Sound of Music - Théâtre Forum Meyrin
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Sound of Music - Théâtre Forum Meyrin
Graphisme : theworkshop.ch | Photo : dualroom.ch Danse – Théâtre du 29 août au 1er septembre Sound of Music Cie Yan Duyvendak En partenariat avec La Bâtie-Festival de Genève Billetterie : forum-meyrin.ch En partenariat avec La Bâtie-Festival de Genève / batie.ch En partenariat avec Danse – Théâtre samedi 29 à 21h, dimanche 30 à 17h lundi 31 août à 20h et mardi 1er septembre 2015 à 19h Sound of Music Cie Yan Duyvendak L’histoire Les comédies musicales racontent une histoire. Une histoire drôle et/ ou triste, toujours émouvante, et avec un Happy End garanti. Une historiette. Ici, on racontera celle du monde contemporain occidental, comme il se meurt. Occident vient du latin occidere : périr, succomber, mourir, tomber. Autodésigné comme la région du monde qui se meurt, car étant le Couchant, à l’inverse de l’Orient, le Levant. L’Occident a depuis toujours été accompagnée par la croyance en la fin du monde, l’apocalypse. Apocalypse signifie dévoilement. Revelation, en anglais. Un moment non seulement craint, mais aussi espéré : nous saurons, enfin, tout en disparaissant. Un vertige oxymorique, une attirance et une répulsion existentielle profonde. L’apocalypse, à chaque fois qu’elle revient, est toujours précédée de signes annonciateurs, et d’une date. Dans l’histoire de Sound of Music, écrite par Christophe Fiat, la date reste floue, mais les signes font l’historiette, allant de l’explosion de Fukushima aux Chinois en vacances en Occident qui rachètent les vignobles français, en passant par l’invention des Google-glass. Non pas une histoire, mais autant de mini-récits qui composent le drame de notre quotidien, les signes précurseurs d’une fin prochaine. Avec un Happy End : le monde continuera jusqu’à l’explosion de notre soleil, et ça nous laisse pas mal de temps. Danse – Théâtre Sound of Music La note d’intention J’observe : le réchauffement climatique et la crise, partout autour de nous. Et leurs effets sur la société contemporaine occidentale. Les services publics disparaissent, les budgets diminuent, le pouvoir d’achat et le moral sont en berne, la culpabilité pèse même sur les jours ensoleillés. Nous savons que nous sommes les musiciens du Titanic: nous avons les eaux glacées déjà jusqu’aux genoux et pourtant, nous continuons à jouer, parce que nous ne savons ni ne pouvons rien faire d’autre. J’ai l’impression que les gens ne veulent plus voir des pièces qui les font réfléchir, qui leur font voir que le monde est complexe. Parce que c’est trop dur. Ce qui marche, ce sont les pièces spectaculaires, légères, virtuoses. Eblouissement. Absence de souffrance pendant la durée de la pièce. Moi, je ne veux plus voir des pièces qui font mal. J’ai envie de virtuosité, de beauté, de technique. Mes coups de coeur de spectacles vus récemment vont dans ce sens. Après le krach boursier de 1928, la comédie musicale anglo-saxonne a connu un énorme essor. Pour les mêmes raisons. « Le kitsch, par essence, est la négation absolue de la merde ». Et pourtant… J’ai joué dans des revues, étant adolescent, j’ai aimé et j’aime encore les comédies musicales, tant sur scène que filmées. J’aime ce que ça produit: un enchantement douçâtre, un endormissement nauséeux. Et j’ai envie. Envie d’en produire une. Avec un double pari : La merde n’existe pas. Une comédie musicale, spectaculaire, absolument éblouissante, technique, avec une histoire, une fin heureuse, des corps sublimes, de la technique virtuose, des lumières aveuglantes. Parce que c’est beau. Parce que ça fait du bien. Parce que c’est nécessaire de lâcher prise, momentanément, en tant que citoyen du monde. Mais simultanément, de dire que l’abrutissement est néfaste. Qu’il ne faut pas lâcher. Qu’il est nécessaire de réfléchir. De se positionner dans le monde. Que la culture qui éclaire n’est pas celle qui aveugle. Et donc d’éclairer l’aveuglement de la comédie du monde. Et travailler l’angoisse existentielle que la comédie muscale est censée apaiser. Cette angoisse devrait suinter de partout. La merde existe. Un cauchemar absolu qui rend heureux. Yan Duyvendak Danse – Théâtre L’analyse « Il ne serait sans doute pas erroné de définir la phase extrême du développement du capitalisme dans laquelle nous vivons comme une gigantesque accumulation et prolifération de dispositifs. » Giorgio Agamben En réunissant artistes et spectateurs par la rupture du rapport scène / salle, des projets comme Made In Paradise, SOS (Save Our Souls) et Please, Continue (Hamlet) sont, plus que des spectacles, des performances redonnant le pouvoir au spectateur, transformant le plateau du théâtre en agora. Chaque projet est l’occasion d’inscrire l’acte artistique dans le politique en inventant des situations inédites, des dispositifs dramaturgiques soumis, et parfois abandonnés, au public. En rupture avec des formes plus établies, plus instituées, Yan Duyvendak cherche à déplacer les horizons d’attente, à bouleverser les codes pour faire jaillir avec plus de force, dans une époque en crise, des questions relatives aux notions d’altérité, de justice, de démocratie et au comment vivre ensemble dans la cité. Accompagnant leur époque, ces projets évoluent en fonction de l’actualité et des lieux dans lesquels ils sont présentés, allant à la rencontre du public, cherchant à motiver sa présence au théâtre comme à répondre au mieux à sa nécessité d’y être. Mais comment entendre cette nécessité ? Et comment y répondre ? Sound of Music Danse – Théâtre Créer dans le champ contemporain, aujourd’hui, est-ce mettre en scène la crise ? Est-ce proposer des outils pour mieux l’appréhender ou la mettre à distance ? Est-ce l’interroger et nous interroger nousmêmes ? Reporter la question ? Est-ce divertir ? Quelle est la nécessité du public à aller au spectacle ? Quelle est celle de l’artiste à créer ? Le dispositif est « (…) un ensemble résolument hétérogène comportant des discours, des institutions, des aménagements architecturaux, des décisions réglementaires, des lois, des mesures administratives, des énoncés scientifiques, des propositions philosophiques, morales du dit aussi bien que du non-dit (…) j’entends une sorte – disons – de formation, qui, à un moment donné, a eu pour fonction majeure de répondre à une urgence (…) » Michel Foucault La dramaturgie est une construction en soi. Elle est au coeur du projet, telle sa mécanique. Pour aller chercher les motifs de l’invention et du renouvellement du dispositif dramaturgique, pour nommer au plus près « l’urgence » qui amène le public au spectacle, et celle qu’il y a pour l’artiste à y répondre – Sound of Music sera conçu comme une comédie musicale. Née dans les années 1910, la comédie musicale a pris son essor après le krach boursier de 1929, et plus encore après la Seconde Guerre Mondiale. Phénomène anti-crise, elle s’ancre dans le réel pour mieux s’en éloigner, en mêlant petite et grande histoire, en s’ouvrant à l’imaginaire. Pluridisciplinaire, elle mêle chant, danse, musique, narration. Elle séduit par sa virtuosité autant qu’elle distrait par ses changements de rythme incessant, passant d’une apparente réalité à un hors temps féerique, du dialogue au chant, de la nuit au jour et de la résignation à l’espoir. Porteuse de messages simplifiés, la comédie musicale véhicule une vision du monde étrangère à toute complexité – du prêt à consommer, du prêt à penser / du prêt à ne pas penser. C’est dans la saisie à la fois jubilatoire et critique de ce qu’est la comédie musicale que se situent les enjeux de Sound of Music: réinvestir un genre, réimposer à la fois l’idée d’une culture pop au sens noble, et réveiller l’auditoire – que se dit-il en chansons et sous les paillettes ? Qu’est-ce qui fait de la beauté (facile) un outil de propagande ? Qu’est-on prêt à entendre derrière la musique ? Avec Sound of Music il sera question d’interroger la comédie musicale comme archétype de la notion de spectacle dans l’ère contemporaine, pour confronter le public à sa relation critique vis-à-vis des discours qu’on lui sert, fussent-ils servis avec des paillettes. Charles Mesnier Sound of Music Danse – Théâtre Sound of Music Les textes et les musiques Chaque comédie musicale est traversée par des thèmes musicaux, attachés à chaque personnage. Ici, point de personnages, mais des problématiques contemporaines : MOEURS, POLITIQUES, ÉCOLOGIES, SANTÉ PUBLIQUE, ÉCONOMIES, TECHNOLOGIES. Les textes de Christophe Fiat sont traduits en anglais, en rimes riches. Des mélodies et une instrumentalisation sont créées, avec des tonalités et des moyens de productions propres à une musique brillante et shiny. Si, dans les textes, la nature résistante de la contre-culture est très présente, par la musique en tonalités majeures, les morceaux deviennent énormes, chorales, cinématographiques, aux instrumentalisations jouissives. Pour chaque problématique nous avons choisi une mélodie dans une comédie musicale existante qui traite du même thème. Ainsi, pour MOEURS nous avons Sodomy de Hair, pour ÉCOLOGIE I Go To The Hills de The Sound of Music et pour ECONOMIE nous avons We’re In The Money de Golddiggers of 1933 et ainsi de suite. Ces mélodies sont transformées par le compositeur Andrea Cera - ralenties, changées de tonalité etc.- pour ne pas être (trop rapidement) reconnaissables – mais nous profitons de leur qualité « perce-oreille ». C’est en effet le propre de la musique de la comédie musicale: une fois entendue, on ne l’oublie pas. Les contenus des textes sont inquiétants mais la musique, récupérant la résistance, comme toute comédie musicale, réconcilie et rassure, apaise et émerveille. Un émerveillement angoissé. Une beauté éclatante sur fond sombre. Parfois les chanteurs chantent, parfois ils ne bougent que les lèvres, et il sera possible de lire les textes sur les surtitrages. Les morceaux peuvent encore se superposer, les nappes musicales généreuses et amples forment un socle pour la batterie tendue. Un monde complexe, troublant et sublime. Danse – Théâtre Sound of Music Les danseurs et la chorégraphie Dans la comédie musicale américaine des années 1920, les corps sont unifiés, identiques, anonymes. Démultiplication à l’infini d’un même module, les corps sont des éléments d’une seule et même machine. Une machinerie impeccable, sans faille, souriante. Si alors, il s’agissait d’une machine mécanique, aujourd’hui, dans notre société, cette démultiplication des corps résonn étrangement avec la surpopulation du monde et sa représentation à l’infini sur Internet. Tous likés, tous 15 minutes de gloire, tous un jour au chômage et tous sans caisse de pension. Alors reprenons cette multiplicité et cette uniformité. 12 danseurs/chanteurs sur scène, interprètes expérimentés de comédies musicales de Broadway, virtuoses et parfaits. Deux de ces danseurs viendront trois jours avant la première représentation de la pièce sur place, pour travailler avec des danseurs locaux. Ceux-ci peuvent être des danseurs professionnels, jeunes ou plus âgés, ou des élèves. Ils peuvent être au nombre de 20, 50, 100… C’est égal. Le nombre sera défini en fonction de la taille de la salle, ainsi que des montants que le théâtre est disposé à payer. Le théâtre négociera les montants des cachets et déterminera, en fonction, le nombre de participants qu’il peut accueillir. Pendant trois jours, les deux danseurs de Broadway enseignent les phrases chorégraphiques, les déplacements des éléments de la scénographie, les chansons, et les entrées et sorties. Ces deux danseurs, puis les douze, une fois sur place, sont les leaders de plusieurs groupes, qui agissent et interagissent de plusieurs manières les uns avec les autres et entre eux, à partir de cinq phrases chorégraphiques écrites par Olivier Dubois. Ces phrases seront en partie une reprise des phrases chorégraphiques de comédies musicales emblématiques (Chorus Line, 42nd Street, Gold Diggers Of 1933 ) phrases qui peuvent être étirées dans le temps, décomposées, dansées par une personne, en décalage avec les autres, en groupe, et/ou ensemble. Ces cinq phrases formeront des blocs d’environ quinze minutes, dont l’ensemble formera un rituel envoutant et hypnotisant. Les danseurs locaux apprennent donc les scènes en peu de temps et essaieront le mieux de coller au standard. Ce ne sera pas parfait, et tant mieux, car comme dans les films de Busby Berkeley: c’est la masse qui fait l’unité, l’éclat et la diversion, pas la technicité, ni la perfection. Danse – Théâtre Sound of Music Biographie Yan Duyvendak Yan Duyvendak, néerlandais d’origine, vit entre Genève et Marseille. Formé à l’École cantonale d’art du Valais et l’Ecole Supérieure d’Art Visuel de Genève, il pratique la performance depuis 1995, année de sa première oeuvre d ’art vivant: Keep it Fun for Yourself. Depuis, il enchaîne les créations et les scènes et s’impose peu à peu comme une référence de la performance helvétique et européenne. S’attachant en particulier à souligner combien les images télévisuelles et mentales, les codes sociaux et autres rituels de la société du spectacle épaississent aujourd’hui l’écran qui se dresse entre l’Homme et la réalité, il réaffirme tout au long de son travail une forme de dignité humaine mise à mal par la société de l’image. Ses créations Made In Paradise (2008), co-signée avec Omar Ghayatt et Nicole Borgeat, ainsi que Please, Continue (Hamlet) (2011), co-signée avec Roger Bernat, sont sans doute les plus performatives et les plus politiques de toutes ses pièces. Également plasticien, son travail vidéo est présent dans de nombreuses collections publiques et privées, allant du Musée des Beaux-Arts de Lyon au Museum der Moderne (MdM) de Salzburg. Il reçoit durant trois années consécutives le Swiss Art Award, (2002, 2003, 2004), est lauréat du Namics Kunstpreis für Neue Medien (2004) et du Network Kulturpreis (2006). Il bénéficie de plusieurs résidences, allant de la Cité des Arts à Paris, en passant par l’atelier Schönhauser à Berlin (fonds cantonal d’art contemporain, Genève) jusqu’au Swiss Artistic Studio au Caire de Pro Helvetia (2007, 2008, 2009). En 2010, il reçoit le prix le plus prestigieux d’art contemporain suisse, le prix Meret Oppenheim. De 2012 à 2014 ainsi que de 2014 à 2017, la Compagnie Yan Duyvendak bénéficie d’une convention de subventionnement conjointe de la Ville et du Canton de Genève et de Pro Helvetia - Fondation suisse pour la culture. En parallèle à son activité artistique, il a été, de 2004 à 2014, coordinateur de l’option art/action au sein de la Haute Ecole d’Art et Design (HEAD), Genève, et responsable de l’enseignement d’une performance contemporaine avec, entre autres Christophe Kihm et Nicolas Leresche. Danse – Théâtre Sound of Music Biographie Chistophe Fiat Christophe Fiat est né à Besançon, en Franche-Comté en 1966. Il est écrivain, artiste performeur, dramaturge. Il a écrit une douzaine de livres dont Stephen King Forever (2008), Retour d’Iwaki (Gallimard, 2011), Cosima, femme électrique (Éditions Philippe Rey, 2013) et La Comtesse (Naïve Editions, 2014). Oscillant entre la poésie et le roman, il développe une littérature qui privilégie le récit et l’évocation de mythes contemporains. Son écriture, reconnaissable à son oralité, à la fois légère et neutre, contribue à donner une impression de déjà vu tout en explorant le côté obscur de nos croyances et de nos désirs. Il collabore régulièrement avec des artistes contemporains et plus spécialement avec Thomas Hirschhorn. Auteur de nombreuses pièces radiophoniques diffusées sur France Culture, Christophe Fiat présente également des performances artistiques au sein d’expositions d’art contemporain. Sa plume, il l’offre aussi à la scène. En 2003, il présente au Festival Montpellier Danse Trois Ritournelle Live, trois pièces inspirées de la poésie sonore. En 2007, il est invité au Festival d’Avignon, avec la création La jeune fille à la Bombe et la performance artistique Stephen King Stories. En 2011, il crée l’Indestructible Madame Richard Wagner au Théâtre de Gennevilliers. Puis il s’en va à Tokyo pour monter la pièce Daikaiju Eiga (films de monstres japonais) au théâtre Agora Komaba repris au Théâtre de Gennevilliers en 2013. En 2014, il créé Les Superpouvoirs de Marcel Pagnol au festival actoral suite à une résidence dans le cadre de Marseille Provence 2013, capitale européenne, et LA POÉSIE au Palais de Tokyo, en 2014, commande publique du Centre National des Arts Plastiques (CNAP). Danse – Théâtre Sound of Music Biographie Olivier Dubois Directeur du Ballet du Nord depuis le 1er janvier 2014, élu l’un des vingtcinq meilleurs danseurs au monde en 2011 par le magazine Dance Europe, Olivier Dubois jouit d’une expérience unique, entre création, interprétation et pédagogie. Né en 1972, Olivier Dubois crée son premier solo en 1999, Under cover. Il est à de nombreuses reprises interprète pour des chorégraphes et metteurs en scène reconnus: Laura Simi, Karine Saporta, Angelin Preljocaj, Charles Cré- Ange, le Cirque du Soleil, Jan Fabre, Dominique Boivin, Sasha Waltz… Depuis 2005, ses créations en tant que chorégraphe s’enchaînent avec succès: après le duo Féroces avec Christine Corday pour le théâtre de l’Esplanade à Saint-Etienne, la SACD et le Festival d’Avignon lui proposent, en 2006, de signer une pièce dans le cadre du Sujet à vif, Pour tout l’or du monde… Le prix spécial du jury lui est décerné en juin 2007 par le Syndicat professionnel de la critique (théâtre, musique et danse) pour son parcours d’interprète et cette création. Il présente également en 2006 et 2007 les deux volets du projet BDanse: En Sourdine et Peter Pan. En juillet 2008, il crée Faune(s) autour de la pièce de Nijinski, L’après-midi d’un faune, au Festival d’Avignon et est lauréat la même année du 1er prix Jardin d’Europe à Vienne. Son exposition L’interprète dévisagé fait l’actualité pendant un mois en 2009 au Centre National de la Danse. Les Ballets de Monte-Carlo lui commandent la pièce Spectre, donnée le 1er avril 2010. En septembre, une autre création voit le jour à la Biennale de la danse à Lyon: L’homme de l’Atlantique, duo sur la musique de Frank Sinatra. Toujours enclin à diversifier ses horizons, Olivier Dubois signe en janvier 2009 la chorégraphie de La Périchole d’Offenbach pour les Opéras de Lille, Nantes et Limoges, dans une mise en scène de Bérangère Jannelle. En novembre 2009, il entame une trilogie, Etude critique pour un trompe l’oeil, avec la pièce Révolution créée à la Ménagerie de Verre à Paris. Vient ensuite le deuxième volet, le solo Rouge en décembre 2011 ; puis la dernière pièce de la trilogie, Tragédie, qui a vu le jour au Festival d’Avignon le 23 juillet 2012 et est actuellement en tournée jusqu’en 2015. En parallèle de ses activités de chorégraphe-interprète, il enseigne et dirige de nombreux workshops au sein de compagnies et d’écoles de danse à l’étranger: l’Opéra National de Vienne, l’Ecole Nationale d’Athènes, l’Opéra National du Caire, Troubleyn/Jan Fabre, le Ballet Preljocaj, l’Ecole des Beaux-Arts à Monaco… Le chorégraphe a d’ailleurs obtenu son diplôme d’état de professeur de danse en 2012 au titre de sa renommée. Danse – Théâtre Sound of Music Distribution Conception et direction artistique Yan Duyvendak Chorégraphie Olivier Dubois Livret Christophe Fiat Musique Andrea Cera Mise en scène chorégraphique Michael Helland Traduction et adaptation anglaise Martin Striegel Assistant à la création Nicolas Cilins Scénographie Sylvie Kleiber Lumières Vincent Millet Costumes Nicolas Fleury Répétition chorégraphie Cyril Journet Répétition chant Sylvie Zahnd Programmation Thomas Köppel Construction décors Atelier Théâtre de Vidy Régie générale Théâtre de Vidy Avec des danseurs/euses - chanteurs/euses de comédie musicale anglo-saxonne ainsi que des danseurs/ euses invités Production et diffusion Nataly Sugnaux Hernandez, Caroline Barneaud Production Samuel Antoine, Sylvain Didry Communication Ana-Belen Torreblanca Administration Marine Magnin Assistant de production Tristan Pannatier Production déléguée Dreams Come True Genève et Théâtre de Vidy Lausanne Coproduction La Bâtie-Festival de Genève, Théâtre Forum Meyrin, Théâtre Nanterre-Amandiers, centre dramatique national, Festival actoral – Marseille, Pour-cent culturel Migros Soutiens Spectacle lauréat du concours Label + théâtre romand 2014, Prix FEDORA - Van Cleef & Arpels pour le Ballet 2014 (lauréat), Fondation Meyrinoise du Casino, Fondation Ernst Göhner, Stanley Thomas Johnson Foundation, Ville de Genève, République et canton de Genève, Pro Helvetia - Fondation suisse pour la culture Location et renseignements Théâtre Forum Meyrin Place des Cinq-Continents 1 1217 Meyrin (GE) Billetterie au Théâtre Forum Meyrin Du lundi au vendredi de 14h à 18h ou par téléphone au 022 989 34 34 www.forum-meyrin.ch à La Bâtie-Festival de Genève par téléphone 022 738 19 19 www.batie.ch Prix des billets Plein : 35.Réduit : 23.Mini : 16.Avec le Pass Éco : 15.Autres points de vente Service culturel Migros Stand Info Balexert Migros Nyon-La Combe Partenaire Chéquier culture Les chèques culture sont acceptés à nos guichets Relations presse Responsable : Ushanga Elébé [email protected] Assistante : Chloé Briquet [email protected] T. 022 989 34 00 (8h30-12h30 et 13h30-17h30, sauf le mardi matin) Photos à télécharger dans l’espace Médias http://www.forum-meyrin.ch/media/spectacles