'i redire, mais l'e.xDt ils avaient fouillé deux autres cavesdant
Mme PB Coi Esx Gi.E. présidente do la Ligue
clusion d u Saint-Siège, abandonnée au bon
laites.
la même maison.
£ a circulation
des civils
patriotique.
plaisir
d
u
gouvernement
italien
(et
tout
le
I l est c e r t a i n q i i e nos n i a l l i e u r e u x alliés
Pressés
dii questions, ils recoanarcnt.qne,lr
L ' a r r é t é r o g l t n i e n l a n i la circulalion dac? ^VNMCAT.-. .Xs'iOCI
.Mun.t
s o n t , p a r l e Init de l a t r a h i s o n russe monde sait les amicales dispositions de ns arriudi^s-euients l i m i t r o p
eille ils avaient dérobé, au Skatipg établissait
i'honoraiilc Sonnino envers le Sa
CMS.--1
d a n s u n e s i t u a t i o n p r e s q u e déses:
s n o r é c . e,st injurieuse et offensante, et c'est eontn
la Champ de-Bataille, six paires d e patlnsva•
•
'3": •
I l s sont encerclés d e toute.s p a r t I l leur
laiit 200 francs environ, qu'ils cachèrent^soo»
quoi nous protestons. Qu'on fasse une hv
r e s t o s a ! i s d o u t e u n c c o n s o l a t i o n s u p r ô u i e : pothése : imaginez que, dan<; cet article, a'u
le kiosque à musimie.
ce.-'t i l o se d i r e q u s u t r a i t i : q u ii.s v o n t lieu d u Sainl-Siége. on e û t riit Amérique <.^
Les agents le» conduisirent é celte caehettei
ê t r e o b l i g é s ilc s i g n e r , sous l a nietuice d e eetle époque» ou Espagne, n'eùt-il p.-.s ol.
l.es patin-i n'ét-iient pas seuls. A c i t é i l y-ava»
l a f o r c e , i l m a u a ù e u n e b o n n e douxaiiie rarfaiteriient iiiste que .-es n.iiions eus?eiii
deux liouteilles vides, f / u n o avait contena^du
de s i g p a t u r e s . I . t cotte d o u z a i n e hV I r
vin. I autre du Champagne.
nergiquemeni manife.=té leur mécontenteA l l e m a n d s n e f o n t pas encore. I l s p o u r - -n^nt 1
Taient m é m o l'attenrlre Io:;.'(emp.s.
(f.ire la suiin a ta i' page.) ^
Aiii3 It Rnipeieflls
Sceiélé d'AgricuRopc de K)rbix
Les Pupilles de la Nation'
11 J L e C o u r r i c r d u F i n i s
arsiniS
MINOR KERZUGEL
— Nan. sc'.l:!, F- 'f. m ' . n ! a ra va c'i'.oiief
d i v a r g c m va fi.nu, ii.i u-ii v,m ii..ao eiiz li
velcp traou ! Lod, k . i r r .lo;'.ho labourai hed
ho buez, brevi lio c'horf hag lio izili c v i l
gounit ho zammik k r c i i n ha b ' v a ho b u ça!c, ne deuont ket a-benn oa I s k M l a gos•l'z eun tamm askorn evit ho c'hozni ; îodall n'ho deuz »en da obcr ne:nel digori lio
bcg, ha »etu ar • mann • o k j u e j a eu2 an
«nv... Bmlchans. er barndoz, su Autrou
Hou» a raio d'an den diouz m'en dev^i.TO
p-eat « - u n t n v a r an i l o m r :
• - K ' e i i i " eroiehin.;
«h"', eno : er hed.
VI f - i i :. VOO u.croU 1
i „ ,ir e - ri.V ••'.'> t:o::.:ir,-.c' \ i r
t„.T>n;
m r . pe. gasiizet evn, .-.u droi.i: en
— nn.es n-.o zoni il'hin Kor bei:z an
kounae'h-a*. en"- r^^ni'l-.-.o. r i ! r ^ .7->rnni •
— la : edon deiiei p.m ria ^.'nfienii lie jo l
eiir e h^loT, a n eii.' k l e ^ • .-..r' ol.-.'-'fi ,i:
h'-r,ri n ; — s h n o
z.veîari r i pe- vr,-;n
gsn. — Di.sn!. c w l - - m o'v, f, r
\ nt,n. e o m c'.t. evr: m sz ».i i . r | . i u l . <1
l'i'.n fur
« . u l - u r . K s i i i d.. ,ii
F - ; •••'h..
c'iiuaz
„ .n
ji
nun en t m gave enn t i Seliii plae'h :.
)ire?h!!al. Vsrv.dllif.ii a .'v.n».-?. d i v . r t.
Iieiisi,'-. ,
îH-ij, I.,
\ I:.
"i .
i,iii.il •• I v i v . i t i . 1
.dii-ag ai- ^Ben'e^ln; :
Zlli
. r o l r ('.•.vci'l'" a zo rlij.. . W i nîîrr r « m . ,
n c m . , k e t v . r an UiNC2i.Uou . _ .. Kun
petra : om !. n'cma k e t
i r o a r bed, iir a'.valc'h l
c'harit — e
vaoïiez difir
— n'en ket eaz g o i i z i i i i p.
•u'^z .-p r.^- M. m','.ai',,:d, e r.-.r,';.-,
.
1>.1!.: ha iT. - t cl lc.acli r , n v.-?.o ao-.;ri
mi-nnet r : , , n • — Ne b l i j kct d liiii
n:.'..-;t. hag ,.\eUil'v. eun (ir.a henna!; a
\ a r c o ' h m n'oa droii.? e b r ! o sclaoii ii
nenn plae'h an .Aotrou Per.soun. — Er prebitaliou en cm g.av kalz keleier a ne vezon
ket embannet lire a r b a r n - z : ar " vel'-^noi.
ze » a o»r delc'h»r ganiho pa v z ezonim
Aweehoii, gouhkeiidc. unanik i)enn,'i2 a i
Jreist an Ireujou. ne k e t ma tec'hunt div.:
niuziiliou an iiulruuneU-se, oh l ne
;.r mevaUtn h i g a r p l j o ' h e d A M;Z
<in l i ne vezuiil k e t alao pouniier-sl
evel jU5l, hast iio devcuz da s k i i j n j
••lezh'i an n»\ezenliou
r^evont. \
fall. cm-, ozac'h Kerdobi, o s e v e l d i o u x t a o I T
e houi ne i-^ketit n.-met d m u g d'an o l l .
.>I.!C h.arit. ha blsk-nz n ' . m euz klevet e.ur
gomz a zo.ire o koueza divar ho miizeilou.
r).%o:ist ha ne zonjit ket e r.inkoc'h. eun d^iz,
.-.'nta koiuit da ^^oue eiiz ho m a r v a i l h o u diskempenn ?
—
! la ! 1,1 : an .^olrou Df f a zo n i t t
t'-t'- g.inihan hizio. ,iv«d ; Petra I E u t
e houaneii bennait a zo k m g e t ennhan epait
m'edo gant o lem?... Rezit dinec'h. ozac'h,
ne rankoo'h k e l re.spount evidoun dirag
- i r m i o l . i n . ! H vr f.>ll»aloiini 9 r.jfen d i l'ag ei ;n hr'.elcp k a i ^ . . .- P
- ' f . H . pe
, - .vsd
. - a ra
an d u ù c ' r o u i ija lias U;> ohesi enn ho ob.er o u : me zo cet uiz maro ouz ho k l e \ e t ,
lia k a r o u l e r i f e n seilit, ne lakfec'h n f »
ho i r e i d v.irdr.
k t o n 1 i r ' h evit i i f v j r t f u . K'enn ... C lioi i iVB gr.az e •^t d am
\:-7. i.^.Ti»
I k' ' oan eme an < c ' h : rsea
Doi ' ma \ e z .-.n d i v e i r
11
11
nevcz r.i.'.t r !a.- '!
- Tr.^-ii n i i n t r
uTCîî ha. m r ou
01 m " o !;'e\el P'
• i l lii'iin m.n.T K'
a t;oiiri:iz df.^n.o
• L n !:.; p'z ) iieii
i ' n d i i ï t n t r.iicl
r V.irc'l! L:(n'jijii
1- pe c'Ii.uu a
II.
ii:in ciiz lieveziou a r zizun. Owenol
j - m a n . cvcl ma lav:irc gucchall o v:iui
l ' a r p r c i b t t a l lw.ir*a c'houletmaz e
-.111 r'.T-:ov.i). Km
..
h.-j. .i.ilv- .-11. .i:. .! B.u
i:
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izeni, mes S^Mk ii <-. kel t)el„l»Ml i i - ' i i
z.'o Vorsieh,, n'.l.i.mso,, hn h ^ e ' f n . T ; .
1 lapet eur l i j s l e l (itnnsfi a ehalick. h
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M c'hoiii
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v.i 1 e.lo, .\:~r-har:i, o,,-.»
Lrcina::. :
• j ! y m i l cui s'..;- n^g: l u I j - r ho
UuU t \..rdrt. m. rc
...
i j c ' l i c n n i , c ure^- a z j diii ^ dr:;ez gapt hv
ve ChodZ k o ù n t j n l anezlian! Evoldri c'hronadun'i;. C'houi garfe beza enn h "
eac'h. livirit d'hin, heh den da c h o u n i t lian an dc-mezel-ze a zo b e l .-=a\et lia m i ,get riî zibrederl Mes BiuL n'eo k e l maro
leoc'li eun tamiu bara 1
awalc'h. a dniirare. Doue; p: glev.i ,>r c h.
Di.t.
d,
I'.
h;
.1
Dill.
Ici-, ne K i T - r
— .\l..d
.•;-z • ae respaimlaz kel. re fuliMWt
>: m. » .ir»ok e.i .-m g j o i i i v,«r
hent
I'.' Ivimor a loa t.-oei o Wer.z. ha ler.va
i;îrez.«u evel Ksréobl ne ga>er k e l tismJez
(Da
gendalc'her).
Demandez le « Courrier
du Finistère » dans toutes
les Hiblioflièqucs ùci (iares
tru-Finrstôrc.
Ivell
Btudo de M* S o r K i i l a r d ,
^ivoué, docteur eu droit, r u e
Voltaire, n* 13, à Brest (suct M C e u r de M* Rolland).
l I C I I T r Judiciaire d'iiniiieuf C n i C W s , cit l'Otude et
par le ministère de M- Cuei-meur,notaire au B o u r g - l i l a i i c ,
le m a r d i S a v r i l t !) I a, une
beure l / î d e l'après-midi.
Premier lot
E n l a commune de K e r u i l l > . f t par extension en celle
de Plouvien :
En Kernilis, le l u o i i l l n <l«
B a n l g u e l , comprenant quat r e tournants actionnas par
une turbine liydrauliiiue marq u e Hercule Progre-s, maison
servant d'habitation et install a t i o n de matériel do m o u l i n
et de minoterie, sranges, écurie, étable à vaches, l soues à
pores, cour, maison à f o u r
avec tour, le tout couvert on
ai'doises, vanne», écluse, iléversoir, courtil et terres de
«JifTérentes natures, section C,
n - 4 » , M6, 417, 53i, 535, itô,
418, 449, 4M p, 457 p, i;tG, 5:î7,
538, 539' 540, 541, 5i:', M . .-.ii,
545, 546, contenant > h. 28 a.
40 c . environ.
2- E n Plourien, l'étani; d u
m o u l i n de Baniguel et uu prt'
coDticu nommé Koeiinoc-Allen.pature Ar-Vanel et i-'oennoc-an-Heut. section l i , n - 53
Ws. .«is. Î8, contenant 63 a. ;tO c.
envlnm.
ho m o u l i n do Baniiiuel o.s!
grevé d'une rente perpotuelle
de 120 f r . l'an.
I l est loué pour 9 ans. à
c o m p t e r d u 39soi-tcmluo l i i i l ,
moyennant 750 Ir. l'an, i n i p o U
et charges en sus.
Mise à prix : dou/.o iiiille
francs, ci, i î . O i i O tr.
Oeuxiéme toi
E n la commune de K e r n i l i s , au Prat al-Lann, et prés le
bourg :
Une p r o p r i é t é de const r u c t i o n récente, («mprenant
maison d'habitation, {rrati;_'e.
* ) u e à porcs, croche ou écurie, le tout couvert on ardoises, c o u r close, puif.s. jardin,
et jardinet, un champ, terre
labourable nommé l'arc-ar•Véngleuz, le tout d'un seul
tenant, section K. i r ;t5u. contenant 31 a. 3(1 c. environ.
Mise à prix : Sept m i l l e
francs, ci. 7.00(» f r .
Troificme lot
Contre le bourg de Kernilis,
a u l i e u d i t Poul-ar-Born :
Une m a i s o n en ruines et
deux pièces de terre labourable aujourd'hui réuiiies en'
one seule, dites Parc-ar-leurguec et A l - L i o r s , .section B,
B " 383, .384,3S5 et 385 bis. contenant 38 a. 4S c.
Mise à p r i x : Sept cent cinquante Iranc.s. ci. "ï.'.O fr.
Quatrième lot
Deux v h a m p N , t e r i e labourable,contigus, nommés ParcLaneinoc, et Mes-a-lan-Uian.
' section B, u"3i)K,401. 400, contenance tetalo K7 a. 50 c.
Mise à prix : Onze cents
Irancs, ci. f.fOt» fr.
Cinquième loi
A u lieu de Traonbilv, une
r a i r i e dite Foennoc - an ent-Bras, section C. n - CSS
e t 1345, contenajit 22 a. 42 c.
environ.
Mise à p r i x : Treize cents
francs, ci, 1 . 3 0 0 fr.
lies 2', 3' et i ' lots .«ont libres de location, le .î* lot est
loué jusqu'an 29 septembre
1919.
X o t a . — .\prés adjudications partielles, les i - , y , 4'- et
5* lois seront réunis et remis
en adjudication en u n seul lot
et s u r les mise.s à p r i x p r i m i tives o u sur le montant des
adjudications partielles.
Sixième loi
E n l a même commune de
K e r n i l i s , au lieu de C o / . - i i i Un, une p r a i r i e dite Foeinnoc-ap-Vily, secUon B. n- 332,
contenant 28 a. environ.
L i b r e de location.
Mise à p r i x : Quatorze cents
francs, eu 1.400 f r .
L a vente de ces immeubles
a été ordonnée suivant j u g e ment contradictoire rendu par
l e t r i b u n a l c i v i l de Brest, le
13 février 1018. enregistré.
Entre :
M. Vincent Roné. veuf de
dame Marie-Françol.se Calvez,
propriétaire a Prat-al-Lan, en
Kernilis.
Demandeur ayant M ' s o r g n i a r d pour avoué, demeur a n t à Brest, m e Voltaire, 13.
Et:
M . François Léon, époux de
Marie-Jeanne Calvez, propriét a i r e â Praty-An, en Kernilis,
p r i s e n sa qualité de subrogét t r t e u r , faisant fonctions de
t u t e n r de M Jean-Marie Boué,
célibataire majeur, interdit de
j u s t i c e , à cause de l'opposition
d'intérêt existant entre ce dern i e r e t M. Vincent Houé. son
• père, susnommé, tuteur à l'interdiction.
Défendeur ayant M* V i c h o t
p o a r avoué, demeurant à
Brest, r u e de i:iam, n" 24.
L e cahier des chanTe.*. réd i g é par le notaire commis
p a r le jugement prédaté, dem e u r e déposé en son étude
o ù l ' o n pent en prendre connaissance.
L'adjudication a u r a lieu aux
j o u r , l i e u et heure susindit qués, en l'étude et p a r le m i Dlstore de M* Guermeur, n o t a i r e a u Bourg-Blanc, en six
l o t s et sur les mises â p r i x
fixée», en présence de M. f i u i l l a n m e Honot, charretier à
Lesneven. snbrogé-tuteur ad
hoc d u d i t sieur Jean-Marie
B o u é j susnommé, interdit o u
l u i dûment appeléF a i t et rédigé conformément
4 i a l o i par l'avoué p o u r s u i -
g
te 4 mars 1918.
SORCN'lARl).
f
CREil
'C.^lMS
DépuratifiM
Ifl'PEAO
BSUPSAU'
VENTE
ADJUDICATION ^air
L O U Z O U
SIROP
•owisiDij.npJ"^"
sajtîf)
f ^ m ACHAT
i.e cahier des charges di i
tuùe de .M- ! 4 o i ' « m t t i i l
SS, D E N T I E R S & . C C . -.- __
_
^
avoué, docteur cil droit, rut nour parvenir A la vente m
ENVOI «OTICE eXPUC*TrtE rRAKCO SOUS PLI fOUÊt
Aw—â
Voltaire, n-13. à lircst (suc immeubles ci-dessus dé.si<;iii
ALABLE
coHsenvEN
L'
A
DRESSE
o
année),
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l
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à
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"
CEIie AlIKOHCe EST
il<-nii'Uie déposé en I c t u d
ces-senr <le M" Uollaiid|.
j i i d i i iaire. en l'ctii ue .M- Dilasscr, iiotairi'.
1-e C o r r e , noVENTE_ de et par le iiiiiiis
Lesiievcn
tëio
M- Dilassoi- ou sm
à l'amiable, à
Uiipléaiit.
notaire
à
Plo
luas
Sifiiu'.; itiliaudeau.
Lesgall . sur
tcl-I)aoulas, le j e u d i 4 i i v i - i
à r.esneveu,
!»
I
Jt,
a
une
heure
et
dei
I
Kti ide de M* ( i u r r i n e u r , 110
n
-^ pré.s gares, ppir o p r i é t é d e
le ranrës-midi.
an l{our„- iila:!
•e
avec
terres,
prairies,
1)1 siiTiiation des immeiil
jarilins, arbres et ar.•i vendre .
VENTE b l i q i i
ITiiti
environ),
avec
faKii la commune
l.aiii
K f i i i i l i s , le j f i u
il'acquérir deux belles
l>;ioiil:is:
1'< niH •s H » i ( ! , à midi,
icontigués.
- A u lieu t Ilcpeii
U i m l u o l . i i i . r d. p.'inl:ii
resser pour visiter au
de la suucv-^siori l - i . r l i c i a i i •lam-c- du Squilliei line m n i .
•I pour reii.<;eii;iicment8
L-l I.'lrni • coiiveri
tioii !!(ju.-. i-ominde .M.Sr!
[•r. audit .M' Le Corrc.
midi
de
l,i
lie. lits avec so
ii.int vai
mii^r.'i <-t acioiitioini'iitf., tuMi MiaisO! aire à l.attre. — I.a
par adjudicalire
au
eoiiclianl
preii
de l'iiit. 1 idéaux, eftets e; di inoitié
VENDRE lion volonver;, tibjets de liti'ri<-, I -i rmoi d iin « u t i l i: om'ii.- l.i . i s . A I
l.iiie.
.11
Ictiide
et p a r l e mipi
tlt
l
e
r
i
a
i
i
i
i|iii
leur « t d'un
l e àj;lace acajou, 2 tal.l
istère de .M- Le Corre, no11- Plai--ai-s v II
grande irlace. ( o i i v o n s .
taire
à
l.esneven,
le i i i a r t l i
.1 rii-Culo.Querc'h.
les, bouteill.'s vidi-s. 1 i
l'J m a r s I f t I H , a u n e heure.
iitcnaiil s lUs fond
matin, chaises. 1 toiiriK au .1
l'iemiei-.'iiieul.
—
En la
vîroii. seciiun 1". ii' t;
cuisiiio. 1 bi. ycl. tt.-, sr rie (
•omniune de l ' I o u u é v c u l e r ,
à p n x ; .Neuf
niesures.i:<.inptiiîis.<-lii' .alct
.Ml,
la
f
e
r
i
i
i
o
de
CoNfoiii-n.
conli s. , i. 'lOO fi .
planche ttes et M>>ai>lilé d a i
tenant pré.-i de 10 hectares.
très objets.
' („(. — l i n la même
juissanco
au
29
septembre
lUiiii: un cmplac-i
A u comptant,
eu sus.
1918, même avant.
LiniM II. autiulois
.Mi.=ie | , r i \ : l.'i.dOO fr.
Etude de M ' ( ; u e r i e u r .
Coz ou .\ii - Ty
ft'u.viéiiifiiif.i*.
— A u bourg
ir
reiiseiïneIresser
poi
laire au Uo ii^ ;la:u
iiaies vives.
de
P l u i i i d o r . m a i i ^ o n et deux
.Misa a p r i x : Cinquante fr., nient s, en IclM.k de M- Uïlas
cièclies neuves. pui.< jardin,
Il
Ictmles
ilr
>i!aire.
ct
e
NC:-,
I
.4(lju{licalioii
( l ' a i ' b i ' f s •i. o!i fr.
.•(.uisj^ance imicédiate.
\ichol
Sor_-ni:ird et
loi. — I.a moitii- à preii. n -Mise .1 p r i x : ii.iKio fr.
1' 1
le j e u d i i 'i luai-N l ! i l ! i
Ii o au midi d un d i a i i i p d f avoui ;.s à liresl.
Sadres.-er andit .M' Le
L
o
u
s
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k
a
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k
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g
n
k
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r
hcîircs du malin, .M" lUier t i r e chaude, nommé l ' a n i-:m•egisti-.- à lîrcst, le
Corre.
meur.iiolair»! au Uour^' l i l a i K . lainoii, haie vive. ladite moil'ils, fi.liii , case
prorédcra a l'rat al-l.aiin.pK- tié contenant 3i a. o.". c., sec- Hecii nn franc (luatre-vinglAn i r e i n - k i g , an debran. hag o l l g l e n v e j o u a l l ar c'hro: Etude de feu M- S u i i b i s o a .
le bourg de K p r i i i l i s , a la liiii, I', II- l(.:8 |i.
huit 1.•enlinies, dleciiiies c m- iC'lien avez pareet e berr-amzer gant ar
vente par a;ljiidirauciu. aus
notaire a Lesneven
Sii-'llé : Hillaialeau.
l.ris.
t;i-t!iparo-'lle
sera
riéqui
ii
encliéies piili'.iiiuos do 7.; ai-M* F o r K c o l . notaire à Brest
h r e s dont 73 onm-s. t clièi.-, l i e par le chemin au coucliaiit.
1 ccrisii-r. diwsi-.sen lots, si
i:tuile de M- (.'. doi i Couruets
trouvant sur les (U-pi ndaïucs .-^ur la mise a p r i x de trois de K e r d r é o r e t notaire à
ADJUDICATION
du moulin de lîaiiik'uel, en mille fraacs. ci, -J.driO fr.
yi mur» i.ilii,
; Heures.
lot. — I-e quart à prendre
A r merc'lied a c'bell flouarat ar c hroc'hen w a r ho bizaj
Kernilis.
Diverses pareeileK
de
idicatioii
second au nord, d ime parha
Uaout
li
u
na:nm
en
eur
ober
i
i
i
i
p
l
i
j
euz
an
dien
z
e
l
e
r
r
e
à
Kerven,
en
PioudaPour visit'^r. s'adresser sur 10
c. le l u n d i
e l l e de teir." cliaud", iiommir.nit a r a o u z ar c liroc'heii da zond da rida lia kas a ra l i c l :
les lieux au k r m i e r . -M. Mcar, e
L
!
i
;
i
i
i
a
r
s
I!H1!.
à
i
une
heiirei
kuit zoUen ar ridou, ma'z euz anezho dija.
et pour tous autres i eiisei'.;no. mc'o Tachen - Parc-an - lient
1" lot. — C h a u i n de 92 ares
U; laiiv.s.niidi. en Ila salle de
A r .stanlillonn : 12 gwennel;;
1(1 cent. Loué à Tanguv, 110
meiit.s, s'ad.eoser au uotaiiv ".;eui-. coiitoiiant ledit quart la mairie
niàirie de P
l o u ^ o u l m , et
Plou
11 a. 70 c., section !•', n- Mi t p
A r voestad : 9 real ;
chargé de la vente
francs l'an.
prix de huit lar le niinistére de .M- !,ava•Ml hanter-voeslad : 5 rcal
r la ni
.Mise à p r i x 2 . 2 0 0 f r .
iuu, notaire à St-Pol de Léon, ne oll apotikerezou.
ts francs. ci, !iO() fr
2- l o t . - C h m p de 63 ares
F.tude de M- S o r ^ n i n r d
M' C. des tioïnet.s
Âoset eo g a o i a n  o t r o u MOEESL h B - u s a s
toi. — l.e riiiart à prendri suppléant
SO
c. Loué à I .:ard, .S3 fr. l'an.
avoué, docteur en d r o i t , rue
le
Kei-dréoret,
inilairc
à
Uos.
.'Vrao'.vujieriniiMij - uz an di-.-n-ze,c ve niad en em gwalc'hi
-Mise à pr
Voltaire, n' 13. à lîrcst <siic le : icciind ail m i d i dans u: culT. en la co:iimune de i ' i o u - ;;ent
: I.OlMifr.
» a u i i i i l t e l | i c a i i ; pevar real an tam.
c l i n i i i p iioiiii m'. Parc-Poul-aii K o i i l i u . a u \ terroirs de Kérae
cesseiir de V.' Hnllai.d.i.
lot. — C h a m p de 1 hcct.
\ r c 11, eoiitei aiit leitit quart r e t c t de Cantel :
IS res es cent, l.oué à Losp,
IS a. (1.-. c., se ctioii F, li110Etude
de
.ML
o
z
a
c
h
,
notaire
lande de -M' G o a s s i i e n
sec, SO fr. et impôts.
l'ioiiinloi
Sur la misi à p r i x de iiixSaint-Pol de Léon
t;iire à lierven-Plouzé édé
suc'-ession bi iieticiaire. en 1 • liiiit
•Miseàiirix : l.4(IO fr.
l ' n e parc lie de K-rre dite
cents Ira ncs, ci. I.ÎSimti
Innaradjiidicaiion.cn
uide et par le mini.-tere de M
lot. — Cli.aïup do 6u ares
7- loi. i;
e.
de l'arc-Coz, autrefois en troi
;areui
V E f î T E étude, lo j e u d i 2 I 664-cent.
Guenni ur. notaire au IJoui;,' terre froide nom tliée
Loué à Lo.ssec, 6'J tr.
cadastrée section
n - 2"
i i i a n e h e m a r s l i l i a , à 2 heures de l'an el impôts.
Kii
letudc,
le
di
Blanc, le m a r d i a a v r i l t!il,s Nevez, cont'»:;aTit 09 a.. sec. .'ii'i. 21(1, pour une contenance
l O t i i a i - s l O l i t . à : heures, l après inidi, i l sera procède .Mise à p r i x : i.OOO fr.
le 2i a. 2lic.
à deux heures de l a r r c s - m i d i tion F. i r 71s.
en cinq lots, de <ll\ e r s i m . à la vente en 3 lots séparés, 5-lot. — f ; h a i u p de I hecl.
DESIC.VATiON ;
Mise ; n x ; S.»» fr.
•Sur la mi.- j à p r i x d deux
n i e u l d r - s . situés a Saviii et d . s immeuble.s ci aprés :
cnie lot
Lot uniiine
En la eomtiuinc de S i b i r i l . :2 ares 26 cent. Loué à Lossec
mille francs ci. 'i.oCH) ir.
Pont-ar-Barrés. en P l o u z é
Près le bourg de la comt,' lot. — L moitié ù prendre Ijne parcell dite .Vii-Ebrit védé. Sur la mise à p r i x to au terroir do Croissaiit-ar- lOo fr. l'an et impôts.
.Mise à prix : 2.000 f r .
lion
A.
Il311
mune de K - i i u i î i s . 1 c h a m p iiu levant d
Bléis :
petit c o u r t i l cadastri;e sei
laie de l a . i l o O f r .
6- loi. — C l i a ï u p de 1 hcct.
de terre labourable, nommé nommé Liors-ar-Guen: I. con- pour ;;l a. <
PREMIER I.OT
Ces
iiiimeuble.s
sont
loués
52
arcs KO cent, l.oué à Salou.
Liors-ar-Venet. section C, n " tenant environ 25 c
.Mise à prix : l.VKI fr.
ection
ju.'ïiiu'au 2') septembre 1920. U n c l i a i i i p terre labourable 220 fr. l'an.
.".Sii, 387 efSrii p, contenant 21 F, n «9,' p.
Tco •ii-mc loi
dit Parc-aii-Or, cadastré secpartie
à
veuve
fierdor,
du
.Mise
à p r i x : :!.:tOO f r .
arcs environ.
Autre pari elle dite Creven- moulin de Coat-ar-Gars e; lion IJ, sous le n- 357, pour
•Sur la mise à prix di cinAiicha. cadastrée se ction A nartic à Calez, f o i - e r o n à line coiit.'nance de 1 h. OS u.
Ce champ c.st actucllemciil •niante francs, ci. />(> tr.
Etudes de M Paul H o r e l .
loué :l'> fr. l'an.
3i e. .Mise à p r i x 3.0(>(i f r .
•S- lui. — i:ii la même com 11' 312, pour t i a. r,l c .
Pont ar-l)arrés.
avoué-liceiK ié à Quimper et
Mise à prix : ''.xt tr.
Sur la mise à j . r i x d e doi;;-:. m i n e , au lieu de Korarinêiic
Pour tous renseignements,
I>E •XIÉMI^ LOT
Qunlrih,,,loi
cenlB franc.s, ci, I.JCIO f r . el !a moitié à prendre au levant
consulter les afliches et s'.v .\utre <-hamp lerre labou. de .M* Q i i e i n u e c notaire ii
l'ontl'Abbé.
Autre
parcelle
dite
.-\r-Chre.
même an-d< s< )us.
l'une « a r e n u e d e terrefroidc,
drcsser à .M- Kerncis. avimé ralde dit Parc-Crnissant-ar
i r 315, p o u r 21 à -Morlaix et à M' Goasguen. nié'is, cadastré section 1), n
La vente de ce t e n a i n a i ! • Mciiiîinec (ioai eni-'i ras ouGoa l'en, section
•ar lieitatioa, en la
ares
20
cent.
ordo^iMée s u i v a i t j _
:-c.n-i:eaure|ios, conleiiant la
notaire vendei;:-.
37i. pour une conteiianee de j - - m. _ imairi(! de Font-Mise
à
prix
:
1.IK.KI
fr.
d u tribunal civil di- lin
liresl :te iioit
l'Abbé.
le
l u n d i 18 m a r s
a.
57
c.
seclioi
a. i">;
Cm,,wi-mc loi
rendu le 3'J janvier laKs. en
Etude de M- K f v n ê i s , avoue -Mise à p r i x : S.iJOO fr.
l î l i n . à 13 heures.
F, Il 75S p.
Autre
parcelle
dite
Tachen
gistrc.
à
M
o
r
l
a
i
x
En les communes de P l o u i lami.-i à p r i x de iiuiiiz
TROISIÈME LOT
ar-Foiiin, c.adastrée section
jiidila r e q n ê l e de
:nts francs. ci, I ..;oi) f i .
I ne s a r e i i i i e dite Goarem I t a n n a l e c et d u G i i i l v i u e c .
en l etude et Groissant-ar-liléi.s, cad.astré<
I- M. Vincent KoiiO, veaT i k
I.a vente .i • CCS immeubles A. i r 317, pour 32 a. 16 c.
nton de Ponf-l'Abb6-(I'"inl8VENTE
"
"
Mise à prix : l..^)!) fr.
dame Marie-Françoise Calvez
été ordoiii!' e suivant juge
pàr le ministère de .M' Goas- incnie section, sous le n- 373 t.jn.-).
Sixihne
lot
propriétaire,demi.unintà4'rftt«iiradictoir .. rendu par le
gucn. iioiaire à Berven-Plou- pour une contenance de 9 i a
t lots d ' i m m e u b l e s , comM tribunal civii <le Bre.st, le 3U Autre parcelle dite Tachen zévédé. le I i i i u l i I I
l.ann, en K c r n i l i
m a r s 2!' e. -Mise à p r i x : 2 . 0 0 » fr. prenant maisons,
crèches,
Vras. section A, n- 310, poui l ' , ) l i î , line heure et demie de Pour tous renseigiiomeiits courtiis ot teri-es labourables.
l'rai.çois-Léon. épou .le Ma. j a i v i e r 195.S, enregistre.
:>s ares.
ICiitn
rie-.U-aiine Calve/..
l'aprés-miili.
Total
des
mise.s
à
prix ;
s'adresser audit M- Lozach.
1- i l . Yves Kervella. veuf de Mise à prix : 2.f)r)0 fr.
tiiirea Pr.itv-An. en
Iti.z - M i l i i i - Ménez, en
l.iuis.sance au 29 septembre G. 100 fr.
Marie i-a;^ Im, cultivateur au
.-Septième lot
pris en sa qualité do
Plouzévédé
Pour tous renseignements,
prochain.
Autre parcelle dile Tachentuteur, r.-iisaiit fonc liDTis "de Sqi'.inicc.e i'Iougastel-Daoïirretmcr loi — Un p r é dil
consulter le cahier des charM .lu.seph Kervella.
t i i t e u r d o M . .lean-M i rii- iiou... •
Mliors :ecti!
Lo.'^t-l.en, 1 h -'0 a. AlTermée Elude de M ' U o i i i i a r t
ges et les aQii lies.
célibataire majeur, liomiciliO iiouxde .Marie-Franciii.se Ker- pour IS a. -21.
à G rail, 120 fr l'an.
taire à Pont C r u i x '
i>. MOREL.
à l'rat-al-Lann. en K i ri,ilis,in. vella. ciillivalein- â l lsle. ea Mise â prix
tr.
M i.se à p r i x . :t,0(l0 fr.
terdit de justice, à •atise d.. P;.>U£;astel.!)a.mlas ;
Iluili me loi
Detixièuw
M. A l d. — :i pii-c-cs V t ^ T E Ç ^ Î m t ^ r e î f ' r Etude de M» F o r e r e o l , noroiiposiliiin d interêt >existnnl lain Kervclln. épuiix lie .Maric- r , i champ dit 'i'ac:
d e t e r r e , p .: tie sous laboui tude. le m a r d i 1!) n i a r s l . ; l S ,
taire à Brest
entre ce dernier et -M. Vincent Harhe l i c l l a n d , cultivateur à
et partie so i ^ lande, I h . ÎSa. à 2 heures.
cadastré .sectioi.
Koiié. son père, susnommé, Ueraleun. .-a Plougastol-Da- J2.'», pour G1 a. 18 c.
Plus un ancic.i ; irrain vague;
D
É
S
I
G
N
A
T
I
O
N
:
tuteur à son interdiction.
le tout affermé à Guillcrni,
o u l a s ; i- .M. Yves Kervella. Mise à p r i x : :. On» fr.
A VENDRE " f e » " ^
En la v i l l e de P o n t - C r o i s
80 fr. l'an.
iVffuriTOie lot
!.es dits .sieurs Vincent et épuux de Marie.Brigitte ituK e r c H î l l o D , en la commune
Pr,-,iucr lot
Mise à p r i x : l.:i<MI fr.
•leaii-Marie Koué. héritiers, navot, cultivateur à Traoue. Autre parcelle dite Tachen.
Troi.-iièmc In!. — Un p r é dit Une m a i s o n d'habitation à de i ' i u i i î d e r . louée jusqu'au
maissousiienélit e d inventaire ilaii. en l'Iougastfl.Daoulas ; a r - V i l i n , section A
32fi.
-29
septembre 1921, à des conPrat-lira.s. 38 ares. Affermé a usage de commerce, formant
seuleiiient de la succe.ssion de •• Mme .Mari.vClaude Kervel- Dour 9 a. 01 c.
l'angle des rues de P o u l l o u e t sorts .ibalèa, ! . 2 ( I 0 fr. l'an,
(iiiéguen, (iO fr. l'an.
Kenc Kervella. Mise à p r i x : ,';00 fr.
M. îs>bastien Koué. leurs hl; la, épouse
du Couvent, comprenant rez. impôts et ciiarges. ConteMise à p r i x : i.iîîlO f r .
et fï-ere, siiic.mt acte p issé au et ce d c r n i t . en auiuriîé ei
[)ixic-.,-.c toi
de-cbaiissée, étage et grenier. nance : 16 il. 2i a. 76 cent.
greUi; d u tribunal c i v i l de privé si be."oiii,cuItivaleurs au Autre parcelle dite Tachen
L'avoué pour.suivant,
-Miseà p r i x : T . o n o fr.
Jjrest, le 28 janvier 191S, enre- Dourg de Plougastel-Daoula.s ; ar-Vilin, section A , n- 327,
Etude de feu .M- D a v i d , noF.
K
E
I
!
.
\
i
:
i
S
.
'>• Slon.sieur François KerSistré.
neuxième lot
taire à Ploudirv
pour 7 a. 72 c.
vella,
celibataire.
majeur,
culI
h
i
e
autre
m
a
i
s
o
n
d'habiEtude de M- K e r n é i s , avoué
L.e jugement sus-enoncé à
au lieu de Kera- •Mise a prix : <00 f r .
tation. aussi à usage de comA Morlaix
commis pour procéder à la tivateur
Onzih,œ lot
en Ploiiirasîel-naoulas :
merce, située r u e d u Couvent A D J U D I C A T I O N taire, le
dite vente, oar .suite d'accep- !eun.
B. à 2 U.,
M. i'ierre-iS'oèl Kunavot, r : . e parcelle dite Coat-ar- VENTE n ^ S r ^ n r ^ l l i J ë ^ comprenant rez-de-cliaussée, J e u d i 11 m i i r s ;
tation sous bénéfice d i n v e n . éjjoux
len l'étude de feu M* David.
Ciiantel, .section A, n- 3i2,
de
Marie-Anne
Kerdontaire. M ' Ouermeur, notaire cuff. cultivateur à Keraleun. pour 3 a. 81 c.
M- Caill. notaire à Plevher étage et grenier avec petite D'une p r o p r i é t é r u r a l e ,
au Bours-Blanc.
Chri.".t, par le ministère de M cour et crèche en dépendant. silui'ie au bourg de L a U . i f en l'Iou^a-stel - Uauulas ; 8- Mise à prix ; 200 f r .
-Mise à p r i x : :;.0f)0 f r .
L'adjudication aura l i e u aux Mme Marie Kerdoncuff.énouse
Coat. son .suppléant, le j c u d
liouziémc
lot
Clause de réunion pour ces iyre. eontenaiit 6 h. 76 a. 27 c.
j o u r , lieu et heure susindi- de M -loscph Kervella. et c(
luai-s l î H î î , une heure.
I..ouée à -Mme Prisent, j u s qués, en l'étude et par le mi- dernier en aiitoriti^ et privé si Autre parcelle dite Coat-ar- Commune do P l e y b e r - C h r l s J deux lots.
qu'au -29 septenibr.-, 1919,
Chantel,
.section
A
.
ii343,
TroiMt me lot
nistère dudit M- Guermeur he.soin. cultivateur à Stc-ClirisI"
loi.
—
.
\
u
m
o
u
l
i
n
d
u
Pré.
moyennant
400 fr. l an et apen u n lot et .sur la mise â prix liuc, en Plougastcl-Daoulas. pour 1) a. 22 c.
à un k i l . d u b o u r g , un m o u i i i i I n m a g a s i n , situé rue de partenant à Mme Kannou, o u
fixée et même au-des.sous de 9 -Mme Catlierine Kcrdoneufl. •Mise â p r i x : :iÛ0 fr.
orps de ferme, contenant la l ' r i s o i i . comprenant rez-de- Vergraon. en Sizun.
t
corps
Treizième lot
cette mise .i p r i x , en pré- veuve de M. Marc Rolland,
26 a. C7c., non compris k chaussée, étage et grenier.
Mise â p r i x : 8 . 0 0 0 f r .
sence do Monsieur Guillaume ultivatrice à i^enaneach.Ro. Une parcelle dite Pont-Bian
-Mise à p r i x : 3.1)00 f r .
sous édilii es.
Monot. cnarrcli. r à l^-snevcn. zegat, en PloiigasleI-lJ3()ula.s; lïcnan-Bourg, cadastrée .sec
(Jiialrième lot
i.se à p i i x . tfi.OOO fr.
en sa qualité de subrogê-tu. 10- Mme Marie-Louise Ker- l ù u
n- 38.). pour 1.5 a. 79 c
ot. - A Keroliant. un.: Un j a r d i n , ; situé sous le.
P L U S d i F E U l
t c u r ait hoi- de J l . Jean-Marie • loncuff. v e u v e d e M . Xoél Ker. J l i s c i i p r i x : 200 f r .
p e t i t e f e r m e , 3 h. 45 a. 20 c. courtiis, d'une conterance de
so iBtëe tmeeéxf
Koué, i n l e r d i t , susnommé ou vella. cultivatrice â Keraleun.
ijual:rzifne
lot
3 a. 3.9 cent.
Mise à prix : ;;.()0i) f r .
Gué^lflOB wftm fies I
l u i dûment appelé.
en Piouiiastel - Paoulas , l i
Autre parcelle dite Pontlot. — Même lieu, une .Mi.se à p r i x : l .OOO f r .
Entrée en jouissance i m m '.
Fait et r e d i r e conformément Mme Marie-Gl.iudeKcrdo.-iculI. Uiaii-iiena; .|;nurg, cadastri-c p r a i r i e dite Prat-Pothu, J-O a
np o u r 5a a
diate pour le.-: I " et 4- lots e;
à la loi par l'avoué poursuivant épouse de M. .loseph lio|. -ection
.Mise à p r i x : I.UUO f r .
l;uid, et ce dernier en aiilo- 19 c.
au
-20 septembre 1918, pou:
soussi.^né.
lot. — A Hilun-Hervé, les
rité et privé si liesoin. cupiUniment B O Y E R - M I C H E I . |
-Mise â p
3110 f r .
Brest, le 4 mars 1918.
droits convenanceaux d'édi. les 2« et 3- lots.
H- PÉaOK,
H.
PËaOK, CHA TEÂlUÊOtlX limant * I
:eurs à fVnane3ch-Koze;;af, en
I>our
tous renseignements, L.Sfr.
;melol
fi ces et terre.Pharaadq. BfocfaTe f ^
SORGNIAKD.
i'Iougastel-Daoula? ; 12 Mme A tre Q
-s'adresser
à
MDonuart.
parcelle
dite
A
r
L
c
m
.Mise
à
p
r
i
x
;
1 0 0 fr.
avoué.
Marie - Françoise Kervella . olié
cada.'ilrce section Alot.
A
Rozana,
deux
Etude
de
M»
G
b
e
m
i
n
a
o
t
.noS'adre'scr pour l o u s rensei- veuve de M. ..iean-Marie Ker.
On demande de suite une
loU, |)oar 3 a. 5 i c.
c l i a m p s dits Parc-ar-Pontic
taire à Saint-Renan
gnements. a M - Guermeor.no- vella, cultivatrice à Keram
jeune l i l l e comme bonne dans
1 h. -23 a. .VI c.
taire au Hours-HIanc, â M» pennec, en Plougastel-Daoïi- J'ise à prix : IWi fr.
ui.ef.iniille bretonneà P.VRIS.
-Mise a p r i x : i.soofr.
Sei-ie,ne toi
A VENDRE En lacommn- .'^e présenter chez Mme K O L sorgniard, avoué a Brest.
las : 1.3- M. Corentin Kervella.
Autre parcelle dile Tachen
6- lot. — A I r e v a l a n , droits ne de l ^ n r ï T o a r é . â f^anven- ! . \ N D , 13, place St-Uartin, 4
e,TOux de Marie-itarlif Ke
E n r ^ s t r é à Brest, ie
r .'innés, cultivateur a Kerani- .Oancl, section A , ii- 481, pour convenanceauxd une^arenne.lnec, une m a i s o n à usar-e de B l t E s r
mars 1918, folio
, case
.Mise à p r i x ; 2t(0 f r .
jcommercc et autres édiiiccs.
Reçu un franc quatre-vingt pennte, en PIougastel-Daou- m a. 5'. c.
JiiiC â prLx ; 3tO f r .
L'avoué poursuivant, Courtiis. ch.imp et dêpendan '
h a i t ccuUmes décimes comF. K E U N E I S .
ce.î. Le tout louô à Mil.- M e r . C O I F F E S . iHX-srptième loi
pris.
Signé ; Jiilleaudeau.
ri^iiî^^ffifceur, ju.sq " u "29 septembre (es bien l.rodêes, c.orr;ei:es
Autre parcelle dite .Ar-PalEtude de M* G e H r o y , notaire bemandeurs ayant M- Sor- leniiic. cad.i.-trée section
R n i l l a n o ^ p i ' i p ^ céder, pour Inroehainprochain, 'if) f r . l'an Ct IC: boiiiicLs. vieux petit.? châles
^niard p o u r avoué, demeu. u- 519. pour 2 a. 86 c.
à Plour-scat
de communion, etc. S'adr.ïsUUUldU^Ci iC causedesanté. impôt':.
rant â Brest, r u e Voltaire, Mise à p r i x ; ô;«>lr.
ITix modéré. S adresser auj S'adresser p o u r tous ren- .ser à B r e ^ t 2S, rue Jean JauIjix-hi'.itiè.ne foj
j.iumal.
iseignemenLs à Jf- Cheminant. rès. .lu 2' •••tasc.
A D J U D i C A T i O N t ^ ^ ^ n- 13. E t r
Ix; l u a r d i Vi m a r s 1918. 1- M. Paul Carret, ccliLa- Maison d'habilation et logeà ï heures, en l'éludé e t par le taire, m.ijeur. clerc de n o u i r e . ments d'expl.Htation en Ires
ministère de M - Cudcnncc. au b o u r g de Plougastel-Daou- :<on état, y joignant u n courtil, le tout cadasirée section
suppléant
las, en sa qualité de tuteur A, n - -287,2SS. 289, -JS.) p o u r une
En P i o n e s c a t
ad hoc de Jiaric-Noane Ker- contenance de 32 arcs 54 ccn
Preynier M. — A Rotfh- vella, lille mineure de feu Nck l
Plat,
c h a m p ferre l a t o u Kervella ^ t de Marie l ^ i i i s e liarc.s.
rable, n- I >4I. section C, con- Kervella, demeurant avec c-jltc •Mise a prix : 800 fr.
Beus i y H O î l E g L , docteur apotiker
Ces immeubles sont loués à
tenant 40 ares. l i b r e de loca- dernière à Keraleun, en Plou
lieu
lion. Mise à p r i x : S.fMM» f r . gastel-Uaoulas : -2- .M. Jean, M. Yves Lesmenven, au
„..„..„,
de Kera-jret. en Plougoul:
Onan hebken, etoues ar re zo klnniget deoc'h. a staag ar gwaU-pas r«ktal, «
Deujcieme iol. — J-res la Kervella, veut de Marie-Fi an-iavec d'autres i m m e u l les Jusgare, u n b e a u t e r r a i n A bâtir çoise Kervella et aujourd'hui qu'au -29 septembre I9;5.. Enayant 18 mètres de façade e l poux de -Marie-CIauuine Ker- tréc en juuuiîacce par rnnins
4U inctres de profondeur.
.-ella, m a r i n de l'Ktat, demeu- d u p r c n l e r lot a u a» septemB guerz c peb apolikcrex.
M i s e â p r i x : 3 . u n o !r.
ant â Kerdaniel. en Plougas-'bre ' 't J.
s-tàr.ka 'ra a r r-az e r berra amzer ; r a r e a ra avecnn-j e2S heur
l ' o u r tous rc-.fcizne;! ienfg,iic!-i)ar u:as en .sa qnalite de
v m s reni=ci;riîeir.ents
Ejit: b r o n c u i t e , ffr!i>pc, i n C . i î m z a - - K l c n r e j o i i p o l t r i n .
sa I r - . ' - f r a l,—i.!...
:t.it'..ir<Iii n . i i i . - i i r . i i . - p N K ' r
a.
- .
I..njl.->ii i..
i.o!/fa " a d , :{ î :
•.^ell
t.; .
.
I-.,l,le
iJ..'.l>>C.<lIe, i. lU
r-richou k^nta, mr-lalcn..^errlf...
\î V,,;...
,
.f. . '
t
er cli-.>:i..-o:iiH';
d(i
ulc< rn.s.,,.our. -ri»»!-:..
a..le K c t r c u . . - ! . •l.o!..rrc- a"Ros
Suaj, ur c iir,;;ic:i an O"»sition;. l.ntj<,Titl.
:rc ; .i ikbour te
i
Irofi.
etc.).
M"
Sorgiiiard et
\iciiot,
avoois.
Enregistré A BrosI, le
mars 1918, folio , case .
lîeçu : un franc nuatro-viu-jt.
huit centimes, décimes com-
sï)!?
;oi»J » f i t n ;cn»j » ppiv —
...
'flf-
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CELTIQUE
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|in oa^ I ««I ' w e w . » » SéoBiq ftJl5wj
j i - î w j j n » i j i f e i «»<T
«»<Tir>ïtBr7i . — . nnspw.
e p c u v i p ne
rw»,u
^ ï i j n&iot ((«a
0 -ZBo:^ |-ÎIUIIJS » j j olO.iLïo
p !).»<> efip
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az z «looj.v.o J i o j r
jiniSn n i i i . su rrI
SSni 'joVstruA^ in upr^.ni.i " B i î r j j f ^
Samedi, 9 Mars 191«
LE
ISUMEKU : l O
(JEi^TlMES
JOURNAL FRANÇAIS-BRETON PARAISSANT LE SAMEDI
A H O W K M K M S
KiniMcrp. Côtos-du-Noril, Mnrl.ilian . . .
Aiiires DopnrK-minti et Colonies. . . .
(un an)
—
B fr,
C fr.
7 (r.
l U n n ; ; ^ f l . n i o n Post iU-)
—
C/iUfi^eiît^/it d'a'ir?.M( : o f r . 3fi avrc la dernière bai
•.te.
Lf< .ilionn^ment< partent
d u 1" d.-î cliaciue rn.^is c l s^ p.^yeu•. d'availfp.
ur coitii-rualion
pendant
quclqucf
'Jura.
I.a prodrcHnn
des onuerves
à Chiliu'i.iHciir.'! ccnliolrc,
de mnnii-r'
(te Us uiii''i-'rs
utilisent
flcinanent
•tus li's o:itilUir/i'r. et tout le
maiérie'
lont ils
dispoacnl.
L'umcnugcment
d'inxlallctlions
frigo•ifiqufs
dans Ic.t ports de pèche s'érc
lour^iiivi
d'ur.^i-iicc.
f.a
ripartilion
'••luitahle des appâts nécessaires
pour
• a pèche (rognes 'et farine
d'arachide)
'•nirc les divers poris intéressés, .<!era
^Iriclrmenl
surueillcc
par le gouverne
nrpt.
Enfin.
M. Bouisson a promis
diniisicr à nouveau auprès du ministre
de
fa Marine pour la mise en sursis des
^ S l a r l eo h o r c'halon enn hor c ' t i r e l i inscrits
maritimes
de la calvgorie
G.
H a starloc'li ar Groa/. enn hor Breiz I. Dires de cinq enfants,
et auprès
du
•iiinistre de la Guerre pour la mis.^ en
.•iiirsis des tcrriloriaux
et
réservistes
de la tcrritoriiile,
conslructcurs
de bateaux de pèche et d'engins de pèche.
*
CE ÛiUI SE PASSE
Le
f n ier, le Sénat a adopté h protêt de loi sur len l o y e r s tel qu'il était
rerenit de la Chambre. La loi est donc
dcfiniticc.
*
* jf
Le 2S fécrier, la Chambre a roté 100
millions pour un office central des p r o d u i t s C h i m i q u e s a g r i c o l e s . Il
s'agit
de créer dos engrais de
remplacement
pour venir en aide à la culture.
Une augmentation
de solde de 540 fr.
par an a été allouée aux soas-ofiiciers
n solde mensuelle qui ont droit en outre
à 100 fr.xncs pour chacun des deux premiers enfanls, à 'JOO francs pour chacun
des suivants. C'est joli.
Mais ils parait (ju'iin certain
nombre
d'entre eux touchaient l'allocation
et la
majoration
; et eoiunte on supprime l'une
et l'autre, les sous-qflîciers gui ont des enfants perdent au change. D'au mcconteniement.
Questionné le 3S/écrier
à la Chambre,
M. Abrami,
sous-secrétaire
d'Etat à la
guerre, répondit qu'avant le 14 juin 1917,
seuls les sous-offlciers
à solde
journalière étaient admis au bénéfice de l'allocation de la loi du 5 août 1914. Sur des
instances qui s'étaient produites, le Gouvernement étendit le bénéûce aux sousofficiers
à solde mensuelle.
Aussitôt
4'J.OOO sous-qfflciers comptant cinq ans
de grade optèrent pour la solde mensuelle. Ils furent déçus pour la
plupart,
les commissions
n'agant
admis
leurs
demandes d'allocation
que dans la proportion de 3 sur 350
environ.
Comme compensation,
on leur a accordé une augmentation
de solde. Fallait-il
aller au-delà ? Le
Gouvernement
ne l'a pas pensé. Mais il a autorisé les
intéressés à opter pour la situation
préférable pour leur famille.
De sorte que
bien peu se trouvent lèses. Le Gouverne
ment est disposé à accorder à ceux-là
une indemnité
compensatrice.
La Chambre insistant pour l'octroi de
Pallocation,
M. Abrami promet de soumettre la question au président du Conseil
et au ministre des f nonces.
M. Abrami,
sous-secrétaire
d'Etat
la guerre, a déposé le projet de loi
t:incorporation
de la Classe 1 9 1 9 .
parle d'appe 'ier celle classe dans la
conde huitaine d'avril;
mais pour
core aucune date n'est arrêtée.
à
sur
On
seen-
»
«
E n c o r e des t r a î t r e s
Cinq d'un coup : .Maurice
Tremble:,
banquier ; Su:-g Depsg, artiste
dramatique et son mari couvre-pot Emile
OuilUer. pharmacien ; Henri Ja;/.
antiquaire
à Dijon ; Louis BroJier.
Ils sont inculpés d'inlelligénees
avec l'ennemi.
La place nous manque pour
nous
étendre sur leurs méfaits. Disons seulement que du tem/is de .U. Malvij, ils disposaient
d'autant de passeports
qu'ils
voulaient pour se rendre en Suisse, afin
de se rencontrer avec le banquier
autrichien fiosenberg,
dont Tremblez
était,
avant la gverre,lc fondé de pouvoir.
Ce dernier, qui résidait par
moments
au château du Guillf/, en Moèlan.
qu'il
avait acheté, et où il avait installé
une
femme et son enfant, avait
en même
temps un luxueux appartement d
Paris,
où il se rencontrait
avec Suzg Despy et
d'autres femmes de joi/euse de.
A Moëlan et dans lès environs, on s'étonnait
de ses fréquentes
randonnées
nocturnes
en automobile
le long des
côtes. Renseignait-il
les
sous-marins
boches? On le saura peut-être un jour.
Comper Morel
n'eo ket roue
Disadorn e lavariz eur ger bennag
euz eul lezenn nevez kinniget, var
goulenn Morel hag he gomperien socialist, evit kondaoni al lanourerien
ùouar da hada ha da eosti ed, zoken
pa n'o dèfe na tud, nag oustillou, na
teilKomzomp c'hoaz enz al lezenn
manket-ze, choumet a-istribill, dre
faot he faeroun he-unan.
A l labour a oa bat boulc'het brao
awalc'h.
An daou artikl kenta a dorre ar
marc'hajou ed, hag a zifenne gwerza
ar greun da zen nemed d'ar c'houarnaman t. An oll greun eta d'ar c'houarnamant, goude diskonta al lodenn a
vefe red evit maga peb tiegez hag
evit hada.
Da c'houde e ioa gwasoc'h.
An artikl trede a roe galloud da
vinistr al labour douar da verka da
bep departamant eun dachenn da
hada didan ed. A r prefet, euz he du,
en doa galloud da verka an dachenn
da bep koramun, hag ar mear da
verka an dachenn da bep tiegez.
Meariou keiz, n o deuz ket tregas
an alc'h c'hoaz e \ i t doare. C'hoant e
ioa d'ho c'bondaoni da dremen ho
amzer o c'haloupat armeaziou hag
o viizula parkeier. -Ma karje c'hoaz
Parisianed ar Gampr beza ri>et ho
ger da bresta d'ezho eul lodenn euz
hogwiziegezdispar.euz ar wlziegezze hag a ra d'ezho anaout, gant eun
taol lagad a dreuz, hep en em zirenka, ped devez-arat a zo bet hadet
didan gwiniz, segai ha kerc'h, ha ped
kaolena a boulz e peb park ?...
Ha gwelit nec h ar meariou keiz o
verka al loden nou. Kaer o defe bet
ober euz ho gwella, krosmolodefe
klevei.
Gwelil ivez au dentasion evit darn
anezho. Mignouned hag adversourien o deuz, evel peb-hini ac'hanorap.
Daoast ha n'e veient kei bet douget
da wdll-zaitima hiniennou evit diveac'hia re ail ?
Ha karget a oant da ziskuilla ar
ppnnou-îiegez ha n'o «Jefe keî hadet
BUREAUX
&
IMI^RIMERIE
4 — R u e d u C h â t e a u — 4'
TEL{fWO»E 3-07
B R E S T
TtltfHmt 3-07
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RÉGIONALE.
R< cl»i;ief, en f
b t r n ù r e ctHonne (fe U 3- pag« .
lie3 M a n u s c r i t s non insérés ne sont pas rendus
C» Ueini
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acw adrtut au Journal ; t /r. m n u par I ùMrttMU
Pour la puMicité exlr»-réKion»le, < adresser
h l'Affcacee H a v M ,. PUc« de
. .la -Bourae, «,
- t _P u i *
hin a.iirn zcvez-ar.it nobeuiof-'li hadet
lid.Tii c l !
l'eliûs clifil(ji i (Ire ar paneziou !
Pcli a n'iioaz y Kement-iiia; peniioii-tiefTPz. himorei.o defe hariteriiafiet heiiken, n'enz fors e po leac'h.
'•vit k.vmt eiin dachenn brasoc'h
eged bianor h
ar gwella. Arabad fall-galouni. I l i r r
Ar brizounierien boçh n'int ket oll
no an abiulenii, tenn co. Evit hoi sent, anat eo. Evelkent, nebead enz
zoiidardef! n'po na berroc'h na skaii- ar re ho c'hemeraz da labourat •
voc h ; hag e keiulalc'hont evelkent deuz bet keuz.
Urit evel-d-ho. Evit-ho ivez eo c
N e lavaran ket o pezo kement hà
poaniit.
ma c'houlennoc'h ; ar pez a zur n'o
Ha pa z oun lennet gant eun ne- pezo ket muioc'b ejjed ma c'houIen>'
beu'l niad a veariou, n'o oufen ho ali;i rioc'h
e da c'hoi'lenn prizoïinierien da zi« «
Goulennit; ha rauioc'h a l a ^ n r a
Hogen, ai' C'iioniper Moiel en doa kour tud ho farrez da gas ho laboii- ezo greet ena ho parreziou.
lavaret huel o doa ar penuou-tiegez riou onn dro.
CORWITIN.
dislcr greet euz lio gwella, evit an
B
darn vuia. Dnrn eiiz ar re vraz hebkon a oa bel lezii es. pa n'o doa ket
zoken diskoiiezei bolontez fa!l.
— .\c'hanta, eme an aotr. de
Gouyon, perak neuzc c'hoantaat tieprasi ar re vian kcmenl hag ar re
vraz? Lakonip disparti etre-z-ho, pa
"z 00 sr^vir e lavarit ez iut en em zis
Imposante manifeMaîipn. — L'Infamie allemande démontrée
p;irtiet bo-unan, darn o vouzat, darn
ail oc'h ober ar gwella ma c'hellcnt
Ha nierkomp keinont-ma :
r n e imposante manifestation a eu lieu < pour sa défense, rAUemaone vent Ur» M^
le 1" mars, a l'occaiioi: sorés que la guerre pnickaiae U troavMk
» An ticge/.ioii bag a gonte araog à(lu lai7' Sorboniic.
anniversaire du serment des depu- mieux préparée 1 repousser Ti
ar brezel
devez-arat d'an nebcuta tc.^ <!e l'Alsace
et de la Lorraiiic.
laquelle nons pouvons eomt
didan ed a dleobadadaou-dredercnn Rappelons les faits.
que la France a u a r ^ a r é ses l a t o M ( t gad'an nebeuta euz an dachean-ze di- Une première fois, le 17 février 1871, les gne des alliés. Cest eetta trista o«a«M*«>
des deux provinces a l'.^s- tion seule et non le désir d'agfâadir mà»
dan ed, pe e vezint diskleriet d'ar représentants
semblée .\'ationale avaient proclamé in- patrie dont le t e m t o i r » est asMs
prefet gant ar raear. »
violable le droit des .alsaciens et des Lor- •im me force à insister sur des oaitisa* da
Hola' eme va C'homper Morel rains de rester membres de la nation territoire qoi n'ont d'anti^s bot ans T t m lise, et avaient j u r é tant pour eux 1er le point de départ des a m A M H t u a i n'ez euz ket da ranna al laboiirerien franç
que pour leurs commettants, leurs en- ses qui, i l'avenir, viendront Bons attadouar e daou runim, eur rumm hag fants et leurs descendants, de le reven- quer. I
a eosto, cur rumm hag a zebro heb- diquer Oterr.ellement par toutes les voies " Est-ce clair, demande M. PlChon, e t
peut-on mieux faire table rase de la U ken. Ar pennou-tiegez dister o deuz envers et contre les usurpateurs.
lende;nain, .M. Louis tilanc inspira à Rcndc que s'efforce d'accréditer le ooiate
ken braz dever hag ar re vraz da sesLecollègues
républicains une adresse aux Hertling et d'après laquelle l'aBnexion d »
hada ha da eosti.
représentants de l'.Msaee et de la Lorrai- i'.\l-sace et de la Lorraine aurait eu «oqr
urigjne dans l'esprit de ses auteurs, U voA dra zur. Mes pa lavarit, eur wech ne. où ils proclamaient notamment :
de rendre a l'Allemagne (fes pava alc'hoaz, o deuz ar re vian greet ke- Comme vous, nous tenons d'avance pour lonté
nul el non avenu tout acte ou traité, tout lemands dont elle aurait été dépoûMée
ment ha ma c'hellent ?...
vote ou plébiscite, par lequel serait lart psr l'usurpation française » Pourquoi le
Ar poent da voti o veza deuet, 262 cesflion d'une fraction quelconque de l'Al- roi de Prusse proclamait-Q sa résoltAJon do
de nos provinces î parce nu'dlis
député a zavaz a du gant an aotr. de sace ou de la Lorraine. Quoi qu'il arrive, s'emparer
citoyens de ces deux contrées resteront étaient « terres allemandes » î WO* Ï I S .
Gouyon ; 214 hebken u votaz a-enep, les,
ot
nos compatriotes et nos Irères et la Hépu- Simplement PARCE QU'IL TODLAIT
evel" ma c'iioulenne Comper-Moreî blUque leur promet une revendication éter- une avancée sur des terres trancaiaes, GJ^
R.ANTIR LE TERRITOIRE ALLE3LAND COOnelle.
gant Ooud hag ar Bail tad.
tre une ATTAQUE QUI ViBKDaAIT OB
Ar Gampr e doa diskouezet da Hélas ! la Force primait le D r o i t . 11 NOL^.
se résoudre à nous séparer de nos
Gomper-Morel n'e doa c'hoant ebed fallut
> On retrouverait facOement dans « M
malheureux frères.
d'he gemer da roue.
Mais, le f " mars 187), les députés des conversations subséquentes de Bismarck
Hag himoret, ar C'homper hag en deux provinces renouvelaient solennel avec le marquis de Gabriae. chargé d'afde France, la confirmation de oe q a * ^
em denn, o lavarout : « .Ma n'e c'hell lement leur protestation à l'Assemblée faires
crivait son souverain dans la lettre autoà Bordeaux.
ket ar Frans kaout bara, c'houi eo a Nationale,
Les représentants de r&lsace et de la graphe que je viens de citer. Cest d ' a i l l e u n
vezo kaoz. »
Lorraine, ôisaient-ils, ont déposé, avant dans la tradition prussienne : • l a p n o i a
Foflos ie rmsace-LoiïÉe
Ma n'e c'hell ket ar Frans kaout
bara hep ho lezenn, aotrou, gant-hi
e defe bet nebeutoc'h c'hoaz marteze.
Peb tiek a oar pela a c'hell tenna
euz hezouarou ; ha n'e blij ket d'ezhan
gwelout tokou kern huel o tont da
verka d'ezhan netra en devezo da
ober, gant gourdrouzou drcist-oll.
Gwelit pegen nebeud a dra a ra,
d'ho devez, ar zoudarded a zo sturiet
gant mistri ha n'ez int ket euz ar vicher. E gwlrionez, n'e c'hounezont
ket ho bara, na marteze ho dour.
Gwelit, er c'hontrol, petra a reont
pa c'hellont distrei d'argear evit eun
nebeud deveziou.
Peb-hini, e Frans da viana, n'e r a
mad nemed ar pez nia ra a volontez
vad, hag hervez ma kred ez eo ar
gwella. Klaskit ober gourc'hemennou d'ezhan, ha raktal en em gredo
galeour.
A hent-all natur an douar a gont
muioc'h eged an dachenn. Eun devez-ai-at douar druz a zougo founusoc'h eost eged daou a zouar treut.
Ha pa 'z euz nebeud a deil, lezit an
tiek d'hen lakaat el leac'h ma 'z eo
ar gwella, enn eun dachenn vian, e
leac'h he goll da glask drusaat eun
dachenn re vraz. Nebeutoc'h a zispign hag a skuisder en devezo, ha
muioc'h a eosto, o lezel muioc'h a
beuri gant ar chatal,
Tremp chimik ha tud a vank,
muioc'h eged bolontez vad.
Ha lezeun Comper-Morel e defe
kemeret eun nebeud mad a dnd da
zua paper h a d a hegasi ar pennoutiegez ; kemeret e defe ouspena oll
amzer ar meariou : kement ail nebeutoc'h da labourat, va C'homper !
Gant an oll lezennou ez eo hevel ;
dre ma gresk an niver anezho, e
kresk ivez armee servicherien ar
c'houarnamant. An hini a deu da
c'houlenc digant peb den eal lodenn
euz he c'houuidigez bloaveziek a zalc'ho labour evit doare da lOO.ûOu lakez muioc'h.
N'eo ket souez neuze e ve kavet re
nebeud a dud var ar meaz hag er
tuicheriou ail.
Une importante
réunion,
consacrée
aux questions qui concernent la p t o b e
s a r d u l i ë r e , a été tenue au commissariat de ta marine
marchande.
Il a été reconnu d'un commun accord qu'en vue de faire bénéficier complètement
le ravilailtemcnt
du pays
des résultats de la prochaine
campagne de pèche à la sardine, il conoenait
d'intensifier
la pèche par tous tes
moi/ens possibles et sans écarter systématiquement aucun procédé de peche.
La sardine constitue un élément excellent et abondant que les populations
de nos grandes pilles s'habituent
chaque jour davantage à consommer, non
seulement comme conserve, mais comme poisson frais.
Il a été entendu que les pécheurs,
oubliant 1rs conflits d'autrefois
entre
marins et fabricants de conserves, au
cours desquels la pêchc fut souvent
volontairement
limitée, étaient résolus
à se livrer à la pèche aussi activement
que possible.
En reranche, M. Bouisson, commissaire à la marine marchande,
leur a
déclaré que toutes mesures
seraient
prises par lai. d accord avec le minis«
tère du Faoitaiilement,
pour que la
•»
»
toialité du poisson soit achetée à un
N'oon
dare
hag
enterret so evit
/>.-/.' rir - -a-:!-!,- If»// fMir '-v fr.hrirtîîns Ml
V. \ttil /.ti; ,r\ t xftr' |ii-nii->!:i-lKTi!i nri ilp-^ii'^ri-, ) i i p r ? : f l mnd Sezonii
i V i: re.Mi>ili> j.t; l i <; i m u kt i h r a Ililfifs
</<• xiiriiinra fruirlics ou iirrptr- I I ; t i i e i i i c , ; ! i i . a : n i il',!!- j e i i i i - l i c ' n c z ;
rccs ilnn% ,des.-conditions
pcmteUtuU .ioo lur Uaji iicbcula, Z.Mtt l u r ^ ' o u U u l o H i t , V £ i . u i i g u u u a c t l , «iJ.. " l i e r e v i j ^
toute négociation de paix, sur le bureau de
^Assemblée Nationale, une déclaration aifirmant de la manière la pins formelle, an
nom de ces provinces, leur volonté et leur
droit ds rester françaises.
Livrés, au mépris de tonte justice et par
nn odienx abus' de la force, à la domination
de l'étranger, nous avons n n dernier devoir
à remplir.
Nous déclarons encore une fois n u l et
non avena nn pacte qui dispose de nous
tans notre consentement.
La revendication de no» droits reste i jamais ouverte à tons et i chacun dans la
forme et dans la mesure que nctre conscience nons dictera.
An moment de quitter cette enceinte où
notre dignité ne nons permet pins de siéger, et malgré Famertume de notre douleur, la pensée suprême que nons trouvons
au fond de ne s cœurs est uns pensée de reconnaissance pour ceux qui, pendant six
mois, n'ont pas cessé de nons défendre, et
d'inaltérable attachement à la patrie dont
nous sommes viclemment airachés.
Kons vous suivrons de nos voeux et nons
attendrons avec une con&ance entière dans
ravenir, ^ e la Francs régénéré» reprenne
le conrs ae sa grande destinée.
Tos frères d'Alsace et de Lorraine, séparés en ce moment de la famille commune,
conserveront à la France, a]»ente de lenrî
foyers, une affection filiale josqn'aa jont
où elle viendra y reprendA sa place.
Comment les Alsacie:is-Lorrains ont-ils
t e n u le sermect fait en leur nom par leurf
représentants, protcst.int d'avance contre
l'idée sacrilège de subordonner le sort dr
leurs provinces à u n plébiscite? O n ue le
sait que t r o p .
Arrïvons a la r é u n i o n de la Sorbonne.
Elle eut l i e u sous la présidence de M.
Ptaphen Pichon, ministre des affaire
étrat;.-éres. M. Raymond l>oincaié. piésident de la République, M. Clémenreaa c i
les autres membres d u gouvernement, de
nombreux sénateurs et députés, S. E . le
cardinal .Amette étaient présents, ainsi
que M. l'abbc Wetterlé, M. BlumentliaL
anciens députés protestataires a u Reichstag. et les maires des villages alsacienslorrains reconquis.
Des allocutions tort applaudies forent
prononcées, par MM. .Antonia Dnbost,
président do Sénat : Paul Descbanel, président de la Chambre; H e n r i Welschinger,
membre de l'.Académie des sciences m o rales ; S i e ^ r i e d et Maorice Barrés.
Dn discours de M. Antonin Dobost, détachons ce passage êner;giqoe :
• L'.Al.sace. prisonnière de la force, ne
sera délivrée qu« p ^ la toree. ' La force
prime le droit >. a dit son geôlier. La force
sauve le droit » répondront les lil>éraleurs,
c'est-à-dire nos s o ^ t 5 . »
L'aveu de Guillauma 1»
M . Stépbea Pioboi^ m i u U t r e des .ACaires
étrangères. étaoUt d'abord l e v r a i motif
q u i poussait r A U e m a s n ^ ^ noos ravir, eo
ISTO. l'-Aisace-LorraiBe. E t U r é t a U i t par
r.iT(»;i do Cuill.iume I " liii-nji'.'ne '
_
Ifîir»' i,u :! a'îrt^^s.iit. i
iiciobre
i-^J.O, à 1 i i n p c r j l r i r c Euji,'t-c:c ;
d'abord, disait Frédéric I I entrant en a i é J
sie. je trouverai tonjonrs des pédants pa«c
prouver mes droits >. Les droits de l'Allemagne sur nos provinces n'ont Jamais ét6
prouvés par aucun pédant, parc« qu'ils n a
peuvent par l'être. Dès l'époque de Lonia
XIV. elles étaient oonnues comme i>ot<nsement françaises. Cent cinquante ans p M
tard, le général Foy disait: - Si J a m ^ Ffcmour de tout ce qui est grand et géaéreax
s'affaiblissait dans les cœurrdes baiiitants
de l i vieiCe France, fl faudrait qu'As passassent les Vosges et qu'ils vinssent en A l sace pour y retremper leur patriotisme et
leur ÉDi^ie. •
.
Ce qui était vrai soos U BestamuioB M
l'est pas moins a u j o u i d l i n i où. ils le savent bien.' Les HOMMES QUI, nos eODtania
de provo
.
_
0?«T
béré.
DESHO.NORER P.AR L A PLUS LACHB
COMPLICITE dans le gnet-apeos oA Ss rttiraient l'Europe.
,
Le p e t H - f i l s v a u t l e g r a a d - p t n
« Je rétablis par l a révâatiaa d t e e « i i s »
que la chancellerie aiieinaTuij. après n S ë ï
rédigée, conserve soigneosemeat
allez voir pourquoi — dans le mja _
rond de ses archives les plos seaètm.
ne la connaissons que depais pea de tuaaa
et son authenticité défie toote oaatestn&dn.
EHe porte la signatore de Betlunami-aaOneg et la date dn 3f jaillet tfU. Od a t f
nulamment, par tme pubîieatta " « y ^ T H
faite dans le Livre Blanc ^«•m^na oae «p
jour-là, le cfaancdier d'empire; ai^dkaFgéant ai. de Schoen de nons ratiBer m T t m
de danger de guerre • ' v i s - 4 . ^ Oe l a Bassie, avait invité son ambassadeur fc noba
demander de lester neutres et à noos i m psrtir pour la réponse o n délai de JS havres. Ce qu'on ignore et «e que le
rtvH^
c est que le t é l l g r u ^ qm' coDfaaiir m
instructions, se terminait par ces m o t f e
- Si *I Ht f r i a i a h tHiiliia i a i
ter a e n t n , m u Toadrex M a l a i <
que nons devans caaiaa t * * f * > » é» aa
neutralité, «xiaer la
'
"
"
d* Ton] et « T V c r t a
• t q w ara
ment da l a g a a m
poasc à celte i l i m i i s a S M t i w
n avant aamedi « p r è a - a î S Ï k s a
• Voilà cooment m i l M M a i i
paix k lUeure où tOe " '
~
voilà comment elle cet
.
„
que nons r a m a s ooBfnJate h ]
les armes poor sa déftasCL'ae
prix elle enteMtait Baas Um» ]
bassesse, si m x s siioBs ea r
livrer la Rnssie aisée et de R a i v à e i n ï k
gnatnre. comme la P n n a e a n a i e l a a l M ne, en (Mclaiant le liMBé q a i I
neutralité de la Belr"
Elle commençait i
d-aconl avee noŒ, 1
e n o e , la cesaraa 4e «eux «e aoa !
tot
n m e « aaqidi O e p m ^ S '
de ses d^enseora.
snicnR
LTirenrifL Oui p«>iil dlTK «l'i eUe m sentit a »
rotùe .>1 mius
civ
aeaa
.«^rte. ^ ^ n ^ x a r t . «Ci
« n E î f l l V O ï s > i i sp '.inBiiîTa ï | ap "jjIAm «a» • c i n n n n «JH» a i i i n * 0 «ai m d n
a g - i j n » xnajqoton «p ia»j»pa»!iai n m u est M i e f t « « * e à » » ^ n u ^ â ^ ^ T - o C A t p » d l » 0 0 s a * « h w O ^ « m B u S î ^ a a s a o ï m »
j;>ui *| ep ^ s f a aM<nil âp ^ i a c o s r i
1» S t p a m a n * snonwraafîjo «ai t n i n s n u r aj6 sp s>3( m v
auainna!,*xaei m J»*l - a o u n a n s a A i B O j e m a S a a S œ . ' . i e i i t i i l ' ® - ' ® ' ? ? ' ^
« t « M ca vais demeurée virante en moi depuis cette d-:»-.
l o m u c e J a u n ^ . v i t son souvenir s al.
mer dans la cniefle mdiff^reoce des peu
pies de l a terre. Brcssé» de s'aeeommoder
à toutes choses. i g B o n n t rinévitaMe fataiit« des levaneiies de l a Justice et de
Uberté.
bi«a I Cette r f T w e h t est veDoe en
dB Bons-Mêmes.
notre o m e m i
• o o s ira imposée. Tous te^aples sont
.
Il pour l a f i a s grande idée qui aoit
r M a b l i y e n t feie justice melUeure par-
i ajouter* K o »
_ r e a t l e de b a m
I Im flm maUta
MiuaHaas
l an
, pMT de*
• e n f a r « M «Mifllto» q u i aont • m i r
r ^ n n »
«e J s v
«ai potterau
m o i d u s eetdont on parlait
i» ^ nés neiaeu»
• d a Partemeut f t a a M U e m a d e tn««dle.
ait
eonquis
dans le monde i m renom de i
fait q a t e «ombattant po«ir el
se f a i t ^ o i r e da l u t t e r peur tous les peuples é p m de justiee. pour nn aTenir medlenr «es $oelét«s homaiiies.
C e s ! r t e n m que doo» connaes tons ici.
TOUS et nous, eo t r a i n d'accomplir.
Ce q u e TOUS Tonlez bien saluer e n m o i .
c'est respérance. c'est l a volonté dnme
r«alisatiaa proeHalne. C a n M n c f , f ^ a a r a
U n e acclaœatiaD formidable accoeUUt
ces paroles. Pendant plus de d i x minutes
M. Clemenceau fut o r a t i o o c é par les a u
ditetira. Son émotion f u t g r a n d e ; mais i l
peut d i r e qu'en l u i et e n nos admirables
soldat» reoosent tontes les espérances
p®tnotl<iiies-
La Guerre
f e n coips à ccrps avcc i c i p^u-ccî; d a i m a r i . u n coup
.es. L'aaaami subit des pestas i a p a t a a t e s écbOBi
6t laissa dea pneenaiers eatre tes maias de
Bas aDiéa.
Ea L o r r a i n s
A a x abords de « A I H T - O D E a T U I ,tasA n
A ta T E a a C H C T az CALOHKE, la • mare,
d a i s ont repeassé des coaps ds a a i a d u r
«e
tas a a i U dn 26 sa n ferrier. X a n 3 mars et noos avsas ezécaté, malgré aae tamptu
neife. a a large caop da maia snr tas e r f a 3 a n 4. — A a caars da b aaM d a !•* a u
Bisatiaas
e
w
l
a
»
Bas
trmipes
pénétrâraat
mars. les ailemsads eurent plas de s a
ces: denz de lears iétaekeaaata fiéasaireB> i a s ^ à ta « o a t r i è n a ligaa aUemaada aar
1 p é a i t r v daas las ligaes btilaaatatMS c< aa trsat de iJÊB m i t r e * et aae prefeadear
laat iSa métrés aa certaias peints. A a
a enlever qnebpes h a a u M s . — Itaaa 1:
da a e l U aatreprise, naa eeatre-attanoit « K A a a S A «asctaéreat a a aatra m e
pesta bntaaniqae « t captntfcea' qoe Maniais s a r aetra flaac gaaake f a t redeux k e a n u s . — U 17 février, raitiltane paasaéa q r è s a a vif combat. ^ e a U a «as
pertes bBpoTtaataa à aoa adversases. L e
bntaaatqaa a piis sans sea i e a des
tioBs tfmtaBterîs et des c e n o i s : et dasj shiSr* dea piiseaBiars dépassait I M : a s u
rantertâaMs
é j e l s a i f t b a u t é r i d . «as
r a p r t a - m i d i da 4 mars tas patréailles de
pertes a'attaignaieBt pas reSecbt d'oae
aes aOiés eut lait des pnaeaaiera.
section, tandis qne celles ds reaaemi dé
pssssient FaSectH f n a batailloB. Parmi
les saMats chargés de cette actma, si
briTlammaat réossia^ sa t n a v a i e a t da a e m
brenz Bretoaa.
FROHT TRUIK^MS
L a kaitaiaa a été a n r q n é a p a r naa vive
lotte d'aitilleria sor ta majenre partta dr
n a t r a Irant. £ a méma teams, riafanterie al
lemande se montrait très
t i t a a t sérieuement le t e m î B en
_
peiata. Ce l u t d'aiBaars ea vaia. PaitaaL
sanl aa sod-ooest da ta Botta d a Hesail
ont msinteng iatégralemen
lenrs pesdims. Et, de leur eMé, tf es cnl
r é a s n pinsisnrs iacnrstoas daas les ligne:
emiemias, et castoré ds aambrenz nrmanoiers.
Enfr* rOlse et fÂisne
Aux eavîroas « s T A O Z - L K S - P A L A H n X .
30S patroniltas ont fait des priseamiers ac
coora da ta anit d a i " aa I mars.
p l a » a a snd, au BOIS DES
ALîEBtt, nae tentative enneBie a snb
aa échec camptat. daas ta anit da 4 aa :
mars. Des prisonniers restèrent eatre no:
maâis.
A u sad-ast ds S A I B T - K H I E L , n a coup
de maia aBemaad snr les trascbées t a m e :
par des Américeias a été repoassè, dans ta
anit da 4 aa & mars. Des paDtraillea alliées,
opérant dans ta m i m e régiea, ont lait des
pnsonaiers.
Oans l a régioB de BEICIZPBKT, ma fort
coup de mais enaami a été r e p a s s é daas U
matinée d u 1" mars. Des prisogniars restèrent entre aos maias
ëvacaées partastronpes rasaes at par ta gatda
noce.
La flotta msse ettasforces maritiaMs rossas
qaiUiroat imaédiatemeat les ports flalaadais.
Attssi loaetaaapa qaatasgtaces empêeberont
da coadoiratasnavires de guerre msses daas
les ports rassra. Us a e conserveront* bofd
qa'aa état major psa aoabreox.
La Bnssta cassera toata agitatioa et propamnde cmtre ta soavemesiteat et les InsUtatioDS pabliqnes de Fintacde.
Les fortilcations élevées sur les Iles d-Alaad
devront disparaître aossiUt qne possible.
LTsthonta et ta Livoaie sereat oeeapéea par
aae f n m de police allemaBde Jasqa'i t » que ta
sécurité soil assurée par des tnstitntions natiooales propres et Tordre oonstitationnel étatili.
L'a accord partiealier devra interve:iir entra
l-Allemagae. b Bosiâe. ta ruitaadeet la Snèda
an sujet de l abseace permaaeale de fortiteaUoos snr ces Iles, ainsi qo'an tojel de la sitoatioo dans laqaelle elles se traaeetoat aa poiat
de vue militaire et naval.
Les eoatractants soat d'accord pooradmettra
qae les antres pajs riverains da ta mer Balliqoe pourraient encore « r e appeKa * paitfclper anx négocUUoas k ce sujet, sur ta désir
aspriaaé psr l'AHemaene.
A b t i c u 7- — Partant ds ce fait que ta Feras
et l'Afirbanittan sont des Etats libres el indépeadaats, les contractants s'enxs;eat â respecter leur indépendance politique et éeonomiiin*
et rintagrité de leur territoire.
Par les solvaataetdes snnezes qui nenoos
soat pas encore connues sont réglé-^ta sitoatioa des prisoaniers,tarenonctation des Indemnités poor bits de guerre, ta reprise des rapporta diplomatiques et eonsnlalRS, Ica reta•'-conomlqnes, ta qaestioa da taxta des
traités.
.Aitru^u t4. — L * présent traité de paix sera
raUQé. Les actes de raUflcatioa doivent être
échaués aussitM que posiribta i Berlin.
L e IEouvernement russe s'enjnge à procéder
l'échanm des actes de ratification, snr la
désir des poLssancesde la Quadmplice, dans le
délai de deux eamaiaea.
Le traité de paix entra en vigueur avee sa
.-.niilniion pour autant que ae* articles et ses
«nriere»
traitas additionnsta a'en décident
paa autrement
Kn fui lie qnol, les plénipotentiaires ont slcmé
personnellement ce traité, fait en cinq axemptaires originaux.
B r e s t U t o v s k , ta 3 mars I « 8 .
Le comité exécutif a convoqué nne assemblée extraordinaire des Soviets el des d o u t é s
cosaques pour se prononcer t a r ta question de
la ratlBcation de ce honteux traité q u i fait ds
la Russie une province allemande. 11 y aurait
parait i l o nne grande partie des camarades
q u i propose de ne pas signer la paix et de soulever Immédiatament les masses contre l'impérialiemeallemand, considérant les conditions
de paix comme le naufrage de la révolution et
—-mrre un coup porté à la révolution laternaL'onale n.
lias mots, des mota, des mots !
Les Soviets ont peur.
Les Soviets capituleront.
A n snd-est de BAXISIS, m conp de mair
allemanil snr nos petits postes a été r e
A s aord de P A S S O m D A S L E . daaa l a ponsaé dana ta anit d a 1 " aa 3 mars.
Antenr ds ta FOBZT BE PABBOT. dans
anit d n 3 an 4 mars, les Anglais ont abord*
A n nerd dn C R E i a s DES OAKBS, d e u !a nuit d a 3 a a 4 mars, rennemi a testé
las pesàtiOBs «aataiiaa « t r a a m i p l a i i t i i n torta coups ds atain, teatés par les Aile
plnsienrs coups da main consécutifs h de;
pnsannisrs.
maada dans ta nnit dn 26 a n Z I février, 'lombardements. Dans ta région de BBBES
A Faa» ta BOIS D V P O I T O O R , d«as la a ' a a t p a s obtenu da résaltat. — A Test dt m vif combat a-engagea, h ta snito duque!
s a i t d a f an I mars, deux tantatirea aBe- : E A T f a H O i r , Is Î 8 février, vers 10 kenre
'.oos avens repcasté les assailtanta en leur
aiaBdea aat èchaaé s o u les f t o z d'imante- es ABemaads, après a n v i l bombardemenl
'a*
i m l o t b c t k c a u n t ria de naa alliés, q n l a n a t des prisoanlen. Ulcèrent dans eoleanes a Pattaqne de ap: ofligeant des perte* sensibles. Vers VEEO.
ennemi échoua tealement en naos laissant
I ds
dft f c m d l v u ^ b c n n — L a o a i t saivaate, daa patranilles anglai- lignes. 0 a violent corps à rarps s'engagu les prisonniers. VWs BEUVILLEB. les asses firent de nooTeanz prisonoien d a u ce f o i se termina k notre avantage. L'enneiB
aUtants
turent dispersés par nos feox.
£ r p a m d s T c z a e u x a r z i z o n seetaar.
ut refealé après avoir subi de fartes pex
<ei et ea laissant des prisonmers entre n e
Au nord-est de BEILLOIT, même région,
; c fcrêckt c z M c »
a i ^ m
Vers le canal d-TPaZE à COIQHES, n n
:e 2 mars, nos tirs d'artillerie avaient emSans ta nuit d a 2 a a 3 mais oc
b n z o v o t t d a rfgerj. A n A O m a n t e d raid allemand a icboné dans la noit d a 1 " nains
êché nae atUqns en préparatieB de sortir
a n S mars, avec pertes pour les aisaillanu. sntative da coup ds main allemand é u o c
l
e ses lignes.
S d p l i r t c Icsfcty ^ n J c R e m i s » e r d m i a ioss nos fenz. — Bans ta nait da 4 an r
^
A
n
s
a
d
f
f
H
O
U
E
B
E
X
E
et
vers
fiapaard
-ions
avons
réussi
nne
incursion
u
j d Lotvaw.
(est de M E S S m S ) , les Anglais ont ezioiiti rancbées esnemies et ramené nne disais- Vosges et Jllsaee
. p a d J . a a l u w i a z o d e u e t d a aTie snccès deux Gsnps de main, dans U l e prisonniers.
Boit dn 3 xn 4 mars, fait des priionniers et
Au sud de ta Fave. nuit dn 1*' au 2 mars,
A a snd de l U T I l I C O n B T , daaa ta nuit dv :n ceup de main ennemi a snbi un échec
enlevé nne mitraiUeiue.
a u 2 m^rs, un conp de main
sui :ompIet.
B r i t d o c r c . a r B o c h c d a gJaskc h c b Dans le seetenr de W U X E T O i r . les Aus- 10S petits postes a été repoussé.
k a ( f i h i m m a d a o a h o r tralwBa ont pénétré dana les tranchées aileA Fest de LABCITZEB, le 4 mars, nous
avons arrêté une tentative ennemie sur nos
p e m a s e n j c n t m n i o c ' h ; n ^ d e s , an eoors da ta anit d a 3 an 4 mars f^éqion de Reims
détroit plii<i«nrs abris, tné nne eiamua"renchées.
k M M C w ^ o a t » ' * d a l v c z e Jcet.
taiae d'ennemis, et ramené U prisennivs et
A l'est de C U U a C ï , dans ta m u t dn
Au cours de ta nuit dn 4 au S mars, TenC k e a r i a r ^ o n t d i c i s M > I l e « i t d o n t n a e n ^ r a ï U e i u e . — I , a nuit suivante, fc> u 5 mars, nous avons réussi une încarsior 3emi a vainement tenté sur plusieurs points
Anstraluns ont raeemmeacé. Malgré nne lass les tranchées ennemies, et ramené ane d'aborder nos lignes.
c I b r a r P o n p e l l . dBov l e o c r g c v r c d vira résistance de rennemi, qui «ut nne
lixaiae da prisonniers.
é t K d m s . K c d c o e d ' e ^ m o n t v a r q n u a i ^ . te tves, ils pénétrtoent jniqn'à
Dans l a soirée du 1 " mars, nos troapai
ta d e n ^ t o e ligne, en a e anbissant que des
JAPON
k o d d x , cao cvel c peb leac'h a i l
avaient en à repoosser de violents assaut?.
ittaqnes,
La capitulation de l a Rnssie devait attirer
VITTOUB DE REIMS. Après nn bombarde
&
C h a a y a g a heUcca. cur c'hornadig
•itMr«/(
aent
très
dansa,
les
Allemands
tentèrec
très
sérieusement
l'attention d u gouverneO S n d p M a r w t g o m e z c t g a n - o m p e r oofttéreat de nenveOea pertes
M k rai
de déboucher snr la saOlant de HEUFCHA
ment japonais qui ne pouvait pas, sans de
taire.
T E L . Ifos feux, déclenahés arveo prtclsion.
graves dangers, laisser l'Allemagne eonstltner
_ f c v i c d d a T a l m r » d ' a n 1 3 a \ix c l i o u e désorganSsèreztt l'atUque. Des tractions enune menace permanente en Extrême Orient an
En Flandre Française
« r c r . a jgwaji^ iBdan h o galloiid.
nemies, qui avaient réussi i prendre pied
établissant son hégémonie de fait sur l ' i m RUSSIE
dans net postes avancés, en forent chasH i g caa hanter-aoz da Z a n t - M i h i e l ,
mense
empire des tsars.
A n snd d ' A R B E i m E R E S . an eonrs d'an sées par notre contre-attaque. A ta même
La paix ?
.^ussi le Japon envisage t i l l'éventualité
ter K N d n d c d . B r e t o n e d e r i t a n d a m oean de main szécaté dans ta nuit da 1 " heure (17 b. 40) des détachements ennemis
d'une
action
immédiate en Sibérie et des poorOn apprend simultanément que los Allew t a , a i c a z d i i o i R o d a o b e r c u r g w e ] a n X mars, les AngbOs ont tné sa eaptnri •'étaient portés k Tassant de nos lignes, e!<
oB certain nombre d'ennemis. — Oans U lace du FOBT DE LA POMPELLE (S kr
mands marchent victorieusement sur Petro- parlers sont-ils engagés dans ce sens entre les
• A o l o w d i o y , e p t i M i m i a i 5 o a n e z h o . naît dn 2 an 3 mars, nos alliés ont r é a i i i sud-est de Baims). Sous nos feux ils avai':
" r i d et qire les bolcheviks ont signé la paix cabinets de Tokio et de Washington,
On préparerait, parait-il, une décision q u i
I
(if ' i t h t i a n i e sans même regarder les
B i n y « r Z a r â o n f i a s o u d a r d e d a r on antre conp de main a n snd-ett d'Ar- dû regagner précipitamment lenrs t m
SB traduirait par nn armngement de caractère
mentiéres.
I onditions dn traité.
•hées de départ. Après ca premier échr
international
en vue d'empéclier les impor^ P o i t i ^ . an A n m a n t e d o deuz
fistoui.es deux nouvelles pourraient bien être
ennemi pronen;a nne nouvelle attaoi:
»•«*««• nord da ITEirTZ-ClIA
lus violenta dans la môme région ; 'a
vraies è la fois. Les Allemands tiennent natu tants entrepéts d'approvisionnemeuts et d'éfct d c w H d o i t k c m e n t a i l , h e p o b e r PELLE, an cours de ta anit dn 1 " a n
qaipemenU
de
Wiadivostocli et la maîtrise du
\oins deax bataillens y participaient. Jtc
r.'llemenl è s'assurer le plus grand nombro
i n r d i o c l i . H a « t c u r a z o u e z e n n o d e u x mars les Allemands, « ta suite d'an vie
ré ses eflorte répétés, l'ennemi ne put a
possible de .-egcs. Ils ne s'arrêteront done que Transsibérien de tomber aux mains des Alletant bombardement sur n a Irent de pla*
mands.
indrs le F<irt. Seuls quelques élément
S t t «ns s b c n hor mignouned.
nriqne la Rnssie sera entièrement i lear dis
de M M metresi lancèrent des eSsetifs im
D'ailleurs, c'est Ici qu'il importe de ne pas,
.rassirent k prendre pied dans la ferm
rr^lion. Ils n'ignorent pas qtio la capitula
Pu £ R i a t c s a i n i n t a v r a s o c ' h .
Alger et dans quelques bastions. Une ter. '.ion qu'ils sont en t r a i n d'obtenir des m a i l comme d i t le poilu, se laisser « bourrer le
c
r
i
n e ». Le protilème théorique est trèe simMM* ar bris, c c'hellint marteze kaout
îtive, dirigée en même temps i Test, a:nalistes pourrait bien avoir u n jour toutes
ud de la BERTOKNEBIE, n'obtenait aucur -I-S clauses révisées, et i l n'ont qu'une con ple. l-a Russie est en décomposition Comme
« a r g u c h a m s o t n r aman hag ahont
ésultat. E t pour la matinée du 2
la
Turqnie et suivant l'expression fameuse
'nnci! médiocre dans la signature qu'oppnso
« « f t t o u l l a a v r a z a d r c u z h o n t r a n c h e o u jetés" par la côntre'-attarâe d ë s ' S m e i " ë
•ont nn hn"! do I r a r p a p er Im d^l.'ïués du gou elle n'est plus qu'un a homme malade o. Les
LOS troupes avaient rétabB leur ligne, aprè vemement des commissaires du peuple. Alors voisins se préparent à s'enrichir da ses dé« ' e n i â t fcct.
ivoir rejeté l'ennemi des éléments oit
lia (ircnneut ilr.s garanties réelles et ils s'as- pouilles. Ce que prendra le Japonais échapE r clKMtcs an, pabored a r Rusi o
avait pénétré.
surent des valeurs d'échange ciont ils estiment pera è r A l l e m a n d : voilà tout !
En Artois
d e a lararat : « N a brcscl na peoc'h. y
lue la pas-session leur sera précieuse au jour de
En Cliampagne
ROUMANIE
l'ouverture des véritables négociations de paix
A rest de TERHXLLES, un raid allemand
D ' à » 3 c u z ar nUz es c o b c t r e d d ' c z h o
Voici donc les clauses principales de ce fa
Le 5 mars, la Roumanie a dfl se résoudre à
été repoassè dana l a nuit du 26 au 27
Peadant que les Allemands tentaient dr meux traité auquel i l ne manque plus pour
aiaa ar p c o e l i bech.
signer
dos
préliminaires
do paix. Elle perdm
février.
nous prendre le fort de la Pompelle dana la
Ire déflaitif que la ratiflcation du cabinet de la Dobroiidja et consentira 4 une rectiilcatioa
L a v a m o d o a ivcz. var guzul ar B o A U H S , dans ta nuit du Î 6 au 27 février, nuit du 1 " an 2 mars, sur le MASSIF de •nerlin et du gouvernement des .Soviets,
de frontière du célé de la llongrie.
c h c d h o p t m a n : • N a d i c l u c u n a d o u a - les Canadiens ont exéenté avec succès nn HOROHVILIIEBB ils ae livraient k d'autre»
ABTICI.B pitruien. — L'Allemagne, l'Autriche
coup de main, et infligé des pertes à l'en- i t U q u e t contre nos poittiens. Vers le COR
n e v c z a d o c b e d . > A r B o c h e d a nemi s a u en éprouver eaz-mimes. — Dans S I L L E T , l'actian se ponrsaivait sur ud Hongrie, la Bulgarie el la Turquie, d'une part
Conventioa fFanco-brésillenno.
iront de S80 mètres, et trouvait nos tran ol la Russie, d'autre part, déclarent terminé
I k o c l i r a b a n v a r c u l J o d c i i n I c d a n la matinée dn 4 mars, i ta faveor d'nn vlo
Lorsque
le Brésil
rompit
avec
l'AUechées évacuées par ordre. U n énergique re
i'état de guerre entre eliee et sont résolues k
« • s a r R u a i , o p r o m e t t i d i s k r e n d i o u c lent bombardement, u n détachement aile lour oBensif de nos troupes ne tardait d'ail rivre désormais en paix et amitié"
mafjne, il avait dans ses ports des narad e t U n a les traschées'. canadiennes i
w d o u a r e u - t c » . . p a U i j o g a n r ï j o . e u n l'ouest de îa viUe. H fut enUèremMrtTsjeté iaurs pas k refoular l'annemi et à rétabttr
vires
marchands
allemands
jaugeant
A r t i c l e t. — Les parties cootraelantes ces
ta soite d'nn vif eombat au raors dn- entièrement nos positions, A l'est du T i i «eront toute propegando, toute a g i u t i o n eon- 250.000
tonnes. La France exprima
le
I n n ' a c ' h o a r v e z o k e t c n n h o n aro.quel les Cenadiena firent des prisoaniers TOH, une autre tentative allemande échou
i'i- !<• îonvernemcrit, les institutions d'Etat et désir que ce tonnage fût mis à sa dispos c r > MW * g r c d .
L'ennemi sabit de nombreuses pertes en jous nos lanx. Au cours ds ces aetiono l'armée,
sition.
Le Brésil
y consentit,
mais à la
regagnant tes lignes. — Dans ta nuit du ô l'ennemi subit des pertes sërituaas et lais
.\Krir.Lr. 3. — l es territoires situés è loueat condition
A r J a p o n a s i f k o u c a c l i o a n t d a o b e r an «, les Canadiens ont exécuté avec succès sa des prisonniers entre nos mains,
que la France
lui
achetât
'ic la ligne convenne entre les parties eontrac
200.000
sacs
de
caje,
dont
il
n'avait
que
c m d r a b e a n a g e r c ' h o m c u z a r R u s i a un antre raid.
tantes, et qui ont appartenu è la Russie, ne
A Fest de la Suipne, u n fort coup de seront plus soumis à U souveraineté russe faire,
pour une somme de 110
miÛioni!.
S » c a n hanter<4iez d ' a r C h i n , e v i t m i A r e t t d'ABLEUZ-ER-OOHELLE, dans la mam ennemi a subi un échec complcl U ligne convenue ressort des cariM adjointes
— Cette opération,
ajoutait
le Brésil,
o u x a n t r a b a s e r i e n d a a s t e n n b c - noit du 2 au 3 mars, o s détacbsment aile- dans la nuit du 28 février au 1 " mars.
i-ommc parties es«c,ntielle du prés-nt Irrité de m'nidera
à solder
les arriérés
imporEntre temps, les Allemands s'aoharnatent paix (annexe un). I,e tracé ejacl de la limite tadts qué je n'ai pu payer jusqu'ici
t ^ cno h o f r c v x . D a m a lavar cz aio
aux
nous reprendre les positions que nou .--«ra flxé par la commission gprinniio riis^o fiorteurs
rranr,ais
d»
valeurs
brésibctcg « r liiMri. GwaJUcIl c o : m i l
ur avions enlevées le 13 ^^^Tifr. entre ; e l'ancienne dépendance à l'égard du la Kus
Plus p r i s de la Searpe, dans la nuit du
f « o a I » « t r c V l a d i v o s t o k h a g h a r z o u f j ao w revHer, on coup de main exicoté TABURE et la BDTTE DU MESNIL, Lcui ' i e des région.s dont i l s'agit ne naîtra naiir liennes.
elles aucune obligation vis-è-vis de la Ilussie
Le ministère
Painlecé
accepta la compar des tronpes angtaises, sur les tran- artillerie faisait rage. Dans la nuit du
"ar aibcTi. E t r e a n daeu arJ
cWas ennemies da OSEEltLAKD-HILL, per- sa 27 fé\Tier, ils avaient tenté d'abordèi ! .1 nniule renonce i toute immixtion dans les binaison.
i nlerieurea de ces pajs, d'acrord avec la
f M » awalclt da ober.
mit k nés alliés da ramener iî prisonniers nos lignes en deux points : nos faux arrè 1
Quolques
députés
critiquent
certains
population.
A r X o u n i a ï U . t r a i * c t g a n t a r R u s i ha et une mrtraUUnw. - Oans la n 5 l l du 6 an lèrent le» assaillants, — Le 1 " mars, dan!
Mais, deeant la
oics lie la convention.
b mars, nos alUit ont exécuté avae sncois la matinée, ils lançaient une ncuvelle el
.1- .4. — 1,'Allemagne est disposée, aus
d'obtenir
des nn.cire.'i pour
nos
k d e V t É b ^ t u g a n t e n c b o u r i e n d i - on antre raid.
très vive sttaque, qui était brisée par nos sit-it .jU.- la paix générale .«era signée el la
transports,
la majorité
s'incline
: et le
leux. et refoulée sauf en un point, eCi
fcodl,
c d c u s r s n k c t , d ' a r 5 cuz ar miz,
Vert BCLLECOURT, un raid allemand a assaillants réusiirent à prendre pied dau d(4mobilisalion russe complèlement accomplie marché est
ratiflé.
t r a l h a g c r d a a i n a a r p e o c ' h o t i l e z e l été repoussé dans la nuit du 26 au 27 fé- SOS éléments avancés. Chassés aussitêt pai H ovacurr le territoire sitné à I ouest de la !iTne spécifiée i l'arlicle 3, dans la mesure où
vrier. — Au cours de la nuit du 5 au 6
d e u t T o n g a n t ar H o n g r i h a g a r B u l g a r i . •Tiar". les Anglais ont eSectué un coup de nos contre-attaquei, les Allemands revinrent I nrlirie 6 ne dispose p.is «irri>nienl
I l assaut avec des forcos nouvelles. Aprè'
Lememejour,
27 février,
la
Chambre
'
l.a lliissie fera Iniit ce qui est en son pou
n u i n snr les tranchées ennemies, fait de: plusieurs tentatives infructueuses qui lem
de .500
prisonniers et capturé 2 mitrailleuses, en '--•lurent de lourdes pertes, ils parvinrent ^ voir pour aisurer riivacuation rapide des pro- était appelee a voter un crédit
vinces crienlaliîs d'.Xn.itolic et leur restitution millions
pour a c h a t e t c o n s t r u c t i o n
a» subissant qae des pertes légères.
cprendre pied dans une partie des posi
r(<BuIi»re i la Turquie . Krdenan Kars B,i d e n a v i r e s .
tiens convoitées.
^
toiim seront également évacués sans retard
)ans le Cambrésis
1(1 cours de la rfi.'eKSsion, M. BouisVers la MAIH DE MA8S1GES, dans Is par les troupes russes.
son, convn'ssaire
du 'joucernement, est
l.a Hu^sie De s'inimiscerii pas pour les ques
OOKKELIERE, dent la matinie du nuit du 5 au A mars, un coup de main en
appelé
à exposer les conditions
dans leslions relatives au droit ronstilulionnel el au
» f^vner. les AngUit ont exécnté avec tue nemi est resté sana succès.
rénnisitionner
la flotte
ilroit de» gens, dans la nouvelle orgîinisntion i/ufUe.t il romjitr
cès nn coup de main t u r les tranchées aile
lie CCS régions, niais lai.sse i leur population marchande.
nandei. L'ennemi subit des pertat impar- Argonne et Verdun
le
soin
de
poursuivre
cette
réorganis,ition
d
ao
.Si les armateurs
acceptent
un contrat
;anus. Nos aUiit détruiiirent une mitrailVive activité d'artillsria: maie peu d ae cord avec les Ktats voisins, et notamment la à l'amiable.
leuse at ramenèrent des prisonniers.
un intérêt
l'Iitat
leur servira
Turquie.
tiens d'infanterie.
de
G
0/0
du
capital,
et
leur
concédera
un
An snd-est de OODZEAOCOaRT, dans la
I.'article
est relatif a u t conJitions dans amortissement
En AROONNE, nous avons fait des p r i
de ô à .iO 0,0. Ih receomt du 5 au 6 mars, nn détaehement alla
En I f i t f y i t
lesiuelles
«'elTecliiera
la
déinoliilisation.
sonniars
an
cours
de
rancontres
de
pa
maad a été rapcatté avant d'avoir pu at
vront
en outre I.', l)-ancs par tonne et
trouilles, dans la nuit da Ï 8 f. vricp au
(eiadre les lignes britanniques.
A r i i c i . f 6. — La Hut,«ie s"en?age à signer par
an pour l'niis
ijuneraiix.
l'our
gérer
mars.
eaqvTvuft,
«tu
.lussistét la paix avec l.i République du neii- eiir-mêmes
leur
notte,
ils
recevront
f i r r l e r . < • * t r o a p e i an
:n Picardie
ple
ukranien
et
à
reconnaître
le
traité
de
nai.T
Dans le BOIS DE MALANCOHRT, nuit d,
fr.
t.'tpar
tonne et pm- MOIS, et uiie
. . j » eat r é v s f i n a ooop de
i au .J m j r s . un» tentative ds coup de main ligné entre cet Klat e l les puissances d i i , prime de rot'ition.
Les a s s u r a n c e s seront
f a M U s a s a O i n M a d n , U h 13
Au sud-est d'EPEHT, un raid, eBeetué allemand a échoué sous nos l e u i .
Viiadruplire
à
la
chari/e
de
l'Iitat
qui
remplareni
M i i t a r t • « i t r a l U a i u M . - dans la nait du 4 au 5 m.irs sur un poste
1.» territoire iikranicn sera débarrassé sans
d ' o s a a t r * r a K . tritaBulque, a permit k l'ennemi de faire
chaqun
navire
torpille
dans un délai de
« a j ï a .i.eeara
ee
sud-ouesl dé ai des t.-oiipes russe et de la gardn roiige
' J a K B - k i J W m M r i s ' prisonniers.
de la COTE 304, dans la nuit du 3 aa f I j i Itussie cessera toute agitation ou propa- trois ans à partir de la fin de la guerre.
_
asaa « a n t a i e f , ea4les armateurs
toucheVers HABOICOORT, dans la naît du I " mars. les Allemands ont tenté des coups gande contre le gouvernement et les institii- Dans l'intervalle,
• M t « M M r a M o a a et iaflJveast 4 » ecrde
main, que nous avons partout arrêlôi J^wns^.P^'h'Wues de la li,!pu|,iique du peupi, ront comme si le nvrirc
n'avait fias été
i 2 mars quelques allemands avaient
i i s H a d k l M t r e n a t a i t ; pois Ua r e a t r i
en faisant des prisonniers.
torpillé.
H y aura également
des
primes
èosii
k
atteindre
les
tranchées
britannin « a v M M pri*»ani«r«. - O c i u u a s i t
Dans la région do BEAUMONT. nos m
L'tsthonie et la H v o n i e seront également aux équipage» pour activer le
chargement
*
y » « » • " » •
aUiBuadi
trouiUes ont ramené des prisonniers a t cvacuées sans délai par I c i troupes r u i H S et et la débarquement
p
r
i
w
a
J
U
i
'
des marchan
iites.
i M w n M K a avw v«t«*.
par la garde rouge.
cours de la nait da 27 au 28 février
Si le» armateur»
refusent leur
collaboram u a k Région de Saint-Quentin
Au BOIS LE CHAUME, dans la matinée du I
i " r I î , - " ''«m^'l'alenient tous les tion.
leurs
navire»
seront
simplement
1 » février
mars, les Allemands ont prononcé une at- boLllants de 1 Esthoni.- .-i iie in l.ivonlo arrnés
réquisitionnés.
i o m ext
Dan» I« «eoteur de PONTRUET, n u i t <Ia taque, qui a (lié rfiiousfcc sprr* ii
. vmlu un
»u
>in« tentative a\lenian-te our
• t/. Ito 'T'If OTt 'ttolit^
'/II*' 4li0.lttnf
ton.
en t 'ii'-iii'Ur.'fH .-inf't riii.fili'lii.t'*-^
/ .fr
iIk rr
ll«-s J Ainii.l .oçrunt
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ifurfttii/n.
I.'Jit'M se c/tarî/cf II
ii^suftnats
Eizdez Brezel
iasilDalioBàlliranger
B M des Opérations
VKOKT BKIÎKKHIQUE
de»rt^ations:St.
Looeheur
festen-\
à/oamirles
tS.OOO otterien qui
méeestairet,
— Le a» iévriar. deax Jeanea aviataar*
cains a v a m t p ^ lesr vol avec on hydravion
«»» Prt* < ! • " on
*
toartilloo. I l capota, et vint s-éetaser dans le
— Les pnçriétaires A s CHKV.AfX port Les analMira avaient eesai de vivre
prirent pour «ifceptibles
d'ôfre ulili^-'=i par les .««.MEES, avant que l'oa céosnt à les dégager.
» la selle ou an trait, sont prévenus que
te comité du raeitailiematt
antérieaiM h s ^ K h a t s de
B«iimite vmit «L-e consiLoctady
tOk 2 6 l . : C a i ^ i 0 k . 1 2 1 f , : C a S e l S t M
amonee que le» Jours son» eiaauU aux dérablemeot augmentés.
«.ivr. i m B . f r a a c * e s M .
Etata-Vnis
ont permù
d'économiser
Le devoir patriotique leur commande de
IneaBdie. — Ua incendia a détrait. an
63 m i i i ù M S de kilo» de oiaude de bœu f présenter leurs animaux à la vente. Cest boarr «ne maiaoa habitée par deox ménWgi.
«M quatre mois, au eottrs desquels il aaussi leur intérêt ; ils pourront les vendre qui ont en leurs neoble* rédaito en eendr».
CHUTES DB MATRICES A
é^^pèdié
aux Allies JSO miUuuis de a des prix très rémunérateurs, plu? élevés
que par le mssé.
REINS FLOTTANTS
f
Poat-c^iz
de Mo» de lard et 73 miUion* de fnlos
Les A r m ^ demandent des chevaux vi^
BMOUX
de viande de beeuf.
goureux pour remonter leur» cavajiets
ïoos
DÊPUCEIENTS
DES
ORGANES"
pour atteler leurs canons.
Tbos les déten'u^urs de boas eberauz doil a ; Araok mont <ia gaont D'eux lors Su « - M i ; ts mUmmm,
BOITE AUX LETTBES
vent répondre à cet îppei.
p i o u bennag a vije. deuit da Choulenn «lOlKrMMra. n u t »
d a m 1*. — N o m m croTOOs pas q œ TARIF DES PRIX MO^-EX.> A .APPLIQUER K
S ' a î S . ' ' ^ « » « - » • « « • broyée. I l était k u z u diçaii-en
Me a zo eur npfcialiiteeuz
P a r j * • bas
»ous « j w droit i cette faveur.
A PARTIR DU 1 " M-\RS 1918
a ^ u e h i r r a m i e r ma evesaan eux S
T. a . L — Eeriies an sous-préfet en et! • Ckevanz da aefle {ejtiers. Henne» et
tfhleuveiou
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l z a i l dalt a n t des famille* de votre sHuatioo qui soDt JumenU) : cuirassiers t « e . 2.e5 f ^ T ^ S r a s o het el leac h ma 'z oc^h dalc'het. Va lealplus faToris^cs.
fr-: dra«on. artUlene
QDIMPEBLÉ
ded
a
zo
anavczet
er
vro,
a
redan
meur
^ • v e . — Vous serez sans doute convo- « I l e tête ^
f r . : dragon, artiUene seEe
D a n a t o e k T a . — Vendredi, Mm» venve a v l o a v e z 'zo- DioChto
"
e lavarin d'hoCh
qué avant la Qd de votre année. Si vous ^ p e , i.';40 f r - : légère téte, 1.080 f r . ; léJegoa.
de
Controal.
en
Tréméven,
était
veerajgnez d'être oublié, écrivez à votre re- gère troupe, ism tT.
" ^ ^ " P ^ i ^ e t p e n ec-hel
nue en ville. En entrant dans one maicon de Ut k ? t * " " "
crutement. En tout cas. vous n'aurez pa*
a- Chevaux d'aHalaf* (entiers, hongres et ta Place Caraot. ella tomba dans la cave, par ta
Ma ç'hellit beza pareet, oCh heulla va
de gratifleatioo avant une nouvelle déci- juments) : battcrtes montées. 1 " série ^appe
ouverte. Dana sa chuta elle se Ira c h u z u l i o u c v e i o c h d l l i m t d a vlken
sion de la commission de réforme, ijui ap- m o u i i de 10 ans: 1.1» f r . ; .ï» séne, 10 ans tara unlaissée
genoa.
eu2 ho poan
préciera.
E renk ar c'hIenvejOQ a voask aa d a d
et au-dessus: 1585 f r . : batteries lourdees.
N'e c'heller n i v e n an d u d am beuz na- keiz. n ez euz h i n l ebed hai; a raie keséne. moins de 10 ans: iOBO f r : y «ément
a reusU hag an « l l n l f m n
fcaaicl
a
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c'hiz
«an-en
da
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^
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n'ema
ket
Î'-kÎÎÎ
e * _ ^ e » 6 u s : L8Mft-.;chevaux
a d u d o deoz tiet bo buez pennembanii va burzudou : hag o tont d'am lOD.
de M L i " .«értt, moins de 10 ans: 1.495 f r
c
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P 8 M CEBX OW SWFFREMT !
^ série. 10 ans et au-desaoe: l.ai5 f r
r o i da anaout hoc'h hano da zen a i l
danjeruz-ze hag a zo bet mooget gantAttelage, batteries montées taaie 1 m 47
à 1 m. ez. poids snpértenr à 450 kitog
K e m e r i t m a d rahano,, ~hag evit ho mad ban I
A n o l l dar\-oudon-ze ne dlefeat m « l
Attelage, batteries teordes taille supéc'hoarvezout abaooe m'en deuz aa A a i r .
rieure à 1 m. 54, poids snp<h1etir à 540 kilo?
A
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EOOEABD. ar g w e l U s p é e i a l i a t M c a
K
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:
Les c h m n x d'attelage de < u s q n i iTa^
F a o n g » e n e r 15 meurs, h. Le Page. Baris e-kenver a n diskeno-bonsellov,
»r«s las affclMS aa d m i o a t Un aOuUs
Ivantet
eor méthode nevez. a g a s k n i t r à l *
K e m p e r . s a d o m t6 meurs, h. d u Parc.
L a circnlation dans l a r é g l o a qn-ea avrS sarast aekatéa dès m . ^
est définitivement vaincfue par la m e r r e i l Rosportfea, s u l 17, hôtel Continental t a l an diskenn-bouzellon h a g l w fare ean
X
X
eun
nebeud
m i z i o u , evel m'nea diakmiez
leuse découverte faite par le grand soé K e m p e r l e , l u n I», h. d u Commerce
Le règlement concernant la cirealation dans
ciallste de Paris. M- A . C L A V E M E . Grâce K o n k - K e r o e . meurs 19, hût. de France, an testeni-ma varle|6'h m i l l i e r o n • b a e t i « arroadiinments limitrophas de l'AtlaoBREST
digeziou o b t e n e t ^ a .
à cette belle création.esscntiellement fran- ^ n n a l e c , merc-her 20, hOtel BureL
tique est appliqué depuis dimanciie à Brest et
I M t r a m w a y s . — Ls vie est chère, ponr çaise, les hernies les plus rebelles dispa- P o n t - K r o a z , iaou 11. h. des Voyageurs.
A o t r o a A . EIMMTABD. Pans.
dans les enrirons. Cn (Ssl U d« mda« dans le*
employés de tramways comme pour tout la raissent in.<<tanranémcnt e n laissaut le p ® a a r o e n e z . a w e n e r 2 î , hOt. de France,
Euroz oun da gemenn deoeli et ooo,
antres arroodissemeots ? Noos ne le nvaos, les
monde.
Conducteurs
et
receveurs
récUmaieat
ablamour
deoc'h. pareet euz v a d i o a (tisl'aotenté compéteale ne paraissant pas très un relèvement de solde de 1 franc par jour blessé complètement l i b r e de ses mouve- ^ d e m e , s a d o m 23 meurs, h. l'Univers.
ments.
24, r u E. Zola, Sô (Champ de kénn-bonzellou enn eon nebeud mizfcm.
pressée de renseisner le publie.
plus 1 fr. « d'indémnité de cherté de vie. La
hep
an
distera
j e n a n u n t na skoisder, h a r
Bataille;.
Toutes les personnes atteintes de H e r Uooi qu'il en latt, i l sera bon de se mettre compagnie répondait qu'elle voulait bien accoro veza kendalc'het da laboorat evel dial u nfc,hôtel de France,
i e a . E f f o r t s . D e s c e n t e s , ete.. doivent
en rènle partout.
der satisfaction, mai^â la condition d'être au- n
gent.
meurs 26. hOtel .Méner.
lire le • Tniltde U Hernie . , q u i contient
Rappeloas onn dernière (ois que 1 ou doit torisée à faire pa.ver plus cher aux voyageurs
la description de cette sensationnelle dé- I ^ n d i T l a i o , merc'her 77, hfltel d u Léon.
pouvoir etrcDlsr librement quand on ne sort
VEZO. Jozef. Kerivin, t C w i n e r c »
L'autorisation dépendait de la municipalité. couverte,
K a e t e l l i a . laouJ8,thOtel Grand'.Maison.
ainsi
que
des
renseignements
pas de son canton. H est prudent néanmoins
L o c k r i s t (Kiuistére).
Le conseil iiionicipal r é u n i , a donné mande porter constamment sur soi une pièce d'i- dat au maire pour établir avec la compagnie d une valeur inestimable.
T u d t a ^ t gant an diskenn-boazeUon,
51 Bkuufe?"
•
^
. \ v a n t de s'arrêter k une méthode queld'identité qaelronqne. telle qu'une carte d'é- un avenant autorisant le relèvement des tarifs
n'e faziet ket. A r methode Edouard b r i ^
laetsnr pour les bommes.
ken a c'hell bo parea. Dalchmad e klaa« Ulr» temporaire. Les béuéBces snpplemen- conque, nos lecteurs devront écrire à M.
SaintPour sortir d'un canton d'un arrondlue- taircs que la campagnie pourrait réaliser du A . C L A V E R I E , 2Î4. Faubourg
ker he imita, morse ne vezo great kCrment limitrophe de l'Océan ou pour ; entrer, fait de cette augmentaUon seront rétrocédés à Martin, à / ' . i n s , q u i leur enverra gratis et H o n t r o u l e z , sadorn 30 meurs, h. Europe koulz. A r guella m e r k a gement-se e o
discrètement cet ouvrage ain.?! que la date
une pièce d'identité est requise
m'en deuz bet an A o t r . A . E D O U A S D a n
la ville.
de son tria prochain pasiagt dans la région
Pour sortir d'un 8rrondi»<enieBt limitrophe
dlplom a enor. Rak-se ben hebken a v e r i t
A c c i d e n t m o r t e L — Vincent Gouriou,
de l'Océan ou pour s'y rendre i l fsnt. soit
bo fizians, rak hen hebken a dremen d r e
«m sauf conduit soit une carte de circnlntion 49 ans, ouvrier auxiliaire * l arsenal, et dont
ho p r o abaoue ouspenn M v l o a z ' a * .
B-alïVe
^dTsauflle" ^
EZ0la.35aChamp D r e ze, an o l l d u d a zo goasket gant a n
Les sauf-conduits «ont délivrés par le Maire, la famille habita La Kolgoat, a été fortement E a a t t e n d a n t l ' I a t e r v e o t l o n
ou par la commisulra île police là où 11 encoincé efttre deux wago.i» I l expira peu apréa
diskenn-irouzeliou, eoazed, merc'hed, b a d e » • R é s e r v e s d e l a V i c t o i r e - K e m p e r , merc'her 3, hOtel d u Parc.
avoir été transporté i l'hépital maritime
•xiste.
P o u r s u i v o n s n o t r e e f f o r t H n a n c i e r P o n t 'n A b a d , iaou i , hOt. d u L i o n d'Or gale, o d e u z i n t e r e s t d'en emflziODtn e Quand on est lajet à des déplacements frémed er spécialist dispar-ma. A n A o t r .
Nous en&ons^, comme l ' a déclaré M . K e m p e r l e , gwener 5, hOf. d u Commerce" A . E D O U A R D , 197, r i M d u Temple, e PaLambézeilec
quents, la carte de circulation est préférable.
André T A R D I E U , haut-commissaire de
On doit en faire la demande par écrit, soit
ris, a roio kuzuUou e :
N o n - l i e n . — Mme Lestideau, sage-femme i la République française, à «on retour en
an maire, soit an préfet ou au sous préfet. Lambéiellec. arritéa I I y a quelques mois à Amérique, dans l a période l a plus d u r e
K e m p e r l é , d i s u l 10 meurs, bOtel d u C a a i Dans la lettre donner ses nom et prénoms, propos d'un crime d'avortement reproché à de la !,'uerre. Les armée.s alliées, renformerce.
dts l a C h a r l r e n s
indiquer la profession, la date et le lieu de •Mme Kerouanton, sage-femme à Lamballe, s cées chaque J o u r par les nombreux baL a n d e m e , l u n I I , hôtel de l'Univers.
iste de Saint-Giniez, B l a r s e l l l e , exn
naissance, ainsi que la résidence Et joindre bénéficié d'une ordonnance de non-lieu.
Kastellln,
meurs 12. hIStel Graod'HaïMii.
taillons des Etats-Unis q u i selon la forte die son savon g a r a n t i s a n s f r a u d e :
one photographie récente du buste de 4 cenexpression de M. Baker constituent o les Le colis postal de 10 k . e m b . c o m p . Fr. r& K e m p e r , merc'her 13, hôtel de l'Epée.
L a .Wartyre
timètres sur 4.
Réserves de l a V i c t o i r e » sont prêtes à Les trois postaux de 10 k i l o s . . . : . . 81P o n t n A b a d , Iaou 14, b. d u U o b - d ' O r .
XX
U n e b o t t e a o z l e t t r e s . — On nous fait faire face rèsoluicent aux derniers et dé- L a caisse bois 50 kilos poids n e t b Igri H o n t r o u l e z , gwener 15, hôtel BozeUeo.
L o k o a m a n : L e o n , sadorn 16 meurs, hAobserver qu'une boite aux lettres rencbait do sespérés sursauts de l'ennemi. Mais l a L a caisse bois de 100 kilos
tel des Voyageurs.
grands services dans le hameau de « e f , où bataille n'est pas seulement sur la ligne
Franco de tous frais gare d u client.
de feu. L'effort économique et Snancier
B
r e s t , sul 17 meurs, hOt. de France.
se croisent plusieurs routes.
Paiement contre remboursem, à l'arriv
en
sont
l'indispensable
complément.
Lesneven,
lun 18, HOt. des Trois Piliers.
Transmis aux autorités compétentes.
Manseignenr l'F.vèqus convoque au Folgoat,
K a s t e l - P a o l . meurs IS), hôtel Ménez& la Salette et i Romengnl, les Jeunes conscrits
Cet effort réclame notre unanime parP
l
o
n
m
o
s
n
i
e
r
L a n d i v l s i o , mercber 20, h. d u Comraeroe.
de la classe te et leurs (amllles. .Sa Grandeur
ticipation. Nous pouvons tous nous yassoCeintures médicales A . EDOVABD
U n » f u g u e de t r u i e s . — I l y a cinq mois cier en employant nos économies à l'achat
présidera elle mèma les exercices de ces pèl».
environ, deux truias appartenant à M. Laurent de Bons de la Délente
Nationale.
Tinatres.
Par faveur spéciale de Monseigneur, les Gouéreo, cultivateur à Kergounan. avaient
Ces Bons q u i sont délivrés immédiateJennes conscrits de la classe 19 qui prendront disparu. Au grand étonnement da leur pro- ment — titre.^ contre argent - à tous les
part i ce.s pèlerlnsfres oourront remplir leur priétaire, elles sont rentrées, pour mettre bas sulchets d u Trésor, des Banques ou des
devoir pascal par la communion qu'ils feront « petits, provenant du croisement d'un san Bureaux de poste, reçoivent u n intérêt
glier. Quelques-uns des petits sont de véritables payable d'avancB et exempt d'impOt de
La commission de réseau de l'Etat a l'hOD*
ce Jour-là.
neur de porter i la connaissance da public
1 0/0 pour les Bons à 3 mois et de 5 6/0
1-e pèlerinage du F n i s o a t anra lieu diman- marcaisios.
la mthoa$ LEROT H
M que par suite de nécessités de service las tralas
pour les Bons à 6 mois o u un an.
ebe prochain, 10 mars. Noos en avons publié
de voyageurs ci-après seront temporairemcat
La variétède leurs coupures de 100 fr.,
le proi^ramme dans notre dernier nnméeo.
C H U T E S da M A T R I C E
H
supprimés à partir du 1 " Marslnsqu'i nouvel
500 fr., 1.000 fr. et au-dessus, les rendent
Le pèlerinage de I l i i n i c n z o l aura lieu le
DEPLACEMENTa
de»
ORGANES
avis ;
dimanche suivant 17 mars L'horaire des trains
L école de n a n g a t i o n 73, boulv. Péreire, accessibles à tous, mûme à la petite épar•fud guaaiîei yaui d i a ^ k t - i i u - i i o u z e l l o u ,
Trains B Si et B 6 entre Rennes et Saintoblige à condensur le programme. A 11 h P A R I S , Informe les capitaines et mécani- gne pour laquelle 11 existe d'ailleurs des ma
z eo ho mad diarbenn an danjcriou a zo Brieuc.
«rand'messo, instruction par Mgr l'Evêque. ciens candidats aux prochains examens Bons de .ï fr. et de 20 t r . dans tous les var
c h e d ac'hanoc'h. daviana ne dieit-hu
Bureaux
de
poste.
RCM entre Rouen et Serquigny «t entre I M Après la grand'motse, prières nationales pour qu'elle leur donnera gratuitement
tous
gelver d'ho sikour nemed ar spécialiste a zidon cl le Mans (Ce train est maintenu entra
la France.
renseignements pours'y préparer raptdeRoustiana euz P a r i s ma 'a eo an A o t r Serquigny et Mézidon).
Voici l'horaire pour la S a l e t t e . près de ment.
L E R t > V 75, faubourg St-Martin, P a r i s .
MCK entre le Mans et Rouen.
Morlaiz, où sout convoqués spécialement les
K o z l c l i h a g o peuz ranket krogl enn
A 7 el A 6 entre le Mans et Angers.
Jeunes gens de la région de Uorlaix. pour iendi
alar
dilezct
gant
ho
pugale
galvet
da
ai
JD 1 et DJ t entre Paris Invalides et A r C
o
r
a
y
prochain 14 mars.
fenn a r vro.
gentan.
8 h. 1/2. messe de communion. — 10 h 1/
U n o f l U e t t e d a n s u n p u i t s . — Marie
G r a g e z hag a die en em garga e leac'h
Un avis ultérieur fera connaître la 'data i
^ a n d messo chantée par .M. le chanoine Reri Jeanne Mahé, igée de 8 ans, el demeurant à
ho priejou euz l a b o u n o u tenn an douar partir de laquelle ces trains seront rétablis.
sit. cure-archiprétre de Saint-Mathieu ; sermon Kerrtee.s'en était allée prendrede l'eau an puits
C h o u i oll, enn eur ger, hag a zo zoasIweton. - 1 t . 1,2, chapelet. vêpres ; allocu altuéà uns quarantaine de mètres de la maison
kct gant an d I s k e n o - b o u E e l l o n , tud a
«on de Monseigneur; bénédiction du T . S Entraînée sans doute par le seau qu'elle vou
hep stad hag ar hep dad hag a vev e r
bacrement.
boan hag enn aoun da vcza m o u i r a t
lai' attirer à elle, elle tomba daus le pnits,-Sa
uiMBRe DU juar 1 mis coacouns
a a n t a n d i s k e n n - b o i i z e l l o u ne an~ K ' j ' " " " ff®"' " u d r o n t bien al mère, voyant qu'elle tardait à revenir, courut
P a r c o u n . — Evel-se a lavar kement f S H P i ^ i i ® "
nemed an A o t .
à sa recherche. A se-; appels, M Le Ster, tailpossible sa confesser dans leur paroisse
Les pèlerins trouveront à déjeuner et à dîner leurs d'habits, âgé de 70 an3,se rendi! auprès du h l m a oa îroasket gant an di.skenn-bou- L E l l O T T o tremen keit a i l zo dre hor
zellou
hag
en
deuz
doueef
oustil
nevez
puits, et tenta d'opérer le sanvetage de l'enfant,
c horn-bro, o tiboania hag o parea, evel
danj la Maison des Retraites de la Salstte.
avec la corde dn scao. La lllletta qui à ce mo- hep ressort an A o t r . J . G l a n e r , ar spé- m'hen lavar an tesfeiii nevez-tna root enn
k,.^
X X —
ment surnageait encore, saisit la corde . mais cialiste brudet euz a Baris, 63, boulevard hor bro, ha deuet da astenn a r m l l l l o u n o i i a b a r e d l g e z l o u obfenet enn he
aSniblie elle ne tarda pas à lécher prise. Et Sehastopol.
A n oustil nover-ze, koniprenet mad ha raok, rak dre zevcr he vichcr n'ho emqnand le domestif|ue de la ferme accourut i
e
n
n
fiMi,.
a
»
mi'il
t'ai,»
-aIî-^a
m
.
.
^
.
.
....
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f
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guelieat
bcpred,
a
v
i
r
r
a
k
t
a
l
onz
.
i
r
boubann nemed var goulenn sklear a r re a
San tour et qu'il l ' j u t retirée avec un croc, la
L é l e c t i o n d u 1« .Mars
zellou da i l s k e m i , ho Chas var ho c'hiz zin.
A o t r o u LEROY, P a r i s
Sulvanl une llsto qui m'a été communiqu^„ petite avait cessé de vivre.
has ho laka da Joum cnn ho fias.
« Dre c'hrad ho m e t h o d e
raadeleznz
par la Préfecture, 37 associations agricoles
C'hoantek da r o i d'ar Rlanvourlen eur me a lavar euz oun p a r e e t a-grenn, tost
avaient fait leur demande pour prendre part
Ploaescat
breuvenn sklear a gement-se, goarantiset da 10 miz 'zo, euz an diskenn am coaskaz
a I clact.oa pour le choix de 3 délégués t
En Vhsnnanr de l'Aliace-Lerraist. — Aouspcnn dre «Urid, an . \ o t r o u G l a s c r , a epad keit amzer. — 15 genver 1818. —
loOiee départemental des pupiM«s de la nation
bed an d u d dalc'het gant diskenn-bouzel- l r o i i n R i o u , Thomas, euz Kerban, enn
Conformément à la loi, nous devons désigner l'ouverture de I.i séance du Conseil muni- l o i i pe cOorchou d a vont d he welet e r ILi-kibien,
dre Voaien (Finistère). .
cipal
qui s'e«l réuni le dimanche 3 mars.
deux hommes et une femme. J'espère que
c'hearinu-in,v
E v l t n e t r a e raio an csaeuz
N ' e i euz ket da argila ! Arabad d'ar re
chacane de nos auvte» agricoles aura désigné .M. Pierre Trémmtin, maire e l conseiller he ousiillou.
général,
a
prononcé
l'allocutioa
suivante
a zo o klask aoulajamant fazia. Ra 'z aint
au rapas da aolr
en temps utile, comme on le lui .i demandé,
U, ta da :
" .Mes chers collègues,
da gaout an A o t r . L E R O Y , ar spécialiste
le nombre de délégués que lui donnait droit
. La cérémonie patriotique qui s'est dé
iMontroulcï, sadorn 9 meurs, h.la Poste dispar, e :
le chiffre plu» ou moin élevé de sesadhérents. roulée
vredredi à Paris trouvera son écho
Brest, s u l 10 meurs, hetel Continental.
L a n d e r n e , morr.'her 20 meurs, h. Raould
Done oesl dimanche prochain, 10 Mars, que dans tou=: les cœurs français.
Lanilerno, l u n 11, hOtel de l'Univers
P o n t n A b a d , iaou 21, h. des Voyageurs.
les délégués devront voter à la .Mairie de l.i » .le crois répondre k vos sentiments en
Kastellin, meurs l'J, hôt. Grand'Maison K e m p e r l e , gwencr 22, h. d u Commerce.
Landivisio. merc'her 13,h. d u Commerce. L o k o u r n a n - L e o u , sadorn ,'3 meurs euz
Mmmune où l'reuvr. a son siège social. rous donnant lecinre de la protestation so
lennelle. imprescriptible, faite à r.\sfem
Brochure franco s u r demande. C e l u Voici comment se fera l'election'I l h. d,i.3 h., hûtcl des Voyageurs.
ChassehMcrtPurigciim^
bli?n
Nationale,
le
1
"
mars
1871r
par
l'iina
t
i
i
r c s v e i i I r l è r u H p o u r d é p l a c e m e n t s B r e s t , sul 24 meurs, hôtel Oonlinenla!.
Chaque délcçné pfSparer.i uns enveloppe ne
portant à I extérieur aucun signe, aucune in- nimilé de.s rflprf-sentanls de l'AlMco et de d e t o u s o r g a n e s .
L e s n e v e n . lun 25. h. des Trois-l^ilici ';
la
Lorraine.
64,âoal<Port-Royal.PARnMtaiim<a
dlMtlon ; i l y mettra son bulletin do vote, et
la fermera avec soin. Il portera alors au maire
» Alln d'affirmer publiquement, au cours
1 enveloppe ainsi close. I.e maire, à son tour de la phH horrible des guerres déchaînée KtuderteM» l>ioi-rc C o l i n . Thiers, n- 8 ; 2 M. André Ker17
j
u
i
n
1916;
vu
les
pièces
et de l'arrondissement de Brest
avoue à Brest, rue d ' A i g u i l , nirlou, négociant, demeurant notamment les notillcations
la renfermera dans u n i deuxième enveloppe par l'ennemi du Droit et de l a Civilisation
Ion, n- C (successeur de JI" a Brest, r u e de Paris, n- iOI, ne la demande faites aux par- et dans le cas o u aucune des
sur laquelle seront écrits le nom do l'èleclfur qne la Franco de Brest à Strasbourg, de
parties intéressées n'aurait
Pciier).
•a désignation de l'association qu'il représente Marseille k Lille, reste une c l indivisible
« agissant en sa qualité de su- ties intéressée-s ;
forinc opposition dans l e c o u r s
et I indication de l'élection à laquelle il prend
» h r o g é - t u t e u r , faisant fonc. Et attendu qu'aucune partie dudit dolal par lettres recomai l'honneur de vous proposer l'inscrip Reprise
du
cours
des
part. Knfln, 1 électeur y ajoutera sa signature, ion d'î celte prolestatlon .lu procès-verf al
» lions de tuteur de l- Joseph- intérc.ssee n'est mobilisée n i mandées odressées a u grefde
surenchère » Théodulc-Plerre Pédrazzi " domiciliée dans une localité fier d u t r i b u n a l ;
et le maire y apposera le cachet de la mairie de nos délibérations, l'afilcliage de son délais
Ces enveloppes seront aussitôt , par les soins texte dans la salle de nos séances, c l le du
avec l a q w l l c les communica» 2 Andrée-Anne-Maric Pc
sixiènie.
Réservons a u demandeur
du maire, adressées au préfet.
vole de l'adres.^e suivanto :
» d r . i z z i , 3- .Mailclcino-lilisa. t.ons postales se trouvent in- de nous en référer au cas o ù
I.e dépouillemenf et le recensement des
Le Conseil municipal de Ploue.scat. in- Suivant .icte au ranport de » beth-.Marie Pédrazzl, cnf.iiito terrompues par suite de l'état i l surviendrait uBt opposition;
ne g u e r r e ;
votes seront faits à la préfecture cinq Jour
lerpnMe de l'unaniinilO de «es conci- M' .lan, notaire si lirest, en » mineurs issus d u intiriag
disons en outre notre ordonaprès l'éleclion.
toyens, f.iteant écho à la cérémonie p j - date d u 21) Juillet IS17. eiire- » de .M. .loseph-liionvenue
Autorisons le cours des dé- nancccxècutoiresurlaminute;
tre,
Monsieur
H
e
n
r
i
Félj!S réunions du Comité départemental des
» drazzi, susiiominé, av. c .Ma- lais de surenchère du .siïiémc
trlolique du 1 " mars 1918 à la Sorboniir-,
Délivré au palais de justice
Pupilles de la .Nation devant avoir lieu à
assure le Gouvernement de son c n c m i r s vrier. ne^ociajit, ilciueurant à » ilanie Aiine-Marie-Adriennc et (le purge des hypothèques à Brest, le % février I9I8'; le
Uuimper, i l est nécessaire que les déléaiiis
inébranlable iljn.s l,i lutte pour la H.-oil Bic.-t, n i i ; <le la .Mairie, i r 12, n K e r l i l r i o u , décOdùc, »
légales
sur
1
adjudication
proprésident,signé:
Gauducheau.
ctr d('<:lani a d j u i l u a t a i n ;
soient sur les lieux de manièr,- à nouvoii- as
M. I l e . , r i Févriei-, .su.înoni- nimcée ii- 20 juillet i n n ,iu
el le r d r i i r sans r.'scrve < la .^!^roLa présente insertion faîte
. ycniiant, outio l.^s i:liav.;cs
«isler régulièrement à loul-s ln« réunion'! o n
Palpie (|o. mi'! pmvinors niarlvre^.
a f.iil prc.seiiicr requête à piolit du dit .M. Henri F c v i i c r , en exécution de celte ordonr lru:s lie
viiiite, le p r i v
vous demande de voler dinnnchc pour M
- Hier dans le, deuil de la «léfaile. s.i
lo Président d u tribunal i^emieraiif, suivant procés-vcr, nance a pour but do faire
riiii-ip.il (i(> vingt-cinn nulle .M.
André de Couêsnonsle, M. de lîéransal et
jOiird hui dans lo n c r i l i c e el '.•.-p'.r.nc-.
i i v i l de Bresl, aliii iic faire bal d u mémo j o u r , enregistré, prendre cours h dater -de ce
Mlle Lo liatird .I'e5|i''re que tous les délrguis
demain dans le triomphe du driinoau ri.' i.iîirs. d'une propricti; et dé- c o u r i r les délais de suren- au r.ipportrieM ' .lan, notaire j o u r aux délai» dont i l s'agit ;
de nos œuvras agricoles se feront un devoir de
la i^épubliqiie fral-misaiit ,nec cf-nx ,1.-. ..'lulances. sise nu lieu de chère (lu .sixiciuc sur li.dilc a Ure.si, d une propriété c l déb t a i i t déclaré que si i Texvoler pour ces trois candidats très bien placés
Nalions Alliées, honneur i l'Alsace et k Kiirmciir-Coataudoii, en l a
nmmunfido (;uipava3,et con- adjudiCHtioii, cctlci rcquéle a pendaiicoR conmio .sous le nom piration d'un mois à compter
et très compélenls pour défeudro les interet»
la l.orraino ilemeurt'es
iv.nnisps •
Ile 301IS le nom de « .Manoir eti" dénoncée aux pi rsonnes de . .Manoir d u .Mont-Carmel
d aujourd'hui, i l n'a été f o r de nos mult.oureui orphelins de la guerre.
Après avoir applaudi
v, j .rôles I.
iiiieressoescoufornieiTieiit aux bi.so au heu do i\ermeur-Coa- m u l é aucune opposition, l e
i n .MoM-Ciirnicl a.
>oici, par orrondlssemenls. le chiffre des Conseil municipal 6 l'unanimité a v o t i lu
Celte adjudication a été pro- disposition* du décret d u i ; taudoii, eu Guipavas, moyeu- délai de surenchère du sixième
œuvres agricoles Arroudigi«ment de Breit, 66 • proposition dont le texte a été tranimi» à
j u i u 1916, et après i'accomplls- naiit, outre les charge», l e prendra cours de plein d r o i t
oncée
en
vertu
d'un
iuge.Sf. le Sous-Préfet de MorlaU.
îem rendu par l e t r i b u n a l aement de ces formalités et prix p r i n c i p a l de vingt-cina pour une durée égale «u dé* lai ordinaire
La protestation des députés d'Alsacei v i l de Brest, le 16 mai 1917, sur une seconde requête pré- nulle f r a n c s ,
'
Ne crjignons pas de faire notre devoir, tout Lorraine en tSTt a été éealement hfilchéc
sentée par ledit .M. Février,
Iire^istro. A la requûte de :
Disons toutefois que cas déP. C O L I N ,
notre devoir.
rlims Icutes les éenles de i.^ Commune.
I .M. .loseph-Hienvenue Po- est intervenue l'ordonnance lais r.e prendront cours qu'a
avoué-licencié.
niDM.AS.
ci-aprés I r a n s t r i t i ' .
. onipl.M- «le l iX).(ration <(u I
tii-zi. ()l.;/..-ii lH:riî . ;ii,fii';i
!•. 1)111 «llivr:i nusorlinn .(.' I
• Courrlsr
Ctlll .
1
0 lIrcM. VII iH r.,.,1,^.1..
Peut-on SB GUËRIR
ttroiU
HERNIES
àG.TRiBAUOEAU
LA
'est
lafls la Région
Guérie
LA HERNIE
PENDANT MARS
PMerinage des soldats de la classe 19
UQuériemjÊ
HERNIE
Gbemins de Fer ie l'Eiat
OFFiCiERS DE COMMERCE
HERNIES
LaxaKf-OépuraHf
Pupilles de la Nation
un seul grain
tlonne un résultat
ie tandemain matin
a a — M i t f i i l i r i i i M i r i I » VI
( n i derra. suivant les ri)Kl«»ncnU. prendre
rleacwcmeat de rembourser
frais d'acqu!•ilioa, 3î (rancs. d eatreJicn, el, le cas échcaiit,
ti» reaphcement. Dè» que cette délibération
M aéra paneane Je ferai procéder à la mise
iWBlMedelaboite.
V m I U c z i c r i e r , HonKIeur le DIrectear, l'asMltaM
ma considération distinguée.
Le Directeur des Fostn
et det nUfrashts
d» Hit\s!'.re.
CIÏÂTËÂULÏX
F a n x billets. — Le sergent Prodhomme
«n garnison à ChltMuIin, a été arré:é suus
rinculpailoa d'émission de faux billets ae
dnq francs.
Croioii
Incendie. — Au cours de la nnit du C au 7
mars,
feu a pris dans le fournil de Is bou lancerieLe Ro.r. au bour^r de Cror.un. Les gar«ona,.quI se reposaient au-dessus, durent .so
cauTcr en sautant par la fenêtre.
Le« pertes sont «raluées à l.bOO f.>3ncs
raok, rak d r c
Pon(-l!Abbé
zevur ho viulier n'iio eui
kéun-bouzcllou eiiii uuii iiebeud iniidou, o'iiet el leao'b loa 'zoc'h dalc'bet. Va lealUed a zo aiiavezet e r v r o . a r e d a u m c u r ,
a vloavez 'no. Oioe'htu e lavarin d'hoc'U
gent.
ha R'houia c'hell bezapareetpe a ' e c ' i i e l kpt.
VK'/.0, Jozef. Kerivin, (Gwinovez- Ht.Ma
c'hellit beza parect, oc'h heulia v »
Lockrist (l'inistcre).
c'huzuliciu e vezcc'h dilivrnt da vikea
Tud t.ngpt aant an diskenn-houzellou, euz
ho
poai;
n e fa/iet Kel. A r nifthode K.lou ird heb.\ e c ; . - l l e r niveri n dud am bcuz pakcn a c.'liell ho nalea. lialciiiiiail e k:iis- reet:
ti;es
:i'eiii:i
( ar c h;z ,'a!i-.-n a
ker he i it.i. ni.iise ne vez'i t;real koi\ a bm-/ .!
: h.i^ <> ti.. t 'i'.i.u
kunl,;, \ r fcMi-llii lucrk a tieriicni-se eo en.bailc'lia..iit
n
o
I
.•/••
.
c e . 1la
:i.-. n ileiiz ..et au Aoti-. A. I:i»<)1:akO an
i da aiia' ut li.ic li aiH. .la zen ail.
dijïlom a eiiui . lUiii- e lien hel.ken a verit r oKeiiicriliii.id
va
li.iii
o.
hay
e
u
t
Mo
l.iad
ho li/.ians. l a k lien heUKen a dremer. d i e p.Tzeuoc'h da gl.isk kuzul
oulennst diho pro ahaoue ouspenn !i» i l o . i z "zi>. fazi atiaoïr. l i r r i ' E L .
Dre ze, a i c i l d u d a zo go.nket ;,'anl
Kavet a vezin e :
ii»skcn:i-b.juzellou, goazed, meie'iicd.
gale, o deuz interest d'en cm liziout ne- A r l ' a o u gv.ener I j meurs, h. I.e Page,
mcd cr spceialist dispar-ma. A n A u l r . Kemp«'r,'-adorn IC meurs, h d u Parc.
A. K D O l ' A K U . 1'j7. rue d u Temple, e Pa- I t u s p u r d e i i . sul 17, hôtel Continental,
K o u i p i - r l é , !un l«f, h. du t'o nmerce.
ris, a roii) k u z u l i o u e :
. de Fiance,
K e n i p e r l é , disul 10 meurs, hôtel d u Com- K t t a k - K e r n e , meurs la. hôi
I t a i i u a l e c , m e i c lier M. ôtel l i u r e l .
merce.
l ' o n t - K r o a z . iaou i l , I; :lf-s Voyaiîeur.s
L a u d e r i i o . l u n 11, hôtel do rL'nivor.^s.
U o u a r u c n e / . . - w e n e r >,', hôt. de l'rance
K a s t o l l i i i , meur-s 1,'. hôtel (iraml Maison. i . a n i U - r u e , sadorn -a n:eurs, h. I Univers.
U c i i i p e r . merc her 1.!. hôtel de l l-pée.
U r e s l . sul i i , r u l i . Zola, j j (Champ do
l ' o n t n .M«.-.d, iaou l i. 11. d u i.ioi.-d'Or.
liataiile;.
. H u i i t r u u l f Z , gwener lâ. hôlcl Uozelleo. L c h u c v e n . l u n 2'., hôtel de "raBcc.
Lok<>Hrnnn:L(-on, sadorij 10 meurs, hô- K a s l c l - P a o l . meurs i, hôtel Alenez.
tel des Voyageuis.
I . a n d i v i » i u , m e r c l i e r .'7, hôtel du Léon.
l î r e s t , sul !7 meurs, hôt. de Kr.ince.
K a s l e l l i n , iaou Js, liô:
I . o s u e v c n , l u n 18. l i ô t . des Trois Piliers. I t r e s i , g u e i i c r 2% r u I =1 (;ioi:d'.\iaison.
, Z.jla. 3 i (Cii:.mp
K i i s t e l - I ' : » u l . meurs lit. h6tel Mi nez
dv,- l!al;iille).
L n i i ( l i \ i s ! u , merclier M, il. du Commerce. - M o n t r o i i l c z . sadorn DO
l'Uiropo.
C e i n t u r e s n i é d U a l e H A . E O O U A I t l i U r o s I , siil 31, r u L i m i rneiir».
Zi.'a.
iChaïup
de liataillej.
B r e s l , lui. 1 ebrel, r. li Zola. Si (Champ
de Hataille).
B r e s l , meurs 2 ebrei, r , E.Zùl; •,3ô:;Champ
I.a S . ' i v o u n c r i c d e i n C l i a r l r e u s t
de liataiile).
poste dè Saint-iiiniez, M a r s e i l l e , expi
K e n i p e r . inerc ler 3, hôtel d u Parc,
die son savon i f a r a i i t i v > n s f r a u d e :
l ' o n t u A b a d , mou 1. hôt. d u i.ion d'Or,
L e c o l i s p o s t a l d e l O k . e i . i b . c o m p . !•>.
K c u i p c r i e , g\v lier 0. hôt. d u Commerce.
Les trois jiosiaux de 10 kilos
» SI
La caisse hois .'>0 kilos poids net. n 1»
La caisse bois de 100 kilos
Franco de tous fr.iis gare d u client.
Paiement contre remboursem. à l'arri
hann iiemed var guulenn Hklrar a r r c a hep an distera jenuinant na skuisder, hag
Bons e t loyaux services. — M. Jean-7.in.
A o l r o u l.KKOY, Parhi.
u vrza kcndalc'hut da lahour«t evel diuMarie Lu Meur, principal clero de noiaire. qui
« Dro c'hrad ho i n e t l i o d e u i a d e l e z u *
me a lavar euz ouii p a r œ t a-grenn, tost
da 10 niiz 'zo, euz an dlskenn am Roaskais
epad keit amzer. — 15 genvcr 1918. —
I t r o u i i i l i o i i , Thomas, euz Kerhan, enn
l'^kiWcn, . rt' Voaieii (Finisti-re). .
.N 'ez ciiz ket da ai '-ila ! Arahad d'ar re
a zo o klask ^o^lUjanlallt fazia. Ha 'z ai;:t
•ia •-•aou: a i .\oti-. L K H U Y . a r spOciiilisti
disiia;, i- :
L a i i d t - i ' i i o , mpi o'hcr ','0 inpui-.s, h. lî.iould
l ' u u t i l .Vliad. iaim '^1, h. drs Vova!.'eur^i
K e i u i i f r U - . «wcner il, h. d u Coiniiierce
L<>li<turuaii-L<'uii. «adorii .'3 meurs, euz
11 h. da ;; h.. hOti l dos Vovat'cur.s.
I t r i ' s t , .siii -.'-i mou;-:, hôtel Oontiiioiilal.
L e s i i c v c i i . lun
h. des T r o i s - l ' i l i i - r
compta 36 ans de bons et lovaux services dana
l'étude de M- QuéiBuee(précédeiumentM< Mauduit) a reçu la iiiédaille d'argent du travail.
Sloeérei félieitatious.
Poiildcr$;at
Dései'teur. — Yves Gonidec.c; ans. marinPrcheur. « éU- sr.-étc pour avoir uul.Mc. dîpiiis
le 31 oc'.obre l'.iiT. de se rendre au ^ UC)i6t ites
équipages de la Hotie.
Molfrven
D o m e s t i q u e i n d é l i c a t e . — .Mme Dourbipot, du Trouco, avait ii son service la jeune
Le Goc, de Heii/ec. t u jour elle la surprit caclianl (les o-ufs dans un t:is di? foio. I.a miette
dut reconnaître iiue quelque? jours auparavant
•Ho avait dfrobi- à sa patroune une soiiiiuc île
U frinci, ave« laquelle elle s eiiipressa il aolicter Ocharpp^, ruban's. t'io. Kllc le regretlcrj.
MORLAI.V
Mollae
J u s t i c e s c o l a i r e . — Depuis plusieurs
Suicide
d
'
u
n alcoolique. — Joseph
années, le conseil municipal de .Uorlaix allcctait on crédit de 3.SOO fr. & l'achat de four- Guidon, 4 i an«. cultivateur au Uûuai, qui fut
iuie.-né
pi'ur
Jolie
alcooliqnc, s'est luô d'un
nitures classiques aux élèves indii;ents des
suu lit.
écoles communales, qui sout au nombre de coup de fusil ; la trte. d
l.tOa 11 avait toujours refusé de faire quoi
.Moëlaa
y i e ^ ^ soit^e^faveur dej éléves indigents
V i l a i n personnage. — Joseph Fournier.
Dans sa réunion de dimanche 11 a Jusé pue de Liin ;ir-C hoat, a été arrêté pour s'être
lUaqué,
dans un chemin creux, ù sa bellele moment était venu de faire cesser cette inlostlce. Par 11 TOIx contre 4 (celles de .M.M. sieur, Louise Le flous, qu'il accompagnait.
UiTalou, Joncourt, Noiiet et Oujader" il a roté
iSOO franrs pour des fournitures aux ^ é l è v e s
Indigents des écoles privées.
M. le Maire lit observer fort à propos que si
les écoles privées n'existaient pas, les écoles
communales auraient un plus grand nombre
d'élèves, pour lesquels la ville devrait consIrnlre de nouvelles classes et pajer des fournitarei, en même temps qu'il faudrait plus de
maîtres.
L'équité et l'intérét mnnicipal étalent don:
d'accord pour militer en faveur de la décision
la Méthode
LEROT
prise.
C H U T E S da M A T R I C E
Ilenvic
I n f a n t i c i d e . — Le parquet do Morlaix s'est
iHil
.
«..uiellou,
rendu au village de Kerlidou, où Yvonne )iuégtien, 19 ans. était soupçonnée d'avoir laissé ma 'z eo lio mail diiirlienii an (ianjeriou a z o
moarir un enfant nouveau né, qu'elle enterra var c'Iied ac'hanoc'li. ila viaiia ne <lloil-liu
derrière la maison, après l'avoir gardé mort •jclver d'ho s i k o u r nemcd ar spécialisto a
prts d'elle pendant trois jours. La jeune lllle sroustians eu7. l ' a r i » nia '•/. eo an A u t r .
faubourg St-.Marti-;. l ' a r i s .
• t n mèie ont été mises en état d'arrestation. L t l t O Y .
K o z i d I li.-ii' o peuz ranket k i e s i cbu
alar dilCT.et
h o pugalo galvet da z i
lemi ar vro.
Merfcanteun
t i r a ^ f » ' . lias n 'Ile en cm garga e loac'h
O o m e s t i q n a i n d é l i c a t . — Dans an précé- ho prie]ou euz labouriou tenii an douar.
•dent numéro nons avons relaté les actes d'inC tioui oll, enn our gvr, liai;
/.o Roasdélicateise commis par Mathieu auével, 18 ans. ket ^aiit au « l i s k f i i u - h o u z c l l o u , tud a
domestique de -Mme Dorval, à Guerloch. Ce Dep s t i d ha? a r hep oad lias a vov c r
^5eane homme enlevait & sa patronne, des pou- boati lias f n n aoun da veza m o u K o t
'lels, des œufs, des pommes de terre et de la ^ t n t a n d i i ^ k o i i n - b u i i z e l U t u ne angraisse, pour les (remettre & s.i mère et A nne kounacliaît Uot ii'ez eiiz m-mod an A o t .
voisine, la femme Mignon, née .Marie-Jeanne L E K O i r o tremen k r i t a i l zo tire lior
Comic.
c'Iiorn-hro, o tiboania hatr o parca, evel
Poursuivi pour ces faits, Gnével n été con- in'lienlavar aiiti-steni iicvoz-nia root eiin
damné à G mois de prison avec sursis ; sa mère hor bro, ha dctiet da astenii n r i i i i l l i o u ^ 3 mois ; et la femme Mignon à C jours.
i i n i i a I m r e d i K e z î o u olitoiiot enii ho
#
Guérie
Damaudei UIONTRES
e
B I J O U X et O R P E V R E R i e
àG.TRIBAUDEAUr^iscs<»co7C
z
Prix. J.î k^ditlUi d-Or au Ctnour, ,
ronen.FRANCO
TABIF lUUtTIÉ.
K l i e l ' r o r o u , i i : r i \ ail] du .wiu- siècle,
célèbre par .ses
ne à yuiini-er ot dev
tli iiiûlés avec \ oUaire.
Coiifcreiico donnée le .0 janvier 1918, pai
.M. le ciiatuiiiie Coniou, sous je patroiiai;!
lie la société .Vreheolo^ique de y u i m | , e r
à l'occoliim (lu deii.xièine centenaire di
la iiais-a iceducritique.
KUgaiite plaqiieite, en vente chez l'au
teur, a (,iui!iiper,au p i i \ de I franc.
Culoiliaux
J ' a c h è t i » fétiche.s. statues,
masques et Ui^uriiies
(le l'Afrique IG. .'Vveiiueile V i l l i e r s , Paris
PAR
PENDANT MARS
Laxatif-Dépuratif
DÉPLACEMENTS des ORGANES
est Guérie Peut-on se GUERIR
K reiik ar c'Wenvojou a voask an d u d
de
keiz. n'ra euz h i n i ehed ha:; a rafe keuient a reusti hag an d i . s k i - n n - b o u 7 . e l l o u . .\'ag a d u d o deuz liet ho huez peimda-bonn ampoezuunet gant an i i i l i r n i i t é
<laiijeruz-ze hag a zo bet mouget ganthan !
A n o l l darvoudoii-ze no dlefent m u l
A
c hoarvezoïit abaoue m'en deuz an . \ o t i - . C H U T E S D E M A T R I C E S
A . EOOi:.VItU. ar gwella spëciallst euz a
R E t N S
F L O T T A N T S
^
liaris e-keiiver au diskenn-houzolloii,
ivaiitet eur méthodenevez, agas k u i t rakDES ORGAMES "
l a l an diskeiiu-bouzcllou hag ho lare enn DÉPUCEMENTS
eun ucheud miziou, evel m'jien uiskoiiez
/.I r Araok mont da gaont u'cuz for.?
an testeni-ma varlerc'h m i l l i c r o u a hareiou bennag a vije. deuit da u'houlenn
dlgeziou obtenet dija.
uzii digan-en.
A o t r o u A . E D O U A R D , Paris,]
•Me a zo eurispt-cialisteeiiz Pans : hag
Euruz oun da gemenn dcoc'h ez oun, ahaoue h i r r amzer ma evesain euz ar
ablam iiir deoi-'h. pareetoiiz va dioii <lislileiivejoii, .1111 b.Miz gwelet kalz ail d.il
HERNIES
u n seul grain
au r e p a s d u aatr
i/û/i/10
un
IB
résultat
lentumain
mttin,
ChasseiibileeiPuri^ehs»»!
e4.Bool' Port-Royal, PARISel Ustn»"'
|lasser. notaire, e l i Il I f t u d e s iCtudes de -\i' . « o r e i , avoue l a u d e de . V L e C o r r e ,
Cinqui-nne lot
ar o pe.u2 c'hoant da août
lot. — C h a m p de ec are
licencié à Qui«nper, et de
de -M" Sorgni;«-d .•t Vichot,
A u l i e u d i t rraonbitv.
taire à Lesneveu
eun D i e i i n e u r e u M vad. 06 c e n t Loué à Lossec, 6U f r
M- S a l a û a . notaire à l ' i o Une p r . t i r i e dite Foennoc- avoués à Brest.
i t e confiaii: da d i j e s t i n : l ' a n et impOts.
• i r i i x r paradjudicafion pu- an-ileut-Hras, section C, n néour-Lanvern.
Lesi>ecen.
-Mise à pri.x : 1 . 0 0 0 f r .
GS8 c l l:!..^, •.'.> a. -i'^ cent.
sur
5 - l o t . — C h a m p de I hect.
Etude de M- d e L a f f o r c K l , (£r.V!;culjon île /a loi
19
route
de
lirest
I i.esueven, Etude de fou M- S o u b i g o u . 22 ares 2« cent. Loué à Losseo
•Mise à p r i x : 1 .:loo fr.
notaire
i
-Morlai.x
mars
l'Jtl)
13 heures, en l a salle de la
près gares
r j ^ t a i r e à Lesneven
Les -J-, y et
sont libres de
p r i é t é (le
1«U f r . l'an et i m p ô t s .
maison d.école de Trézien, en location, le à' lot est loué jus|)ar adjudication voi a i t r K avec
Tes, prairies, i l * F o r g e o t , notaire à Brest
Màse à p r i x : It.UOO f r .
par l i c i t a t i o n , en u
PJoaarzel.
ontaire, en l'étude
taillis, jui'diii! arbres et a r ïéraiit
qu'au 29 septembre 1919.
6- lot. — C h a m p de 1 hect.
l'étude et par le
De la l e r m e d e K c r c s c a l
e; •iron), avec faN O T A . - - .\prés adjudica- e M. d e L a f f o r c s t , notaire à ministère de .M- Salaiin, no- bustes
•52 ares 60 cent. L o u é i Salou,
e n P l o i i a r z c l . divisée en tions partielles, les i - , 3- et•Morlaix, le s a m e d i 13 A v r i l
l o n - '20 fr. l'an.
culte d'acqui
taire à Plonéour-Lanvern. l e i'ï irir.es contiy r deux belles
;dou7.e lots : sur diverses mises 4- lots .seront réunis e l remis 1U1«, à 14 heures.
Jre.le
-•s.
Mise à p r i x : 3 . 3 0 0 f r .
à p r i x B'ëlevant à lO.nûO francs en adjudication en u n seul I . K n la commune de G u î - • u e r c r c - d l '27 tuarK l ! > l « , à " •S'ouresser IJuur visiter au 21 i i u i r N l ; , l j i , j . „eures.
î heures de l'après-midi.
Jouissance eUective a n
i-iicMi^Li
olao.
lot.
garde el pour reiiseisr
lemefcts Diverses p.nruelies de
PREMIEll
I.OT
septembre 1918. (Voir les affi" P l o u d a Etude de M- K e r s é i s , avouâ
La ferme d u G r a m l K e r - A u hourK communal de et traiter, audit -M t e Gorre.|^"Ç^f®
Sixii^ne lot
cbesj.
à .Morlaix
b r a » , consistant en édifices et P o i i l d r e i i z i c , une p e l i l r
A u l i e u de Coz-Milin.
1"
lot.
—
C l i a m n de 92 ares
-Pour t o n s renseignements
terres,
contenant
ensemble
:
U n e p r a i r i e dite Ifocnnoop r o p r i é t é coinprenaut mai
M cent. Loué à 'ran^uv, 110
s ' ^ r c s s e r à M - de Hodellec a r - V i l y , seclion B, n- 33:.
23 hectares C7 aresSJ centiares, son d'habitation et jardin.
P
I
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U
S
d
i
i
F
E
U
>
V t N T C P'""" licitation Judifrancs Tan.
d a P o r ^ c , notaire à St-Rena:
Misi; à I>rix : 40.0U0 fr.
28 ares.
90 Aat de Succès
Mi.^e à p r i x : l . ' i H O f r .
' « t n i I . ciaire. en l'étude de
•Mise à p r i x : 3 . 2 0 0 fr(Bail e.xpirant au 29 septemL i b r e de location.
Guérlson sûre des
DEI'XSÈSiE LOT
•2' lot. — l U i a m p de i;:! ares M - Caiil, notaire à Plevherbre
192
ly
•Etude d e M* S o r s r n l a r d
-Mise à p r i x : 1 . 4 0 0 fr.
En l a commune de l ' I
C. Loué à Picaid, 83 f r . l'an. Christ, par le ministère de MI I . Kn la commune de P I o u - n é o n r - L a i i v e r u , une m avoué, docteur en droit, rue
Coat, son suppléant, le i e u d i
Mi.se à p r i x ; 1 . 0 0 0 fr.
A D E U X IIEUKES
vorii.
V o l t a i r e , n* 13. k Brest (suc( a i r i c coiitenant environ •.' i
i*
h>t. — C h a m p de 1 hect. a u m a r s l i » l 8 , une heure.
U n c h a m p prés le bourg de !• \Fî de la ferme d u G r a n d 92 a. .S2 c.
cesseur de M» Kolland).
aros
68
cent.
Loué
à
LosCommune
de P l c y b e r - C b r l s t
Uniinent
B
O
Y
E
R
M
I
C
H
E
L
1
.
S
K e m i l i s . nommé Lior's-ar- T r d t ï o u n e c , consistant en
B. pteoif.
chithurouximS,
-Mise à p r i x : 1 0 . 0 0 0 fr.
•c, 80 fr. et L-nr^ts.
1 " loi. — . \ u m o u l i n d u P r é ,
Verret, 21 arcs.
" , édifices et terres, pour une
l*"Pti»rïuacigM. Brocb'
.'.lise
à
prix
:
l
.
i
d
O
f
r
.
à
u
n
k
i
l
.
d
u
bourg, un m o u l i t »
P
.
M
O
B
I
Î
l
.
.
V E N T E l'étude de .M- ôuerCe chara)) est actuellement contenanc totiile de 12 hectaet corps de terme, contenant
re.s 2S ares 2.'> centiares.
m e o r , notaire a u Bourg-Blanc, loué SO f r . l'an.
Etude de M* L e C o r r c , n<>S
b.
26
a.
67
c.,
non compris le
•le m a r d i 2 a v r i l r n i i s , à
-Mi.se à p r i x ; So.OUO f r .
taire à Lesneven
-Mise à p r i x 1 . 2 0 0 f r .
sol sous édiaces.
,'Ball expirant au 29 septembre
' t u e beure de l'après-midi.
.Mise
à
p
r
i
x
:
lO.OOO f r .
1919)
"
i
Premier lot
2- lot. — A Kerohaiit, une
2* autre 1/2 d u G r a n d T r é - l'Elude, l e m a r i i i zU m a r »
E n l a c o m m u n e de K e r - Etude de M* S o r ; n i > a r d ,
p
e
t
i
t
e
f
e
r
m
e
,
3
b. 45 a. 20 c.
a v o u é , Docteur en Droit c o n i i e c , cousistant en édifi• l i i u et par extension en celle
; Hise à p r i x : îS.dOO f r .
r u e V o l t a i r e i.' :
ces et terres, contenant cnsem I Î M 8 , à I heure 1/2.
' de P l o a v l e a :
En l a comniuDC de P l o u : 3- lot. — Même lieu, uns
hectares 5 ares 4U ccn
E n K e m i l l s , le M o n l i n d e
d a n i e l , ii Kei vilard, U p i è c e s
; p r a 4 r l c dite l ^ . i t - P o t h u , 50 a.
" B M i i s o e l , comprenant qtia- V E N T E {
Evit dek m i l l î u r chatal'e
chatal e vez saveteat bcp bloaz, e
de t e r r e , contenant 1 h. 94 a.
I Mise a p r i x : l . a i M ) fr.
ise
à
p
r
i
x
:
2
0
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0
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fr.
' t r e 'tournant"» actionnés par
c
aiiton
L
a
i
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c
r
a
e
.
bag
ouspen
i
SO
c.,
louées
à
Kerléguer,
i
i'iot.—
A Rhun-Hervé. les
al'I
•
"
•
cant m i l l Iur e Breiz,
, u n e t u r b i n e hydraulique mar- notaire
e x p i r a n t a u 29 septembre prançois, 180 f r l'an et les
g ant al iouzeier deuz t y AioUKI
i droits convenanceaux d'édile
i
e
n
d
i
4
a
IL'L.
Landerue.
' ç u e Hercule Progrès, maison heure e t de
impôts.
i
lices
et
t«rre.s.
loc'h juievaled. ma c r i t
Réimion Jacnltat
' servant d'babitaUon et insial- m i d i .
Âlise à pri-X 4..=;00 f r .
i Mise à prix : 1 0 0 f r .
l o uazchouiuo
e i e r . M 0 1etouez
U i t L . e hiîTuerz e p e h a j j o t i k e r f z .
_ u.saj
A r deuz
iec'lied
' W i o n de matériel dé m o u l i n E n l a c o m
I i " lot. — A Rozana, deiix
l'uultr L-vitsrfoer<;l —arpax. — a r preved — d a
«Tant
I'
e t de minoterie, granges, écuMÊME ÉTUDE
Jiast
c b a o ï p r i d i U Parc-ar-Poutic,
denier
ar
$;n-eieou.
da
i
^
a
d'ar
par,
—
cbatal
S'adressetlt l étnde de M.
• Tic, étable à vaches,- soues à
i" loi. —
i.-b. r j a. 5.1 c.
_ y o e n v e d — a r s œ n — f e u b r e t o n , etc.
porcs, c o u r , maison à foor dances d u
•
51.MOUEt'L, docteur e n Pharmacie, lAnderaeau
I M i s e a p r i x : l.SOOfr.
avec t o u r , couvert en ardoises, M n , étasfc
man»
l'i:.luue. le m a r d i
i C' loi. - A Trévalao. droits
-vannes, é c l u s e , déversoir, en ardoises,
n a a r t no- l:>13. à 2 beure-s.
convenanceaux d'une garenne.
e o u r t i l , ferres, section C, nu- moitié à prci
Crois
E n la commune de P l a b e n Mise à p r i x : Seo f r .
m é r o s 44i, u n , 447, 531, S3.V d'un c o u r t i l
adjudication nec. prés Pouhnarc'h et PenL'avoué poursuivant.
4(5. 448. 449, 430 P, 457 p. 536. d'il:, petit te
ire, en l'é- trell, l a p e t i t e f e r m e d e
F. K E K X E I S .
. 537, 538, 533, 510, 511, 512, 5i3, C o l o - g u e r c î i .
coniprenant
mars lUl^S, K e r a o v o y e ,
' M i , 545, 516,211. 23 a. 40.
section F , n- f.
uiaisou a°h.-ibitation en a r Mise à pri:
' 2- E n Ploovien, l ' E l a n s d u
Etude de M ' C h e m i n a n t .nodoises et édilices d'exploitaON
loi. — Ci
- m o u l i n de B a n l g u e l et un pré
taire a i>aint-Renan
tion. 3 champs et une prairie
' D t - C r o i x :oateuaiit 1 h. 32 a. i » c.. louée
n o m m é Foennoc-Allen, pMure de maison a i
A r V a n e l e t Foennoc-an-Heut, an Jï-Coz o u
lot
i
Jean-Marie
Troadec.
MO
fr.
A
U
X
S
U
C
S
section B , n - 5 Î bis, 53, 28, Uaics vives.
i s o n d'habitation à 'ail et les impôts, plus une
DE
.«3 a. 90 e.
,usage de commerce, formant commission de 2UU fr.
Kn l a c o m m o Mise à p r i x
PLANTES
V e m o u l i n de Baniguet est
a- lot. — La"moitié à prendre j * ' ^ ' " ' ® ''«s
"le P o u l l o u et
ne de L a n r i T o a r é . à LanvenMise à p r i x : 4 . ; ; 0 0 fr.
grevé d'une rente perpétuelle au m i d i d ' u n champ de t'eerrrreel!4" " Couvent,
t.ouveiii. comprenant rezreznec,
une
m
a
i
s
o
n
à usage de
A b i i r i f i hag a iai.uanka
liaicl'''^'-'''®"®®^'*^- èta^e et grenier,
d e lîO I r . par an.
chaude. Parc Hamo:
commerce et autres édiUces.
ar ( ; o a d . .V bare :
fcalrdi;;ez
i i i » e â p r i x : 7 <MH» I r .
Looé p o u r 9 ana, à compter vive, 34 ares iâ cent., section j,courtils,
champ
et
dépeadankof d e b r o n , r p n i m . A netta
Docfeui' R.ClMJll-Ll.s
'
Deuxième lot
d o t> septembre 1911. moyen- n- 938 iv
res. Le tout loué à .Mlle Merar h l o m o k . a r I i r o n e h , a n
Une
autre
m
a
l
M
n
d
'
h
a
b
i
ÊKétlecîn'DBmtïmto
n a n t 750 f r . l'an, impôts et
•eur. jusqu'au 29 septembre
Cette prarcelle sera frêquena o i i . an d i o u - e r o a z c l . Mad
cbarzes e n au».
I.e la FaculU 'If Paris
t é e p^a r lle
e c h e m i n au couchant. tation. atis-^i â usage de comproc.>:ain. 150 i r . l'an e t les
drei.st evit klenvejou a r M e r merce, située r u e d u Couver.t 53lKitltKnt=jl!i;nTjds9i. i î h
H ^ i , p r i x : 1 S . 0 0 0 fr.
^ i s c à o r i x : S.OOîi «r.
lupot.-;.
c l i c - d hag an n e r i e n n o o d i 4' lot. — Le quart A prendre comprenant rez-de-chaussée
Deuxième lot
itiintaaches fjccepù»)
badresser pour tous renreizet.(i;nn al! ..potikrrezcd).
e t firenier avec petiU Extractions ans iloaiear
E n l a c o m m u n e de K e m i l i s , l e s é c o n d a u nord, d une par,
3 fr. — Dre a r post 4 f r . - Evit kaout a r i>are, 4, b u e i ^ c m e i i t s , a M- Cbeuiinant.
a a l i e u d e P n t . a l - L a n n et c«lle de terre chaude, TaciienI redarl. 12 Iur dre a r posf.
creche en dépendant
l>eBtîtrs
surfzatm
près le bourg.
»itKLA-VI>, p l i a r m . i c i e n , l . Y O X , m e . \ a t o i n e t t e
Parc-an-Ileiit-.Meur, ' I I ares .Mi.<e â p r i x : ;;.0(!0 t r
B::l.ZOL'..Eii tx T!
Clause de r é u n i o n p o u r ces
Une P r v p r î é t é d e cons- 70 cent., section F-, n- 943 p.
lî^f rae de la Mairie
deux lot-s.
t r u c t i o n récente, maison d'baBItKST
Mise à p r i x : :iOO fr.
I islinrSnîaiJilieatrclakdeiîtj : 1 !t. S O ; én 1 1 . 6 0
JbUaUon, grange, soue i . porcs,
Troisième lot
5- lot. — L e quart à prendre
Ed btt la plaet Laiata t f A n r t r p i
1 2 8 bis, m e Traverse. B r e s t
créclie o u écurte. couvert en le second a u m i d i , dans n.Ur. m a ^ i a s i n , situé rue de
j| Coin de ta rue <lf cSiaat
ardoises, c o u r close, puits
puits. champ Parc-Poul-an-Aro b, !(>•'» Prison, comprenant rez-d.v
;nain(. a. (6 c . ^.eclion F. n 3 j î p.
din, j a r d i n e t , u n cl
chaussée, éta^e et g r e n i e r
Mise a p r i x : 3.0I>0 fr.
Venyleuz, section B ,
i l i s e à p r i x : 1.««i»f:
P H A R M A C I E
Qualrieine lot
a - 350.31 a m 30 cent.
CHIKLIH.IE.V U i ; . \ T I S T f .
5"tof.— Ui>e garenne Gosl i U e à prix : 1.000 fr.
rem-Nevez, t 3 arcs, section F , U n j a r d i n , situé sous le.de U Faca::e de Paris
courtiis.
d
uue
ccutenance
de
7ro»»ién« lof
n- 7tS.
Ex-chef du tercice dentaire
3 a. >J cent.
Contre le b o u r g de K e m i l i s ,
Mise 4 p r i x : 3 . 0 0 0 f r .
à / Jlopiul
uiariiiine
tam^éat
de PAcadémi»
a»
méaaoimm
a n l i e u d i t Poul-ar-Bom.
z" /Cf. — L a moitié â prendre Mise â p r i x : t.OOO f r .
Extractions
I en r u i n e . S p i è c r s a'-î levaxit d ' u n petit c o u r î i ! Kiîtree en ]ouis.sance imméo
i
n
s
e
t
p
o
s
e
d
e
.lenlien.
L A 3sr p
RJsr E
xr
e a u j o u r d ' h u i réunies Liors-ar-Guenan. 25 ccnttarcs, diate p o u r Ic.s I " et 4- l o t s et
-—s A R R O U E
DEUZ
A i t LOUZEIER j
a u 29 septembre r j ! 8 , p o u r
e a n n e c e u l r , dites Parc-ai^ secdon F, n- <yjî p.
L e u r g u e c e t A l - L i o r s , ser.les 2* et 3- lots.
Mise â p r i x : » 0 f r .
t i e o » . n - 183. 3U, 386 et 385
S"te/.— A u beu de K e r a r - Pour tous renseignements,
1)19 38 a. 48 ceut.
s'adresser à M- Donnart.
Le Finbtère Pittoresque
Mise A p r i x : TSO f r .
da
urcnvaad. d'nber
|;oad. d a n c t t a d a r s o a d
L a m o i t i é à prendre a u l e - ; „ ,
..
Quatrième lot
v ^ t d'une garenne, G o a r e m - ' " " " * ^
" Q s K i n B c c , noLoozoa «Il ebet ne dall beman evit parea an doiieii, «r sempladaiei;
I
taire
à
Pont-l'Abbé
Ab t e r r o i r de L.aneinoc.
Vras o u G4>areaj-l;c;iiirepos.
anuro^-hvea.
Le p r i x de chaque volume
D e n c h a m p h contigu?. 45 ares 6 i cent-, section F,
4 n (l '.ilui liliIlllliU
l pt i i1111
u . ' »i ap" o^ " « > a a r f n v e I l a d a r merj'heJ
ha d ' a r b » J
f
1fCMnDC><^»n>>(»''é.1U
^ ^
en librairie est de 12 f r . P o u r
Parc Lane;noc et Mes a Lan- n- 7iS p.
f u l l l i n c paraloireK
A
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"Uioa, « t c t i o n B . n - 3W, Vjl,
Mise à p r i x : 1 ..';00 f r .
jen î.it.^r IV-coulenient, on ies
|de l a .Vi^lAirie de Trt-L^^An aotr. \ l r.-ul. do.-l-uraî„>lJii
lat»^; • de w Road, ar
« 0 , « a. UJ cer.L
S a l r c ' s e r pour r c u ^ - i - n f h o r c l . en l'oul-l Ahbé.
c'brcDcn, and spo.iUou
U'ai
< Iai<,s.T..ii à 8 f r . e a l i b r a i r i a
l'U. .ie
méats, eu l'étude uc M- i>i ^
M u e à p r i x : t . l O O Ir.
Vau. vrucbaiu.
îj(9lr. Ir^tM.)
;Etude de M> d e R o d e l l c c d a
P o r z l c , notaire k St-Renan
M
VENDRE
VENTE
ÀDJUDICÂTiONTol
CHEVAUX BOITEUX
AU
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d'ÂL LASOSUSSIEH OOOÂBI
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Mtrsiraopjn.i
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jusman.tni
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c j t a t i n • 3J!e)|,»u<}ojd ' j z z ï j - .
-»d anna.iiiàifi.'qdasop - j r j
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«SRatwuv S M p
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'imimmoa »r sp
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taj ssinoi stiep
'P
f}!
3p JMI» ^tt^«tm^r
VVKOHJ.
-jfoop «ion
Samedi, ÎC Mars 1918.'
LE NUMERO : 10 CENTIMEa
^
JOURNAL FRANÇAIS-BRETON PARAISSANT LE SAMEDI
,\BO\.\EMI:AIS
M
Finistère. Cotes-d Nord. Morl.iUïii.
. .
(un .m)
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Auires llt'parl. iiii us Cl Col
C II7 flKlraiiKer (tiiion
• o fi 30 arec la dern
Cl^aHgem^^nti'/r«sid'
laade.
Le^yltonnf'n
• parlent
du I " de clij.lui- mois 1 n- iw m d aT
BUREAUX & IMPRiMERIE
4 — R u e d u Château — 4
Ttltmo.t 3-07
B R E S T
TtLtWIE 9 ^ 7
hea M a n a s c r i t s non insères ne s o n t pas r « 4 4 Q |
PLBUCITÉ
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poar u DBbitctti
— r ' . r ' r y w i
PlM»
ie^aSii^TTfMÊt
ire n r/i(,r,. On en filifseilr.nl:
li'gltoilis l ar personne à la chan/e ju.'iqu'à
la
f p l e g ar penn kenU, var b e o t â f
leliri'g, ROUX les /lOrtes. rierrière les ro 'Ifluxi'-me et de 15 OfO à partir
de la
Hoeh, ha stank ez int kouezet var àa
•ts eu escaladant
les ii}iirs lors'/n'il
le tmisième, sn"S que cette déduction
ruisse
dachenn, didan taoliou an eneboor.
'lépiiRser le^ trois quarts île l'impôt.
Et tout cela pour nous citer en exeni/dc
Etretant, markisien a clitz ne/et «
De KkOOO il .'•,0.000 francs de revenu,
leqrisn'l renfle russe. » arec ses l.enine de 5 0/0 jusqu'à la deuxième
personne
N'o peuz ket ankounac'haet, m'oar- zispigne ho nerz e feston mezuz, i ~
'
Trnt:/.;/.
et de 10 0/0 à partir
de In
troisième,
a lakae toi
vad. ar gevier sot a rede dre ar vro diouz an draill,
Ce Trot:li;i
n. iinralt-il,
K (lit élnr/uem- iusqu'à l i n maximum
de la moitié de
da draisa ar Prans.
•lent </ue la hourqeoixie
russe
renilraii l'im-mt:
au-dessus de 50.000 francs, de e penn kenta arbrezel, hapell c'hoaz
Daoust hag ho gevier a v e ^ k n M
•ne moitié île la Russie /mur
jumroir ? 0/0 jusqu'à la ,leuxième personne et da c'houde.
nucerner l'autre.»lin
même ten>psil ren- de 3 b/0 à partir
Beleien ha tuchentil a oa teac'het ken eaz eur wech a l l ma tea a »
de la troisième,
jusiait non pas une moitié fie la RuSiie qu'à un maximum
du quart de
l'impôt. kuit gant beac'hiou aour da gas da ç'henseurted d'ho skigna a M w p t '
<eule7»ent, niais la liusgie
tout
entière,
Le rendement
supplémentaire
prévu Willou ar Prus. Darn anezbo o doa Ne gredan ket lavaret saa : d j j l f r t f f »
l'uis n'ai/ant pins rien . à gouverner
il par ces dishosiiions
nuiirelles
ést de kavet an tu da vont betek penn ho tud a zo a vezo, 'm euzaoun, kaéaalk'
t'est retiré sous sa tente !
«^•«'««.«w»»
190 millions nu lieu de 30 millions
(pro- beai ; nieur a hini a oa bat tapet ha egedarbed.
Ils sont propres, hons anarchùs, les jet du ministre des finances).
fuzuliet
:
re
ail
c'hoaz,
en
em
zilet
Connmir.
pontifes que vous n o u s o f l r e ; enexeinple.
etouez soudarded ar Prans, a oa bet
Propre é<iulemert le 'résultat
auquel
S l a r t eo hor c'halon enn hor c ' h r e l z BOUS aboutisse:,
La France possède une l i g n e de plus lazet gant-ho ablamour m'bo gweret mi
est de
faire
H a s l a r l o c ' h ar Groaz. enn hor Breiz 1 coffrer d'innocents imbeniles,
énergiijuement zent d'ar Boched.
asses'nHifs .^on objet? « Réagir
antirépublicaine.
pour accepter de distribuer
ees tract contre ta campagne
Setu eun nebeud euz ar gevier miAutrement
dit, essayer de sauver les liget-ze. Pa zonjan e oe kavet Breto'^maudits.
traîtres connus ou inconnus,.en
renver- ned 8ot awalc'h d'ho c'hredi am beuz
sant tout d'abord le ministère
Clémenmez evit va broik.
Ce compte rendu
aurtitf
ceau.
H e u r e u x fonctionnaires.
numéro,
An tarzoded-ze a wele ho fersouned notre dernier
Le 7 i,tars, la Chambre a
attoKif^es
Les socialistes, et avec eux un certain
matières nous obligea «
>
di.yjositions
élevant de 1 fr. 5 0 à
3fr. nombre de radicaux, ne peuvent
pardon- bemdez evel diagent ; mes n'e gom- publication. Nout aurons* en
, « o a n M r te
prenent
ket
c'hoaz
ez
oant
faziet.
par
jour,
soit
l.OHO
francs
/tar
an,
l'ineenir
sur
ta
discussion
de
ce
ner
à
M.
Clémenceau
d'avoir
laissé
Nous avons reproduit
dans notre deri
t
e
c
e
iiaiiu artMhib
M. Cailloux
et de
gouverner U^-n anezho a dlee sonjal m'oarvad
nier numéro le texte des
instructions demnité de de chère aux ofents et fonc- co£'rer
Pour I t p r e m i è r e tols d e p n l i
«
de l'Ktat
ayant
moins
de comme le réclame l'intérêt supérieur de ez oa ho beleien sorserien awalc'h
données Un juillet
l'JH à M. de .Sdioen, tionnaires
b u t de l a g a e r r e . l e GonveraeiBeiM
fixes.
la
Patrie.
ambassadeur d'Allemaijne
à Paris, en rue 3.000 Jrancs d'appointements
evit beza er memes amzer beo ha Jugé à propos de présenter a n b n t o t
Les agents et fonctionnaires,
dont
Parmi
les illusirations
de la nourelle maro, enn Allmagn hag e Breiz. Pe pour toute l'aonée. J o s o n t c i u
de réclamer à la France, si elleentendait se
annuelle est comprise ligue, citons MM. Dalbie:, député
radicroiser tes bras pendant ijue les Alle- la rénumération
rece- eal-socialiste ; F. Buisson et Henri Guer- marteze e lavarect : « Ar c'hure ken- mettait aux douzièmes p r o v ' ~
mands anéantiraient
l'armëc russe, la entre 3.600 francs et .5.000francs
pourvoir aux oécessitAs dn l
vront
une
indemnité
supplémentaire
de
nut, président et secrétaire général de la toc'h eo a reaz an taol. »
c e s s i o n d e T o u l e t de V e r d u n comme
Mais ce n'est que le 27 ttwriag. MU
Goude eur pennad e weljont o tont
1 franc qui, jointe à leur indemnité an- Ligue des Droits de l'homme; Pierre Repreuee de sa sincérité.
3 f r . 50 naudel, Marcel Cachin, Pressemane, dé- da ober eun dro d'ar gear, evel ar deux mois après l'onvertnre de
Le 6 mai, à la Chambre, le
socialiste térieure de J f r . 50, atteirulra
cice,
que la Chambre «bordait la dis
par an.
putés socialistes ; Maurice Viollette, an- zoudarded ail, hag an aotrou kure,
Jean Bon reprochait
à M. l'ic/ion
de par jour, soit 900francs
sion. En outre, le projet présenté
« Les agents et fonctionnaires
ai/ani cien ministre ; Debierre, sénateur, etc.
hag aotrou iaouank ar maner, ar téressait que l.es services civils : les dén'avoir pus réservé au Parlement la pride 5.U00à 6.000
fr.,
groaz a vrezel var ho feultrin.
meur de ses révélations, et d'avoir
pro- des appointements
penses militaires étaient lalsséesM
soit
duit le document « dans un lieu et devant recevront aussi 3 fr. 50 par jour,
Neuze, lan genaouek a zigoraz he dehors.
francs.
M. Newton P. Bal:er,
sou-i-secrétaire
des gens qui n'étaient pas rjualifiés pour 900
fourn avad. Daoust ha Lakeztreut en Néanmoins le total s'élevait » S m »
Le projet s'applique
aux agents au- d'Etat aux E t a t s - U n i s . — titre qui corl'entendre. »
respond à celui de ministre
de la guerre devije lavaret eur gaou d'ezhan ? N'e llards 2S7 mllUons, alors qne le I m M
temporaires
ou
intérimaires.
« Le document en question, répond M. xiliaires
\J. Ahrami, sou^-secrétaire d'Etat a la chez nous — a débarqué dimanche dans oa ket posubl. He zaoulagad eo n'e de ISiine se montait qu'a 5
Pichftn,
n'était connu du Ministre
des
expo- un port français. Il avait traversé l'Océan weient mui sklear awalc'h evit y compris les dépenses «ilitaireà
Affaires étrangères que depuis trùs peu Guerre, et M. Marin, rapporteur,
Les allocations aux lâmlHes d e u a » ^
sur un croiseur
protégeant
un convoi anaout an dud.
de temps, et nous n'avions aucune r a i s o n sent qu'il g a lieu de maintenir aux soiiscomptent pour noa l a t â r ï n
en France 10.000 hommes
possibilité transportant
Ha lan a j o u n e start enn he gre- bUlsés
de l'apporter
inopinément au
Parlement. qfliciérs à solde mensuelle la
dans l'augmentation, de même qiM»iM
de cuumier les allocations de troupes.
denn. N'oun dare zoken ha kaset en intérêts des emprunts. Mais les foapLyccasion
s'est trouvée pour nous de le dedemanderet
arec cette solde et d'attribuer,
en outre,
Lundi
matin, M. BaJzer arrivait
à deuz abenn vrema torz Lakeztreut
lire à nro/ios d'une ijrandc féte nationale
,
,
. ,
,,
tionnaires, outre qu'ils ont eo l e a w
Paris, où il rendit visite à M. Clémenfranci
organiséeV'ur
des soctrtes de propagande
'e supplément
de solde de
:,40fran
d ar gear ? Ken eaz a va goulstoude : traitements élevés à cause de la n l m i t '
ceau
et
au
maréchal
Jofre.
• J
et d'où le Parlement, quoi qu'on cri dise.
« Ac hanta, kanfart, te hag a da- de la vie, ontété aanMiatés e« w a 5 « L n En Amérique,
a-t-il dit, la pensée
n'était nullement absent puisque le prési- aussi bien aux bénéflciaires de ces ullo
C'est cé qui motive ù e aoavalle la-'
Nous malle ker brao breman ez euz t r i
dent du Sénat et le président de la Cham- cations qu'à ceux qui n'en bénéficient pas. qui domine tout c'est la guerre.
tervenUon
" p — t r " a 1 nriMMe_
bloaz
hanter
;
petra
a
zonjez-te
euz
avons
gagé
toutes
nos
ressources
pour
Outre
ce
supplément
de
solde
de
540
fr.
bre y assistaient et que la Chambre avait
accuse certains employés, ceux dea
an nevezentiou a dremen ? An neve- qui
décidé de ne pas sieger pour que ses déjà accordé, les .sous-q(Hciers à solde la victoire. »
ministères
notamment,
de ne
Dans la soirée, M. Baker reprenait le zentiou-man n'e ket kaoziou eo ez
mensuelle pourront,
au su/et des charges
membres puissent s'y rendre.
arriver à l'heure et de retter le aeCëoer"
train
pour
aller
visiter
les_
troupes
améde
famille,
choisir
entre
la
demande
des
intPed
a
zo
bet
kraouiet
abenn
vre« Vous ne pouvez donc pas dire que
toucher des beures soppléventains.
e
man evit beza greet labour boch enn Avec cela bien peu ont le soad 4 k
cette manifestation
a eu heu en dehors allocations
^ , ••pour
^ , enfants
,
, établie par la
- ricaines.
de vous. Nous nous félicitons
d'ailleurs
PJ^^enU loi, et la demaride d allocations
hon
touez
"
?
Ha
ped
beleg,
ped
denbien
public.
« «
qu'elle se so,t produite,
car elle a «g 1''e
te
a aoui 79/4.
,, ^
chentil euz an noblans luz a zo enn n propose d'ajoamer U diseus^a te
E
n
R
u
s
s
i
e
.
iine
manifestation
d'union
sacrée
,
budget et de s'atteler tont d'abord * J a
Trotzky a démissionné. Il en est de ho zouez ? Lavar 'ta !... »
tmis les partis
sans
exception
Lakeztreut n e responto ket. A n rétorme administraUve et& la létorma
même de KrylenJto, l'aspirant qut s'était
subalternes.
Mais les sous-offi- bombardé généralissime des gardes roureprésentes, ei qui a permiL une fois de !
Judiciaire, afin de réaliser des s«pp«^
pCus à tous lés Franl-ais desassocier
à •
mensuelle pourraient
bené- ges. Les Allemands ont débarqué des traitourien a zo oll euz he vignouned, sions d'emplois, n faut en ntdme t u n a
une rcvendiration
qui demeurerait
eter- ; fieier des indemnités pour
charges de troupes aux îles d'Aland ; et ils s'apprê- euz an noblans nevez, deuet da veza Industrialiser les services.
^
nette si elle n'obtenait
pas sati/action'/'"!,,^..
,
, ,
.„ tent, dit-on à enfaire autant en Finlande. gallouduz otrompla an elektoarien,
Le ministre des finances lait
ha
pinvidik
den
n'e
ouie
penaos.
comme elle doit l'obiemr
à l'issue de i a I ^
j^our charges de
familU
D'autre part, un télégramme de BerUn I " r a f î u h r ^ m a
{/uerrequ,-nous
pou, suivons en ce , n o - "
««
IPO annonce que Us troupes aUemandes sorU
droit et de lait. L'orateur o a l n t
orenia.
ment. » f V i f a p p l a u d i s s e m e n t s . ;
premiers entrées à Odessa.
Nan, n e ouiet ket re vad penaos e soient mal exploités. A titre d'ex,
M. Jean Bonn-est
pas satisfait,
i.es^ enfant a JOO francs au lieu de 200 jrancs
U
note qae le eoeffioieot d'exjMoii
c'helle
al
laboused-ze
beva
evelprinLe prince Lvof, ancien président du
bourgeois sociulistes de la Chambre pra- j P°"'' chaque enfant en sus du second
premier conseil des ministres de la Rus- sed, ha delc'her enn-dro d'ezho mer des chemin» de 1er de l'Etat •
tercdentètre la clause ousriire
; pour un !
contribuables
qui paient,
et dont
constitué en c'hed faro dre hanter-duusenn da 100 OjO «lors qne celai des eo«iai_
peu lU ajouteraient
qu'ils sont la France,
'oac/ienf plutôt
moins puis- sie révolutionnaire, aurait
soit^
Extrême-Orient
un nouveau s o t i r e r n e - i f r i k o t a . A r c ' h a n t a n A l l m a g n a b o u i ^ est au maximum de 65 Ojf),
En attendant
lU disent que les d e p u t - s . ' ' ^ ' • ^ ' " f " ' rien pour Us loyers ment en vue de seconder U Japon en Si-1 v e e .
tiers en moins. Au Journal ''—
seuls représentera la France.
!^
troiweraicnt
moins
travaille comme aa tempe
__
La Chambre pasxe nuire.
'"«'"''S '«« sacrilices
qui leur sont
im- ^u'général
po aioatar.
Alexief, ancien
^
h o c ' h ê n d i m , a berg. Et. aoraU-il po
a j o a w . tttt n'ait
tf^ii-^.
Vendredi, le même Je,:n Bon faisait
un^ POses, si
es oeneJUiaires
savaientjuieux
sime. ^occiire, ajoute-t-on de Uver une
a m z e r , « o e a i U ^ puhUcaOoB oà f n r i l H Î .
retour ojTens,/, sans j-lus de sw:cés d'ail- t ^ f / ' i , ' ' " ^ avantwjes concedrs. Mais il
armée quelque part, pour le mime objeL ® ^ « « e t , « a z i v a r c h u d o r i o u t > D e n t - a » ^ d ' i n c o r r e j E t t o n 8 . i
' " ''
Uurs. C'était a propos d'une lettre écrite.
.'
Mais l'action du Japon ne se dessine ''"oii, pre.sbit-alioa hag ilizou, ha d a
ladpmâoae^
•' tsar à M.
en mai 1916 par te
Poincaré. : nient est depense aussi facilement, tu les
euiezed
iia
beleien
i
^
vnpoa
da
et
d'ouvriers pas encore. Si l'intervention se produit StlCja er ineaz seui ezed iia heTi-if>fi. •
et dans laquelle l'ancien
emiiereur
de •femmes
- .
.. de -fonctionnaires
;Ë.tretant ar splei ieu ducu
j
aipi*pour but SenRussie affirmait
sa Hdélité et celle du " faitenients
ou a salaires
renforces, elle aura principalement
trarer les menees allemandes en Sibérie. dinec'h e pevar c'hom ar vro. H a , , , „
: comme
les
allocataires.
. ..
.
,
gouvernement
rusa-à notre alliance. M. ' " " o c a ï a i r e s , sont les predivroidi a zave stank maneriou dira-j l'on mette à la reirait
Jean Bon s'ctoAnuit
que cette lettre ait
provoquer la hausse,
let
_
hor morion, var douarou lenn a vein,
élehcree à la publicité avant d'être comVendredi
dermer,
un brave
paysan
A m é r i c a i n s , P o l o n a i s e t SerT>es
3eoiB{^ la ladHk
muniquee à la Chambre.
arrivait
au marche de Brest avec du effiu-nt en France pour renforcer formée ha paet ker evelkent.
moyennantqae
l'on.rapriiaa
M a a i S »
Il saisit l'occasion pour réclamer
la l^eurre. .Ku coin de la place il lui entouré au droit contre les barbares.
Hcogen, setu diroUet ar brezeL Ha temps la paperasserie inntila.
Dimanche,
M. Uotz. ministre dés Haat
un cortège de 35.000 Serbes a tracssè raktal Boched an diabarz da iouc'hall
Toulon,
venant des Etais-Unis
pour a ziskan : < A r veleien hag an no- pond qu'il est partisan de fat
administrative. Uals 11 lappeUa ^ ^
s'enrôler.
blans eo a zo kaoz. >
chon nefait aucune objection ,1e principe.
tout autre a sa place aurait
fait
«* s
Malvy a oa mestr braz ar polis, ' ^ f ' î j f / ^ ' "
* « w w î i S i
Seulement il deuiande à étudier de près
^
De sorte 'pie les a nouveaux riches »
hag he zever a vefe bet pedi ar c'ban- ont été déposés sur cet o t j f t - AmS»
N o u v e a u c r i m e des p i r a t e s .
la question avant de prendre un engagen'a été voté; un seola d o a a é B r a ï S
pressure,,t doublement ies contribtiabUs
:
farted-ze
da
zarra
ho
beg,
ha
da
vont
Le
2fi
féorier,
le
Davire-hôpitaï
anrapport.
« w «iwp *
ment ferme.
ils les condanaient à payer plus
d'im- glais Giénarl-Casll a été torpillé
dans d'an eingann, evel ar i'']^sisien vad
Preuve évideaie que ç ' e s t l a f T n i i i t i a
pôts, ils les condamnera
à payer
plus te canal de BristoL
a
damalient
e
gaou.
qui s'oppose 4. la léfvnqa.
qu'iis-consomment.
Ce navire, qui jaugeait 6.000 tonnes
Nous parlons pins loin de la
cinglan- cher ce
Mes Malvy a oa ho faeroun. Hen Parce qne l'octroi de»ti»é«nwi
Ajoutons ,jue depuis le commencement environ, arrivait en France pour cmte riposte de M. Ctemeneiau aux
brouil
menlrétriboéesestla inonQaIa.e<
eo
a
zigore
an
bent
d'ezhu
da
vont,
e temps'guerre,
l'Etat
a depensî
laO karqaer des malades.
lor.s d'extrùme gauche, en
avec laquelle eertains dteoUa '
Les passagers étaient an nombre de ken allez ha ma karent, d'ar Suis, les services étocteianx.
que no\is annon,:i'jns deux nouvelles ue- milliards.
d'ar Spagn, d'an Amerik, evit en em
200. On n en a saucé qae 31.
mandes tVinterpellation
dep'jsees par ces
Le miniâtre ajouta qqt I« MvwafI
glevout gant ar Boch.
braillards.
en ce rnomt^ pan* abgsdârl
Hag euz meur a hini euz ar ma- dëtaut
La eomnwsion
de la législation
fiscale
L'rie troisième est à ajouter. Elle émane
question. La taate « t ^ é a c m a
de M. Eriiesi Lafont, qui entend accuser de la Chamure a achece l'examen
aes
Pendant le moU de / f - p n e r , 3 6 1 a é - n e r i o u m a l w n u e r a p M e z h o b r e m a i k , députés eax-aiémes. ^
ilans la dispositions
le <r Gouvernement de faroriser,
nouvelles concernant
l'ixa- r o p l a n e s ont été descendus sur fou- k e l e i e r a n i j e b e t e k l i s t n - p l j p j e r a n pUMr des diseoois
presse,
une campagne
reactionnaire
p ô t g é n é r a l s u r l e r e v e n u . Elle a ac- ies les lignes du front, dota 217 stir le A u m a g n o c a o u e r n o z r o a r e n o n ; propos de tout. H l a i t u p d 41%
destinéeà discrcdittr
l'action dct-tjiOi H- \cepU: tes modijicalions
suica-'itcs :
front occidcntaL
, aotchou !
j p l i n e des partis, pQqjr q u e d n e n i S ^
talion ouvrière dans toute une rè'iion.
«j
Le taux de C impôt ijeneral est porté.
Sar le nombre total des 361 appa- ]
K o m p r e n a r i t b r e m a p e r a g e i o n - U ^ s u e l e m a n d a t dlnlevvenlc daas B
Vous comprenez ,/u'il s'agit de l ' o r j a - ' par degrés successifs, au maximum
de ".'f*' ÏU,
a^chiens
ont-c-hea-T
seurt-ze var a r veleien h a g « K s ^ f o n s tmpertanteiaaa m a | i a i a
n i s a t i o n d e t r a i u s o n d é c o u v e r t e à 16 0/u, toutes déductions faites, sauf en
ete abattus par des aviateurs alliés, a n d u c h e n t i l ? E v e l a l l a e r O farS sentant. A i n s i o n
^
S a i n t - E t i e n n e , ci acnoncee par M. lie- ce qui concerne les charges de
lamille,
précieox, qam l'9o P M n » (
nawiel
lui-même. M. Lafont
usera-t-il
qui font l'objet a'une disposition
spe'ZcLVs'
• harz al laer! . evit kaout an tu da retormesattcndwa,
^ ,
accuser son cimarade Henawlel
tt'acuir cUile.
Sur U front ouest, les AngJoâs onf
A " ^ep ^
'z e a z fler
zvdu discréditer
la population
ouvrière,
Le système des tranches de la loi du délrmt 138 machine* allenuindes ; les gant-han a gav g w e l l o c l l e ve eve• •
en la mettant en garde contre ces nouvel- 15 juillet
1914 fait place à un système aviatears et les artillears français ont saet ouz e i m a i l eged out-han h e Mais nos loipdts a x l s M a -aàai M *
les meners boches '
de progression,
qui foue surtout au-^Jelà
capturé 39 appareils boches et ont ia- u n a n
l i M f f i s a a ^
O s a a e a a v r s ^ i
« é 1
Les syndicits
ouvriers de Saint-Etienne
de 40.000 francs de revenu,
liige
aes
avaries a
3o autres,
autres, qai
qm sont
Kalz kaozion a 20 betskiirnetdivar- c u r r e n c e d e S m O t f a y d s a t « a S 1
fligé
des
avaries
à
35
sont
se Suni uesolfiarisrs
a'arec les prup-,gaPour les charges de famille, la eompense
de
8
miniaids
9
7
niiIlIo«9j
tctirs ,1e plccams
tirfuiiUtes.
l.e;ir geste ' mission
proptjse
lies déductions
d'un
^ n n an noblans a w e c h S T o i a k a a t
deman eruit a vire in,,te par it'niitres.
taux tiiffercni suivant le revenu au conEn Italie, les aviateurs alliés ont dé» vreman enn eur genver ^ X . * * ™ «O®® »«»"«»
Car/•ers,jniic.
pas nU-me tu polit e, n'itnoua-ic.
Iruil 45 machines allemandes
et aatri
_
P.?!
«
L
^
^ B ida
^ iruzia.
m^
Aprèspubliques
U .ipu,r,a;oelesera
total« e a t - ^
gnorc que U'iit'àmcs
tracts s,-nt iiiMri
L,i d-durtion
tsr, p,,iir le rerenu
'le chiennes et ont f orci 51 machines dotwelan
ijan ket
Kci ee^defe
aeie
aa
nizia.
/penses
bues à peu j,ré,i toutes it.s rMiis uuns lu.ouo/i-aucs
cl au
uc 1 i>o OJO tcrrir discmparces,
' - «^ i ^a â î
^
,Vn ducbentii a ouenn koz a redaz, • in/érieor a 15 milliards
iSLIlNS mi NOBUS
LateÉnilo]!iiii|l
CE aui ^
PASSE
f-nwjotfp
•ûjitijnyo
as >d>.7,7 •vMjo.nxn ifiissti»
xaion;*
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t a x e s todlKeles. s ' é - ' l e m i n i s t r e s a r r ê t e s u r i a t a i e s u r l e ; | ^aaniers et 3 nutraiUeases entre les
tre contre-attaque et ost laissé des prison- a u cceiir M. Emile C o n t a n t . .Au cours d «
liueï.
€ M « t : e l l e s c o n s t i t o e n t a a paiements,
niers entre aos maisf.
sa plaidoirie. .M- Sali»-s ava-t liit : • Ln
- c k e r d e s iœpOCs d * consom
• uL.i.iiie des tainar.^'ics a
AD nerc du chiteaa de FOELOEESOZE
Si cJie est appliquée arec Sa sisfférité t :
Autour
de
Verdun
v
t c i i ; je co!i5la;-j qu'elle n'e-î pas l i i o i le". •
• • M B d o n c ^ a l M a o x mono(OEeït
de
SHEI.3VELT).
il»ai
l'ap.-é»
teyaulé sur le^ue!!«5 «e suis en dn>!i
• I l i i ' e s t pcî v r j ; , sVcnfri:i!i;rpc!L2:e;ir,
•X I s i v M b O i e e t a . M o n o p o l e s de cmnpter de la part des commerçants et midi da S mar», k 5a snile d'une grande
Sur
U
rive
GAUCHE
B£
LA
MEUSE,
an
que
ia Republiq-je des tamaradcs c o n t i activité
ffartillerîe
£d::tcBue
tout
U
jour,
des Indastnels. J'ai >a cooïictwn qn'elle
cours de la mût da 9 au 10 m;>rs. aotis ;ue • la Chambre ne le permettrait pa.s. •
l'ialanteiie
tUemasde.
couvertp
i
r
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r
a
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p
^
e
r
a
beaucoup
pics
que
SOP
milJîoas
i
dèeï^
avons repoussé as canp de maia, iafligi.e
explosion
de r i r e s accueille soi: a'?5rviolect
bsmiiardemeai.
attaqua
su^
u
r
en » 1 8 — et 1 miil'ard oour ies années
pertes à l'caneiBi r>. tai! Se* priser
~
'
l«Miiiiaes.elr
ftîior.
troat d'envircB l.seo mètres Eo dépit i
- u m a t e s — eftiPres
évaiuatKn;
;5r>
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r.-,-.
is:-.-:-:-'-.
>
• o r l a l o r t a i M . les
El je la coasKj^re comme ^ocîî.-îaanî an ratensjte d€ son lea dartiHeru et d?
l'.-ui
-e-.e. îc p r i - c !
i..:-- --sp
nt
ucf .-.sJ-'-z atia;
é t a n t lOTtement Jea HKîIleurs mc^ms po-ar le conî.-ibuabîe violence de se* zifauts. 1 cDs-tni Int
i t •••a: .Iftîi.tMir
- a:»:» ."roi: .-4p.iieniaiidî. à l3qu.i> penicipaien! d-I o x l n a t d i i i a l r * SUT •le payer rnni>Ot sans s'en ar-*rcevoir. J ' i i avec p t n ^ »«2 tons I * pcœts. n u l ver
arir:0!.
a
Ir,
triba::re.sl
.saîu.».
pai
i!e\i;'s
'.ronpes spéciales d'assaut, fat îaenée con
i a a t u n e c e i t a i B e •loue une certâioe confanoe d»ns cette îase Poelderliaek, ou i l parvenait à penétrer tre nos positions de la COTE DE L'OIE e'
pplauui^sei.ie .t? sur les . aric- do p a r . l
sVetslBe-JiaU
J & s q u a b <i-t te m'efforcera* de la readre aeceptiMe snr ao iront d'enviroB 2M mètres, dan^ du HOBT-HOXME. Les assaiIUats fnrea' - icialiste. tandi- que -V Clêiuenceau a' ait
qnelqaes i r o f ^ avaBcés. La latte sur ce
tx praduetive.
:é accueilli ;.ar cles rumeurs e t d e s m l ' i r partovt repoessés.
Quact i la taxe sur m soMessioas. eBe poiat coatinaa avec violence toute b soit
ruptîor.s f-artics des mesies baiicf. q u a n d
t l e e e s . é e o B f l e l e s sèrteuseî
•I '
q.j i l îî'est r e s p o r i « b l e
est. aa fend. poKiant
la meS- Fisalemeat les AUeœaads t u r e s l raietés
w a É i n i n i s t n t i T e e t p a r a n leu?: des taxes sur k eani'ksl.
par an bataOIea aaglals, entra les ma'as
Woêvrs
qr.e de ses actes.
I d c n n a a t u n e responsa
L a gtM-Te actceî!« déf3>>3M les rortanss : duquel 3 laissa d » prisoBciers.
vAposc loncuerr.cst.et I r r a .\a a i . a de Saiat-Hicie!. dans !a nuit dn :e::.er;t senitîe-t-i:, le? cocd:t;o^.= dans ie-îkttttfe i w r w f a a x
i o c c t i o n c a i r a s :l y a des T^hesse» q«i! « éerouî^aî et ee
A r e i t et an nord-est de KESSIHES.
au ' I mars. ao42s svcas disperse un
— H * I d ' u i m n o m d e l a c o U e c i i * : t e . sont de oouve^ex paevr»?; t» » a des r i - dan» I* Bcit du 11 au i i mîr». les Ansrapr-vrts ta<=ella subirent -ies
fort
groupe enaemi qui. de SEDZEY, cker- retard-i avai-î d'ctre t r a i i f i n i ? a u r a p i r a i c e
de nou- traliess ont eSectné avec succès des coups
X . AU«tt«2«t>aa-MMMte<UB$ l e m f m e ch<^#se« qui s'élèvent e: r »
veaux rieïîe?. Note assfrtons k de te2»« de main sur les postes allemands. Us oct cbait â aliorder nos tranchées.
Iw.uciardon.
fluetnataoBS de (ortmie d u r i s t ces (wsUbpo'ar.-^iiito.c contre P f l o avaient été
Au sud-est de Saiat-Ifibiel, le 7 u).irs.
- M . J a a * B o n . i n t e i i o m p a n t . déclare lés. que le eapital est es oonslanbe fora»- tué ^ certaiB aemlire d'eaaeans et raiae•'!— s l.> i fi-vner. sous le 2- miiiis'.era
>é des prisouiers.
les Allemands ^apprêtaiwrt à lancer leur
M i e m i i s n o n g a g o ^ s o n t des tîoa ou défermatiOD.
B
r
i
a
z
d
.
p r » u ê r e attaqtu de fen fiqaids contre le:
! « « « • « ( w M r > B n ' y a . c o o > m di«ait
C e s l d ù M M «omea!
son peeeeawor En Flandre Francise
.-e baisait .sur deux dossiers : l ' a n
positions aaiéricaiaes. Avant qn'ils eas
M l i a W . « a e t r o i s iaçoBM d c T t v t *
o i r i e S S i I* œ i e i a d r S S r
venu
des
affaires étrangères, l'autre de
sent p u mettre â exécntioB lesr dessein,
4 l > * * e * d i a M . « « d e a r o a salarié. > L ' o ^ e^HtaL
r — t d'ARJmTIKXCS. dans b mati- -one patrouille américaine attaqua Tenaeiai l'intérieur. Le premier, lé plus important.
Ce
D'est
pas
à
dire
qne
nous
n'aunn?
p*s
reprr«luisait.
d'après les dires de S.-iddik.
Dé«
du
10
inar».
à
la
faveur
d'un
violent
n t e n r oublie de taire connaître dao;
et robligea à se retirer, laissant derrière
i envisager, poui l'apr^s-çuerre ua i m p d l
l a q i M l l e des t r o i s c a t é c o r i e s U se classe - o r le eapital. q u ' i l faudra, a iwiiî »vi«. ré- bombardement, un détachement aCeaund lui i lance-flammes, qui furent capturés avec des dates, le réci! de.s entretiens d u
a attaqué les pestes anglais et enleTé
khédive et de îlolo et des intriorucs noiiée.-ï
A u sud de EICEECOURT, dans la mati entre eux
partir s u r UD assez srand Pomare d'ar-aées qnelqnes kenuKs. — Le lendeaam maiJolo aurait obteiiU q u une
pour oe pas trop charger la eénérateon a«- tin. à la suite d*!» violent bombardement, née du 12 ni3rï'. na détachement améri ineusualité de deux m i l l i o n s de marks l u i
Lia a réassi ua conp de mam.
tueMe.
les Allemands exeoutereat trois ccaps de
fût versée p o u r faire d u pacilisme e n
Mais oa OOBS reproche de n'avoir pas as- maia sur les postes anglais. Us fureat reM . K I o t z . l e l n l s t » des finances, i n i e r
A n BOIS LE PHETBE, daas I» a n i t du Krancc. Cet arcect aurait été îoucli.- par
CavalHal po-ur u n tier-c. pour les deu.x
v i r â t a M a r e a a p o n r exposer son p r o sez demandé à n n j p f l i dL-ec: et de n'avoir jetés sur nn poiat et repoassës sur les S an 9 mars, na coup de maia allemand
deux autres avec de fortes pertes. Cne nu- complètement échoné.
pas crée de mon'jpoles.
autres t;er> f a r Uolo Ce premier rapport.
ffMstattrailleose resta eatre les mains de nos
Dois-je
dotw
rappeler
que
aoas
somme®
•siiîCide Casella. avait été transmis i>ar
X » i e a d « B « i t des m e s o i e s nonTelIes en présence d'une augmentation a r p o r i i c i e alliés. — An ce ers de la auit du f? an
En Lorraine
notre ambassadeur à Heriio.
#a1l »
a d o p t e r d e p u i s s o n a r r i v é e •le rimpet global sur le revenu pu!îi;iî i! nn poste anglais a été attaqné. à la suite
(Juaiit ail
co!u: d u policier Kr.-înce,
d'un vgoleat bombardement, par nn fort
' a n , m t a l s t è r e a t t e i n d r a i t , e n a n n é e nor- est pa.ssé suceessivement «le 2 Te à l i
Dans le secteur de MOuCEL, n c i t dn
i l doiiiiait de.s rccscisiiements sur le pasQuant aux irapâts céJuIaîrïS. il importe détachement ennemi, qui enleva quelques an S ra.-trs. nous avons repoussé nn fort sade .le Holo on .\niéri.jue.
Z m U U u d s 469 m i l l i o n s .
hommes.
—
Dans
la
matinée
dn
13.
im
:
Ces taxes n ' o n t pas s o u l e v é d e pro- de ne pas les mù<iiner av»n> d>n connaître coup de maia allemand a été repoussé 'fcoup de main ennemi. Les assaillants, qui
Le -Ji mars 1917 .M. L'aiiilové rempîaraU
eubirent des pertef sérieuses, laissèrent au miniït^-re de lu L'uerre le c.'-iié.'-al
i B s t a t i o t e sénenses ; o r . I l n ' v z.de Itons le rendement actuel, qui. je réopéré STa avec pertes.
supérieur à « ! u i qu'on en a'.tcnn. Co n'est
entre
nos
maias
une
dizaine
de
prisonLyautev. I l i:rnorait q u ' i l v ef-t une
tainùts q u e les i m p ô t s s n p p o r t a o l e s . I l donc que plus tard que nous pourr-jns cnniers. dont un officier.
affaire Holo. q u ' i l in- connut que li» i a v r i l ,
d a a a n d e t a l e m a x i m u m d'eCTorts â visager rao«menta!ic>n du :su.\ de c»s imA u sud de FLEDBBAIZ. dans la mâtiné
de y msrs. un conp de main cxecaté par •Dans les secteurs de HEILLOK et de dans une conversation avec .M. le Prési, t a o t e s l e s l o t c e s c o n t r i b u t i v e s d a pays. pôts.
les Anglais a permis à nos allies de rame LESTHICODRT, nuit d-a
an y m j r s . des dent de le fSépublique.
Tôt après a r r i v a i t u n deuxième r a p p o r t
E t i j t e r m i n e en a n n o n ç a n t q u ' i l a ner des prisonniers.
coups de main allemands ont complèteC t t t Ht devoir d a ministre des Finances :
ment échoué. — Le 9. à l'est de BEILLOU, lie Casella, transmis en double exemplaire
" I « 9 n t f t é ^ c ' e s t ^ déterminer ce l ' i n t e n t i o n de m o n o p o l i s e r les réasscA rest de LAVEIfTIE, dans la matinée
I de rnangre A ne pas tuer la for rances. q u i . a v a n t la Ruerre, etaient dn $ mar?. les Anglais ont eflectné un 60 fantassins et des sapeur» français, et par notre attaché militaire â Berne. .M.
Painlevé p r i t un e\ein[ilaire. et laissa
e n t r e les m a i n s de sociétés allemandes. conp de maia et ramené un prisonnier, en 50 soldats américains, après une forte prébiir.Mu. q u i aurait dù lo t r a n '•éititaf les débats s u r les impcts dir^Mbi et Z.es socialistes ne sont n a t u r e l l e m e n t n'éprouvant que de légères pertes. — Ac paration d'artillerie, se îont élaacés, à l'autre au
17 h. 30. hors d'un de nos ouvrages for- icettre à la justice, mais q u i lo retint,
les tnptUs m d è e c b ne p r ^ n t e n t qu'un
pas satislaits de ces déclarations. E n snd-est de la même localité, le I'?. un fort mant saillant, et ont parcouru SOO mètres parce que 1.? rapport mettait on '-auso i;:i
éoriqoe j ' a i Tiateniion d« faire
allemand a attaqué, sur un ea terrain découvert sons le barraae enpersonnalités, p a r m i
l e u r n o m , M . Jean l i o n t i e n t à le noter detachemeat
ans et aux anires.
front d'environ 700 mètres, les positions nemi, pour bondir sur les objectifs qui assez srandlo nombre
orésidont .Monier et M. C h a r r le devoir de tronver tout rargeat né- e t â d i r e q u e n o t r e b u d s e t est imfcu de portugaises. Cette attaque échoua entière- leur étaient assignés. Les sapeurs, uroté- lesquelles
les
Humbert.
Le
;-.'seDte!nbre
le capitaine
l
'
e
s
p
r
i
t
d
e
la
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de
ISTù
o
d
o
n
t
ment.
L'infanterie
allemande,
prise
de
^
svee le sonel de ne pss laisser pegés par l'infanterie, firent sauter lés rér.'cla:.ie. Ce n'est qu'aiors
aet SOT les.gÉnéralitins pri«entÊS les cù»r- o n n e d i r a Jaraaisassez l'égoîsme féroce e front et snr les Bancs par le fen des mi- seau^ les abris, les observatoires de Tad- Bourchardiin
|
u
e
M.
Paiiilevé
apprend
çiuo
lo rapp.irt
tra-Ilenses,
subit
des
pertes
importantes
S t s de'TiiVenir.
versaire qui s'étaà prudemment replié, et
3VÎ. L e i a s relève ce m a u v a i s c ^ p l
n'a pas été transmis ;'i la justice
• 9 N « e eette Jenne giénération fan«h#e dMS m e n t en r a p p e l a n t q u e a la g é n é i p l i o n en tentant de franchir les réseaux et en se revinrent dans nos lignes à 19 heures, C.-i-solla
Iiiiitaire.
I
l
isrnorait
le
retard,
comme i l
repliant
sous
le
barrage
d'artillerie.
Elle
: sa-ilepr. o-est une perte immense pour les
n'ayant ou en tout que quatre hommes iv.-iit I^rinn- la .saille et la restitution d u
' «Des, îes arts, te commerce, l'industrie, de 1870 a v a i t t r o u v é le m o v e a , en t r o i s laissa nn grand nombre de tués et de bles- blessés.
chèque
D
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s
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génésés
dSLBS
la
zona
intermédiaire
et
des
pri'. la vie paTsanne.
e
sei.ie,libre. I t . P.iinlevë. q u i rtéciA la mém» heure, à l'est de KEUVILLEH
S
pertes de ^ ^ n'ajoutons pas des r a l e de l a F r a n c e , en t r o i s ans. de paver sonniers entre les mains des troupes porVj
et devant BABONVILLEB, deux déUche déinent ignorait lufaucoiip de choses i u i —
^
4res telfement iounles qu'el- î a dette, et. e n m o i n s de di.t an.=,'de tugaises.
poi'tai.te.s,apprcnil<lc:.L
I ; i b o t q u e Caseli;i
ments,
composés
chacun
d'une
compagnie
les nnniefateni de faire Ilécbir la résistance r e s t a u r e r les finance? et l e c r é d i t de la
Dans la r é ^ e n comprise entre NECVE- américaine et de deux compagnies fran- a tout l i e u lie eroir.; que cerlain.s renseiféeni m.-qùe do pays.
France. »
CHAPELLE
et
LA
BASSEE,
un
violect
çaises,
après
avoir
traversé
des
terrains
snements.
q
u
'
i
l
a
transmis
au
bureau,
X o n ^ f é t ^ i i l i r a i les charges fatorss, je
îjsi c o n c l u s i o n de ce débat e s t q u e I on bombardement allemand a été suivi d'at- bouleversés, pénétraient dans les lignes ont été retenus par lo capitaine L a d o u x .
les »efla»nU » t r e l a génération présente
c
o
m
m
e
n
c
e
â
songer
sérieusement
q
u
'
i
l
taqnes,
îe
7
mars.
A
la
faveur
d'un
épais
allemandes
où
ils
détruisaient
trois
trana
m
i
de-M.
Charles
î
l
u
m
h
e
r
t
.
.M.
Painiev»
e t selle» de demain, car c'est poar les r 4 o e n l i o n s de demain que nous lutiwis, afin f a u d r a l i q u i d e r les dépenses colossales bronaiard, un détachement ennemi réussit chées et faisaient des prisonniers apparte- décide de faire entendre Casella par le
de cette g u e r r e . Des sacrlSces seront à pénétrer dans ua des postes de nos al- nant à un régiment de uhlans. Les soldats •capitaine Bourchardon lui-même. C'est
de leur aisnter l a paix par U victoire.
nécessaires. I l reste à souùaiter q u e les liés et à eidever quelques hommes. Sur les américains ont fait preuve, en !a circons- ce q u i c. l i e u le Ii; octobre.
points les assaillants furent rejetés tance, d'un enthousiasme et d'un courage
r?ur ce.s entrefaites. M. Painlové iloit s.»
Parlant des mesures déjà décrétées. eHarges soie n t équHablement répartie. autres
et laissèrent des prisonniers. — Dans la soi- de tout premier ordre.
rendre à Londres. Fn son absence, l«
rée du s. un détachement, qui tentait d acomité <ie friierro déci.Je que tout ce q u i
Au
cours
de
la
nuit
du
iO
au
i
l
mars,
border les lignes de nos alliés, l u t rejeté.
les affaires Cavallini et Bolo
— Le leDdcmain matin, les Portugais, an les troupes américaines ont encore eflec- concerne
^ours d'un coup de main, pénétraient dans tué une incursion hardie dans lea lignes serait nnédiatenient coinniunii^ué. I l e u
était
presque
temps. C'est alors ciuo .M.
a deuxième ligne allemande, qu'ils trou- allemandes.
Painlevé donna, do Londres, r o r i l r e de
vaient fortement occupée. Ils en chassèremettre le dossier jaune au capitai!irt
rent les défenseurs en leur infligeant de Vosges et Alsace
Houchardon.Ce dernier, siirné de Casella.
fortes pertes, jetèrent des grenades dans de
nombreux abris occupés, en firent sauter
Dans la région du LINGE, an cours de était ai i i v é a u Ministère do~la Guerre lo .'1
septembre
: ce n'est que le 1" novembre
quelques autres, et ramenèrent des prison la nuit du 0 au 7 m.-irs. nous avons arrêté
qu il fut enfin remis au capitaine Kouniers et 2 mitrailleuses, en n'ayant epr
un coup de maia ennemi.
P e d o m p fcentoc'h.
chardon
!
vé que des pertes légères. — Dans la nu
Un antre coup de main allemand a
.. Quel g.'ichis ' » s'exclame nnelqu'iin.
T u d a c'houlenner da labourat. M a du 10 au 11, un détachement allemand, qrepoussé dans la nuit du 9 au 10. L'e
Quelle pélaudiéro plutû!.
tenUit d'aborder les liones britanniqu<
fcarje an c i l ober ho dcver var ar au nord-ouest de La Bassée, a été rej»té mi subit des pertes el laissa des pri
Coiiinie excu.se d.' toutes ces lenîeurs,
poent-ze cnn dez e kavfcnt gras mont par les feux d'artillerie et de mitrailleuses niers entre nos mains.
de toutes ces i r r o ï i i h i r u . / s , .M. Painlevé
explique qu'avant l u i le général Lvautcy
da c'houTvez pa deu an noz.
avait ordonné «[uc n o u . ' t o u t c e q u i concer^ dez^na, an Allmanted o
Dans
l'air
En
Artois
et
en
Picardie
nait les affair..s Bolo, i l y i^'il communica' ' • "
'X X .
étaz cltoariet nebeutoc'h a-enep hor
tion directe entre le bureau et le gouverDans
la
nuit
du
7
an
8
mars,
des
avions
Au
nord
de
LENS,
d
A
s
la
n
lit
du
nement
inililaiie. sans que le cabinet eût
zotidiidcd. Dirag ar Zaozdn dTCistau IS mars, les anglais ont rëuss
coup allemands ont bombardé Londres: 11 tué 'i intervenir 11 i-st probalile ([ue si le •;<•oH eo o d n z fistoulet, ,hep |gounii
et 46 blessés. C'était le 103- raid boch
de main et fait des prisonniers.
n c i a l Lyaiitey el.iit resté au pouvoir, il a u La même nuit, Paris a reçu une nou rait modifie ses inslruetiuns sans attendre
seiirt ebed.
Vers OPPY, dans la matinée du » niar
vello visite. I l y avait, semble'-t-il, de 10
bureau eiit reti nu une i l e u \ i é un conp de main anglais a lait subir do 12 escadrilles : 13 tues et 50 blessés. U que le
^laska reont, m'oarvad, e pe leac'h
ine lois des ra|ijjorts destinés à la justice.
pertes à l'ennemi et enlevé un certain gotha fut abattu en forêt de Compiègne
C2 eo al laosfca [an traou, hag e pcb
Quant
à
M.
Paiiilev.-, i l se bonia a rennombre de pnyonnier
un autre appareil ne rentra pas, d'ap '
voyer àson régiment le capitaine Ladoux,
I c a c % e kavont goazed terr ha IcanoAu nord de ia route BAPAHME-CAM l'aveu des Allemand!.
dont le njlo.lans cette affaire prête à toutes
— Dans la nuit de lundi à mardi,
BRAI, dans la matinée du !' niar.<. un co!
fiou da Tcspont out-ho.
les suppo-sitions.
de main exécuté par les Anglais a permis Boches revenaient, avec 9 escadrilles sem
Hag an amzer a drcmen h ^ ma
ble-t-il:
100
tués
et
79
blessés.
Parmi
1
a
nos
alliés
de
capturer
une
mitrailleu:
Les deux artilleries «nt été génénle
morts, 66, pour la plupart des femmes
clioaz a vraz.
Au sud-est de CAMBRAI, dans la ni
ment très actives, particolièremeat et
Maii? ce. n'est pas d'auji iird hui que l'on
des enfants, périrent étouffés .i l'entrée
Oani a zoni e tagint da genta er Belgique et ea Flandre française, où de du :» au Kl mars, les Anglais ont effect
d'un souterrain. Quatre appareils furent a i l que M. Painlevé n'était pas plus prévioleates atUgues ont été tentées par le un coup de main, tué des Allemands
paré à diriger le nun!st..-ro de la iruei l e
abattus.
ftrctoou p c O , Mesopotafoi ha Palestin, Allemands et des coups de mam impor- ramené des prisonniers.
n'a diriger le Couvei neir.ent. K l l'ordro
Pendant ce temps, une partie des P,
MaccdMn hag Itafir Hag evit gvnr, tants efiectnés par nos allies,
Il j o u r pur et simple eiit été peut-être la
Vers la VACQUERIE, un détachement siens continuent à s'amuser. Mardi, à la
eilleure conclusion de ce déh.i.t.
l>cte vreman ho reolenn a zo bet en
ennemi qui tentait d'aborder les ligne Chambre, le sous-ministre Dahmier
Or. .M. Uenaiiil.'I a \ a i t un discours à
En
Bejgîque
britanniques,
dans
la
dait
même
hommage
«
à
l'admirable
cou
nuit
du
1-i
au
I
«9» zizober ouz ar re distera, an eil
placer:
et depuis longtemps i l s'ob>linait
rstre des spectateurs des théâtres de Pa
ni.irs. a été dispersé.
a vouloir entraîner .M. Clemenceau à la
gotide e^Ie, eirit en em gaout didrabas
^t
des
artistes,
qui
ont
continué
les
repré
ronr-VBOUTHnLST,
le
A l'est d'EPEHT. d
tribune,
fiit-co. comme on l a é c r i l , que
la
nuit
du
«
ai
te ç i * d u jour, las
sous le bombardement. • I l pour l u i nn
da herzel ouz ar re vraz. Mes ma t;
i i i a r j . une tentative
dire < z i i l : »
raid ennemie, el sentations
faut en effet du courage — nous ne répi
.•Biû d'une fectués à la faveuf d'
iolent bombarde terons
gont er broïou pell, ni hag ar Zao;
.M. Konaudel li. elare donc que ' M. Clépas le mot admirable — pour con
j-—
, ane puis meut, a complètement échou
nienccaii a la l'espoiisaiiiiil.', par .-îon simuer à danser et à rire alors que tout
n'e joumimp i M 'da ehan, me 'gred
ap>ll«V—» i m front de pluL
ôtc des êtres inoflensifs se tordent dan lence, de lal-ser durer à t r a \ c r s la Krancu
•ÇWÏ
S
»
I
»
majeure
partie
de
Région de Saint-Quentin
ha m a t a ^ ancnebour dagas re a du
tes campa^-'u.'S q u i sont; engagées contre
es aflres de la mort.
ittaque fut brisée par les feux
a bcll e clielIFe en em gaout gwall- de no* allies. Sur un point à gauche, l'as
Avant le retour des avions allemands les principaux chefs do la liépuolique. »
Au sud et sud-est de SAINT-OUENTIN.
saut,
poussé
avec
une
grande
ténacité
ei
Celte fois .\1. clémonceau a entendu. Les
des avions français s'en allèrent bombar
zittera d o s t .
soutenu par des jets de liquides enflam les Anglais ont réussi des coups de mail der les aérodromes d'où ils étaient partis socialistes n'auront pas a s'en féliciter,
dans les nuits du !> au 11 mars, tue de
Da c'hedal, ar 2^ozon a gendalc'h més, contraignit les éléments anglais qui ennemis,
iir
tout eu se di-fendairt d'être enragé, le
fait des prisonniers, et ramené : Cela ressemble à ta manière d'un oamin
occupaient les postes avancés à se replier
Tigre • mort à belles dents.
qui profite de l'abscaco de l'oiseau" pou
da Manaat ho zachenn enn hanter-noz légèrement,
à la suite d'une lutte tre mitrailleuses.
••Nurses
(luelar.aions concernant la l i b e r ,
détruire son nid. Mieux vaudrait, à n'ei
d a Jcrusalem.
vive, snr u n front de 600 mètres environ,
point douter, bombarder le nid pendant lé de la presse, nous aurions quelques r é Peu
après.
rmJanterie
anglaise
coatre-at
serves
à
faire
Comme beaucoup d'auln-s,
que l'oiseau s'y trouve. C'est l'oiseau q
A r Ruri a gont nebeutoc'h-nebeuta. Uqna aveo succès. L'ennemi f u t rejeté i
u temps de M. Malvy, nous avons eu ù
it à craindre, non lo nid.
Xcn aliez ha bemdez an Allmanted a 300 mètres de l'aacienne ligne britanniqut
,ous
plaindre
de
la censure nolitiqif^. q u i
— Dos avions anglais ont bombardé
et subit de fortes pertes. La position de
les socialistes « Ij -ufler du curé »
•^-ra gpwrdrottzou d'ezhi ; hag hi a rank no*
Stuttgart et Coblenlz, et les usines et ca laissait
alliés se trouva complètement réta:t
jiiter
la
suspicion
sur tous dans leurs
La lutte d'artillerie demeure violenti
irnes de Fribonrg-en-Brisgau.
p l ^ be wcdi.
blie. Les deux opérations ne causèrent iur
journaux, sans nous permetre toujours
la majeure partie du front. Comme ac
— Dans la nuit du 12 au 13, trois zep
que
des
pertes
légères
aux
Anglais.
—
Ai
le
ri?Iover
leurs
insaniiiis
de réiio:i.lr.!
Trotsky ha Krylenko o deuz Iakaet cours de la nuit du 10 au I ! , un détache tions d'inlanterie on n'a signalé que quel pelins ont survolé la côte britannique di non par des « peut-on dire el. mais
par il' S
is coups de main.
Yorïshire, jetant des bombes au hasard laits. .N'éannnjins, une censure, même p o l i lio dilez. At palx>Ted-nan a zeblante ment allemand, qui avait réussi à péné
n plcme campagne, l e port de Hull
trer
dans
un
poste
britaimique,
en
a
été
tique,
bien
conipriseetloyalemeut
exercé.-,
fcaont mez da gas ho bro d'aï leac'h ma aussitat rejeté.
eçu également 4 bombes. On y signale lirait un r.jl.; hienfais.iiit i leinplir en
Entre l'Oise et l'Aisne
ne femme morte de frayeur.
's eo-hi kouezet. A vare da vare
temps de guerre. Kt peut-être .M. Clemi-nDans la région de FRESNES (sud-ouest
A
l'est
de
FOELnAPPEi,LE,
et
au
sud
u regrettera-t-i! un j o u r d avoir supt o c n t ali d'hoc'henvroiz da herzel. Ho
est du BOIS-GRENIER, des détachements de la Forêt de St-Gobaiuj, et au nord de
primé t o u l contr.'jle.
c'hcntelion a oa ken aliez a c'hoaperez allemands, qui tentaient d'aborder les li- COURTECOÎf, nous avons exOcuté deux
coups de main, dan» la nuit du iO au I I
Cela dit, voici, .1 a p r l s le compte rendu
gnes britanniques dans la nuit du C au
DhiCTzet o doa ar Rusi, he liammet mars,
mars.
analytique de la Cliaiiibr.-. les principaux
ont été repoussés.
iTOiic'hct d'ezhi he divreac'h. Brao ez
paspages de sa riposte à M. Henaudel.
A l'est de PASSCBENDAELE, dans la En Champagne
Ce que je ne ouis ailmottr.% c'est qu'on m'.ic«a da clioiide cuz ho ferz lavarout matmée
dn 10 ma-'s, une tentative de coup
cuse .le laisser faire ilev CQni|)ajaes.
4'czhi : « En em zifennit brema I » de main allemand a è'.bouè sons les l'iux
•l'en suis làrhé : vous ùles il.; (.ran.ls liberDans la régi,in de LOIVRE, nuit du 1'2 an
de mitrailleuses des Anglais. — Le lende 13 mars, les Allemand.» ont tculé uu coi-.;)
tairi:s. mois |i. n.)aul trois ans vou< avez pris
Hag ckaver cnn hon touez k^nfarted main
matin, des formations d'mfaaterie
ln..p
facileiueut I lialiitu.ii; .i'.'tre prot.'p.is p,ir
qui a complètement échoué.
dliofl alîa da gemer skouer var ar allemande attaquèrent les lignes britan- deAumain
1.1 ccnsur.;, t-indis cpie vos ailvcrsaircs uc 1 .•sud de BETHENY, dans la nuit du .
niques au nord-est de Passchendaele, sur
tc.iiMit
pas. J-.ictuni'tiinna o fcrlrcme-qrinche.l
•ciirt4c7 la. pa or bczo c'hoant da un front d'un millier de mètres. Les as- u 10 nijrs, nous avons repoussé un cou;
.1 ai connu nn temps où .M. l..;on Daudet
e main ennemi.
saillants furent partent rejetés avec de
aigasfinarbcd!.
; niettail en vi.JcUi! d ienominie et de lionla
pertes et laissèrent des prisonniers
liarjucj.jur Jans son journal.
A l'ouest de VAnDESIKCOURT, dans la
LaboMcdt
I an car a c'hoari gwascc'h- fortes
entra les mains do nos alliés.
I. interpellation de ,M. Emile Constant
matinée du
à la suite d'un violent bon:
ulemcnt la censure le laissait f.iire,
. An nijericn boch a zo deuet diou
!.
|iutc
radical
île
Ja
(iiroiide.
doux
loi^
dcment,
Ibs
Allemands
ont
dirigé
une
éta it m.j qui .'lais blanchi,
A l'est de ZONNEBEKE, dans la mâtiwcéh cnncizdez-ma da deuler bombou né»
ttaque sur nos positions. Après un vil ijuurnc'e. csl \einie ilovaiit la Cliamhro le
i i-oniiu un temps où il ne m'était pas perdu 12 tn.ns, les Allemands orit effecnili edi s mars. I l s"ii--'is.sait « dn.s responlie rappeler lu'aïaiit lu guerre, cl inCme
uibat, nos troupes ont rejeté l'ennemi di
« r P a r i s , o vcrzeria be wech tud dinoaz. tué un coup de maia sur un poste anglais,
et enlevé quelques hommes. D'autres ten- . lelques éléments avancés ou il avait pri» aljililOsgduvcni ;ineiitali.s et tles coiiipru- (|u.-l.iui'S Jours ! lant la guerr.\ vous voliez
Etrctant, an theatrou hag al leac'hiou tatives exécutées à la mime heure par pied, en lui infligeant des pertes sérieuses hissions révélées pai- les cJCliais du [jn^cOi
nlre Ic.s crédit^ iiiiiilairi.s. (î'/ds bien: trn;
en ! u gauc/ie t ail ^itntrc.)
iolo.
A l'est d'AUBERlVE, nos détachement
aD <ia zaïxal ha da c'hoarzin a zo leun rennemi sur trois postes au sud de ce
Je ne vous chci .lie pas querelle, mais, alta•rpellalion
ns grand inlOrêt. lo.s
mt pénétré dans les lignes ennemies ai;
a Toascd, a verclted, a vugaU I Oaoust point ont échoué.
i par vous, jeî m'osplique sur la doclrina
sires m caau
ayant été roiiipl.ieés
ours de la nuit du 9 su 10 m.irs. opérô
An
sud-est
da
BOIS
DO
POLYCONl
it pour .|ue, après lo vole sur
Ouuve
.l'aiiiiet
lo
n
'ta ha Fraatisien a zo n'e zetûnt da (nord de Becelaere) les Anglais ont exi
niveau chef il» GouÎS destructions et fait des prisonniers.
coDilai e, il ioit cnlcnùu .pie les rcpubliw
u
.
r
n
l
1.
ay.iiit
pas
liiisi
11»
i
l
lo
fera
Aux
abords
do
la
route
SAINT-HILAIRE
n'co kct an amzer a vrezel cuté aveé succès, dans la matinée du 1.
.ai-quei-,
a
n.-poiiilr
nsonl
à ile.s questions
uuflo cc dans les libcrU-s. {Applaiiun coup de main sur un point d'ap 3AINT-S0UPLEX, dans la nuit du 10 ai;
a bli}aduv nemed pa vezo mars,
iiit des laits iiui se
Ht passes quand
I;'•I
1 iiMrs. los All.n-.ands ont tenté d'abor
p n i allemand. L'ennemi, qui a subi de
.fiait
au
p.,uv„i
In ;i des
tPJJ&AdSt
contr vous ;
s û t e s airieases. a en ouUe l ù i s * 37 sri- dcr no» liane». Us oui H t rejeté» par noiipjan
lie phrase de lavoi ut de fJolu blessa
étonuv
7
La
Guerre
Eizdez Brezei
fiésué des OpératioDS
FMST BRlTXHHlÇUt
ÎROUT
FRXÎIGMS
â PROPOS
DES n o m s BOLO
lïl.CiBi?.80ce3u ioslise les Socialistes
Vcilà i-iaqamte ans «rti'on «n h i t rentre inoi
(i;,r>;. _ l:itrrrt:p:innf
l fz'rf-re
i;awhr.
Q u i n i n)'3 t-<-n erîîriKÎa ni>n rîa-iirfrp '
I l m - « ! arrive
r-^roadre. i l i ! i > î t . i r r î r
«iMaiïDçr. de ne pas lire. e l f - S l I j I
tD*iit«»r remède. lOn ri:.)
Mais «loaol too» me iecaKaiet 'l'arr-;îer des
carr.;<tgne» .
IV.I
!• i - r y t T i m r " n t i r k r . ^ o n non
M î» or.'SîtfoD'' ^ î f c o n ? e I .\!nrs. vo-is
pt»-'-: w i r se r e r «lir? ' A t.l'is>ur> ri-pris-s
»c« o-aleo»? m'ont »ccu'.« de Isi'Sir »air'- d ' s
camiKi^ne*
Je TOUS ai aTerli d i ^ l e premier jour. Je roiif
•1 rSil que je stit'primerais In censure politique
VcRS arez 8ccept'>. A l c r * D'aïezdoa'- ra» pear
i t ce que \ c o s a r e t !.îit.
n'arrêterai f a ' '
ean>païiie«. et «i vont
»coK7. un Couve'Dern»nt qui le- arrCte,
S!«sez-en un antr^ gne 1<- mieu.
.M. Rtnaodel s» r i a ' f
a"®!""
piiWic.té
dcnn-^e a u i aîîair»^ juiiiriaire^ ; niais sj j enipéeliai-» crttcpaLîicil-'.rfe «îuoi ne n i arcuf.-rier.
»0U3 p:» »
Je Iii« a u * les r i p u t l i r s i n » ne iloirenî pas
• l o i r peur rfe la liberté de la pres.sc. (» 'A" " / plauimurr,tnt>.\
N" en avoir pa? peur, c'est savoir «ine celle
liberté cnr.iporte des excès Mais i l j a des lo.s
qui f r o t ' s e n i les citovens contre ces eic'îs :
TOUS ptiuvez er> user.
J'ai érr,aie cette ilisrus^ion e! ni> pu;« W.imer
SI. P'aialevi-(lavoir éprouvé le I x ^ i n 'le se
plaindre
mais, vraiment si u n l:istorien
prt-nd ia plume u n jour pour dire de quoi les
t h a n i t r e s délibèrent en ce momeut... 'Applan-
habitants des r-çion
•ir i l ;
ihies . st subi d<
•le pareill*-s
a!t< .îont sont a c r u s ^ - l ^ < !ii.-J'.r^du l i a i •
plus c e a
les
t ses neolv-t-s
.!..::,,.ntr.^. l - s s i x i.-. -r.\ p r K
is.ér p.ir î'-rlH'îe premier.
If-s f-^:^-.•.i.•r<•-:.,nt
ii<-s lr.ii- re.it.-jaee' l - .->,ere p a r
tablelLav:.-./-ari.arrf.s meiiisait. avant l r i r . dau' îrt'S. •
^
les t . f s a r c f u n n î 'lé:ivn-es a u x l i - i l e l i / r s .
V o ' B , — Pans i t nait d o f. eo " a m . à '
une Tisi'e j o i l lu a fnile â mo!i r^bitte!. gi
- 11 sera l ' ^ m p s î
iroaiiiuetwiil
I un de DOS hommes prisonniers »u Allrmayne « CIem«?n<:eau. J e \ e u s Oire q u i l î a u t r c ï t i u r a l c u r s . t d ^ b i ' x - ; ! ' . prii^m d é semalfaiteurs but |iéuéU> n u t O n e b i a i ^ ^
ïux
u dieaBoas porMe» « a débit de .Wnw MaW.
raVFatfm»
i S S
I ® ' ^ PaqaeU d - France, i l ser«il i v o î r l e c o u r a g e d e p o u r s u j v r e - a u a n d i l
w r s o d»« bocs.
d é « * é o n t » o m e de S.3m
o b l i j i ' de mourir de faim ! '.JoHremtuU)
" a des p r é s o m p t i o n s sofiîsaQies.'*
t a b i t K e d uo grsmtne éaairva» dans une srmoire. d o s l i l » i
Vollâ la silaalir.D de c«av (jue nous airnoo'
on arriv?
o r . i r e s d n l o n r . 3 <ori grammes de ï o c r e . Fractionner «t
luels va •••1-^ pen'.V rer^ <ju! nous ter
M . Da!bie.£ er: dé,^s<>
o n f i a n ' - e . . p o l v ê n s i r une l a b l e t i e e l faire di9«<iudro
<li
lir:i« - . . , 1 pire .|UB l o i j i :
- 1"I1 »0l plu» Importanl • e«t rxxnrei» mm.
1 M . l - a i n l t - v ê ! I I f a u t l u i f a i r e oL.serxer dîD» « 0 grammes d'eau i c i n q ktbIeUes
Kl vous
•aeï -«e parler do question^
u e c e s t i . ' i c o n s t i î u î i ' i n n e l . K l « ' a i l l e u r s t-oar u n litr;-;. Une cueiUerte i ««fé de la pr^Jodlce de .M 'Landt-ttar. r w ^ n i i a 'ltaa>
rj>rs.-inces
' Paml<.-vê n e d é s i r e rien p l u s q u e l ' o u b l i . dHSOiul.'o:! amsi obtenue correspond enviJe ue les connais pas. Je ne le« connaîtra
M. R e n a u r l e l d e m a n d e l ' o r d r e d u i o u - ron i deux morceaux d e sucre (exactepa«. .tpiilaniSiffr.nentf
siir un grai"t h
IpolaniSi
i i r e t .simple.
n i e p i i<( K r i n i m e s ) .
Le Folçoat
à le.
tancs. — l •<s i.Herruo'irn-^
• .-Vpr'-s
q u i s'est passé, d é c l a r e M .
C-.-.iforaî.:nii-n! aux- reeommsDd.-»lions d '
tite
l i e s b l e c e t s d e ! a elasae 1 9 . —
çanche.
lemene.'aii. l ' o r d r e d u j o u r o u r e t s i m p l e
.Act-.'-m:médecine, m^ pas eir.piover nombreux et t r ^ recueilli» le» « biCMty» M
Je n rien f i i t contre voas Je ne ferai
-aisn-iir a v o i r q u une s i g n i f i c a t i o n d e de- .A sjccti^r.ne poia- siK.rer
.-t
les
la
rlas»^
)!•
accourus
ici
dimanebe
poar
e
t
Sî
Cf.iître Vous hzcttiÊivHiùui
elbiutt
u Iri
laace J e i e r e p o l i s
u .le li-ur r/rur, non moins p n a a a t « a » !
-rir^nts e» îles malad»ti^mr
oeurhe.
L a p r u - r i t é e i i fave-or d e l ' o r d r e d u j o u r
I jpp»! de i»ar Evêque.
Alors, pourquoi toutes |(« f }i= que je I , ; ^
i u r e t s.Qij.îe. n i i - ^ i u i x v o i x .
r i p«us' I . I ' I ravissant speelafle oSert à D ^ s e * «
acte, iii'ai-ecsei v.ius .•«asliRîmrut i t - coin
-'-<• p a r
v o i v <-.in;r.' l-.;.
n s e ' et aux bommes. que re» « a ï H M i
.'.nîire la ch.ci,. ...ivri.'-r.- • l/> vérité
V . J.- -^..neral IV-.lo\a .i.'p,ise 1 o r d r e d u
tiens,
ce» boas K . i a r a i » réuni» a u p M s ^ ^
ne t:-ouve/ fias a
ire sur ce liouvt-r
Xotrelfcime. — de leur temeda C i a l ^ g a v
•"•'^re^'"'''"
o<l adopté p a r 571 v o i ï
neiueiit. mais vous «-.uvrez l.-s m:'ic!ioir« .-t ei
laire serment rte rester KdMc» m l e a r F o l ^ â - t - ^ rr.iuits a refermer les deot> s-.ns avoir ni
Inolique et à leur Foi cl)r>li«aae de Les i S â l '
• I>a c h a m b r e confiante d a n s l e g o a lentamer.
servir rie nKeirir pour Elle» »i c'est II i i i I m M
' e r n e m e n t , e t a p p r o u v a n t ses d é c l a r a On dit : i l coas faut la paix 1 rïUS t " t pc-s
dn bon Dieu !
.; '
i
o
n
s
.
r
e
p
o
u
s
s
a
n
t
t
o
n
t
e
a
d
d
i
t
i
o
n
,
p
a
s
s
e
hle.
Motiseigneiir .isait biea t o a l a présider <
l'ordre d n jour »
l-a p.-iix ' Je la dé-ire I I serait c imin»
CoocoBrs d e l ' a r r o n d i s s e m e a t d e B r e s t importante réunion Pendant la saiBla
d'avoir U!k autre pens.-e Mais ce n . ^ t . _
i : • lois •• p l u s , e : p l u s q u e ja.-nais.Ies
II 3 tenu chapelle, assisté *-, U. H é
l-éis!!! !a
qu'on fa:! taire !e m i l i t a r .s:ii
M-!a!:sto.s soi;'. i.-..itus.
l>es conc-'îurs aur-^nt l i r u ;
<V)în>eio, Tieaire eéneral. et de I I te
prussien. ( Vifs •ij.plaiidissrments
sur uwjr n,
AIr.is i l s fer.3r.t <>nt.jrr per-ir»- d u t e m p s .!
.\ i . e v n e i e t i , le jeudi I I a r r i i . pour poa ne Cozic, Curé de l.esneTeii. j ( . VoêsBer a d 1 CiiaiRlire. C'est a i n s i ni!.> .M P a u l P o n e e l lains postiers rie u n an ; ponr piulicbes pos- périeur d u eollitee .Saint-Fnato.-s. toAtmgm
Tout à l'heure SI. Constant me lançait unIerr<>llera s u r i.-s n:-<cntes c i r c u l a i r e s .tii-res ei de trait d'un an. z an» et 3 an»
semable. toujours élo(3uent — force a U t H i m .
petit" pDicte snr mon silence e:i matière d
• n r e r n a i i t i .HjsM'r.ation des m a r q u e s e \ S a i u l - K e n a n . le' dimanche i i a v r i l toujours la même clioae. puisque c'est t o a k M l »
. - n e i i r e f'.- n - . i r . w l e t K- r.tî.ibli.s.senient
politique étrau;rère.
la même chose — a rliaudemenl r m e m e n d *
poar
poul:rh(-s
postières
et.de
trait
d'an
on
l u k e p : r o u i ' e i ;,-ulo:is <! o r p o u r l e s oHiformule e-t ! i même m r l o u t
Je nf- suis p.is juîre de n é s predeces^-ifs ; je
à cenxqniauront peutèlrel'bonneiirdedéfai•lers. C e s î
eru-ore qu-r» .MM. . \ ! l x - r t i ans ."t :{ ans.
Politique inléricure " Je f-,is la ïuerre.
sais chef rl'un souvernemcnt n'paolicaiu et j:l i 10. francs sont aSectés au concours de dr;^ la Patrie sur les champs de h « t f n i » ^
l'ol'ti^iie étraiisère ' Je fais la ffuerre.
lioraas .•: >.i;iri-e! Senihat i : ; t e r n e I ! e r o i . t
défendrai la d t c t r i n c repiihlicaim-.
la .< planter dan» leur sing;.» de d i e r e b c r - f ~
Je fais toujours la jîueri-e.
.Ipplaudissenienl
: r l a p'»!:!! l u e - . ' . ni-raie d u l . o u v e r r . e - l.esneveii. 7.000 f r a n c s * .-elul de Saint-IVna
La première doctrine. cVst la liberlé : la
refnge babiluel en Uarie au sein des <«»»<
dicers.
(Mnvnt. e t p l u s parti(•i!l:'"-r<-meiit s u r l a l'our les détails l oir les a(jiche<.,
seconde, c'est la fruerre et c est aussi iju i l faut .-t moHremrnts
qu'ils
vont courir. Danger» pour l e e o r a r â
X X
..Kluite il.- !a g u e r r e ,
Je f h c r c b e i i nfe maintenir en confianci? ave
tout sacrifier à l a cuerre pour assurer li
doute !... Mais les ctangers splritotfs B ' r l
lii-c-il-'-nient c.?s l . a v a r J s sont i n c o r r i triomphe ne l a France.
.Ap[,iauai.<feinenl: nos alliée. I.a Russie nous trahit : je continu
pas moins à redouter.
iiîps
c.
BHEST
'
à faim la ïuerr.>. L-i niilh- iireuse Koiii:-an:
u qauchr, au cratre et ti droite.}
Qu'en bon.s et déroué» serTiteais de C t f W
Je,comprfads qu'on vienne Iraiîer ici îes af e-^! o!di^-<-e d.; (-,-ipituler : je .-ontinne ii faire I
L e s g n e r r i e r s d n « C r i ». — Les écr. qui est plus tendre que l a pins t e n d r t d é n ^ *
faires de trahison, parce que ces aHaire» d e t n ï u e r r e . e l je c m t i n u i T j : jusqu'au (b-rn.er qu-ir!
va»-iiers du Cri de discorde continuent à f.iir», res, terrible comme une armée ntuée e a to>
hison c'estencore laeu.,Tre..M. Kenaiidel di<iil d'beure. car t e s t nous q u i aurons le demi:
la coerre aox Fran..iiis. Dans îenr dernier n a taille. Us mettent en Elle tonte lear
- u / i.un j o u r que le c r i : « nous sommes trahis uest quart d heure. • l'i/»- app'.audissemtnis
mé.'o ils demandent : n Uu'avons-nous tu de car. le m o t de saint Bernard reste éteracUeîr-i-iii nombre de i-iriT'.
u3 c r i imbécile.
puis la fruerre
Des faveurs q u i s'abattrent ment vrai : < Le serritear de Marfe na b M c b
Pliisi^nrs membres it l'erfrrme
comme pluie d or sor tous les suppôts des sa Jamais. i>
La Révolution a remporté la victoire aux
_
~
cristies. n
cris de : < Nous sommes trahis-! » Mais it ce Tout le monde le pense e i le désire. .Vou<
vêpres. Sa Gnindeiir a en l a b o a l i ^ m ^
i S pFm au pain
Parter de pluie d'or dans le moment «st nn .iresser une alloention à ses c cher» c n b a t t »
moment i l y avait u n instrument, sur la p!a.'' s^,<mmes d'.acc->rd.
Pardon
M . le nrësident d e conseil.
de
Concorde, dont nous n«nous sommes pa
.îiîsqi.
^oiiv.t! o.-dr.-. le pain de er.ns.im- P " i
Si le t'/-t avait d i t » ploie de hill«t« 'es chers enfants, c'est ainsi qa'eU* l e s i
'
J'ai l u un dia!,.i-i!e où M H.-naudel e! M. I x n
n . n l r ne (K.urra éin- v.tî.Ju d^ns bleu^ » i l eût été plus dans la note, et r.ons l a i lait tout au Ions de sa caoserie pi
n
e
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n'étaient
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x
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R,rc- ,
-Vous, nous faisons ia Rucrreen sanveprardan
anrions répliqué que cette plnie-là elle s'abat ijuelle tendresse en effet dans ses a r i s j
• .i.-p: m e n l . à «les p r i x siJr"''''i''U''s
la liberté e f la llépublique. C'est ainsi que uou- :p;j;jH-ltssen>en[s sur plusieurs biuies.-- l-ru
• rifs .s.ill\;.rit
principalement, au vu et au su de tnnt le mon.l^ '.'n le» écoulant, j e crovaU cnteâdre l a « _
/c.^M.'i'i/i : -1 t fztrei:,e
•i-unlir.
entendons la continuer.
l o n d .1 l k.. poids nc-t
n f. M sur sa clientèle. Kt nous l u i aurions rappelé I.
ion brûlante de saint l % n l : C o n t a s u r y o o u . ^
Puisque vous m'y canlraignez, j e vais pos,Interr.-jfez-nous sur les aflaires de !rah:son
il- I k. M ' . [Kjids net
ij W temps, pas très lointain, où ses colonnes ébilent Kt, en quels termes simples le tout est ezpriatw
mais moi. ma pensée, à chaque instant, doil laqucslion ; de .|uoi s'airiss,-ut i l entre v.iiis r.i:
.1.
k. - j . j ds nel
1 ! l j remplies de listes de camarades rapiiel-^ du \ u surplus, u n père emprunte l - l l u n i a s C M *
•on^rès national'? l i e - u i v i i r si d e n n i n vO',)<
ê!re penchée sur la puerre ; aidez m o i vous
d. :; k. r.ei
1 Cô front par le citoyen lioude. Le C r i voudrait-il solennel pour s'entretenir aree ses e a U u U T '
'l:rini.
vote.'i.-zo'.i non li?s crédits de ;,-Hcrr." :
mêmes, mes adversaires.
ii- •i k. •
•J ) nous .lire combien i l y avait de « supp,'its de •Mais en même temps quels accents ! Ceux- qofnet
Je dis iju.! dan-i celle i-ni-einle la n-^ii.insali:
sacristi.; » dans ces listesriefavorisi'-s '?
Sur les i).',>ic.s <lii parti socialiste : — .Vous
p;irlent du cœur et qn! seuls arrîTent an eœoK
i.. poids t:et
liléd(! chacun est celle ci ; cliaeun doit v.il-v
n'avon'î pas le mêm'j but !...
Cest u n délice de l i r e dans ces jreox-dai
arif ri- •-sus - e n i r a le base"-, i '
-•Hais le Cn a vu encore o le désordre et la
comn-c
s'il
d.-|«-ndait
de
l
u
i
de
faire
la
maj..ri|.
M l e p r é s i d e n t d u C o n s e i l . — .Mr,rs.
pale par l.-s .=.ins d.-s ii;ai gabeirie .[ui n'^gnent cn maitresdans tous les IS ans le reCet des pensées et des sentisMalv
K t s i (i.-niaiu .lu-jlquun s'appr.'!-! à w b que déroule le verbe éplscopal cbargé d'astotUft.'
TOUS l avez dit ^ Nous n avons pas le nit'mi;
Eu ;
1-- prix
uu urés-int services ».
(-outre !•»« crédi'.-î de ;r'i('rre, c'est qu'il (îè.s;l'Ul. Je n'aurais pa-; voulu le i-rciri-.
Vous av.îz bien la : « dans lûus les services n. autant qu'empreint de tendresse, n O K n n o e , '
Il m'est arrivé u n prand nmlheur le j o u r où qu.; l'unanimit.; de la Ciiaml.re refuse l.-s cr.^
r>onc dans les services municif>.-iux de Bi-est dès que ta voix aura retenti-nous T o l a n u i i i i
a police
ntilitalro
dos
cafés comme dans les autres. Co n'est pas nons q u i la défense. .\'es-tu pas la Patrie '/ N'es-ta dm
le ministère e<t né : j ' a i été frajjpe d'.-sclHSive dits néoissaire-; i la continuation de la cui-rr.1 outre (1 le principal contrefort de l'édifle»'
et
festaupants
r.i bri.it..
lisons.
par .M. lîenaudel e l ses amis : ils ont décjpté _lulerruplfj!iS
ivin ici-bas ? La pierre que la main d u C b r i s t
ija'avaut la (riierre, qnelqaes-uns -lenlr.i.» cé.nér.-.l cf.mman.iant !a 11' K a i o n vi<
que j'étais u n danser pour la classe o u v r i i r e
•ne les salleurs du Cri s' rrangent avec le
posée au versant de tes mont» a béasiii. d | r
vous,
superidéalistes,
aient
pu
dan^
l'espoir
li.vpr .-lin-i q u ' i l suit
I.' et pour la défense nationale.
camarade llerv.aganl! :
toi comme d'un point d'appui, a Ce beaB moC
i'l!.:-s If-S m i ! i ; 3 i - - s .le tous j-Tad-s
Ils ont décrété — quelqu.-s uns venant cIaR<: i r u ; i prochain 'iés.-.rnieuient univcr-:-! esp.-,-.I
A
u
g
m
e
n
t
a
t
i
o
n
d
u
p
r
i
x
d
e
l
a
v
i
a
n
d
e
.
—
de
Mgr Pie, piiisse-t i l rester r r a l j u s q t f à
,! ,.c.-és oaus les il,;i)i;s. car-s el
; mon cabinet me dire ce qu'ils [icn-aient de l e .ju'en refii-iant les cr.>.l;ls d--; suerre ils si-raie!,
Le prix (le la viande, pour la vente au détail, lin des temps:
..
ij-.ints d-- l:i r-u-i.-ii :
• Tote... tFxclniiialionf
et rires;
- que j'i:lai<,. suivis de l'autre c-Mé .lu iJhin je bî con.-..is
vient
deire
modifié
el
Uxé
comme
suit
pour
-a semain.», d..- l'oiiv.^Pliir.;
. je le répété, u n danger pour la classe o u v r i i r • Je n étais pas d-s vntres, mais je le comprend-;
1 heures la ville de Hrest :
is tous les .iéoi's. c.'.f.;-s c
.M.-.is aujourd'hui, où esl votre excuse ' \ ou.
et pour la défense nationale.
lauranls
L a Martyre
u- petiN doj.-uners . 1 h.i; ~ lr.'i.'i.:- Prij: m,:r,m!i„
du. l l.ilo de viande de bniif,
I j classe ouvrière n'i.-stpK, messinirs, votre- ivez fait I c.^perience de la portée conla;iei:s
:ues, m ; . ! , pas a u x ienM
B o i t e a u x l e t t r e s . — . V o k s avons reçu la
radie et tainea^i
propriété. (Tré-s-fcie» t n s hifII.' I.rs mains ii(- votre i-.lénli;nie. I l vous a été réimiidii a-^
: (I.- I I
lettre
suivante
:
j»
ir.-s a 11 1,.
.Jjp.s b'r
l " c a l é ? o r i e . — Filet. ;i.t(J ; faux-niet oi
de la s-'ur-rre, lorsque pourqiie la Kran.le .MM. lîenaudel et Thomas ue sont pas plus
. cites
• f i t pas ngure d'assaillant, vous di-mandiez
sculer
n.ais n.,n pour loyau sans os, i If) ; riimsiecic.
ralieuses que les miennes : j'en siiisMché pour
•Monsieur le Direcleur,
!!• nous f.p.-rions un léger recul de notre lifru:
!>onu!
Kll-.;
;.lix t e r - premières ou îine^ sansos. v ^ti , aloyau, ï . i o
.,:l (-Î
eux, mais ce sont des bourgeois cninnie m^
Pans le Courrier du Finistère d a 9 a i l S u
Ii.-iire
.1.- front.
. '^1 I.- I.r-S. .lans bo-iif i jus sans os .-t culotte n.nde sîins" a-^ vous signalez l'utilité qçe présenterait u i m
O i i s que vo'is appsiez la classe ouvrier
fteai-ki. i - 1 ) ; ciP-s couvertes sans os, I.CO
c.if.
Je compr.^nds que voin ave7. pu cspérfr n.
el r.-su-.uraiits, v
it'l.i
renient : je le rcpn-tle ; mais vous n» po
boite
aux lettres au hameau de Kuef, c o m m u m
gite
à
la
noix,
l.>0.
(Iés:iiléress.-ui..-ul h.-roî.iue de votr.- idéalisé:
:ipns le ras.-i
oublier qu'ils vous renient aussi.
de l,a .Martyre J'ai l'honneur de T o n s l a i r B
.lii in.-l, s et j-uirs fériés, ije l'oiitégorie. — £,angne dècbarffée. 1.40 : connaître que l'iustallation de cetos Uîta
J'ai dans ma po< he nu papier dans lequel on i escmple d une conlaiiiou qui ne s'e.-^t pas pro
(pOéteU
-rliir.- à 8 h.iires, .lans l.'S ni.'mes cun- culotte a queue. I.CO ; eûtes couvertes avec os
traite .M. Renaudcl d'aide de M. Ciémeuceau : duile ; la faute serait aujourd iiui de -eprenrlr.
doil être demandée par le Conseil moonnl cl iepîa^l l
Ii..ns q i i . ' h se.T.iiine: d.;. 11 h.-iires à
1 cnlre-cCles, l.iio ; langue chargée avec go
on I appelle nirtuo monsieur iteniiudol, ce qui une b^nlative si cruellement démentie par h l i . - i i r . - .lail
Iwu- 'es d..-bils. .-,if.:-s (-1 ;r, l.iO ; rognon, t.'.0.
esi bien la pire injure, ./lires ei applaudis. fait-;.
-l:.ur:i!!!r;. v .'.^nf.ris l.^s !...'n,ss.-s.
(Lire la suite à la 4' page.y
i l paraît que les mincrilaires — que dir.
;!• catégorie. — Paleron milieu, I.ÏO ; jamtements.)
Kil ..iii.v. r'.i c. s en tr.1,1 i , . i i i | „
,j,-. bon et iiiaereiise. I.:!») ; plate-oite ou cimpelel
tx pour ce qui esl de la défenso n;•liona!l^ d'ailleurs .l'un parti iiuilié où i l y a des niajo
N
01
.-af.
.
\
(•(.mi.ri.s
1.
s
l
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^
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,
s
n
i
I •'«) ; ..'Ollier. I.!.", : poitrine, l.iaj : long depoi
J'eslime que pour dire que je suis uu .lancer r:l.;i.-.'s et des iiiin.irit-iir.îS ./(irf.vi - ont pr-nu.-'
..rii •iei-s d..- 1-J li»iircs à M h.'ii- trine ou llanchct, I.:)!) .-jarret milieu, t . : » ;
« cet éprard. i l faut le démontrer par des fsils. ci.uisé la paix ; l'expérience de cette paix a ét
- ..'! d.- ->1 II.iii-cs à i.i f.-im.-tur.-. •c.-lte jarret 0 .0 ; coin de jambon ou jarronaise,
\ o n . je ne suis pas u n danî^er puur la di* faite par la Kii-^sie : ce sont vos amis q u i l'ont
;"i ii.ilro avis, n'esl pa-; des i.l.is |0..0 : foie ou ar-ur, 0.70.
-riicti'
fense nationale, car je n ai pas il autre désir toiilée.
l.'-s ..flici.M-s. iiou- s,.:ilble^-il. fnx maximum dit //» kilo de riaiide de rcau
lierenskv, à ce m..ment, voulait la ffuerrr- ;
(pie de sortir mon pays de la situati.jii oii i i
Iii-,'..-|i..r
d'ex.TO|.i.- i-u i i n i l .1
;ii
il a .li<p;irii ; et l..;nine et Trotskv sont-veiius
Iroiive.
ltnii(.l!e, s.'10 : quasi, i . i ) ; carri-, 2.10
Kl alor-;, comme i l faut iu?lill(^r c.-! analii.-- au ;-irui.| .iuartiergénéral alleinaiid .lire àleiir^ î . . i r l . . i i l .
entre deux, I.'.itl : .-.iteletles premières •'> »'i
N EST PLUS UNE I N F I R M I T É
[..-s
1,
-.te
n-'
ip. ..us
nie porlé a la uais-amxde mon luinisl.'-rc, alors euiieiois : e .N-jus voulons faire une paix démo
roirn .n el loiigc, l.'.ia.
p o u r les blcssu.s q u i a d o p t e n t les n o u c e a i w
..•.-i:l..ir.-s .biii:
tout est bon. ou iub rpi^lle sur tout, i j u i veut .-ratiqu.î ,!.
1-i.-atég.iri.-,
O'.teleltcs découvcrles, I.SO ; .llipai'ci/s
dtr
.sans i-essorl perfectionnés
l ' r , c.-lle paix, vous savez ce-qu elle est .love
r..i-l.- .!.- H >1.
rcnlali.rii cpaiilc, l.-'v, ; poilriue, l . s i i ; basde carré, 1.70.
tuer son cliiea d i t q u ' i l est cnra^'(!.
tjL.W ERIci.
"'-'i^.!.- ( - 1 déj'i .-n viiîii.'
Eli bien, je ne suis pas curajré (/lii'(s) : j e nui;, et (juaud vous nous parlez encore des biil>
Ce
sont
des
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K;i.-s ne - ' . i p p l i q u ' e n t ' p .
IM.n pil.': a m ret M O ' " ™ '
suis un homme calme et prudent que le dan- de iruerre..lemaudez donc aux .Mlemandsqu.'l-;
'
suscite j o u r n e l l e m e n t c e t t e p r é c i e u a e d é nissionnai!
nt les leurs "
\pplaii<iissemeiils.)
>. mais c. iix-ci
ger de son pays a rendu sajje et attentif.
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Prix via.eimum du l
îkilo
r.int .--II-.i:s n'ont pasIj.;soin de le.s indiquer, les faits
pr.^.-nl.-i leur
mesure que la puerre s'iivaiice, vous voyez
lier, où l a renommée d u célèbre
rï^cieiu
de viande de mouton
•iiuisiiii n d.'
se développer la crise morale qui est à la ter- parlent assez haut : c'.!st la Pologne, la l.ivouie.
••st
très
r(-paiiduo,
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»
.•nii.iriiieri
Il d.;s ai il.jrit.?.s avant q i i
Ukraine sous la botte du vainqueur, et .juami
• r - catégori.;. — Gigot, nict et «Stelettcs i.iO per.soniios q u i o : i t p u , gi-âoe à e l l e , r e c o u - J
minaison de toutes les ïruerr(îs.
2- eat.'-g.irie. - Kpaiile. 2.S0
la poli, :e dans lés pi:..-,
....u:- a s s i ,
ous atlendoiis de la Hu.ssie un c r i de palrio
Les brutalités, les violences, c'est la crise
\TCV
luitegrilé
lie
leur
sanlii
et
de
Uur^'
.1.
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:i^
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p„it
:!;iir.'s - enmt. b;<;n .«nus i,.-r:.iis.<
morale à laquelle aboutit 1 un ou l'autre parti, tisiiie, uu sursaut pour résister à l'envahisseur,
E x p l o i t s d e C h i n o i s . — L e i i l jauviep,
i . ' I.MIS es autres civils
et celui qui peut lenir le plus longtemps «st c'est le silence.
C'est p o u r q u o i t o t i s nos L e c t e t i r s at-«dans
la
soi'.-.ie,
.b.-s
travailleurs ciiiii.iia iiiii couaux
IS
pr.ivi|.'fi
p:,!Kh
bien,
voilà
la
question
pos(':e
:
elle
r.!st
-Iricli.ii
le vainqueur.
i,--..t n illi-^lél : du I: f-Hl'ier I9IS s
sommaient dans le débit l.urvo;-. au port do leint.s d e H e r n i e s , E t i o n s , Descentes, é t t f . '
Kt le srand peuple d'Orient qui a subi l é. par moi. .Si je fais des proe.'-s. j ai d i t le predoicent
p r o l i t e r d u passage d e r é m l n e n f l l
coniiuercc.
provoijuèrent
une
l.ag-irr.-,
r.u
cours
!i.in.';
r-.vila
preuve de siiïcles de guerre a trouié celte for- uii.;r j o u r . j u e la justice pnsserail : elle pass.-.
(1.5 laquelle il3 briséicnt 103 vitres de la devan- S p o c i a l i s i c p o u r l u i r e n d r e v i s i t e d e 9 h ?
Kt nous irons jusqu'au bout dans uue tàolie
mule : n Celui qui est vainqueur est celui qui
La
saccharine
1
»
i
I»,
u
:
ture.
p>!Ut. un quarl d'heure de plus que l^autre, qui n'est pas moins dillicile que celle, de uns
;a l . n u n i o n . V e n d .
Mars, H . do r B u r o D »
Comme il.s b r u t i l i s i i e n t Mme I . i r v o r , sa
I.a s.icl'harin." pur» ne p.,iirr,i .i-Ire veii
Idats. Ilieu ne nous arrêtera, rien ne nous
croire à sa victoire. >.
{.ipplau'tissemcuts.)
du.- à .|.
•s i,i!.\ siip.'.rieiirs aux lalix
1 sui lionne et uu autre cons.-.-umat-ur. on s'en i i t « i u i i j K a i n n . Sain.'di?3, K . d u C o r o m è ^ l
fera Ibicliir. Jr,'.sbteii ! très bien .'(
\ o i l i ma maxime.
qu.-rir la poli.'-'. La-'.-nt l.c «iott int.-rvi
V.Ulls \
oilà
une
belle
i|uestion
pour
uu
ordre
du
«'e l ' E u r o p e ^
t.'ii iiieinOre a i'«t)'("m<! sni/cfle. C'est simple.
1' v - i i ; . Il L-r.js ' p , i r qiianiil.'s .!•• r. kl mais i l fut aiissit-\l pris a [w-rtie, witoiir.iH : .|",ic ceux .pii ont 1 intention de refu.-i.-r
,,ir.- et I S K h ^ T . . m i d i -».,. U ù t e l Continent»». - '
M . l e p r é s i d e n t d u c o n s e i l . — «lui, c'c-;!
fr.ii.pé àcoup^ de -..iir i i i i s . se vov.u:t s,-ri.:
loii ;;i'jiiiiii.;>
le.s crédits .le guerre... (Très bien : Ires bien : l.is .-; .,ii-.|.,s.i.,- ;
i,,rieu- « l i î l t c a u h i i . M . i i i , U . de l a G r a n d ' M M s t m ^
mple., Mais au fond de la nature humaine, i l a droite et a-i ce.itr.-. - Itruil
t nicu-.-:•. il s'arma ne n n-vol er. et Q u i i i i p o i - , .Mercredi ."T. l i o t o l d e TEpée.
h t e.rlrrmc :'J| fi-iiics
n y a que (piel es formules simples. Je suis
'.'• V . l lopptaiidis^el
iiiil.-s .1 nt fei sans ;ilt.-iil -Ir.- I 51.1111.•.
'jauche) volent contre moi. (Vifs
i>sit.:i. I j o u a r n e i i o z J e u d i
H ô t e l de Fratjce.,
entré au Gouv jemeiit avec ccUe pensée : i l
lui llli:i
ie l u e l i i n
.•)ii<i ^r^lll!
i l rec
-•iMiuni.'inenti
au
centre,
a
gauche
et
à
droite.,
!ilr,v,t O u i m p e r l e , V e n d r e d i i » . H . d u L i o n d ' O r .
faut soutenir I uoral du pavs. (/«(ei r i i p l i o i i s
.-t ivr.it » a p i i e s S a m e d i 30, HOtel d u C o m m e r c ®
:•-.! f r . l'si
un c( Il .le r.iïi.lve,- d.iiis I I c.
« rcxti-cme ffc /,(• et « <,aiu-/ic. I
M. lî.înauUel n'est pas eiK liaiiti'- île s'êlrc
:;•• V - I i i •• :.il (.i.'-t,-.il ' p a r qiianli l.'s in,'-'
Lallr. eu r. tr.iite v, rs 1- i..>sti
l'on
et d e l Kpco.
•
.\os homm
lont toaib. s par millions. Ic: a t l i n - cetio vok;e .l.- bois v.;rt. I l I i c k . i v . - i';..-iir.'s à .",<>" i;r,.iiiiii.'s ; :es Imj ;;raniui. ^ iicu.-..•useineiit, sa 11 •sii:e n ••n
...
l - O R l E . \ T . D i m a n c l i c 31, H . d e B r e t a g n e .
.i.i(.-l.iue.s i i o i i v e l l u s ;u-cusalioiis, l o o i o - :!l I':-. '.11.
saerillees des classes possédantes ont ete furn
il-..-i.'nns .ie iTi-i . l e e;. l u i
" • r i î x V .M^""'^
" e n i l e . par A .
dabics, à ce point que, quand on parle des r i . c h a n t t o u r i l t o u r à .Xi. t i l è n i e i i i ' C a i i .1..I,:i s:..'(l'h.ivjll.- autre que I I s,ici'h.irin.
iicr-'i-t, .••.u|.s el l.l.'^sure.
i r c i , 1,'s t r . v a i l l
ihi- l - L A \ t I l l K . et le "jLicre d'Or" de«
cbes. on est obligé de leur ai:col-;r I cpitlieto de Iais.s<-r t r o p d i n ; a p r o p o s d u .M. CaillauN, pur.- .111 .:i.- i;: sa.-clianne s..lu',.
ii.-.i-; o a l , t . ..niliuiiii.'S
Sui Yu,iTîiP'''"i'^cs dn g u e r i s o i i sont e n v o r é s a r t t a c nouveau.^ riches n . l.Hunieinenls
ditcrs.i p u i s (le no pas as.^ez d i r i ; lui-iiu"Miio. i'out pnin- - . ( .is-..hil;L,M. .-le. . n - po
" ' « I r é l e i u e n l snr demande à
i i r r j . .•: K'aii.;, l i i ans, n-liaii^- Kiiiii i.'u; i l an =. •
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il'iZI,.lis
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.\z.-.-k -.1 (-'h..1111b.-l.' an .1.
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lio. selu azo ar niei'c'licl ! ar r.; zioiil^. \ . - ; r . an |iih;.(
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Knii ry-.N'. v.-z, p'en cm p.n az. Marik lins Ic7. Ifoiie eo. r a vczo greal.
lenne emi d'.'v.-z diir.iul Saik .\uiir m r iiiar- iiall (I.-.- ar barr.-z a la 11,iz r.iki,-,! 1-:^ M,-i•ifiiri
iiil.iiK
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r.-,.,- il.zhan . l i g •iiior vad 11., T( niia e ivaz e dok evit saludi, c u r w e o f t
c'hadour a i-'srie far-al.
r.-i;.i!.'.!ik lia:.' .- \ . i l . ; : a n l . r - k , - . i i l s'<...-.j:
I .l.-uj ; lii
lezle
l i o u . " : m - s | . i z.n.iz diouz I.iol. a r in.is- c l.aaz, tour e barr.-z liag ivez an t o u r a i l
r-.:i kel br.iz ..ri..le'li .1. I.a M.'.u .'Vil lif; 1.1(1
— llag K l'hoM-clii.u .. clioiuiiin. ivc. m.
II.
• li'.,ii-z a dcc'li.iz .iivar ho i K i w i l o u , 1,.,;; a \ \ ( I c dcmdost dczhan, t o u r chapel L . . .
Faik eiin cur sa.,zn.'i.Ml. — h.iiil-k,
- .1..;. k.„!.-l ..ii-p.-M ,.11 (i i h . i i i . l - j - z . - . . .•Il/, \ a ,ii.,ii vi..c'li.k. .111 .11/ hix.ir.-! il,. lui d:i,.ii e l;i-,ii;|. III d,, Icnva
lontok mervi-l (K.'iil.iCli mcrv. l .
b r . l e l da gouez». mes kcn k a r e l g a n l « n
I.I.- II. >-i p.ni. z.-t I
k-lllllicl MI..1 n.-b V.'ii h,.
.l'.iii 'i'.)iiU-.\l.-Mi;ii-iiz. i : v - l — Si'iii aiii-ui liiir ciiili-n, av.i
I l j g ar lioiirjin a zalc liaz inail il'o c'iier:
cm.'
iiiMi.ir a \v.-l:iz .'Il (loa a V.MC'II p. a- SC. eillielialls. .Mari-Cal.-I .k ,i .• li.-ll.i k,i..ni
r.u.'n..l.. enn ei.r far-al. KIoi. k'co
Biirvel a l'eaz polr ia.uiank... k.iz !
l.a.-.i cur 1.(1111 .l:i>.inl: li,i ii-i:z,i'-i,i
:
lie z,.iniiii!, b.
1,., s.-v.-l he hii^i!.- li.-!.
Ki-I il'.-ir iii-ini cz a u ! . \ r s l i z vl.
(Da gendalc'her}é
T
e z.iiii lia n.i c
•m l.j.im (HZ c woii- r i l l k . i i i l 111..lit ,1a ast.'lin li.i d.iiilil'.
.Ne alifen k.-t on oil puazcl da lieiiiili
-111 ,n
,
a ilriMiLiio. ha, ma p : i j j^ant liour
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skouer tfaik Aonr, \ : i r zigarez m'en n- •>i.-n vil siko.ir
iiiiior
— M.i lia valez. p.'li,i ,1. ni.. , t , v / a "
herzii,L-el
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lam|ir b-mloii ar inere'liç.l I . \ r lieil ne
.•1: r . • •nu i- z. rvi.'li h.ig .'villiaii
m.Il
— Kiin •|'..iill-.\li'iii.!, iiz eiuan ahai.ii.- ar
.N' C'hellaz kel k e m l a l c l i .cant o f,irs,-i i f e buiHii gwelloc'li oim dro; er c'Iiiniiir p.io •ke.iz lieu...
P'nn k.-iila .miz a r z.zii.i. lia .un at li. ib-iiz ro, >anl.Hil e r - a eun .Ira b.-iiiiair m-'li i l Irol. n'iMiz ket pur d'an dinlim-d
tliz.
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poiiz (1,1 soi,',, i ;v>. IMle
he z..ii.i -Tta j . n i i n ,i;,int au inijuvez b.-l.-ii lii:al liezli i i i p r'iuiiizniik h,i »,„i,le lieza
iiR-z da zrailha bnul v.kI lio nps:i. h ,
- l;i. i;i'.'al mail .-m . i.z v,, z.iiij.
"'•I l>'do I
K.'r\el il.ivcl-ll.iu. • r... I iir p.ik da Viel lia stai-drf d o i i m \ l a ocuze... n.-ket-la ?
n. i-s..iiii. Ii,< p.-il.-t au A.itn.i! Iil'im- d',
— N..' |."iiz aiik.iiiii.ii-he.ii il. 11. .-vitrik.
l.'C liaz prim i.Miil aoiin m- vefe evvi -Nan. Petik n'oa kel bel liPd iigent. v|...-i; A|.-lii.'UIl:i: de.ut ..^ill,
ie ,1„ il....re. 11,-. K-N.'lla az.;-. .M.- k. ii n.-b,-iid ne
i,car.:llp enn
zaoïilaL-ail
o servicha bcleien ha noblans.iii, heb be?^ •'buiilen kiiziil diLMn.'.jc'h: lia livlril d'Iiiii :iiik..iin u-'lMiii k. | a r Kelridi .• p.-uz llz.ei l i t au dacl.iii
lire ma tosh
:ir mare ila voni \-nn
desket ..-un tamni • br.z-gall.-k .. : ma n i-b a.jun. pe rail pi- vad aiii .'iiz t n - j t .
.•Iiiib..i,n : k.-.i din...,-'li c i i i hent. ,jb.-r a
zante e jîaloiiii o
c'bellaz iiiur.-îC ti.pa a u accent " pariziji.
— .V J i - j 2U1, n ciua L':t an
J.i. nu v M l da . l u d a r i». .Icmnui e p. uz gou- hent, au ,len iu'unnk
vionjnt. t.;,iiide b..-za J,
Jicujvo da
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LA HERNIE
MINOR KERZUGEL
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M M i i t ^ o u , k m b e i u ^ v e l e t k a l z ail daln M ^ i M ' h ma 'zoc^h dalo'het. Va leal€ m • t o anavezet e r vto, a redan meur
• T l M v a i 'EO. Oioo'htue lavarin d'hoc'h hu
tffcaulao'ballbeiapareet
Den e c h e l l i t k e t .
Ma u'IielUt beza pareet, oc'h lieulia v a
o'huiuUou e vezoc'h dllivret da vikeu
e i u b o poau.
N'e o ^ e l l e r n i v e r i an dud a m beuz par o e t ; mes n'ema ket ar c'hiz gau-en da
«mbann va b u r z u d o u ; hag o tont d'am
o'haout _
n'o- pezo aoun ebed e teufen d a
roi da anaoui
il boc'h hano da zen a l l .
K e m e r i t m a d vahano, hag cvit ho mad
k vanAA*!. da glask kuzul.
I.......1 goulennit
......I
.1:
pazeuoc'h
difazi an aotr. H I T T E L .
Kavi-t a vezin e :
L a a d e r n e , sadorn î3 meurs, b. l'Univers.
B r e n t . 8U1 Î4, r u E. Zola. 35 (Champ de
Bataille;.
L é B n « T e n . l u n 15, liOtel de France.
K a a t e l - P a o l . meurs 26, hôtel Ménoz.
l . a u d I v U i o . merc'her 'H, hOtel d u Léon.
K a K t e l l l u , iaou ÎS.lhOtel Grand'.Maison.
UrcKt, gwener 29, r u K, Zola, 3a (Champ
de Bataille).
M u n t r o u l e z . sadorn 30 meurs, h. Europe.
B r e « t , sul31, r u .Emile Zola. 35 (Champ
de Bataille).
B r e s t , lun t ebrel. r. K. Zola. 35 (Champ
Bi-eKt, meurs i ebrel, r. B.Zola,3r/{Chaini) leuu ai- vro.
da gaout au A o t r . I ^ R O Y , ar spérialist"
de Bataille).
U r a K c z hag a die en em garga e leac'h dispar, c :
K e i n p r r . merc'her 3, InMel d u Parc.
ho lu iejou eu/, lahoiirluu tenu an douar. l . n n d o n i o , merc'her 'ÎO meurs, h. Raould.
I * u u l 'u .\badl, iaou i . iiOt. d u Liuu d'Ur.
C l i ' n i i o l l , enn our ger, hag a zo goas- Poii< 'n A b a d , iaou i l , h. des Vovagcurs.
K e m p e r l e , gwener â. hOt. d u Coniiuerce. kct gant an «llHkeun-bouzcIIuu. t u d a K e m p e r l e , gwener 22, h. d u Coinmercc.
bep stad hag ar hep oad h a g a vev e r L o k o u r n a n - L e o n . sadoru23 meurs, cuz
hoan hag enn aoun da veza m o u K e t
I l h. da 3 h., hôtel des Voyageurs.
u a u t a n d i a k e n u - b o u z c l l o u ne an- B r e s t , s u l 24 meurs, hôtel (Jontinental.
kounachait kot n'ez euz nemed an A o t . L e s u e v e u . l u n '35. h. des Trois-Pilicrs.
I.KRO'V o trcmen keit a l l zo d r e hor
c'hi)rn-bro. o tiboania hag o parea. evel
ni'hen lavar an tes eni nevez-ina ruct cnn
hoi- brci, ha deuet da astenn ar i i i i l l l o u '
!>!», r . Paradis, M u i b e i l l c
u o i i a b a r e d i K c z i o u obtenet enn he
raok, rak itre zever lie viclier n'ho ein- S a v o n Ti. •/. e . x t r a p u r s Caisse post d<
bann nemed var g o u l f i i n sklear ar re a lu k. 351,; Caisse..0 k. 163: (.'aissel'X)k.3.'of.
la MéthotiB LEROV
Sav. m é i i . i i u u K l l i t - a l ^ : Colis post, d.
ziii.
. A o t r o u I.KHOY, Pari»^.
C H U T E S de M A T R I C E
lllk, >«f.; Caisse.50k. 1101,; Caisse).«ik, « O l
D É P L A C E M E N T S des O R G A N E S
• Dre c'Iirad ho m e t h o d e inadcley.ii/.. l . l v r , i m u i . f i - a u c n <-oiit. r e n i h o u r »
. ....
me a lavar euz oun p a r c c i a grenn. tost Z>«aaiicr«< M O l a T H E S
ma '/. .'oh.iii.atl diarijeun an danjeriou azo da 10 miz'zo, euz an diskenn a m goaskaz
var c'hed ac'hanoc'h, daviana ne dleit-hu epad keit amzer. — 15 genver 19IS. —
B I J O U X et O R C È V R S K I C
gelver d'ho s i k o u r nemed ar spécialiste a I t r o i i n Riou, Thomas, euz Kerbau, cnn
goustians euz P a r i t i ma z eo an A o t i - . Kskibien, dre Voaien (Finistère). >
àG.TRIBAU8EAUr.>i.m«co«(
L F R O Y . 75, faubourg St-Marli'i. P » r l s .
\"ez euz l;et da a i g i l a ! Arabad d'ar re S.i (•'• triz. K Kéàtillti rOt «u CtiMur, \
K n / . i d I hag o ppU7 ranket kre-^ " n i i •• •/••
<.
•
.1..; ir a. ! f
Hn ai'.t
F3*||ea TAUIF IttUSTIÉ.
ril.ir .'ilevrt
l i " i.m-.l-.
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LA Guéri®
HEII»ilE
PAR
#
M i t e de
SorKolard,
S' tôt. — Le quart ii orendiu
ygJJOpgdegrè.gré,
/Hi^lISON
FRf^NÇ^ilSS
MOU& docteur en droit, rue le second au m i d i , dans n n
la I e i - m e ~ d é
Vomire, nMS, k Breat (auc- champ Parc-Poul-an-Arc'h, 18
P e n - a r - u u e r , ea P l o u l d e r ,
F
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n
d
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n
1
8
5
9
oatMur de M* Rolland^.
a. 05 c., section F, n- 35'2 p.
louée
à
Ségaien.
Grai)ds Waqasii)s D ' H U B l L L E M L l i T S
| S'adresser à i l - Erussard,
-Mise à p r i x : l , » 0 ( ) f r .
I f C y T C d l m m e u b l e B , en
6" lot. — Une garenne Gosnotaire à Morlaix.
f t i l t l-étudede M -«iuerG l - rem-Nevez, 09 ares, section F,
or, notaire au Bourg-BIaac, n- 718.
M a r d i ii « v r U ( 9 1 8 ,
•Mise à p r i x : 2 . 0 0 0 f r .
i:tude de .M* L e C o r r e , noM h e u r e! (de l'après-midi.
7' lot. — La moitié à prendre
Premier lot
taire 1 Lesneven
U commune de K e r au levant d'un petit c o u r t i l
j et par extension en celle Liors-ar-Guenan, a centiares,
section F, n' 692 p.
» PloaTlen :
.Mise k p r i x : oO t r .
ÂDJUDICATION.&
Bn KemUla, le M o o l l o d e
1 htu.ie, le l u a r i l i
mars
S" lot. — A u l i e u de K e r a r B a a l c n e l , comprenant q t u - m é n é .
j I 18, à 1 heure l/>.
tre toomants actionnés par
! En la commune de P l o u La moitié h prendre a u let»ne turbine hydraulique mar- vant d'une garenne, Goarem. d a u i e l . ù K e i v i l a r d , (> p i è c e s
que Hercule Progrés, maison Vras o u Goarem-Beaurepos,
d e t e r r e , contenant l l i . 94 a.
• e m n t d'habitation et insial- 45 ares 65 c e n t , section F,
ISO c.. louées i Kerléguer.
Iktion de matériel,de moulin n- 758 !>.
François, 180 f r . l'an et les
et de minoterie, granges, écuimpôts.
-Mise à p r i x : l.SOO f r .
rie, étable à Taches, soues i
19,
Rue
de
Siam
Rue
de
la
Maille
—
Rue
Louis
Pasteur,
16
B
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T
S'adresser
pour
renseigne
Mise à p r i x : 4 . i : 0 0 f r .
poros, cour, maison à (oor ments, en l'étude de M* Di«vecteur, couvert en ardoises, lasser, notaire, et en l'études
xmimes, écluse, déversoir, de
.M- Sorgniard et Vichot,
-MÊME É T U D E
•oartU, terres, section G, nu- avoués
à Brest
4M, 446, 447, 5)4, SS5,
ADJUDICATION.::^
^
448,
4iO p. 457 P, 536, Etude de .M- G a b r i e l P o u l i q u e n , notaire à Landivislau
«S7, 538. 539, 540, 5!1, 542, 543,
mars
1 i'.luiie, le m a r d i
641. 545,54G, 2 h . » a. 40.
1 ! M 8 . à 2 heuref.
U F I I T F par adjudication pu2- B b Plouvien, l ' E t a n g du f e n I C bliqueet volontaire,
En la commune de P l a b e n n o u l i o de Baniguel et uu pré le m a r d i S a v r i l 1<JI8, à
I i e r . prés P..ulmarc'li et Pennommé Foennoo-Allen, péture 10 heures d u matin.
trefï, la p e t i t e f e r i u e d e
A r Vanel et Foennoc-an-Heut,
jKei-auvove ,
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lîos rajess ^Articles psiir CosEiiiijafils
Deuxième loi
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de M* S o i m i e r , comEnvoi franco du Ctitaiope
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iacospsrsbles
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U C y n D C 'es D r o i t s ré- UiS|>dl U d a l m é z e a u , le i8 [Exécution
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mars 1917)
après-!,
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Troi$ièmt lot
P o n t i v y , s u r la Place -Natio- septernijre l'JlR, (Voir les a/llContre le bourg de iilernilis, coudre binger, vaissellè, ver- b e r e t . en Pont-l'Abbé,
donner
nouvelles
à
I
t
u
a
s
par
1
••;tation,
en
nale,
p
a
r
le
Receveur
des
ches).
rerie linge et nombreux ob- Jouissance l'an procliai,,.
an lieu dit Poul-ar-Bom.
sel. Ploiiguin (Finistère'.
_ l'étude et par le
Domaines, à la vente aux en- Puur tous renseignements,
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ministère
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comptant
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s'adresser à -V- de Rodellec
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PnE,M:ER LOT
Borlogerie-Sijouierie
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I / C I I T F mobilière, le l u n d i
taire à Lesne\en
Quatrième lot
i c n I c 3;; m a r s 1918, i
P o a i d r e u z t e , une p e t i t e
Louzou
evit
an
Dreo
A u terroir de Laneinoc.
9 heures, a u Coiiquet, r u e
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c h a m p s contii
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A n Dreo, a r c'hienved-ze hag a gastiz kement ar vugale,
BREST,
47,
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Mise à p r i x : l.<iOO f r .
route de Ure.st ù i.esneven,
•Bian, section B, n - 398, 401, M. l,e Breton, pharmacien a u a loa, ken a-nevez a zo, diez kenan da barea. A n A o t r o u
près gares, p r o p r i é t é d e
400,67 a. 50 cent
Conquet, comme administra- A10R£1;L, euz Landerne, skiantek braz w a r an aoza l o u DEP.\IÈ)JE l o t
teur p r o \ l s o i r e de la succes- zeier, lien deuz nevez kavet eul louzou hag a bare ar c'hlcu- En la commune de P l o - m a î t r e avec terres, prairies,
Mise à p r i x : l . l O O tr.
sion vacante de ladite dame, ved din-t dan eiz dervez. E n dervez kenta dio'btu a r paz a n é o u r - L a n v e r u , une m é - lailhs. jardins, arbres et ar
SUCCESSEUR
Cinquième lot
bustes ilTSO environ), avec fa
nommé par le jugement d u vez torrehe nerz.
A n lieu d u Traonbily.
t a i r i e contenant environ '2 h, culté d'acquérir deux belles
Une p r a l r l * dite Foennoc- tribunal c i v i l de Brest d u 30
Gwerzet e vez en o l l aootikerezou.
9-; a. 82 c.
féru.es contiguês.
Grand choix d'articles de
aa-Heut-Bras, section C, n - jajivier 1918.
P r l z : 14 r e a l
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_
. . r e i z e t ( E n n a i l apotikerezed).
Ceâan
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redad, I « i u r dre a r p o s t
Mtoeàprl»; l.«a«fr.
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11 •
I
A
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Dépuratif
PALAISMNOIIVEAOTÉ
de M ' ^
• T v i K , Docteur en Droit.
m e V o t t a i r e n ' 13.4 B r e s t
CHEVAUX BOITEUX!
t B O Y E R - M I C HË
EL
Tl
-, cuTUUÊoax tiMi
è)
IfCHTC
»
f CR I C todedeM-Dilasaer.
a o l s i r e à Ploogastel-Daoulas.
le
avril 1»IS. &ane
beôre e t deaiie de i'aprésS n l a commime de PImsgaatel i>a—la»
fIcC
— Au Uea et dépeadaaces d a 8 q n i t D e c . a a e B u a mum, étatceet crenier e o u j e i t
e s ardoises, m à battre. L a
n o i t i é k proidre a u ooocbant
d-iia coortd Utna-AUeur. et
« t a p t û t t e n a i a Plac-ar-BemGoto-Qoereti. 3 aicsao ccot.
aeetta» 9 , n- 6 4 r.
M i s e * ^ : MOfe.
f lot.— Vu a
a a Tr-Ccc o a aa I ^ M ê a ^ C o î :
H i f a s vives.
l U s e à p f l z : SOCr.
» l o t . — L a m i t t è à prendre
- a n siidi « f m d i a a i p d a texxe
ebinde, Fare Baâioa, haie
« ve. 34 ares 55 oeot., sectton F .
•rsn K
Ueue parcelle sera fréoneotéepsr
fecbeminaocoiKTiaiit
Miseaprtx:3JIOefr.
4" loi. — Le quart i. prendre
le secotul a u nord, d'une pari t é de terre c h a u ^ TacheaPsTc-an-Hent-llei*, i l ares
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Kiiz broiicuite. «riiipe.
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d. c t r u r a ...lîiicair.. I j t u . l e r o c , p r i c h o u kenta. medaien. " y Vî,,,
e r c ii .-.ci.ur.Ou ajK.Ui.«jr.en.
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^
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c b r c u c h aa d i s .
«lUEZ c ^uimoM uAp uc 'iti.iq V
*]adq uiw q.",:*OT|>
; unoqmv,
T-v Mem JE Eoijsf.j Km Mjfi
i^fZI! zn.'Ml ^ irrfJI,>S JK
iTirii .-Irnii.,'
•l'n^â! zn» me pr.\
j p : ;^
-unor q - r I a ' r o j ; •
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Samedi. 2.'} l'cvrier IH18.
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sS'Amu^e.
JOURNAL FHANÇÂiS-BRETON PARAISSANT LE SAMEDI
.VtJOWKMKXTS
:
el «'oîoîi.e-
iiK.ii Fv<t V.f)
,-fii ^tuair-Hf
. .
. .
(un ^ a j
—
5 (r
—
3 fr
o f r . U"» at'ff la deiuih^ lut ir
rits lj.irlcal
1" J.* c l u f j u e mois e', se pay.Til
BUREAUX
&
TtltPHO.t 3-07
BREST
S l a r t co h o r c'balon enn h o r c ' h r e l z
l i a startoc'li ar Groaz eiio h o r B r e i i l .
CE QUI SE PASSE
Nouveaux impôts
a déposé
Le ministre
des finances
sur le bureau de ta Chambre un exposé
rectificatif
du budget des services
ci
vils pour 1918.
Pour faire face aux 361 millions
de
déficit,
M. Klotz propose diverses
révisions de tarifs qui font l'objet
d'un
projet de loi spécial, également
déposé
sur le bureau de la
Chambre.
Le mintstre
des Finances
envisage
la majoration
du droit de timbre de di
mension,
le relèvement
ù 0.50 '/« du
droit réduit
qui atteint certains
actes
{mainlevée
d'hypothèques,
actes de
société,
partages,
etc.),
l'enregistre
ment obligatoire
des actes de partage
sous seing privé, des polices
d'assuran
ce sur la vie et des contrats de renie
viagère.
possible,
D'un autre côté, il a paru
pour tenir compte
de la hausse des
prix, de majorer
les droits qui attei
gnent les boissons hygiéniques,
les su
cres et les
vinaigres.
Enfin, le ministre
des Finances
pro
pose de porter de 12.50 à 14 % le taux
de l'impôt général
sur le revenu,
de
majorer
le tarif de la taxe des biens
de mainmorte,
pour tenir compte
du
r^aiissement
des droits de
surcession
décembn
Tésullojit
de lu loi du 31
1917, et de reviser les taxes de
vétifi
cation des poids et mesures qui
n'on!
pas été comprises
dans le
doublement
des taxes assimilées décidé par la loi
du 31 décembre 1916.
Ces dispositions,
qui n'engagent
au
cune question de princip»,
paraisses
pouootr
être rapidement
étudiées
pm
le Parlement;
elles assureraient
Véqui
libre du budget.
I m p r u d e n c e d'officiers.
Le général Dtncinnes,
estropié à lu
guerre, attaché
militaire
de France c
Madrid, était arrivé à Paris la semaine
derniire,
acec son adjoint,
le lieutenant
Lecis-Mire/iûix.
Ils prirent un taxi,
dam
lequel ils oublièrent,
en descendant, ur.
dossier d'ordre
dii.lomatique
ei conlidtntieL
Heureusement
que le dossier fui retrouvé {.ar une bonne Française,
qui
s'tmpressa d'aller le remettre au ministère de la guerre.
Xeanmuins
les deux officiera ont e:relevés de leurs /onctions ; et une inTormation a élé ouverte contre eux e sous la
prévention de eommunicaiion
et de dicui
gation de docuinentt
ù des jjersonn--^
nfin qualifiées, a
« «
Le 14/:crier.
/'Académie Française
a frocede
à Cékclion d'un membre f ;
remjilacement
de M. Jules
Clcretie.
Le nombre des cotants se
réJu-san
-JJ.
à
! rêiiiier tour de scrutin,
le m a r é c h a l J o S r e , qui, par suite du de^atemertt Ues autres
eandiuats
devant su
haute i-ersonnaUu-,
restait
itimlida:
uni>j'At, a été déclaré éiu par . ' j sctffra-j'f
contre un buUetin nu'.
P i n s de m i s s i o n de c o n f i a n c e a u z
fils d ' a a s t r o - a i l e m ^ d s mobiI>.sés.
Le coiiiinissanat
aux ej^eetin.
ap.-tt
avoirprisconnaissuncedu
rappurt de M
dskenjueiec.
de;,uté. sur lasuu
iVonile..
/••s it'.i'tslfj-alie.'iiniuls
ajJcctfS ai'x arrapport dont il a étl saisi
officiel
l^n-ent pur la cnrnmis-^i^jn des pen.ris df
s^jf.ar siégcam an ministère
de
l'hiltrieur. a inrire le ministre de ta Guerre <:
faire etaOiir ei renir a jour,
t-uit a fin
terieur qu'aux arii:e;s. ia iiste U'affeciationdi's soluvts llls
d'.iustro-.iUeruand.!
qui scrre.il :.oi-3 1rs
dra;rcur.
Il a
, n r:::!ri'. .s./r !•} pro,-,vsilion di .-.'. tiewjl-u:<:.
.y;.r -fs
t-',!;-.;tri^.\Ue:nv.ndi
u-.vrj.-.-,r:i s.rç-.r
uu.'-.s,:-
U n m a î t r e c h a n t e u r écrouô.
.VoMS rendons cbmpte plus loin de ht
condamnation
de IJolo et de
l'arrestation
du sénateur Charles
Humbert.
Vn autre triste individu, bien digne ds'asseoir aux côtés des mauvais Fran
rais, a été arrêté également. C'est un
nommé Lévg, dit Max liegmond.
direc
leur du journal les O n D i t / e u ( / . ' î infâme
qui se l ermetlait de Jeter ie discrédit sur
tout et sur tous, à seule fin de semer la
défiance partout et pas sans protits personnels peut-etre.
On a vu de ces journaux,
même pas
très loin de Brest, qui vivaient de chan
iages. Ils s'emparaient
de faits
anodint
qu'ils grossissaient
à plaisir,
ou bien ils
en inventaient.
La personne
entreprise,
effrayée, et tenant avant tout à S" repu
talion, s'empressait
souvent d'offrir
la
forte somme, acceptée avec empresse
ment. Et alors le silence se faisait.
Parfois le coup était double ; il s'agis
sait, pour un commerçant
ou an indus
triel peu scrupuleux
de
compromettn
tn concurrent
gênant.
(juoi qu'il en suit. Levg est incupé d'à
coir escroqué 700 ou SOO. 000 francs à ui
'abricant de draps WOrléans,
fournisseu'
•le l'année. Il aurait
eu pour
complic
•If. Paul
Comby, impliqué
égalemeni
iuns l'affaire
Loiistalot.
TtLifUDtE 3-07
PUBLICITÉ
brozel, hdii di-^partia <)ioi;z Bro-Zaox
evit olior pliiadur d'an .M'inagn.
Ha pa vije gwir, enie liiniennou, e
kjaske evélkeiit vad ar Frans. N'uun d;ue. .Mignouned enebourien
ar Frans n e c'hellont beza, enn
amzer-nia, nemed enebourien d'ar
Frans ; pe, ma kavit cwell', enebourien niignouned ar Frans a zo
ivez enebourien ar l-'rans.
Hag eun dra a zo nnat pa 'z eo anzavet gant an den iie-unan : Caillaux a roe arc'hant da 'V'igo da skigna be gazelfena divalo dre bevar
c'horn ar Frans, etouez a.'' zoudardei.l dreist-oll.
Kement all a c'heller lavarout divar-benn H a l v y . Hen-raa, n'e ket
zoken euz he arc'hant he-unan eo e
roe ; e kef ar Vro eo e keinere da roi
da Vigo, ar Judas krouçtet. Gaiithan, ai'c'hant ar Frans a dalveze da
zinerza ar Frans. da baea lakepo!ed d'he zraisa. Didan-han, ar spierien a oa re enoret, rauioc'h enore!
eged kalz Fransisien gsvirion, gwelloc'h skoaziet dreist peb tra.
Kvit C i i a r l e x I l u m b c r t ez eo
^ouezusoc'h. llen-man a dremenaz
m tri bloaz diveza-nian o c'houlem
nuioc'h-mui a ganoliou, ha rauioc'hnui a voulejou. Piou en defe kredet
e laboure er memes amzer da noa•out d'ar Frans? Ha goulskoude.
vit-han ivez e lie beza eun dra bennap grevuz, pa 'z eo bet klozet.
beteg gouzout hirroc'h, digasorap
Ja zonj e reaz er Sénat, d'au l i a vi/
gûuere 1U14, eur brezegenn hag e
vefe bet a dra zur gwelluc'h d'ezhan
evel. Kr brezegenn-ze e tiskleria?
iiegen nebeud a ganoliou ha pegei;
lebeud a voulejou or boa. Ued e oe
da vinistr an arniee respont d'ezhan
e poaniet da ober muioc'h.
Ma n e anaveze ket an Allma'gn
iior stad araok neuze, Charlez Humbert en doa he c'helennet. Ha pion
ar ha n'e roaz ket ali d'ezhi d'en em
•lusta, o lavarout : k Breman ema ar
:)yent ha n'e ket pa e devezo ar
."rans raparet an amzer dremenet, »
N'euz fors penaos, prezegenn
Charlez Humbert n'e oa ket da veza
,'reet- An Allmagn e doa, siouaz !
•ipieiien awalc'h enn hou touez :
tfzoïnm ebed da Fransisien da zcnt
ia ober ho labour.
RÉGIONALE
; . • ; •:
Dernit-rt c j l i . n n e de U } • pag« . .
Lies M a n u s c r i t s non i n s é r i s ne sont pas i-endos
•itiH/ si i ••< /lO'.troT dre e!.)j.lo:iés ù deu ;i!i A i l n i n g i i Oa z a i l l a v a v - n - o n i i ) , t;
•SSioiiP df* co'it'innvf* on à (lesJ'cfclionsi
uvad sevol cun he enep evel an
'(• ''.•iclii'to, iuilorii(j'.i:tist'\
itlé/i/ioiii^le. oll Fnitisisieii sjwiriou, ha diskoiie/
:<ecr, Ui-re. /-Ir.
Ceux d'i jiire eux qui s(>nt em/.ioi/ef .••naoïulpufz vail d'ar re a deiie dai'oi
l(ins tes usines de ijuerre decrunt être skoa'/ell domp. l i a padal e/. eo laniallet da vcr'.a klasket, e kreiz ar
iTHhtéiliiiteine'it reUrés.
Le statut du clergé portugais
l.e dernier Conseil des ministres i or'ur/nis a opprouré le.t niodirications
qu
leront introduites
dans lu loi de sépo
•il'on des églises et de l'Htat.
l.e 'loucernement
accepte la fjreniue
totalité des revendications
catholiques et
l'on espère que ces modijieations
proluiront
une excellente itnpression
sur
l'opinion
nublique.
Les églises seront administrées
par le
clergé, iiuiis sotis le contrôle d'un représentant de l'Etat. Cclui-ri o'eciend'-a pns
st:>sear des é'li/:ce.'., si après trois ans, ù
• later de la loi, les cultes n'y étaient pa
vetrOrés.
La censwe qu'exerçait
!e minisire de
'a i'istire sur les lettres pastorales est
suiiprimée.
Enfin, la loi autorise les prêtres ù Si
cetir d'habillemenis
longs.
Le minislrc de l'Intérieur
a rendu r ;
site au cardinal l'rirnat pour lui dernan
der l'autorisation
de nommer maire d'une
Bille un prêtre de son diocèse.
IHPRifaERIE
4 — R u e d u Château — 4
e fr
•f'
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ï
Aoee adreue au Jaunml : l fr. en tut mor » l a u r i i m
,
l ' o u r U publicité e x U » . r é ( t i o i a l » r s » < l { S ? ^
à l A g e n c e l l a w . Pltee de 1» B o n n ê ^ V T R a r i *
okenver hoene. Var homer.o e rankei' beza pe a du gant ar Hepublik
a-enep au lliz, pe a du gant an Hiz
a-eiiep ar Repiiblik. Ha paùal fz e.
eaz beza ar niemçs .imzer a du gant
;.n eil hag eben, evel ma tlskouezai!
ama. Harpa a ran ar l'eiz cuz va
g wella : hag er raemos amzer e lava
ran: doujit d'ar Republik e Uemen.
ha n'eo ket kontrol d'à» feiz. Hag an
ilra-ze ivez eo e klevii gant ho peleien
ha gant hoc'ii Eskob.
Ka veio histor Caillaux eur gento!
evit an oll. l i e n hag he vignouued
hebken a oa republikaued, a lavaret
d'omp. Ha petraen deuz greet Cailla-jx Oouznut a r i l ez euz bet kave;
eur plau gi-eet gant-han evit mougs
ar llepuulik ar c'henta m'en defikavet an ta da bignat enn dro e
karg.
lia n'oun ket souezet. An dea a
rank kaout eun doue bennak. An den
ha» ea deuz nao'het ar gwir Doue a
ra lie zoue euz an arc'hant ma n'ei.
deuz ket danvez, hag euz an oui gouill ma 'z eo piavidik.
Hueloc'h bepred ! a lavare Caillaux. Beza miuistr, pe zoken prezilant ar Kepublik n'eo ket awalc'h
evit eun den evel-doun. Me a vezi
impalaer.
Ha ma n'e vije ket bet tapet, e.defe ki'ouget ar [lepublik, evel m o hell beza klasket traisa ar Frans
lia pebes mez, gouzout pebes bue.
a ren an den-ze a ginniget d'omi
evel patrom ar gwir republikaned
Evel Bolo, he ziou c'hreg kenta e;
deuz dilezet evit beva gant eun deirved. Euz he vugale n'e glever kci
hano. Gouzout a reerhebkenendeu
sur c'hi tagnouz. Gwelloc'h eget
chas e ranker kaout evit difenn o •
Frans enn amzer-ma.
Pebes mez choaz Iclevoul harieuz an dizurziou mantille Malvy e.nn
!io. Hen-manendeuz greghabûgale'
N"e ioa ket awalc'h evit-han. Ha,
evit beza g w i r republikan e rankfe
beza hevel ouz ar seurt-ze "? .M'he
argas!
.'V-hent-all, piou a zareraprede a:
eil hag egile "? Piou oa ho gvvella mi
gnouned -r" Rest ar galeou.
Larar d'in irant piou ei ez
Me laro d id petn 'rei.
N'e lavaran ket c'hoaz ez int traitourien. N'hen lavarin neœed dont ;)
raie ar justis da roi d'ezho an han;
ze. Mes ma lavar ar justis o der
klasket gvverza ar Frans n'e vezi
ket muioc'h soueiet eged n'ez oun be
) klevoul e klaske Caillaux kroug
ar Hepublik.
Dibabomp d'hor gouara tud a gou~
tians, ha n'or bezo na da ruzia gant a.
Ha c'houi a lavaro :
« Gant laboused e'jz ar seurt-ze vez, na da gaout aoun evit hor BrTraou mantr'jz a zeu da veza ana.;nn hor penn, euruz ac'hellomp beza aa zoken evit ar liepublik.
vezet enn anizer-ma.
N'e ioa kct awalc h da lakepotcJ o'hoai da veza gallet herzel evel m'or
!ia frikoterien divalo, evel \ igo h i beuz greet. •
Me her c'hred ivez.
Holo, beza greet euz hu gvvella evit
Da c'hedal ma vezo roet tro d'omj
Ha n'e ket dre vafaot eo ma n'or da heulia ar reolean-ze, choumcm;
i;asaat ho labour d'an .^Ihuanted ; n'e
boa
ket
gvvelloc'h
goaarnourien.
Poaioa ket awalo'h da hiniennou euz ati
enn lion hent, ha kerzoaip eeua gan!
'ioktored siocialist beza kendalc'hel .'iet a-A'alc'h atu beuz, abaoue perap haa.
iiloaa
var
'n
ugent
zo
dizale
m
a
m
ia zibuua ba da hada sorc'henno;;
floa hent, hon dever a zo delc'he
beuz an enorda skriva er gazettenn- .sonj emaomp e brezel, h ^ ober ke
"oazuz e peb lear'h :
lua,
da
geleau
aa
elchtourien
am
ment a zere ouz-omn evit ma échuSetu Caillaujc eiiu dislieolganteui.
ar c'henta ar gv.ella hag evit a
:;ebeud deputeed all, hag ivez ai- sc- :euu.
Lavaret am beuz d'ezho, kant ha gvvellanaiour Charlez Humbert; ha Malv>-,
Hor zoudarded a die sautoul b
famallet kement hag ar gwasa, n'èii kau: kv^ ech aîl :
. \ t votadek a zo eua dra grevuz. ilzians o kreski o welout ez int dife;,
ieuzket nebeutoc'h %'arhegoustians,
;iroarvad, ha d'ezhan beza lezet t- :Io pillctazosliauv, mes hec halload ae! erlia ouz ar c'haafarted a laboun
iiberte ablainour m'en devoe f:nes;i a zo braz. Eun hanter-miuiit a zo adreav ho c'hein a-uaaa gant aiwalch e d t en eni lakaat dida: awalc'îi evit voli ; mes al laboisr a rit B i j c h e d .
.1 i<ado pevar bloaz, nao zoken ma 'z
j w a r d lez-vara ar Scaat.
Fia gresko hor fizians-ni ivez, hai
N eo hc! dcread barn araog ar jiis- (io evit ar .Sénat. Epad pevar pe na(J hou aerz-kaloun da labourat evit Wlis. Aliezawalc'h or beuz gvvelet p!]- '.i'..tz, ar Fraus, ha pro, ho mad, ho îougo an douar eosî founuz.
••eîiji'ju, a vezi» el.'-e daoïiarn an de.•\ii amzer a zobrao. Uadomp paia
'.ou.MÏa tud, hag hi divl;iin.
Hogeu. hei> keiiier azilek vrciaa jiiiic p f ar sf-natour o pezo haavel lez, hag hadomp ed-hanv, ar mui.
iiak
sfcdibabit
mad.
Hanvit
eur.
ma c'heilimp.
Malvy. Caillaux hag Humbert evi;
Peb-hiaiean he labour, ha skouar
traitoiiricn, <î c-'heH^r poulskos::!? .j."hani.ad liag a zonjo, a gouizo hag
a
vota
evel
ma
rafe-j'it
hoc'h-unaa
enn
voazard da zon; hennou ar socialis:;onjaI o deuz noanet .1 ar \ ro, d r t
he
leac'h.
Kris'entea
oc'h
:
gant
aoun
tcd. .\r re-ma, goude beza greet eu
ierizeregez pe dre zieves-.le.l nui ti'e
'ekeldre failagriei. lîak- u e groger ..ia veza ti-oinplet. voiit evit kauuaded ! ho gv.eila evit rairout ouz ar Fran.
a
i-i'u
leai
e
v
c
l
j
hoc'h,
evit-ho
hebda veza armet ervad, a zo choumet
ket c cliiijieRn aotr(>i:î;ed ken gaiiouevit era darn vraz, j-ell diouz an daii
JiiZ ken biîa-i hag e «ii l «ii.sîcr : cun keri.
r iziaiis an? beuz da veza bet se- jer Hag o deuz ove'.kent aa diver
•Ira beniiag grevuz a uic beza, sur
laoaet gant a;i darn vuia euz va len- gonliz dâ glask merka azalek vre.-ns
jwalo'ii:ierîeu
ha pell ' zo z.>ken, petra a vezo goi:
.Vllas ï an oll n e leanout ket ka- ler.aei ba petra n'e vezo ket goulen
C a î i l a n x a oa .-inavezei iv?î! a ioa zetlennou evel ar C hov.rri'ir. Kalz r:et diganî aa eaebotîrien, — ha ne
'-•vit beza duuge; d;i ^riask eiin ern- ^.azetiennou, aa dr.m vrasa, a'o deuz bealoc'h eged muiuc'h a zi-.'izun
glc'j gaat au .Miiuagîi : îestenio'.: kea ineanoz nemeJ dalla an dud gant Lepred.
<k!ear av.v.lc'h e roaz euz a gc::icn^- proiue-,aoa diskiaat. pe zoken breina
N'ema
ema
ar poent da goll ?;nze:
araog ar biczei. Xcize f z on
iio ^;•haIo;.:l evfî ho fellaat diouz gar.t aa ira .u-ze : ei:I labt<ur r.l! a z
nia -m :<.r .-f ni! l.'i r <!a zKiiioi:: Houe : i:ag ar skoliou a ea.sa d'ezho daober: ire.'ic hi aa enebour, pe duada gînsk k e n r j . ' h s'ii..a.:e'.î euz a ho iaboar o ^evol ar vugale hep son» viana he gr>nU:ioai da blega.'Neaze
v c . i Dic-Zajz. £ ^r
uja va Jeuet ebeJ c-uz ho C'hriucr.hep a;.ej ebcJ hebiJea en em gavimp e stad da
c'houlenn digaat-ban ar bez a vezo
deread.
Hen-nez eo labour hor zoudardaL
Hon bini a zo poania evit ma u't
vanko d'ezho nefra euz a gementm'Q
devezo ezomm evit delc'her boclia»
loun iac'b hag ho c horf krenv,—
keit ha ma raio ar justis he dever.
CORKNTU».
Bolo et Consorts
le p a i fiMoiDt i B t t
I>our faire des recherehw m l e t
operaUons de B o l o dans l e t b a a o u M
boclies de N e w - Y o r k i l fallait, selon caban .M. Ribot, l'autorisaUoo d a naeha.
l u i - u i d m e . C'est d o m m a g e ë v i d e n t m ê a t '
pour Bolo que p o u r l e condamnw la"'
iiâme autorisation n'ait oatété néeaa-
saire.
L e sort q u i l ' a t t e n d a i t ne talsalt4«ata
pour personne, après les dépositions
accablantes des t é m o i n s , et après
l u i s i t o i r e énergique d u commissaire d n
gouvernement.
M. le lieutenant Mornet avait dit no-
tamment :
^
Quand on voit le m a i que l a ptopacinda
.aciliste
a fait en ItaUe,
par
pa
r ' exempET o n
. .
re.'nu en pensant au péril auquel
— lel noua'.
ïvons peut-être éohappé !
..Îî'vf'';.^:
les témoins,
y )US 0.:t dit ; • Bolo n'était pas eaoa.ie de nicher seul tme telle erifre^uSeT».'
lais 11 a été le niaqtusnoii de cette abo-!
ainabli; ni ici,i,,atiou. On vous d i r a eneote.
lue derrière l u i i l y en a de plu» coupâtes. b o i l ! L ^ s a g i s s o i n e u l a d e B o l o n e s o i *
l u u n e mnnifesution de ce q u e j L U o r t .eorge appelait le . boloîsme. »NOn» te-'
.oi.s tous nos efforts p o u r
a aaoutes les racines d u mal.
:
Quand j ë v o q a e i e s centaines d e a U B I —
:u nos morts, de nos citera morts,-et i
e me di ; qu'on pourrait avoir une " '
umiiies comme
a«ti«'
.....w Bolo. c'est
V cBft sans
BSW «mHV
asee <1110 pour la France, de la Pranoe.
.. deuil, celle de tous les F r a n ç a i d M e'ast <
our la
demande da
r^ vous
«uu» IT-ITIBIT
— patrie que Je
»idamuer Bolo k la pelaede m g s t
A ceux q u i ont osé douter d u B
a'.-cnir et de i'iiéroîsine de l a _
:n ne crai<r!iant pas de plaater l ê ,
•eiu d u pacifisme au m i l i e u d u sans da:
lu.s morts, il n'v a qu'une claire réponae *•
t'est le feu d u pciotoa d'ezécatioii. >
M ' A l b e r t Salles, a v o c a t d a Bah»,
essaya bien de f a i r e n a î t r e u n d o u t e sur1 c a l p a b i l l t 6 de son c î i e a t : . a 4 é ( a a t d a '
ireuves palpables, o n a v a i t des p i é - '
o m p t i o n s très graves e t t r t s e o M U '
dantes.
^
. \ u reste. la p l a i d o i r i e de favoeat t u t
j u t - i n t uue cliarge c o n t r e M M . C a l l l a a z .
.^t Charles H u m b e r t a n ' o h e dAtease d a '
lolo.
Citons quelques passages.
M' Salies commenta par piéte^er Ja
pacha comme la vicUmed'Boac
Je presse organisée pat M.
Pals :
•
sat4bleto«itieBratiadeis
tépubliqne. A droite de l a
de,
: içaisoD .M. Caillaux, à s
iré.sidcnt Muuier; à tous les rnisa. £
;uçgia. prélel des Basses-PmtMBMTi
Nous savons, par le dosdar e a n i
es dépo.sitions de SaddiiL a o t é t i <
l'aées et truquées ; u n r a p p o r t é i U (
i.iu! fonctionnaire I r a i i $ & d e t i a l t e
l ier S ; i d d i k . l ' j i promettra i e r e l o a r é a
•^yptcen i u i demandant des T n i i r h i a s
pour compromettre B o l o « t f f r »
ne Bolo >. Vous entendes Tfi wfciiil .
len que tiohi ; les antres n u i s i s e a a B » :>Ie9 ne sont pas encore sooa k a ' i ipli'ii
it le r a p p o r t continue : m O a p o u m i t W
K-rmettre de garder frr pfifrr i rn ia in i w s t
intes pour les autres, à coadltioa a r t i
i - n n e relies q u i eo::cament B o I o l ^ »
j-.irrait l u . promettre de les M leuMia e t
• pas tenir parois, le t ^ v e r o e m e n t b a a .ais n étant pas lié p a r l e s promeaseatfaa
oactionnaire. >
Jl. Moxnct. — Je daplore ee l a p p a r t
•jutuie vous. O u n'enateiuiauoiiacaaïsta.
M* A i l l e s . — Vota 'en rougisttz m i s i s
toi ; \nais il n'en est pas moim i
"î 3 oct jbre i9n. il y « r a » mt
-.irtemenliire. nuitii ou pràrH
ninist.-î. qui voulut perdre Bat»
jux trM'iigii^.jts pour m tamotr «
Je ro i ^ s de trouver one
I i;is ua d(.ssier j u d i v i a ô e .
j f . i i O K ^ n . — ^ o u s u'aroaa p a ^ l a
)I* &U.LCS. ^ U n e o n t a f c ! V o a s i a f l t M
•oœme rooi. mais celatt-empai.lM. a s a ^ ^
. est indiqué coiaïasut o u a « u i s i a è H a S B k
•acita.
,
< S i l a tiiëâc de raccasatioa eat
i l i o l o a v.'aûneEttaucbéda k b ^ S ^ T B
iindik p o u r e a t r œ r e n d r e oae r i iidumm
jaciflste. pourqiw», — Je ae e o o j p f e ^ i
.Michere, — p o u r q u o i est-H seul s u - m
•ancs ? m
< i l y a une tate q u i a conça cette
; ajiiC, une tCtj Js cIteL Ht
•siir.«7q cii rn^ rjo.v.S i i î d ic ' I I ' î
- p n o î i - " ' H u^pip jszanoîj n o i î
r-, v. eacrenisç ssnbî^r.Ti
'jo^t'.i
• -sroanT'e w t n l i e i
SWBTOTfiSaWOW»
srSip 4u?2[j 3 o3 3pno>jsinoS oixu de - s n o p uc aea Z3JSJS3UJ Vjr.ol c p uSEuaiw '
j a n n A
.'î!"'^'''
ojpaojno.^
j r c j . o p i i T!135 snoîiiiinxnap juanno3Tnbasnv.\l3, i r e \ a n i r u a n a S
«yrow
'
• ^ " " « " ^ l i V . O ! : ii.nb - l o i e i s o - i a p . i n * | a o p oi j x
. m b. z.in»!iîno.-) «fnoAonb j n o d i o n i l ^ tre.\ap
Seii î aujpjvn îT.. ii.i-Sfr^
..1-'^-
B l e p a s * t r è s g l a n d e é m o t i o n a u S é n a t , o i i M.
nllB pas r e a w a g m e H o a H e r t a v a i t l a r é p i r i a t i o n d'embrasaer b e a a c o u p d'aSatres e t d ' a i m e r l'art m L Ses i a t e r v e a t i o n s à ] a t r i b u n e ,
a i < m t e - t ^ mêmes lorqu'elles e m p m n
talent l e caractère l e p i n s patriotiq o e . é t a i e n t r a r e m e n t désintéressées.
L a c a r r i è r e p o l i t i q u e d e M . Ctaarles
H o a b e r t date d n moment oii. simple
capitaine, i l d e v i n t le collalraratettr d u
tm. C « U M K « t a ) t U . Jece g é n é r a l A n d r é a u m i n i s t è r e d e ! a g u e r r e .
' • B n < ; . a u t i I M o secatt C ' é t a i t l ' é p o q u e des dossiers d e C o r i n t b e
L i l T a d e « c e n » q i i i T e u - e t d e Cartilage, e n d'à titres t e r m e s , d u
• r é g i m e a b j e c t des ficbes. » p e n d a n t
w e x , o i S e>t e a c a
l e q n d l e n o m b r e des c o n p s d e c a n o n
^
n i m p i u a demain.
— H o u n e taiaoïi» pas une t o m b a s i iras q u e n o u s é t i o n s incapables
d e p o u r v o i r A l a c o n s o m m a U o n d e pio?
^ n e parte n i de TOUS n i d e q u a t r e j o u r s d e t n t a i U e .
' — Biaîa i l y a p l u s baut
L e G m a i 1906. M . C h a r l e s H u m b e r t
' tte nous disait, hier,
d e cette nature. OTT t a t é l u d e p a t é de V e r d u n , p a r 9.S58 v o i x
,
r w » eate politique.
c o n t r e 7.922 à M . l e Ueatenant-colonel
Roussel, avec l ' a p p u i de t o u s c e u x q u i .
i M " i f f H i S r j A U i i n i *
alors, considéraient l'armée c o m m e une
^
y'^'ad'antres qui
institution périmée et u n l u x e inutile.
iMtMMvaB
chef,quiTculent
fei
A p r è s u n c o u r t séjour a u P a l a l s - B o u r
t Je ae sais qoeUe Haute Cour.
i z e l o i a s a u i e i u n traitement bon. i l passa a u Sénat. I I est n é le
2
Smail86t>.
•tolavanble^
^ la BaMe Cattr ti fon teut, mait
itort
A j o u t o n s q u e l e 12 j u i l l e t I S U M
m»B9toji aiOg à eôU de lui. '
Charles H u m b e r t fit a u S é n a t u n dis-J gHf.'flmitiii
11 II n'ett p0U7SU2ci que cours p l u s retentissant q u ' u t i l e , r é v é l a n t
actc tennemL Coit dix i l ' A l l e m a g n e c o m m e à l a F r a n c e n o t r e
_ _„ . .
3t.Uum
Parce que parlemen- t r o p g r a n d e i n l é r i o r i t é e n l a i t d ' a r t i l l e r j e
lourde.
parlé de JSépubUque
^.ytoadg».
Je cou qu'élu ^est pas
L'affeûre Halvy
— i l i l i l l u t r w i d t t dans l a soirée
t^UmwBt.
^ y f M l a Itate des q u e s t i o n s posées a u
* ~ e t K » céponses q u i y l a r e n t
. PisMiÉu
mcesnos.
— Bolo
esl-U
^aivir
eutretenu
avec u n
^
tAUrmnane,
e n tespèce
te
.
t^'^e*
relations
qui tendaient
à
fààoriter
ses emtreprises ?
L a commission d'instruction de la Haute
Cour continue ses tra\-aux. O n assure
même qu'elle y met d u zête, Eiègeantchaque j o u r , et a u complet, de l i beures a
18 heures.
Néanmoins o n ne prévoit pas q u e la
Haute Cour puisse siégera nouveau avant
Pâques. De nombreuses personnalités
restent en eflet à entendre, entre autres
M. PaiBlevé. E t 3L Daudet sera prot>abie
:at;nt invit>t â préciser certains points de
sa dépositiou. t'usuitu. M. Mal\-y a j e n d r a
connaissance des accusations portées
lui.
ces dépositians,
—> confrontatiens,
w —
que l a commission d ' i n s t n i c t i o n renverra
le dossier a u p r o c u r e u r général Mérillon.
q u i aura besoin de plusieurs j o u r s p o u r
dresser son r ^ u i s i t o i r e .
Ea outre, a u f u r et à mesure que passe
le temps, la liste s'allonge des circonstances o ù l'ancien ministre de l'iutérieur
se révéla au-dessous de sa tâche, .\insi.
i l ne serait pas invraisemblable que
^ a l v y soit «>pelê a s'emUquer s u r les
etards dans la communication a u capitaine Boucbardon des rapports policiers
sur Bolo. comme également sur l'aHaire
lie l a sous-prélecture d ' E m b r u n .
E n d i n m est u n ciiet-lieu d'arrondissement frontière des Hautes-Alpes. \ la mobilisaticn. le sous-prélet, M. â u l a i e r , part i t ; et la sous-prélecture f u t laissée sans
:;^rde. Les portes n'étaient fermées n i le
loiir n i la nuit. Des couples de nKEucs taeiles s'y donnaient rendez-vous. E t l'on ne
se contpntata pas d > 3 a b l e r le Champagne :
t^us les dossiers et les documents furent
ulés. E t à l e u r place, en arrivant prenne possession de ses fonctions le 3 mars
! 0 ! i , M. DesbOn.«. le nouveau sous-préfet,
trouva Î7 tKiuteilles vides î E n outre, de
faux ordres de transport de troupes
vivaient été passés par téléphone à l a p
C'est ainsi que des trains destines i être
acheminés s u r Besançon avaient é t é d i r i
5és sur Marseille !
Sans le secteur de SâTBELLE, s a eoap ennemies, fait se l - r r e r l'eonwni dan«
gr-'op*^ sortcol .lU^-^iUl de n-î»
d» a a i a atlcBUBd a été rep«<i»é par oa -ibris.
en urdre. « u r g i ^ s ^ l bru^(u«n!«iit
poste u g U i s , dans la unit du 17 aa 18 fé- I.'s0es
de£ eutossuirs
| a r où Sa ie s o t t cfesês
vrier.
iaeî
eiiio:
ai de M? de fer. q u l i s cissilAns «bords ds CBSUST. BUlUsée da i s
fraBcfcissenf avant même que lee
février, a a coup de aain, efiectné par le» assaillants
" ' aient eu le temps de s'en apepâ l l W T i d i . a d ^ é s c r ë en na violait cam- oevoiT. L'n guetteur allemand jette in«me la
bat, an eeura dansai reaaemi l o b i t d* cri d'alarme : - IPS Français sont i ï ! > r j o
• M i b r t i i a c s pertes.
. .
ue veut pas. on ne peut
le ciuire, tant
I j ^urpriàe «r-l «r.»nde.
Dans le Gambrésis
Ce >oot les poilus dtr nt>s jeuo«~ cla-ses
Cest leur pponi^re
V e n L A TACQDEBIE, dans la nutinée d n qui oiuutent k
.-eui-oiitre un peu cli:i.uue avec l'enntnii : l a
IS février, i m u u p de main eScetué par les plupart
s<«nt
vr>lonliire>.
dans tes
* l l > m i » d i . deana liea à nn v i l coiobat, au u-jaetiee> a.'Wmandes. ilsPénétrant
u<-ttoienl À c-Mjps
coar* do^iMl FeaneBi éprouva des pertes de é'renades et Oe bombes incendiaire?, l ' u n
sérienscs.
l'aulr-;. tous les abris qu'ils renconî.'eiii sur leur roule, faisant des pn^onEn Picardie
n-çrs.- luant tous ctux qui tuicnt ou q u i
.'£i:r i<?-=:stenl. L'upératiou est menée av-o
A rest d'EPEHT, an eanrs de la nuit da uii le! «-ai.. UD tel entrain, un l«!e c o u r . ^
n an 18 février, na détackenent e u u K i , dlieiplice et une telle rapidité que. cinq ntif u i tentait as coup de main snr tm posta cutes »pres. toute l a i r u u p e r t n l r e nêre»
angUis, a été repcnisé par les ieox ds ment
nos lignes sans même une
monsqncterie et de mitrailleiues. — La tignure. ramensnl six priso&nien bavanû-».
anit suivante. les troupes irlandaises ont un fe;d-.vet>el et un sergent, et rapportant
pénétré dans les tranchées allemandes, vers les renseignements les plus précieux pour
ta ferme Gnillemoiil, et ramené des prison le commandement.
aiers.
Bans ce mémo secteur, uae tentative ca>
An acrd-est d'HABeiCOUBT, des pa namie
a éclioné ssu« nos feux, aa cours da
trouilles anglaises ont ramené des prison- la s u i t du 19 a u
niers, dans la nuit dn 16 an 17 février.
Sur U tnmt dn BOIS LE CHAUME, l a
15 lévrier, deax détacaements ennemis, q n i
tentaient d'aborder nos lignes, ont été arrêtés par nos feux.
Devant la graviti: des faits constatés,
M. Desboos déposa une plainte. X a i s le
piéfet Bonhoure, une vieille connaissance
quimpéroise, l u i donna l'ordre écrit de la
retirer.
£c v o i U line nouvelle preuve de l a faco.
Joct les mauvais Français étaient protégés
sous le règne de Malvy.
A cé compte, i l est aussi surprenant
•lu'heureux que la France ait p u t e n i r
comme elle l'a fait.
Les deux artiileeries ont redoublé d'actl
vit* en divers points cette hnitaiBe. La l u t
ta a été particuliiremeat vive ces jours derniers d u s la r é ^ n du Bois Mortier (sud
de (a Forêt de Saint-Gobain), où u n coup de
main ennemi a écbeué sons nos feux, au
cours de la nuit du 19 an lu février.
A rest de MOHCEL et an a n d de BUBES.
le 20 révn*r. nos détackements ont pénétré
profondément et sur un larga ^ n t dans las
lignes allemandes. Cette opération, brillamment conduite, nous > permis de ramener
un aamlire de PBISOXlflEBS dont le cliitIre connu dépasse 400.
Chemin des Dames
Vosges et Âisace
ÎROUT fRMIOMS
En Lorraine
An nord de PABaST-FILAIN, nnit du 13
Au sud de METZEBAL, le 17 février, noaa
au 14 février, une tentative m n m i i e sur un avans repoussé o n coup de main.
de nos petits postes a éclioné.
An sud ds BUBSBAUPT-LE-BAS, un»
tentative de coup d enuia eaaemi a échoué,
En Champagne
dans la anit d u 15 an 16.
An sud de SEPPOIS, nous avons xrrtté
An nord-est de COUBCT, n n i t d n li au 1
' t t m a i l a u s a s s n o N . — En 1913,
février, nos détachements ont pénétré dans, une antr* tentative daas la matinée d n l à .
Kçv de CaDoUnù, de la part
les lignes allemandes, et ont ramené une
y JBUdipe, aae tomme if argent
ten-XX.dizaine de prisonniers et une mitrailleuse.
^ÊHt é foeUUt
eu France me
campala nnit dn 19 au 20, une tentative enHa Trotsky ha Lénine ha lavarout —Dans
nemie a échoué sons nos feux.
d'ho c'henvTOÎz keiz, gwerzet gant-ho : Au nord-ouest et i l'est de BEIMS, dansà rtmanlœité.
«
Gwelout
a
rit
n'or
beuz
seurt
ebed
da
la matinée du 14 février, nous avons exéaussnoN. —
Certain,
Ceci est pour les écrivains dits « cricuté des conps da main et ramené des pritm^àUe
^apoir
entretenu des
c'hounit, ha peb tra da goll o vouzat soBuiers.
lignes militaires
».
-^•s
mee le khédive et Bolo en
pelloc'h ; red eo plega. >
Prétendant
tout savoir,
mais
n'en
A l'est d'AUBEBITE, un coup da main enmé d^tàe campagne de défaitisme ?
D a m a l a v a r n ' e zaleo k e t a n d r a i l l
Ha
setu
greet
an
dro,
ha
gounezet
sachant
pas
plus
long que
n'importe
•mi,
tenté
dans
la
nuit
du
16
an
17
février,
• — Oiri, A V t n u û d m l t é .
da zigeri da vad.
a pas donné de résoicat. — A u cours de la lequel d'entre nous, du moins sur les
ar milliounou !
I h l â M l t o B SDESTION. —
Porchère
nuit du 17 au 18. noua avons réussi un coup intentions
de l'ennemi, ils émettent
un
A r pez a zo sur, an nijerien a
Euruz a vezo ar Rusianed ma n'e
t^-eampabU
<favoir favorisé les remain dans la même région, et ramené tas d'hypothèses
sur la manière
dont
^tau
de Bola et de CavalKni anec le c'hoarï muiocli-mui enn daou du, deu ket an Allmagn da astenn c'hoaz des prisonniers.
nos soldats seront attaqués. Tout
cela
IpUMoe, et'tutsti d^aooir entretenu des c'hoant d'ezho da c'houzout petra
he divizou, da gemer ledanoc'h doua- An sud-ouest de la BHTTE DU MESNIL, sous prétexte de mettre nos chefs en
: avec rennemi ?
du 13 février, signalée dans no- garde.
dremen.
rou ha da c'houlenn pouneroc'h ial- l'opération
tre dernier numéro, l u t mieux qu'un coup
, par 4 Toix contre 3 ,
Il est bon évidemment
que
notre
Pa 'x eo anat n'e c'hell ar peoc'h c'had.
fut une vraie liatailie,
de main lieureux:
fasse le possible
pour
CtMffnÈMM oeEsnoN.
—
Porchère dont nemed dre erogann, ar c'henta ar
aussi une victoiri 100 hectares de notre commandement
Kement ail a c'hoarvesfe gan-omp, et
tout
prévoir.
Sans
doute
n'y
manque-t«rt-a coapable
daooir.
à Paris, en
France furent enlei >3 i l'ennemi par nos
gwella,
o
veza
ma
'z
omp
prest.
des éclaireurs
aut n i , favorisé les agissements de Bolo
leureuses troupes entre TAHU:
m'oarvad, ma selaoujemp azalek vreIRC et le il pas en employant
Da c'hedali hor zoudarded o deuz man an doktored socialist a c'houlenn MESNIL -, en outri 173 prisonniers resté- trement sérieux que les guerriers en
€t de CmMdUid ?
int
entre
nos
mains.
chambre.
Et
qui
sait
si
parmi
les
sup- r V<m.pKr 4 w i x contre 3.
difrainmet digant ar Boch eun dachenn kaozeal gant an Allmagn.
exposées par ces
derniers
Cette « action de détail « avait nour but positions
S m f a i E QDSsnoN. — Porchère est-il a zaou c'hant devez-arat er gevred da
Kaozeal? la, pa vezo hi skuiz de résorlier une avancée de la ligne aile dans les journaux il ne s'en
rencontre
eo^eble
d'oooA- entretenu, en Suisse, Tahure, er Champagn. Abenn diou
qui formait coin dans nos tranchée- pas qui suggèrent
à Hindenburg
des
awalc'h ha dinerzet awalc'h evit ran- mande
des iatelSgeaces avec l'ennemi, en vue
aa-t alentours de la Courtine. La rectiQca- idées bonnes à saisir ?
wech, dilun, an Allmanted a glaskaz kout piega.
4e faciliter les agissements du khédive,
tioD de front que l'on désirait obtenir était
C'est
pourquoi
il
conviendrait
que
gounit a nevez an dachenn-ze: poan
4e Bot& et de Ceoallini ?
Ac'han di n'or beuz nemed eun dr» marquée par les deux points du ravia de ces écrivains remisent leurs plans. Au
la Goutte, il l'est des ruines de Tahui^, et
gollet.
,
V o a . f w 4 TOix contre 3 .
da ober: herzel ha skei.
bien de les y
la région bouleversée appelée « les Cratè- besoin Anastasie ferait
An taoliou trais greet gant-ho aman
S D ^ l i i i K QDBSTioN. — Cavollitii eslres •>. à l'ouest de la bulle d u .Mesnil
inviter.
X
X
a ecaa^lc
d'avoir cherché à acheter hag akont n'e droout ket gwelloc'a
t i t r e ces deux endroits, le terrain fonne
des actions du Figaro en vue de créer,
une cuvette où l'ennemi avait facilité de
evit-ho. Be wech koulz lavarout e ka'
concentrer ses feu.x. L'affaire donc était
e s France, une campagne défaitiste ?
vout eun distag fell : hor zoudarded a
pleine d'embûches et pour la réus.sir avec
— Oui; à rnnaaimiié.
sécurité nos hommes, auparavant, l'avalent
zo prest da herzel var ledanoc'h taHomfaa
QUESTION. — Bolo est-il
soigneusement préparée.
chenn,
ha
zoken
da
zailla
ma
vez
mad
eoopable dttvoif,
en 1»16, en Améri
Comme pour les grands jours, l'artillerie
donna de toutes ses gueules. Durant si.\
aae, eatretenu des intelligences
avec hen ober.
heures d'affilée, en averse serrée, des obus
CeUietni
Dre ze, d'an 20, a hep tu da ArramonstrueiK, à la cadence vive, vinrent s'aRussie
OtU, à llmanimité.
battre sans arrêt sur l'ennemi, qu'ils entercourt, eJ Lorrenn, ez int cet da ober
Le 9 févTier, l'Allemagne a traité avec
rèrent. Quelques batteries
américaines
N s u v d b a QUESTION. — Bolo est-it
eur gwel d'an amezeien ; ha goude En Belgique
l'Ukraine.
avaient voix au concerl.
<coi9«6te davçtT. en 1916, à Paris, verI.e 10 féx-rior, la Russie — ou plutôt ce
La bourrasque passée i 16 11. 15 l'assaut qui en reste — a déclaré solennellement
té cinq millions cinq cent mille fronce beza grcet dismantr braz ha sebeliet
Dans U partie sud de la FOBET D'HOD fut ordonné. Avec leur <. cran » leur fougue
OK J o n n i a l , e n vue de favoriser Us pro- evit mad eleiz a Voched, ez int disTHULST, au cours de la nuit da 18 au 19 et leur valeur constants, nos hommes qu'elle se-eefusalt à signer la paix .nvec
jcit de.FAOemt^ne ?
troet o tigas ouspenn 400 prizounie
évrier. les troupes anglaises ont exécuté, franchissant fils ae fer et piquets marchè- l .Vustro-.AIjemasne, mais qu'elle c u n s i d ^
— Ooi, & l'onanixnité.
sur un large front, u n raid dans les Iran rent de l'avant. Leur tache ne fut point fa- rait l'état de guerre comme terminé.
Enn Itali ar c'hanoliou a groz. Mes ctiées
Cette attitude iious avait paru dés l'aallemandes, tuant un grand nombre cile. La bruine amolissail ces craies de la
' • Qobstiom s u b s i d i a i r e . —
Porchère stourraad braz ebed ken nebeud evit
d'eunemis, taisant 27 prisonniers et captu Champagne, que tous les combattants dé- bord ëtraiifje. Pour déclarer la guerre i l
'ést-a ieoapable devoir
favorisé
des
sufllt d'être un. Mais pour conclure l a
ant une mitrailleuse.
lestent
et
ont
maudites.
Sur
le
terrain
glisc'hoaz.
taOttioes
^intelligences
avec
l'en
paix i l semble bien q u ' i l soit nécessaire
Dans la région de la voie ferrée d'YPRES sant nos soldats titubaient.
aead 7
>
d'être au moins deux. On pouvait v r a i Er Rusi, ar c'hanfarted Trotsky ha
Pendant une heure, dans la fange, ils ment se demander aveé inquiétude ce
un détacbcment britannique a
STADEN
— Ont, par 6 voix C M i t r e une.
Lenine a grede beza c'hoariet eun réussi un coup de main sur les tranchées épuisèrent leur élan et quand l'heure eut qu'était l'étal d'un peuple q u i affirmait
E n conséquence, l e 3' conseil d e taol fin d'ar Boched o tiskleria n'e cnnemiei, diius la nuit du 15 au 16 lévrier, passé Ils avaient tout conquis des objectifs uuilatéralemenl
ne plus être en guerre,
et des buts assignés.
ffoerre:
alors que son adve.saire se taisait.
felle d'ezho na sina ar peoc'h nag ober et ramené i l prisoiiBiers.
Le Boche, abasourdi par la soudaineté et
V o i c i la solution. Elle était facile à préFOELCAPPELLE, dans la matinée l'énergie de leur attaque, se défendit d'aA llmanimité. condamne Bolo à brezei. An Allmanted n'intket bet pell duVers
17 février, une tenutive allemande a été bord. même opiniâtrement, mais il comprit voir.
to;PBnni D B MORT.
nec'het. D'an 18 ez int eet var araok, aisément repouisée. Plusieurs ennemis ti bientôt
.A la deniiére séance de Brest de I.ithuaque
sa
résistance
était
vaine
et.
il
A raaanlmltt, condamne Caval penn-da-benn d'an talbenn, oc'h en cm reat tués dans les réseaux de fils de fer et n'osa pas tenter -'a réaction accoutumée. nie, M. T r o t s k i lit coiiuaitre que sa déléHat à la P B I B B D B MORT.
quelques prisonniers restèrent entre l
estimait que l'heure des décisions
I l donna de fortes preuves d'un désarroi !.'ation
venue, mais que son gouvernement
Pmt 9 Yoix contre une. condamne astenn var douarou nevez, hep em- mains de nos alliés.
très singulier. Ses bombardements de bar- (••lait
refusait de sanctionner les conditions
Pdeeàère A TROIS A N S D E PRI. gann.
rage
s'exerçaient,
i
tout
coup,
sur
de«
Au Bord de WITSCHAETE, dans la soirée
I l dit que la Russie
SOH.
morts où nulle action ne s'engageait. austro-allemandes.
Ha Trotslty ha Lenine da gemenn du 19. les Anglais ont réussi une opération lioiiits
l'état de suerro comme termi11 faut chercher rexpllcatlon de cet émoi considérait
N o s leoteura,savent q u e C a v a l U n i est kerkent ez oant prest da blega da zivi- de détail et lait quelques prisonniers.
ée,
mais
se
voyait
obligée
de renoncer à
particulier dans ce fait — et rapportons-le
Dans le secteur de MESSINES, à la tora en hommaïe — que notre artillerie s'était signer un traité de paL\.
M l t w e . C'est d o n c par c o n t u m a c e q u ' i l
ziou
an
Allmagn
ha
da
zina
ar
peoc'h
!
bée
de
la
nuit,
le
18
février,
rencoatres
de
En faisant cette déclaration. .\t. T r o t s k i
a été c o n d a m n é .
montrée d extréme précision et de terrible
au cours desquelles les Aile erilcacité.
croyait sans doute agir habilement e t e m C'hoant a ve da lavarout ez oa bet patrouilles
L e 15, B o l o e t P o r c h è r e s i g n è r e n t
maads subirent des pertes.
barasser tortCiiieiitses.-idversaires.» L o r s leur pourvoi en revision.
renket an traou enn avans evel ma
Sans cette région (entre TAHURE et LE qu'ils verront que nous ne voulons pas
Des cas d e cassation sont également tremenont. Judas en doa gounezet he En Flandre Française
MESNIL), nos troupes organisèrent, les nous battre, devait-il penser, les soldats
jours suivants, les positions conquisec le 13 alleiiiamis n'oseront pas nous attaquer. i>
reoliercltés.
dregont dîner, evel ma ouezit. Trotsky Au sud d'ARMENTIERES, dans la matiné< 'évrier. pendant que se poursuivait la lutte Son illusion fut de courte durée. -M. de
E n ce q u i c o n c e r n e les retards apportée à l a c o m m u n i c a t i o n des dossiers à ha Lénine a dlee ivez gounit ar miliiou- du 19 février, les Anglais ont repoussé aisé d'artillerie. — Le 18. après une vive prépa- Kuhlmaiin répliqua aussitôt que, « s'il
ration d'artillerie, les Allemands lançaient analysait la situation actuelle, i l arrivait
ment un coup de main ennemi.
l l n a t m c U o n , a n e enquête a d m i n i s t r a - nou roet d'ezho gant an Allmagn.
sur nos nauvelles positions, trois bataillons à cette conclusion que la ^luadruplice
t i v e est taite. U n e d e m a n d e d i n t e r p e l l a ,
NEUVE-CHAPELLE,
nuit
du
17
au
18
entraînés par des éléments de strosstrup était en guerre avec la Russie et que les
Ho c'henta labour a ce dizarmi ar réviier. les Portugais eut fait quelques p
U o n a été déposée également. Cette inpeu. Après un vif combat, les assaillants actions militaires, c|ui avaient été suspenonaiert.
furent coœplètemeBt rejetés des quelques dues par l a r m i s l i c e , reprendraient ipso
t M p e l U O o B sera discutée k la Chambre, Rusi. Penaos herzel da c'houde?
Etretant, ho diskan a oa : « Na A l'ouest de LA BASSEE, les Allemand ilémeats de tranchées où ils avaient d'a- fai.to à son e.xpiralion. » Voila l'évideuce
••nbedi 22 février.
ont exécuté uu coup de main si r un post berd réussi à pénétrer. Leurs pertes furent même.
douarou nevez, na digoll a du ebed. > anglais,
dans la matinée du 17 février, et levées et Us laissèrent entre nos mains une
H laut. comme dit le proverbe, qu'une
Evit komz enn doare-ze, ober gour- enlevé 3 hommes.
trentaine de prisonniers, dent un officier. —
;tu caurs de l'après-midi du même jour, les porte soit ouverte ou fermée. On est en
c'hemennou da cun adversour, ez eo
paix ou on est en truerrc. Mais dire que
Mlemands
firent
une
nouvelle
tentative.
Nos
En Artois
'eux arrêtèrent les assaillants qui ne purent I on ne veut plus être eu g u e r i e quand
L a n d l maUn, M . Charles H u m b e r t , red beza estad d'hegondaoni da blega.
l'adversaire est d un avis oppoié c'est de
A l'est de LOOS, matin du 15 février, une iborder nos lignes.
•énatear de la Meuse, et ancien direc- Hogen, dre faot Trotsky, Lénine hag
l'enlantill.T.;e.
teur d n J o o m a l Le Journal, a été arrêté ho c'henseuTted, ar Rusi eo a oa en em patrouille anglaise a su.Tris un groupe de
Au sud de la IJoniioiîC, le l i février, nos
Knire temps, à Herlin, on déclarait q u e
travailleurs
allemands,
qu'elle
dispersa
"naltcries
ont
pris
sous
leurs
feux
et
dis.
en son château d u M e s n i l - G u i l l a u m e gondaonet da blega da oll c'hoantcgele gouvernement di; l'élrograd avait, par
avec de grandes perles sous le ieu de ses • ersé un fort rassemblement ennemi.
son
attitude, dénoncé virtuellement l'ar(Calvados.) I l t u t c o n d u i t au d o m i c i l e
mitrailleuses.
Dans la région de VILLE-SUR.TOUHBE, mistice. Cette dénonciation était consiqn'D « 0 ftrls, o ù u n e p e r q u i s i t i o n f u t ziou an Allmagn. Ha pa ouie e c'helle,
dérée
comino ayant été faite le Kl lévrier.
Ail
c
abords
de
LENS.
matinée
du
hou-man
ac'houlcnnelia
douarou
nevez,
U
mil
du
I
j
au
l'i
février,
nous
avons
repousopérée, et ensuite écroué à la Santé.
I.e gouvernement allemand- reiJl
reiirciialt
M I T les troupes canadiennes ont exécut
L'inonIpaUon p r e m i è r e q u i pèse sur hag eur ialc'had pouner : 11 milliard a-vec succès uoe incursion dans les tran- é une tentative do coup de main ennemi.
donc, après expiration du délai de sept
St. h u m b e r t est celle de a c o m p l i c i t é de ha kart euz hon arc'hant da genta, chcc! allemandes. Elles infligèrent de nom- Argonne et Verdun
jours h.\é danss le traité, entière liberté
commerce avec l ' e n n e m i . » O n l u i re- evit doare, 8 milliard da ziveza.
breu es perles à l'eenaemi sans en éproud'action.
vtr lles-mèmes, firent des prisonniers et
proebe d'avoir accepté de L e n o i r et
AO FOUR-DE-PARIS, dans la matinée du
Kl, le 19 février, le communiqué aileij février nous avons repoussé un coup de mand s'e.xpriiiiait ainsi
UMonchea d ' a b o r d , de B o l o , ensuita,
Trotsky n'e grede ket asanti, gant ramenèrent une mitrailleuse. — La nuit su
vajite, rencontres de patrouilles qui permet
i.ain et infligé des pertes sensibles à l'enpour son Journal, des sommes i m p o r - aoun da veza krouget.
TMAlre oriental rie la guerre. — Les
lent à nos alliés de taire des prisonniers. cmi.
t a n t n qae l'on a tontes raisons de c r o i r e
troupes allemandes sont entrées hier» Dwinsk.
au 1». nouveau
N'e joume gant-han nemed eun dra Au cours de la nuit du
Klli-s
n'ont rencontré aucune rési.slance. Les
Dans
lo
secteur
do
VAUQUOIS,
le
IC
féde M v e n a r i c e allemande.
raid des Canadiens, qui font 5 prisonniers.
rier, nos bleuets ont brillamment réussi ennemis s Otaieiit enfuis pour la plupart. Les
A - t o n déeonvert d'autres charges ces da ober : en em denn, o lavarout : « Na
ntativi-s
faitci pour détruire les ponts de la
s
:
incursion
dans
les
lignes
ennemies.,
temps derniers, o u l a p r e m i è r e i n c u l p a - peoc'h, na brezei. s
A l'est d'ARLEUX-EN-GOnELLE, dans
i.ét.ilt dans une légioi: Je mines et d'eii- Dwina n'ont pas réussi, lie part et d'autre de
la nuit du 19 au iii. les Allemands ont t e n u
t i o n s'est-éUe s i m p l e m e n t précisée ? O n
An Allmanted a rcspontaz : « Peoc'h après
Loutsk. nos divisions sont en marche. I.out.sk»
.mioirs.
sur
une
bande
hi'-ri.-5Sée
de
Ills
de
un
gros
boaihartiemcnt
préliminair.^
n e l e sait. E n t o u t cas, c'est à la de
pe brezei. » Ha pa n'e zinet ket UB raid sur les lignes britanniques. Ils îu
•r: Il ^'agiSbiiil ù e n i e u r lui poste aile- lté occupe SBiis comlitil. n
monde d u capitaine Bouchardoiuqu l l a
rent complètement repoussés par nos alliés
ut sur l.i c i-Ot.- do V..ri'iuoi-. A ia poi:it<
l;n-f. d u icolî'î d î Riga a la frontière de
d'ezho
ar
peoc'h
dioc'htu,
o
deuz
ka\aRM4
,;t subireul de» pûtes ïéiisuse» en l u i » s;
tir .1- [.réparât il
..pidc la Galicie tes armées allomandcs étaient
• R m U L t l o a n ' a pas D r o i l a l l u à • »« ho zoudarded dounoc'h er Rusi.
en jirisona.cra.
•..t. lit
IJl
htr:-. If
Cilt-l-i eu marctie d.iui ta divottlou do l'Est.
L a
GjÊorre
TAisez-yous !
Eiz dez Brezei
RésiiDié (les OpéralioDs
LasitiiatioQàHraDgef
FROUT BmMl!tlQ\lB
. L'homme-canon arrêté
mmm
u
AifBt
I oq aao Seq saejj
o jgzuiv sauioiu fo
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H^oa JR dauo v pap-mph.ozoa
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I l ue restait aux Russes que deux solu- 1 Istrie. l a Dalmatie. les iies de l'Adriations : r a p i t u i e r o u se battre. Leur choix I i q u i ' . c t l e ijoi.'i.'de Valoua. Ses p r i r i l é - e s pour le plnindrs> a m"s dit : ï Oh ! moL i"» '•ncation d u pain: 3- le nain propre â b t « . » . •— Les rattinatntTi s e d e i M a t V f t ^
J'l:a})ii.i.ie. Ce-i!
•- foL- qup i-.- su:.- n x ' - ••'n<":u[i!jlioD humaine fabrique aver <le I: payer pour le pemus d»- cireulalioe<lw«6f u t vite f a i t
eu I j b v e elaient reconnue, t i , dans la S é L e même j o u r , le radiofc^lézramme s a i d i t e r r s i t e . en cas de démeiiibren.ent de ^ dspu;? I l g u ï r r c ï . M d i s j ' u ç m j u i r i i • .s. larine d*- frt-mcul. ui-'lanc-ée ou Of-n
reai9s. L#s â r«>VisM9 p s r sae «eot % i m
tar.t « a i t adressé par l e Scrieî des c o m la Turquie, une part dpalc a celle des au- J a j i ! ^ trop m i ter-e. .. Cët.-'il -dD ouvrisr der Urines de scccédanés."
ciiarge de la eusmuae.
rol&iures d u peuple a u gouverDemect de tres puissances signataires l u i aurait été agriC'jîe, va homme d'ace idmirabie énerf)e plus. îme Içi -io 10 février aufirrse les
gie. J'ai aj-julé: - V o i » c'aîriverez pas 3 rmnîstres â régler-ieoter o u i susoecdre,
r e s p i r e aUemand assignée
«Ire un psîii t x p l o i î s n t ceil4-<»ire pa- ; a r décrets. la productioo. la fabrieatieo.
Lks. articie» X l l et X V sont ainsi conçus tron? . 11 m'a répondu: . I l n ' r a pas
U Soaee de? commissaires du peuple fail
A mo» A B O t m O Q S . — S M
U cirralation, la vente, la déTentioD oo -a
• XII-— L'Italie s'ossot.ieo ta dècl3.ratioi mo.v •u- Je n'ai nen d u t o u l : j e resterai ou- c<>ns(m=îa!i.:-n
euemdre 5a protestaûoa contre le fait que le
de denrées servant â l'ali- «ai se r e f u e p u Is ^ a r a d k
foutienemeat oiiraoïict a / a u nuircter se> faite pz.r la F-ance. ia Grar.de-BretaQne et vrie: •gncc-le touU: ma vie. Je n'aurai ia- iceatati-jn de riHjiniije et de> -iCUEaux, de •aa a W n a M u a t est r f s i i é r L
Ifaii.ts Iliui: Ifcs i.eoO ou 3.0Û0 I r . qu'il faudrait. . in^aîé que des cmihustibles. Et «L'e éUblit txmai « t doit te p r â p a w h w
tttvpes contrt la Kep>i»liqi,e russe Oes Su- la I,tify<t, pa,- laquelle les Lieux
loifsesen la pos- Uu .
h€i.rcai oe penser que ia proposi- des sanctions •;év«res pour les îEfracticns i n é * .
rtels. ifit' «ï«u 4tclarr termiii'
l'état de ii.al)oii.ê LrsClor:eii'r!-e
l.oll qi; r \.i.nt de vuteî la Chambre avec le En VOICI d'ailleurs le texte :
session
liuii
Liai
iiiaUorr.eta/i
iitdépen
fuene et acaii cainmeuct ta <Ua.ùbîliinEa coasifaeaee. asas aréveasM M a . A »
da'fi I.
p.-^t SI i v u n t a ï t u x aux iî:ut;i.:s leur « r lict. <u rarmée sur joto te^ /roet.-.
TolS'
-All 2. — Le> j:f!-..ci;&c. i u i décrets pris nés doat rabaaaeaMal m n
Lt to-^rerueitiru' itt^ oavnert et payiaiLr -W. - La Fr::,ice, la Orai d -bretacr.i lU'.t:.'» oés-.y.'-iiii» de Cevecir propriétaires par .ipplifaî.on de l'article précédent se. VBIEB. et ^
a-aarait ^
r s fJ j s i * *
te la Btisae ae poMrait pas i ouemire A uut et lu Huxsie s euraqenl a app:: .er ."ic:Vo.i ru.-aux.
punies de seize f r s t c s à deux mille ansiéra ds b s t s . sas dsas « a d v M S f a m ^
Quiud aux ais de t e n n i e r i et de pro- frcnt
pcrriUe actioi. pcT ee seitl fait que, ni dtrec- de ntaUe à IrH^t île ne pa» perr.ielire
r j i i c s :SC f r . i» iCOO fr.) d'iicende et de aoas Icor tereas a r é s o l a r . m ^ ï T i S Z .
îéta.rf.» exp'.oiliDls. ils on: ie désir pas- SIX jours à deux m j ; s d'empnsoziaemenl nam «aittaace < * S iraaes. V
IrMcE. u uulirecltraeia, aucitme des partie.- aux rvprnerilanli
^ S T S
dit Saint-Sie^e
t'.'enacné de retourner à la terre. Et quand " u de l'une de ces d'icx peiner- .-euleiL-eiit. n c d r s a t U * a r i s c r w b M r " - r T i T
sr troitrant en état d'iMranstice u'acati at- sayer anr action ilwtocialique
/
e-. -- e J»
i t u r disons; - On pourrait faire Queluoact ut OTbiistice
iours à é ataitcr. fa conclusion de ta paix et de l.i îc.fii.';cin
I M akoascs a - — k s s s d s I M t a »
Er<
outre,
ies
tribunaux
pourront
ordonque ch.r.se poar tou-n vous envover dans
oinsi qu'on s'était rtaproquemeut engoff c Je» quesliou.'; .«e rattachant à la guerre. •
t
^
saat
iaritéa
i
«a—jea
|—T
n
M
i f l i
eue écûie de Sander-Sunonest "près de ner que leurs juKements seront. in:'i;ra!e- -Lcataat d * Ion- r t e b M
It faire.
' - '
A propos de e t dernier texte, ;>i. Son- Ly.^'U. uuc dir»;ie admirablement M. de Kunt' ment o:i par extraits, srfiché» dauï les
Lt 5b<-tci dei coutmiisairti
du peuple -f
Teata
d
«
a
i
«
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s
d
*
cbi
lir-jx qu'ils mdlque.'<^.nt et mserés dans les
uif dans tobtigaUon. dictée par lt!: iiicon;- nino a lait en réponse â une demande g-Uluiirt a - u i u s r é p u d i t n t : . Nous n'en i j i m i a u x qu'ils dés.'zneron!. le (cul aux — laite i asa .
taMies, de dectarer 'jK'il v o n K e n t à k o u k - d'éclaircissements, ladcclaration suivai-te: svnn-i pas besoin, nous ne demandcn* frais du c n d ï m n é . sacs qi:e la dépense de r a k H B c s M a .
uue
c!i-j»e.
qu'on
nous
iiehe
le
plus
vue
d* r o a a d*s d a n i t r a s banasi d a j
v r i r e a u x e o n d i U o U M qat aiateui est
. Je o'entends, en aucune œaniere. préjuger
que nous retournions t r i - puisse ficéiler cinq cents franco -Mj tr.). d t a e caatimcs ca tiabras-pasts.'
pTupotees par tei délégués de la (fuadrupte- du droit do itauTerneaen: Itilieu de se pro- pcssiole
Eu c?s lie récidive, la
d'aicenue sera
àUiancea
Brest-Litocsk.
naccer reialiTemeot à I'a<tmi5s:oc :>u • ia son vadior ciiei i-oiii. •
de deux mille fr.r.t.-. u six m;lie frano?
Bref, le» écoles de rééducation agricote 2.000 i C.ifo f r . ! et la peine d'empri-sonle Sntiet deé commissaires du peuple ae- adminion de représentant' ?oii du Saint .Siése.
itttre que ta jefon^e aax >:oiidili(,i-.< precuei » : t d t:ial« non telligéraats. dan; l'évectoe<!e sont pr.?sque v.des. - L-^ minist.-e de i ' \ e r i - iieiii-rnl de deux mois à un an. Le cijût de
cui'.cit.
sjoute .M. Soucr.on. a dit au S â a t l'afiichigr pf.urrj être porté -i l.OOO ir.
l . l l o k g r . d e patates
de paix emiie^ par te gouitrnen-eui aUei-.er,a 0 3 f é r e n « gcoërale qui .ioit d'une manière
q u i ! y i v a i t £2 écû'ës dépecdact de l u i
ter m donnée incefsamotenl.
.VrI. :î. — l)f.i roi.vt-rture des poursuites
quelcbcqae, traiter de la cocciusioa de p x x »
il n'a pas dit combien i l v avait d'
^
d a n s BB e i r r ê d e S j L Ï K
Le président du Soviet.
Cette versloi; p o u r r a i : nier, cependant mati'irs; et j.- ue cro;s pas m'ivoiicer en enjraiées conrorméuitnl aux disposiiîous'de
ne pas être rigoiireuseraent exacte. Car. ^ou.-^ i s a n i que le chiffre n'est
prê 1 arliti.; 2. les minisires compétents, sou
OVLASUf-LtXLSZ.
rés«-rï.ues
mesures
q
u
i
seraient
prisés
Pour UD peu nous dirions que t c u t ueia u'apref d'autres j o u r n a u x . M. boacinô det.-e pi;b!;e. .. A l'école des Brrîï.-îr/d« pour les besuias de rioformaUon. ix)urD>ot
Un journal suisse rappovU eeq^ ta^s
ressemble à iiik- comédie bien jouëe au aurait d i t :
Ii,.mfcou;!lel .•! y a eu deux candidats' depuis prescrire coutnr riiijMdpë, suivant tes formes
Ed
un habitant de Kansas C t v ' a c.
p r o l i t de 1 A i i e n a g n e .
trois
;,C5.
Dans
ceriaices
écoles,
comme
le
et cuiiditii^n» de l a r l i c l e G de U loi d u 29 tenii. 1916.
L'Italie n'a jamai: : cherché i apnui de ses
s u r une parcelle carrée de S m. » 4
Pendant ce temps de violentes protes- ailiés pc-jr exclure s.v itëmaUquemeot la parti. tnîguiflque dcmaint Ce Champagne, on a avril I W , Li reqiii-iti.jn directe el immé- côté.
1.143
de pommes de «erre. <Ee <
"
np.-essioa
qu'i;
y
a
surt-out
des
fign
tations éclatent eu Pologne. Ues troubles cipalicn dfs représ-'utants d• u Saitit Siège aux
diate de.s denrées et substiinces avani don -'eprésenSe kgr.
un reodemenl de ijNOOeB I
ont eu l i e u dans tous les grands centres nésociaUons de paix, mais il est nature! que rant». l^'in-iiative privée, moins onéreuse ce lieu aux poursuites.
I hectare. La plantation a été faite !
pc.ur
'0.c'jntriijujtiles.
arrive
difficUemtnt
à Varsovie, à I.cmt>erg, à Cracovie. Les les représentanls du Saiot -Sièg-e, de même
Art. L — Les infractions aux arr€lés uue méthode nouTclle et ortetaslc. • '
Polonais commencent à s'apercevoir que que les représentants des p lissances noc tel- a obîenir des résultat.- sérieux
pris par le- ministres compétents et ii ceux
L-inventeur. i L Hendncks. m U t * H ( * t t
Il .-emble ceoendjnt qu.? dans ie Kinis- pn.s par ies préfet- pour l'exécution des
les .^ustto-Allemands se disposent a pro- libérantes, ne puissent- pa* parhi-iper a ce?
te.-e :e recrutement insuflisant vient, en di.-:rets prévus à l'article 1 " seront punies combien les pommes de terre en caT»«e<».
céder. s'ils ie peuvent, à u n quatrième dé négociatioES. «
Icppeut
leurs longs germes en p n ^ t è a t
partie d r ce que la maison (leur maison), des fwines prévues aux articles
peçage de leur mallieureux uavs. L e traite
4iO et toutes les
fentes ou interstices.
la*
E u tout cas, le.s paroles d u ministre des orgïji.sée au manoir de P.'nannin en Diri- Ufi d u Code pénal.
siïDê avei: l'Ui^raiue l a démontré suragermes
rampent
sur le sol Jusqu'à 1 :
Affaires étrangères sont beaucoup plu^ non pour les cultivateurs mutilés, est trop
bondamment
J. —
dater de la promulgation de de distance pour arriver A l a i
conciliantes sur cette grave question que peu connue. Plusieurs justement de cps tîis la .\rt.
présenlç loi. seront punies des peineLesjournauxallemandsiulminent Même ne semble l'être le texte d u traité. Ce n'est de fermiers ei de propriétaires qui, chez
prévues au-\ .-•rticles 2. 3. 4 et 7 les infrac- fait 3 suggéré ii l'invenleiir Fidée q o e l
le socialiste V orwaeris d i t que ' l'appétit peut-être qu'une apparence. Et i i est pos- nous aussi, sont si attacli' ' '
leur terre, au- tions qui seront commises aux décreis ci- tas de tubercules étaimt placés a n d d
national des Polonais est insatiable. > sible que M . Sonmno a i t seulement voulu raient avantape â être
avec asset de terre et d-etigrais. t a e ^ M i r
au courant de ce qui aprcs :
Ou j u g e par là d u t o n des j o u r n a u x pan- ménager ies suscei^Ubilités s i lègiUnies s'y fait.
forte production en serait l a eor
Décrets du 30 novembre 1917. relatif à la
eermanistes. l . a Post, sans arabages, des catlioliques italiens. — comme i l est
!! y a trois aos. U . I t a M U A s .
Sous
la
direction
de
.\L
Dumoncel
—
anconsommation
du
pain,
à
la
réouisition
des
préconisé ia manière forte.
me de ses rorceries de p o m m o d a I
possible que ces derniers se demandent cien officier mécanicien, dont le nom, pour
Les maximalistes se battent avec les p o u r q u o i .M. Sonnino ne nt pas mention, tous ceux qui l'approclieiit. est svnonvme 'éréoles el i la fabrication de ù farine
que l'on peut comparer s u n las dé '
Art. 10 du décret da 3î juillet 1017 cela- élevé entouré d'une elAture 4
Polonais, ies Roumains, et les Finlandais. dans le traité, des représentants des puis de dévouement et de capacités hors ligne
L ' U k r a i n e adresse a u gouvernement de sances neutres aussi bien que de ceux mises au .service îles tpuvres airricole- ca- M" au régime des céréajes.
Dans cette encemte. fannant u n "
D.ïcrel du 3 j u i l i d 1917. porlaat taxation
B e r l i n u n appel pressant o ù i l est d i t no- d u Saint-Siège, .s'il est v r a i que son désir tholiques — un petit trroupe de mancliotm. âO de cété, i l planta ses l i i l i n i i i i l a t s d t
la vente i.'U gros de sucre.
tamment : « Nous sommes convaincus que s,lit de les écarter égaiem'ent des négo- a reçu ime rééducation, d'autant plus reune légère couche de terre et d e f o r a l i t ^
Uécrel du •i décembre 1917. relatif ii la am-si de suite par couches s u p e r a o s é a ^ j M à
le peuple allemand, q u i aime l a paix et ciations de paix.
marquable que c^-tte mutilation pas-^e (c'est
'.nsommatio
l'essence de pétrole, el qu'à la hauteur de 8 m. âO.
l'ordre, ne restera pas indifférent u notre
I I est évident par a i l l e u r s que l'accord l opinion de .M. Souchun» pour être incom- dispositions Ilnondeabrogées
des décrets des
détresse.»
La forecric ne larda pas i sa t r s n s f o f M l
u 16 a v r i l 1915 doit être révisé. I l est, dans patible avec ie métier de cultivateur.
I-, avril et -J1 août 1917. r - i ^ t i f s au méue iir toutes les faces en une masse de îssjM
L e çâcbis baiicanique n'était rien à cOté d
Tous les travaux ne leur sont pas acc-w- il'jet.
de celui dont la Russie morcelée nous plusieurs de ses parties, u n monument de sibles,
dure. Les germes se déreloppérent
mais
la
ferme
de
Pen:mrun
a
été
depolitique
iinpiriafiste.
Le»
droitsde.lougodonne aojourd'iiul le n.ivrant spectacle.
Arl. C. — 1es peines étiietées par les armieux que dans la cave i te) i
.Slaves y sont totalement méconnus. E t si puis un an. admirablement cultivée par ces icics 2. 3, i t 7 de la présente loi sont ap- uore
qu'à la récolle on u'obUnt pas
ce traité recevait son exécution, on se quatre mutilés; et l'un p(*ivaiL cet été ies
;.eaD!es
aux
infractions
visées
par
l'article
t.(KO
kgr. d'exrellenics potnmes de
trouverait iminediafemeat en prcser.ce, voir (ti-sis d'entr'eux éUn! ..oioplé.teiiienl
ne ia loi du 2ti avril I91Ç el par les articles L'année suivonle. le K^ndemenl pair
_
ANGLETERRE
s u r ia rive droite de l'Adriatique, de nou- privés d'uu bras) faucher une prairie dan^
et
.}
de
ia
lai
du
8
avril
ISlV
seulement
le 7% kilos, mais reosottlA
Le cabinet anglais vient d'être asse2 velles aspirations irrédentistes. Ce n'est les parties que n'avait pu atteindre la fau- Art. 7. — Les dispositions de l'article 4C3 1.143 kgr. la troisième année.
•
cheuse
mécanique.
L'inspecteur
de
l'assisïivement attaqué. Les partisans de . i occi- pas, en offrant de pareils arrangements,
!<i c.xie pénal sont applicables aux infr^icJusque tout demièrénent, Jf. H e a d i é M
dentalisme i), (c'est-à-dire d u système q u i que les .Mliês peuvent se présenter au tance pubhque, après une visite ii Penan- lons prévues par la présente kii.
a (euu ie secret sur son proc&lé, " i f ' r j i t l
consiste à considérer exclusivement le monde comme les défenseurs de 1 indé- run. fit un rapport éloifieiix qui attira l'attention du Préfet maritime de Brest. Celui- Oongésaux
front occidental et à tout subordonner aux dance des peuples.
fommaa
aalariéam joiird'hui, en raison de la disette aliMsiC
taire générale e l de l'urgence m ' I l » «
opérations de ce f r o n t ) les pacifistes, et
Le traité de 191.^ f u t d'ailleurs vite ci m exprimer aux dirigeants Uc l'œuvre le
*tB
mïUtatfsm
d augmenter rapidement la p r o d u e t t a l ' « I n
ceux q u i veulent conclure une paix sépa connu. E t ie Journal des Débals indique dé.sir qu'une oropagande plus «clive fût
En
vertu
d'une
loi
du
15
février
1918,
toufaite
dans
les
honil.-iux.
i
n e n u i i f . il s'est décidé k d j T u i K a « M t
rèc avec l ' A u t r i c h e - H o n g r i e , ont donnt en ces termes énergiques quelles furent
' femme de mobilisé, emplovée, oiivrièpî, invention pour ie bien ^ tous.
.i "7
Trois des mutilés ay.ml été formés pour 11
l'assaut au cabinet, i l s ont .d'ailleurs étt ses 'conséquences : « Exaspérés par la
salariée,
a
droit
à
un
congé
non
pavé
de
Les conditions de cooistnietioD da
repoussés avec perte et fracas, leur m o manière dont on disposait d'eux, les Croa- le jardinage, les siUiations ne leur ont p.is :arée égale à chacune des permissions de
re
de
forceries
à
nommes
de
terre
e
t
"
manqué
quand
ils
ont
quitté
la
maison,
qui
tion n'ayant recueilli que 2S voix contre 159 tes, les Slaves et les Dalmates, q u i atten-on mari, ii charge par elle de prévenir imL e premier ministre (qui, parait-il. daient de l'Entente leur délivrance, lirent avait été vraiment pour eu.v un vrai foyer néJiatement «on patron ou chef d'entrc- soins qu'elles réclament pennetteot à i
cua, qui dispose d une snfTaoe restreiatL
était souffrant et u n peu nerveux ) a refusé bloc sontre l'Italie. L e u r attitude décida breton. D'autres n'ont fait qu'v pa.sser: tels lirise.
preduire assez de nommes de terre p ^
de prendre a u sérieux les dernières dé d u sort d'opérations militaires de pre- trois jeunes fermiers d'une commune voiElle ne saurait, du Tait de son absence besoins d'une famille moyenne. L a M "
sine,
qui
s'en
allèrent
un
jour
en
portant
clarations d u comte Czemin. A la forme mière importance. »
pendant ladite permission, être l'objet <l'un peut avoir une longueur queksonqœ,
prés, q u i est beaucoup plus courtoise, le
Et u n grand j o u r n a l suisse fait s u r le leur bras artificiel et peu pratique, se faire renvoi ou d'une mesure disciplinaire quel- vo que la largeur soit inaintenBo & 8
mettre au point l'appareil qui le remplace
discours d u ministre .austro-iiongrois ne même sujet les réllexions suivantes :
^
maximum. Les paruis doiveut être SMa_
avantageusement pour les travaux des oaque.
différait pas sensibiement.d'après .\f. Lloyd
Les présentes dispositions ne sont pas lides pour retenir la terre. On peut a u
.^u point de vue pratique, on ignore en gé- champs. Beau trio vraiment, et qui faisait
George, de la iiarangue d u chancelier.
Déral le tort immense qu'ont causé aux opéra- honneur à notre Bretagne, quand on les >(.plical)les aux femmes de .soldats mobili- plus utiliser tout genre de matériass.
« Le comte Czernin, a t - i l dit noUniment tions militaires des Alliés les dissentiments v o v ^ t passer si biaves e l si gais sous leur l's dan- la ville de leur résidence el béné- parois eu dossçs (couenneaux) o u e n i .
plaçait la MésopoUmie. la Palestine et l'Arabie entre Italiens el Slaves. Sans eux. la Serbie " tokou leuan •. et avec leurs irrandes bloii •'eiant de caries de couchage à leur ijomi cbes doivent être consolidées ' vers t a
lieu par un fli de fer ou autrement poar
eiactemcnt dans la même c.ité!;orie que la Bel n'aurait pas été écrasée en 1915. la Bulgarie ne ses de Léonards ne cliercliani'que le meii
sister i la pression. KalureUemeot. S '
glque ; ces pays devaient cire restitues i la serait pas entrée en liœ aux cotés des empires leur moyen de se lemettrc .ui travail.
disposer de lerre riche el en quanHid
les péi^m ae familles nomTurquie aux mêmes conditions probablement centraux — mais bien peut être aux cotés de
Pour beaucoup, le bon conseiller, r.iin
santé pour remplir le cadre.
,
que celles auxquelles r.\llemagae défait resti l'Knlente
breuses
el les Croates, au lieu de tigurei véritable a été .\L Henri
béserts — le
tuer la Beli^ique.
parmi les plus farouches adversaires des Irou bien digne Irés.trier de ces glorieux mulih
Les dimensions habituelles -d'une fnfai
Le mariage d'un militaire avec une fem
Abordant les revendications de l'Italie, le pus italiennes, auraient sans doute adopté l'at qui se graiidisserit encore par leur courace mo mère <riin ou plusieurs enfants m rie sont de 1 m. 80 4 « m. 30 k l ' i n t é r i e n r / e l
comte Czernin disait simplement que certaine: titudc passive des Tchèques. Autant dire qui au travail. — Parmi ceux .(ui se sont adr." pourra donner droit aux avantages prévus 1 m. 80 de hauteur. Lee plantatlcms de p o M
offres avaient été faites avant la (fucrre el que non seulement les Austro-Allemands ne se sés a l'œuvre environ vinu-t-cinq lui doivent pour les pères de familles nombreuses s'U mes de terre se font par oowsbes 8«ipar4
ces oUres éUlent aujourd'hui retirées. Quanti raient pas à Udiae, mais que les Italo-Serbes lin apprenhssage complet de cordonnier-sa u d e contracté pbstérieureinent à la date ; posées.
la population d'oripine sltve de l Aulriche, le occuperaient vraisemblablement Lajbach, Tri botier-jardiiiier. luus métiers de campagne laquelle to mesure envisagée a été près
Si ies parois sont eo'planobes, iLfkakstCV
discours du comte Czernio se contentait de dé este, Zagreb lAgram) et Serajevo. Et la mo el qui les y ont ii.vés. Wusieui-s, une '
•nie :
nager un interralle de 6 cm. pour le
clarer poliment au président Wilsou et aui narchie danubienne n'aurait pu résister à un en possession de leur métier, se sont fois
11 février 1915. — Libération des pères de sage des germes e l d i » tiges. X a pt
autres que c'était une affaire qui ne les re^af pareil assaut.
couche de terre, de 13 cm. de haïUe.
nés. Cliacim est dirigé avec le,souri .1. ma.
IX enfants.
dait pas ! I l n'y avait p,n une seule question
_
Si pradoxal que cela paraisse aujour intérêts sans se placer au point de î ses
21 octobre 1015. — Affectation à l'arrière divisée en carrés de 90 cm de edté;
précise à laquelle le comte Czernin n'oppusàt d'hui. l'Italie, en l:d3,' hypnotisée par les Iroil d'œuvre qui veut, coilte que c. vu
'"S père» lie cinq enfants et veufs pères de divLslon se fait à lô cm. de <n«rt«njy
son rafus. on ne peut pins categgrique de dis querelles de races de l'Islrie el do la Dalniat
oùtc '!u.ilre. Airectation aux emplois les moins paroi, espace que l'on remplba de t s M
faire
entrer
dan
^ cadres,
cuter toutes les conditions qui pourraient être
poses (le leur unité des pères de quatre après. Les tubercules sont ensuite- nianiv»
Les-ai est fait 1 yalement avec iiitelli
considérées comme coadiUons possibles di soigneusement avivées par le licuverne.-nonl
au croiseoient des carrés et sont r n a o S î ^ S ï
de Vienne, l'Italie disons-uous, considérait qi
gence; souhaitons qi 'en profilent pl s nom- -nfa Is et veufs pères de ITO
paix. !)
29 juillet 19i7. — .Mobilisation à là terre de 3 cm. S de fumier. On arrosa, p t i t o l F
son plus grand ennemi était le atavisme, en breux ceux à qui i l pourra rendre .service,
dessus vient de nouveau uue aùUMe de
•les
agriculteurs
H.
A.
T.
pères
de
cinq
en
caressant
l'espoir
d'une
prociiaine
réconci
ceux
en
particulier
qui trouveraient dans
Sur la dernière conférence interalliée
re de 15 cm. e l ainsi de suite. lusqu'è- M
ou moins long, ii Penanrun. lants ou veufs avec quatre.
de Versailles. le premier ministre, tout en liation avec le germanisme, en vue de combat un séjour, pl
que le las ait atteint U hauteur d a T a i J i j H
tre
l'adversaire
commun.
El
l'Italie
de
1'
«
é.
10
août
1517.
—
Affectation
des
pères
de
un
iiitennéd'
iislructif et réconfortant
se refu.sai;t à f o u r n i r des renseisnenients
Pour
en commençant que l a ••<«
quatre enfants et veufs avec Irois enfant re oeempêcher
détaillés au sujet des décisions prises, a goîsme sacré n combattait par avance toute entre l'ambulani e et le retour ; la terre,
sorte par les fentes de l a p a r g l A M '
a
l'arrière
on
aux
emplois
non
combatlanls
tentative
des
Vou?oSlaves
de
réaliser
leurs
iait les déclarations suivantes dont i l nésf
Un ami de mutilés.
les
obstrue
avec
de la vieiUe paille o a ' 3
des formations territoriales suivant qu'ils foin.
aspirations nationales, et prenait résolument
pas besoin de souligner ie vif intérêt :
.y^.
appartiennent aux classes ISCe et plus ancontre eux, la défense de la monarchie de^
<I 11 eat vrai qu'après la eonféreoce Je Kapallo. Habsbourg. Ceux qui sont informés, ou même
ciennes ou aux classes 1903 et plus jeunes.
Une fois que la quatrième couette. 4 B t
un conseil internationalaétéd'abordconstitué; ceux qui ont lu ces derniers temps les coura
prête, on place un loiuron de 10 « t t . j
mais i l n'était pas daus nos ialentlons d'Inves. geux articles proserbes publiés par les jourLes pères de iiuatre
enfants diamètre c l de I m. de locg eo t c M a i k
tir ce conttil de pouvoirs exécutifs. Depui», la
las. l'une des extrémités décaaant
X italiens, notamment par le l ornere
Les pères de quatre enfants coiitinuenl i .30 cm. à l'extérieur de la paroi. Ce
silualioo a été entièrement modillée : la Rus dciUi Sera, tirent que nous n'exagérons pas. r
ippartenir à ia classe de mobilisation à la- sert i régler l'humidité du^as. An î
lie s'est retirée de la guerre ; un nombre très
î^e grand organe de la presse milanaise,
aux
panslonanires luelle lis ont été raitacliés au moment de trois semaines on le sort, et, avec
considérable de divisions allemandes ont élé q u i [ut dés ia première lieure l'un dos plus Avanças
la naissance de leur quatrième enfant,
romences du front oriental vers l'ouest. I.a si lldèles amis de l'Entente, a mené en effet
Depuis le 1 " janvier, les pensionnaireb de mais ceux qui se trouvent dans les unités un peut s'assurer du degct d*,
tuation dans l'ouest a été rendue bien plus
pour savoir si éventuelleiiuiit un _
l'Etat peuvent recevoir dans tous les bumbaitantes seront affectés i des imités est nécessaire. Le pieu est e s s i i l t s '
menaçante, et le but de la conférence de eu CCS derniers mois une courageu.sccam- reaux ue poste et élahlisseinents de facagiie contre ces visées impérialistes. Les
territoriales dans des emplois non combat- en place e l l'essai se r i o ^ e de '
Versailles a été de discuter les mesures qui
leur-receveur.
sur
le
trimestre
en
courde
nou9 permettraient de faire face i cette mena- articles d u Coi riere ont eu. on Italie et à leur pension civile ou militaire, de- avance lauts s;ds appartiennent, par leur entrée autre.
• ,
ce au cours de l'année I91S. .Malgré les promes- I ctran^er. u n puissant retentissement. Et leprésentanl les arrérages courus d'uu oi au service, aux classes 1903 el plus jeiinei.
L'arrosage se fait louloors par le t V i L
el il des formations d... l'arrière si ces etas- Pour
faites par les Allemands aux Russes que, il est permis déspérer que les hommes lie deux mois.
éviter l'érosion, la dernière ooucbeirti
durant l'armislicc. les troupes ne seraient pas d'I'ytat de la Consulta renonceront à des Après avoir demandé une fois pour ton se» sont celles de 1902 ou plus anciennes.
n peu coocave, rhumidlté v reste a l e i * M
IraD'portéeî de l'Kst vers I Ouesl,des troupes ont mesures q u i , si elles étaient exécutées,
se
communique
à toute ta 'stutaee ét
u
moyen
dune
formule
remplie
au
ImpAts
des
propriétaires
ete transpcrté's aussi rapidement que les mo- contiemlraient le germe de nouvelles i!Uiehet du bureau de po
pèche la formation d'une erotlle. En cas d s
que le pave
non payés
uerres.
.<ens de Ir.iP'port le permettaient
sécheresse extrême on peut aussi a m U B
t de sa pension soit as
lé sur ce bu
S'il est dû un propriétaire des lovers ou les cotés.
Le dernier discours de M. Orlando sem- reau- le pensionnaire obti nt de avance:
1 elle était la situation à laquelle nous aviens
ble n'.ar.iiier un pas fait dans celte direc- mensuelles sur la présent ti.m de son ti- ferma .'S qui ne lui sont pas paviis' i raiA la récolle, on enlève les parois e i t s U i
i taire fa.-e i Versailles
s..n
du' mo.-.itoriiim des loyers ou'de la nio- dégringole, terre el t i i b e r t u ^ . t » t e m
tion
-Mais
les
déclarations
di.
présidentdu
Ire et justitlcation de soii dentité.
Jcsnu ii'i il n'.v î pas eud alta.iue de la part
Sur le montant d - chaque ivancc. il est bilisatic >n du femiier ce propriétaire peut peut ^étre mise en réserve pour l'wData
de.» Allemands contre les Kroni;.iis ot lesAu- Conseil prO.'ienteiit encoje un certain tlct
sa demande et en fournissant les justi(laif qui n ait en somini> p'i être liquidée par t e n i c n t c t n'ont pas toute la précision que letenu pour intérêts et frais une cominis- sur
sion fixée uniformément ù 1 i . quelle ([ue lic-jit...n s nécessaires, oblenir une sii^pen••s réserves de chacune des dous ariiiéis .Mais l'on serait eu droit de d t s i i o r
sion
de paii-ni-iil .ie .-es iinp'iis. prop.jrlionP-'^i.
Certains craindront
feut-étre de
soit la durée de l'avance. IBS toutef.iis
la siluatioi est ma tf ..ant complètemcul
i)uc cetie commission puit ; èli-e infé- neUe à hi perte temporaire de revenus qu'il coller qve des tiges, lin tout càg U tUS
ltannée cl I représent;
lOS à Versailles
a
subie
contera
pas
beaucoup
d'essayer.
rieure
à
0
fr.
50.
soDt en (Il ence dune •
tion telle qu'il
être nécessi ire que toutes les
pourrait bi
Las restrictions.
— Sanctions.
lées
alliées,
fi
fcrces des a
icaises. britaniii
P.-ir décret du l•^ février, le minisire du
B O I T E .MJX L E T T R E S
ques, ilali nés el américa s, soient prêtes,
Los iatéressjnlcs diicussions qui vien- Havil llement a prescrit de nouvelle» re^sur le point où l'attaque se déclanchera
Iricti;
t d'avo:r lieu à 1j Cliambre, i prof
Il t s l essentiel de prendre les dispositions
Un ïbenné Pl... — v.iiis ii'av.v. pas le
F.n Cl qui concerne le pain, peu de chan- droit de i-e.ler dans v.iire ferme jusqu'à U
in.ililiS, raniéuciil t'ailcnlion sor ce
persiellaDt aux Alliéa de traiter leurs alliés
•ment La fabrication . t la vente du ré- lin de la giierr.' ; mais vous pouvez au
les c i l l r lique;- — qui ne se paient pas
ccnime une seule armée pour faire face au
lit
pair el (iu pain de fantaisie sont n - r - !U..ins y .Jenieiii-er jusqu'au ni^is de s.-pde
promesses
creuses,
mais
mots
et
diiiger. et comme résultat de la conférence
;s. oais seuieni ' n l tant que la bouVtii- tenilir»'.
Croix d* gutrr*
eur argent c l leur dévouement. —
I unanimité absolue a éti^ réalisf<e II n'.v a p3:<
•f:iTOés
<lf
faire
pour
lef
cultivalit
i?erie
e:^t pourvue de [ijin de cons.iminaeu la muindre divergence d'avis sur "aucune
r . B. Flou.. — Le i - j - que m.iis nous -oiiLA.NDED.\. — Carats, Jean, d u 169* d'iq'l,!és du F:iiii.|.''re. 11 ne faul pa
ion c"iuraiite. f.orsqiie la boulangerie ne m.-lt..'7. ..'.si extr.'niemenl iiitéiessanl. SeuleCt> décisions qui ont été prises ii.
er.i p„ ; approvisionnée en pain de eon- IIIHIII li s tenues .lu moratoriiim des m.ibili- fanterie: •. Soldat brave el dévoué. L e I B
li'.^nipi r : les diftlciill'.'S sont très «ra
janvier 1918, faisant partie d'une soiOldB
Cvs jours derniers. .M Llovd George e«t des cl :cs résultais i i j -ont p.
or. ominat -in coiiraiile. l'iieh'teur pourra exis - m t teiiem»ni généraux que nous peii- d'assaul très éprouvée par un t i r d'eoglM
revenu sur ce» declaraUons, avec quelques Il ••11 de l'( ffort. Telle e.^l l'opinion Set
r qii.- le petit pain et le piin long soient
ms
.(lie
vous
ne
poiivex
rien
faire.
•le gros calibre, s'est néanmoins porté rtîi»
touvelles précisions.
\-ndus au poids el au prix du paiu de con
ceu ï qui. en l'rance, se sont o « upi
Une lectrice. — Si les héritiers d'une per- lOment à l'assaut d'une position «tmentla
•.oiiiuiation c.'i.r.iiite.
l ' u i ivre, > i néces-^iire. du maint! ;n
sonne qui a fait un bail sonl mobilisés, ils en dépit de la violence du barrage d ' a r M *
lerr des euitivaleurs niulil.'s.
l.es PATISSERIES, CONFISERIES et BIS iouisseiil .les avaulau-.-s du moratorium.
lerie. A parfaitement accompli sa missItA.
ITALIE
.M. Soiicfioii. donl on sait le rôle prép .n- CUITERIES sort A peu i,r*s siippnuuVC. G. F. H. L. — 11 faudra appeler votre détruisant des engins ennemis «t capturaM
A l'une dos deinicre.s séances de la d.:rant à la Kédération nationale, le rec^nl'iitre l'jnterdict m pronom
r 1 11! prjpriélaire devant le tribunal arbitral des prisonniers. »
Ciiambre italienne, lecture a été donnée
acuère
(llél'orme
sociale
du
10
oecle 2 .le U loi du a;> a M i l l'.MO ifeinolOM !• .111,111.t il fonctionnera.
lit
par un dcputc d u traité signé le lu avril lobre; d il- un rapport pleiu de frdiiclii.S". du froiiierd. de la
PLOUOAR. Malgora, Françols-Msr*t
I pa^ii p.iur
J. M. — Vous devez bien penser que nous
I tl.» entre la France, la Giande-Urclosne. Il notait jusiement. qu'il est relativemenl l'alimeiiUilion tlu I farin- .ui .n•s
ehevjux. n'avons pas les éléments nécessaires pour du ab* d infanterie : • Soldat courageux S
! Italie et la Russie. La plupart des siipii- rare de i ur 1111 ouvrier agricole désir.'r res- .'Inès et mulets, il i bétail el ili ililis.T
plein
d'entrain,
s'est
fait remarquer pendatt
pour repondre li votre question. Adressez-vous
latioiis qui y sont contenues étaient déjà ter culti L'r la terre. I l y a cependant des l'ahiiientalion de i-sl inter.iit .J'i.niinaux:
l'.-.xéciillon d'un coup de n a i n le SS j a n v i w
1'
to.uhécs dans ie domaine pubiic. -Mais
; et -M. S<juchoii raeonlait :
1918. par son ardeur et son ealraio. » ( f
le froiii'.'iit en gr.iitous autres i la mouture, au corps auquel vous apparteniez.
.ejiliotv
l
V. J. — .Nous en doutons, à moins que citation.)
c'est cependant la preiiiiere divulgation
dernièrenient arriver i l'Iiôpita! •Iii il soit pur ..u ins
^
11 pr..i,re i. iitn.'s eéréada
vous puissiez établir que vos enfants ne
q u i soit faite d u te.vte lui-même.
m hoiiiiiie qui avait une blessure épou\an. ies: 2* la farine deliélalig.* ità propre
1>LUUV0R.N. — Le Oacn, Coreatlo, d o i l *
ù la i » - sonl pas en état de subvenir à vos besoins
froiiie
aille,
line
(les
plus
épouvantableque
j'ai
l'Jn résumé, l'Italie devait obtenir, par
iiillcati..ii. ainsi qu
li'arliUerie
:.
,
Téléphoniste Irès calma j j t ^
t'ine des succéda
celte convention. le l'reotin. l'riif.ste d riie.s dan» la guerre, yuand J» »uis vruu (le» d.jiil le méiaiiji I» fa Iturisé pour la fa- .;t que l'un ou l autre de vos petits-ills mo
est ui
bihses était voir» soutien isdispensabli;. ,
(Lire ia suite a la
Avis ii Rmeigaentii
La rééiucalion apois des Miiliies
Livre d'OrduFinistàt»
n n IkllBl «ox d«ux Tauriens avouer qu'ils
• T i l M t pria des bouteilles dans la cave de M.
BMdra*.pbannaelen raadeSlam Ils en avaient
ka IteoDlma eo compagnie d'un camarade de
d * l M r Iff*. qaf, comme eux, a «le déféré au
maitre canonniei n permission. 5 rue de la
.MOISI
Porte, a Recouvrance Pierre Tersis lel. monteur é'eotricien, elJo= :p!i Hourtiis. luanteuvre, Indélicats demenageurs — Mme deç
tous d v u i employés < la pyrotechnie de Saint Jars de Tonauédef avnii demandé le concours
.Niooltts. et domicilié a Saint-i'ierre-QulIbl es Jeunes JCKaden et l.eiov, tous d r u i
Ifc ans. l'Our iiu deména^èment. Au c
i?uoii
leur trav.ill. ces i."ainins trouvèrent u
Les deuxlinilitalres sont recherches
• Cambriolage. — Mme nreon^r. mi'usgtre.
malu con!ei!.int IA».» franc?, dont i l
»0a Massillon. S . svalt enfermé S03 Ir. dsns
Portsjil
enl. Avec col f.rprni ils tlrfiit la
la tiroir d'une armoire. Pendant une courie
T o u c h a n t e cérémonie, ~ Samedi 2S
«t
surlendemain, ils turenl ai
' abseaca, cet srrant l u i a été volé par un :u- vrier. le personnel dr l'usine de rortsal a i
Il 40 trniics ! Il rst vrai qtl'
«MBO que la police recherche
portèrent 3X1' friuc? ^ Miiie i)
^rcvisé une reception t-3ul intime en l'hi
ur du patron. M Artii r Carof, caiiifeiine L'opî^in? n'en «nt pa« inoms e
Lambéacllec
d'artillerie, «u front depoi.- li)14 et récemment
C ' e t t l a g u e r r s ! — Samedi, ver» ï l h-u- lail cnei.ilier de la L-u-iod d'honneur lievan
raa dent soldats étrangers faisaient irruplion des îrophfrft.» de drapenui cl des KuirlMide* d
ona épicerie de la rue Maren^o. et tandis Deurs i|u ou elet» tulnement dè? que t on su>
« • • l ' u o d'aui menaçait le personnu <i un l'arrivée rtu nouïfa'i léirimmaire ^tlm-ci !or
[ «arolver, l'autre femparait d'uue bouteille ds chaleureusement tulicite par M Otiisr: mpenieai. et le» doyens des outrierç 1.» capllaine
thara
bans la ma, il* sa livrèrent à de; eicetrl C:arot. eo proi» 4 uua vive c4iicîion. renier' ii
de
cette manifestation el ni l'êlo;e de l>nil3
eités. tirant de nombreux coups de revolver
Cast ce gui les perdit. Attirée par le tiruil des ran» el de la Tainanue r.relounes qu'il n sppria
a apprérie: o» plu» en plus deaais le dé
détODatious, uns palroulllc arriTh peut les
hul de la guerre. Huis on l^va le? verres à 1
irrtUr.
Krance et « la vietoira !
Laïupaul-PIoiiar/el
Bol aiemple d'union » méditer dans les c
N a u f r a g e . — l'ne «atiarrc, Charttt i)« constance? on non? vivons
«hie, at moDtéa par deux marins et un mousse,
-Saint-Môeti
accolé * l'entrée du poulet en «ediriseaut sur
M o r t de M ie R e c t e u r — Nam app
Brasi. Le» trois hommes furent nojra* I.e ca- lions la moi: de M. l'abhc
davre dn mousse, nommé Lucas, et ksé de i!ace<i« lundi dernier, i
15 an», fut découvert le loar même et conduit ib ans
è Brest. Grtca aux lantetirs de notre adminis
Né à l'iouîastel .Oaoulas,
tntiOD paperassière, ce n'est qu'au bout de t«t«V U. Le f.ail avait été i
trois Jours qua les parents purent obtenir •« irai? « Briee, pul? au.môr
mtps do lenrenlant.
-Saim-Herr» d»n? sa (laro
d'ôlre nommé recteur de ^
Le F o l g o a t
La nouvelle charge qu'(
I I * l O m a r s , p è l e r i n a g e des jenaes nn peu lourtf: pour UTio s nié aus
soldats de l a classe 1 9 , au sanctuaire ds quB h. sienne A lo
rce cl'enereie
Notre-Dame dn Folcoat. sous la présidence og jusqu'à la lUi (lu mm• 'ternler. I l .ti
S» Grandeur Monseigneur Dupjrc.
hlors aux lions oltlces (tes prf.fe?.scu
lège, ne pouTanl l i -même célebrt'i
HORAIRE
à 10 b 1/!. erand'messe, sermon breton par .Messe 11 r^çul l'KxtrSi
n . Fabb* Moinner , de 1 b. & î h., adoration Il reçut encore le Sami Vjc
ÏV. et s'éteisnit le leudemai
è S b , vêpres, allocution de Monseigneur.
i»«to ! • Par faveur spéciale de .Monsei- ont eu lieu icudiSS.
(oaur. las jeunes cens de la classe t'J rempliM. I.e G,111 sera très reprettè,
ront leur davoir pascal psr la Communion où sa douceur et son oblige,ince
« i l l t ferOBt ce jour-U :
quis tous les cœurs
Les parants .sont invités à accompagner
-Mirie I.e .Moit
Sainl-l'ierre-Quilbiîïnon
Mars Hnaas cens.
rendue à Uuiii
M a u v a i s m a r i , m a u v a i s père. .Mme diciil Knsuite
Le Kelecq-Kerhuon
navid, habitnnl ruarteUresi, a connu des jour.s pitie. .Mme C.
heureux, a m et aijré
VanrieBS. — Lo î l
1 inaria;,'e
uener a son
Le mari,
trois civils et deux militaires, arrivaicut lonstemps lo ut a chai
Ijour? do Ctuli
maître de 1
pi lhabitiidfi
à Karbaoo. où ils se mirent i. faire Ja Irte.
jouis
soit, plissa li
QS SU solde comnirt çoii
Mais i l ne leur suffisait pas de boire, l'our piller en Lo
d'.itiOT.i ctiez .Mme
t etsesallocations (>oui
•>Dtr à mancer, ils se présentèrent d'ahord uitcdeloge
docteur
Le Ho:
ehoa Mme vanve Le Cap, marchande 4e lécu- de famille.
cliM .Mme Guillou.
L^ mère, losa ul dévoiler sa detresse
IDOS, qui lour flt observer qu'elle ne tenait pas
un mati
leslaarant. Las chenapans remplirent leurs renferma cb elle! avec SCS quatre jeunes
Iio lizlaM.s, r a i liei
Elles ne sortait plu? que pour lairn
foobaa de sar^iaes pressées ; puis ils g'esqui- fai
ho p r o abaoui! i '
co rses indispensables.
viroBt sans pajer, bien entendu.
Dre ze. an oll .liid
Toute la maisonnée serait morts d'inanition
- Ils 30 ran41reni ensnlto chei Mme veuve Le
D é p a r l e m e n t a u x ilisk.-nii-bmizi-llou,
ftalon, boulangère et débiUnte. Snr le refus si sa triste situation u avait ounn été connue.
Soei»'^»- a n o i i r i n e
cale,
0 lieu;', intciu
Des personnes charitables, entre autres .M
de «atte personne dà leur servir de l'alcool, ils
p i t a l d i - I -.ioU.IKiO frau<-s
uir d or .spéc.ia
doTiarent fnrienx et menacèrent de tout briser. (Juinquis, tjoulangêro, se sont empressées di
A EllOlAKil.
Ilïso contantirent de vider quelques bouteilles réunir !e nécessaire, on attenoant que le mar A V I S A U X A C T I O N N A I R E S
au r e p a s d u s o i r
ris. a rilio Uu;a
«•"bière, puis ils sortirent comme ils étaient soit mis en demeure do remplir son deroir MM. les actionnaires
es sont convoqués en
KeiniierlC-, i!ii ul 10 mcur?
de père de famille.
n a n i ; on emportant nn pain.
semblée générale ordi laire. le jeudi 2S m,-irs
mcrcr.
Au dtblt de M Jacques Paillier ils prirent
de l'après-midi. I.audo.rne. l i n
l'.llS. a dcu-ï lieures el
ir.tel ric l'I.'nivors.
daox bouteilles de v i n dans les casiers: mais
Loqiieffret
au sièue soc,
des chemins île fer dépa
H.-»»teIlin. moi
.'. h.Mtel (ir.^nd'MaisoTi
^ a d le patron réclama son dû, i l reçut paur
Ce n é t a i t p o u r t a n t pas n n boclie — teiueuîaui n rest
. K e m p e i - , mort•'hoi l.'^. IKMoI <IC I Kiié.-.
laate répenso des coups de poing. !\l. l'oillier Le soldai JalTré. en permission à Lanntdern.
Ordre'lu }0:ir :
l ' o n t II . t h a d . I;i 1 l i. h. <lii Lioi.-ir.)r
dut, se réfnriar dans l'arrière-houllque. Les passant sur la route arec un lusll, s'amusa à 1- Forinali.n di:
di: bureau
bureau et
et constitution de M o n ( r » i i l i - 7 . . u'w ler t:., l i ô t f l Iftr/.ollp.
isreeaéa en profitèrent pour s'emparer de plu- épauler son arme dans la direction d'un ptlit issembtpe ;
.sadorn 16 mcur.'s. lin
carçon qui gardait une vache dans un champ. 2 liapport du conseil d'administration sur L<>liniiru.-tn:i.c<>
s i e m bantellles de liqueurs.
tel (Ic.si \ ov;i!roii
8 4 , B o n i ' P o r t - R o y a l , P A R I S et t(aU:riii"
Vers t5 heores. les trois civils s ' battaient Le Kossc effrayé se mit a crier Cela amusait l'eiercice 1317 ;
B r e s t , siil i? mr,ur<. liôt. de Franco.
sur la place dn bour? du Relecq. M . lo .Maire JaSré qui pressa la délente, ne siichant pas. 3 Rapport di ? commissaires :
1^
Troi.« Pilier.*;.
losJlt condnire an violen. Pour essayer de aiDrma-t i l , que le fusil èlait chargé Le coup 4 Approiiati. Ides comptes de l'exercice i g i l I . c s n e v e i i , luii 1,S. l l n t .
• I m p r i m e r i <lu
iirc^
K a s t c l - I ' a o l . mfur.s l!>. hOtcl Mc.^(•z
partit et quelques plombs atteiginrent le petit n .Nomintilio
O a b i i r , ils démolirent le plafond du local.
1 des commissaires pour l'eier l . a n d i i i < i i u . luorclicr îii, li. i l i i (;ommerco.
•islhre,
rue i
Ce sont: Etienne Bais, S3 ans, quartier- pâtre, sans lui laire grand mal heureusement cice t'Jlii.
C e i u t u r i - s •nédic.-iie.t
KDOUARIl
l.c g- Ti
Chemins lie
donne un résultat
le lendemain ma
Shasse 12 biieeiPurijîe le sang
S t n d e d e M ' GOSSOTl
110lîtude de fou M- i l a v i d , 110-1 Ktude (le -M- G e f f r o v , nutain
Etii le de M- . l a n . iiot.iire
taire à Bcrven-Plotizét'cdé
volontaircà Plouiliry
I
:'. l'ioufsoat
IJré.-rt. 50, rue Siam
r o lon- taire. en l'étude e t par le m i
à l'amiable,
o Ion
I taire,
nistére de -M- L e Corre, no
- _ commune de
_
_
_
tair
• a n c h e taire à Lesneven, le m a r d i
j i.':r!i.-\rdi f.> m a r s
i O l f i P l o i t p r a r . canton de l'ioues1 9 1 8 , à 2 heures, 12 mars l î M S , à une heure
I j r u f i i | / i m . - i r K l î i H : . à ? h.,lu -J heures, en l'élude et par le cat, la m é t a i r i e d e K e r c o a e n cinq lots, de d i v e r s i m Preriiierement.
— En la
1 l'étuilo <lc fou .M* David. 'mim.stère de M - Cudcnncc «lou, couteii.mt environ 40
B M a b l e s . situés à Savin et commune de P l o n n é v e n t c r ,
D'une p r o p r i é t é r u r a l e , suijpléant.
liei tarcs. Louée aux époux
Pont-ar-Barrès, e n P l o a z é - la f e r m e d e L ' o ^ f o u r n . con.Mi.iifort, 0)0 f r . l'an, plus les
située a u liour;; de l . a .1!ar« é d é . S u r l a mise i p r i x t o - tenant prés de 10 hect.ires.
En P l o u c s c a t
imjiôts
et une commission de
t y r e . contenant t> Ii. 'ÎG a. -.'7 c. PreiAier lot. — A Roc-'h
tale de 1 3 . 9 8 0 f r .
•louissancc a u 2a septembre
l.i:w)
fr.
Louée
à
.Mme
T
r
i
j
c
n
t
,
j
u
s
6es immeubles sont loués, 1918, même avant.
i'Iat. i!n o l i a i n p torro laboii
liurifi hag a i a o u a n k a l qu'au
r'acilités
de paiement.
>9 septc.ubrc 101", r.iblc. n- l(;li. socfio» C. con
iosqu'au 29 septembre 1920,
Mise à p r i x • 1 .-î.OOO Ir.
I
ar t . o a d . A bare : k a l e d i z e z )
partie à veuve Berder, d u
Deuxièmement. — A u b o u r i ;
kol t i e t i r o n , r e m m . A netta [ moyennant 4'iii f r . l'.nn ot ap- tenant 40 ares, libre de loca
parteiiaiit â Mme îîaiîiioti, (lu lion. Mise à p r i x : 3 . 0 0 0 f r . Ktude de .M* F o r ^ r e o f , no•Boulin d e Goat-ar-Gars e t de P l o a i d e r , m a i s o n et deux!
ar ! i t » m o k . ur b r o n c l i . an
t.iire à iîrc.st
p ^ e a Salez, f o i g e r o n à crèches neuves, puis jardin, i
a o u , au d i o u - ^ r o a z c l . .Mad | Vcr^raon. en Sizur.
rjruxU-me loi. — Prés la
-Mise à pri.v : « . 0 0 0 f r .
Paat-ar-Barrès.
•louissancc immédiate.
i
dreist evit klenvejou a r . M e r gare, u n b e a u t e r r a i n à bâtir
P L A C EJ> E J Î REST
Mise à p r i x : 2 . 0 0 0 fr.
€;'hcd liag an n e r v e n n o t i «li
ferme de
Pour tous renseienements.
ayant l.S mètres de façade e
„ ,
^
rcizet.(lîim allapotikerezed).
K e i c u i l t o i i , en la comiiiuno
eansolter les afBches e t s'a- S'adresser andlt K ' Le ,
Dépût commun des 19-. 21S' et 40 mètres de profondeur.
de i ' i n u l d c ! - , louée jusqu'au
dresser à M* Keraéis, avoué Corre.
Mise
à
p
r
i
x
:
:{.000
f
r
.
,..1 i'"'.r
h Ir. — Evit kaout ar pare, i, bu87* t c r i i t o r i a l d'infanterie
à M o r l ^ e t i H * Goasguen,
Pour tous renseignements -•9 septembre 1324, ù des conI •^l'!?^!
dre ar post.
sorts Abaléa, 1.200 f r . l'an,
MtalFe vendeur.
BRELAiVD, p h a r m a c i e n , L Y O X , r u e . \ n ! o i n c t l e
tiATAILLON
» E 1>LACE «'adresser à l'étude.
Etude de feu M - S o n b i e a u ,
inipOts et charges. Contenotaire à Lesneven
nance : 16 h. 2i a."76 cent.
kTis
d'adjudication
E t u d e de M - K c m é l s , avoué M? F a r g r e e t , notaire à Brest I *iil«ir»r«IiiJala!imirc'hjlidnmo!i : 1 fr.3 0 ; dn irpal 1 Ir. 6 0 I
Etudes
de
.MG
u
i
l
l
o
n
.
notaire
a aaoru
à
Uorlaix
gérant
L a commission des ordi- à PIounévez-Lochrist e t df .Maileiiioiselle E l i s a K E R - Ilatation judi
vo 1 on
naires fait savoir que les ad- -M* B e l l e c , notaire à-Landi- B I U I O U . 13. r u e d e P a r i s ,
'
e n l'étude et
t.iiro, le
ijudications de v i a n d e f r a î - visiau.
I de M ' Goas
l.a:iibozeIlec Cau-dessus de
t
f
m
a
r
s
f
u
i
s
,
a,:
Heures.
'
c h e , é p i c e r i e e t !<•—âmes
« M O , notaire à Berven-Plou
l'octroi), prévient sa n o m celles d r
v e r t . * , p o u r le deuxième t r i l l i i é d é , l e tandi 1 1 m a r s t eDr ri ve eir sKeesr \ epna, r en
breuse clientèle qu'ciîe a r e P
I
o
u
i
l
:
i
mestre 1918, auront lieu, can« • M , une heure e t demie de n i e l ;
ç u ses a r t i c l e s d e c o m tonnement d u Pctit-Couvent 7 m a r s <918, à 2 heures.
l'aprn-midL
m u n i o n à des prix déliant
1 " lof. — C b a m n de 92 ares
(Champ de liatailk-;, !e v e n - De îa f e r m e d e K e r v é - toute coDCunence.
Roz - M i l i n - Menez, en
W c e n t Loué à 'Tanguy, 110
d r e d i l a m a r s , à 10 heures. s n e n - a r - G r o s s , en L a n Grand choix de tissus. Haute
P o u r tous renséifcnemenb b o u a m c a u .
Plounévez et ourasuté el fantaisie.
'Premier lot. — U nI pprréé dit francs l'an.
Mise à p r i x : 2 . S 0 0 f r .
sur les pièces à prcKluirc et Plouidcr, comprenant maison
Lost-Len, I h . 20 a
a. Affermée
t " lot. — C b a a p de b:( ares
consulter les cahiers des char-!Çt logements sou->: ardoise-sen
à S r a l l . 120 f r . l'an.
à céder, pour
80 c. Loué â Picard, 83fr. l'an.
ge-=, s'adresser â la commis- bon état, terres et prairies,
Mlae à p r i x : 3 , 0 0 0 fr.
cause de santé.
Mise à p r i x
l . « o t l fr.
d'une contenance totale de loPrix modéré, S'adresser a u
sion.
tJemàeme lot. — 3 p i è c e s
I l y a une foule de mallicurcu.tc.'î
3'
lot.
—
C
h
a
m
p
de
1
hect.
hect. SO are.s 6> c e n t Louée
d e t e r r e , partie sous labour
q u i -souffrent en silencer-t .sans oser
Etuiips de M ' Paul . M o r e l iverbalement à Pierre Peu j o u r n a l .
e t partie sous lande, 1 h. 24 a. 18 ares 63 cent. Loué à Los.«^e plaindre, d.nns la crainte d u r e
avoué-licencié à Quimper et ' - a m , 6.V) fr. l'an et les i m p ô t s
P i n s o n ancien t e r r a i n vaj^ue; sec, 80 Ir. et impôts.
opération
toujours
ilanpéreuse.
soudo i ! ' O n e ï n n c r , notaire à Mise à p r i x : 16.000 f r .
Mise à p r i v : i./kOO f r .
l e t o u t aflermê à Guillerm
vent inefficace. O s o n t l e * f e m Pont-l'Abbé.
4 ' l o t . — C h a m p de GG ares
m e s a l t e i n l c n d e m<-trï<eM f r . ran.
y r i l T r par lieital:.,n, en U
6G
cent.
L
o
u
é
à
Lossec,
60
f
r
.
imédecin'Dentiate
I C s e 4 p r i x : 1.800 fr.
Celles-ci
ont
commencé
par-souî"
C
i l I t mairie de Font- Etude de M* I - e C o r r e , noDe la Faculté
-le
Paris
Troisième lot. — K n p r é d i t l'an et impôts.
taire à Lesneven
f r i r au moment des résles q u i étaient
l*.\bbé. le l o n d î i H m a r s
-Mise
â
p
r
i
x
:
1
.
0
0
0
f
r
.
Cœltiti=jt:3lajj3rjd!31i.
i Th.
ffcat-Braa. 38 ares. Affermé
i.nsuftisantcs outropabondanlc.s.î.os
( 1 9 1 8 . à !3 iicures.
Eiltw
ta
psTtnit
ô
'
I
o
t
.
—
C
h
a
m
p
de
I
Iiect.
itKrmnchn rr^ptit}
ten, 60 f r . l'an,
- i - . — p e t e s blanches et les hémorrai-ii>s
En les commijîîrs de P i o 22 ares 26 cent. Loué à Lossec
prix : l.iîOOfr.
les ontepuis..-eç.hlksontétc sujettesauxmau.xdesExtraajODSSzns
doale-jr
route
de
Brest
à
Lesiievep
b a n n a l c e et i l u ^ u i i v i n e c .
|
100 f r . l'an et i m p ô t s .
L'avoué poursuivant,
lomac. crampe.-^, aigreurs, vomissements, auv m i Dsjiticrs îsrMtis
sarbztnre
canton de I-ont-l'Abbé (Finis- pré.s gares, p r / . p r î é t é d o
Mi.se â p r i x : t.OOO f r .
i
s a i n e s , aux idées noires. Elle.s ont ressenti des
F. ^ R N E I S .
D.iszo::.-:E:< ES t i
maître avec terres, prairie.';,
tère).
6- loL — C h a m p de 1 hect.:
lancenient.s continuels dans I'- b.i.s-ventre et comme
<!),
m
e
c!e
l
a
:
t
lairie
taillis,
jardins,
arbres
e
t
ar?i lots d l m m c u l » l e s , com52 ares 60 cent. L o u é â baiou
u n poids eiiorr.oe q u i rendait la marche difficile .-t
Etude de H - K e r a é i s , avoué 220 f r . l'an.
<-rê<-iies '>u-stes l7S0environ). avec f a
BItESr
prenant
raaisui s
w n i b l e . l ' o u r .îiicrir l.i i n ë t r i t o . I.i feiiimc doit
i Horlaiz
làhouraJjles'
d'acquérir
deux
belles
c o u r t i l s et terre.'
En ÎJce lapIîCîliliî^fAiiîen-a
Mise à p r i x : S.SeO f r .
faire un usa-,-i! c i n s t a n t c : n-:.-ii!:(>r do
par licitation judi
fermes contîgui-s.
Total dés mises
prix
. ciaire, e n l a salle
I S'adres.ser pour \i<nler a u
IG.iOO f r
d e: llaammairie
a i r i t de Saint-Tliégon- Etudes de M - d e B o d e l I e c d n
, PoTir tous rrn.ef-ignemcnts l.gardc et pour rcnsf isnements
nec. p a r l e ministère de H ' Porzïc, notaire à St-Henan
[.consulter le cahier "tic> char ict traiter, audit M ' l.,e Corre
30 Mes a» Saceés
et de M* J a n , notaire i
Pouliquen, notaire à Saint
!ses et k s a.lichcs.
I Gnérlson sûre des
Bre.st.
Thégonnec.
i
P
E
u
n
l
i
menace
carton
posq u i fait circuler le sani-, <li;c.i:iï.-.-,Iiiiiiii.- Ir-.s „ t •-,
i'. ÎIOilEL.
Le i c n d i 7 nutr» 1 9 1 8 , à
V
^ o A V U n t.-.I W kik:s. '.'S I.-.;
lies et les cicatri.se, sans q u i l s'oit i.esoin de recouiBe heure de l'aprés-midl.
Rhnr.is c l I.iniirorK
..•^iliicate.
! r . fr.-înco -.-are.
r i r a une opération.
Premièrement. — C o m m u n e samedi u m a r s I U I 3 , â 14
Re].r'-st>!.!ai.t
â
la
rommi.!
Imand. d'av. c. ro.mh. 60 c. en
La J o i i v e o c e d e l a b b é S o n r y g u é r i t sûreBOYER-MtCHEL
j-io:i dcm.i!id(-. E r r . P. (;.ir; fplu.c. «•< h..V>c. RO.'.IAN, Char- Unim.eat
heures, en l'étude e t par le
H. FSSOS, ailTÊAL'ItOilX ItaOnf ment, mai» a la condition qu'elle sera emniovce
r eau. C.-iudéran, Bordeaux. jtrc:;x. ô7, .Marseille.
ministère de .M- d e Rorlellec
5 fr. t"" FbamacM Brwtiire r» .
sans interruption jusqu'à disr.ariUon c o m p l è t e ' . l e
d u P o r z i r , notaire à St-Kenan
toute douleur. 11 est bon de «aire chaque j o u r des
e t de commerce, c o m p r i s e n
En l a commnne d e L a n i l injections avec I Hygienitme des Damés ( I f r
la
q u a t r e lots.
dut, la ferme de Com-arboite,
ajouter O Ir. SO par boite pour 1 irapôtl.'
P
R M ACI K
Snr une mise a p n x totale .Mezon. contenant t h i s a.
Toute
femme
soucieuse
de
sa
sa,'.té
doit
e
m
deS.SMir.
ôOcent. Louée a JJ. Usuen
ployer
la
J
o
n
v
e
n
c
e
d
e
J
a
b
b
é
.<SourT
à
des
i
i
i
Deuxièmement.— 0 > m n t u n e 260 Ir. l'an.
=
'
tervalles retruliers, s i elle veut t-wlelr et - u é r i r
d e Satet-SaoTenr. au t e r L i b r e de location a u 29 sepm e t n t e , fibrâmes, mauvaises suites de couches'
r o i r de Kéréon, 4 c h a m p * tembre I91S.
Lauréat cte PAcadémie
de OSé iecine
tuiiicar.-,. cancers, varices, pidêbites, hémorroïdes.'
•erre labourable, compris é n
Mise à p r i x : 4 . 0 0 0 I r .
et"Ûflem'nt" e t ^ ' " " '
"peurs.
«natrelote.
^ .i TST
-E -li. TT
S'adresser p o u r tous rec'
A
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h
^
S
'
n
r
y
se
t
r
o
u
v
e
dans
S u r u s e mise à p r i x totale seigneraents, a .\l«de Rodelloc
AK
ROUE
DEUZ
A L LOUZESER :
tou.es I t s l'hirn:ac!es, .'. f r . ï . : le flacon ; 4 f i .
de S . 4 0 0 f r .
d u Porzic, notaire a St-Kefranco gare. Les i flacons 1 7 f r .
franco contre
Troitimament.
— Commu- n a a o u à M ' J a n , n o U i r e â
mandat-peste adresse Phar. M.-irs. D u m o n t i e r à
. M d e C a i m a U a a , 4 Kerber- Brest.
Rouen.
*
Ha c i r r n v a a d .
ober
•r'».^ll. <!.•» ncft.-îd = r 70.ia|
ttOB, p r a i r i e e t u t f i u a . c o m Ajonfer O fr.
par Hafon
p r l s ea deux lots,
IxmicTi ail ebeS ne dall hemaa evit parei an dofcen. ar semnbdur?^
Ou
? « r une mise a p r i x totale
idroas liTfd
i(
del.:inofr.
J i r m'.îr-: hed h i
(..-til^
.tr lio in.
"S"'®.?''^'" *
l'o'.aiquen
t t a M - C o / i o . iiutai-.e au Kc- le coinii
~.u, f.-. ^
• i l . a . :. M.
« f r : : 1- :
.; f.- \
Ac
5Pr
k
l
l
r
i
ru-j^-ic
: ar .iîoiil.
V. KE.|!NE1S.
il. •iu.:t-ur;poihi,
c'fcren
an >]•.'
-'ipo^ltioo.j/liily.vcs . f t
A VENDRE 'Jio^:
ADJUDIC.UIOHt^S ADJUDICATION
^ VEfIDRË;
A VENDRE
m î i s
ÂBJUDICATION
Les i l a i s de la Feioiiie
LA
Boulangerie
MÉTRITE
Docleuf R.COijljELiN
A VENDRE
VEITEl
La jaOTSNGE de l'abbé SanSYi
ADJUDICATION
n
Su Sfisieur es Pharmacie f!i.M0ElU2)
COIFFES-
.\ii l li!iiîiiu-i:ir
v--''
iw/pifHnwtuij}
.1
s n » «T tnrnin -auan» w »o»p w n A . w airaUT
u t n i s i r . a i -nonnsATroo 3U33
Samedi,
^far.<3 1S18.
LE NUMERO : 10 CENTHIES.
S B ' A n à S A r f W t
JOURHAL FRAHÇAiS-BRETOH PARAISSANT LE SAMEDI
AHO.WEMEMS
M»s-du-Nord. Mnr'.iliau. . .
;
iit :iiicnt«
. . .
rnuii l'uslale)
ifiil aui/r«»f . o rr. 3(> arec h dei nitre linUe.
Les abonnemenl« prirtent
du 1" (le chaque iiioi-i el se p:.yenl d'
es s'esi produit!^ Kendri'di. rers /.'< !.. .10.
/.a Courn"urf,
i' /:itomètres
ù l'est de
riint-Dfnis.
l-'lle fui, rroi!-on,
provoquée
ar ta chut'' d'une grenaile
Pans un riîi/nn de .V hilnmHres
autour
Vs lieu de In rntastronhe.
Icadcnàis sont
-f-s iiiU'OrInrtts : nuira h-zr.r'h-r., ro'.»C!
. or/c.'; arrar/'iées de leurs nnuds.
toits
•nleoés ou crerés r cr la chute de iiro/'^clUes, etc. Dans un flus qrnn'l rai/on.
il
• e reste r-as une ritre intacte. La rommo'inn se fit sentir jusque dans le centre de
l'ariff.
Et malheureusement
les victimes
sont
".ombreu.'ies. On ne connaîtra
exactement
'e nombre des morts qu'après que le dé'•Iriiement sera terminé. Déjà on parle
•l'une cinquantaine.
Il y a en outre en
S t a r t eo h o r c h a l o n enn h o r c ' h r e l z riron 1500 blesses, peugrarement
atteints
H a startoc'b ar Groaz enn h o r B r c l z I, pour la
plupart.
Le Président de la République, le mill'iisfre de l'intérieur
et le cardinal
Amette
ont rendu visite aux
sinistrés.
CE QUI ^ PASSE
L a s u p r é m a t i e de l ' a i r a u x A l l i é s .
Depuis le 1" jànrier,
les Alliés
ont
S43 avions aUetnands
sur le
Le Ministre du. Ravitaillemeni
continue ahr.ttu
en Janeier:
à s'occuper du problèm de la production front occidental, savoir :
if 73 en février ; et pour 17 jours de mars.
agricole.
De la inain-d'cctirre
et des engrais
:
Dans les rencontres,
les pertes des
toute lu solution esc là. Htlas ! Le ministre de ta guerre consitUé a répondu que .A" liais sont .seulement de un appareil a
trois
allemar.Js.
pour le moment il n'est pas possible de
Et la niaitrise
de iarion
donne célle
renvoyer les agriculteurs
inoOiitsés Jes
vieilles classes. Quant aux engrais,
ils du canr.n.
C'est ainsi que dans 23 tirs de contresont
introurahles.
exécutés par les
Allemaruis
Et alors, rcdiiit
aux expédients,
le batteries
contre
des emplacements de canons briministre Uuret présente projets Sur projets. Ces jours derniers
iiena
présente tanniques. 4 canons seulement furent entrois : l'un a trait à la mise en
cidture dommages, en même temps que deux emdes f'-i '•
cbandonnées ; l'autre,
à la placements et un abri.
Or, pendant la mé:.'>epériode,
l'arti'.iscréation d'an cor/,s auxiliaire
agricole ;
exécuta 95 tirs de contrele troisième a pour but d'c?swer
aux rie briiunniijue
agriculteurs
pruduisant
des denrées es- builcries ; et les résultats enregistrés sont
sentielles, les )/iac/.::ies et muU'.res pre- que 55 erm,lacements furent atteints, dont
10 semblant avoir été détruits ; 04 e:-plomières nécessaires à leur
exploitation.
incendies
Le corps auxiliaire
agricole
serait sions ont été cohipiées, et lu
constitué a" mogei
de la
mobilisation se sont déclarés.
des hommes de 15 à 50 ans.
Er.fin. une note officieuse annonce que
le r-rix du quintal
de blé de la récolte
191S sera porté à 75 f r , , le prix des au
très céréales à 55 f r .
Cette mesure sera bien accueillie des
agriculteurs.
Mais
pourquoi faut - il
qu'elle arrrice si tard ? C'est principalement à lajln de l'automne que l'on sème
dans notre pays.
Lie c a p i t a i n e L a d o u x i n c u l p é .
Dans nos précédents numéros nous
avons parlé du rôle suspect joué par le
capitaine Ladoux depuis le début de la
guerre, comme sous-chef du 2* bureau
des renseignements au ministère de la
guerre.
Le gouvernement militaire de Paris
vient de le deférer à la justice, sous l'inculpation de complicité de commerce
avec l'ennemi.
*
«
«
r es c a t h o l i q u e s de l ' e n t e n t e r e belles à la léninisation.
L'an dernier,
a la suite d'un
soidisant congrès catholique
international
tenu à Zurich, les Allemands
prétendirent
nue des représentants italiens, français et
belges y avaient pris part.
C'était
une
pure invention,
que les journaux
boches
durent démentir,
devant l'évidence
du
fait.
Récemment, une nouvelle conférence
s'est tenue dans la même ville, sous la
présidenoé de M. Enberger,
député du
centre allemand. Comme ta première fois
les catholiques des /lays de l'Entente
brillaient par leurs absence. Ceux-ci ne
veulent pas se prêter à l'infdtration
léniniste, dont te socialiste
Scheidemann
est l'inspirateur.
«* «
BUREAUX
&
IMPRIMERIE
PUBLICITÉ REGIONALE
4 — Rwe d u Château — 4
TtLtPHCIle 3-07
B R E S T
Tt'tPHOU 3-07
Les M a n a s c r i t s non insérés ne sont pas rendus
;i;aiiis a ce qu'une sitwition
honorable
soit assurée ou tiers restant.
_ En attendant, — et il est à craindre que
l'ottente soit longue, — /"u/to nous e.t'
de noussnurenir
que ceux qui raient son'
encore plus nombreux que ceux qui re
r'.iri'rl.
et, pour beaucoup, aussi diqnes
Penaos lenn
ar (( C'hourrier »
Er zizun ma, va mignouned, va spered
n'ema l;et enn eaz d'ho kelenn ; n'am beiu
ket bet nemeur a amzer da eresaat ouz
an nevezentiou a :o c'hoarvezet ; hag e
tleoc'h tremen gant ar s/:rid-ma,
mad
evit ptb amzer hag aozet pell'zo.
Diziou, a veac'h m'am boa echuet ar
gazettenn, e teuaz beteo enn-oun ar c'helou e: oa maro, pell di ^uz-in, an eil euz
vu zri rnab. Ma cije choun.et inc'h, hen
date e refe ect d'an armee. Doue en deiiz
kavet gtcelioc'h he gemer : ra cezo meulet!
Dirag ar maro dreist-oll eo e komprener tatv'iuJegez ar/ei:.
/In disparti a so
tenn ; mes n'e bado ket : er Baradoz en
cm gavi:np unanct a neve:, ha da cîken.
Sa skano e kavan breman ar boan e kemeriz hag an dispign am beuz bet evit
roi d'ani mab eur gelennadurez kristen :
Da icener kcnta ar miz-man en em gaven
enn he gichenn ; abenn neuze ez oa bet
ncuet. Arjon
am boe d'he tcHoui o reseo
hc Grouer
ant eur i'ct birridik.
r.ietalenn
ar Galoiin-Zak'staget gant éur zeizénn
ruz var he beultrin.
An eurvad am. beiu
bet ive: da c'hellout kaoui
hegorfdasebelia e kichenn hinihevamm.
Garaaour.e
te/e daleet he cne cr purkaior,
eur bedennig evit-han, inar plij, ra iennerien ger ;
me ho trugarekaio,
ha Doue ho paeo.
Enn amzer-ina, m'oairad, an darn
vuia euz hon Iennerien, o tisplega ar
« C'hûurrier, » a gla.sk diuc'htu peti-a
a zo tremenet vai- an dachena a vrezel.
Eun dra vad eo. Arabad ankounac'haat, zokea pa n'e dremen netra
grevuz, emaoïnp e brei^el.
Kalz re enn-dro d'omp hen ankounac'lia evit en em roi d'an eliatou,
ha zoken d an dizurziou. Euz ho g\velout hag ho c'hlevout e ve c hoant da
lavarout n'e reont fors petra a deuio
ho hro da veza, na petra a c'hoarvezo
gant ho c'herent hag ho mignouned,
a zo du-honl uoz-dez er boaa hag
enn danjer, evit-ho kement hag evitho ho-unan.
Ma c'hell ar Frans kaout peadra
de zibri hag armou evit herzel, n e
ket d'ar seurt-ze eo e vezo dleourez ;
ho labour a zo skaav, euz eur perz
ail e teu ho skuisder.
<
Bezomp sonj, ni da viana. Bezomp
sonj ema du-hont hor gwella goazed
oc'h en em ganna evid-omp. Uezomp
sonj e liziont var-n-oiup evit pourvei
d'ho ezommou hag evit delc'her buez
er meaziou keit ha ma 'z iiit dalc'het
pelldiout-ho. Febe.s rann-galoun evitho, pa zeuint da ober eua dro d'ar
gear, ma weljent arparkeiergoloet a
listez !
Bezomp sonj, erfin, n'e deuz ket ar
Frans re euz bolontez vad he oll
faugaie evit gailout herzel ouz an
enebour garo a garfe he huala pe
zoken he dismantra.
H a g a r gvvella doare da zelc'her
sonj eo marteze lena bep sizua petra
a dremea var roudenn an taa, goude
lenn lizeri hor zouUarded ha respont
d'ezho.
A briz «'ned, arabad .mkonnac'haat
ar c'hentcliou a!l, e galleg hag e bre
znnpï. piiz an dioii encbeiin genta
Kvit-hn dreifit-oll, evit hoc'iias betoa
pnn-!.oc'h, on e reoinj) ai- « C'Iiour
rier. » Enn-ho eo erna hor c'heleniia
durez divar-benn an traou bra.sa.a
drftmen pn er Ganipi", pe e leac'h ail.
Ma n'e vije nemed keleier munuf
da embann, ezomra ebed euz kenieat
ail a c' hazettennou : nnan dre ze
partamant a ve awalo'hHofcen, evel ma 'z euz kant doare
da gompren traou a zo, peb rummad
tnd iiag o deuz dem-dost ar niemes
mennoziou a fell d'ezhan kaout he
pzettenn da zifenn he gaoz. Gwelout a reer zoken kazettennou ha n'e
roont neraed kenteliou politik, hep
seurt keleier ebed a-hent-all.
Ni a gred ez eo deread da eur gaze!
tenn evel ar « C'hnurrier • kelenn divar-benn peb tra. ha? evelkent roi ar
brasa keleier. evit ma n'odevezoan
darn vra.sa eiiz he Iennerien ezomm
ebed da zispign evit prena eun ail.
Hag e lavaromp hor zonj divarbenn al lezennou ha^r an traou brasa
a c'hoarvez, gant âr c'hoant evel
iust da zigas ar muia ar gwella euz
horc'henvroiz dazonjal evel-d-omp, o
kredi e -«'ezo evit ho brasa mad.
Hogen, penaos e teufe re ail da
zonjal evel-d'omp, da lakaat ho spered a-unan gant hon hini ma n'e leanont ket hor c'henteliou? Evel m'en
deuz inestranti a r g w i r dac'houlenn
digant oll dud ar famill selaou he gelennadurez. zoken pa n e blij ket
d ezho, evel-.>c ivez ni a gred e ve
deread euz a berz hon oll Iennerien
klevout ar gwirioneziou ma keme
romp poan da zisplega d'ezho.
-Ar c'heleie^r luunut da ziveza.
dreist-oll pa n'e zellont ket ouz-omp
euz a dost, hag ar marvaillou ivez. 'oania a reoaip da gaout pennadou
marvaillou hag agelenndivarc'hoari
evel ma vez lavaret. Evelkent. ai
skridou-ze a zo dreist-oll evit disk'uiza
ar spered euz ar gwirioneziou a
bouez. Dre ze ivez goude ar pred
ema ar voazamaat, e tiez a zo, da roi
eur berenn varlerc'h ar meuziou pouner; evel-se c'hoaz ar vamm, hag e
deuz ranket skandalat hebugale, fur
peurliesa, a ro d'ezho madigou evi;
diskouez ho c har bepred hag ho lakaat da ankounac'haat ar buaa m'o
deuz b e t :
Bonbon varlerc'h ar fustad; setu
petra eo hor marvaillou.
"Vie c h è r e e t f o n c t i o n n a i r e s .
L'un des rares
fonctionnairesquenous
L a c a n o n i s a t i o n de l a b i e n h e u - comptons parmi nos abonnés nous fait
r e u s e M a r g u e r i t e - H a r i e e s t d é s o r - observer tris
aiinablemejit
que nous
mais certaine
avons été un peu dur dans la note par
Dimanche a eu lieu la lecture des dé- laquelle nous annoncions l'élévation de
crets de tuto concernant la canonisation 1 fr. 50 à 3 fr par jour de l'indemnité
de la bienheureuse
Marguerite-Marie. de vie chère aux fonctionnaires et agents
A cette occasion le Pape a une fois de de l'Etat.
plus béni la France :
Bien volontiers nous
reconnaîtrons
« Nous remercions le Seigr.eur, d i t le que la situation des modestes fonctionSamt-Père, de Nous avoir mis en mesure naires est devenue pénible et que tous ne
de Uumieraujourd'hui uue nouvelle preuve méritent pas le reproche de provoquer à
de .N'oit* bienveillance à la nation fran- la hausse, beaucoup ayant fort à faire
çaise, dont Marguerite-Marie Alacoque est pour subvenir à leurs besoins.
uise g l o i r e resplendissante et dont elle
Ce reproche, écrit notre
corresponsera une protectrice pleine d'amour...
B La dévotion au Sûcré Cœur de Jésus, dant, est plus mérité par certaines faobserva-t-il. suppose, elle aussi, u n triom- millts ouvrières : nous n'en disconvienphe sur le respt^ct humain. D r s oiîTlcuitcs drons pars.
e : des obstack-s entravent trop souvent la
Sous ferons toutefois observer que
pratique principale de cette dévotion q u i tous les ouvriers n'ont pas eu leurs
est la consëcrauon des (amilles au Sacré salaires augmentés dans la
forteproporCœur de Jésus, parce que les convenances
correspomiant.
sociales et les habitudes domestiques sem- tions qu 'indique n'.tre
Pour
certains
que
nous
connaissons,
blent s'opposer à l'acte nécessaire de plan'eit
même pas
de
cer à un poste émi:ieiit l'image d u Sacré l'augmenlatton
Cœur. L'esprit de force cnrëtienne s'im- 1 fr. 50 par jour. Et il faut bien pourpose donc aussi p o u r pialiquer cette belle tant qu'ils vivent.
l o r m e de la dévotion a u Sacré Cœur...
1 Avant la guerre, ajoute notre corres» Que la bénédiction de Uieu descende pondant, mon hôtel me prenait 3 francs
abondante s u r la France, qui fut le ber- par jour pour 3 repas; depuis octobre
ceau de la bienhc-ureu.sr MarRuerite--Marie,
Ha da c'houde, petra klask er
et fas»e que d u pays où j . u l l i t la prenin^re 1917, c'est 5 francs pour 2 repas. El je
étiacclli* 'le la dévotion au Sacré Cœur suis célibataire. Songe: à la situation a'un - C'hourrier ? » barn a zaillo var afparte toujours aussi l'exemnle de la cons- fonctionnaire qui ayantfemjTte et enfanls c'heleier munut, darn ail var ar pentance et >if la ferveur en cette belle défo- ^doit. avec 300francs
par mois, nourrir nad marvaillou pe < feuilleton
tion, réjouis aut non seulei;!eut les cloitres loger et hcbiiler tout ce monde. » C'est
Me a rofe ali kentoc'h da vont azade la \ i.sitailou, mais la famille chretieuue dur évidemment, encore qu'un fonction
uit/ coeuc/ïimeni, encore qu un fonctionneuze
rente
; o leaa
a z aar
ïc
lek les
neuzc
dreare
renk;
o leaa
azaleg
t o u t entière. •
naire ayant de la famille vive en ménage, p e n n k c n t a b e t e g a r f e n n d i v e z a r n e -
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or,.»
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UermC-re culoane Te la J> page
A«c adrair au Journal : i fr. en tut par a futniomt
il 1 Agence H»va«. Place de la Boarse, 8. Î P u i i
Lenn dre renk eta, evelm'ema var
arpaper, o telc'her sonj, pa sa em
:aver gant an embannaou, n e c'hell
Ket ar re-ma beza soarantiset ^.'aaomp, na ken nebeud ma 'z int goarantiset e kazettenn ail ebed gant
renerien ar gazettean-ze.
A l lodean-ze euz peb kazettenn a
zo evel pa lavarfemp eur voger ferme! da staga afgchou. Perc'henn ar
voger n'e c hell respont euz an affichou-ze, na ni euz an embannou moulet var eul lodenn euz hor paper.
Pa ginaiffer d'omp embanaou hag
a ouczomp a ve noazuz n'ho digeaieroaip ket. Divar-benn dam euz ar re a
veulump e c'hellomp fazia. drugare
Doue n ez omp ket gwaskct gant an
oU gleavejou ma 'z eaz haao anezho
e embannou ar c'hazettenaou ; ha
n e c'hellomp ket gouzout petra a dalv
ar reinejou meulèt. Ena ho zouéz c
c'hell beza, hag ez euz, hiniencou mad
evit kleavejou a zo.
Ni, paen em gavomp diez. ac'houlena kuzul digant eur medisin hag a
anavezomp evit beza gwizieg ba din
a fizians. Ma kavit gweir raontda
gafjut re alî pe kemer reniejoa ha
an o peuz ket esaet c hoaz. e tleit lakaat evez, evel pa z it d'ar foar da
et les petits ouvriers et les moues- ^ e d eun .ibeg bennâg a ve da ôber brena eul loan. A r perc'heaa a veulo
employés dont nous -^irlions tout a a h e n t - a l l " u e c ' h o a z k l a < ï k a n . A v U iie loan : d'faoc'h da zigeri ho taouMgr Miguot. archevêque d'Albi fes
I neare f Et les petits propriétaires
oui,
. „ * a i l , p c c n o a z waSK a n . A\ l »
roet aa ali-ze ama. Dalchit s o n j •
c hell ar gwizieka fazia. e v e l m a
ç h e l l remejou a zo, mad d r e - a - h o
no-unan. beza noazuz da dud a zo.
Ni ne c'hellomp ket respont mutoc'li
rged ne'c'hellanapotikergoarantiaa
loiizeier ha n'e ra ket he-nnan h a c «
tle gwei-za evelkent.
Lakit disparti eta e t r e al l o d e n a
g e n t a euz a r « C ' h o u r r i e r .
hae al
lodenn ziveza, R e s p o n t a r e o m p e u ï
an diou bajenn genta h a g e u z a r p e b
b r a s a euz a n d e i r v e d : eno e m a a o r
c h e l e n n a d u r e z . A r peurz eo a r v o ger fermet ; ha var ar v o g e r - z e , p a
lenner, ez e u z d a g e m e r ha d a l e z â .
CORKNTIK.
PQDiUes ^ i a Natii
Les élections i l'Offlee Départcmniti] o M
donne les résultats suiranU •
.
tmuuleurs
fiuktics et inttiiuteurs mritis.
- - Electeurs Inscrits, 1.108; r o t u t s 6 » . tet
obtenu : .M.M Kériel,'direct.ur«Sîi;
à Bohat», 382 voix ; Nicol, dlreetenr d S S .
public a Plomear, 39 ; Divers. Ï2.
Institutrices publiques et institutrices
vrivets. - Inscrits, 1 «3»; TOUnts, 1.525. O a t X
^ u : Mmes Paintoui, directriâ d'école S r t ï
a Underneio, 708 T o i i ; CtUun. i m u S a S S
publique à U o r l . I i , 667; Comee. I n s t u S S Î
^«ronu» Dioula». 36; Ù»
peTu
iivé™ - w " ' " '
PaVntonï
' " ^ ' ^ H a S i •'
^^rtel tt 1
a i i o n s « » T o r a U o n s ou-lisocionoris pMiantropigues ou v r o f n concernant le
!ns de ta guerre. - MM. CastaT
étaaom^
I ccole normale, t Quimper :
des Boances, à Quimper
«curdu Ijcée, à \.»uimp«r ; Onari eon^uêp
municipal, à OnlmperT-Featrei ' j î S S S
p r i è r e à Quimper : Janean*. p r ô t l s é v M
j c é e , i Quiapcr ; Mmes Huber, d t o S i M S
1 école normale, i Quimjer ; T i i a l S l u Z t i .
tnc», s Qmmper.
DeUgutt cantonaux. — MU. Le Gainer tape de paix. A Quimper ; BotL p u b u S ^ ' »
Ch. Le Febr^e, i r ^ , à X ^
'
privit de àienfaisance. —
M. t^;™eau. yicaire (Ténéral, i Qolmper - M i m
Berthel^,^ directrice d=s cours de T ^ d i S S I
Çhiiuares de commerce. — M. Josenfa Alarome, négociant à Quimper.
-tssociations coopératives de production et
de consommation. — M. Bonriee m a ^ l H
de la coépératiTe . L ' A m e u M ^ ^ S ^ f S !
.ment ». à .Vorlaii: M. SïlomonrThanoinftï
Morufx'
'
PoSS»
7
Hu«oH)«w
Ill<s à U n r i e c ; Lonls Corre, néëoeiAnt k
Quimper ; Mme de Couesnon«Ie. * Q o t a ï ^
A^ocaiions et sy,uiica:i agricole»
J^BL
de CouesnoDsIe. à QnlmpeiT Cbarln de k S :
rangali avocat i QnimperV Mlle La B M ^
propriétaire à Quimper
•>»»••,
Ensngneaieut
professUmaeL
àdmstrieL
^ncoU ou commercial — MM. H n e ^ ^ ^
ffssear a l'école pratique de c o m i c e * « T
dastrie. a Brest; Mlle T r e l l o T d i r S S » *
l«oole pratique d-indQïtrie et d ' a ^ ^ i m S
ineaager, a Brest.
» «
Voici tes instructions et le*
oonaoù
judicieux que Li Croix a éotméïï
amx
(amiltes catholiques.
Inscription de l'enfant sur U liste dw
Pupiles de la Nations. — T o u t « l i a n t d S
le p t r e aura été tué oaaora, dn tait d e u T
guerre, ete diminué dans ses taenltés
travail, sera i n s c r i t par le Ttibunal
tf^
sur la liste des P u p i l l e , de U S î ^ n , à ï î
demande de son père o n de sa m S e o a
.on tuteur, ces «feux derniers i i i t r i i h i ' M
par le Conseil de famille, et, à délaotdea
représentants de U f a m U l & à la diltseneB
J u Procureur <ie l a R é p o b l i q a e r t i t e ^
cripUon semWe donc inévitabI&(L1iiscxiDest d'ailleurs requise, k t i t r e de c o o d i t t M
pour l a t t r i b u t i o n des a«couts par »'n<—.
' ipartemental).
C
IC
K
S
Dans ces conditions, que les D
et les catholiques a c t i à ( û i s » M n M
institutrices Ubres, d i i e c t ^ r s et d i i ^
tnces de patronages, bommes d'<sams^
adhérentes des lignes féaûnioes, m m ^ M
d'œuvres d'orphelins de la guerre, m e a ^
bres d'associations de citels oe
temille.etc.)
se mettent pour cela à la disposition d M
famillfts éprouvées par U i r a c n e . et p i c » ,
sent ainsi un p r e a i e r contact « M e eMÎiL
pour l'application de U loi dea P a à S Z
-i- Le conseiller de tuteUe: cas où iCn'eat
pas i i n ^ s é - J A loi a spécifié q œ lorsque le Pupille de la Nation a sa m é ^ « b
ascendant, un lulettr tettamentMin.
mm»
peut pas i mposer à l a famille oa c o H ^ ^ v
de f-telle ; le défaut de e o o s e f l l e r S e d ?
vaut rendre ni impossible ni ploa <««<•««>
looienuon
l'obtention aes
des secsuts
secours prêras
préras i
depuis I89'J, est mort le 19 mars, à l'âge
au lieu de recevoir dacantane, ne toù- .^^ R e n s e i g n e i n e n U , . a C h e U b « z a l a ^ a d .
de 76 ans.
Ji»
a i a r ar gwerzer en aeuz
chent rien, leurs locaiaires étant exem-} t a l T O u d e k b r a z d h o c h d a a n a o u t .
Ma llavar
deuz ne
he
l i a »kompren mad an avisou-ze, ho loan nerz t r i h a g e t l e d r e ze talve- Pup"|cs-.]En cacséqoenceiUlaat.
pies de payer leurs loyers, ce qui ne les > "a
T o r p i l l e u r e t s o u s - m a r i n c o u l é s . , empêche
- ,
rpas
— .parfois
- j
„ ,! m e r k -a da c'horreuu zoken pazellont zout t r i ail,
u'ojjrir o leurs uroail. c'houi n'e gredit
. r e d i t ket.
ket PeP..
prieuùresdeleur
leuracheter
acheterienrs
ienrs
Le petit torpilleur 333, oe 97 tonneaux, iprifttiirexde
m maisô/is•
a i s ô / i s • o uouz-ho
z - h o c h eu/, a d o s t . Nenz»* n e v e z o
d ^ s leur «xisieacc
«xistencc quotidieane.
quotidienne, et
rak
neuze
kredi
e
c'hellfe
medisined
uaus
u'.T,!"
r
l'
! ConclvoT,s de toux cela qu'il est des lois k e t r e d d ' h o c h d i s p i g n t i m b r o u k e n
des euuuu, n e n a e e r a i t
mars, a ta suite d une coUision avec un ' maljaites e! que lu troncs pourraU être o i i g ,
k i i U a r a z p r n k e m ^ r h n n h i r r pe remejou a zo parea euz kleavejou l'éducation
•
*
WKIUBHL HE^
a
zo
ha
n'ez
euz
paredigez
et)ed
euzparedigez ebed qu'en conscience, elles oe dofreat
vapeur anglais. L rguipaje a été sauve mieux y ucernee.
-,
,
cerner non n t r r
pas' aoUnests1:r.s nouréllJs-!lu sous-marinl
t^'i Ton supprime les deux tiers d's
gùulean kelennâuurez
d i v a r - d'ezho '? Perakc'hoazpaeaialc'hadou
- cepter u n pareil a s s e r n s s e œ e a t o o B D d o
braz
evitoustillou
pe
mekani.kou
hag
iair--s existnius,
ex:
Hlzue, oui est considéré comme perdu.
\ fonnionnair^s
e rci^ie notre ''^'"-1 t r a o ï l l i a g O pelC t ' a l i e t a n a o u t
ig à leurs droits naturels et à leur diej.iML
I l faudra donc le» enyager à refuser I * •a aj,ris i" Ueîi'ic Jean k e r m a d h a n i , .?.->nt k e . i i e r a r b.>aii flz eo anal n e dalvezont ket an ha.'iler
•st-ondant
>lu:neut le ainct^ure d'un commuer dm
lia le.Tu ha da c'iiyrieau eua !aiiiiui;i euz .ir b r i z n î a c ' I ' ^ u ï ê n i i è F V ù r - b o
Lue fui-midable e x p l c b i . B c^e
ena^^ • alor&s non aunlaudirons dti deux p a p e r .
M e u r a n-ecii a r a o s L i r i o a i a b e a z l i i ^ Z
t n i r a o i ? na s t i o i l c s s a i q o i o g s p
i n o i :$noA 9j)a03 ssnScdmra ssp jrcj no I
sp a s w n d a n ^ | - « « M «?t»tai a » los t n iiiuBq n n n p |-»ar a W n
-Jio.Miod ne «••ed jrEja.n 1 1 - j o o » j a i i n i roo SDurasirv »»i 'satm i ! I îap nms » l a b
»
»
l e u r s e n t a n t s a u x écoles l i b r e s , d e p e r d r e
n!a.\imali.st<.-.<.
sot'iaIi!>:es r é v o l u l i o n - r o n t t o u j o u r s l a r e s s o u r c e d e s ' a d r e s s e r
1 espoir d ' u n secours p o u r l e u r instrucCaire.». IJy nîembrp.s a p p a r t e n a n t :'« d i v e r s a u x B e l g e s .
tion.
psi.
ifroup»?. I l est t n u l i l . - rte . l i r e •^u i m c p a
(Bêgleinent d'administration pubiîqne
r e ; l l e as.«e;aljl(« n e s a u r a i t a v o i r .1 a u c u n
150s
avtetenrs
rnraliscnt
dactivité
avec
da 1 5 Novembre 1817, titre VI)
t i t r e l a p r é t e n t i o n «i'être l i i n a f j e «Je l a
A r t MB. — Vk demande par la<ni«U« le père, tem c a m a r a d » anglais, abattant d» nom .-{us.çie. Sous l e r é a i m e o'e boSchoviks, l a
te s t r s am le i c p r ë n a t a n t lésa! d a n enlan: aren* bocbei. faisant de* repiraaes et c o m p o s i t i o n des aisscmblées ditc.^ r c D r ê reelame, es U f t u r dndit c n l u i l . I * rtcoanau- exécutant des liombardeBents. E n même ^entativos a t o u j o u r s êtC- aussi a r b i t r a i r e
saaee d o droit a n l i t r e de • popiliv de !» na- temps, partant notre artiUene domine eeUe ' i u ' i l est possible.
• est iotrodnite. par rois de simple reqoéte des Allemands.
-Malgré t o u t , m e o p p o s i t i o n «ôrieusc
c A a t x é* rieoie. — L a l o i p r o - O K p e " » » d'earecistreiBïat e» de timbre, luprè»
les
pomme»
He
s est m a n i l e s î é e c o n t r e l a ratilJcation q u i
• M M M t « C t t a é t é déclaré d « t r i i w i i U e i T i l dans le ressort d ^ d l« re Dans l'Aisne
avait éîe votée p a r les m a x i u l a l i s t e s dans
Dans le b u t d'intéresser l i c o l t u r e à l a
H a C t a a A t e q a e s l les b m i l - q a t r a a t est d o n i ô l i é .
une r é u n i o n p r i v é e d e l e u r g r o u p e .
production intensive des pommes d e t e r r a
* b É M i M t n i i i e l e popUle en
A r t . i : a — La demande mentioaiie les nom A a nord de r A I L £ T T E , dans te nnit du
Dan.s le j o u r n a l l e Xnamia. u n «les c o m de primeurs, e t a l i n de l u i donner l'assul o i M r n a s t a e t i o a o b ^ a t o i r e . et p r t a o n s . le lieo et U date de naissance, le n a u IS mars, nos patronilles ont ra
m i s s a i r e s d u p e u p l e a p p a r t e n a n t à l a rance q'i'ellc recevra te j u s t e r ^ m u n e r a u o n
' ttK c k o i x des moiais. p a r d o m e i t o de I ealaat et da r e i a é r a n t . ainsi qoe a e n i des prisonnier*.
I r a c t i o n des s c c i a l l s t e s r é v o l u t i o n n a i r e s , de ses efforts, l e .Mmistre d e r . A ç n e u l î o r e
telteeehoixderéeôle.
U «inabte en rerto de laqaeSe ce dernier pré
An md-e«t da COBBEST et a n snd deavait C f r i l avant l ' o u v e r t u r e d u Congre.'!
e l d . i l<3vitaill<fnienl f a i t connaître q u *
)e. i l f u d i a tenr r a p p e l e r sente la reqnMe.
JtrVIKCOnHT. d î s coup» de main ence- • I I f a u t q i i / ; les Soviet-; d<}cliirent !e t r a i
p o u r la recolle IW;?. Ii?s achats a t - i j i ^ m r r
^
prHexte. o n n e p e u t les
D i e èiwace le lait de b enerr» dont • «t« Bis, laiicês dans te matinée dn 1$, ont été :!e B r e s ' - L i t o v s ' i i . I l î a i i t q u ' i l s l o r m c n t
a r le ser\'ice d u ravitaillement ne *er.rfit
X à C M o y e r leurs «wiiaiit. à u n e J M t a r o le p i r e , te m«re oo l e sontien de f e n - reponssés après nn vit combat, q u i a coûi:ri g o u v e r n e m e n t n ' v o U i t i o i m a i r e néces- j a m a i s prauqués s u r les divers mar.Mi'^
teT plairait j>as. e t q u e les S . . " " "
etrconstances dans lesqneUes td des pertes sensibies aux assailtenls. s a i r e à l a d é f e n s c . » U n e p o l i t i c i e n n e c«.lé- ;u-dessou5 d»» taux d ï base suivants lixe»
« • « • • M B - C B l e r c c . â c e M e occasion. ledit pére m«re oa «oatfen * péri o a a été Bons aTOB* fait des prisonnier*.
i T e . M m e S p i r i t o n o v a , a v a i t d e s o n c.ôtc pour le marché d e Salnt-.Malo :
M e u r e s , soit de maladie on
p u b l i é u n a p p e l au.x pavsans l e u r d é c l a 35 francs le q u i n t a l m é t r i q u e pour l a péIteteMf*
d a s g r a t a l i o n de materlie
Autour
de
Reims
r a n t «ju'ils p e r d r a i e n t l e s t e r r e s e t l a rùxle de d é b u t ; 20 francs le q u i n t a l m é . .
^ j»
m l o n t c du pen L e s J ^ d e m a c d e e s t a œ o m p a s n é e d e tous eerI
liberté s i la paix de Brest était ratifiée
t r i q u e iKJur la péntxie q u i s u i v m .
« M W k a d a i M p a r f E t a t s ^ n t é l e r c s . tnicats ou antres pitees jastiSeatiTes me la
A u aord-onest de REIKS e t vers L A
La durée de ces périodes sera ûxée p a r
M a i s 11 n ' é t a i t q u e t r o p évident q u e
j » ^ i A A p r e s les Tolontés t e s t a m ^
POMPELLE, dans te n n i t d n n a u 18cette o p p o s i t i o n d e v a i t , a u m o i n s p o u r l e
«mto-tioeentiledeprilainr
le commission d*; représentants d e l ' a g r i P«i® taon i l a g u e r r e . E n
ennemis s n r no:
A r t I M — L» demande ainsi qne les pi«e» mars, d e * conps de
c
u
l t u r e . d u r a v i U i l l e m e n t et de r o f l l c e
n
o
m
e
n
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,
d
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sans
eHeL
nos ands d e n o n t vivement
petite postes « m t restés sans succès. —
q u ' i l sera p<'^sir A i M p i r e d e f a m i l l e ^ b i l l s é l «ni laŒompagneot sont déposées entre les L e IS. en fin de jonmée, u n de nos déta
L e c o n ç r e s s'est o u v e r t p a r l a l e c t u r e technique des vivrc-s.
niainsdnprocnreordeto
Républiqoe
j
a
i
les
ble
de prévoir avec une précision s u f n — ^ ^ e n e d é c l a t a t i o n écrite et signée
cbements a pénétré dans les lignes enne- d ' u n t é l é g r a m m e «lu p r é s i d e n t VVilson
o e M M b . d é c l a r a n t g u e s a v o l o n t é f o r - soomrt arre ses réqalsCions ao^nbODal. après mies s n r profondeur de o n kilomètre, dé e.vprlmant les s y m p . i t l i i e s a m é r i c a i L e s sanle les conditions dans lesquelles se prie r t q o e s e s e n f k n t s M i e n t é l e v é s enquête, s 11 j a lien, portant notsmment. sur t r u H de nambreux abris occupés, e t rame- p o u r l a R u s s i e X o u s c r a i g n o n s , — e tsente l a f u t u r e récoltele U i t de la «nerre dont a été Ticume le père,
Cette commission vellle:-a. en outre. A c e
c e t t e c r a i n t e n'est p a s d a u j o u r ' i ' h u i . —
«entent et snr le né 9 prisonniers.*— L a n n i t suivante, après q u e l ' é m i n e n t h o m m e d ' E t a t ne soit d u p e que les p r i x d u mari^lié. «luelle q u e s o i t
, «t lastrattBdà^ime^e^e*^îé^
d e ^ dluTalidUé rësnltiDt de blessures de une b m s q n e préparation d'artillerie, l ' e n en l'aSaire «le son i d é a l i s m e d é m o c r a t i q u e . l'atWDdance de te ii'colte. ne descendent j a nemi a lancé, a n nord-est de S I L L E R Y , u n
flardé éans t a famUle, ou m ^ d i e oo îTaffgraTation de maladie,
A p r è s u n e a n a l y s e p a r l e c o m m i s s a i r e mais au-dessous d ' u n taux m i n i m u m , toô
.
~ "-«wsqae la requête es! introdai coup de m a i n q u i »'esi brisé sous nos
W
m
orphelinat.
— A u t-_
feux. — Pendant la n n i t d a 19 a n 20. uni des a f f a i r e s é t r a i m ê r e s des a r t i c l e s d u après entente avec lea représentants di>9
te
par
le
procorear
de
la
Répobhqoe.
ce
œasis; j e fa d i s c n s s i q n d e l a l o i , r a p p o r autre
tentative
allemande
dan»
te
mêmi
t
r
a
i t é d e p a i x . L é n i n e a p r o n o n c é , e n p m d u c t e u r s de façon que. dans auctm cas.
ÎI®.
«e représentant legîl de I èn« B l B l s l r e s ont déclaré oue les p u région a été aiséiaent arrêtée.
f a v e u r d e l a r a t i f i c a t i o n , u n étonnant d i s - ceux-ci n'aient 4 s o u f f r i r de l'insuffisance
.
«Korama-Klee el sans frais
avant tout, être elevés dans
c o u r s o ù i l a d i t e n p a r t i c u l i e r q u e l a des prix au moment où l a saison b a t t r a son
Art. «13 — Le tribunal en laChamCre du Con- En Champagne
n a a i & ^ b conséquence, o n r a p p e l r é v o l u t i o n rus=e « q u ! penilriiit u n a n s'é- plein.
««^'e. »
instruction
a n l a m m e s q u e n u l n e peut les
t a i t signalée p a r d e b r i l l a n t e s \-ictolres »
Allocations
« s e s é p a r e r d e l e u r s enfants. S i çomplémentajre de l affaire dans la forme qu i!
A r o n e s t d u CORHILLET, l e U m a r s à (sic !!!) d e v a i t e s s u y e r u n e défaite d e l a
HBS
pe^TntésIonnaÎÊ^s
o u s ^ p M l e s c l r c o n s t a n - o e ^ i n e ; I l entend le repre«nt3Dt i ^ a l de 18 b . 30. nous avons chassé l'ennemi des p a r t de l ' i m i x - r i d l i s i n e a l l e m a n d a c t u e l l e «es.
l e l i b r e c h o u d e l o r p h e l i - I entant TOOToqué. coolormément â l'arUcle 6 elemenls de tranchées o ù i l s'était main- m e n t l e p l u s f o r t .
L a circulaire . j u 31 novembre 1917. relatenu depuis le 1 " njar^. L'opération a pleis o n t t e n u e s de la I c i du î ! juillet 1917
D i v e r s p a l a b r e s o n t s u i v i . P u i s o n a tive a u x allocations des p..-rmissionaaires. a
nement réussi. Bous avons fait 42 prisonWahHsgement que pourrait
tJ^r^^ZJ^*!
°«c«saire de niers, e t rapporté 2 iratraillenses e t 2 passé a u s c r u t i n . L a r a t i G c a t i o n d u t r a i t é p r é v u dans son paragraphe I " q u e le m o n l a p r â e c t n r e o u u n d e ses
'
expertise médicale pour lance-bombes. — E n même temps, a n dede Krest a été votée p a r 704 v o i x c o n t r e tant des indemnités représentatives de v i vres dues p o u r les j o u m e e s de permission
'e caractère perma- nos détechements pénétrait dans les lignes 20I. I l y a e u u n e c e n t a i n e d'abstentions.
ihWaicçhnn^.
<m secours équica- ratde
D a n s le d e r n i e r n u m é r o d e l a herue dft a u taux de 2 francs par j o u r serait pavé dé1 invalidité de la Tictime du fait de la
î r ^ . - " , » ^ b f e p spécifié, a u c o â r s d e ^ r r e on le degré de celte inTalldite, il dé aUemandes a u M O * T BLOITD et ramenait neux-Mondex.
M . C h a r l e s B e n o i s t , l ' é m i - sormais en timbres spéciaux, d i t s - t i m b r e s
des prisonniers.
fajnscaastqn
d e l a l o i , que s i les pupilles ^ ' ^ i f ® * ^
dont l a valeur est
n e n t d é p u t é d e P a r i s , é c r i v a i t : u E i i ' bien. de permissionnaires
" " " " e c i n eipert
o n , r i i i s t o i r e q u i a v u t a n t d ' h o m m e s e t fixée à 3 francs p a r le paraeraphe 2 de te
u*^'?«
constata.
Dans l e secteur de SOUAIIT, au cours de
' ^ ^ O n m e n t s d l n s t m c t i o n d e l ' E t a t Us ( S ™ , " "
dite
circ01ain\
t
a
n
t
de
chose.s.
.-^ons
t
o
u
s
l
e
u
r
s
aspects
et
deteRépu- la n u i t d n 19 a n 20, l ' e n r e m i a, p a r t r o i s
a u r ç s t ^ b o n r s C T . mais q u e s U s sont
fois, tenté d'aborder nos lignes. 11 a d ù se j u s q u ' à l e u r s c.vîrè.-nes d e beauté e t d e 11 f a u t entendre que l e payement en t i m jff. î i / ^ ' ^ f
«s™
• O M t o * d e » é t a b l i s s e m e n t s l i b r e s , i l s auv i l e n i e , de g r a n d e u r et <Io bassesse, n'a- bres comprend le mont.ant de-: indemnités
rtn
l'article 122 replier sous l a violence de nos feux, après
M K a r o l t a des secours équivalents. E n
^ a i t pas e n c o r e v u c e q u e !os b o l c h e v i k s repres..-ntalives d - vivres afférentes i la d u avoir
subi des pertes sérieuses.
^
celles du
^ p e l e r a u x fa- S ^ i
De notre côté, nous avons effectué une de P e t r o g r a d d e v a i e n t l u i m o n t r e r . E l l e r..'«: normale des pennissions réglementainoTembre lii93, sont applicables
u i e s q m p o a r r a i e n t c r a i n d r e , en e n v o y a n t r e ^ t t S ^ ' S . " " ' . ' ® ® ® " ' »
'avait e n c o r e j a m a i s v u u n p e u p l e , — et res. q u i est de d i x j o u r s ; ce payement e.st
mcursion
dans
les
lignes
allemandes
à
rfeiïltant de
rexpertise médicale prérue à l'article précédent l'est de l a Suippe (nuit d n 19 a u 20).
q u e l p e u p l e , -i n e c o n s i d é r e r q u e l e n o m - ainsi réalisé par l'apposition de q u a t r e t i m b r e ! e m p o r t é p a r u n e p o i g n é e «le fous o u bres de â francs s u r le t i t r e de permission.
Dans te région de HAISONS-DE-CHAH- «ie m i s é r a b l e s d a n s u n t e l v e r t i g e d e s u i I l importe, en outre, p a r addiCun a u x d i s PAGNE, u n coup de main allemand a
positions de l a circulaire précitée, d e p r é cide... »
échoué dans l a n u i t d u 13 a n H .
v o i r l o cas où l a permission régulière de
dix j o u r s se trouve complétée p a r des
A l a H A I N DE MASSIOES, u n coup de
R O U M A N I E
4i.urnées supplémontaire?correspondant au.v
main ennemi s u r u n de nos grouoes de
i
;
r
.
c
c
r
i
s
e
m
i
n
i
s
t
é
r
i
e
l
l
e
,
q
u
i
n'est
pas
encitations obtenues par le permissionnaire.
i m i a t a complètement échoué, dans l a
core résolue à l lieure o ù nous écrivons, a
matinée d n l."j.
L e montant des indemnités représent,!éclate. O n r a c o n t e q u e .Mackensen é m e t - tives de vivres dues nenuant ces journées
t r a i t la p r é t e n t i o n d i n t e r v e n i r dans l a f o r - supplémentaires — ainsi q u e ' a solde y a f Argonne et Verdun
m a t i o n d u n o u v e a u c a b i i i e t . C'est bien pos- férente — doit être payé en argent a u d é ta,™™ P ' " ® '
JUïeinands o n t enlevé 4
tommes. - - A u cours de te n u i t d u 19 au
part d u f r o n t avec l a solde d u e pour l e
Dan* l a région de VADQUOIS, n a coup sible.
L e C.éncral A v a r e s c o a u r a i t i d é n i i s s i o n n é nombre de j o u r s de l a permission régle^
d M detecbements allemands atlaquè- de main ennemi a échoué sous nos feux
. . P ' î î " britanniqnes a n n o r d de
la n n i t d u 13 a u 14 mar.-!. — A u cours p a r c e q u ' i l n e v o u l a i t pas signer l e t r a i t é mentaire augmenté de la durée m i n i m u m
nï
J " " J""^
Passchendaele : de la n u i t d u 10 a u 17. u n r a i d rapide, exé- de p a i x q u e l ' A l l e m a g n e i m p o s e à la R o u - de voyage (deux j o u r s ) e t les indemnités
î i r i J ^ ^ ' p a r t o u t rejetés, laissant des cute par u n de nos détechements, nous a m a n i e , v i c t i m e d e l a | t r a l i i s o n rus.se.
représentatives de vivres afférentes à cette
rapporté une dizaine de prisonniers.
même durée de voyage.
A b ^tae kendalc'her d'en em hes- e i aes m o r t s s u r le terrain.
lâna.
L a veille, en fin de journée, nous avions
ESPAGNE
Plusieurs fUs mobitlsés
^ O I C N E B E K , n a détachement al- execnte, dans l a région de CHEPPY u n
T t o h o r 20iidaTded a oa, enn eîz lemand, q n i t e n t â t d'aborder les lignes l ^ e coup de main q u i avait parfaitement
Les termes \-ivant a u f o y e r employés
D e s g r è v e s , s u r l ' i m p o r t a n c e et les m o par
le texte de la loi d u 29 septembre o n t
dà-^na. da reseo pe da skei ar pou- b r , ^ q » e s dans l a n u i t d u IC a n 17 a réussi, sous l a protection de notre artille- t i f s «lesquelles o n est assez m a l renseigné, pu prêter
à équivoque au début de son apm t éclaté en E s p a g n e p a r m i le personnel
% r ' ' / , L r t " ' ' « ^ d ^ i ^ ^ t e r i e et le? rie q u i dominait l'artillerie allemande .Nos les téléi^raphes.
« « « taoliou. Skoet o deuz muioc'h iets'"d'e
plication.
I l faut entendre p a r mobilisés
j e i s de grenades. — L a n u i t suivantL, troupes avaient pénétré dans les tranchée-;
l'ennemi a éprouvé di
adverses s u r u n front de 800 mètres
N o u s n ' a u r i o n s pas ù n o u s en occuper à oiivr.mt droit a u hénétioe de l'allncation
q|ed TCsevet.
siipplénienlaire.
toiis les milit.aircs p r é ,ine profondeur de 300 mètres. Après la cette place, .-.i n o u s n ' a v i o n s l i m p r .
walarn da -sonniers
E bto R e i m s hag
sents a u «-orps. tombés a u champ «l'honi n n i e r * entra les mains de nos alliés
destruction de tous les abris, blockhaus et «lue l a s i t u a t i o n p o l i t i q u e d e l a pé
;eiir
«iécédt's
a
u
cours de leur mobilisaV w d t o e z i n t cet beteg eur c'hart- A u BOIS-GREMIER, dans l a n u i t d u 1?ouvrages de l'ennemi, nos détachements se t r o u v e a c t u e l l e m e n t dans u n état
rentrèrent dan» leurs lignes, ramenant SO i l é s é q u i l i b r e u n peu i n q u i é t a n t , e l ..i. cie, li'in. «lispariLs, prisonniers de cuerre. p r i îeo AuuHkr e trancheou an enebour, au
sonniers civils vivants o u rattach<'3 a u
ont exécuté u n coup de .prisonniers appartenant à trois régiments l a i t s d u g e n r e do c e l u i q u e n o u s siçnalo:
main,
^
f a i t des proonniers, et repoussé
repoussé une
une lifferents. et 7 mStraUIeuses. Nos pertes p e u v e n t a v o i r «lu j o u r a u l e n d e m a i n d e l o v e r e l ven.int en aide soit par leur tr.a«fa gvtidll an nebeud Boched ha n'e tentetive
ennemie
inflige int des pertes étaient legeres.
vail s ' i l ;,'a2il d'iine contribution à l ' e x g r a v ( s conséquences.
oont ket bet labezet gant ar c'hano- aux assaillants
ploitatHiii Ci^ip.miine à laquelle i l y 3 l i e u
de
siipl.'er par l'emploi «le la main d ' œ u Pendant
te
n
u
i
t
,
l'activité
de
nos
détalîou, lia da beur-freti^ al lonchou.
« E N I K , dan» la chement» se poursuivit heureusemcnl An
vre élningén? soit par des remises o u des
F I N L A N D E
des détachements al- BOIS DE MALANCOURT, nos troupes péE t wz da Verdun, an Allmanted o ÏÏ^rf.
envoi- d'argent régiriiers. s i le m i l i t a i r e
ont attaqué u n poste b r i U n n i q u e
L a F i n l a n d e est u n n o u v e l Etat, . \ u s s i viv.ul en dehors d u foyer.
detiz klaaket ober kement ail. Goude alemands
te faveur d ' u n violent b o m b a r d e m ^ Ils nétrèrent dans les tranchées enncnfies s u r est-elle divisée en d e u x p a r t i e s e t o b é i t
étendue de 1.400 mètres et une p r o
htx» diskennet enn etm nebeud euz f u r e n t repoussés par les feux d ' K t i r i une
ndouir de 800 mètres environ : et elles el'.e à deux g o u v e r n e m e n t s E l l e ne fait Allocations
aux
sufsltaircsi
hon tiancheau e ce red d'ezho tea- Vers le CANAL D'TPRES à COMINES ramenèrent pluu de 60 prisonniers, dont q u ' i m i t e r en c e l a l l.'Uraine q u i l u i f a i t
des vioUlea classe»
«
mars, les A ^ t ï a quelques o f a d e r
iieiirtant vers l e s u d E t si e l l e est en proie.
<^howt z re a boioz a goueze var-n-ho.
Le.s femmes «le-; mobilisés «les vieilles
' f " prisonniers a u cours d ' u n
— d e l à ! — à l a g u e r r e c i v i l e , c'est p r o b a . Sur la RIVE DROITE DE LA MEUSE, u n b l e n i e i i t p o u r c o n t i n u e r l ' a p p l i c a t i o n d u
s renvoyées en sursis, q u i o n t e u
l U k hor c'hanoliou ha re ar Zaozon a ^ g a g e m e n t avec une forte patrouille en mtense
bombardement ennemi se pour s y t ë m e russe.
leur llocation retirée moins de trois m o i s
w> t« bar dTi» re, gant sikour ar c'hirsuivait pendant ce temps. Le 17 mars i l
après
le n.'l.iur de l e u r mari, sont en d r o i t
3erpir?eTœ'
""
I l v a donc a u n o r d de l a F i n l a n d e u n
était SUIVI d ' ^ e seNe de fortes attaqu
TWÙj.
g o u v e r n e m e n t b o u r g e o i s q u i a u n e a r m i ' e , d eXii î r le payement intégral de ces trois
mois
d'allocation, ^^•il s ' i g i l des vieilles
I ^ V h ^ ' u d'HOUTHEM et vers GAPAARD
SAMOGNEDX.
a
u
3
o
r
d
u n e a r m é e c l u n g é n é r a l , et a u sud i l y a
Eve] ma Jennoc'h aman araog. an innV % M e " " > e s ) , les Australiens ont, audu BOIS DES CAURlEREo et dans te r
s visi-es p a r les circulaires «les l "
e n t m a x i m a l i s t e q u i sit'ge cla
octobre
et 21 décembre 1917. L a d.ite de
nïjerien boch a zo diskaret stank. Ho- cours de l a même nuit, exconté avec kuc- gion de REZONVAUX, do gros détach àu n l lgeol suivnegrlnoer m
s.
la suppr.îs.si0n. si elie e s l ordonnée, n e
»'î«""d'''ent nos positions et
gen, an «ijerien dreist-cll eo a c'hell
"«"P? f ®
des prison
L e 7 m a r s . l'.MIemairnc a c o n c l u u n
r e ^ s i r e n t , en divers points, à pénétrer t r a i t e do paix avec le g o u v e r n e m e n t b o u r - s.'iiirait èire antérieure i l'écliéanc" des
mers et mflige des pertes à l'ennemi.
«neria d'à»- c'hanolioti e pe leac'h skei
dans nos lignes. Sous la violenco de nos geois, el. p a r u n a r t i c l e d e ce t r a i t é , elle Irois mois q u i suivent le renvoi d u m o b i lise flans s t s foyers.
^ t ober labour talvoudek. Ha nije- En Flandre Française
a l a i t d e l i i i t é g r i l é «lu t e r r i t o i r e l i n l a n pî^d
«'euients où ils avaient pris dais u n e clau.se o ù e l l e e s t inlore.ssce. ce
Tiea an Allmagn nint mai barrek n n » w ' • ' . " d s d'ARMENTlERES. dans
Kos billets, s'il vous plaît
q u i , d i t l e Jnurnnl «/(••; Déliais, « l u i d o n «lenver^hor re-ni, e-kenver re ar Zao- n m t d n 1., a u I I ni.ii>. les Gallois ont ex,
L a l u t t e d'artillerie, très vive, continua n a i t i n c o n t e s t a b l e m e n t l e d r o i t «l'inter.Iiisqu'.'i ces t.;nips «lerniors. l o r s q u ' u n
cute u n coup de main, q u i leur a perrn
2on dreist-oll.
prisonniers et 2 mitrailleu pendant te n u i t dans toute celte région v e n i r ; c o n l r e l e g o u v e r n e m e n t « • v o l u l i o i i - voy.igeiii- montait «l.uis u n wairon de clas«I l l e l s i n g l o r s . E l l e en a iiiimt'^diale- se supérieure
T i®,.''
detjchement ennemi, qu; pas reconnaissances ennemies, q u i t e ni.airo
celle ;i laquelle sou b i l l e t
Settt perak raarteze n'e ziskouez ket tentait
« n Ï T - d aborder nos lignes vers HARDAU- n i c i i t UM!. r. .Mais les m a x i i u a l i s t e s russes
d'aborder les lignes britanniques?
l.iiUK.il, .Iroil, il l o i sul'lisait d ' a c q u i t i
,
,
™
.
î
'
nord-ouest
de
BEZONVAUX,
avaient
a p p u y é les c a m a r a d e s . Kt p c i u l a i i t le,- la .lilferei»'
^
'
»n amezeien hait braz da zieeri an été rejete avec perles.
lo
IrAleii
furent dispersées par nos feux.
«me B e r l i n n é g o c i a i t avec le, c a b i n c l d u pn^sentail, pour
la érilii l i o n des billets,
AaiO da vad.
Vers F M D R B A I X , une tentative a l l
N o r d . l ' e l r o g r a d c o n c l u a i t u n traite avec
Ce
réciiii,.
«le
toté
Mlle.
a pris lin et le
*
dans l a n u i t d u IS a u 1» En Woëvre
le Sud.
H m e lavarer ato e saillint da gcnta
public ne le .sait p^i i as 'Z.
. \ a t u r e l l c m e n t les d e u x parti.^ se b a t - Depuis le i s nov mbi
crMaccdoinpe enn Itali. Eno e c'he!
dernier, un riisecteur de FAUgniSSART. des
A u nord de SAINT-MIHIEL, dans la n u i t tent. i,es t r o u p e s l i l a i i c l i e s m a r c l i e n t c o n - glt.'m'.Mit n
la police de
l i n t marteze beza ar c'hrenva. H a coups de mam, tentés par les Allemand du n. au 17 n i . r - , nos patrouilles ont fait t r e les t r o u p e s r o u g e s . L e i i o u v c r n e m e n l de f.'r eiijoin; ;iux voyaveiirs decliemins
ne pas
pendant la n u i t d u 19 au '20 ont éle"a°sé a j s prisonniers.
u o u r g e o i s ll«^ Nasa p u b l i e m ê m e des com- oiili'.'p:isser
droit «pie leur conf.:re leur
solide? H o n armee vraz hag hini Bro ment repoussés par les Portugais
billet, sans avoir
Il préalable, versé le
Dans la région d u ROIS BROLE, le Cûn i u n i ( i u é s .
. Z a o z a j o u m o c'hoaz, da c'hcdal hini
V o i l à u n e m a - n i l i q u o m a r e d'eau t r o u • ippl'.^m-nl. O.nir.iv •ntion est dressée a u
au cours n «r>. les Allemands ont lancé une forte
•f» Amerik ; ha d'ezho e vezo ar ger î - n î
P .'viiiii pi!), et même
" "
Portugais ont ittaqup s u r nos positions. Après u n v i fble. I l e-^t i n u t i l e d e d i r e q u i va y péclier. '..y.igeui- qui
-iiiM. .Amende : IG f r .
'il p.iie. il es P:ombat, nos troupes o n t rejeté les frac
pcnetre dans les tranchées allemandes
divea : netra aJI n'e gonto.
l'p jo.liciaire.
loas ennemies q u i avaient eussi â preu
fl
î"®2 "
Courlande
le public renonce à
Dte ze, ministred Br»-2^oz, Frans Îra7lîcuses" P ' ' ' " " " ' ® "
dre pied dans quelques-un
I
l
f.«iil.
don.
de nos élé
ments avancés.
Le Conseil p r o v i n c i a l «le l a (.'oui lande, cette petite cinlin' nli.iii. tr.''s frO.iiiente
'
Itali, bet oc'h en em guzulia a En Artois et Picardie
el jesqu'.'i pr.;senl. suis risques, «le se
I
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des
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Dans 1= ecteur de FLIREY, u n coup de
« tendres, o deuz diskieriet n'e
r.'n.iit ou ea ne pre• .sijrel.isser . . i:a prfn.i
main enne 11 a échoué, pendant la n u i t du bien «••i)li.'iiiiTe.~, - .pi,- la paix «le l i r e s t - nait pa<... Kt. il f'.iut rsp.' er que noiis eiiiA u nord de VERMELLES, le 1 .
Litov.sk a lait g e r m e r « oinme«ies c l i a n i p i ««averont ha' n'e anavezint ket ai pendant
au i ;.
u n bombardement, u n fort rnnrs
luns. a l'ait o f l r i r p a i u n e «leb-gation la pninîerons un j..iir à no ..niis ;i;igljis ie
déta
.pcoclt boch sinet gant kanfarted di- chement allemand tenta, à la faveuir d ' u t
c-um-oni;«;<lii<%Me(locepay.sà(iiiillaunie!I. sysiOiie' Irés simple .jui coiis-ste. en csis
En Lorraine
nuage do fumée, de pénétrer dac
«i.- . • . , n l r . ' , v e i , i i , i e . p . l . v voir sur l'Iieiiiv,
«galom euz ar Rusi. Goude ar viktor tranchces
llnyail'aillciirslieii
t i r e r «le cetti
• pa contre lin re.-.i
b r i U n n i q u s s . I I f u t rejet IS IC!
s.>u.-lie I - d.iiitile ,Je 1,1
l i n o d i e a u c u n e c o n i l i i s i o n s u r 1.
par le
•pcb tra a vezo reizet a nevez, var at ten des troupes portugaises.
VITit^i soiiiiiie iionn..I"in.'r.( «lu '. P . s d'ei.nnis,
A l'ouest de HORVILLE
s la mat Lies s,;,,tiinenls . l e la p o p i i l . i t
née d a !."> mar-;. u coup de main ennemi,
*Vh2€ cvel c peb leac'h ail.
p,i^
.!••
f..rni:ilil-s:
iin.r s meli.jii iniinéd.jAu sud-est de LENS, i i a coup de mam lancé après u n
n o u s i g n o r o n s exactement .le q u e l l e n i a ï i l bombardement, c
par les Canadiens da s "la matinée enu se briser
I.ieri- est cdinpo.M- «•<• . l o i e e i l . E t nous te. s-..•li..Mnenl .ipiliqo e.
labour nul eta kement a vezo mer exécute
us
nos
feux
et
a
étc
d
i
nu ).> mars, a permis à nos alliés de r perse avec pert
nous soiivoi,.)!,^ «ju'.iu c nirs.le-: p o u r i a r t«taraok.
mener 14 prisonniers. — A uCour» do la
l.'i.s «le H r e s l l.'s .I.H.'giiés nis.se- o n t i n a Dans la régio: d'HOEVlLLE,
n i d t d u 10 au 17. une U n t a t i e ennemie
i o u r s prot«î.-,te :IVPC en. i - i e c o n l r c 1.. :.iit
un
coup
de
llemand
«choue au nord de la même ille.
échoué sous os fcu.T, a
.|uo ces asM.nil..lco>< p i o v i n c i a l . - s |i.);ir.
-XXlurs de la n u i t d a 13 au 1 1
r a i e n t .'tr..- coii.siilei .'Os con.ine Jes r.'iireA u sud d'ACHEVlLLE dan la
A
u
snd
d'ARRACObrtT,
dans
seiitatioiis
«ies pays ...ii .-lies s i . ' g e a l f n l .
nuit d i
la n u i t d
l< au IS. les Anglais ont r ^ u s
' au '2.1 in..r-. une lorte attaq
ennemie (.elanous M i l l i l p o u r ."-tri- assurés <iiie !,•
main et f a i t des prisonnier», en coup d(
ir
nos
positions
a
donné
lieu
à
u
n
v
i
Conseil
«le
l a C o u r l a n . l e o . s t , c o n i m e i l \ i « ' i i t Peur ha penaos ho delc'her
n'éprou
vaut que des pertes légères.
nt combat corps à corps Nos I m m
«le le p r o u v e r . «I.,ns u n . ' t a l .1,- «loineMiont.
partout
gardé
l'avantage
"
f
'
'
^
"
P
elle
ci)ni|)l.
ti! vi.s.à-vi.- .le l ' A l l e m a y n e
Vers GRAVELLE, dans l a n u i t d u I
goude beza guerzet ?
. repo
ennemi en l u i faisant de rnsonnie
<;iiilla>ime a, (>:iraît-il, leliisi':. On . l i t I':r 7.i7,unveziou lieiiK-not kalz kezek a
iLus l'esVr'n'î
- ' D c u r s i o n
'
j
u
11
réserve,
e.ir
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l
«si
i
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i
p
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t
e
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l
e
[.umll.es,
et
l
a
i
t
des
dans les tranchces allemand
7.0 bel pr^net gant ar « Itemonte » lia zokcn
prisonnier!.
Ile c o u i . i i i n i ; .l>ie:i|.- p o u r u n «le .^es M ; t.a.-t ene:u' pris liii.'l.
il
p a s < - r u . l e v ir in:i;iipier «le
A l'ouest do VILLERS-GUISLAIN
-M.vs niverii/. eo ar goiii-riaiited ha n'Iio
dan:
.le
peiltl'S iianileslations . p i i l U'II/. k e l bet perz er «•, brcsk Iakeat var a r
« nuits du l i au i.", et du I.S au i:>
J g ' d de U voie ferrée d'TPRES a des coups de maiu ont été cxéc utcs
autrefois- 1:1 il a 1. pondu'
pri.siou-z.-, I.iiii rebeiid marc'liadourieii
du 13 au l i mars. les Anglais s u r les liçncs allem indc!
aya.l. dre 1,1a .'licjuieiit e n bon r a o k an p r . s i . l e I «le la Di.'U: : - <
.iiie p . i i e - u r i i
I M M M t r t s de raids allemands ont com- les prisonniers capturés.
ir..n.l.-.!
isaniaiil-pris d, net var ar c.'lie
1 Mnoé.
.r.ivtv,
;
nonid.
z.îk l i o «ic iizgoiiiK'zi-tarc'liant braz«' b.'i r
Au nord-est de LA VACQUEBIE les An
RUSSIE
^'cur «•si j . r o . aiii> •r ba 4ant
lande. :
;
nebeud a boan. V a r euii
MUCAP'ELLE
et PASSCHEN- gte.s o n t réussi des incursions dans 1°
iissam-i • l a i VIaz .i iiz ar «;iic/<;k lio devoa prénet
•tpl.in
O n se r a p p e l l e nue le I r . i i l é «le paix
nnit du l i an 1... des raids lignes allemandes, dans la maUuée d V l i
h
o
l.-uz
1
mars
et
au
cours
de
la
n
u
i
t
d
u
I
s
au
iené
à
Krest
dfi
i;.)uiiezct «;tre kant scoet h a
- i l l i i K i n l e «filtre l Alli-• n t ét4 repoussé». Les assailc ' b . •< b haiiit l u r .
populat.o
^
pertes importantes sous Nos alhes luBigerent des perte» à l'enn» magne e l .si-salliés 'I u i ^ e p a r t et la Î M s s i c
î l'autre «levait r t '1: r a t i i i r , c o m m e i l e^t
V u e Die,
.M i . t r i i z «•<>. r a k , m o g a v d i n : i r c ' h r e s k
des Miiu
mitraillei
-- le* leuz
,
«iiieusES
' et ramenèrent des prisonniers
a i l l e u r s «1 usa^'f «
'lalllc :<li.l.ikeal
p r i s i o u ar c l i e / e k a ioa, e g u i Il
l.ar.'ille
ni.it
ère.
Cil c o n t r e s L'I'IH
i î r . i î ' * ® , ? . ' ; ' * " réitérant en
A u sud-est d'EPEHy, nos alliés ont exéi.i
t.
iia.-.l
^11 «ii'^i.ll a r g o . i e r i a i i t e d euz air
i
o
iiez
ri.'S Sovie
^ L J S i l S*"**' ' » m»
d e . cou
PS de main dans l o j n u i l , d ,
;>nc i r u i . i
Mus<;i
r.i.
Mev.-I bairov;e_.a b o
b.Ml, I, l.'Voa b,-t
oonp» d« m a i n t s t , l;i »u u inà
it d u f . «u 1
/•UtT « c t l . j <,.„>r
... 1.;.:.
lak.Ll .,r \ . , r c l , r . , f „ „
I» K M m w u s M n o r a - n t a.* d » »TU«iini<
I - i i » i>;.rt. i L
i.i. i'.,î.nu;i' .1.1. .1.1 .••r l „ . l o . t . i i , .1, , . „ , . , . i . | „ . , „ l i k
IHUl.l.l
daiuletaMtTttcat.-
FROHT ÎRAÎIGMS
te c o u e l U e r d e tutelle
cfcotsi par la fmmiUe o u a r e c son
.
8Ho«c.<Ua»<le8castoutalait
_
S f i m n e l i . o a e teille e n a e c e p t a U W .
• • • * * I M e n p p e l e r « a ' e U e d a É t l e ctioi^ s f P j t ^ f s « i c f o M r eetaii «nfOD -«oa: Ou CÊba-ià o u auntm f
l a personiine
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atan vTji'-aouiff
IMAtm ov?» n KO t> nKa.ian
1P>19 •i»iiv}S »0 '««^rf. V
stoaSuoif »l 'uotpnfmwm
-^ft^iPi
vp
•vpa k l e r e t pe seurt U o t a cTiellent da neiiii au « n i r s de.-i damiers eofflireœenU d u
ober, 3-oart k r t chomef [ * ! ! <ja varc-hata
URES T
Pour éviter tout enconihreaient i I cne ou
H h e r r amzcr ial-l;! lia re-all e-jz l;o ferz
it.e retra;:.-. I. s iean.-s c jn«.-rii. sont p - i "
D e a i l . — Jl. Corentio Le \ c a r i , dircct^ii
bo deuz riMict fcro-Leor. c u z an eil pp::! i'I-OUEuKK.V. - Kermarrec, J c . n - U . w
v:ii;aiuo .4U1 leur e-t indiquée, a
recommande a u 1 jii.-ii'ire
«5'cbe:^ ba prëiiet buan a r c'hezck mail , du J o f d ai luleritf : - T.-i.fui!0:iisîe au r i - rtui-i^urri^r d , i
chement
d-.II.
O
h
^
.-naigré
la
vi-Jeiod
u
moins
de rais.>'i --rieuse f.t t?ii -or- .Iaa« c
prières.;»
«es
iecleuis
!'5:ne
de
s:id
r
i
s
.ad»!
g a v e c t var ho hcuL Oucîet ç lueuz locr
d \ i t » •31s. on les prie d .^rire à JI. l'au.-aC-nier de la
c b e l . hap ema ho ?oaze<i var an dacbeot: bomb;.r.lcmp'iî s esl oéf^usé -rui-^ <wnnt'r ;x)uis. éléve de l'Institut
ré-trve des chambres
o i^nva pa veleni ppeemeut a arc'fiant . pour at.s,.rer :a i i a i ^ D l«:«phoniaue au l i n i - .Métiers, iécédé dans I». soirée du 13 mirs
e! des lil«.
'al de la .MalniaiwiD. #iai!l parti avec un l'àïe ar IS an? et i m n
Koliect Tar t o :ca:ie<] euerael d i varr'J:a
Les
j
t
u
n
»
.
-ens
sont
priés d'apporter avec
douriea.
•-"oî;''""
à laltague d» ChaviIl remcrci»- les p»-r<.ones qui on! bi»n T O S I I
? t s f s cc!»<iiiieBces f k t e a
u j de» cantiques
ossite;. rriin-tiei-nemeEl co.iiai" i l le df-sirr.!
D a r a manezc a l a r a r o ; • Kcmeat-s••n
les
c
i
e
'
l
:
t
auss."
quels
cocimnnaoté ne T-I'A
~ Guenségaez. S/basten. =iui oisrf-ques a-lé.'.recs dimancb» â Preït. " ' n l a J l h b l e m m l SDPo'eo ket j u s t ; mes petra v o j r e a t a-eoep
'-tirra leur fournir du sucre, même poor le
du
d m f a n l e n e : - Le 2 mai J9I7 avant les amis qui s'étint trouvés emi^éche» ce
> par l'empl.ji d u raerreSUeuz
an dra-ze T •
•îieuoer do matin lis jutonî donc 4 s en pour
vu son camarade de combat tomber ^oi-s tenn à 1 assurer du tcncount de leurs prière
xppar^tl
pneumaligite
«a>u restort fnvenM
R i , koaërianted, a diefe ober d a r \-ar cf^ y e u t en sortant d'un abri, n'a pas h.^voir eux-mëiues. si du moins ils tenlentqu'on
i ^ T s n c
rfhadourien. pa veloiap e u r c-holl braz euz ^ i t i à sortir immédiatement pour alerter ses pour le («ubeur du cher défunt
•uisst leur servir du calé
bon ta. ar inemes taol c t c I ma reont deonî; «•araarade,. . îS-citation.)
personnes souflrant d e B e m i m .
«^-•"S'es
Cben-.lns de <er de l ' E H a l — rvep-ji» 'i
Enfin, ce qai n» peut msBqoer de faire plai
aJtez.
'
— Gccnnégaez. François, dn ï ï i » d'artillc- 18 .-ouraot, !e train B-!4 (oujfcipui. qtj: l a.-.;
-ir j u j jeunes cjDscrits. on ancies ansdoier hnorlu Dffrentes. .îtc.. sotllcttées o d nOB
Ped guech eoudc Dcza ^ w e r z e t lioi n e : • .\ mnii!r«. ea loulcs eiroTn-^ia-îc'^ de Brest à VJ h t i , a été ni.jdilié ei tr» èreiiar les réclames des prétendus euêttoi.ihtairt dérore d., la lée.cc d'honneur el
«mata! on eur foar lia beza
o c ' h obc-r rio.amm'-iit d u c au
-eurs. 7W doiceni rien ftre avant ^ a T o i r
in:il. rji cour-jj.»' el l-aii.ie.'îieaD -lies les condition* sujyaat''eir.m^iii rtlormé pour fati,:uc--. après a
sUapenn cpad a n dciz v a r a r blas^nn. e lii.e ^ e u r . un cnt.-aiD et un mOprss .-. n u r Bre<!. dépari IS h. i " . .
Rod» is h â"
deux aonces au front mime, v k n d r t .«sayé cet înconparable A p p a r e i l . l e s a a l
rcz lia c'houdeze laosket gancomo bon •Tiiable du danger. i
^
Kerhuon t» h 10 ; La Korest.
l"i
U - , " i r lair- une ou .tem cra^lrrencc p i r seniai- w r a i i n e B t s c i e n t i l M n e e f e f S c M e .
anei-alet lia kollet deomp l i o r l.->ar v a r zi?a- ^ BRE5T. — m: rabb# Morvan,
t l l e s auroni iuieret à r e n d r e visite ii
aux de.'Beau. arrivéo. 19 h. 35. départ. :<> h. 41
•e.et l î u r dire ce q o i l faudra & i r t pour être
r e * ma lez aa aotrooiea-ze ganeoinp (:•> (v>nr.«s. actueUe<n>H)i «uia-^ier d û
ir. bon soldat t r a irais et en mime
temp» un I I A ^ ^ V E B I E . q o . les reccTO dte
arrbéa î ATCebou-all memes goude beza rhissears: • AumOnier béi,Évoir. s'est parT i t r e s r e t r o u v é s . — Dam noir» Jeruin •on chrtt.en
h. a 4 h . , en lai-sant p r o f l t e r e r a c i e i a e l i o maget eizdevezhagouspeni:, ha kcmç .îeulièrement fait remarquer da.is !e«
Doméro cous disions qa« des titres valiid
ment chacun des conseils d e sa '
m a r boan d'ho c l i a s s da Landerne p< T S ^ o ^ " ^ - ® septembre 19n au ÎO o c l o b ^ l i t B a francs, araieotété volés à M. Laoioa-.r
.î-vpérience à :
Oue.ssant
<ia e u l leac'b-all e vezont laosket saneom' • t du 20 décembre I9f7 au 11 inar<= 191S S demeurant roc ^iararin
M o r l a i x , Dimanche;
d a z l z t r e l d'ar gear.
Vendredi M Undooar troova épin?Ié a 1 P ê ^ e n r d i s p a r u . - Joseph Kfrlnet. ra* B
^ a o t quotidiennement visiter les aostes
REST. Lundi î j . F
M a r h o deoz g u i r a r varcTjadourlen <lr. fournis par son anit«. de préforeace les porte de soo lofemeat, on billet lui aDconçonr 00 42 ans. de l-enn ar-Gnésr. était [ « r t i à I: C h â l e a a l l B . .Mardi
ciUtion.)
que ses titres se trouvaient dans les ^ct^r-cl-toel ganeomp-ni h o r chatal en e u r goli plus cxpo=é5. .
-che a o i moules Comme i l n'a p i - reparu
.Maison.
sets du Café de France FUectivenienl. on I"- supp^^ft .jo i l aura été enlevé par one vagae
^ arrhès, perak m i e l l e m p - n i k e t ive h(
y n i u i p e r . Mercredi 27. Hôtel de r B t é é .
découvrit dans ce lieu enfermés dans une en
delc'her en e u r doubla an arrhes pa ç a
; > o i i a n > e i i e z . leudi 28. H ô t e l de F â a c e .
•égaille militaire
•eloppe. Les billets seuls manqaaienl
Tomp ayantach oc'h hen ober?
> J u . u p e r t é . Vendredi Ï9. H. d u U o ^ ^ .
PLOUZANE. — Troadec, Prançofs. d u 8* Le voleur s'était aperçu sans doute qu'il
Mes n i Rouènauted ne g a r o m p ket mont
Berrîen
» a o n e « . Samedi 30. H ô t e l d u Commerce
iment
d'infanterie
coloniale:
.
Trës
bon
:Tait
été
volé,
les
titres
étant
nominatifs.
» e n e p hor ger.
et de l Epée.
D é c o u v e r t e d'un squelette — En con
Idart. eicelient serviteur, a tiujou!-» fait
C'est épal. voilà une cach-tte a laquelle 1'
Ha goulskoude. pa velomp e u r m a r c ii:i
1
- O R I E . v r . Dimanche 31. H . d e Bietaene.
'5
dr.DS
sar-nne.
M.
Françoi
•n devoir. .Noihbreuse.^^ annuit^.s et camD.i- député Turmel n'.ivaii pas sonsé
a o u r ho c'hounit kar.t skoét [K! ousp'-ii:
rroff. fermier a «".o-^ssaiec. a découvert dan- l a r a y . lundi I - a v r i l . H ô t e l d u L f o n - ^ O c .
:nL-s coinniales. Deu.T blesMires, une citaj a r e u n a i ^ v a i , nie gav d l n e r h c l l .ii>E n c b e v a l f a i t des dégâts e t en m a a r '
ine douve un sqn.»lctt»re;oavertdelambeani
perfectionnées e t appareils
b ^ d i n e c h . ba mêmes didamal dir-.,
— Le l-i mars, on camion attelé defleui.-h.-1 un oniforme iniliUire.
• - U W t R i E contre les m a l a d i e s 4 e B a D o u e ha dlrak an dud. ho doubla hor
vaui.
ét
appanenant
à
M.
Jestin.
entrepreneur
i'ariiii
cf»
lambeaux
on
trouva
nn
raoîi
:rice«. déplacemente d e s ontaaCM.
a r r h é s hag bo chom heb rei-dezan lior.
.!e cainionnase. débouchait de la rue d'.\i
•rmeltant .l'établir .jue c-s rest-^ étii»nt ceu
aneval.
..P'"''"®- P'®se. obésité. « S
B O I T E AU.V L E T T R E S
t^CS, ctc.
suillon dans la me de Siam. ( ^ r suite s.-.n
; rhonoas Cr.'-ull, de Trébuden. mobilisé a
Evelato var a r poênt-se eo r e d i-n er..
doiitr- .le l'allure trop vive, le cheval de t^te i
rcîiment
.l'infanterie,
et
disparu
dcpn
C
L . * V E R I E , spécialiste-brevetéL 234.
«ntent.
liut tourner a temps, et alla se pr.'-cipiter e
I ou 1(1 moLS.
f a u b o u r g Saint-Martin — P A R I S .
_Kur verz great en e u r gemeret arrhes ^
B. C. — Cela dépend de circonstance? face dans la vitrine du magasin de chaussun
B eo ket e u r verzidiïez parfet, n'eo e g u i • i :
sranmes pas jupes. Demandez Ualem
. r i o c e z ceniet eur bromessa guerzidijiez
' votre dépôt.
.Naturellement I I slace vota en éclats • h
^ a g hervez ar giziou a zo kenrjcret evit
-lîORLAIX
Per Breizad. — Votre situation d? père de
lezennou er parreziou h a g e r c'hantoniou.
erifonts persiste maisr^ le décès du d^r- ."•tapéres elles-mêmes furent hrisees. Lechiva
D e u x conseiUers démissionnent. — A
a r marc badour a c'hell en em zislavar»: •iier. puisqu'ils ont été loos les quatre en iilessé au poitrail, perdait du sang en abor
: suite do vole du conseil municipal reeoaOn voulut le conduire à l'abattoir pou
en e u r g o l l e arrhes h a g a r g u e r z e r c n eu
'^""PS «'ep'^i'' !e 2 i octobr. dance.
I.a .Savonnerie d e l a C h a r t i c M e .
Jissant que les éléves indigents des écoles priêtre soigné : mais près de la çare i l toml
e zoubla.
i"!:». Si I o n vous chancc de position vou' yepnisé.
poste dé Saint-Giniez. M a r s e i l l a i s
ses ont droit tout comme les autres aux se
et
expira.
onservez le droit d'être aCTecté a une f o r
-Mes. ma rofe deomp ar marcha'Jou;
'urs municipau.x. les conseillers socialistes die son savon g a r a n t i s a n s Êraùéeh a n t e r - k a n t l u r pe gant h i r en e u r oDei «a'ion de l'arrière.
Le cohs postal de 10 k . e m b . comn. F r . 'ffl
ii.vader et l'ri-.-enl ont démissionné. En
M a r i n pendn. — Le jeudi matin, 14 mais
e brenaden, an e i l r u m naç egile ac haI ^ s t r o i s postaux de 10 k i l o s . . . . . m 81
J. L. L . P. — Oui. dans ces condition le matelot fusilier Jean Le liret i ans a et
MIS du peuple, ils n'ont pu admettre cette dé
n o m p n'eu deuz mu: ar menv.-s ^ u i r i! »propriétaire peu! expui«er.
L a caisse bois 50 k i l o s poids n e t » 180
iion de jastice. les i^Ovres.
trouvé pendu au croc de son h imao à la ca
em zislavi.ret. abalamour neuze n>.- z.il|La caisse bois de 100 k i l o s
> a
serne du 2- dépOt.
«rher ket ken d'ar giziou a ro droad deiim
F a u x l i e u t e n a n t : m a r i a c e manqué. Franco de tous frais gare d u client,
d a v o n t a-enep lior gcr E r vech-ma al'aiement contre remboursem. à l'arriv.
!.e 15 mars devait être célébré le mariage de
La Forest-Landernean
'
m a r c b a d o u r a r o d'ar guerzer a r pez :.
hle.X... avec le sous-lieutenant Le G.... origiM n v e r e gallek « un acompte » pe :ii hi
G u e r r e atix s a n g l i e r s . — l'ne battue oi naire de Lanmeur.
" r i t e u r gommansaniaiit paéamant.
•Mais. . . . i l v avait nn mais. l-eG... n'a iamais
pan'Ls.-e par .M le maire a permis do détruiiX sangliers, â la «rande satisf^tion des eu! t.- sous lientenanl, et .le le sera vraisembleKen-ze, me gav d'in e c helloinp. hervoz
:ient
jamais.
tivateurs
de
la
région
p e b lealded. ha beza dinec'h h o r cTiousKn sattribuant bénévolement des galons i l
t l a n s , h o toubta da e u r marc'badour ;.c
l.crcliait
toul simplement à se faire héberger
Le ( k e l c < M i - H « r h i i o n
d a eun t r a f i k e r a n ugcnt real, au ilek l u i
ussi bénévolement dans les familles où i l v a
pe a n ugent l u r h o r beuz bet digantha.
e
t
anse
de
K
e
r
h
u
o
c
.
S
a
i
n
t
N
i
c
o
l
a
s
•es
filles
a
marier.
kentoc'h eged e lezer da c'houuit diVar hor
Dans le Clergé
Le viceamiral commandant en chef, préf. !
Ce stratigème avait réussi pendant quelque
c'houst t r i c'hant l u r pe ouspenn, p e u
naritime.
sur
la
proposition
du
directeur
.1.
• :mps. f)eui ou trois autres fois, en .se prég u l r i n t - h i a lez ganeomp-ni hor cliatal evit
•artillerie navale, décide
SMitant comme aspirant, Le (i... s'était fiancé •
an disterra digarezen e u r g o l l ho arrhes
N o n v e l l e Méthode d e Ch. CODRTOIS
La circulation publique, la chasse, la pikli. •.pws quelques jours ils disparaissait content.'
«is Monseigneur, ont été nom
Va-unan e meuz great an taol-ze da eur inés '
Spécialiste herniaire
:t la baignade sur les terrains de la Pyrotechni.
Mais tant va la cruche à l'ean
m a r c badour pa m'oa guelet e k o l l e n t pe
S
O
.P^ulasr Moiitm«u:ar«.I»«rlfc
et
l'anse
de
Kerhuon
pro
de
Saint-.N'icolas
Cette fois Le C... a été pincé. Les gendarmes
v a r c'hant l u r , var eur gazek e m'oa guer- de'ifo'j'iu-n'^® Trémaouézan, .M. Cann. recteur
Le PiHtfBsseun
OOURT0IS,
priété
de
la
marine,
seront
réglées
ainsi
qu
i
!
..nt
conduit
a
la
prison
de
.Morlaix
en
atten
zet dezhan.
;uit.
apécial/ste
vo/smn/
int sa comparution devant le conseil de l'éminent
Va den en deuz lavaret d'in e renkin
a)
Cirailation
sur
le?
terrain''.
—La
puhli
-'Uerre
de
-Vantes.
ganantit
LA
GUERISOH
/uw
renta kount dezan euz an dra-ze d i r a k eul
bor
l'est
pas
admis
à
circuler
sur
les
terrains
éCÊ'it,
recevra
dans
les
villes
suivanieà:
lez-varn. Da c'hedal e kouskan dinec h
AuxtUairès à Chiteaiih'n. M, Jaounn v
lés
au
nord
par
la
ligna
du
chemin
de
fer
d.
r a k gouzout a raii re vad ne ma ket a r \ i- faire à .Saint-.Michel .le lir..'st. à Pont-r.\bl)
BotsorlicI
I Ktat: au nord est. par l embrancheinent .1.
M o r l a i x , mardi-JG Mars, h. d u Commerce.
Tionez ganîhaa, rak he-unan en deuz laos M. bourvennec. jeune prêtre de Kersaint.
enceinte 11 dn la pyrotechnie ; à l'est, par le L a r a g e . — I n chien, reconnu atteint d(
L a n i l i v i s i a n , mercredi '27, h . d u Com'*
k e t ho c'hezek gant guerzerien en eur
mur
d'enceinte
de
l'élalilissemant;
au
sud
p
i
X
X
la
rage,
a
mordu
deux
personnes
et
deux
moumerce.
g o l l e arrhés.
.
ins
I
es
.leiix
personnes
ont
été
conduites
i
la route qui suit le bord de la mer ; il i l'ou.-^;
C h a l e a a i i n , jeudi ÎS, h . Grand Maison.
Ho c h o m heb ditenn hor g u i r i o u e leI Institut Pasteur.
par ran.su de Ki^rliiion.
Q u l m p e r l é , vendredi!», h . d u C o m m e r c e .
zomp anezo da v o n t d a goll. .\ral)ad deoini
Le personnel de l'établissemeut non logé.inn
i . a n d e r n e a n . samedi 30. h. de r U n i v e r s .
lezel lakât an t o u l l o u hag ar bountounuu
celte zone peut y pénétrer pour motif descrv:
B R E S T , dimanche 31, h . Continental, (li®
euz a r memes tu.
ce.
F
o
u
e
s
n
a
n
t
Dans
notre
dernier
numéro
nous
versions
Saik AR G.^LI .
B R E S T , lundi 1 " A v t î I , h . Continental,
Les personnes n'appartenant pas au personpresque un pleur sur la censure politique
V o l . — MmeOuiffant, demeurant •lu houre
lel de l'établissement ne peuvent y pénetr. r
inalRre les (rravcs torts que nous lui reyro
ide S h. à midi).
ete absente pendant quelques jours. En ren|uc
pour
motif
de
service
ou
pour
se
read;v
;hions d avoir eus en son brau temps
P o n t - A v e n , mardi 2, h . Julia, (juiçu'à^
fr.
anlelles..stapercuequunesommedc
;ï>i)
•iL.'Z des personnes loRces dans cette zone.
Mais .^nastasie-.Malvy n'est pas morte. Eil.
ait uisparu .le son armoire. Aucune trace Q u i u i p c r . mercredi 3, liGfel de l'Epée.
i!) Circulai,an fur l'an.te <le Kermwtt.
nenie a tenu a noua Lappron.lro sur l lieure
-eules sont admises sur l'anse, les emi.arcatlûn - d ellraction n .ayant ete constatée, i l est certain L o r i c - n t . jeudi 4, hôtel d e Bretagne.
;
;n breton comme en Iraiiçais.
[ue
le voleur dut se servir d'une fausse clef.
aulorisc.!3 par le directeur de l'arlillerie navale
L e P a l a i s , vendredi 5, h . d u Commerce.
Dans les quelques lisnes .le br.îton qu'eik pour le service des personnes logées danQ
u
i
b
c
r
o
n
,
samedi6,
Grand
H
ô
t
e
l
Central.
iious échoppa i l n'était pas question «lu refu'
Laiiriec
•tablissement.
V a n n e s , dimanche?, hôtel d u Commerça.'
des cre.hts militaires par les socialistes. refu<
Croix de guerre
c) f/ia.s.-c. _ La chasse est formellement in
et de l'Epée.
P é c h e u r s noyés. - Pascal Ouélennec,
.lont le rappel, au .lire .le .M. Cléiiienceau fut
tcrdite
sur
l
ansc
et
sur
les
routes,
ch.'iuins
e!
P
o n t i v y , l u n d i 8, hôtel Grosset
.1
.ans,
et
Jacques
l'enpiaou,
Ul
ans,
marins
BOUHG-BLANO. — Traonvouez, Piorro. iJu longtemps considéré comiiic un crime .\ous terrains nou clos de murs appartenant à w
p. j lieurs au l'assa.çe. étaient sortis en canot
l a - .l'A. L. G. P. : .. Canonnier tiCs bi-ive <•! partions .1,! certains exploits décr.'tés nns'u. re
VENTRIERES ANÀTOMIffSEt
ine
Le 12 mars, ce canot fut retrouvé chaviré CEINTURES
plein de dévouement. Le t l novembre 1917. p.ir les Ilotes illustres qu'abrite ai-tue|lenient
POUR REIN M O B I U E
Nche. — Le droit de pi'-che duns l'anse ,1e lans la baie de La Forêt. Le même jour le
la batterie étant soumise à un boiiibariJe- la prison de la .Santé, ou par leurs cousins.
D
E
S
C
E
N
T
E
d
* MATRICE. ÉVENTRATtOU
Kerhuon
sera
affermé,
par
l'intcrméiliaire
deIVau'
yu-ilennec lut découvert Ilotlant sur
nienl pariiculièremeiU vuileut t t précis, n'a .Mais ces < iploils. avec leur coté nntirelipas hésité à se porter au secours du per- gieu.^, étaient pour le moins aussi politiques Domaines. au profit du Trésor, sous les réserves
seront indiquées par le directeur d artilleri.Le corps de Henglaou n'a pas encore été
sonnet réfugié d.uis un abri en partie dé- que le relus des crédits militaires, encore
retrouvé.
? pour les exécuter i l eût fallu faire appel à
moli par le feu de l'ennemi. A fait preuve
<l'iin beau courage peiiiiaiit tout le travail la force armée.
ISai'jna'ie. — Il est interdit de se baigner
d'évacuation.
Plugiiffan
Kt alors de deux choses l'une : nu M Cle-dans l'anse de Kerhuon.
L.S gendarmes de la marine constateront
L.^.MBEZELLEC. — Frangois Guillarman, menceau se moque du public en disant que la
I n c e n d i e . - Il faisait froid le S mars. Auscaporal au Mi' d'innuiterie; •• .Ifum- capo- censure politique a vécu , ou parmi les cen toutes les infractions à ces consignes par pro- si J.aciines Rolland, toans. journalier au bour»,
ral. s'est signalé par sa bravoure dunuit Is !urs hrestois i l en est qui se f.... de .M. cié- .es-veri)au.v réguliers qui seront adr.tssés .1: avait-il pris soin de mettre une brique chaude
reclemcnt à l'autorité judiciaire compétente
coiiibat du 16 avril 1917. en enSîVant bril- menceaii.
dans son lit avant d'y monter lui-même. Mais
•Signé: ! ' . .Mohe.m;.
lamment SP.S hommes à l'assaut des lr,.n.•inlormaliOR supprimée dans notre partie
Précipitammeùt"'° """
chéfs ennemies et en k s encoiiiMi;e;iiil frannaiseaTait .-té empninl.ie textuellemi-nt ii
L
e
s
u
e
v
e
i
i
dans les moiinMits difllcil^s. •
notre .onlrcre brestois du '.I mars Klle avait
La maison qui .appartenait à M. Crall, proSt-PIEimE-IJClLlîlO.NON. — .I.Mii Maguour, paru .••pMm.uit diiis un n^Rional. .Nous nous
pnetain? a hertangiiy. tut complètement déd u 22S' d'arliilene: •• Tivs ou» brigacli.'i-. a, étions bornes à écrire .. exploits de Cl.inois »
R e t r a i t e s de conscrits. — Deuv retraites
dans k s nuits du p j au 'j:! ootuhri! I!'I7, con- lu hen de.- l'sploits d'Exotiqu.'s .>, el «ajouter bretonnes seront successivement pr. -h.-es à la truite. nés voisins ari-ourus avaient dil se
duit avec beaucoup d éni rgie l.'s ravitaille- que aBresscurrtel'agent avait été plus adroit Communauté de la Kctraite de Lcsncvcn aux .orner à sanvcr .Mme i;rall, TO ans. mère du
pro|,ri.-taire qui cou. liail au I - éu^e. Cette
ineiils en munitions. Soiis les bombunle- que lui
conscrits de la classe Ul.
'nobilicr, cl une somme
inents à obus toxiques dos 1!) i^t iO octobre
A la premiJu.! retrait.-. ,iui aura lieu du d,^7'o''fran"s"
Le mot .. chinois » se trouvant r.ipété à plu
a fait preuve du plus Rrand coiir.isc. »
sieurs reprises dans le texte de nos confrér.'s mardi soir, 2 avril prochain, .-m samedi s'ii
I.I'S pertes .le son fils, évaluées à 5.000 francs,
vant,
sont
convoqu.-s
l-s
j.
uiies
conscrits
des
TIÎEKFIAiiAT. - L'Hénoret, Jc.m. du 2aS' une nouvelle question s'impose le dépule
sont couvert.^s par une assurance.
d'arlill.?rie : - TrAs bon liric.uliei- f;)i,:int tniile Constant s avanea-l-il trop en allirmanl c.yilons de Brest, Lam!..v.ell,:c, .Saint licnui.
aa r e p a e d u a o i r
fondions d'artilloi.jp. Au cou?-.- des up' :.i- a 1,1 Chambre .ju il n'y a pas deux poids .-t l'Iouilalmezeau. Lannilis, l'Iabennec, et Letions d u l>". au 2:1 octo'jre r.il7. a. à plu- ..eux mesures, et que la „ nïpublique des neveii.
la seconde retraite, qui aura lieu la sesieurs reprises, isoli- sous les boinbnnl.'- camarades » nVxiïte plus ?
suivante, du mardi soir, H avril, au sa
mcnts li;s foyers d'incemlie qui ineii:i.;ji. m
l'oiir cette fois nous en resterons sur ces mainc
"•'li suivant, sont convo.iues les jeunes cons
Ips abris
munitions voisins, iiot.uiiiiiciit constatations.
ts
.ies
.-antons de l,.uidernr;aii. Plondirv
le 17 octobre l!'17. ..
•Mais si les mûmes tracasseries se renou
Sizuii. i.an.livi-iau, l'ioucsc.it, Plou
SIZUN. — Caroff. .l<?,m. du Pi- il infinloliaient par trop souvent, peut-.'tre ronvien l>aou!as,
-de.
>ainl
l'ol de Léon, et autre-, cantons de
rie: - Pour s j h.^ll'' ;ittitude <i.-\;inl li'ii- drait II de voir .le plus pr.'s.
to'it le Haut l..'<jn.
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nu i- li.'u;- iliv. atoCli. i' }:ani.,l.,.l«l c wfc.'iik an amzt
i min i r ? K k.-ni.'nl boiirl: lia k i . ,aden
: Kemcnt-ma ne hado k; -uciiiieien dispignet heb ezomm... A r
o lislivi
i- iiarroz a hedc atao ! K;il.'ntel
rvmciienl, . n d.-.voz.' .ilj.i rnn .ir
•?... Allo, ar fouet n.ni;
•J f.-ii
loiiai'kiz
ken dizoursi. ha ne sonj ket
sla.ï
oiillii
.
1
(la
llcli..!
ka.
1
• • ' ' 'b' '! ' oii. r. Kr i:-!u.-leli,ri. ••
var ar c'.'i.-zek...
tiiii aiii2.;r da z.mt 1
l'.'liM zo 11^vz-l,i. .1, inin.u- •?
c h.ai
:
.il- stcr i nr ijonr. 'lKz kui-l. ,1. , Zl'tij..ll
Keariz a ileiie v.ir ho zrenjou ovil
'Miuz
outhan
•
.N'obcud
dcvoziou
goudoze, minor Kerzu•.
iinan
.'iiz
a
•loulik
kemeret pli.i.i.hir o srllol. oiiz
1-1 ar r.iinpia^anlc.l . o treinen : ai
-•"I en f i n giviiz cnn .\aoned. . \ n amze->
•h ' n ,tn z i i i - l a \ , i r an .l.jnr. .1
z-k a i..a d a n lroll;k loiiarn hutt a zas . .1011 kenta a ce tenn; eur c'hemm Tjraz a
II
'-'.Vclr.<
iievpz
.
„
neniel onn bel v.'zent d.dchcl .• koni p . h m ; n.:uzc ai
lejz hcteg ennh..n. Im.s e dok enii .
kaoïil ar pn-fct ! h.
r n n hent . ha kenavo ar haradoî..
a ga- c t.. ine hi.iii a huiiez i - n i i a i..uc'he : ke /.o être huez ar zoiidard ha huez ar c'houB"
• .\'ni'oii. ••mezlian. ni'ho p.:!'.' ai
ile.P
•lad. Kr gear. » klah-ioud » a r a diouz ma
kinni---el .l'im - gon- mcut-man ne hado ket atao !
— Gortozil-Ui potrcd. in'az eomp a^om •Il zistoiiez .i'iiiii an h.'nl herra da . Il d^
• ro cnii e spered hag her\'ez an amzer; pk
lit oh.
nr
•'ar! s
gana an Tralala var bount an Naoned !
l ' -Mi em !-avjnnl v i r an d,i.-li,-n-v,)ic'had ..•2 sfc'hor e ia d'ar park. d'an deveziou
Mez.
a
.IiIIh
An .Vilrou a r.?az ..-ur mu^c lioi.vz liai,— Sell, C.wrnole I .M zonjo deomp oo.i
.-iao e choum v.ardro e d i : meslr eo, n'en
{•.'nl.iz:
o.iz
hren« pour. kaol. ..iianoiin ha palalez.
.•jaden .Je be.in :
®
en cm gav.-l e l.,in.ii p.^ll lOa !
,i.niz den d e goiimandi... nemet e wreg
>•.
lo
ini.ir
— De di-tav ! .'ine .laninar. ^-Ilil-la po
Penaoz .-ni.' .lani
— .\"eo k' i kcn hr.iz va li.isl . i j von' .la
g..ni .1111 dreimi
iwechou ! — - Van zoudard «, hen, pa zlIZ var ar n i .'IIP Cll..'IIIIC bîjin dis- Ire.l. p.gen tniilhek .-o ,.n .lud er vVo
^ervicha an Impalaer. Ahp;u aw^.lc li en cm selx'Zel. i h o
• Nlcv.jt kaiia ai poi i-lioII,'t. e z..ot:I
e zaoulagad, ne wel enn dro dezhan
un tro iic'hi.l IIMII. .N i inoiichoiier .irouzouk. na koiirr ^or
«avomp dii-hoiit ! H.i ffoulskoml". p' ^ w i r . 0 Tralala
iiiipr..' il kcl j l l.ilin.
H'met mistri, re Vian h.i re vraz; haie a
a groicii o.iz
I
r
i
:
p
lia l.iVaiieiKT ! K fci. inc zonj e leskoin; rank d i d j n peh ,->mzer ha morse nemet
r i d dilcz.'l ;.r c liornik hro-ni m. koiilz lia
b,'za. ra', c
lia,-h., a r - .
•k'Va'r al>-.d - j i i n . ar haoucMitez
iiioni ,1 L-aloiiii
iick.-l-!u .k.hiii.ir ? Mor.-f
, cni' ar c'i;oM.:o .1 liIZ 1,1,MKl.
loim l.raz ..r ••!.• 1', 1 ! a -Vr pcz a roa .hvhan koniz fvels,. oa a, %lanv e ve n'en deuz gwir da lavaret : nan,
ue vezomp kounlant vai .111 doii.ir :
•l',' !,M0lll lu"g.,m eiir v,,i l'V. l u 1, ziiz : ilrnmiczed .l.ni.M da oher ho m,,relia,I ,li- l' iod d'en em gl.îmm en deuz a v a d l ha ne
^•iiiezin hini euz pntred a r . réservé • o
ii.ir
.M'euz aol.n. v a mabig. da
Kaloun an don 'zo rc c'lio,inliiz ;
Il 11', 0 goiief. .iivoiichonei- h,, ,l;<avaneh.v
'.1.
deziio n'euz ket eun unan enn ho
k.a ,pinvi.iik ?
P'nn ileiiz pwoii
c'Ii'.iil. n niz.
Ar \ . v | i i r a r - . z ;.-ir zn> d .l loiin-n ' •ivarel
iV
a n'en de.fe ket soriic'het oun devea
• .N>.II 1. ,1. e
nie cL-il,! K,'i
(''..n deuz Mjc lior e c ilolllr;. i;|„i,.
.ï.MP. akio . i a n iroltik-ioiiarn. .\raok iii..n! .»•nez
— D'ar inintin abalamour ma ranm. .-m- ,v.i U- h. Im: ,i. f.• pi-, n••'1 di'J i^r.^.lei|.
Kim ilr,. b'niias o v j n k ala...
,,oir jaumar
lavaraz .•ii!, -, tzevez.
sev.H rp abred, goudoz." .-«balamour e
zuii,'r,^z. r n r simk a z „ 'Il U.' iinnk ! • Ul- .iP'i iMiz .-.u.'noli' ;
— 0.,.iil"nhoiiip s.•••hor, Cwenolc, .'1110
\ez.- teir hatatezen du ziskruchenna I Gou..m
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• -Mait. z.' on lainnioii .. ilaprnne.l - a 7. I.' tro ar c'haporal pe ar brigadier en em
•laniiMi- ; k j z i ziii- ..h.rz on i i n ;,Moiil .•
ni k.-i
la Ilaolil .•ur ,
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, i „ , „ , | . , i „,. .t.Miniprciii.n! kcl ma.,^ave tro ar serjant pe ar . m a r j i . . Hag
K.-mpor. e
1. i,n,, ar h iiMoii le;ar nrczoïmck. lia ma le,kr,-z .l ar - i:i.-u-d • .n duiihlard - p#tra a ra gant arc'hant ar
»Çojt. liai; .•rt'^oc'li .M (j.iloiipal eiiii ii.-iil
b,an-iiia kaiia -, zoun e .i-'allek ? »
'>cac'li Ck'ct iMiikoiit moMl. llip-il.ip, lmiz m
rabiot '? » gwelloc'h e ve dezhan r o i
- - .Me o,.r an dra-ze c gaîlek. cme a; icomp enn tamm . hidoche - a zoare da
.v^'""
"^Ï''*-"K^V k. i
lakaat ouz hor staoni — Biskoaz n'era eus
Rhi nciize: ha hromaik. p'en .'wclet eur .. fourrier » par d.t hen-mafl I
Hcir e ve .l.-omp k!,.-k dispU'i-M p. n,...z
r.Mz :.r hoirf.i ho li-nl <•112 a Landi htle..çani slal . ur pa<l.<zi,.r me .\e vez kountanl nemet pa vezer oc'h eJa
ke.ir .<anl K>.ivnliii. Kiiii eiir di--iii.Mi .liv
m- .•hoiihkad
koiiignou ai
(loiunn (Uevue de l i l e r i e l Planches de^
liuiiieiiîJol cz ;.,ioi:l d j zalii.lr an llroiin
bout 1>
.V.;ri,.. ha ù'. n .111
,1 ,i„i.,i, h,.
ili'iir.az kel hirroc'li haï:
CPa gensialç'ber;^
P..S-II al.k. ni.-l h, .•M,,,-.'
k,.I...Kn ;,.• , „ ,
losl ar c'hari-oz ; Ça ne
«lijr. lia chellu k i l ii.iiuul .lu .. lioaiz.ii .li13JLcCourrierdu Finistère
< iai>
MINOR KERZUGEL
m.-
VuM Itp
'»wun.vn$tlmi*iminioamn'asmono
>TdfltlâJ MBIM "miMl * B t a M U I l Q n i
QOMMtlV MtBKÊM
1
Pendant ce temps les pompiers accouraient de | Le canot fut découvert chaviré, au nord de
.
BBEST
Lambéiellee, de l'arsenal, de Brest. Leurs cllorts i ITIe Callot ; mais les infortunés pécheurs n'ont
A n M b u a U . — M. Ernest Binet, ]u«e i durent .se borner à faire In part du tcii.
< pas été retrouvés. Ils laissent des veuves el
• M i , ftir M demsode, nommé juice
I j i maison fut entiéreT.ent détruite. El!e des enfants.
M t r i b a i M l d t Brest, en remplacement de M. appartenait & M. Gué^uéniat, de Traon ouizao, ^
Ctnfdoo, aoaoïé conseiller k la cour d'appel qui évalue ses pertes à 40.0011 fiaurs.
.Audieriie
Reaim.
Sur les sept locataires cinci sont assurés.
D a n s n n l a v o i r . — Jeanne Kerloc'h, M
f
M. Bhiet est originaire de Brest.
Tous ont perdu leur uioliilier ; i l fut impossi- ans, de Kergadec, est tombée dans un lavoir
• • J \ V « U l * I « o a r « . — Depuis quelciues mois. ble de'sauver quoi que ce soit.
N o u v e l l e Méthode de Ch. COURTOIS
nu cours d'une crise d'épilepsie, et s'y est noyée. I l
K m I I
i
mm
N o u v a i e Méthode
Ch. COURTOIS
, W U r e n U objeb, ralant SS.OOO francs, ont été
liê(Mallsio de
herniaire
, «MMtnUts da la «are de l'Etat.
Ploiid.iniol
SO.Fautogf Mont.ixiartre.F'a.rio.
Le feu. — \ (îuenrnc, |p ftMi a pris accil a surrailltnoe exercée (It 5urpr»ndre, dans
T o u t le monde' C H U T E S D E M A T R I C E S
Le
Prafessauj'
1* noit da I I «u 13 mars, deux soldats et un dentellement dans un polil liausfar cl une pel'éminant
spécialiste
ijui
f.'iu!
.ossédait jadis:
REINS FLOTTANTS
• U r i n au moment ottUs enlevaient deux balles tite remise, et a commis di's dcprlts évalues à
asfantît
LA GUÉRISON
partlnns, on mo de café, trois roule.iux de 15U fr. Mme Dolou, qui a subi ce préjudice,
Écrit,
recevra
dans
les
rillcs
suiratucs
:
.:-.e tire-lire, et DÉPUCEfilEHTS
DES O R G A N E S "
"toUe olrée et une caisse de chocolat. Ces nial- n'était pas assurée.
L . i : i ( l e r i i e : u i . samedi 30 mai s, li. dp 11
lombrcuscs
' f t H e u n s'anpreesireDt de jeter le produit de
iiivor.«.
)Muuvi(iii
aok inc
,;énérationsont
(la yaout r "eiiz foi«
taor larcin poar prenre la fuite ; et ou ne put
M o r t e a 9 7 ans. — Le I I mars, on a coniiap; a
, .Icuit (la i-'lioulonii ItJiKST. (iiiiiap.clie 31, li. Coniiiienlal, ((.'«
ie« rejoindre.
appris par clic )iou
duit
à
sa
Jerniore
demeure
une
vénéralilo
p<?r-••iii-cn.
(li:
9 h. a :t li.l
Au eoan de la nuit du 17 au IK. trois ma
Icsvcrtusdc l'é- .Mo a ..nom-.s, miilif'Icrn:
l'aris ; Iia5 B l t r S T , liit.di 1 - . W r i l , h. Coiitinciilal
rtudeurs, las mêmes vraisemblulilcment. opé- sonne. l'errine Cam, di-cùdée à 1/ijie de It" ans.
Pendant
sa
lonirue
e.iListence,
ccttn
personne
l.aoïun
i
r
r
ain
or
ma
ovc.saaii
ouz
ar
Ide.S U. il
.
pargne.
M
a
i
s
M e n t eneore sous le hall de la petitn Tili-sse. ne fut jamais entendue so plaindre delà moin'hlonveiou, aiii u'Viz STivelcl kal/. a i l dal- l ' o i i l .\v<-ii, iiiai-.li '3, 11. .liilia, (hisiiit'U
' V u e T i r e lotte seagagea entre eux et quntrc dre
tout passe et li.-t ol ieac. li ni: 'iîoc l. .lalc'hot. \ a loalindisposition. Kt elle s'est éleinle presque
1
h.
//;').
fftrdieos; des coups de reTolver furent tires. subitement.
1 .1 zo aiiax'-: •I or vrf), a roilaii mciir Q n i i i i p c r . morcredi .^î. fitol do l'i-Ipce.
t o u t . . . case.
Un des malandrins put s'enfuir : mais les deux
La veille encore elle était bien portante. Le
a vlvavc/ ;o. l)i< c l i t i i o l a v a r i i i i l iiiK 'li iui l.oi-ii-nt. jeu(ii i. li()l,-l .(k- Urela-nc.
Wtrea furont arrété.f.
Aujourd'hui,'
lendemain, en se levant, son lils la trouva
c'iiciuiac IK.-'.IIkv i j i a i i v t i i e i r o c ' h o l l i t k e t . L e l>:il:il.s vendredi , 11. (lu Conimoire
Au PQIte de la surTeillance, ils se précipi- mourante.
paivot, oc'li iioulia va O i i i l i o i o n , samedifi,i ; idll(,lol(J(îiiliat
nous avons mieux. Oaiis tous les bu-| -Ma e h 'lllt t«
t e n t soiidalfi C(ir leurs gardiens, les frappant
c'im/ulio
vc/.oc'h (liliviot (la viko
aiinoK. (limaiiclieT iiùtol d u Coiiimoico
ura
lieu
le
samedi
reaux
de
poste,
les
travailleurs
les
plus
^
{
o
i
r
e
de
l'Iouvlen
,-&«oops
et l'un d'entre eux réussit à
c l de r i : p ( r .
13 f v r i l prochain.
modestes peuvent souscrire des bons
1 ll^ r iiiveri au (iuil am buuz pa l ' o n l i v . v , lundi S, li.
L'antre, gol put être m':lnt->nu, portait un
rect
;
inc:
«
ii'onia
ki-t
a
r
c'iiiz
uan-on
(t.-»
de la Défense Nationale p a r coupures
oolforme de quartiermaitr? ; mais i l est proCEIHTURES V E : S I R I £ K E s ' ^ A K U O I I I ! i p « t
(JIATKAl'Ll.V
cr.iljaim i a Ijinziidou ; l-.a',' o toiit d'aiii
iwble qn'II n'appartlMtt pas à la marine. C'est
POUR REIN M O B l U e
•
V o l . — Une somme de 130 francs a été volée de cinq ou de vins;t francs, s'assurant c iiaoïil n'.i |.0Z(. aouii olHMl o teiiloii ila
platAt un déserteur. I l refusa de faire couuailrc
DESCENTE de MATRICE, EVENTRATION
au préjudice do M. I.idourcii, cantonnier nu ainsi un intérêt rémunérateur tout en l u i lia ai laout huc'li liano da zon a i l .
coB identité.
Cmissant i.opars.
Kcnicri
tinad
v.i
liaiio,
lia;^
cvit
iio
inad
A r r e s t a t i o n s . — La police a arrêté Kraile
S o l d a t v o l e u r . — I n soldat en état d'i- conservant leur petit capital disponible pa z.-iic.i- h (la ;;!:isk kuzul, gouleiiiiit d i
Dament, l i ans, et Jean .Marie OudailliT.i40 ans, vresse s'était présenté au débit tenu route de à brève cchcance.
zi an aolr. 1111TKI
eorriert électriciens mobilises à la poudrerie Ouimper iMr Mme Le Coz. Sur le refus de celle
KiiVft » vi ziii o :
L'importance croissante des sous- ^ l o
da Mouiin BIano. Ils sont Inculpés du vol de dernière de lui servir à boire, il se mit à l in
n l i ' o i i U - z . f ^ a d o n i :!0 mours, h. Kiiropc
8.300 (rancs commis il y a quelques semaines iulter. .Mn;o Le Cm lerraa .sa i)orlc à c k f et criptions ainsi recueillies montre qu'ils;lï est. .<ul3l. n i Cil ile Zula, o . (Cliain;.
*D pr^ndiee de Mme .Mahé. déhitante. rue s éloigna. A so:
!tour elle v i l le militaire qui
n'ont
pas
été
longs
à
comprendre
'es'
Faatras. Une partie de la somme volée a été sortait par la I iiMre de la maison, où il avait
, r . K. Zola,
(Cliamp
tiooTée en lenr possession.
pénétré en soi absence. Elle instata ensuite avantages de cette formule commode
.lo li'iU.illci.
que ses tiroirs l aient été
.. vidé J, et que quelK.ZuIa •.(Clianii:
pour e u x , et qui facilite en mcmc.''Yv^V,'''^M''~
T o é « p a r u n t r a m w a y . — Le 19 Mars, ques bouteilles de liqueurs avaient disparu.
Mum AaOrat. 84 ans. demeurant rue de la
Les Kendarmes ont arrêté le soldat, qui a dit temps à l ' E t a t l'œuvre nécessaire de Kl4,icr,Sii'l!r.: licr 3, h,
Fontaine, a été surprise rue du pont par un s'appeler Marius Sainsau.
Défense N a t i o n a l e .
!l'onS u .\lia<l, laviu 4. hot. d u Lion d'Or
earitectrique, qui la renversa. Le surlendemain
e l i e n o a r u l des suites de ses blessures.
Pont de Buis
Qu'ils persévèrent, et de T i m m e n s e l ' ' ' * " " ' " " " ' ' ' ' < 1 " Commerce
U
n
noyé.
—
Jean
lîiehard,
3.5
ans,
ouvrier
Lambézellec
— — — — — — — — —
au Pont de Buis, avait disparu depuis le com- t i r e - l i r e patiemment remplie par le
IneaBdie. — Vers2heures, dimanche matin, meiicement de mars. Son corpsaété découvert peuple de France, sortira la V i c t o i r e !
OD des locataires du 159, rue Jean Jaurès, k flottant sur rétanp de la poudrerie. Ce maUieuKerinou, fat réveillé par des crépitements et reui, qui était père de six enfants et avait Oomi n d t x K I O N T R E S
une épaisse fumée. Le feu était dans la maison. son domicile à Leuhan, donnait parfois des siau r e p a s d u B o i r
B l U O U X et O R P Ê V R E R I K
S
iprU' (lo !:t C l i n r i r c u
Et impossible de descendre par l'escalier.
gnes de dérangement cérébral.
po.stedc .saii it-tilniez, S l a r j s e i l l f . c.x
Au moyen de cordes et de draps noués bout
un
résultat
donne
i bout, les locataires réussirent à se sauver
âG.TRiBAUDEAUr,.ieEs«ço«C!l ilio son savoi î i a r a i i t i s.-iiw f r a u d e
Carantec
; Xi'iai.Ul d'Or ou Ctnenir,
l.c^ colis
l.leiiik.iMiUi.ccmip. l'i-.
par les fenêtres.
Le
19
mars,
Thomas
Le
Koll
le
ienùemuin
matin
N
a
u
f
r
a
g
e
.
FRANCS TASIF ILLUSTRE.
'l.os troi.-po.-^îaux d " 10 k i l .
S:!
Cipeodjint JMme CoIIoret, aOoIée, s'était préiLa c-ai.s.se bois .vi kilos poids net. i m i
cipitée du S' étage, en se blessant {rrièvement. it Jean liené Mescam, âgés respectivement de
Dt
et
iiS
ans,
étaient
partis
à
la
pêche
à
la
ligne,
|La caisse bois do KiO kilos
Mme Sé«talen, qui habitait l'nne des mansarBrest. — linpriaiei- e (iu Courvic
C h a s s e u b l l e e i P u r i f i e le s a n g
Franco (le tons fr.iif. '.'ai-fdu r!io:
des, après avoir saisi les draps préparés par son avec le canot /rfa.
Fuufli-r/-, ruo lu Chàloau. i
Lorsqu'on vit qu'ils tardaient à rentrer,
i'aicnicnt contre reinhour.-.oiii, à l'.n
mari, l&ehait prise, et se blessait gravement
iCoiliiKl.lN'
d'autres baleau-\ se mirent à leur reciiercbe.
g-.'
,J34,Bonl' P o r t - B o y o l , P A R I B t l t w U i y i i ' ' ^
en tombant dans la rue.
Peut-on se GUERIR | « | i 6 | 9 £ R 1 S
HERNIES
PENDANT MARS
i-â HiilSIlE
isïi seiâ! g r a i n
d.' -M- Sui::ni.-ii<i,
Ktiides ,1e .1- .il- i t o d o l l e c
tivateur, domicilié à 'l'i-clil. iitudo de .M- S o r ^ u i a r d ,
(lu i ' o r i . î . - ,
taire ,i Sainten i.aunilis,
actuellement avou(', docteur en d r o i t , r u e avoue, Docteur en Droit,
A U X
B R E T O N S
à Brest.
Voltaire, nM3, à Brest (suc- rue Voltaire
Hçiia;. c l (îi- M- I z c u i c , nomobilisé ;
cesseur do .M- Kollaiid'.
13- Maflemoiselle
MarieA U X
B R E T O N S
Anne Le Gad. cultivatrice, deV E N T E tudo dÔ"M-bi'ia.^sori
meurant à Tréfliy en Lannilis 1ICIITC d ' i i u m e u l > ! c . « , en
ÂBlDICÂlfïûHflu^'V^
A U X
B R E T O N S
notaire à i'Iougastol-Daoïiias.
14-.Monsieur Claude Le (iad V u n I C l'étude de M- iJuor- le
B R E S T , 7 9 e t 8 1 , r u e de S i a m
j c i i U i /i a v r i l l i l l î i , à une
vokiii'.airo. on I (.tude et p a r l e
cultivateur, actuellement mo- m u r , notaire au liourg-Blanc, lioiiro
ot de:iiic do laprosministcro de M" do itodelloc
la maison de Tissus, A'oiiic.iiirOs, Con[erlionx, .Modes.
bilisé à l'usine d u Moulin- le m a r d i 'S a v r i l l i l i i t , à m i d i .
d u l'orzic, notaire àbaiiit-Keune heure de l'après-midi.
la plus ancienne, la plus vaste et la mieux .assortie
Blanc ;
E
n
la
commune
de
P
I
o
u
le s a m e d i l i i a v r i l ,
nan,
de la r é g i o n . — C h a p e a u x , t o i l e t t e s d c o o m i i i i i u i o u .
Premier lot
15- Mademoiselle Marie L e
snsIcl-Daoïilas
à l i iieures.
E n la commune de K e r - 1 " lui.
Gad ;
—
.
\
u
lieu
ot
dépenBRUMET
S
LE
GLÉO
De
la
f e r m e de K e r g r o a s ,
16- Monsieur Charles Le Gad n i l i s et par e.\tcnsion en celle dances d u Squiflipi^, une m a i au bourg clo I . a n i h c r , en la
aWEUZ.Ï
.MAnCIl.iD
MAD A R . l V'.l A ' K / f Z
17- Monsieur Louis Le Gad de P l o u v i e n :
s o n , étage ot greaier couvert
oom^iiuiic de l ' i o u m o g u e r , eu
célibataires-majeurs, deracu
En K e r n i l l s , le M o u l i n d e on ar(ioisc.';, aire à b.ittro. La
dix lots.
rant fous trois à Mesmeur en B a n i g u e l , comprenant qua- moitié à prendre au couchant
(Voir les amches).
Lannilis ;
A titre do réclami! oxooplionnollo,
tre tournants actionué.s par d'un coiirl'.l Liors-.'VIlour, ot
18- Madame Anne Breton, une turbine hydraulique mar- d'un p e t i t t o r r a i n l'Iac.ar-Hvni l U l i U U i . L « U U O : .ri-:NV()n': u n iiia.-i:ilii|ii(' colis <lo La ferme c i t louée à Mme
cultivatrice, veuve de Mon- que Hercule l'rogres, maison Colo-Quercli. 3 ares SO cent briidi-rics dossiiue.s s u r t r è s b e l l e s tr(<iffes. pour iino cuve l'alliuii. jii.^qu'au '^J
sieur L e Gad, demeurant à -servant d'habitation ut iiisial- section I", n- KA p.
chemise j o u r , un i-anlalon, u n cache-rorsct, ui:o cliomise eplombre lU.:.'. S'iO f r . l'an,
Mesmeur en Lannilis, prise latlon de matériel de moulin
de nuit pour dame. I^es 4 articles garantis do preini^ r o qiia. lutre les impôts et diverses
Mise à p r i x : 9 0 0 f r .
iit('- sont expédiés sans frais à d o m i o i l f contre roaibourso- cliarges.
en sa qualité de tutrice natu- et de minoterie, granges, écuadresser pour tous ren2*
loi.
—
L'ii
emplacement
inent de ;i f r . 3.; ;trois francs trfiito-cinq). V o u s r e c e v r e z
relle et légale de Françoise rie, étahle à va«;hcs, souos i
M- de à
Kod?!lo.c
u l'orzic, notaire
Saintet Célestine Le Gad, ses* en porcs, cour, maison à four de maison autrefois nomiiit e n p l u s e l K r a t i i i l r i i i e n l la démonstration de.s points les dcignements,à
an
Tv-Uoi:
ou
an
Tv-.Men-Coi:
plus usités. Es«-il o f f r e p l u s avaiitaK€-i!.^e puisquo j i!)er
Izenic, notaire
fants mineures, issues de sonavec four, couvert en ardoises,
Haie.s
vives.
remb.
si
i
on
nVsl
i.as
satislail.
ï
n
.
ÏIXCKT,
2JI,
r.DugaescIla,
Lïû'
!
à
L
;
d i t mariagd ;
annes, é c l u s e , déversoir,
Mise à p r i x : SO f r .
19- Monsieur Nicolas Goa- courtil, terres, section G, nude liodellec dii
chet, (^ou-x de dame Marie- néros 114, i4C, ii7, .'.3i, ."m.î, 3- M. — La moitié à prendre Etude do .M- d<- l . a f f o r e s l , i-'ui'es'.le M: .1. S e i i i c . a v o u c K t uodrez idce. -\1notaire à St-ltcnan
au m i d i d'un champ de terre
î* A u même lieu, une Lande, Anne Charreteur, cultivatrice li.5, 418, 449, 450 r . i ' . l p,
iiotain;
à
Morlaix
licoiicic
a
y
i
i
i
n
i
p
e
r
ot
de
M
p.iradjiidication
puchaude.
Parc
Hamon,
haif
nommée Lannoc-ar-B(:C,n'S7 p, à Lannigos au Bourg-Blanc ; 537, 53S, 539, 5Î0, .Ml, 5Sî, àS3, \ i v o .
par adjudication vo- "-e U c r r e . notaire a Douar VENTEiiblique et volontaire,
arc.s .55 cent., section F
20- Madame Françoise Goa- 541, 545, 5i6, 2 h . ÎS a. Jî).
A , p o u r une contenance d«
e mardi
2 avril
Util!, a
e:i
l
étude
nouez.
_
loiitalre,
n938
p.
chet, cultivatrice, et MonKa Plouvien, l ' E t a n g d u Cette parcelle sera fréquen- de .M.
l a ares 44 centiares.
Jî." de
U c LLa f f o r e s t , not.aire à il-.xecuUr.a <l f l:i loi :hl. 19 13 Ii. uros, en la salle do la
A n n o r d de l a r o u t e de s i e u r François Lunven, son moulin de Baniguel et u n prc tée par le chemin au couchant. Morlaix, le s a m e d i 13 A v r i l .
uni)
maison d.école de Trézicn, en
_
Plotrvien à Tréglonou, une m a r i q u i l'assiste et l'autorise, nommé Foennoc-.\llei;. pelure
suite de l i c i l a l * I o « a r z e I .
I l l i a , à 14 heures.
UPMTP
Mise à p r i x : 3 . 0 0 0 fr• Longère de Lande avec petit demeurant à Coati'vyauBourg- A r Vanel et Fociinoc-an-Ilcut, i' loi. — Le quart à prendre I . E n la commune do G u i - I L n I t . tion . à la mairie (le D e l a f e r m e d e K c r e . « ; c a l ,
section B , n - 53 bis, 53, 2S,le second a u nord, d'une par- c l a n .
P r é et Terre labourable plus B l a n c :
oz, ci: par le m i n i en l ' i o u a r z e l . divisée en
i lJ'.uai
21 • Aladame Louise Goacbet. 63 a. 90 c.
.S4:bamp5, n ' 8 4 p , contenant
lîerre, notaire douze lots : surdivorsosmi.»(?s
eile de terre chaude, ï a c h e n - L a ferme d u G r a n d Ker-|^'-';«
cultivatrice,
et
Monsieur
GoulLe
m
o
u
l
i
n
de
Baniguct
est
environ 40 ares.
francs.
l'arc-an-Hent-Meur, 11 ares î i r a f , con.sistaiit enodiliccs ct,^
„
. „ . „ . à n r i x s'élovant à
' O n antre Champ d i t actuel- ven Mercelle. son mari, q u i revé d'une rente perpétuelle lO cent., .section F., n- 943 r .
terres, contenant en!=omldo : !-0 I i i u d i « a v r i l m i p . a '.louis.<ance offoctivo an
t.lèinent Parc-Brassa, n» 85 p l'assiste et l'autorise, demeu- e 120 f r . par an.
soiitembrc
iUlS.
(Voir
les
alliMise
à
p
r
i
x
:
80l>
Ir.
23 hoctarosG7ares.».'centiares,
''Çure c l deaue de l a r a n t a Ker\'icben en P l o n r i e n ; Loué p o u r f) ans, à compter
«antenanl environ 40 ares.
cbo.s).
.Miso h p r i x : /<0.000 f r .
pros-:iiidi.
Î2- Monsieur François Goa d u 29 septembre JU!!, moyen- 5' h'. — L e ^ u • ^ t à prendre
Contenance totale : 1 hec:
l
i
o
u
a
r
n
e
i
l
'
i
j
u
r
tous
rcn.scig:!omonts,
(Hail
expirant
a
u
29
septemle
second
au
m
i
d
i
,
dans
n
n
•• la Viik;
chef, célibataire-majeur, do- nant 7.50 fr. l'an, impôts et
tare 01 are 44 centiares.
n e z , une i ; r a n d c m a i s o n s'wdrosser à M- de Kodcllec
hamp Parc-Poul-an-Arc"h, IS bre 1921;
" N i s e à p r i x : Cinq m i l l e micilie a u Bourg-Blanc, ac charges en sus.
I I . En la commune de Plois- d o u b l e avoc cour ot déj^e::- d'.i Por/.io, notaire à St-Henaii.
a. 05 c., section F. n- 352 r .
tuellemont mobilisé ; — ayant
Mise à pri.\ : 1 2 . 0 0 0 f r .
frsncs c i i S 0 0 0 f r .
iiance.<,situccrucJoaii isart.ùs.
om.
Mise à p r i x : l.ROO f r .
E t u d e d o .M- « J a l i r i e l l ' o u l i Cétte vente a l i e u en v e r t u M ' Marcel B o r i c s p o u r avoué
Deuxième lot
de l a ferme d u G r a n d Mise à p r i x ; Trente m i l l e quen, notaireà l-andi\isiau
lî- loi. — Une garenne Goa- T n1*- s1/î
(Ton jugement s u r reqnete avec élection de domicile en En la commune do K e r n i l i
francs, ci, :H!.Olii) f r .
o
n
o
e
c
,
consistant
o::
U C I ^ T E : P''"'a<liudicr.tioii pux n i d a p a r l e T r i b u n a l c i v i l son étude sise à Brest 3, r u eau heu de Prat-al-Lann et reni-Nevoz, C9 ares, section F, odificos et terres, pour une (Voir les allichc.'r).
1 L H i C bliqiieetvolouiaire,
n- l l f .
^ B r a n l e 12 décembre 1917, A m i r a l Réveillére.
contenance totale de 1-L hectale m a r d i 2 a v r i l
I ! r » 8 , a,
L e cahier des charges drei prés le bourg.
Mise à p r i x : 2 . 0 0 0 f r .
tudes
de
M
'
.1.
Sénîé,.avouéeorcjgSstré.
res
2S
arcs
25
centiares.
ly
hoiiiës d u maîiû.
sé p o u r parvenir à la vente Une P r o p r i é t é de conslot.— ïja moitié à nrendre
liconcié à Quimpcr ot de M'
A l a requête de:
Mi.sc à p r i x . ÏO.OOO f r .
i,t \ i l i t : d « ; L i u i i û i v i s z a u ,
est déposé en l'étude; de M t r u c t i o n recente. maison d"ha au Icvarit d ' u n p o l i l c o u r t i l
.l.-Cl
.
c
I
j
o
a
r
é
,
notaire
à
e.xpirantau 29 sej-tembre
pré? de rKgiisc. une maîsoi»
t - MoatieaT Guillaume Léon, Quentel, notaire à Lannilis bitation, grango. soue à porcs, i-iors-ar-Guenan. 25 centiares, (Bail
l'Iomodicr::.
1919)
oinployé à l'usine Glaizot à o ù l'on peut en prendre c o n crèche o u écurie, couvert en section F, n- 692 r .
(Exécution ile la loi du 19 a usatre i l ' a u b i T K O , avec
d
u
G
r
a
n
d
T
r
é
"
utre
1/2
ardoises,
c
o
u
r
close,
puits,
rez-de-chausséo, étage et grer A n e i n a c b , - demeurant a u naissance.
Mise à p r i x : 3 0 f r .
1317)
L'adjudication aura l i e u en jardin, j a r d i n e t u n champ f^ Inl. — .Au lieu de K e r a r - i f o n n e c , consistant en édifibDonr de l â o n i l i s ;
par buitc- de licita- nier, cour, écurie sous la,
es et terres, cni-.teuant ensemmaison, hangar.s.
t ' Honsieur Jean Léon, cul- présence des subrogés-tuteurs l'arn-ar-Vengleuz, section } j m é n é .
on.
e:i
réiu(ie
et
ble 13 hectai-es 5 ares 40 cent f ' R t e a r , demeurant à Kéravé- ad hoc des mineurs Galliou n- 3.50, 31 ares 30 cent.
,.11 II! iiiiiiistcrc (ie .M" J.-C. •louissance immédiate.
La moitié à prendre a u le- tiares.
Mise à p r i x ; 7 . 0 0 0 f r .
et L e Gad o u ens dûment
Mise à pri.x.: l'i.OOî) f r .
' ttien e n Landéda ;
Le Doaré, nc.taire à Plomovant d'une garenne, Goarem.Mise
à
p
r
i
x
:
2
0
.
0
0
0
f
r
.
appelés.
.Adjudication s u r enclu ro.
Troisième
lot
S- Kadatne Josêphe Léon,
d i e r n . l e m a r d i : i a v r i l 191S.
Vras o u Goarera-Bcaurepos,
S'adresser, p o u r fous renContre le b o u r g de Kernilis, 45 arcs 65 cent., section F , (Bail e.xpirantau -29.septembre une heure et demie do l'aprév- J>oi:r tous ronseignenient-;,ménaetre^ veuve de Honsieur
191':>)
seignements, à M- Quentel au l i e u d i t Poul-ar-Born.
V* I'OIIII-mioti.
G a M d - M a r l e L e Jeune ;
n- 758 p.
Réunion facultative des 2midi4- Madame Jeanne Léon. notaire à Lannilis et a M U a i . s o n en ruine. 2 p i è c e s
Eii la commune do P l o m o Mi.se
h
p
r
i
x
:
l
.
;
;
0
0
f
r
.
d e t e r r e a u j o u r d ' h u i réunies S'adresser p o u r renseigne- lois, on traiterait de gré à gré d î e m . arrondissement et ca-.
«oHivatrice, et Monsieur Jean- Bories. avoué à Brest.
FUUSdeFEU
avant l'adjudication.
Fait et rédieé contormémenf en une seule, dites Parc-ar
M a i i e Madec son m a r i , q u i
ton de Ghâteaulin :
ments, en l'étude lie M- Di30 Âns de Succès
l'iMMlih e t l'autorise, demeu- à l a l o i par l'avoué poursui- Leurguec e t A I - L i o r s , sec lasser. notaire, et en l'éludes t^'adresser à l'étude de M . de I- A u x dépendances (le L - s
G a é r i s o n sùro <ics
Lafforest,
notair.
vant
soussigné.
t i o n B , n - 383. 334. 3 & et 385 le .M- Sorgiiiard et V i c h o t ,
n d t a a M i n i h y en Plouvien
t r é v o t une mai.son avec cr •
bis, 3S a. i g cent.
5- Monsienr Charles L e Gad,
i l . B O R I E S , avoué.
avoués à Brest.
Etude de M* * f o a I , notair. che.s, grange, c o u r t i l , p-irc ! I
Mise à p r i x : 7 3 0 f r .
c o m m e r j a n t i , Poul-fougueu
de terre labourable ;
â ?aint-I>ol d'- i.éon
^ TigBnft!» ;
Quatrième lot
A u x d(';pi;n(lances <i
ment B O Y E R - M I C H E L
6- J f o n d e u r Yves Galliou, Etudes de M* H e m é i s , avoué A u t e r r o i r de Laneinoc.
Créach-David-lzolla,iinop.-irPÉHON, CHiTEâUBOtJX ilaJrm} .
à Morlaix et de M* C r o i s - D e n x c h a m p s contigus. Dflcleup R . C < m i i : i J . \ D i a n l î ; i a \ r i l i;>i<;, à 2 h, c c l l c (it; îer.o labourable ;
enltivateor, v e u l de Jeanne
iraïAri-s Brorhare P* ,
s a n t , avoué à M o r l a i x .
t « Gad, demeurant à T r é f i l y
Parc Laneinoc et -Mès a L a n - môdocin-DeutJmto
-3" A u x dépondancos de li('en l'ctude de M* Moal.
|
f
r
|
|
T
|
;
p
a
r
licitation
j
u
d
i
e n Lannilis, en son n o m periioai.t da gaout
Bian, section B , n " 39S, 4 j l ,
luvon. six • • a r r e l l e s do ie.-re
E
n
l
a
commune
de
P
l
o
n
é
la
Faculté
de
Pans
lté
sonnel e t comme t u t e u r natu- I Cil I C ciaire, en l a salle 400, C7 a. ;/) cent.
it-nnewrc-fis \.ad. i t
n a n , â Kerelon. une m a i . s o n | labourable ;
de l a mairie de Saint-Thérel et l ^ a l i e :
da d i .lESTIN, Us.
Mise à p r i x : I . I O O I r .
IDimznchez
excep'.^)
à
u
n
cUi^C
ot
gn;ni-c-r.
cr.
c.lc.
i"
.vux
(icpeiulaiK
es
de
KoI - l i a n e - A n n e ; 2- Joseph ; eonnec, p a r le ministère de
Cinquième lot
à vache-s e! c j b i n e t s . pc!iîotravcl-ar-Goulit. .six p a r c e l ExtrsctjonssaBS don'esr
3- Julienne ; 4- Jean GalUen, M ' P o u l i q u e n , notaire à SaintAu lieu d i t Traonbilv.
Dentimgai^ntîs sarfaztun cour, dépendant de ia taecos J e s do tori j labour.ibk-.
tes entants mineurs, issus de Théconnec. l e m a r d i 2 3 Une p r a i r i e dite Fôeanoc(Jll ( l e î H i i f l d e lie"BresV.'""un
sion de V i n r e n t Le V o L
En un lot.
«KE20CXEK
ES
TI
» * r f l 1 9 1 8 , « h e u r e s 1/î.
son d i t mariage ;
an-Heut-Bras. section C, n Mise à p r i x : 2 . 8 0 0 f r .
| E t s u r la mi.-e à p r i x de in«-iiafff. la fomr.ie cuisinière
I», r a e de l a Slairie
Madaaie X a r c u e r i t s L e Gad,
Commtme de S a i n t - T h é 6SS et 13^5. 22 a. 42 cent.
e niar: cultivateur.
Jouissaiice
au
29
septembro
d.iuze
miile
francs,
oi.
l'j.OOuj
BREST
euUfvstnceet Monsieur A l l a i n g o B n e c :
Mise à p r i x : 1 . 3 0 0 f r .
'a-!ros-er au journal.
pncliainf/..ïl fr.-!nc.=.
-'V.dr les alTîches .1
B o a c t e r son m a r i q u i l'assiste
Les 2-, 3- et 4- sont libres d e E; to h f b a t a ' a i r f f a R r j a
I " lot. — A u bourg, a u l e
e t r a i i t o r i s & demeoraut à v a n t d e l a route menant à l alocation, le y lot est loué j u s - !
Laanons e n Lannilis ;
rare, deux m a i s o n * « l ' h a b i qu'au 20 septembre IUI9.
Etude de M" Le Corre, noP H A R M A C I E
8- Monsieur Joseph L e Gad, l a t i o D , iâ.sue. cour, crèche
N O T A . — .Après adjudicataire à l ^ n c v e n
^kOQS d e dame Anastasie grange, écurie, jardin.
tions partiellc-s, les 2*, 3- et
I S a i â n , demeurant a u Fores4- lotB seront réunis c l rcmie<|i i r i i U l I C
s..r
Mise i p r i x : é . t H M f r .
li
2- l o t . — A Menez-RoiLT. en adjudication on u n seul
Oe e s Plouvien ;
»- Monsieur Nicolas L e Gad, • • a i s o a d ' h a b i t a t i o n , issue lot.
prés gares, p r o p r i é t é d e
ÊLanfÉat
do l'AcaiJémio
de
MôdeBino
SixiéTiie
lot
c o l t i v a t e a r , épooz d e dame et c o u r t i l s .
maître avec terres, prairies,
l A II>7
:•'. .L-- T ^ IH) XJ
A u l i e s d e Coz-Mflin.
Mise i p r i x r 3 0 0 f r .
M a i l e Derrisn, demeurant à
laillis. jardins, arbres et . i r - i
TrCSiT e n Lannilis :
3- l o t — A u même l i e u de Une prairie dite r o e n n o c buste.s !
•î A R
ROUiS
DEUZ
AL, L O D Z E Î S R : f-ruirfK:!, avec f.-5-1
d'ai •ju.i-.r deux
W M o n a e o r Jean-Hatfe L e Prat-ar-Chaudy, p r é , 15 ares a r - V i l y . section B, n28 ares.
G a i , a r ^ a r a t e u T de pharma- 20 cent.
L i b r e de location.
Mise à p r i x : 3 0 0 f r .
cie, é f a a x de dame MarioS'.t
.'»our vi.-âter au
Ms
i e à pris : i .400 fr. garde et pour" rtrisei^fceaic:;!.-A M e Perrès. demeurant
i
tMal*Pol-<Ie-Lé«n :
1 he:aan evit p^riîa D doien, ar scmpîadurci.
o l traiter, audit-M' l i e Corre.
R t s p k e c i f i l de Brest
A DF.fX IIEUUES
I f - Mad.'une Prannoisc L e
Had. ménagère, veuve de
Cr; ç ^ n i p I r('-s lo Ijour (U
g r o .1 gr-..
Moiisie-ur Pierro
Fichoux,
f<-riD«- «fc-svo™"-'. a
d e v e u n n t au b o u r g de L a n - D q demande
!P< n - a r
l'Ioairicr,
SttSa;
f-'adresser a Iccor.omal d c i <>, <-h»nv
attucllomont'louoo a s^-sal-1
f r Itonsieur Antoine I x ho'ipic»'. pour tcna iensci-;lou«
ir i
MEruisjr
Mîkd. c«llliaitaiT.>mj>|«..nr. « S i s^nctiTints.
3<K>' î r .
i
Vi?*- i
lr.rt,.r.
Mort.
Etude de M* Marcel B o r i e s .
aTOué-licencié à B r e s t , 3, rue
A m i r a l Réveillére, (successeur de M* G. R o b e r t ) .
• I C I I T E : PS)* licitation judifftu
I t ciatre, en l'ctude et
par l e ministère de M ' QuenM l , notaire à Lannilis.
' Ve l e a d i i i i S a w i l 1918, à
WM t t c v e et demie de l ' a pr^midi.
DESIGNATION :
L o t unique
E n l a commune de T r é g l o B o a . a u lien de Béoavel :
l' Une petite ferme
Gonststant en maison d'hab n ^ o n couverte en ardoises,
M ï i n t rez-de-chaussée, étage
"«renier au-dessus ; crèche
convartc e n ardoises, divisé
en deu.x parties,
a«Bt l'une servant d'étahlc et
r à o t r e de maison à f o u r avec
f o u r ; Jardinet Le t o u t cadas^
sectiOD B , n» 81 p. pour
aBe«ontenance de 1 ares.
BRODEZ-VOUS ?
VENTE!
VEHTEi
ADJUDICATION
A VENDRE
à VENDP.Eiï
^t^JSj&fiaa
val
-mr SK^jjnoTff j r tmn ans
vti
:rr 7««if a ors n-jjMT j m j n T «r»
• ro-iz
J-iqo
'ocjB j i ^ zrpcg ia os-zani jn'-aen "z^rv
a •ucm-np
laja.i r j ç jorijz^p jcnui jai
aftail.o «n " j o »
isq^ j n a q q n i ; ^ ni2s\ »a Siprunsd -ip mzrroq.j jrp ^nojnn
•" i Sjnofna] sid tjaxap
a znnip j s ^ an n>:ui-j|[Anf>jinn o r nrii! -m» jn-if-d^tf
i J 5 « 8 rzno[ orp ' . a n -uii JE uiioir^ no ârùu-iq jaraa^ui; naSa^
•a
: aujCTj.a j ç
^ i i i n ^ i d .s'-z s n u , , -li-iq rji^tnnrf ^rmt -ii.ort.vic •q..Tjr_v\v —
|..7r(,?]s i,\\ in;pip
ma u a n r i j -eijta'
iii.t
o->
"ajn-.u
i:i(
:
ij.'i|irrt:--f3i
.-(eq Il.atoiiq
zi^'iniinoif.»
j;rKf j v
iinr.jir rir innipT r n mrirr Tji inSiiaiiimr
JSaniedi, 30 M a r s 1918
L E N U M E R O : 10
CENTBIES.
JOURNAL FRANÇAIS-BRETON PARAISSANT LE SAMEDI
BUREAUX &
IMPRIMERIE
4 — Rue du Château — 4
TilEMCIlE_3-07
B R E S T
TÉltPHOIIc 3-07
Les M a n u s c r i t s non insérés ne s o n t pas rendus
I livf'zatoo'h. gantaii allocafioii, v
cvcl ma 'zpo-lii iiioi-kot brenir» rtrei-ln inin iiolif^iidik bennug o dofe j'alle!
ii;ie:i mai îozp. oui lodf-n'n euz ho" l'cnii
viana. Mes lio dlc okenver b >
Voi r'licnu a o;t deuct da pre.ski a vloavc/. .!:i vloavez. evit dont da veza
u c ll-lioiinor da rrii rnu oiin dournai'.
llrii; ai- c'houarnamant evel av
Cnmpi- en deuz kavoî mad roi <!'a;i
'larn vuia aaozbo diskarg a-grenn
r /?Of/i'n avait ilé
'lart'lf'le te.vp.e ih kdiilz lavarout e-ken ver ar pero'henn,
'•e en ce "ik cm evit ail. amzer dremenef. lia zokeii
evit au ainzcrd:izoiit,betekc'bouoo'h
•(••s, i-riiiiitthh'
niiz goude ma vezo bet ar brezel disi/ex hnrinns ci-ritititi alise /'ruTirais.
kloriet cchii.
-t et '> heures,
I eu lieu au large
trois
contre-torrt
fruneais.
part, une
flotf'll'
biM.d.arder
Ji.r,
lîak se, pof'ijt henli I. lanilHou ai
vfiazeil .suvet evit ar brezel liap: e
detiz ffti nioii dister, a zo da ve ;a leZL'l didrab.is divai-beiHi bo ieriii
ar liaii da o iiouec'li miz sioudi; in;i
vpzo ecliu ar brezel. liii'enii da
n destro'/er
allemand
fut
sûrement l 'iioantaat ho lakaat da baea arao^
/ / O i r i ' . i e l 'lu -JS mars n /ironwl'/uf^ la coule, et probidAtmenl
deuj: autres en etin de-^pot d'ezbo. difenn ivez d'ho
loi disfiosant que seront retirées de l' core. l'n contre-torpilleur
anglais
reçut diloja ma n'e fcll ket d'ezbo. ha pa
cirr.vlniion et tJ(h,ir,i>êtisée.-< les p i è c e sdes aruries,
mais put rentrer au port.
vefe zoken dizroet ar goaz d'ar gear
d e 2 f r . , 1 f r . . 5 0 c e n t i m e s e t l>u coié français,
il n'ij eut ni tués ni
goude beza bet reionnet.
S O c e n t i m e s « l egujie de .\a:>olcon lll blessés.
Difenn ivez da lieMsi ar famillou
laure.
Un dicret fixera la date à partir
de
hag ema an lad o labourat cnii eun
.i
la
Chambre
des
Communes,
/<
laquelle ces iiiùces cct!Seroni d'être adusin a vrezel,
pell awalc'li diouz ar
•JO
mars, le premier lord de
r.-\mirauté,
mises dans les caisses de l'Etui.
sir Eric Gcddcs, a esposé la situation
de gear evit ma rankfe keincr eul lojaniant all, ha ma n'eo ket paet èur
la m a r i n e m a r c h a n d e a l l i é e .
Pour les douze mois de guerre sous c'hart drei.st ar pez ma c'houneze
/.es 'J1 et 3'J mars, la Chatnhre
s'est
191', araog ar brezel.
ocrvpée de / ' i n d e m n i t é d e s c o m b a t - marine à outrance, du. 1" j'écrier
au 31 janvier
191S, l'ennemi
prétend
Mar 0 deuz fermou dister ani beuztants.
Une loi du :ij mars 1017 arail
allnvé arnir coulé 9 millions et demi de tonnes nie lavarèt.
en
narires
britanni'jues,
alliés
et
neutres
un Siip/ilement de 1 fr. par jour ou i: miliA zo kontet cvel ferraou-dister pe
taires
engages
directement
dans
le Les chijjres réels des navires coulés par bian :
les sous-niarins,
en ;j comprenant
ceux
combat.
Er parreziou ha n'o deuz ket
et ceux fmnl'ment
aba
Le ijovrernemeni
a fris
Viriitintire endomm'iqés
muioc'h eged 1.000 don : eur ferm a
d'élecer cette indemnité à -t f r . par Jour, donné.'!, s'e montent en ch fin s ronds à
avec raajoration
de l'O 0, 0 du pécule S'X millions de tonnes, de sorte que l'exa ' h lur evit eur goaz pe ear vaouez dipour chaque enfant de moins de 10 uns gération est de trois millions et demi de zemez ; a 100 lùr evit tud dimezet.
enci
tonnes en douze mois, c'est-à-dire
Er parreziou hag o douz etre 1.001
à la change de l'interessé.
pour cent. En Janvier ha 5.000 den : eur ferm a 100 lur evit
Les socialistes ne pouvaient
manquer ron cinquante-huit
l'exagération
émit
de
cent
treize
pour
de pro/di'r de l'occasion pour faire de la
eur goaz pe eur vaouez dizeraez ; a
surenchi'TC. C'est ainsi que M.
.tohert cenl.
1.50 lur evit tud dimezet.
.Au :}1 décembre 1917, te tonnage mon
demande que le prêt ,<;oif norté de 0/r. i'.î
Er parreziou hag o deuz etre 5.001
à 2fr. par jour, et que' l'indemnité
de dini du commencement de la guerre, ex
i-lusion faite du tonnaqc ennemi,
était hag-20.000 den : eur ferm a 1.50 lur
combat soit de .'> francs.
evit eur goaz pe eur vaouezdizemez ;
mihions et demi de tonnes.
— Cela conterait
1 >„illiards.
lui ob- lédiiit de
Le poun-etdaga
des pertes nettes du a 200 lur"evit tud dimezet.
jecte le sous-secrétariat
d'Etat
àlayuerre.
britannique
seul
atteignait
C'hoaz ez euz. Mar o deuz ar familM. Voilin, autre socialiste, veut que le t'jp.naqe
est lou-ze bugale iuouankoc'h eged 10
soldat puiss'e r/asfiiller son indeijiniic,
si l'U 0/0. Cette plus forte proportion
due
à
ce
que
la
i/uerre
sous-marine
a
été
cela lui fait plaisir. Il est oppose au pévloaz pe tiid all enn ho c'harg, pe budirigée partirutHrement
contre
l'.inglecule
obliriatoire.
gale enn armee hag a oa o choum
terre.
Les deux amendements sont écartés.
gant-ho araok mont d'ar brezel: 5ii
.'dais les constructions
nou.ce'les sont
I.a Chambre a adopté le taux de ^ fr.,
d'une muioc'h dre benu da lakaat var ar
en stipulant que sur ces .i f r . , t fr. sera pv.'isre.-; arec activité. Et grâce
de la
production, ferm er parreziou ha a'o deuz kct
paye aux intéresses en même temps que part n l'augmenhiiion
des coulages, dreist l.OOO den, '75 lur cr parreziou
le prit, et le surplus versé à leur pécule. de l'autre à la diminution
En. cas de décès po:>.r cause de (;i'.crrc, il «<• s'en est fallu que d'une moyenne de brasoc'h.
le montunt du pécule revenant aux pa- 1^0.000 tonnes par mois que les pertes
Koulz lavarout ela n'ez euz seurt
du dernier
tri- ebed da glask digant famillou ar voarents ne pourra
pus être inférieur
a mensuelles mondiales
mestre
de
Vannée
lU
17
n'aient
été
cou1.000 francs. Cette disposition
s'ap/>lized a zivar ar meaz savel evit ar bredes alliés.
(juera rétroaciicemeni
aux parents des vertes par les conslruct'ons
zel; rak, rouez braz e tle beza enn ho
*
mobilisés dccec'cs dans les mêmes condizouez — ar pennou tiegez a labour
iicns depuis la
mobilisation.
U n s e r v i c e p o s t a l a é r i e n e n t r e l a douar o veza lezet er meaz a gont
La même loi est rendue applicable
ii
France et l'Italie.
evit heulia cul Iczenn all — hag o
l'armée de mer.
La ccm.nàssion
interministériellefran deuz hueioc'h ferm eged ma verser
eo-ifoliennepour
les questions
aériennes evit an diskarg, dreist-oll o konta 50
L'afTaire du sénateur ^ h a r l e s H u m s'est réunie sous la présidence du prince pe (5 lur dre grouadur evel ma lavab e r t se corse. Une nouvelle
àciiiamie Dis'-.alea pour discuter le problème, des romp hueioc'h,
la
en auiorisuiion
de poursuites,
la cin- services postnur. aériens entre l'Italie,
Ma 'z euz enn ho zouez eun nebeud
Discalea,
quième en ce qui le concerne, a été Irons- France et les Bolkans. Le prince
intervieicé sur Iji possibilité de créer des hag o deuz evelkent hueioc'h ferm,
mii,e contre, lui au Scnal, pur le ijeucral
services tr,tns-a-irlatiqfe&
et trans-niédi ar perc'henn a c'hello ho fedi dabaea!
Dubail, youcerneur de
l'aris.
Cette UemawJe esi basée .s:i.r de.s faits icrrnnéer.s. a afjlrmé que l'état actuel des l^eur? C houec'h miz liebken goude
de nia vezo distroet ar goaz d'ar gear.
riraces rclen s par M. '
.MilUrx-Lacroix. ctudc--; entreprises à cet effet, pernvt
présHent de la coramis.;ion des marchés prévoir :'etabîissemeni prochain de cnm Ha c'hoaz lii a c'helJo lavarout o deuz
niuiiications
rapides
entre
les
ctipUales
du -Sénat.a j:roposo"un-;ij>iJision
i-emplie
kollet re, pe gounezet re nebeud enn
d'une pari
et les cotes
aux Etats-Unis, af. début de la
guerre, europtennncs
et de l'A frique
septentrio- amzer a vrezel evit gallout paea ; hag
par le sénateur de la S>Jeuse. Cetis mis- des Balkans
ar perc'henn n'en devezo seurt ebed
sion avait été confiée à Chartes
Jlumbcrt, nale d aiure part. Le prince a ajouté que
d'une da gaoïit nenied diskouez a rafe e veassez irrégulièrement
sembh-l-il, par i l . la qi>.c.siiou du droit aérien étant
importance
fait
actuellement zint e stad da baca eul lodenn da
.\ugagnevr,
â ce Momerà ininisire
de la grande
l'ob/ct de négociations
entre les gouver- viana.
Marine.
r,emcnt
allies.
Enn ho zonez, ha zoken etouez ar
Charles Ilum'jerl acheta pour le compte
de la trar.ce, des couvertures et des harre o deuz eur ferm bian, e c'hell beza
nais, en les payant un prix, élevé: 3 milhiniennou liag a douch muioc'h enn
lions de trop l'arail-il sur 11 !
amzer a vrezel eged ma c'hounezenî
Drs qu'il connut les u^ji.'jiements
de
araok. Ma touchont eur c'hart
l'envo'jè dWu'jarjneur.
.M. 'Milieran-l eximuioc'h, e c'helliut beza galvet ha
gea S'jn rappel- .4 son retour en France,
kondaonet da baea. Ha n e vezo disM. .\uaagneur
lui décerna une lettre de
karg a-grenn evel just evii den nefélicitations,
et lui confia une
nouvelle
mission en Italie. M. Augogneur
appelé
Eiil iezenn nevez, bel pcll amzer o med abaoue an ;unzer ma oe savet
a s'expliquer
devant la commission,
a vont lia^ o îont euz ar Gampr d'ar evit ar brezel.
reconnu que la mi.i'iionqnil
avait donnée Sénat, liag cuzar Sénat d'ar Gampr.
Hevelep reolenn evit ar famillou
en Amérique à Chrj-ics iluinOerl était de
a zo Ijel liûuget J'aa 9 a viz meurs! ha n'eo ket bet savet an tad evit ar
« pure complaisance ».
divar-benn
ar
lermou.
brezel, mes a zo var ar roll da gaout
C'était en un inoi la a répiihUque des
N'e zell ket ouz an tiegeziou a la- skor digant bureo an aluzennou pe
camarades ••>.
'riais, dans ce cas, il nous semb'e que bour douar. Evit-ho cul Iczean ail a da gaoui roedisin ha louzcier evit
aetia epad ar c hlenved. Diskarg
M. .\ugagneur
mériterait
d'être
pour- oa iiCt doijget diasent.
suivi corn me complici: ?
iîoii-inaji a Z'-Ù dreist-cll ouz ar a-grenn evit an amzer ma 'z int bet
fcr;îiyïî -SCrt-?-'»' , o u z t*i r i c n n o u l i e z p e pe e vezint var ar rcil epad ar brezel
ha c'hûiiac'h miz da c houdc.
•^"•Ci^Ti^fAi eftqaffement naval
CE aui SE PASSElï
Le g t i f c r a l
corunMu/ioni llerrn^irc
.'..lU-^irc •r..in.-.Si-lra,
djparlt
ment aOrtiu,
a cl-: r c i e r é d e j,es f o n c t i o n s . U aurait conduis ia jatUe, grâce
r.n ttmps r.e guerre, d" s'altrchercn
quaUie de purte-Kution.
et dans fe but de le
soustraire à l'internement
dan.': un camp
de cnpcenfration,
le f ongro*^
Sinoer,
haniuier
a fans.
Cr Sinncr 'i-dt n <iil-
-î»p oq rfT -ws-pïranTOîrrc m:
-inTTT3.\îip
^ipnaqan nna na i m j j o j o n j a q o r p u o p
- n o p r i j ojn.\ j c j ç ^ i
CBu f j i ' p ^ n m i
o»! i;Se.\ o
o j.kj eo.vip oij n r o q
Pour la
il l AK.-nc.
ne euz eul lodenn lielikcn, nenied diskouez a e'helifo ar perc'henn eraaint
e .stad da baea.
A Iezenn a laka ovelkent kemni etre.'.-bii hag an daou ruiiiin keata. lia
n'e bi'uuiet d'eïho diskarg leun neluf'd bctog an doz kenta a viz ebrel
••.v:i an amzei dremenet e c'hellint
liier skouarn vouzar. P>.it an amzer
'ia zonl azaleg an dez. kenta a viz
ebrel lOiS, ar perc'lienu, ma n'e
asantont ket paea a volontez vad, a
e'hello ho gelvoi- dirag a; lez-varn a
gomzimp anezlian àma varlerc'h,
evit gûulenn ma vezint kondaonet
da baea bervez ho galloud.
Ilervez bo stad, âl lez-varn-ze pe
!io cjiskargo da baea, pe ho c' hondaono da baea cul lodenn da viana.
Difenn d'ho lakaal er nieaz mar en
•leuz al Ifz-vani diskleriet n'eniaint
ket (; .-tad dabaea, pe ma paeont hervez ma vezo bel inerkct d'ezbo. Ma
n'e baeont ket bervez ma vezo bet
Miei'ket d'ezbo, neuze hebken ai- pero'henn a c'hello bo laku.a[ er meaz.
U Bonns, », k Ptrii
.\n hanter kollet a vezo paet e dek
vloaz, eun dekved hep blo». pe enn
eur \ve< h ma n'e zav ket da hneloo'h
eged mil lur.
Evit kaout an hanter euz ar fermou
kollet, evel evit kaout an diakaw
f aillou, ar perc'henn a raio mad mont
da gaout eun alvokad pe eun noter;
rak, al Iezenn a zo ken roueatiet ma
n'e c'hello ket an oll he c'hompren
eaz awalc'h.
'
»
•
Hogen, komiet am beuzeuz eullez-
varn nevez galvet da vam être ar
perc'henn hag an dud a l o d r e f o n »
didan-han.
Eul lez-varn dre arrondisamant a
vezo.
Pebkonseilti-kearagasod'arsousprefet teir listena : euî listean per^
c henned ; eul listenn a dud dre ferm
hep patant: hag eul listenn aduddre
ferra gant patant.
Enn arrondisamant prezidant an
tribunal a denno d'ar sort, var al listennou-ze, hanoiou 80 perc'henn ha
SOden dre ferm.
Dac'boude,pavezoaireriondavam
E be7-r <iom:ou : Netra da glask die tecno adarre d'ar sort, etouez ar 80
ant ar pennou-famill savet evit ar abeprumm,
hanoiou 2 herc'hennha
rezcl, araok c'houec'b miz goude 2zen dre ferm. Hagarre-zeeo avamo
ma veziut distroet d'ar gear ; ha di- gant-han.
fenn da ziloja ho zud.
Da bep hini anezho da vam e peb
Netra da glask ken nebeud epad lealded.
ar menies te"rmen digant ar pennouCOHMITIN.
famill choumet er gear mar o deuz
eur ferra dister ha ma 'z int douget
var roll argommun evit kaout sikour.
Nebeud a drada glask, evit an amzer dremenet, digant ar pennou-famill a ferm dister chouniet er gear
ha n'emaint ket var roll an dud ezoramek. Evit au amzer da zont hebken,
ALLEMAGNE
azaleg an dez kenta a viz ebrel 1918. Les traités gcrmano-ruEso-finlandaUoBt'
e c'hellint beza kondaonet da baea', et».-, avec leurs annexe*. l a l i f l é s o a t i i
ma c'hell ar perc'heiin diskouez o Ketclista^. Les socialistes indSëadaStèab
vote contre. Les socialistes m a J a t f t i b c s
deuz peadra.
abstenu*.
.«TO
Evit ar pennou-famill choumet er se-Msont
Sheidomann a fait, à cette oeeaaiOB.
gear hag o deuz hueioc'h ferm eged les déclarations suivantes : « Le b u t de
ma 'z euz bet lavaret aman araok, al politique socialiste est de terminer I »
après une h e u r e u x défense d a
Iezenn n'e jench netra. Kondaonet e guerre
pays, par une iTaie paix des peuples basée
c'hellont beza da baea çvel e peb sur une reconciliation et q u i écarte p o u r
amzer, nemed diskouez à raient o 1 avenir l'emploi de la force armée L e ^ S t ë
de paix en discussion n'a pas att^tee btit •
deuz bet koll euz a berz ar brezel.
les puissances centrales avaient promis d é '
LasÉatioDàrEtniiqiir
Setu evit an dud hag azo dre ferm
e liez tud al!. .M Iezenn a zo brao
evit-ho, bravoc h niarteze, evit biniennon hag a c'b.ellfe paea, eged Iezenn ar gouslians.
Evit ar per.'henn n'eo ket ker
brao. lien ivez a zo marteze var an
dachenn o tifenn hc vro. Meur a hini
ail, ha n'en deuz nemed ferm he di
evit kaout da zibri, a zo lakaet enn
dienez.
Deread e vcfe bet d'ar c"houarnamant ha d'ar Gampr lavarout : Ar
vro a responto evit ar famillou a ziskargomp da baea.
Awalc'h o deuz kavet merka e responto ar vro euz an hanter hebken
euz ar fermou kollet gant ar perc'henn. l i a c'hoaz e-kenver darnheb
ken euz ar perc'henaed.
E keaver pere ?
Aman ez eo red kaout sonj e tle
hiviziken an dud hag o deuz leve pe
jiaeamant braz paea divar ho gounidigez blcavezie-K : Iezenn an « impôt
gcnc-ral sur le revenu. »
Lakaat a reer enn eur bern leve
an liez pe an douaroa, interest an
arc'haTit pre.stet, hagounidigez al labour. rtetu « revenu • peb-hini.
Da bep-hini e roer dis'sarg euz
3.000 lur divar ar ialchad-ze; euz
i.OCOlur c'hoaz lua'z eo dimezet,
euz l.OOO lur dre grouadur iaouankoc'hegedai bloaz c'hoaz, 1-500 lur
zoken dre grouadur dreist ar bemped.
Dre ze, Iakeomp eun tad a famill a
dri grouadur. .Ma n'e zav ket he levé
bagne o'hounidigezbloaveziek dreist
a.iiUU lur, n'en deuz ket da baea an
« impôt général sur le revenu. »
Hag »1 Iezenn nevez a vcrk e vezo
resîafdet an hanter euz ar fermou
koilet d'ar perc hean ha n e joum ket
ga..t-han 5.000 iai all d an nebenta
g„utie diskoata ar pez ma verkomp
aaia, ua lavarout eo d'an tad a famiil
a dri grouadur ha n e zav kct he l«ve
iiaiï lie choiiiiiJigeii-labour dreis;
io.ii'ju lur ar Moaz.
Ho: voz ur icrnio;; kullet, e vezo
ho.-iz iIisl.u/1 var ar foncier cvcl var
i ' a z i i ù:in.t: ra- b r e z c l i . a m a o e
v e l a n d a r a Vi:i;t c j z a r v o a z e d , a n
t e n n c n c'a b a c a a oe a s t e m i e
Urema, eilwd poenl : evit ar famil!!<•'! e I0.1. A r r ' h r a g f z , l e z e t hiv- lou a ierrnou bian ha n'odeuzket g\veu : . a i i , ;>c-p d o n d a c h - j u n i i n a d e z h o !et an tad o vont d'ar biezei, ba
ria d i i ' . L s i . ^ a l e , n"c i ' h ' ^ I I e n t k c t p a c a . n'emaint kel ken nebaud var roil ai-|
H a « i o r e a d c o a d ' e z t i o k a o u t l o j e i z ^ommun «-vit kauiit skor, c VC20 dis-l
CVcikClll.
K ; i r i r p e u r l i c . = a . pe e a z a r f c r r a r a ^ e z . f.tn darioirlta
-m: y i v • BDUTOian'! ^^nirvof T l » ï j m e s w
-icjuamaifimo.i siîiatno igiasnaj sanbisnb
jnn^Tjajis^p s r e p n r i j n o T w j no siîo n y
« -.•j.^j.injt:.-) i n a i .-imitoir;! i n i i aptiEOisiiE
PLBLÏCITÉ
régionaub
A
:es en 4» paffe . . . . .
Ugoe, •M.
licclaines.
«
Dernière colunoe do ia > p a ^
Avec adrfue 1 Jaurmal.- t fr. t nu pa,
SùuMigM
SX» : wnrç tnaTcsi.\n> m m T r e a s u d i n c
Asans^sp oori uoijwado a u a a t j j s p ^
- o j d j n o d s j c m £,i gj noasojv ç i r n i a j onop »"•»!»»
JÎ3.3 s i a u o i San rcj.insS paiSnôs m
prenesJrou.
conclure avec l a Russie une p a i x de conciliation et de reconnaître le fitJit des p e u ples frontières à disposer d ' e o x - m e ^ a .
Contrairement à cela, elles ont esiffé oite
la Kuèsie renonçât à la Polcmiè; * I »
Lithuanie. à la Courlande. L a p ô l i t i â n e d e
•violence ne répond pas aux intérêts d »
1 empire allemand.... >
A i n s i le chef des socialistes m ^ o t i b i r e s
a expresséniontlrecoanu a a j t e l c h s t a g q u e
les protestations allemandes stir l e p r é teuda d r o i t des peuples à disposer d'eax-^
mêmes n'ctaicnt que des mots, des m o t »
et des mots. L a réalité pratloue est a i s r i
antipodes de la théorie. O s T ï n e a est m t ^
cieux 3 r e t e n i r . Mais U est c o r i e a x W
constater que Scbeidemann, q m 1'» faH »
tonjours été, a u m o i n s dans u rnullwiri.
l ' u n des p l u s fermes soutiens de « U p o B Uque de \-iolence > q u ' i l a semblé c o o d » - :
ner dans son d e r n i e r d i s c b i m . C o n d a n nation toute platonique d'ailleurs « o i a q a e .
bcheidcmaon a c o n c l u p a r ces mcAs:
« Puisque l'état de guerre a été t i i f e B o me:it terminé â l'est par ce traité, b o u s Dévouions pas le repousser... >
Le j o u r o ù l'Allemagne p o u r t a i t a o B o o '
Ta Belgique et le n o r d de U France. Sébeide.niann g é m i r a i t e t accepterait— S t Oi-i
core nous ne sommes pas bien sSr « i f V i r i
fond de son v i e u x cœur aDemand B n ê i
serait pas enchanté.
—. L a comédie est bien jouéei
ROUMANIE
L e ministère Avereseo a été n O p l a e é l
par u n cabinet M a r g h i l o m a o . On u n m _
pelle que M. H a r ^ û l o m a n
araSt
l'entrée en g-jerre de U R o u m a a i e . l ' o n
des plus cbauds partisans { d ' a n a c < — '
avec les empires d u centre, n a W t 4
.naître que « le gouvercemeot e
toutes ses forces p o u r que les .
ccoEOmmues et pcUtigoes
pays l'ailaiblisiseDt aussi p e a c
' ~
et pour q u e l a Tenaissance
la vie publique soit assméeu v
L e p a i l e m e n t i D u m a i n a été i F i i i n H a
nouvelles élections Toct a ï o l r I '
A u cours des négociàtioas a
suivent, l ' U k i a i o e a émis d n
sur U Bessarabie.
HOLLAIII»
Une g r a i e t e n s i o n e x i s l e l
entre les Pavs-Bas e t les - c m
de l Entente a n s u j e t d e b a l e _ dais réquIsiUoiiaés par nous a t j
Les difTicuItas sont
venues de c « qew l e
aurait \ o a l o qoB Isa aavltaB • •
ne naviguent pas «ans b a o n t i T
Puis cerfaiaes eonditieiis e o t i l f ~ j i l > f i i i .
Et en déflnitiTe les g o n v e r u e i i i e t s Se t B a »
; t . i t c ont commencé la saisie, saas 4«'àa
i-.cord complet «oit iatervam.
il. Tait, lui ùàit aatoiMé e a w i l l l f « «
•Irait iatcnulBotal,
»
pâcavMOMBI
' U n * OT HP 9 s n m ' n ' î n ' l n ^ i n w i n B W
que r o p « n t k w à laquelle o r t
••lUteaatab^anacntjustiaiV;:
« n w t i n t é r e s s a n t . « - t - U écrit, de c o n s ' a
ter q u e F e i e m p l e l e plus m o d e n e d,r y W r i B ^ o n d e c e droit avant l a lutte act a e t l e f u t celui de B i s m a r c k pendant la
d e tSTO. U affirma c e droit à l ë g a r d
I » e B n t e ^ ^ Q i a c i i e . neutre à
•e- L m PwMsIeii» avaient saisi six
— e f c ^ ^ e r s a c g l a U dans la
V w d e Rooeo. a l o r s sous l a Jnri_ _ « i t a l r e allemande, p o u r leseouJ ( t e m p e e k a r l e passage des eanoa^
t r a n ç a t e s . B i s m a n A justifia celtft e n disast «i»-U t a^-ait des c i r c o n s t q u i . m ê m e « a temps d e paix, p o u
l ^ ^ l o l o u ta destructio:!
« e l B W y r i e l é e t r a o ^ admissible, sous
f w e r j e d u parcmeat d'une i n d e m u i t ê . et
1 A n g l e t e r r e acquiesça à l a légalité de
cette saisie, m o y e n n a n t l e v c r s e i s e u t d ' u n e
Le m i n i s t è r e c o n t i e : t .îe ::(>:ii! r.-i;cun tu gant ar Zaozon. euz an tu
iiideainUé complète. •
p e r s o i i c a l i t ë s r<?;narquables : M M . D a : I
f î a r c i a P r i e t o e t R o m a n o n è s . q u i t o u s l' s ail gant hor zoudat^d. Enn eur ger,
: r o i s <itit l té p r e m i e r s m i n i s t r e s . M . \ I b a , tro ar Boch a cTicII dont, ma n'eo ket
ESPAGNE
« hef d uî. g r o u p e liln^ral ' l i s s i d e n L e t .M.
U n e c r i s e m i n i s t é r i e l l e , à l a q u e l l e i ' -aralH}. chef des r - ? i O ! i a I i s t e s . C'est d o n c deuct, da reseo digant potred an droTallait s ' a r t e u d r e d e i i i i s ( l u e l q u e s j o u r s , a u u c a U u e t de c o n c è i i t r a t i o i i .
gelc'h muioc^ a boloz hag a louzou
•iolaté c h e z n o s v o i s i n s . KUe a «l a i l l e u r s
Sa t â c h e est l o u r d e . U a à r ^ l e r u n c o a - da drefia eged n'e c'heJlo restaol.
•-té t r è s r a p i d e m e n t s o l u t i o n n é e . E n Ti:igt- m t d
uT^jo
é j à ^a nv ct icenn e
eti sans cesse r e n a i s s a ni »t
q u a t r e h e u r e s 34 M a u r a a v a i t l u i s d e b o u t -.itre l e s j u n t e s m i l i t a i r e s e t l e s j u s t e s
Pedomp. gant feiz ha gant fizians.
u n nouveau Cabinet.
-•ivUes, e n t r e des é l é m e n t s d u d é s o r d r e ,
Ha Doue da roi d'omp ar joa da
O n s . i i t q u e M. .Maura est l e c h e f fie l o n t l ' A U e m a ^ a e ne se désintéresse c e r clieUout fcana dienkrez an Alléluia
l ' u n e des d e u x f r a c t i o n s d u p a r t i c o n s e r - t a i n e m e n t pas. e t des - l ë m e i ï U d ' o r d r e .
^•ateur, d o n t 1 a u t r e a à sa t f f e M. D a t o .
L e s d é c r e t s d e M ].a C i e r v a d i s s o l v a n t abenn dîsul.
Le Journal
des Débats f a i t d u p r é s i d e n :
e t m i l i t a r i s a n t l e c o r o s des t é l é g r a p h i s t e s ,
d u Conseil le portrait sujvant- . Ces:
-XX• m t été a u n u l o s . O n se r a p p e l l e ' q u e c'est
u!je t r è s f o r t e p e r s o n n a l i t é . I l est é u c r par un mouvement p l u s o u m o i n s r é v o l u ;;ique. e n t i e r , a u t o r i t a i r e e t d o c t r i n a i r e , i l
t i o n u a i r e d e ces e m p l o v é s q u e l a c r i s e
Tiianque t o t a l e m e . ; t d e l a s o u p l e s s e d e l e u
a v a i t été d é c l a u c l i é e .
Canovas... >
loeSalailie gigantesque
11 va sans dire que les gax J o n a i o t I m
rôle dan» la bataille, c o a w e p a i e m e n t Um
avions qui, volant à faible hauteur, mitraîlUient le» fantassin», pendant que le* appar e i l de bombardement attaquaisiit les gare» et le» convoi».
Dan» U journée du 21, le» AngUi» avaant
abattu, ea combat» aériens, 16 appareil» allemand» et contraint ( antres à atterrir désemparé». De leur cité il» n'avaient perda
que 3 appareils. Le lendemain, ils en perdaient 8; mais ils abattaient 30 appareOa
allemands et en contraigiiaient 20 autres
d'atterrir désemparé». En outre, leurs pilotes réglzient avec efficacité le tir de Tarti:ierie sur d'important» rsssemblements d«
troupes et sur des cvnveis.
Pendant la nuit, no» alliés repoueséreai,
avec de forte» p o t e » ponr les assaillanta.
de puissant» a»saaU ver» JOSST.
Journée da 23
se déroÉ
Les troupes Anglo-Françaises
ont dû se replier; mais la
cohésion entre elles est
naintenue
L'oSensivs aQemande, depuis si longtemps annoncée, a ccicTnencé le j e u d i 21
mars. L e t e r r a i n choisi a été eelni-Iâ même que r e n n e m i avait d û évacuer i l y a u n
an. an mois de mars, ponr te r e t i r e r s u r le»
positisns dites de la f Kgne HrodeDhiirg i .
L'attaqne, q u i devait embrasser n n frvzit
de 89 k i i c m é t r e s environ, depuis la Scai^e
j n s q a ' à rOise. débuta p a r mie p r é p j r a t i o n
d ' a r t i l l e r i e courte mais extrêmement violente, exécutée par une masse considérable
de pièces de t c u s calibres, a u m o y e n d'obus explosifs et t o i i ç n e s .
Les tranchées britannique» de soutien
étaient particulièrement visées. Mais en
même temps le» tranchées de première l i gne étaient rendues intenables.
Journée
da 21
mar^
mars
Samedi, le principal eSort de* AlleaaBds
»e porta dans la partie nord £ s front de b a taille. D'une façon générale, b m alliés réussirent i conserver leurs poaitioas, à la
»nits d'une lutte violenta «t prolongée, a u
cours de laquelle ils montf èiegt nne belle
vaillance. Dans nn même secteur, six attaques, dent deux conduites avec le concours
de la cavalerie allemande, furent reieties
par la même brigade d'infanterie
-À-J,!"""*
«nd-one»t de SAIHTQUEHTIH, le» troupe» britanniques, établies sur de nouvelles positions, étaient attaquée» en même temn» avec violence par
rennemi; mais elles cédaient peu de terrain.
I l est vrai que ce j o u r - U des troupes
f r a n ^ u e s prirent une part active à la lutte, disputant aux Allemands la possession
de» hauteurs au nord de rOise. entra
«OTOK et TERGHIEH.
Bref, dan» la soirée de »amedi la »ituatîon »'était améliorée. L'avance da Fenneml
avait été ralentie.
Pendant U nuit, au nord de PEHOÏITE.
les Anglais eurent à faire face i un certain
nombre d'attaques en différents pomts :
mai» il» le» r e j e t i m t et coneervèrent leurs
—isjtion». Au sud, il» tenaient la ligne da
— Somme, De petit» éléments qui tentèrent
de traver»er le fleuve ver» PARGNY furent
repoussés.
Au cour» de cette trt>i»ième journée 29
avion» allemands forent abattus, et 25'autres contraints d'atterrir désemparés; le»
Anglais perdirent 9 appareils.
Ce t r a v a i l accompli, ver» 8 heure», le 21
mars, Finfaalerie allemande se r u a i l'as«ent. Dan» ses formations serrées, les m i trailleuses et les canons anglais ouvraient
de larges cillons. De nouvelle» unités r e m Journée du 24
mars
> l a ^ e n t a u f u r et à mesure celles q u i
etaient décimées. L'ennemi tenait à avancer
Dimanche matin, de nouvelles attaques
coûte qae coûte.
se développaient en grande force sur toute
Raconter l a bataille aveo quelque déve- rétendue du front; elle» se poursuivaient
loppement e»t impossible p o n r le moment : toute la journée.
les détails f o n t défaut.
A l'extrême-gauche des Anglais, de» asDisons seulement que le communiqué b r i - sauts répétés de puissantes formations
tannique d u j e u d i soir 21 ni-irs reconnais- d ' i c f s n t c i i e l u r e n t repoussées par nos alsait que les a-îsaillints étaient parvenus à liés, avec de fortes pertes p o u r les assailf r a n c h i r les lignes d'avant-pûstes de nos lants.
alliés, et à pénétrer dans leurs posHione de
Entre BERTINCODRT et PERONNE, les
combat en u n certain nombre de points. De Allemands attaquèrent avec une extrême
nombreux r e n f o r t s avaient été observés en v:g-jour la li'rce de la Tort i 11P. Les Anglais
marche à l ' i n t é r i e u r des lignes allemandes, se retirèrent, en c o m b a t t j n t , s u r de noup o n r v e n i r se joindre à la quarantaine de velles position».
divisions engagées dès le début. P a r m i les
A u s u d de PERONNE, l'ennemie parverenfort», p l u s i e u r s divisions comprenant nait, après une l u t t e violente, à f r a n c h i r la
des unités appartenant à la garde, spéciap'imme,
entre LICOURT et BRIE; mais les
Jement entraînées en vue de l a grande attaéléments q u i avaient traversé la rivière f u que, avaient été identifiées.
r e n t rejetés dan» !a soirée sur la r i v e est
U n correspondant m i l i t a i r e pouvait ajouPar ailleurs, les puissante» attaques lant e r q u e ' l a ligne britannique était demeurée cées par l'ennemi dans l ' a p r è s - m i d i et la
sans changement depuis la Scarpe j u s q u ' à soirée f u r e n t rudement repoussées. L ' i n f a n l'ouest i m m é d i a t de CHERIST; les hauteurs terie allemande, arrêtée devant le» posido MOKCHY-LE-PREUX
et de
H E N I N tions britanniques p a r les feux d'infanteétaient encore tenues par nos alliés.
rie, de mitrailleuses et d'artillerie, ne p u t
L e décollement commençait p r a t i q u e m e n t aborder les tranchées de nos alliés q i f o n
à la hauteur de CROISILLES, dont l'ennemi u n seul point, d'où elle f u t aussitflt rejetée.
s'était emparé le m a t i n .
A u cours de cette journée, les Anglais
Etaient en o u t r e tombés en sa posse» abattirent 47 aéropUnes allemands et en
sion, après avoir été pris repris, et défi- contraignirent 22 antres à a t t e r r i r désemnitivement perdus, les village» ruinés da r s a i ' " ^ ^
p e r d i r e n t 10 appaLONGATTE, NOREHIL, LAGHICOURT, MOR''CBIES et DOIGNIES.
L a ruée s'était poursuivie plu» a u s u d aux
Journée du 25
mars
environs de GODZEADCOURT;
u w w W WV u A,etA le, Cffcr o_n_t A u cours de la matinée de lundi, les
allemand était jalonné, en fin de journée,
par les hauteur» à l'ouest de GOUZEAn troupes britannique» repoussèrent avec u n
uww»^ et de GONNELIEU, et
c- par
pal les
xu» vU
vu plein succès, sur plusieurs peints, les atCOURT
lages d'EPEHT, dont l'assaut avait été par taque» violentes et continuelles des Aileticulièrement laborieux, de V I L L E R S - F A U - mands. L e n r artillerie et Jour» mitrailleuses
con, d'HARGlCOURT et d u VERCUIER, où mfligèrent de lourdes pertos à l'ennemi,
la
division, une dos premières divisions tandis que leur» avions, à une faible a l t i de l'armée de Kitchener, avait opposé une tude, a t U q « a i e n t incessamment les colonnes de r e n f o r t ennemies s u r l'arrière.
résistance magnifique.
Néanmoins, une n o u v i l l e et f o r t e attaque
L'avance de l'ennemi était en moyenne de
k o c ' h d i r a g an n e m o r a n t e u z t a c h e n n
menée
par des troupes fraîches de l'ennemii
« kilomètres. D'après les cartes trouvées
an e m g a n n .
sur les prisonniers, i l s'attendait à beau I m permettait do progresser à l'ouest et au
«ud-ouest
de B A P A n U E , dans la direction
P ' a r p o e n t m a skrivan, a n e m g a n n coup m i e u x .
Mais déjà on apercevait ches l'ennemi une de CODRCELETTE. Dans la soirée, nos ala die ren demdast varar roudenn goz,
ue»
devaient
abandonner B A P A U H E .
volonté bien arrêtée de pousser les choses
e l l e a c ' h m a o a m p , ni h a g a r Z a o z o n , ' avec une énergie particulière à l ' o i t r è m e En même temps, au s u d de PERONNE,
e r p e n n k e n t a a v i z m e u r s v a r l e n e , droito brifannioue, c'est-à-dire a u sud et au le» troupe» britanniques étaient légèrement rejotées sur plusieurs points à l'ouest
ar Zaozon, pa zigoraz an abadenn, a a r a o k ma oa t e a c ' h e t an A l l m a n t e d d i - sud-ouest de SAINT-QUENTIN.
de la S ^ m c . Et l'eimomi occupait NESLE,
dleaz kila ha kila bepred.
après u n combat acharné, auquel i l semble
Journée du 32 mars
dan tennou pouner hor c'hanoliou.
que des troupes française» aient pris part.
E v e l d i r a k V e r d u n , an A l l e m a n t e d
Vendredi, à l'aube, la l u t t e reprenait on Cette petite villo f u t prise et reprise p l u Gwall-stourmajou a vezo enn deziou
a z a i l l e evel d i a o u l o u , h e p sellout o u z
effet avec la demiere violence: 52 divisions sieurs fois au cours do la journée.
Entre temps, sur le f r o n t de CHAULNES
ar r e a g o u e z e . H a k a l z a g o u e z e , b e t e g k e n t a - m a . A r B o c h , p e g e n d i s h a l a n e t allemandes étaient identifiées.
J l i î s alors quo dans les premières heuNOTON, la bataille se p o u r s u i v a i t avec
Mc.oiiio DO p u u i a u l v â i i avec
o b e r , e l e a c ' h i o u a i o a , e u r g w i s k a d a e t i e v f e b e z a abenn v r e m a , a s k o i o k a - res la bataille languissait à gauche dans la - . - - - w . , ,
Eiz dez brezel, eiz dez ankeni
I c t , d i n e c ' h evel m a v e z o l e z e t v a r a n région de Croiaillcs, ello faisait rage dans acharnement, le? Allemands amenant sans
Anaout a rit ar c'helou, m'oarvad. cur m e t r h u e l d e r g a n t ho c ' h o r f o u !
cesse
des
forces
nouvolles. Notre artillerie
t u a l l , d r e b e r z traisoni a r Russi. H o - le sud
D'ar iaou, 21 a viz metn-s, an AIIappuyait efficacement notre infanterie, dont
D r a i l l s p o n t u z , a r gwasa m a r t e z e
Partout, les troupes britanniques faisaient la résistance énergique et los frcquontes
g
e
n
,
h
o
r
z
o
u
d
a
r
d
e
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a
skoio
k
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n
k
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l
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t
manted a zaillaz a vraz var ar Zaozon, euz a r b r e z e l k r i z - m a . K a n o l i o u d i ireuve d'une extrême valeur, l u t t a n t dans contre-ittaques retardaient la poussée dos
a proportion de u n à quatre. L ' a r t i l - .\llemands en l e u r infligeant des pertes
dirag an dachenn m'o doa ranket dile- iiiver a g r o z e a b e p t u ; f u z u l i o u ha ail h a g a z a l c ' h o .
lerie allemande était roBforcéa par des élevées.
T e n n e v e z o d ' e z h o , anat e o .
zel breman ez eta bloaz.
m i n t r a i l l e r e z e d a s t r a k e ivez ; h a g e r
batteries autrichiennes.
'a n u i t nous devi.-iis
évacuer
S o n j i t ema an e n e b o u r , e v e l b e w e c h ,
L a ï ' division britannique se maintenait
Sonj o peuz marteze petra a lavare mêmes a m z e r , e o l e n t a n e t h a g a e z e n n
mais nous tenions solidement la
aux abords de CROISILLES et au nord de nNOYON,
v o sud de rrii-<>,
•r Boch d'an ampoent ? Setu ama dem- a m p o c z o u n e t a n i j e . E t r e t a n t , b r e z e l e d i a b a r z ar c ' h e l c ' h , b e r r o c ' h h e h e n t cette
localité, en dépit d cttaques répétées
A ce moment, lo f r o n t de combat suivait
i v e z enn c a r . A m a i i ar Z a o z o n a z o r e da v o n t ha da z o n t el leac'h m a v e z o eur ses pocilj^ns, pendant que la 51' re- approximativement une ligne passant à
dost :
do la façon la plus brillante tous l o u e s t de BAPAUKK et do COMBLES, par
€ Ar Zaozon hag ar Fransisien a bar d'an e n e b o u r i c n . B e t e k 5 o ha 7 0 e z o m m ; ni h a g ar Z a o z o n , e v i t e n e m poussait
les assaut» de l'ennemi vers la route de EVILLERS,
BinUCOURF,
BIEFVILLEHS.
BAPADME A CAMBRAI,
venn va zaga dizalc. Labouriou brsz k a r r - n i j b e m d e z o d e u z d i s k a r e t d ' a n skoazia, a d i e o b e r an d r o a b e l l .
GREVILLEBS, IRLES et MIRAUMGNT (oii
A l'ouest de SAINT-QUENTIN nos alliés 'es Allemands avaient f r a n c h i l'AniT'^l,
A
l
l
m
a
n
t
e
d
,
o
k
o
l
l
n
e
b
e
u
d
h
o
u
n
a
n
.
E n n h o pugalcach, evel h i v i o h o p u o deuz greet evit kement-jc, ha kanoetaient moins heureux. Vers 14 heures, se- Cetto ligne étoit ensuito ialonnée par COURliou o deuz digaset a vern. Mad, me H a r e ail c ' h o a z a i c i e da d e u l e r b o m - g a l e , o p e u z c'iioariet o I a k a a t e u r lon
l ' e i p r e - s i o n du communiqué, « de puis- CFLETTE et POSÎERES;' elle passait à l'est
en em denn beteg eur roudenn nevez, bou var an e n e b o u r i c d adrenv r o u d e n o c'hamalad p e zaou e k r e i z e u r c ' h e l c ' h santes; a t t a q u e ; , etlectuées par des masses d'ALBERT et «.joignait la S n n m " à B R \ Y ,
considérables
d i n l a n t c r i e et d'artillorie, (16 kilomètres ouest da Péronno), n o u r do
kempennet e doare, el leac'h ma vezo an t a n , ha z o k e n var j j a r i o u h a k e a r i o u , g r e e t g a n - h o c ' h oc'h astcnn an d o u r n rompaieat le système
do défense; 9 et dans là atteindre CHAULNES et suivre "la voie
an eil d ' e g i l e . H a g e o u e z i t e r a n k p o - celte partie d u f r o n t da bataille les troupes l'Jrréo parKALLENCOURT j u s q u ' à RO'/E.
catoc'h d'in herzel. Dre ze, va ene- a b e l l , enn A l l m a g n , b c t z k C o l o g n .
britanniques
devaient
se replier à travers d'où olle so prolongeait i u s g u à l'Oise an
bmrrien o devezo poaniet enn aner
E p a d an d a o u z e v c z k c n l a , h o r zou- t r e d ar c'helc'h b c z a k r e n v o c ' h e g e d la région dévastée, sur des positions prépa- cud-ouest de NOYON.
'
da duria douar : ho oll labouriou darded a d î e a z choum var e v e z , h e p an hini a z o c b a r z e v i t g a l l o u t m i r o u t rées à l'ouest.
Pendant la journée du 25, les aviateurs
Où se trouvaient css poritions ? On ne britanniques, au l i e u d'aller p o r t e r la des«l'e dalvezint d'ezho da seurt ebed. kemer p c r z enn e m g a n n . A r B o c h a out-haii da d r e m e n .
nous le dit pes; mais les communiqués u l - t r u c t i o n an loin, se iioinèrent presque abHa divezatoc'h, pa 'n em gavin e o u i e p e t r a en d o a c'iioant da o b e r ;
F i z i a n s eveikent : ni h a g j h o r m i g n o u - térieurs d u maréchal Haig r c f o n n ? i t r o n t sol-jmcnt à bombarder les troupes et les
gwclloc'h stad, me eo a zaillo var- .•nés ni n'her g o i t i c m p k e t . M a r t e z e n c d a v e z o ar c'hre.iva ; ha p e d o m o que les troupes britanniques durent les con/ois
ennemis masses à l'arrière de la liévacuer sous la pousàée formidable de l'en- gne de iou, et à les attaquer de laible haun-ho. hag ho skubo seuI-easocTi ma n'e k e t e l leac'h m ' e n doa d i g o r e t an d r e i s t - o l l .
nemi, encore que le ministre anglais Bonar teur à la mitrailleuse. Ils jetèrent 22 tonnes
n'e gavlnt goudor ebed enn dachcnrt tan eo e venne skci an t a o i i o u p o u n e r a .
P : o u o a r : an c m g a n n - m a n a v e z o L a w a i l déclaré à la Chambre des Commu- de trojcctilos et tirèrent JOO.OOO cartouebes
nes, au soir d u 21 :
dilczct, an dachenn-ze o veza bet disrte mitrailler.scs. Tous dtc:3rent qae 1-î
D i s a d o r n , p a o e g w e l e t e klaske m a r t e z e an diveza ?
I l n'y ,1 nhsohini'Tit -iiicuno. siirprlso troupes constituaient de merveilleux ol'jecmantret gan-en. »
trouc'ha e t r e - z - o m p hag ar Z a o z o n ,
M a n'e d e u k e t an A l l m a n t e d da rtaiis cc •j.ii c s l snrvi-nii. N o i n ' 'MAt-ni i j u r tifs, et qu'ils purent jeter leurs bombes et
et lo conspil (Iv 'V. r.s:iiil"s onl n iliin-llPiin'nl du-.ger lo t i r <!c leurs mitrailleuses avec préAr Boch n'en doa ket sonjet f a l l .
evit en eni zila d r e draonienn an O i s e , B a r i s , ha n'e
" v « vd ue ui ii n
i tt kMeitl eem
n ui cc h
n aann ss ,, to étiiiii"! rc q u i n r i i v f r . i i l r::\ c.is il'urrfn^ivo cision et cliiceoité, sur r i n f a i i t c r i o alleGwir eo en doa kempennet eur rou•t >• pn:^ liir.' <iiic
t l i ' atiiitiuv f i i ' Kinr.'-l msrido eu forra.-.ti;:» serrée, sur les colondenn nevez, var an huel ekement leac'h e t r e z e k P a r i s , eul l o d e i m euz h o r z o u - 1 d e v e z o k o l l c t m i l i i e r c u a d u d en.T ar.er x i i ' t c i i i ' m ilaii'^ ir' p i r l i i - .li- :;i)ir,. i.l-i-' nes de oavji.erie et k s con-/ois. Los eomb.i's
'is -^i.'.i' Tli i i - \ . . i i ' iHr
d a r d e d en e m astcnnaz var he h e n t ! K e n tost ha brc.nia,. tostoc'h zoker., e;
oéncns, qv.c.qiic a j s r z nombreux, f u r e n t
Oh'.; ;.||nililiV
ma c'helle, hag he c'hempennet g a n t
e g e d ar ster-;na. A b a o u c , •i r i t 'h c t c "h o a z . O- v / e ! o u t n ' e c ' i i e l l i n t • K-l'oro»" q - i ' a y n U pré-/u q-i'nn repli pou- m - i n s vioki7i3 oue la -/cille. 23 appareil» aller.i.iii'Js tur-jp.t jl.-.Uns, cl. )0 autres con.
he oll skiant-vrezel. Hag ar re euz hor hueloc'h
unan euz hon a r m e o u , gant ar j c n e r a l
Iraints d ' i i t t c r r i r désemparés. Nos alliés en
zoudarded hag a zalc'haz penn d'czhan F a y c l l e e v i t d o a r e , a z o savet a d r e n v k e t d o n t da l , c n „ , ma c h o u m « a , u - h o i
perdirent 3 «culeuieiil.
i'n.ooriani.
beteg «r mlziou diveza-man etre Saint- h o r z o u d a r d e d k e n t a , p r e s t da Iaksat c u n t a m m i k s i i u n t e k r c i z h o c ' h o u r . a r
ket HV^hn •
1," ''
f " s»"' do la d e i u i è n i j
Quentin ha La Fere o deuz marteze harz d'ar B o c h ha da v i r o u t o u t - h a n da e k o m p r'1,e n i n t n ' e ud aa il vv ee zz oo Ker
a c z h o journée le I r o n t allemand avait atteint, d u
Journée da 26
mars
kendalcher.
m o r d au sud, \ y A N C O U H r , BEUftNY, liEBlavaTCt d'hoc'h n'e gavent goudor asur d i z o u t P a r i s .
n?ns la m.itfnéo de m a r d i i l y ont uns
Fu7 rctl
.'
j ; T1.NC:')URT, EQL AîiCO'JnT, MCilLU t î ; v «bcd d leac'h-ze.
légère
accalmie,
q
u
i
permit
aux
Anglais do
A r Z a o z o n , divcDc'hiet evel-sc var
C.UZ r c d e v ^ z o l a k a s t t i z e n n - h o d a l P L E U X , ROISEL, VENDELLi.S, e T r e < j : sur de nouvelles positions .i l'est
le <-,,iiii ,1. 1:: ./•• q,,,. n . s(.l,-.blir
J U j U g "
A ' h o i x e t ^ k a l o u n ^ -^.""Jî?»..?
e m v o d a stan- z i s i r c i var h o c hiz, rak o tont r e i r en ' D U i i Y .
<l A ) . B r R T c l do KO'ii;.
UcLlc accaluuo. ,gt:til, uiotivôo .fiox l a 06-
La
Guorro
Eiz dez Brezel
Î
'Ktisvso^
j i f ^ o o j v j ' o ^ n ' v i j 'oif-z-B.rip jo}}
' a j j a n o s p ( ; a B B 0 3 n a s « 9 j j ) n ) i f « i i j - U g u / u / f y unaj o . i t l i o i T f u i a i o p ^ i n b s w » » •
• n t i U peur r a m r a i i de n l e r o r m i onAéc
"pousse plnséevrs
les p l u décoiéw. P o w Ira ramplw a d«
m . Montant des prioses à disWtMMr: adoa deoc'h mont gmntam #arKear hweâ
^J^Î^rS"
S * " * ™ * l'intérieur, francs.
Tait enprnatcr de* n a l o r t s à tocs les sec coup» de mam ennemu, notamment dans S
i
"
«
S
S
»
"
<ln
GODAT,
de SOD.«B et de la guerre partout. .
e «rrbés.
t s n n dn frcnt oaest. Bêjà a B'aTsit pas en
Quimper. le 4 avril, à 9 bmrf. Montant ganeoe'h
P
a
^
u
t
ce
n'est
pas
ainsi,
keil lia BU ebomo ar trUm nat a
g a ^ i dans la bataiUe moins de 70 diràieBs, HDHLns. Dans cette dcraitee région, le: mCme dans noire beau pavs de Bretagne des prunes à distribuer: 6J10 francs.
A
a
e
s
M
d
s
ne
firent
pas
moins
de
t
r
o
i
i
son près des denx cinquièmes de ses fo;
Chlteaulia. le & avril, i 9 h. 30. MonalDt c-hadounea «U n z i u a r c f a a t a l T ï t t M â
• S ï f * " ^ le 21 : à chaqne foU a * loreat re- l a " -rie
ces 4n Iroat occidentaL
des primes » distribuer: "iTO francs.
eueeb pa h o c l i a a e r dcao. e à l w w m
Sa relère ayast été ep«rés, l a batailla r s pour
cette
raison
que
Je
vous
prie
le 5 a v r i l i 9 b. 3 a Montant vezo ket parfet a r T c r z i d i c n c r a t f «
Chiteaulln.
A u K r d - e s t dteJEKBUir, dans l a n u » du
prenait arec le méma achainemeat. partimoi et mes camarades de tranchée de re des prunes : 5.1» francs.
^enUgattarrlMs. K e f Z S T ? ^
ÎO
«u
I
I
.
les
Altenand»
lancèrent
nne
forte
culiéremcsi sur le front BB&T. CHAUUIES
produire cette lettre dans votre iouma'
Pour les conditions des coneonrs, soir an dud-ze mont a-eaep ho cer atellM' k M
BOÏE, X 0 T 0 5 .
â V î S f » ^ ^ i®
^ ^ ^ CAUHIEPXS et Vous ferez plaisir à beaucoup de éamarn .es afaches apposées dans les conunimes. Mc-fa ouzomp-ni ar memes l i t e t e .
A r e t t de ceUe dernièra n l l e , aos tron BEBOHTAUZ. Après un vicient combat, no. des. sans blesser personne, et vous fere:
^ c taontroU. lakeomp b o n H e n c n a »
tÊo
fomamt»
pes eonlinoaient 1 tenir solidemsnt la rrre u-onpes rejetèrent rennemi des quelques comprendre leurs devoirs aux mauvaii Déa&t
e a l loan en e u r foar ha n ï o o m t ^ S »nd de FOis^.
p c m u on II avait pénétré au p r e m t o abord Français qui oublient que nous nous bat
tlo amimmamm gant
a r p r ê c e r nemet t m ^ r a l ; M *
tons
pour
eux.
Au nord et an nord-est d-ALBEBT, a n y De» prîsonaiers retUrail c n ' r t nos mains
ACHATS DE CHKTAtfX DE SELLE VAT» ralloc-hto e r t n a S e s t W e i a S
Je vous prie de .iécouvrir aux civils
ent que des cotnbats tecanz; et, sar cett. .
TELAGE ET DE PETITS CHEiADX
«^«^ion de BL=
ç
i
*
s
k
e T j r a DiocTi a F p S a ^ j M • ' S
" J " " ™ pensée! Racontez noire vie et
partie do front de bataille, la situation re< J.ERET, an ccars de la nuit du S2 au M
DE DAT
l
e
u
z
k
c t felet en em T f ^ r w an 2 5 ta sans ctucgement.
;es Allemands ont prononcé ni-e attaque nos .souffrances surtout, rae-intez nos ch=;en
etS- raont gouniCeces, ao d e w a »
Itinér^re ^ u r Je mois ( T A M l l L 1918. Mais i n r les denx r»»es de U Somin.». i
dispersée par nos feox. L'ennemi ^ n s .ioum.iliers. Prenez notre défense -. i
tfhoaut m a r f e t e <U l a k S t ^ ^ ^ S Â d t e
la ffcite d^atteqnes exuemies dans FsprAs «ubit des pertes sensibles et laissa de» ivlutez les fans jugements qae l'on no::s S a i r t - ^ I - & - L * o B . place 4o ÛrSsker.' le» ç u e m e r e t adarre en « t i r eoU e w e a t z a ^
2 et 13. i ë h. 30; Cartaix. près U gare. le
jette au vis.ige en perraL-sion.
midi et la soirée, les trcnpes britanniroeL pnsonnjsrs entre nos mjins.
etaieat Icreéc: de se r q i l i e r légèrement
Devant notre physique, certams eivi..- 2. i S b. 30: Lasiuvea, champ de foire. les A m a an t r a o u a jench. K e o e r e i M tak
EH tOHHAlXZ, vers 1 h. 30. le 21 mars qui n ont perv.nne au front se font une 3. 4 et 11. à 8 h. 30. Chkeanaeaf-dn-raoa,
dans le voisinage de BEAT.
après nne rive prépar^ticn d'a.tiîlerie. des
Dne forte attaque, lancée an dêbnt de ta detacjM^cntî allemand: d'alUque se por- •jdée mexacte de notre vie et de notre es8®™- Je 3. â 8 h. 30; Quiaper. quai
• n i t , centre lenr nonTelle ligne an sud de tèrent à rassîut d î nos posHi2ns dan? la
de 1 t ^ e t . le 4. i 8 h. 30. et s u r les quais,
la Somme, f n t repcussée après une latte région de SCJlEay. I I , lurent reponsïéAussitôt débarqués du train, noirels par le 15. à 8 b. 30: Ploudalmézean. sar la ptace.
acbamés. Snr u n peint, dajij le Toislnage de par n î s Isuz et subirent des pe.-tes sérien- la fumee. bronzés par le soleil mais pro- les 5 e t 6, à 8 h. 30: ( a i t e a n l i n . s«ir les « ean acompte. »
^
^ ^
U linère, rennemi aveit pénélré dans Isa ses, saaj auciia résultat.— En îrême temps pre.~ d.ms nos vftemenLs. nous sommes sa quais, le 5. à S h. 30: Bassalec. s u r la pUce
Ken-ze. pa b o penz gnetxet e v n a a e i t f
positicEs de nos alliés: mais a I n t rejeté
iués
par
ces
mois:
.
Ohî
mais
vous
voi.^
:c 6. à 9 h.: Pleyber-CaaTs*. sur la place, les en e u r g e m e r r t
réussi cr.e incursion ver» ASpar une contre-atuqne.
f et S. à 8 h. 30: Aud^eme. sur la place le m a ne ^ m e r ket d i o c " ^ ar m a r e l a S o â r
MAOCOnPT et lait des prisonni-rs — Le portez bien ! vous avez bonne mine .
~ ^
; Eh o i i i ! -Monsfeur. nous aï:<is bonn^
à 8 h. 30; P!oga»teI-Saiitl-fi«r«aiii. sur perz eahaij. an e i l r n A h a i r ^ i l e
Pour ce qui est de notre front, dans la Zi. au peta jour, r e n r . m f :: attaqué'no» li>4»
.jf»!*
.
soirée et dans la ncit, I,'EKS5M1 PARTOHT gnes a l'est de BLEMEBT et â l'est de B i - mme: le grand air et le soleil v sont cour la p!are. Je 9, à U h . ; Siint-Reiua. s u r la a»" m/kfnAD
COKTEK0, attfibli par ses pertes ccnsidé' pOlITILLEB. I l f u t repoussé a « c de lour! beaucoup. Seulement, ce que "notr» eail- place, le 10. à 10 h. .10; Sospordca, près la
Lirde appar.?nce vous cache, ce sont nos j.-are le 10 à S h. 30: Morlaix, près & gare,
rables, éUit contraint de ralentir son effort des pertes.
^ i l e u r s et nos rhumafsmes. Les moin le 12, à 8 h. 30: Laademean, sur les quais
La vaillasce ds nos troupes défendant le
emeret evel euu d i g o l l roèt d a b e n ^ l M
^ a i n pied à pied, est au-dessus de ton! EH HAUTE-ALSACE,
U matinée du dres variations de température nous in- les 15 et 16. à 9 h . : Laulinsiau. champ de an aneral m a vez lezet g a n U e l o i ^
elcge.
^ un coup de main ennemi sur le BOIS DE Uueneent: et moi, malgré mes vinat-a'uat-e foire. l î s 17 et 18. à 8 h. 30: W o u t o u , sur
n'eo ha nTieU heia nemet m .
ans. J'ai déjà mon . pfed b a r o m è î S T
13 place, le 19. à 8 h. 30: Haelgoat. prés du
Pendant la nuit, nous repoussions de tor- HIRSBACE a échoué sous no» feux.
lac. le 22. à 10 h. 30. et le 23, 4 8 h. 30: Beries reconnaûsanees allemandes, qui ten-XXHjSk àm, Gau.
taient d'aborder nos pojitinns, an nordnotre boa ordinaire comprend : le pain c r s ren-Pl«uiévédé, champ de foire le 24, à
' h. 30: Guerlesquia. sur la p'ace, le 24. 4
ouest de NCY05.
8
h.
30;
Berren,
champ
de
foire,
le
25,
à
P
a
r
i
s
b
o
T
!
)
b
a
r
d
s
Tonfiée et le saucisson de chi
Hous tenions I3 ligne ECHELLE-St-AU8 h. 30: Dsonlas, sur la place, le 25. à
A X O SABOIVIVÉS. — T M
BIX. BEUVBAIGSES, nord de LASSICHT
«ici
''''
muscles pa- 8 11 » : Briguogan. sur la place. le 26, à qui ne refuse pas le jsaiBal i r J
•bords sud de HOTOS, n v e snd ds l'Ois-?!
de 1 2 0 Viloîtjèlres ^ M r
f ' , " -D
hélas! encore une * 5"
I® Pta^e. le 26, à son abonsement ast e a a s i d ^ i e
®
dure longh. M ; Lanaili^ sur la place, le 27. à bccné et doit le prix povr u a
couchons pas impuné- ï J
*
s
u
r
la place, le 27, à année.
Journée dn 27 mars
Les Boc!)?s ont m^naa»! un «lîrpri
ment dams les courants d'air, s^ur la cailié i h. 30; Scaer, le 11. à 8 h. 30En caaséqnaaca, aaai
sensationnelle aux Paris!.;ns ces mrs flor .111 froid et S l'humidité.
^
AchaU
à
Guingamp.
tous
les jour».
Hercredi, les Allemands, jetant dans la - lers.
abonnés doM f a k s B a a a a à « « f e a T t m
- Evidemment vous soufrez dit le civil
Les loc.ihtés ci-après sercr.t prohable- « A M . et q u i . - a ï ï ï ï r l S r î - S Î ? ! , ™
bat?.ille de nouvelles troupes fraîches, ont
mais vous ne vous en faites pas . " "
A plusieurs reprises les prcihas ont voi
nent visitées pendant le mois de mai 1918 :
ettaqué avec une violence redoublée. HâTiens, parbleu, nous sommes si incons- Ouimper.
pour leur lanrer dés b - m h - ;
dus nsinss
ton
Plouvom. Hosporden, Sizun et numéro f a n i l , ^
tons-nous d'ajouter qu'ils n'ont po, malgré revenir
fôî,",^"".»*^"'-"^-'''"'®,
«•'"S ayons f?u Carharx
Mais samedi, à partir de 8 heures, on
cous leur faroos présentar. p a r l a i a S u m .
tout, gagner que très peu de terrain.
heï.îJ^'"mbreuses sont Ie~
abattre avec fracas, sur un q u a r l i - r de
une quittance de S f r M c s . à U r a E t i
Dans la région nord, ils ont réussi à cap.itaie. des projectiles qui notaient pn
songeons à d'autres qu'à Insigne» dem oairmUmi^ d'élite voudrontjbiearésaTTerbMaeCTrfC
prendre pied dans ABLAINZEVELLE (10 des bombes, et qiii ne pouvaient par con non?^^nous-mêmes. Qiaque année qui passe aug- Sur la pronosition du général comman- lere saut mvités à ea»Bi«r «nx-Miaia» I *
kilomètre» nord-ouest de Bapamne).
séquent pas provenir iVaéroplanes. D'ai"
=
flanc
- q u i s'imAutour d'ALBERT, comme entre I'\Dcre -Tirs, aucun avion n'était en vue
..atiente et prépare son mariage: c'est le dant en chef les armées d u Nord et du m o n u n t de leur r é a b o n i e i a e ^ ^ ^ ^
.N'ord-Est. le président du Conseil, miniset îa ?omme. U Intte a été acharnée, les
Toute d e m a n ^ de ehaagawiit «-adraaaa
Fmale-Tienl. et tout invraisemblable cui
Allemands revenant sans cesse à la charge parût le fait, il fallut admettre que >es elle malade, est-elle dans le besoin'» c'es' Te de la Guerre, a adopté les modèles — ^ e i nne époqse antre que r f l f t i i a n
i'msignes décrits ci-après, pour être at- de rabonnemeat - «bit
avec résolution. Au snd d'Albert, l'ennemi projortiles
« n T ^ i ^ S
éUicnt tout simplement d^
rénjsît un moment à pénétrer dan» les poL ^ I Î
^
enfants, trop tribués aux combattants d'élite des uni- de runa de» dernière» baadea d u f o n a â l a t
sitions britanniques; mais no» alliés ne bus de 220 millimètres et recnnnriltre jeunes pour comprendre la guerre mais tés de cavalerie.
de 30 centimes en t i a b r a « - p a » £
«
tardèrent pas à reprendre le terrain cédé. paiement qu'ils étaient lancés par un ca
Insignes pour les combattants d'élite
f
le n i 7 unfqu^
inconnue Jusqu'à
Un ncuvel et violent assaut, lancé par les i û ï le
la
cr.valerie
:
seule an pavs!
Allemands sur le même point, f n t complè^'L ^ ^
1"® • ••<"> n " s'eâ fait
1» Eclaireurs â cheval d'élite. - Portent
tement rejeté dan» la »u:te. Et tous les ef- Dans l'endroit le plus rapproché. le front pas .. -Nous le proclamons par bravade au bras droit l'étoile à trois branches, atallemand
se
trouvait
encore,
à
cette
heure
forts tentés par l'ennemi pour déboucher à
m ^ s au fond de notre cœur nous savons tribuée aux cavaliers aptes au senice d'él'ouest .le la vil!e a Albert l u i coûtèr-nt a une centaine de kilomètres de Paris Où que cest un mensonge.
d éclaireur. mais brodée en nié d'or ou
sans autre résultat, do très lourdes perte»! «V^nc ''•a:; !e c.imn m jnsire 1 On ne le •
f^X-^H»'
"".sis on s'ef- l'argent, suivant la subdivision d'armesvait naturellement pas; et peut-être ne
2° Grenadiers lanceurs d'élito. — Portent
- Théâtre,
Au sud de U Snmmç. l'essai i o f i a c t u e u i sait-on pas encore. On a parié de la forât concert, cinéma, musique. »
u bras gauche la gr-nade du mod^-le utitente au cours de la nuit par le» Allemands de SaLit-Gobain. puis du fort de Lanfscourt
renseignés! Mais il ne fau- lisé pour les grenadiers et les bombarpour enfoncer la ligne britannique, était .6 km. sud-ouesf de Laon;..
ci^^i
«™ire que les quelques heures de diers d'infantene, mais brodée en filé d'or
SUIVI dès le matin par une série de vigouEt dimanche et lundi, comme samedi les spe^acles ou d'auditions forment la m l - ou d'argent, suivant la subdivision d'arme:
reuses attaques depuis la rivière jusqu'au
jeure partie de notre temps.
3" Fujiliers-tirenrs d'é«e. — Portent au
sud de P.OZIERSS.
^
r i l l ê u r e " ' - ' " ; ' ^ " " ' d'arriver tous les quarts
bras gauche l'insigne distinctif des homA Rozières même, tons le» a»saut» d«
On se lasse bien vire de ces distrac- mes chargés d'utliser le fusil mitrailleur,
.Mardi plus rien.
l'ennemi sont repouc-sé» avec des pertes
Et tout le monde d'essayer d'expliquer
mais brodé en filé d'or ou d'argent, sui
Voici la liste des jurés appelés k s1ëMi>
élevées pour les assaillanti.
phénomè.ne: canon d'une très longue volf^e poilus qui préfèrent fine bouteille de vin vant la subdivision d'arme;
au cours de la 2- session de Î918. quj s ^
Entre cette ville et la ^omm.^, nos alliés, ohus muni d'un mt^ranisme propulse
aux chansons des meilli
vnra à Quimper le lundi 15 avril proehata.
artistes
4'
>
Grenadiers
V.
B.
—
Même
après avoir réussi à maintenir lear lione obus se dédoublbnt en route
h-îc-.
grenade
que les grenadiers lanceurs.
la présidence de M. L e h u t o m pendant la premiéro partie de la jouméo Kcant nn guz chaud ce qui avait pour r f
Kensel, conseBfer à la Cotir d'apprt d »
durent pins tard la ramener légiremcni sultat de réduire considérablement la ré
Rences, ayant comme assesseurs JOL ( M - i
vers l'ouest; mais leurs contre-attaques ré- sislani-e de Pair. etc.
maud. président d u tribunal de Quimper té
tablirent ensuite la situation.
•Uavome. Juge au même siège :
Quant à nos troupes, après avoir arrêté s An.rSJli'P''"^.'';™®'
simplement. Les
plusieurs reprises, avec une ténacité admi .Allemands ont leur secret, et ils le gardent
J n r i s titulaires
rable, les assauts de i ennemi à l'est dp n, 1 J T r
d<!'""'verle. faite par un
M M Pierre Lapoulot, fabricant de m e »
MOKTDIDIER, ils ont dû se replier L a i Rufse établi en France, aurait pu permettre
bles.
Douamenez;
Charies Beanohef de Sepcette région.
.1 nos artilleurs d'en faire a u t i i t . Mais nos
^ g n y , propriétaire, Beuzec-Conq ; Jean L 9
ser^-ices techniques ne Jugèrent pas à pro
Borgne,
entrepreneur,
Quimper: Louis Boî' r "•fpo"» "le LASSIGNT et de pos de la p;cndre en considération.
loré, industriel, Lanriec; Pierre L e Biban.
HQYON, de» attaque» non mom» puissantes
D ,-iillears il faut reconnaître que si de
goude beza guerzet? notaire,
ont subi un complet échec et se sont bri- pareils monstres peuvent commettre qu,
Ploga^tel-St-Gennaln; Jértme BoSî
sées devant la résistance héroïque de nos
tm, propriétaire-cultivateur, Hanvec: Rend
regiments.
^
le but des .Mlemands, en s'en servant ai
E v i t doare ez euz bet kalz kaoz divar- J o u r ^ e n , 2 ' maître retraité, Htnveo; Fran.
çole
Favennec, cultivateur, Edem; Jaeaiies
manquons
pas
de
cous k r i d e m ' o a la'ceat er
—X—
? -i i „
'"'""'•e
ne pouvait ^ e . Comme Turenne nous tremblons ; benn a r pennad
Carval. cultivateur, T r ^ e n n e c ; Fnnçoia
rtivcza.
Pour nous résumer: à l'endroit où nom fit.-e que d essayer de faire croire aux Pa- mai= nous allons au-devant du danger C'hourrier
Le
Bourhis.
commerçant. Baye; Félix G a n ^
Mes hiniennon a ioa nec'het o klask
arrêtons notre compto rendu, entre 1; risiens que rennemi était déjà tout près
Nous devenons pnidents, voilà tout. Jamais komprenn petra eo eun arrhes h a petra vet, propriétaire. Coray ; François Beilee.
Warpe et l'Oise les Allemands ont récupéré
I l s en faut de beaucoup, heureusement
marehand
de
meubles, Brest ; Pierre L e
un homme ne s'habituera au . vrombrisse- eo cun a acompte
r a k var ar poênt-3c
à peu près tout le terrain qu'ils avaient dû
XX
Guillou de Pénanros, industriel. Conoarment » des gros obus, à l'éclatement des e oan ket bet difazi aoualc'h.
ceder au mois de mars 1917. En quelqu»!
Entcntet mad eo, hor beuz, n i koaëriau- neau; Eugène Le GaH. ancien notaire. Saintpomls il» ont mémo dépassé l'ancienne lited, ar memes g u i r da zoubla an arrhes Renan : Nicolas Mérour, propriéUire, A r M I ;
gne. Hais leur éUn, s'U n'est pas encore
—""'^Rien l ' ' " ^ Pensez-vous de la guerre î » bet disant ar marc'hadour ha da zelc'her J^eim Favenneo, cultivateur, X a ï m é d e m ; ^
complètement brisé, est tout au moins fort
Brévini, maître pIAtrier. Quimperië: René
ralenti. Et le» réserves anglo-françaises, qui
Nous poilus, nous aimons la France nous hon aneval, evel m'en deuzaii dcn-ze d'hcn Sinquin, garde particuUer, ScaSr; Yves OBp.
n'ont qno peu donné jusqu'ici, s'apprêtent à
lezel ganeomp en e u r e o l l e arrhes. A n
Aux armées, le 11 mars 1918,
et
respectée;
mais
arprospère
denner,
président de la coopérative des eooentrer seneuseicent en action.
^^«"'le entreprise dra-ze a grcdan a zo sklear ha splam ha vreurs, Ploujean; Qabriel Pondaven, cultiMonsieur le Rédacteur,
nous nous détachons des grandes questions ne dlefc r e i nec'hamant da n i k u n . Ma ne vateur, Ploudaniel; François Pettoo. f m
fell ket d'ar marc'hadour kenieret an arrhes
Pour la première fois je prends la liberté
-XXnous faisons notre devoir vaillammen?
retraité, Brest; Alphonse Chabay. ouiaflail
de vous écrire. ,|e vais d'abord vous dir>> et Lne
seule, décention : Combien encore doublet, e c'hcllit ber c'hass dezan dre ar lier, Quimper; CéfesUn Rospabii, m t r u û i
que je suis un poilu du front qui, depuis
ost en e u r lizer recommaiidet, h a ncuze
oublient
maître
retraiti Brest; J e a n ^ t o n , P l o a i *
3 ans 1/2. a v u un r"-" de tout, un enfant
o pezo eur m e r k da ziskuez oc'h dizle
^ u r quiétiide égoïste! Ceux-Ia, ce sont ^ s
Pierre T r é b a ^ maître boulanger. B>Srtl
de la Bretagne qui n'a jamais eu peur d
en e genver.
Paul
Dem,
directeur honoraire des doaaneal
aoches d'en f.ace. Mais comm": r..n dit la ïï.v à?'-,
Lavaret e m'oa ive : « Ma rofe a r marî^ous nous battons pour
guerre, qui dure depuis si longtemps, est eux et lis ne le comprennent pas.
c'hadour hanter kant l u r pe gant l u r en Carantec; .\ntofne Cabioch, d e s s i n a t e u r ^
traité.
Brest;
Adolphe Jégou d u Laz. mait«.
Voilà,
monsieur,
ma
lettre
terminée
Vous
devenue un mélier pour certains, et peu
eur ober e brenaden, an eil r u m nag egile
S
Pondant les premiers ionrs do la ba de gens y p'^nscnt malheureusement Ces' mexciiserez de mon brouillon; Je ne suis n'ho deuz m u i ar memes g u i r da vont a- Cléden-Poher; Jean Riou, oulUvateàr
pas..
Bachelier
Et
je
vous
bennec;
Maunoe
Halléguen, c o m m e r ç a »
taille qu'ils venaient d'engager, les Aile pourquoi, depuis un certain temps j'ai re
remercie euep ho ger, r a k aliez neuzo e vez loet ar
av.once.
:
Jean
Habasque,
2»
maître
r
e
t
S
t
é
.
Pleyben
mands ont fait des démonstrations d'artil marqué, de in.?me que nie.-> camarades, s u r
pez a hanver e gallek eun «acompte • pe
lerie et d'infanterie sur plusieurs points dv !oi|t lorsque nous avons le bonheur de
M. J.. sergent.
ni'ar k i r i t e u r gommausamant paëmant ». Brest; René Le Clec'h, commerçant Kei^
front français, danr lo but évident de nou- ijuittcr cel enfer pour nous rendre auprès
feunteun
:
François
Penfeuten,
ouvrier
d
a
Goulskoude. arabad eo en eni fazia var
• le nos bons r.irrnis. que ratrection pour
tenir partout en haleine.
poêiit-ma. Arrhes n'eo ha u'hell beza ne- port. Saint-Pien^î QuMbIgnon; Guillaume
nous lend
diminuer. .Nous sommes narAU NORD DE L'AILETTE, dons la nuit fci5 l'.M.jpi des railkrio.s de c-rtaines gens
met arrhès goude ma iafe betclt daou c'hant Anguill. menuisier, Lampaul-Guimiliau- L .
Michelet, commerçant, Saint-Evarïeo: Yrea
du an au
innrs. neus avions réu.tsi un qui nous font rougir. O i r malcré tout nous
l u r hag ouspenn.
coup de mam siu- le» liqnes ennemies, aux bommos parfois timides et nous avons un
Pa en deuz eur marc'hadour prënet eul Favemieo, cultivateur, ScaSr.
aoorJs de BOUGON VILLE, et ramené «no
loan er foar pe euz an ty, en e""" r e i n'euz
Jurés suppliants
dttaine do prisonniers. Les loura suivants
Ooncoufs lie esoaUches
forz pegement evel arrhès, h» |5a ne gemer
MM. Henri Proux, agent-voyer en chef ea
vive lutte d'artillerie sur tout ce frcn» —
Ces gens-là ne se rendent pas compte que
ket a berz dioc'htu en aneval,
r a peuret
ae
poulains
Quimper; François Rabot, secrtAu sud do JUVI.\COORT, nous avons ro- rendant qu'ils domicnt tranquillement, le
nemet eur promessa-or®"®den, rak, retraite,
concours pour la distribution des •liessa
taire de maine, Quimper; Louis Poulain,
poussé des coups de main, dîns les nuits poilu fait un n'mpart (je sa r o i trille pou
n devez ma vezo kaset dezàn, 3' 'oan, e préposé
en chef de l'octroi, Quimper; Pieti®
du 21 au n et du Z i au Si.
les pn.trger; lis ne
rappellcn
P,''"'"^''^-''
de
1.
2
et
3
ans
et
de
kustum
atao,
araok
e
baea
la^at
anezan
PP'""
U Roy. pr. priétaire, Quimper.
n! M
dates el da vale a-iievez, sellet en e za°"'^Sad, en
EK CHAMPAGNE
n j les localités ci-après désignées •
eur g e r guelet ha mad eo e brenadenn.
•a • •
:i. I . i ->•.0
Oans la Région
ASSISES Dn FBîISTÈBE
DIÏAEBMJR Œ E K
Peur ha penaos ho deiclier
K ceux de l'arrière
C
Sur le reste du Front
Hïis &
MINOR KERZUGEL
P - l i aze Clr c'hoiib;,Ttlik hrn
ver ken aliez ha b.-m.i.v, •• k - r i
r r n m s . — Knn !•.
a ve.t .it.io .i:,!-,n
.v.ir.l ! .Me z.j v lit
gin
liini.
h-n-. r
..ar diaouiou a hep seurl. re
loiir nrmet gant
voza kasli/..
rnz ha krennardet! E le,ac'h bezi 'he;
:o iVn el)...|, h.i di
• ket g.jad ei-.
r pri.stnn a rcd enn c vnr.îied.
;welloch e rafet o sr.r.jal enn amz.-r vr.
•.'M.ini.>iit a ra d'Iiin kl. :vcl eur z)ii
rd koz lienmp o l;.varel gworhall 31 ir^i-iî^S
Dalc'homp da
')M n n j n t kct'ev^'lse! —- Er c.îuzoïit . -redennou ha da c'Iiiziou hon tadou koz
•
^skigu^nip anczho gwel; d'an .impoent ar r • f o ^
reiietl . a riM nn exersis h.ii-- !oc h egei n ho deuz great lio-iinjii...
! rpad ni-i vrze ho Cli- n lii^ r^'^nî!"!''
s. "n
f ' " " " ' ' " - (numiTo uialrih 0 e'hoimit l:o cherc'li
-sois vl'.a,-. c u i r eo a io.-, iiri\cz-he. ii.i mont a rea enn i l m Daoïisl
il! 11.1 goiiNkouile var a In- d . ze e klevo luc haj ha k;in,n : '
noiii- r; hini euz nn o.ilron-•"•Iit. «l'ar ge-ir ne oiiezeni
lioiiz ar heure. 1. droad kleiz a ratik'- he/a
fiiziiilh var h i skoaz !
vei-hnlU .\r aoiin-se a forz ..ikeat i.r me,,z euz e u.-Ie eur guall ben
.< d.-M , | i vez., kasiiiz n.id araok egile. I n tanin en ,i.?a e h S
roi (loomp
gredi n'ua var ar pnoiirke.iz min^-r. Xe ket ij,"™""^
Ji« Wcn- n. z a zihime .iezli:,n '
l'i d uiar :i. ni.-l s,-r,l
:i
Oa zark.i e .-.p-^rro cih . Va Zicnr.-z m'.p. ,loa Guvnole great eur
7.1 ,\l..-,oue m'eo hel sarr.M jaelin.u-n a-gn-nn var benn. e \ a r c h
7. an .louar «Ire licc'lied hon Mkaiir-r a garnar.'ie :
r.uU'i.jii goz n'eo — E pcleao'h oiit-le bet savoi? gnn Mil
iinm -nia,
dre ar lied, Ir,-,- a tien lannog pe . r^n eur e'hoat liennaï ? M
tiid d;. zelii'iii e |p(i- ri-<|)ni:iu-ta, inul ? E pelonc'li oui "l.et s j ;.ilMii. Voit ,ire. I(,His- vot. eiiii eur r; i.ial p,.- enn eul lannug ?
— Klre ,111 eil liiig egile, hrig.-.dier.
lierre, M.jr.u lio fi.-it?
R,-spr.j!;,iot mad, cme eiir vouez ailrtn
•iriiik ar M.irart-z. sur
W.-ii 111,1 k . \ k .
histor nii
var e z-nilioii.
Il eim h.ir itn-iz,' kalz
- .\" linnta. I
1 br.-.z (lu (:'i..!-.7;iniiri e'heat lio pcuz,
•HZ li..-t votei li,.,i
ineiiiiiiii roel liei
darde,1 iaouank
ket kmnz oiitlin
mintin-man ?
le(,.,n;,!i!
d,'-l.r.Miill.;
L-la
k-l
-HOUWO
,
teisieiils
reo;: eun
anler-dro
anei-, .inkoiiiia. ar g-iurc'lieg-ivaz ar zoiiiie c'hellfee'h
.'aioc'Ii
si^mwlt-inotôop^^
noiJnoonoq.o i 9 «jnaS non « n A n i i n S S
-tôt m"
AM
- M. s va Ictananl. n'edon ket o
:tr seurt tud-ee tevel; nikun eua ho of- Ha pevar all. a ra eiz c peb leac h.
senen ne gavo abeg ennho.
.'snz hag enn Naoncd. Grit brema. m a
t r c hountrol. pa weler eun den o v m t
,'lij, eun anter riro var ho seuliou hag
• an daoulin evit lavaret e bedennou,
la geinenn d a r brigadier Divarruz don
•euze
e sav c'hoarz ha goaperez; aw«•la gemerel ho leac'h.
hou zoken, mes nebeutoc'h hizlo eget
Epad ma rampe ar Pikaner da ela.sk .
guechaU
ar c'hristen k»lounek-se. a
^"^"ai""'
^
Od* ®r zoudard ne gren kct evit diskouez d'an oll e gre•
lennou,
a
vez
tregaset e peb doare, hag
--- N'en em fazian kct, neket-ta î Gwe- -Ibred e vez stlapet
outhan al labourou
noie ar Gwennn ?
diez
hag
ar
.
c
horveou
» a bep seurt. Mea
— 1.1. va lel.inant.
ma kendalc'h da veza aketuz da ober •
— N am an.avezil ket ?
zeverou a gristen. abred ivez e teuor da
hag hen ken goapeat ne zaleo ket
lieud
•
Kerne- skuiza.
da \-eza. istimct ha karet gant an distera
Eur pez-niar\ailhou a z.ivaz kerkent être truilhcn.
Var ar poent-man, eur wech c'hoaz, hoa
miada ar c henta enn eur astenii e zoum
-1 ^a^ara2 ricgile : . D a r p,irdaez. pa vezi Udou koz n'oant lamm g\%-elloe'h eget ho
hugale Visn. Enn deveziou kenta. m polr
diskrog. deuz heteg va zl; pli.iadirr a ri Gwenole.
p'az eaz d'an daoulin, a gleva»
ne anaveze ket c'hoaz: gant unan
Vai an doiz, huez nr zoudard a zo souniou
euz
ar
re
a vleje ar c'halouneka edo ar
•auuen awajc h. mes d'ar pardaez g.iude brigadier Pikaner.
iaouank ne
sr zoubcn, e're c'houec'li ha dek lieur rtaz ket a van evitAnhoartiller
o'hlevet. hag atao
nolra tristoc l,. dr.-i.sl oll er c li.ani ^iu!
da iavaret e bedennou daouU•Neuze cma poent an elj.-.ii h.t lav.rct e v» ciietlalchaz
e-tal e wele.
lie c l.ell ket liinie;,nou iakoat lio f u / u !:ï
.\z.ii(-k an devez ma reaz onaoudegei
g-,,slez, liet. s l a p ra.kial .!a z.slûmiki
koinzc.u pounner lia nhivvaiiliou ùiskem gant al leta^ant, e gaioun a laoueneaz eun
|>'.nn
dra zur an oll zoudarded n'int neocudik E ti an offlser e kave dlgemer
ket leodou orem lia iul.rik; luan a w i l c h v&d ha kuzullou f u r . Dre zever, hag " S
zoken an niv.r .n.zlio, h . i ' d a o ^ i da ze evu ou-r phjadur d e gamalad s ^ S h , M
stagaz a-zevri gant e victier toudardC Da
lezet e vezont du iouchal ho zonlou hu e
fin ar bloaz eJo brigadier, ha t r l v ^ *
n^
; d'iin neb a glnsk ho miz
divezatoc'h c wcict o lugemi v t r e t T
I art enn c n;>pnum.j!ii kerkent" h,,g al vreach golonsou aour ar . mai^chal dei
logis
,
nomT-;
" "
™ns
- xàii liherle i h k-an,î li.i ,1-.
_
swspnott snaBltai»»-»
»
Due SOR le r
d'aiilir. fiions. D'abi.iil avoir des ili.iuii'ia des rayons m u n i s de feuilles de
T u d tagct gant an «liskcnn-bouzellou,
p i l l ; •s l>e:.iiciii, l i l i i - ^T.uiils. Les ii.iiiiers eiie gaiifive.
n e faziet k c t . A r m é t h o d e l î k l o u a r d heb•i ! imt I n s fuis irop petits, ce q u i
l ' n e erreur eni-nre assez rép.-.udue à la Uen a c ' i i c l l ho --area. D a l c l i n i a d o k l a a les aheill . à cfTriler leiii-s forces, à eainpaiine es! de l ' m i r e qu'une colonie vieil- ' ; e r he i nita, m o r s e ne v e z o g r e a t kCrI pelil..s lionies e l à essaimer coiis- lit. el "que, p,,r con.séquent, i l vaut autan! k o u l z . A r g i i c l i , i uiei'k a Rement-se c o
la délriiire. t ne colonie ne vieillit pas. Ell^ l u ' e u d o u z b e l au A o l r . A . K I t O L ' A R D a n
lll. •e qui
.•II! 1" î u.'"Mii.7"'
n'a que r:\ge Je sa reine, et, si l'on a soin . l i i d o i i i a e n o r . Iiak..se h e n h e h k c n .1 v c r i '
ain
I'.
- U'iia.. simple i-jiiiiiai-.ii- • ie n-nunveler la reine, la rnehe eontinne
'i/.iaiis. rak l i o n h c b k c n a d r c i u e r i ! r e
M.n: il e.-l vi.f.'Ill .,lle eeii! hipilaii.N li,. ,|ix il.iri.ss ; i i l - iii.léil'iiment. î^i l'i.ii peut en: h o p r o abaouo o u s p e n n 2 0 v l u n z ' z o .
ii!s eoùliT. i l plus a . i i i i - l . ' i i i r qu'iiii seul pljyei- ce p:iradoxe, c'est au printeiiip^ iJi-.- /.e, an o l l d i i d a zo p o a s k e t g a n t a i i
h..,.il,.l de llille lils. IMIIS 1..S il.-!its |„'.|.i. .pie la i-i.liinie esl la plus vieille, piiisqu.; i i i s k c i i i i - b o i i z c l l o u , Koa/.ed, m e r c ' h e d , b u p..i.ulalion i l i i mois de iii;ii-s a é:é eu b a l e , o d c j z i u l e r e s t d'en c m f i z i o u t neI- .)•• il •in..!isli-.i iaiiv il f.i.l. .-.I inilllipliee I.. p. ls.illllei lie I:.
iir dip
L ' K d i t i ' i i r du - Courrier . Vf»! h i f i i I
!;• Mirvillain-i-, le iiia;.-ii-l d.' i,i:ijei.i-e p:,rlie élevi'o aux iiicis d'ain'it el i i i e d c r spécialist di«p;_.'-nia. .•\n Aolr.
| i e r n i e t l r « il'anii-Pi- l a t l f iilkni d.-s nu:
.\iciii
•n .• •11.^ ,.nii. <- i l
[•tl;.lir'.i
sepleiiilire
pivi .-d.'iifs landis ipie celle d u A . K I I O I ' A I n , 137. ru-. d u T e m p l e , e Pa.rieluir.i..;e.
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o r f u ï cuUivateiii-s >|iii Ir li~.nt - n r ii
• dinu'
.inii|ii.s i - l'iM-ir
ileli.s. S',1 M i f l i l il.. viliL-l n i i l i - iii'.is d'à..II! n'e.\i-l:iil pas In.is mois an- r l - a r o l o k i i / u l i o u e :
, i o d u s l r i i - q u i d f v r a i l I«hii• é l r - i-lus p,
llïl.MS
.lté d . ^ tuiuie,
,J.eil!.-s
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eliMilI.-i-.
n
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..muI,-!iiiens« que Janiuis i>uiir ( lllsll-ui-s IMISUl
ilnijiir
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K . - . i i | i < ' i - l é , t î w i nor I . ' eli.rel, hôt. d u C o m
riieli- .1.- i-enl îii'ill.- h i l . i l a u ; - . ''•'i ne di
is.,l>s q u i einp'elieMt
U'HbMY), pair.- qii.' 1.- s u i i
. l i g f P t r mi
m;r!e.
eoilp .le i.,Ts.,nn:-s
nn:-s de'eiiUiv.;ide ciiUivei- des ali
alieilli
i.ii:>,inl ainsi i|ii:ilr..--villi.-l nulle
« l r i m r ; « i i ^ i i i t r . purt'« d v di-vicnt !•.
.le
.!.•
IclH
K « t h « - k . sad , r n 13 < b r c l . ' i ô t e l de l-'iance
e'.'Sl 1,1 eiain :.• des p i i i i l n s . (11- 1)11
.li.,M.lulli.-s p.jlil- 1,, liM\ail.\ Ù-S
d( l'«>n(-Kr«>nz .sut 11, li,i.. dc-s V o v a w u r s .
nos vuilktDts habit:uils d f I
MV/S
1111-. j u i i r s puii • subjuguer ces bestiule
il r i i i l ..Il lileili- eini|il.ijile lilill.
viendront (h-s oliaiiip-i de balailioampatiii.- !
lielll-;,-! l.li .1A v
K c n i p e r , l u n I'- . b r c l . li.'.tol dn l'Epce.
iniiveii- l i r s simples q u i les rendei
|...lii- ,l.alli>'.-r . ! .^,.|-i|.-l- .lix l..-lit. r i l r h . r
et inot>pal>J(>s il'iui I r j v a i l (M-nibli-, J>iiur
illini:
^•IMU.If
l i r c s l , m e u r s l i , h f i t c l de F r a n c e .
l a c i i l l i i r e des ai>Pilles
.iii^ r ^ s - u i i i
llii n.' l.iiss.'iMil iil.i-»- ,|M.- 1,1 111..iîi- .1- ..IT.Misives,
ut
:l 's il.L
: t i i d i v l s i « > , m u i c h e r 17, h. d u G o m i n c r c c .
li'c-xe.li.-iils Ii'.:ili's
appr«oia!)lH «(iii < ' u i i i p l . l f r j !• ii:- luodi?
I.I |.u).illali<.ii Idl.ilr puiil' all. r I.iiImi. r. i . r
n'apicnliiii-e e.xist.'n
il.'
I- lie I..
i:DOl<Altn
p}>n>iuii. sans oompl'-r l.* pl;ùr.ir int. ll,
r.'la \ ; i S.ili-- Ililv, SU.IJIXI ah.ill.'s imui.i-•m I..11I.-S |,-S niélleiiles dr- ;n:i C ? i i : l i i i ' e N iu«-diiraI(!K
,•1, d-en.i
bl u e l insiuiipvonnr- que Icnr p n n ' i n v r a r<rlii
r.T..|ll I.lus d.. !ll:. l qili- Till.lli.lll.
. ' ;i esl n . ' i l e d.- SI- l, s pn,nprvs i-,
lilll:i
le 1Demmaa-fz
MONTRES
u n i . i n l , ..11 .l'M-.iîl lii.'iii" uifll.-,. iii|.
• u'iudliiiier qu'ini seul. . L.
cl
trC.
d r e m u - i i r i e\f<»pliuuneM'-iii»'iit iiiU-r.'ss.i
l . . u i " é L.I1 cil..II.' .'l I i . l l l e , l.-s l l l . " : . s .1! C'.liiliiil• ll.'ieliei-, ii:,i- i;d. l i e i l n i i i . l .
B I J O U X et O R P è V R E R I B
J - illil lel PI , r
tes de ces iiileliii;,-nle-< a v . i l
ris .1; |.i:ll.- |..-l...l.,ilt r . l'-: . ! e'.->l di- e U,. c,. esl nn li\e plMliqu.- '.•! à b p.iel,-... deilii.i
Tous (••< p.»'>!e> d. piii^ l):iv . lion
î>..Uls,.s
1.
:..tl.'
s.
i:j.i,i,-iil
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plus
Iii„ile-les.
(II.
peut
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11.
>
li
Virgile. OUI clKml.- I. s abeiiU
Ui ilu
àGJRIBAUBEAUr.».im4<ïco»ï
e.iil- i l - I1!.-I.
s,.in .r. -i eli:iss.-i- I . i:ez Hi.iiiv.n in'-r.-s. Tiinneirm p; luiciA
«le I f i i r miel, e i itorguiii-iulioii i
•rlIplK.
.Sit «"• Pris. Î 5
d or au CanMurj \
alieiilv-, :ill h.-ll ij.- les él.illîler.
I p:u- r i i i [ e i i i i . : d i a i i i ' d'une l i «, /v».„Tiitor,. FRAIieO TARIf IttUÏTKË.
•il'i.-es q,u-'
«Je leurs niches Celte oi-gsiilsal
:ivail d<
•S pHilI n p. l i i r.iil il..111 j.- fus l.'iii.iili el :ieleiii br.iii-..-.
le
(«ut temps tell.'aiPnl fr.ippé 1 lin igiiuttioi
^.•lll:lie iMiliiim r que coi lailis d.- le.s lir.ne..Na!un-l!eiiienl on fera bien, si c'esl pos
« î a peupl&i qu'on était venu à ron idri-. 1- lo
eiilliv;i|..llis II.- se l-eliil.-nl J-Mlèr.- c.illinl. siiile. de passer quelques demi-heures au
E t u d e s de .M* Paul B i e n v c u i i c ,
r u o l i o cumiUR le module d ' u n K l a l bii'il ad
(In
liTMl.l.'iiie
lie
l:i
v.e
i!:.iil
i
r.
p
n
l
i
l
i
i
p
i
i
a v o u é à .MOilaix, 23. plaçai
pivs
«l'nn apieiillenr exp-rinieiilé, el de 1.
m i n i s l r é . Les Egj'pl'eJis avaient mC-nie pris
Oiielle
son! m j i i i l e n a n l !i
abeilles, et |,n,b:,l.!en!eiit ils s,,,,^,!,-,' voir ni:inipul.':- les abeille.s. Cela donner,
T l i i r r s et de .M- H c l l e c , n o une abeille comme fc symbole l i i c r u g h p l i i r réussir d^ms lApi.-.
au
imiile
f;,niasi:,|
i
<
taire à Landivisiau.
•m
niivii
e
pins
d'conli.uiee
el
d'assur.iiien
ilis
.lifliellll
q u e de l e u r roi.
I de s'il: Iruire I
•Wanl loiil il
il., en
nn i-ss.iiiii
1" •liliuenieiil ilri-l-il deux qualités iiéeessaires, car. si l'on est
L t s historiens eux-mêmes se soni occu- Iles pi-ogrès Moderne- ivalis •s danf.llll.
nerveux, les abeill. s s'en apeieoivenl vil,il.., c'est-à-i
de
pés des prouesiieft de ces amazones anuée-s industrie ciui nie daii- luut. s les i i l r , - .
el c'est siirtmi! aux pei-s..nnes .'lUX'pielle
a v r i l l!it8, à u n e h e u r e do l'ali-e iin.ili-e
i-e nn;
et (11- le 1.1
*ie dards bien cuisants, et nous ont i-aennl-'- Lj méthode lltédilUM oune I Ui COU: ste à
elles
aniMiit iveonnii ce déf.tnt qu'elles ré
p r è s - m i d i , en l'étude c l p a r l e
p.Jl.ITi
e o m m e n l elles « n t sauvé l a civilisation on jeter siinplen fut les : ,brilles il;ilis 1
serveronl leurs piqiires.
i
n i n i s l è r e d e M* H e l l e c , n o 11-OL
( n e t t a n l eu Tuile des légions do barbartvs. nier <mi d:ms ii
e
p:,.
une
liuurc;iiss
il un les
taire; on l a v i l l e d e L a n d i v i de l'^vvi"
P- Massi':Des «nstrumenls plus puissants et plus ef- le j o u r où 1
i l un.' s i Jr;
lire la r.' I.' du
,|e 11
siau.
flcaces nous dispensent de nous s e n i r de
en
venle.
"pà'iilè
uli^ii.- de
el , est un - Miélh
eu!Lot unique
ce genre de concours dans la guerre contii- lure. de ce siècle. 1
il'i
iliel.'. line qui me |KiI-.,iss:iil
éilic Ile . r ulani
K n la v i l l o de L a n d i v i s i a u .
les barbares d u X X ' siéciv. Mais i l y a un j.ius barba 1-e q u ' e l l e , a iniutile
n \ me p : i n i l eleve,
cumin.'
Sainte-Anne d'Auray
n neiise. j'..|Tri>
r u e de P l o u d i r y , côté est,
« n l r e moyeu do tirer parti de ces a v i l i e s klie leiid à a
nue qui eii avait la eliai-ge inmener 1; d . r l i
de la r.iee
pi-upiv, l.e I 111 poids, je fis aiipeel aux bril ' i i c iuais«>ii d ' h a b i t a t i o n ,
« l de I f u r faire contribuer à la victoire, el
abeilles, puisqu'i I élollffl
ijom-s k
l.e :;0' nnnivers ire du couronnement de
la bonne fei 1 apprises .laiis mon enfance el
c'est celui que je recommande ici.
conipronant : lîez-de-chaussaines, 1< pins iiriiiireuse?, celli <1'
Saiiit.v.\niic d'.\nr( y sera i:.'déhré le inercred
sislait
sur
s
lui
d
é
a
u
n
l
r
e
r
une
tuiit
n'i^tai:
sée
; Magasin ; arrière-inaparamassé 1 plu--^ de i n i . l , r ! I \ i li
Se reod-on compte que littéralement d.v
K. le CanJi
l-.fs de Ureto s eell,. nic'ie, q u ' i l y i.vait pas 10 a v r i l , sons la pi •sidencc de
.sjn ; c u i s i n e : salle à m a n g e r .
certtaineM de mille towies de m i e l se per- •-•.Mlle pour c^jnl
la iTii-e que 1.-; fi.
m l l)ubour;f.
je
!âe!l::i
de
ivaiii,
r'esl-à-diie,
de
jeunes
.A
fl'êtaiîe
: Deux chambres,
d e n t i o u s tes ans en France faute d'abeille^, •les, les anémiées. I l maladives.
Il f.st recoin
dé aux pèlerins de se conpas miel da4 eiienre liées. TonI ci-la c'était
« abinct ; prand grenier ;Cour
o ^ r te nautfter
? On'en en juge par mon
L'éUmirage des abi Iles ci.iisîitiie d.
former aux rèi'lemeiits de la eirciil.ition. I l
mal
de
eui
iuiie
q.it
n'enlr.iit
pas
d
j
u
s
li
à
l'o.stqp'éri«m:v. Sa MdC mon ruclier comptait perte d'un capital appn'ci,ibl' Ce <1
sera prudtnt oussi d'apporter paiu el sacre : I l
•ilieilles non i l m n n e f e m m e ; il n'v
n l'uclies. A l a n n de l a saison elles mel'est pas moins c'est la desl
Le tout porte a u cadastre
av:iil pas n'est alloué, en efTet. ii la liH-alilé qu'une quanliini lie
O B ' ^ à d« cinq raille livres de ravons qui sont u n vrai travail d ' a i l , Tili de la i l n ti.i
s r o t i o n C, ii" 4n;t p,, c o n t e n a n tité restreinte île farine et les boulan.-jers ne
6 » n 9 mes i-ucbes tout ce miel eût élé ûé à grand frais, puisqu'il f,iul soiivenl au.\ cerve:iii de 1
ce.
S centiares.
pourraient pas siillire au ravitaillement- >
. .Coral^sn de m i l l i e r s de localités n'y abeilles de quinze Cl vingt livres de iiiii l, de jeunes abeilles, i l n'y av.-iit que du „'ii,.i
L i b r e de l o c a t i o n ; j o u i s s a n t-U-fOH ea Fraooe q u i sont au point d'e parfois davanl.:ige. (jour produire une livr. dans ia niclie. ,\k,rs j e il-'-sojienMilai q i K l
ce i m m é d i a t e [8 « j e l l f f è r e aussi ricbes sinon plus r i - de cire. On doit donc apjirendre que les ques cellules, j'en enlevai les larves que i.
Mise à prix huit m i l l e francs,
_jeB q u e ortie où je me trouve, et q u i res- rayons sont u n capital précieux ; qu'ils nioulrai à la paysanne. Elle resta ébahie
c i , 8.000 f r .
et
obligée
de
convenir
que
j'en
savais
pliir
V ^ t ' - r a t l è r e m e n t inexploitées! I l n'est guère peuvent se conserver indétlnimenl el faii.'
P o u r cxlrait conforme :
•|im «bdnn'l, s i aride soit-il. q u i ne puisse gagner ainsi des centaines de livres d- li.iiîî qu'elle, el que loiit n'était pas i h
l'aul BIENVENUE,
• « o n r r f r eu moins quelque,s ruches, car la ijii.el. étant donné que les abeilles niellent miel. Elle ne voulut pas cependant i l é i n o r
.\voué.
^ I t f t i u r e des abeilles n'est pas, comme celle à les bâtir un (enijis pi-écieun à iiii iimmenl lire de son prix. Elle ne voulait mémo vendre
que
par
l
o
i
de
Irois,
el
pour
cause,
i-ai
Pour v o i r l e cahier des
des vaches et dee brebis, limitée au champ de l'année où la recolle bal son plein, e! ou
charges et pour
ronseignet l e leur propriétaire. Leurs aile» les trans- if faudrait d'une l i a i t que toutes les abeil- les deii.x autres éiaienl tellement pourrie:
m c i i t s s'adros-scr a u d i t M- B e l ' p b r l e n l a u Desotn dans lets champs plan- les disponibles aillent au.\ cliniiips au lieu lie galli ries que j - ne les eusse pas acoepl e c , n o t a i r e , en l ' é t u d e d u q u e l
i u r c u x d u voisin, où. loin de faire d u mal, de rester immobiles au doiuiuile a p o u l i i i i r h'es pour rien. Je m'en allai ilonr. mai?
E r c n k a r c ' h l e n v f j o n a voask an d u d
le c a h i e r des c h a r g e s est dé"inHes f o n t , au contraire, beaucoup de bien, de la cire, cl d'autre pari qu'elles aienl d " Imite l;i soirée deux visions bien difféiTnles Iroltèi-eiil dars mon espril. D'nn eOlé la keiz, ii'ez euz h i n i cbcd h a g a r a i e k o posét o u t en .butinant le précieux nectar.
la place pour emmagasiner le nectar nip- visinn d n beau miel. pur. immacul.-. p n
m e i i t a r e u s t l lia},' a n d i K k i M u i - I i o i i K e l J'ai c-onnu des ruches au cœur de la p l u s porlé des champs- Ces deux conuitii.ns s.iiil • l i ' i l «le l;i r n r l i e moderne, et de l'aulre. d 1«»H. N a s a d u d o dcuz het lio huoz p c i i i i .
erande v i l l e d u monde q u i réussissaient faciles à réaliser dans les riiclies luoileni 's. i n i r l Iii.-I--^ de j u s de fausses-leignes et deda-l)onn a i n p n e z o u i i c t £;ant a n i n f i r m i t é
Ipon seulement à faire leurs provisions, C'est dire que j'encourage l'adoption géné« n demande s r B r c s t " ^
Ce serai! i " p e n d a n l si facile, cl pour quel- d a i i j e r u z - z e luig a z o l7ot n i o u g c t g a n t • niais mCme i donner une modeste récolte. rale de l a ruche à rayons mobiles, an ques sous, cruppreiidre un peu di- r i i i s l i . i r e l i a n !
ni^'^nage. la fcm.Tic c u i s i n i è r e
Combien p l u s d'espoir n ' y a - t - i l pas qu'elles moyeu de laquelle on peut r é c j H e r le miel iialiirelle de l'abeille, c l de savoir nu'ii v a A n o l l d a r v o u d o u - z e n e d l e f c n t m u i
et le m a r i c u l t i v a t e u r .
irtussissent dans h campagne en apparcn sans détruire n i les abeilles n i les i-iyons. dans l:i ruehe Irois espèces d'individus : c ' i i o a r v i z o u t aTiaoue m ' e n d c u z an . A o ( r .
S'adresser a u j o u r n a l .
ture douce. La reine cesse de p o i i d i r vei^; la reine, les br.iirdi.ns, et les ouvrières. L a
iCe l a p l u s dénuée de fleurs '?
A . K U O l ' . A I S D , a r gvvella s p c c i a l i s t euz a
' T o u t le monde ne se rend pas compte que le mois d'oclohi-e el se repose pendaiil Irois reine, c'esl la mère de loiite la nichée. I l l i a r i s e - k e n v e r an d i s k u n n - b o u z e l l o u .
'lés abeilles peuvent aller butiner jusqu'à mois. Les bourdons q u i sont les mâles de n'y m a que une dans chaque ruche, el
Ivantet uur uicthodonevez, agas k u i t rall<5inq kilomètres de leur domicile, quoique !a ruche font l e u r apparition au iiriiilenips v i - es! de f i n i s à quatre ans. Bile
Si le a le pri- i a i an d i s k e n i i - h o u z e l l o i i ha.' ho Tare e i i n
;lè r a y o n h a b i t u e l de leur vol soit seulement et sont chassés de l a ruche à l,i fin d -vilège de pi.ndie à volnnt.; di œufs m:ilei c u n neheud m i z i o u . evel m ' h e n d i s k o i i o z
de denx à trois tilomi^lres. Une année mes l'élé. L a disposition de leurs organes ne ou femelles. Elle commence à p o n d i * an t e s t e n i - m a v a r l o r c ' h m i l l i e r o u a b a r e 'abeilles m'ont rapporté 700 livres de m i leur permet p;is d'aller b u t i n e r aux champs- quelques u'ufs d'ouvrières a u mois de d i g e z i o u o b t e i i e t d i j a .
de b r u y è r e d'une distance q u i ne pouvait L e u r fonction principale est «le féconder janvier e l continue à en augmenler le
A o t r o u A . E D O U A R D , Paris,
être inférieure à cinq kilomètres d u rucher. les jeunes reines, e l comme une reine n e-- m inbre gr.iduellcment j u s q u ' a u mois de
j u i n , quand elle peni pondre jusqu'à trois
De p l u s les yeux et s u r t o u t le flair merveil- fi':condée qu'une seule fois dans sa
E u r u z Gun da g e m c n n deoc h c z o u n
mille (eiifs par jour. Les œufs de maies ou a b l a m o u r deoc'li, p a r c e t e u z v a d i e u d i s leux de Vabeille l u i fait trouver un nombre par i m seul bourdon, on a t o u t iiit.'Têl à
li..urdonS sont pondus en préparation pour k é n n - b o u z e l l o u e n n e u n n c b c u d m i z i o u ,
/JnôalcrtàbR de fleurettes mellifères l à o ùdiminuer le nombre, car. élant gniiids
f o r i s , ite ont un bon appétit qu'ils ne pi
l'essaimage. On en voil au mois de février hep . m d i s t e r a j e n a m a n t n a s k u i s d o r , h a g
Ta p l u p a r t de nou» ne voient rien.
vent satisfaire qu'en fai.s,nnt des vides
cl:ins
les niches fortes par une lempéra- o veza k e n d a l c ' h e l «la l a b o u r a t c v c l diaL ' a p i c u l t u r e , de l'avis de fous oeu.t q u gretl.ibles au magasin coinmun. .^ussi li
suré. Si l'on veut réussir avec une riiclie Sent.
s ' y connaissent, est une des petites indus- ouvrières les sacritlenl-ellcs aiissilOt que
Brest. — Imprimerie du
Courrici du
moderne,
i l fani commencer par v réunir
• t r i e s q u i rapportent le plus avec un mini- nectar vient à manquer dans les I k u r s ,
Finistère,
r u e d u Ch,itcau, 4
' V E Z O . .lozcf, K c r i v i n , lOwinevezm u m de travail. On peut dire, .«ans exagé- L'emploi de feuilles de cire gaufi-ée dans deux ou t m i s bans essaims auxquels on
Lockri-st ( K i n i s t é r e i .
Le g é r a n t : F. G U O H G K L I V
r e r , qu'une roche moderne rapporte en les ruches modernes permet d'en modérer
-moyenne à son propriétaire cinquante livres le nombre.
-de m i e l p a r an. Xaturellement dans lev
E l u d e s dp M ' J. S«.-nié,avoui
E t u d e s de M* d e R o d e l l e c
m a u v a i s e s années elle rapportera moins,
l i c e n c i é à Q u i m p c r et de Jl
Les ouvrières sont de beaucoup les ph
d u P o r z i c , n o t a i r e à SaintTOais dans les booines- années elle pourra nombreuses dans la ruehe. Ce .sont cil'
l . e B e r r e , notaire à Uûuar
R e n a n et de M - I z e n i c , n o -aussi r a p p o r t e r beaucoup phis. J'ai v u des qui font tous les Iravau-t. Elles produisenl
iienez.
t a i r e à I..aiiderneau.
I J l
• fOSries d e plusieurs douzaines de ruche.s me Ik cire, bâtissent les ravons. préparent ler
iExéciitioJt
de la loi dii 19
donner de œ n t à cent vingt livres de m i e l cellules pour l a ponle. nourrissent les bé
mars 1017)
- d i a e u m , e t j ' a i constaté qu'en une seule bés ou les larves, chercheni- le nectar. l'eau
l i r U T r par suite de licita
fcumée certaines de mes ruches o n t par- et le pollen nécessaires à cet elfel. élèvent
L o u o t t evit kaoat kroc'bsB k a ê r
ffCH i c t i o n , à la m a i r i e di
v o l o n t a i r e , eu ré-tude et p a r l e
M s ramassé josqu'à six livres de miel.
les jeunes reines et décident d u lemp;
U o u a r n e n e z , e t p a r l e rainis
m i n i s t è r e de M - d e R o d e l l e c
De p l n s l e m i e l n'est que une des sources l'ess.iimage; elles aussi q u i font l a récoll
têrc de M- L e Bcrre, notaire
A
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d u Porzic, notaire à Saint-Re•<Je p r o f i t de r a p i c u l t u r e . I I y a aussi ia d u m i e l et qui moiilcnt l a garde â l'eniri'
à Quimper.
c hen avez p a r e e t e b e r r - a m z e r g a n t a r
nan, l e s a m e d i 1 3 a v r i l ,
icire et-les essaims. Les Î 8 ruches mention de l a niche pour e.wcutcr les e.spionne;
Le l u n d i S a v r i l 1918. :
à U hejres.
née» f j - d e s s u s comme m'avanf récoll». voleuses élr^ngcres o u tous auires i.niie
u n e h e u r e e t demie d e l ' a
De la f e r m e d e K e r f i r o a i c ,
6X100 livres de m i e l me f a i s a l à i t fiO ruches m i s q u i cliercheraient à violer leur dora
près-midi.
a
u b o u r g de L a m b e r , e n l a
^ l a Od de l a même saison. Sans compter la cile. L e u r vie est courte en éti'-. «le six
Kn la ville de D o u a m e
c
o
m u r u i i e de l ' I o u i n o g u e r , e n
•»6eoIte, m o n capital avait donc p l u s que e p l semaines seulement, c a r elles
n e z . une g r a n d e m a i s o n
-Ar m e r c ' h e d a c ' h e l l i l o u a r a t a r c ' h r o c ' h e n w a r h o b i z a i
«doublé en i m e saison.
tuent littéralement au t r a v a i l : mais celle»
d o u b l e avec c o u r e t d<;pcn- h a k a o ï i t I i o u l l a m m en e u r o b e r i m p l i j euz a n d i e n - z e - d i x lot!;. ,
q u i naissent à l a fin d e l'été vivent j u
(
V o i r les afTiches).
dances.située r u e Jean Bart,C8. m i r o u t a r a o u z a r c ' h r o c ' h e n d a z o n d d a r i d a h a kas a r a
q u ' a u printemps suivanl. .
L a f e r m e est l o n c e à M m e
Mise à p r i x : Trente m i l l e k u i t zokcn ar r i d o u , ma'z euz anezho dija.
v
e
u
v e F a l h u n , j u s q u ' a u lO
franc-s, c i , 3 ( 1 . 0 0 0 f r .
^ ' ' - K v a n t d e - p a r l e r des erreurs à éviter et de
A r ,stantilloun : 12 g v v e c n e k ;
s e p t e m b r e I9-Ï2, bOO f r . l ' a n ,
( V o i r les aflichcs).
donner des eonsclls pratiques p o u r réussir
A r voestad : 9 r e a l ;
o
u
t
r
e les i m p ô t s e t d i v e r s e s
idans l a e i i l t a r e des abeilles, disons «n mot
A n hanter-voestad : 5 real
Lorsque les abeilles se sont mullipH
charges.
Etude.s de M - J . . S é o i é , a v o u ù
«UT les i]uaiités nutritives et thérapeutiques de manière à se t r o u v e r à l ' é l r o i t dan
ne oll apotikerezou.
S'adresser
pour fous renlicencié a Q u i m p c r et de M
d j i miel.
leur ruche. cHes se préparent à es.saimer.
Feignements.a M- de Rodellec
J.-C. L e b o a r p , notaire à
i O e t o u t teraps l e m i e l a été estimé, et C c s t un préjugé très c o m m u n à. la camp:
Â
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d u Porzic, notaire à Saintl'Iomodiera.
a i i o m m e £ager p a r excellence le recomman- gne que plus une n i c h c essaime, plus ëHi
{Exécution
de la loi du 19 A r a o k o b e r I m p l i j e u z a n d i e n - z e , e v e m a d e n e m g w a l c ' h l R e n a n o u à M - I z e n i c , n o t a i r e
C t e - t b n s U e L i v r e des Proverbes en ces l e r - est prospère. L'es-saimage indique, en effet
a Landemeau.
6(K7
mars
l:U7)
- M n r f l l s maiige d u miel, parc-e q u ' i l u n état prospère anfërieur. ra.iis le départ
gent s a o n n B e l p e a n : pevar real an tam.
c e t bon. • Noos reeomiajssons tous cette de l'es.saim d é l n i i t celte prospérité. e( l ' a
l i e U T F par suite de l i c i t a
MWDté d n miel, puisque n o u s avons recours p i c u l t e u r moderne fait son p<Hisible pom
i C n I C tion, en l'étude e t
H ses v e r t a s dans bien des maladies. Mais empêcher l'essaimage, car i l n ' y a que les
p a r le m i n i s t è r e d e M - J.-C.
" ï u ^ j e a - d e réoerver son action bienfaisante ruches fortes q u i donnent u n bon rondi
L e Doaré, notaire à Plomopar F. V A L L É E
j u t eas d e maladies, pourquoi ne pas l'é- m e n l .
d i e m , le m a r d i !» a v r i l 1918,
S- «difira m s t tL u q a a U i
t e n d r e & toate notre vie en en fai.sant notre
u
n e h e u r e e t d e m i e de l ' a p r è s C
c
s
t
aussi
une
e
r
r
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u
r
commune
de
j a a a n i b i r e baltltnelle. e t en prévenant ainsi
3 f r . ; 3 f r . S J franco
midi.
Mén>9ainreBt {es cauees de maladies ? L ' i n - croire «jue c'est la jeune reine et Jes jeunes
Imprimerie
Saint-GuilE u l a c o m m u n e de P l o m o Jtfodoeaen <io sucre a r t i l i c i e l a f a i t n ^ l i - abeilles q u i essaiment. C e s l , au contraire
d
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s
s
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«^an.
l
aume. Saint - Brieuc e t
A U X SUCS
0er Tamge
da miel
Mais «ju'on ne s ' vla vieille reine e t les vieilles abeilles q u
ton de Châteaulin :
q
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vont
fonder
une
nouvelle
famille.
chez
t
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s
les
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braires de
u a n p e p t » . L e sucre ne p e u t remplacer lë
- DE 1 • A u x dépendances d e LesL e pus grand av.-mtage de la ruche moBretagne.
i n t r > i < i m contient p l u s de substance n u t r i PliANTES
t
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avec
cr«>derne
est
qu».
les
rayo.^s
étant
mi-ibiles.
on
i n * .est exempt «le tout élément nocif, d u
ches, g r a n g e , c o u r t i l , p a r c e l l e
M i n s «laos nos r i i o n s , et. étant déjà à peut se rendre compte en ua instant de l'éA burifi hag a iaouanka
E t u d e de M - Q o é r é , notaire
de terre labourable ;
B d i t i * d î K é r i p a r rabeille, est éminemment tat de l a colonie: on p e u t empêcher l'esa r C o a d . A bare : k a l e d i ; ^
Plouvom
•2- A u x dépendances d e
•^ainBlable m«nie p o u r 4es estomacs les saimage. réunir les faible*, en un mot. on
k o l d e b r o n , r e m m . A netta
C
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tandis
que
la
l / C H T C par adjudication, le
a ^
r a b l e s . taudis «lue l e sucre r e m p l i
ar s t o m o k , ar b r o n c h . a n
c e l l e de terre labourable ;
y CR I t dimanche 7 avril
d e toutes sortes d'impuretés e t en p a r t i - ruche en paille est u n livre t e r m f .
s o n , a n d i o n - s r o a z e l . .Mad
3- A u x dépendances d e K é l 9 I S , à I heure, en l'étude.
c o S e r d e restants de produits c h i m i L a ructie moderne esl divL«ée en p l u
dreist evit klcnvejou a r S f e r luyen, six p a r c e l l e s de terre
D'une m a i s o n , crèche e t
« i ^ employés p a r la raffinerie, peut p a r - sieurs étages: le rez-de-chaussée S T t h
c ' b e d h a ^ an n e r v e n n o a dil
a
bourable ;
issue, a u I w u i ^ de P l o n v o m ,
s>ia «Kcasiomier des troubles aux estomacs l'habitation ordinaire et hivernale de la co^
reizet.(Eun
allapotikerezed).
4- A u x dépendances d e K e l
o
u é e s à O. P e n g u i l l v .
délieals. L e m i e l est u n diurétique émol- lonie. à l'élevage du coirvain e l à l'emma
3 f r . — D r e a r p o s t 4 f r . — E \ i t k a o u t a r p a r e , 4, b u -Mise à p r i x : I . S O O f r .
ravcI-ar-CouIit, six p a r c e l Ueat e t p a r conséquent ne p e u t que aider à gasinement d u oollen e t d u m i e l q u i consredad. I s l u r dre ar posf.
v a t i ù e r l e sang, tendis q u e l e sncre est t i t u e n t les provisions nécessaires en i t a t e
l e » de t e r r e labourable.
BRELAKD, pharmacien, LYOX, m e Antoinette
échauffant e t astrinirent.
sai-son. Les abeiDes a y a n t l'habitude de
En un l o t
â gré,
m e t l r e l e u r m i d dans l a p a r t i e supérieure
E t s u r l a mise à p r i x de
ne d e
1 btazrt'iakiaam
: 1 Er. 3 0 : I n arpst 1 1 . 6 0
t e n abeiDes m é r i t e n t d'être cultivées de l a rucbe, on profile d s cette di^-posilion
d o u z e m i l l e franas. c i , IS.OOO
Phmider.
Pen-M--«iaer,
e
n
n o n s«iilenient à «anse de la n o u r r i U i r e ex- p o u r l e u r mettre p é d a n t Télé des hausses
francs.
{ V o i r les afTlohe?;.
louée â Ségalen.
eeOenle qn'eMes nous proenrent. mais aussi ou eKes emmagasinent l a majeure partie
S'adresser à M - E r u s s a r d ,
"à can«e de Finaoenee bienfaisante qu'elles de l e u r récolte d e mieL L'apicnHciir a u
n
otaire â Morlaix.
exercent s u r l ' a g r i c u l t u r e en général e t l a temps v o u l u fera descendre les abeilles de
A n c i e n n e et très
impor.
p n d n e t i o n des f r u i t s en p a r t i c u l i e r . I l est ces hausses q u i seront enlevées avec l e u r
a B j a a n r h a i «cientiUquemeat démontré «rue m i e l L e m i e l est e x t r a i t sans briser les
t a n t e Compagnie d'Awa• n abeilles sont o n des agents principaux rayons q u i sont rendus à l a ruche autant
«nces contre l'Incendie,
d e . la f t o o n d a t i o n des fleurs e n t r a n i p o r - de f o i s que l a miellée le réclamera, a » h i c h e r c h e u n Agent général séU a t l e poUei; e t en le m e t t a n t en contact VCT les abeilles continueront à vivre s u r
rieux, capable
et pouvant
• r e o le» organes reproducteurs de l a fleur M provisioos d n rez-^le-chaossée. Naturelfournir garanties d e premier
«t, l e oeetar q u i constitue l e u r récompense lement. i l ne f a u t jamais m e t t r e les hausordre. Ecrire Monsieur W e e t l e u r sert «le n o u r r i t u r e , est destiné par ses avant «pie le rez-de-r+ianssM ne so,t
b e r . ». p l a c e d e l a B o u r s e
r A n t e u r des lois m e r v e i l l e u s e de U na- r-ntièreineni rempli d'abeilles. J ' j i v u des
PARIS.
U
n
a
r
.
fccbitea,
c
t
o
u
e
z
.iir
o
70
k
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T
a
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gw^ali-pas
r
a
k
U
I
,
a
t u r e à le* atUrer i fair.» cette «j-uvre impor- r.immercants inexp-'-rimenlc-^ j ^ l e r une noïÇiee d abeilles rtans ime gran.le r.iclte m . tante quoique incoasciente.
.leir," q . i i
, , „ contenir %.iiei p . . . - n V i
U'imporlance .le | ' : i p j c i i j l i i r '
reejii- -l^mblab.T^^. |.i..s ,|.s- aj.»,)ji,-ni rfln.r.-' un.£ cuc-rz C pf l , a p c î i k e r c z .
n u e p a r certains g.mv. n.. rii.^nls .pu. corn I i . . i i ï S . .
ji
c r i»ori I a m z e r : par.^a ' r a nvechou e 3J bc:.?
.1. ,S1IS. .A-.'ir .iinci r r - : - c r
nie le tcouventemeni .mirlais v/>i,.ni <i.->
l - . n z b r o n r i t i l c , |*r»|«ii , t n l î . i f i i z a .
K l e i i v c j o i i pnSSrsn.
suJjSKies pour rrnrour..|îer. <-r..t>lis-ent ii.-s en .li-pit .]•! Ix,,,
.-l rr.e:ir.- l.-,
i : i i r .oiz/ai/'i..'; 3 f r .
c.>nrs •l-Kpk-.ullure e l des niehers m.--«l.'1rs <I..ns l imî>Or>:biti:-'- il.; r i - n f..ire. c - r >-re-s
le désirent peuvent
d . « t o i : r .-i;.i.t.1ii-air<-, l ^ m i K - m c . p r i c i i o u
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