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JUIN 2013 25 juin 2013 La lettre CODINF est une conception originale de CODINF SERVICES +. Droits de reproduction réservés CODEMA 10h45 filière La négociation en t productif ministre du redressemen INTERVENANTS -entreprises auprès du délais de paiement iateur des relations inter ent à l’Observatoire des pem grou le Pierre PELOUZET, Méd tant eil de CODINF représen Crédit manager cons Bruno BLANCHET, CODECOB ➔ CODALIMENT CODINF 30 avenue Franklin Roosevelt 75008 PARIS Tél : 01 55 65 04 00 Fax : 01 55 65 10 12 Mail : [email protected] Web: http://www.codinf.fr nne conduite de chartes de bo t destructives, il fau économiquement ndre des réactions des transactions moralité au cœur tivité morose n’enge la e l’ac ettr s que rem er r nce évit érie pou r Pou sortes ndre ? Quelles exp agements de toutes retombées en atte développer les eng prendre ? Quelles s’y nt me Com commerciales. positives ? CODEMBAL la maîtrise des risques clients par secteur professionnel s de santé Les observatoire ofession pr r pa e ièr financ par des industries de développement Comité professionnel INTERVENANTS ratif et financier du , Directeur administ EAU HAM e ierr Valéry-P ation par filière défense et d’inform du bois (CODIFAB) ciatif des Comités de de l’ameublement et r du groupement asso cteu Dire LIN, SSE Fabrice PEDRO-ROU ) professionnelle (CODINF 11h30 CODEBAT PROGRAMME l’incertitude ique marqué pagne nement économ , le CODINF accom Dans un environ blis éta s ère rep la perte de conjoncture t leurs études de des lendemains et tan plé com . en s fessionnel emble et par métier les organismes pro cière dans leur ens ires de santé finan rès aup ié ilég avec des observato nication priv rument de commu de des fournisseurs sont en outre un inst ureurs crédit) et Ces observatoires s (banques et ass cier nan fi s ent des établissem la profession. Contactez nous si vous souhaitez vous inscrire. CODEB teront sur des thè Les conférences por lièrement intéressant tout particu rs adhérents. leu et ls nne sio fes les organismes pro à partir de 10h45 s Salle des séance culture gri d’A e mi dé ca de l’A de France, asse, 18 rue de Bellech 75007 Paris CODEM nférences de INVITATION aux co ités CODINF la journée des com mes o» ner au « Solferin Suivi d’un déjeu ain, 75007 Paris rm Ge int Sa rd 262 bouleva organismes partenaires ............................. ✃ Présence du CODINF auprès.....des ................................... ................................... ..... n Commission financière Fabricants Française de Piscines (FFP) le 14 mai ............. rganisme : ..... de l’O Nomdes ..... ................................... ..... .................... n Présentation de l’Observatoire financier de l’Ondulé au.......... groupe de spécialité de la Fédération ......................... .......... Nom et Prénom : ........................ Française du Cartonnage (FFC) le 16 mai ................................... ..... ..... ..... ..... ..... .......... .......... ................................... se : res28 n Rencontres régionales du DLRAdle mai (Ile-de-France) .... ................................... ................................... ................................... ..... .......... .............................. n Journée FIPEC (Fédération des des Peintures, Encres et Couleurs) le.....29 mai .....Industries .................... .......... ............... ................................... ................................... n Les rendez-vous du Négoce, àTél’occasion de.....l’assemblée générale de la FNBM le 29 mai........... l : ......................... .......... ................................... .................... ..........à.....Rungis ..........mai n Réunion du Syndicat des Fruits et Légumes (SFL) le.....31 ................................... Fax :......... Roosevelt 30 avenue Franklin 75008 PARIS 00 Tél : 01 55 65 04 férences con ❏ participera aux ... ................................... ................................... ................................... ............... E. mail :.................... s aux conférences a pas au déjeuner ❏ ne participera pa Observer le comportement payeur : tactique efficace quand la visibilité se réduit Crise et trésorerie des entreprises du BTP La Fédération du Négoce de Bois et des Matériaux de construction a organisé le 29 mai une table ronde sur ce thème. La CAPEB a dressé un constat alarmant : la trésorerie est extrêmement dégradée pour 70% des artisans ; de plus, n’ayant pas de salarié, la moitié de ses adhérents ne profitera pas de l’avance de trésorerie du CICE ; enfin, ils sont une majorité à ignorer ce qu’est l’assurance-crédit. De son côté, la Médiation du crédit a révélé que 17% des dossiers traités relèvent du BTP. Les indicateurs que nous avons donnés n’étaient pas plus réjouissants : le taux de « casse » du secteur est 3,5 fois plus élevé que la moyenne ; entre 2011 et 2013, la note de solvabilité a baissé deux fois plus que celle de l’ensemble des entreprises et est située 26% au-dessous (3,9/10 au lieu de 5,3) ; les privilèges sociaux, qui avaient décuplé entre 2010 et 2011, augmentent encore depuis de 20%... Si nous laissons de côté les praticiens du retard de paiement délibéré, la trésorerie qui fait défaut aux négociants doit être recherchée chez les clients de leurs clients ! Il faut donc, soit aider ses propres clients à recouvrer de façon plus pertinente, soit garantir ses encours en direct ou de façon tripartite*. Lorsque l’activité est en baisse et que les marges se contractent, relâcher la maîtrise des risques clients ressemblerait à un suicide financier mais d’un autre côté, faire preuve de rigidité indifférenciée serait un suicide commercial ! Les fournisseurs, qui savent déjà discriminer les « bons » des « mauvais », doivent opérer dorénavant la distinction entre les « pas très bons », qui ont des chances de s’en sortir, et les « encore moins bons », qui risquent fort d’y rester… L’exercice nécessite tout d’abord de disposer du maximum de renseignements actualisés (y compris les incidents de paiement) sur les clients et de les mettre sous surveillance. La coopération des équipes commerciales et financières est indispensable pour parvenir à une perception fine des clients afin d’opter pertinemment entre le soutien à apporter aux « gris moyens » et la sécurisation à imposer aux « gris foncés ». Une telle démarche multiplie son efficacité lorsqu’elle est exercée en filière, grâce à la mutualisation des expériences négatives de paiement car elle permet d’éviter de se « refiler le mistigri » en cascade… Pratiques de Paiement Selon Atradius, les défauts de paiement (retards de plus de 90 jours) augmentent en Europe occidentale pour atteindre 5% du montant global des créances inter-entreprises en avril 2013 contre 3% 12 mois auparavant. En France, ces défauts de paiement sont passés en un an de 3,7% à 6% (4% de cessations ou défaillances et 2% de refus de payer). Les délais de paiement se sont accrus de près de 7 jours sur les 12 derniers mois et les retards de paiement de plus de 14% : 30% du montant des factures sont impayés à l’échéance. Créances irrécouvrables Selon Intrum Justitia, les montants passés en pertes en Europe ont crû cette année de 7% et représentent 350 milliards d’euros, soit 3% du chiffre d’affaires (2,8% l’an dernier). Les écarts se creusent : les pays qui allaient bien en 2012 vont mieux en 2013, ceux qui allaient mal empirent. Cette année, dix nouveaux pays ont explosé la cote d’alerte : Grèce, Croatie, Portugal, Bulgarie, Roumanie, Slovénie, Chypre, Tchéquie, Hongrie et Espagne. La Grèce, en particulier, voit son taux de pertes passer de 5,9% en 2012 à 9,9% en 2013. Perception des risques Sixième édition du Baromètre « Phi » européen, mis en ligne par la DFCG pour avoir une vision spécifiquement hexagonale. * Voir le guide de bonnes pratiques du BTP que nous avons produit l’an dernier (les entreprises intéressées peuvent le demander via [email protected] ou le 01.55.65.04.00). En France, la défaillance des clients se place au premier rang (51% pour 42% en 2012), loin devant le risque de refinancement (24%), ou de marché (11%). Les risques liés à la sécurité informatique semblent se banaliser : seuls 25% des directeurs financiers français les jugent prioritaires en 2013, contre 61% l’an passé. La forme associative de nos Comités permet à nos adhérents de consulter gratuitement les comportements négatifs de paiement déclarés dans nos bases et celles de nos partenaires : rejets, prorogations, contentieux...