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LE
Radio - Club
de Vienne
Où choisir une Robe ?
mais dans
Le Radio-Club constate, par
le nombre des cas de troubles
signalés dont il a eu à s'occuper depuis l'application du décret de protection de l'auditeur,
et par ses dépistages personnels
ou
entrepris déjà antérieurement les modes eu couleurs
au vote de la loi, dans le but de
l'amélioration des réceptions de
Le Journal IDÉAL
radiophonie, qug, généralement,
Le numéro mensuel : 5 fri
celle réglementation n'est pas
prise au sérieux ou laisse le pu- Éditions Pierre LAFITTE
blic indill'érent. Il rappelle aux
90, Champs - Elysées, PARIS
usagers d'appareils électriques
susceptibles de provoquer des
perturbations que le jour est
pioche où il va falloir se rendre Chambre de Commerce
compte cfue la loi de protection
de Vienne
n'est pas une plaisanterie. La da
te du premier juillet semble devoir marquer le commencement
La Chambre de Commerce
de l'ouire dans 1'éther. Les parasites 'les plus gênants, les plus de Vienne est heureuse de portenaces, sont souvent reconnus ter à la connaissance de ses
les plus faciles à faire disparaî- ressortissants la lettre ci-après
tre, généralement à peu de qu'elle vient de recevoir de la
Cie P.L-M.
frais. Aussi ils seront les premiers traqués et ils ne seront
Monsieur le Président
plus tolérés. Gare aux contraven
tions, voire aux procès. Les ar- j Nous avons- le plaisir de vous
ticles 1382 et. 1384 du Code ci- I informer que les Grands , Révil ont déjà l'ait des victimes. | seaux de Chemins de fer fran' N'attendez donc pas pourjç ais . dans le but de faciliter' la
vous mettre en règle, vous n'au- visite de la capitale pendant les
riez plus d'excuses. La bonne j Grandes Fêtes qui y sont organiséeS' du 16 Juin au 8 Juillet
volonté ne cpù te pas cher et les ; 1934, délivreront, en toutes claspetits frais occasionnés seront ses, au départ de toutes les gavite oubliés.
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30 JUIN 1934, à 14 heures, en
l'audience des criées du Tribunal
civil, au Palais de Justice, à
Vienne.
A la requête de la Société Mutuelle pour l'Epargne et l'Habitation « Le Crédit au Foyer »
dont le siège est à Paris, rue de
Moscou, 39, représentée par son
Directeur M. Lucien PERSEGOL
ayant pour avoué M" Rambaud.
poursuivant et surenchérisseur.
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En présence de M. Joseph
FRANDAZ, charcutier demeurant à Lyon, rue de la Madeleine, 46, adjudicataire surenchéri, ayant pour avoué M' SAURIN
STEHLY.
A rencontre de M. André
JOLY, boucher, demeurant à La
Verpillière, et de Mme Maria
Lucie CHEVALLIER, son épouse, demeurant avec lui, parties
saisies défaillantes.
En vertu d'un jugement de
validité de surenchère du 6" rendu par le Tribunal civil de Vienne le 2 juin 1934, enregistré.
DESIGNATION DES BIENS
A VENDRE
Un bâtiment à usage de remise et d'abattoir sis à La Verpillière, au bourg, ne coihprenant
qu'un rez-de-chaussée, porté à
la section R 7 sur le numéro 124
du plan cadastral de la commune de La Verpillière, limité au
nord, au sud et à l'est par Seigle et à l'ouest par un chemin,
porté au rôle de la contribution
foncière de la commune de La
Verpillière ainsi qu'il résulte de
l'extrait ci-après de la matrice
cadastrale :
Nature de \ Conten. \ Cl. \ Rev. | Obs.
Lieux
Section | N" du
la propriété \
I
I
I
dits
| plan
I
I 42
B 7
|
124
| Bourg | Remise |
I
Pour extrait conforme : A La Verpillière, le 25 janvier 1934.
Le Maire, signé : FRANDAZ.
pionnat des garçons de café va
prochainement se dérouler dans
FAYOLLE, 6, place Emile-Zola
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notre ville. On se rappelle l'imLEGALES
mense succès obtenu chaque
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Tous ceux du chef desquels il
Les
biens
ci-dessus
désignés
fois par cette populaire épreuve.
Exposition permanente: 3, rue Chante'ouve
seront mis en vente aux enchè- pourrait être pris inscription
Cette année un Challenge sera
res publiques, en l'audience des d'hypothèque légale sur l'immis en compétition et l'EtablisEtude de M* L. GUILLAUD criées du Tribunal civil de Vien- meuble mis en vente devront resement qui aura fourni le chamModei(i?
St-Mai;tii?
ne, au Palais de Justice, place quérir cette inscription avant la
avoué à VIENNE
pion en aura la garde pendant
du Palais, le samedi 30 juin 1934 transcription du jugement d'adùn an.
Sur scène, 1 lès grandes vedetà 14 heures et adjugés au plus judication à peine de déchéance.
En prélude du championnat,
Pour extrait : signé :
haut miseur et dernier enchérisSéquestre amiable
sera disputée une COURSE DES tes Lyonnaises ■
RAMRAUD Avoué
seur au pardessus de la mise à
JEUNES, épreuve humoristique LA MERE GÔTTÏVET
Enregistré à Vienne (A.J.) le
ET
SON
CLAUDIUS
prix
fixée
à
MILLE
TROIS
CENT
réservée aux Enfants de 9 à 11
Les créanciers de M. Auguste CINQUANTE francs, ci 1350 fr. 5 juin 1934 F 1 76 N° 21. Reçu
en chair et en os
le respect de la tranquillité puIl est précisé que : le retour ans.
BRUNAT.
qui était fermier à St. offerte par le surenchérisseur, onze francs cinquante.
En deuxième partie, sur l'éblique ; nous sommes en pleine ne pourra s'effectuer au plus tôt
Signé : DAUZAT, Receveur.
belle saison, les fenêtres sont que le 6" jour suivant la date
cran, les rois du rire, Double- Pierre de Chandieu, sont priés outre les charges.
de produire leur compte de créouvertes et même en dehors des d'émission portée sur le billet,
patte et Patachon,
ance, avec pièces à l'appui, aux
heures réglementaires pour la et au plus tard, le mardi 10 JuilMATELOTS
mains de M" Léon GUILLAUD,
cessation du bruit, les auditions let.
CETTE SEMAINE
La semaine prochaine
avoué, dans le délai de huitaine,
doivent être limitées au seul
Aucun arrêt ne sera autorisé
à peine de forclusion.
foyer du propriétaire de récepVARIETES.
à l'aller, par contre, toutes faolxe>25
teur, g
A
MOI
LE
JOUR,
A
TOI
LA
Vienne le 9 juin 1934.
cilités d'arrêt en . cours de route
(Communiqué)
L'OISEAU DU PARADIS
NUIT
seront données au retour.
L'ensemble de ce film est une
signé : Léon GUILLAUD, avoué
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devra faire un usage constant et réguiiei de la JOUVENCE DE
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DEUXIEME AVIS
De par sa constitution, la Femme est sujette à un grand nombre
Un volume d'une grande actualité et d'un intérêt considéde maladies qui proviennent de la mauvaise circulation du sang.
Malheur
à celle qui ne se sera pas soignée *?n temps utile, car les
Suivant
acte
reçu
par
M*
MARrable paraîtra dans quelques jours :
pires maux l'attendent.
MEY, notaire à Meyzieu (Isère),
La JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY est composée de plantes
Joseph Bernard
le 17 mai 1934, enregistré à Meyinofîensives sans aucun poison, et toute femme soucieuse de sa
santé doit, au moindre malaise, en faire usage. Son rôle est de
zieu le 18 mai 1934, F" 79, C" 485
Sculpteur viennois
réta.MIr la parfaite circulation du sang et de décongestionner les différents organes. Elle
le fonds de commerce d'épiceriefait disparaître et empêche du même coup les Maladies intérieures, les Métrltes, FibroS'a vie — Son œuvré
' lo - • •
mes, Tumeurs, mauvaises Suites de couches, Hémorragies, Pertes blanches, les Varirouennerie que Mme Marie-Joséces, Phlébites, Hémorroïdes, sans compter les Maladîet de l'Estomac, de l'Intestin et
qui sera très artistiquement illustré de près de 30, illustrations phine PELISSIER, commerçante
des Nerfs qui en sont toujours la conséquence.
Au moment du Retour d'Age, la Femme devra encore faire usage de la
en typo-hélio, de portraits, vues d'atelier, et" 1 lies principales veuve de M. Joseph PATRAS,
œuvres de notre éminent compatriote, l'un dés plus grands demeurant à Pusignan, exploitait à Pusignan, a été attribué en
sculpteurs des temps modernes.
a pleine propriété à M. JacquesLe
texte
est
dù
aux
personnalités
les
plus
qualifiées
des
pour se débarrasser des Chaleurs, Vapeurs, Etouffements et éviter les accidents et les
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de ces pages éloquentes consacrées à l'artiste disparu, citons meurant aussi à Pusignan. .
à Rouen, se trouve dans toutes les pharmacies.
Insertion parue au « Bulletin
28, cours Wilson
MM. Edmond Campagnac, Armand Dayot, Maurice Denis, RayPrix : Le flacon j pfâç* j 10 fr. 60 (Impôt compris)
mond Eschollier, Gabriel Faure, Frantz Jourdain, Edouard Officiel » des Ventes de Fonds
Herriot, Georges Lecomte, Paul Léon, Camille Mauclair, Paul le 2 Juin 1934.
Adresser les oppositions, s'il
Bien exiger la véritable JOUVENCE DE L'ABBJ? SOUTÎY qui
Petit, E. Roux-Parassae, Emmanuel de Thubert, Valmy-Baisse,
»
doit porter le portrait de l'ABBÉ SOURY
y a lieu, à Meyzieu, en l'étude de
etc, etc..
$
et la signature Map. DUMONTIER en rou^o.
1 MARMEY, notaire, domicile
M
Au moment où Vienne se prépare à ériger une des plus
AUCUN AUTRE PRODUST NE PEUT LA REMPLACER
toute la gamme des appareils les plus sérieux
belles œuvres de Joseph Bernard, cet ouvrage contribuera à ma- élu dans les dix jours du présent
avis.
gnifier le génial sculpteur.
inemas
il ce pi ii
Grelin du Tribunal île Commerce de tienne
Chevalier S Dechavanne
S
Les Editions du « Moniteur Viennois »
50LD STARRY,
MALAI
MEME
Frères
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CamOUS & Péan,
carronner la chapelle, il avait, selon son expression,
« sorti les saints. » On ne les a plus retrouvés.
Jusqu'à la suppression du chapitre de St-Pierre en
1 700, les dispositions testamentaires de Jean Fornier
In. eut scrupuleusement observées. Comme il l'avait
prescrit, ia messe était dite dans sa chapelle le 21 mars,
le 26 mai et le 30 novembre : après la messe, on récitaii le psaume Miserere et le recteur versait cinq livres.
Il devait en outre, le jour de la Si-André, vêtir de serge
à ses frais six pauvres et payer au sacristain une livre
dix sols pour le luminaire. Le 2 septembre, on faisait
la remembrance des père et mère du fondateur et le
18 juin, celle de noble Andrée Fornier, sa nièce apparemment, laquelle, par acte du 6 juin 1514, avait élu
sépulture dans la même chapelle et légué une rente de
quarante sols pour son anniversaire.'
En 1524, le prieur Aymar Costaing qui feuilletait
ses terriers, s'aperçut qu'ils étaient tellement vieux, si
antiques, qu'ils étaient quasiment indéchiffrables ; des
pages entières s'étaient elfacées et, aux endroits qui se
lisaient commodément, les noms des emphytéotes né
correspondaient plus à la réalité. Tout cela rendait malaisée la perception des cens, revenus, hommages et autres droits féodaux qui lui compétaient du chef de la
Tour de Feyzin. Il présenta donc requête au bailliage
pour obtenir qu'un notaire idoine fût commis à la rénovation des terriers. Sur ce, noble Jean Sextre conseiller
du roi et bailli de la judicature delphinale du Viennois
Terre de la Tour, expédia les lettres de commission requises à maître Claude Rozet, notaire public de St-Symphorien d'Ozon et fils de feu maître Jean, aussi notaire.
Le 20 février 1524, ledit Rozet se transporte à Feyzin et se met en devoir d'instrumenter. Il convoque d'abord les officiers.du lieu et les représentants de la (Communauté : Antoine Tuppin châtelain, Claude Dàlmas
notaire-greffier, Catherin Girin procureur fiscal, Claude
Loup syndic, Pierre Joffrey clerc et plusieurs autrés. Et
quand ils sont tous réunis dans la grande salle de la
Tour, Rozet s'étant dûment signé, leur expose le motif
de leur comparution. Il s'agit 1" de déterminer de leur
propre aveu les généralités, honneurs, prérogatives et
prééminences appartenant au prieuré de Notre-Dame de
l'tsle à cause de la Tour de Feyzin et 2° de recevoir lêurs
reconnaissances au sujet des biens-fonds relevant du fief
d'icelui prieuré. A l'énoncé de chaque article, officiers
et habitants, après avoir mûrement délibéré entre eux,
font une déclaration conforme.
(à suivre)
P. CAVARD
— n" 44 —
?LLI?
Histoire d'un Mystère
par MAURICE RENARD
*?
CHAPITRE XVIII
Suggestion
Pour toute réponse, Mme de
Prase offrit à Lionel le spectacle
de son visage effacé, muet, énigmatique, où la satisfaction éclatait peu à peu.
— Quoi '? fit Lionel avec mauvaise humeur.
— Ne t'énerve pas, mon grand.
Ou je me trompe fort, ou nous
touchons au but !
— Comment cela ?
— Cette nuit, si Freddy n'était
pas au bar, c'est qu'il faisait un
petit voyage... // s'est rendu à
Luvercy pour voler le Manet !
Et ce matin, il l'a trouvé, à sa
grande surprise, sur table de che
vet, lorsqu'il s'est réveillé sous la
personnalité de Jean Mareuil !
— Pas possible ! Ce Manet
qu'il admirait tant hier aprèsmidi ?
— Oui. Comprends-tu, maintenant pourquoi nous sommes au
bout de nos peines ?
— ... Pas très bien.
— Voyons Lionel! Notre homme est un voleur ; à présent,
c'est un fait acquis. Mais ce qui
est beaucoup plus précieux...
— Eh bien ?
— C'est que Freddy la Couleuvre se souvient parfois avec
lamémoire de Jean Mareuil puisFreddy a volé un tableau qui
faisait envie à Jean Mareuil !..
Pourquoi Freddy a-t-il cambriolé Luvercy '? Parce que, hier,
Jean Mareuil a pu se rendre
conrpte non seulement de l'existence du Manet, mais encore de
la topographie des lieux et des
moyens de s'introduire dans le
château.
— Ces moyens, dit Lionel,
Freddy pouvait les connaître auparavant, les retrouver dans sa
propre mémoire, puisque, à n'en
pas douter il est venu autrefois
à Luvercy. L'incident de la source en fait foi !
— Exact. Et l'incident de la
source prouve, de plus, que Jean
Mareuil se souvient parfois avec
la mémoire de Freddy la Couleuvre. Par ailleurs, le Manet ne
se trouvait pas en vue au moment de la mort de ta tante, —
au moment où Freddy a pu venir au château, comme tu le supposes. Le Manet était alors au
grenier, perdu dans un tas de
vieilleries. Je suis donc certaine
(pie les yeux de Jean Mareuil
l'ont aperçu hier pour la première fois, alors que Jean Mareuil constituait nettement le
gentleman Jean Mareuil et non
l'apache Freddy qui a volé le tableau !
Alors, il va venir. Je l'attends. Il veut me rapporter luimême cette toile dont la possession le remplit de stupeur. C'est
le moment d'agir, de préparer...
— N'achevez pas ! dit Lionel
transporté d'une joie soudaine.
J'ai compris !
— Ici, chuchota Mme de Pra-