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JUIN 2013
25 juin
2013
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75008 PARIS
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Observer
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Crise et trésorerie des entreprises du BTP
La Fédération du Négoce de Bois et des Matériaux de construction a organisé
le 29 mai une table ronde sur ce thème. La CAPEB a dressé un constat alarmant : la
trésorerie est extrêmement dégradée pour 70% des artisans ; de plus, n’ayant pas de salarié,
la moitié de ses adhérents ne profitera pas de l’avance de trésorerie du CICE ; enfin,
ils sont une majorité à ignorer ce qu’est l’assurance-crédit. De son côté, la Médiation du
crédit a révélé que 17% des dossiers traités relèvent du BTP.
Les indicateurs que nous avons donnés n’étaient pas plus réjouissants : le taux de
« casse » du secteur est 3,5 fois plus élevé que la moyenne ; entre 2011 et 2013,
la note de solvabilité a baissé deux fois plus que celle de l’ensemble des entreprises et
est située 26% au-dessous (3,9/10 au lieu de 5,3) ; les privilèges sociaux, qui avaient
décuplé entre 2010 et 2011, augmentent encore depuis de 20%...
Si nous laissons de côté les praticiens du retard de paiement délibéré, la trésorerie qui
fait défaut aux négociants doit être recherchée chez les clients de leurs clients ! Il faut
donc, soit aider ses propres clients à recouvrer de façon plus pertinente, soit garantir ses
encours en direct ou de façon tripartite*.
Lorsque l’activité est en baisse et que les marges se contractent, relâcher la maîtrise des
risques clients ressemblerait à un suicide financier mais d’un autre côté, faire preuve de
rigidité indifférenciée serait un suicide commercial ! Les fournisseurs, qui savent déjà
discriminer les « bons » des « mauvais », doivent opérer dorénavant la distinction entre
les « pas très bons », qui ont des chances de s’en sortir, et les « encore moins bons »,
qui risquent fort d’y rester…
L’exercice nécessite tout d’abord de disposer du maximum de renseignements actualisés
(y compris les incidents de paiement) sur les clients et de les mettre sous surveillance.
La coopération des équipes commerciales et financières est indispensable pour parvenir
à une perception fine des clients afin d’opter pertinemment entre le soutien à apporter
aux « gris moyens » et la sécurisation à imposer aux « gris foncés ». Une telle démarche
multiplie son efficacité lorsqu’elle est exercée en filière, grâce à la mutualisation des
expériences négatives de paiement car elle permet d’éviter de se « refiler le mistigri »
en cascade…
Pratiques de Paiement
Selon Atradius, les défauts de paiement (retards de plus de 90 jours) augmentent
en Europe occidentale pour atteindre 5% du montant global des créances
inter-entreprises en avril 2013 contre 3% 12 mois auparavant.
En France, ces défauts de paiement sont passés en un an de 3,7% à 6% (4% de
cessations ou défaillances et 2% de refus de payer). Les délais de paiement se sont
accrus de près de 7 jours sur les 12 derniers mois et les retards de paiement de plus de
14% : 30% du montant des factures sont impayés à l’échéance.
Créances irrécouvrables
Selon Intrum Justitia, les montants passés en pertes en Europe ont crû cette
année de 7% et représentent 350 milliards d’euros, soit 3% du chiffre d’affaires (2,8%
l’an dernier).
Les écarts se creusent : les pays qui allaient bien en 2012 vont mieux en 2013, ceux qui allaient
mal empirent. Cette année, dix nouveaux pays ont explosé la cote d’alerte : Grèce, Croatie,
Portugal, Bulgarie, Roumanie, Slovénie, Chypre, Tchéquie, Hongrie et Espagne. La Grèce,
en particulier, voit son taux de pertes passer de 5,9% en 2012 à 9,9% en 2013.
Perception des risques
Sixième édition du Baromètre « Phi » européen, mis en ligne par la DFCG pour
avoir une vision spécifiquement hexagonale.
* Voir le guide de bonnes pratiques
du BTP que nous avons produit
l’an dernier (les entreprises
intéressées peuvent le demander
via [email protected] ou
le 01.55.65.04.00).
En France, la défaillance des clients se place au premier rang (51% pour 42% en
2012), loin devant le risque de refinancement (24%), ou de marché (11%). Les risques
liés à la sécurité informatique semblent se banaliser : seuls 25% des directeurs financiers
français les jugent prioritaires en 2013, contre 61% l’an passé.
La forme associative de nos Comités permet à nos adhérents de consulter gratuitement
les comportements négatifs de paiement déclarés dans nos bases et celles de nos partenaires :
rejets, prorogations, contentieux...