Projet filière horticulture pépinière 2012

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Projet filière horticulture pépinière 2012
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A : L’amélioration de la compétitivité des entreprises, au travers d’actions
individuelles ou collectives
Action 1 : Développer les avantages concurrentiels des entreprises,
à travers un appui économique individualisé
Problématique
Objectifs action
Description action
Résultat visé
Indicateurs de suivi
Mise en oeuvre
Calendrier
Coût
La diversité des exploitations, métiers horticoles et marchés cibles
ne permet pas de définir un modèle type d’entreprise, ni de se
rapprocher des référentiels technico économiques existants.
En revanche, chaque entreprise a besoin de pouvoir se positionner,
à tout moment, vis-à-vis de son environnement concurrentiel, de ses
marchés,
et
de
nouvelles
opportunités
techniques,
organisationnelles ou commerciales.
Il n’existe à l’heure actuelle aucune structure d’appui en horticulture
(publique ou privée) apportant une réponse en matière de stratégie
globale d’entreprise par l’approche technico concurrentielle.
Permettre à chaque entreprise de disposer d’un regard extérieur et
d’une prise de recul pour mieux analyser son environnement
concurrentiel et développer ses marchés.
Garantir une approche totalement individualisée et confidentielle
compte tenu des enjeux stratégiques propres à chaque entreprise.
Prioriser des actions d’amélioration à mettre en place dans les
entreprises suivies, en terme de délais et de moyens
Référencer les types d’accompagnements possibles
Quantifier les gains (qualitatifs et quantitatifs) attendus pour
l’entreprise.
Mettre en place, au travers d’une structure ad hoc (association), un
accompagnement au développement des avantages concurrentiels,
avec recrutement d’un conseiller qui sera chargé de :
. établir un plan de contact auprès de l’ensemble des entreprises
horticoles
. proposer et réaliser un diagnostic sur les avantages techniques,
économiques et concurrentiels des entreprises
. mettre en place un système de référencement d’accompagnements
possibles
. assurer une « garantie de bonne fin » des programmes
d’accompagnement entrepris
Contribuer à la compétitivité des entreprises en les aidant à se
positionner sur des segments de marché compatibles avec leurs
avantages concurrentiels.
Contribuer à une meilleure connaissance des entreprises à
potentiellement de transmission.
Favoriser l’émergence de travaux collectifs.
Nombre d’entreprises contactées
Nombres d’entreprises ayant réalisé un diagnostic sur leurs
avantages concurrentiels
Nombre d’entreprises ayant lancé un plan d’amélioration de leurs
avantages concurrentiels
AAA
2013-2015
Le coût de chaque prestation dépendra de la taille de l’entreprise et
de la diversité des domaines d’activité stratégiques traités.
En 1ère estimation, le potentiel annuel d’entreprises :
. de type 1 (producteurs-détaillants) est de 15 pour un nombre de
jours de 4 par dossier (3 200 €), soit 48 000 € au total
1
. de type 2 (circuits de distribution spécialisés, groupes nationaux,
enseignes de distribution) de 7 pour un nombre de jours de 6 par
dossier (4 800 €) soit 33 600 €.
Total annuel 81 600 €, soit une valeur moyenne de 3 709 € / dossier
Participation Conseil
régional
119 200 €
(prise en charge de 50% des audits : ((33 600+81600*3)*0.5-20000)
Participation Etat
20 000 € sur 2013
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Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A : L’amélioration de la compétitivité des entreprises, au travers d’actions
individuelles ou collectives
Action 2 : Développer les échanges techniques source de compétitivité
Problématique
Objectifs action
Description action
Résultats visés
Indicateurs de suivi
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
La compétitivité passe par la maîtrise des coûts, mais aussi par le
renouvellement des méthodes, process et modes d’organisation.
Les programmes d’innovation et notamment de recherche et
développement concernent la plupart du temps des entreprises de
type industriel ; peu de petites entreprises ont la capacité (temps et
financement) d’accéder à ces dispositifs.
Les futurs salariés ou chefs d’exploitation doivent avoir accès aux
nouvelles technologies ou process pour répondre aux enjeux
horticoles futurs.
Les centres techniques et les structures pédagogiques disposent
d’outils pouvant être mis à la disposition des professionnels.
Développer les échanges professionnels sous forme de clubs
techniques, développer les tests privés pour la production.
Développer les synergies entre centres techniques et structures
pédagogiques.
Sécuriser les process et leur adaptation en entreprise par des
phases pilotes et un accompagnement méthodologique
Utiliser les savoir-faire et optimiser les outils collectifs existant ;
Favoriser les échanges techniques inter régionaux
Sur le modèle des clubs professionnels PBI ou plants potagers
existants, il s’agit de prolonger les actions entreprises et développer
de nouveaux clubs techniques régionaux ou inter-régionaux (action
collective). Le travail se fera en liaison avec les laboratoires (IRBI,
etc…), les experts des ressources humaines (Gehodes), pour
démultiplier les retombées concrètes de ces réflexions. Les
nouveaux thèmes de travail envisagés sont les déchets et
l’environnement, la modularité des équipements, les jardins vivriers,
l’aménagement des espaces urbains. NB : pour la PBI, on en est à la
phase d’intégration des méthodes PBI dans les centres
pédagogiques et auprès des salariés des entreprises (méthodes,
vocabulaire de vulgarisation…
Développer les essais privés sources de compétitivité et permettre
aux petites entreprises d’y accéder. (action individuelle)
Créer un réseau de compétences techniques favorisant l’accès à
l’innovation.
Permettre aux pôles de compétitivité (VEGEPOLYS, Cosmetic
Valley, DREAM, VALBIOM…) de lancer des programmes
d’accompagnement et de répondre aux attentes de la filière
horticole, en liaison avec la CRA et la Chambre régionale des
métiers.
Améliorer la compétitivité des entreprises par des actions de mise en
œuvre concrètes.
Nombre d’entreprises et de structures pédagogiques intégrées aux
clubs professionnels
Nombres de clubs, avec minimum 2 à 3 réunions par an et par club
Nombre d’essais privés engagés par la production.
CDHRC / Chambre d’agriculture du Loiret / Arexhor Pays de la Loire
2013-2016
Clubs :
Animation :
3
5 jours de travail de conseiller (Violaine LE PERRON ou autre) à 600
€ pour 1 journée d’animation, soit 9 000 € par club sur la base de 3
journées de réunion par club. Ceci est hors frais de déplacement,
infographie ou documentation à charge des participants
Coût global annuel d’animation de 54 000 € pour 6 clubs, soit
216 000 € pour 4 ans
Interventions extérieures : à chiffrer
Participation au financement d’essais privés dans les TPE (fonds
OSEO ou innovation ?) ; 10 essais privés prévus par an, soit 60 000
à 100 000 € de coût annuel, avec estimation globale de 284 000 €
pour les 4 années
Budget global total : 500 K€
Participation Conseil
régional
54 000 €
Participation Etat
Prise en charge dans le cadre de la mesure 111 du FEADER
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Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A : L’amélioration de la compétitivité des entreprises, au travers d’actions
individuelles ou collectives
Action A2bis : Poursuivre l’adaptation des pratiques environnementales et favoriser
l’accès à de nouveaux publics pour la lutte intégrée
Problématique
Objectifs action
Description action
Résultats visés
Indicateurs de suivi
Mise en oeuvre
Calendrier
Coût
Participation Conseil
régional
Les engagements de respect de l’environnement et les actions entreprises par
les professionnels trouvent difficilement une valorisation au travers du prix de
vente des produits horticoles.
Les entreprises ou acteurs concernés par la mise en place de ces démarches
ne sont pas répertoriés s’ils n’adhèrent pas à des réseaux techniques ou
professionnels
Il existe un déficit de communication sur les actions entreprises par les
professionnels de la filière sur ce sujet.
Il n’existe pas de réseau DEPHY FERME pour l’horticulture en Région Centre
permettant de mesurer les impacts des nouvelles mises en pratiques
environnementales.
Favoriser le développement des nouvelles pratiques, notamment liées à la
protection biologique intégrée, par la mise en place de missions techniques et
d’appui auprès des entreprises liées au végétal.
Favoriser l’esprit de filière au travers du développement du réseau d’appui
technique
Développer les échanges transversaux (autres secteurs spécialisés ou ZNA)
Développer le nombre de « conversions » aux nouvelles pratiques
environnementales et à la lutte intégrée
A partir des résultats obtenus (mobilisation et engagement de professionnels et
de leurs équipes de travail) lors du précédent projet de filière, développer la
communication pour attirer de nouveaux publics sur ce sujet.
Communiquer sur les premiers résultats obtenus, notamment grâce au support
vidéo réalisé dans le cadre du club PBI du CDHRC
Poursuivre la synergie entre le développement de la PBI et le nombre
d’observateurs inscrits dans le réseau d’épidémiosurveillance horticole régional.
Mettre en place des lettres de mission techniques et développer les adhésions
au centre technique horticole.
Développement des mises en pratiques de lutte intégrée
Amélioration des échanges transversaux avec les autres filières agricoles ou
non agricoles
Nombre de nouvelles lettres de mission techniques
Nombre de nouvelles adhésions au centre technique horticole régional
Nombre de nouveaux observateurs dans le cadre de l’épidémiosurveillance
Nombre de participants lors des échanges transversaux.
CDHRCentre / CRAC
2013-2016
Sur une base de 5 lettres de mission sur les pratiques environnementales par
an , soit 15 missions (démarrage 2013 décalé compte tenu de la saisonnalité):
Coût 50 000 € pour les 4 ans.
Le coût inclut les démarches préalables de contact et de présentation des
différents sujets aux publics concernés.
25 000 €
(prise en charge de 50% des lettres de mission)
Participation Etat
5
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A : L’amélioration de la compétitivité des entreprises au travers d’actions collectives
et individuelles
Action 3 : Favoriser les actions en faveur de l’amélioration des conditions de travail
Problématique
Objectif action
Description action
Résultats visés
Indicateur de suivi
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
La filière horticole et pépinière souffre d’une image parfois peu
flatteuse en termes de conditions de travail (écarts climatiques,
travail physique…). Or l’amélioration des conditions de travail est un
facteur incontournable pour rester compétitif. Les producteurs
souhaitent donc aujourd’hui travailler sur ces axes pour trouver des
solutions d’amélioration.
Améliorer les conditions de travail dans les métiers de l’horticulture
et de la pépinière pour gagner en compétitivité et pour améliorer
l’image des métiers de la filière et créer une image plus attractive.
- Construction d’un groupe d’entreprise-pilotes volontaires et
représentant la diversité des entreprises de la région
- Un court questionnaire de pré-étude sur les aspects de qualité de
vie et de santé et sécurité au travail est envisagé, à remplir par les
chefs d’entreprise et les salariés de ce groupe-pilote ; on pourra
aussi se reporter aux réponses au questionnaire sur les projets
potentiels des entreprises
- Diagnostics sur ce groupe d’entreprises pilotes, réalisés par des
ergonomes ou accompagnés par des associations spécialisées
telles que ceux de l’ARACT et Gehodes, travaillant en
complémentarité selon les thématiques à aborder. Une rencontre
entre les porteurs de ces 2 dispositifs et les professionnels permettra
de définir en amont les attentes et objectifs de chacun. Les
thématiques de travail pourront s’articuler autour de l’ergonomie, la
santé et sécurité au travail, ainsi que sur la qualité de vie au travail
(parcours professionnel, développement des compétences…)
- Partage d’expériences entre professionnels et centralisation des
actions prioritaires, pour proposer des plans d’amélioration à moyen
terme, à mettre en perspective avec d’autres groupes de travail
(innovation, mécanisation…)
- Investissements, si besoin, en termes d’outils techniques :
ergonomie, automatisation, manutention, robotisation, protection des
hommes et des cultures…
- Visites croisées sur chantiers en cours
- Proposition d’un projet abouti au cours des visites proposées lors
de la journée filière
De meilleures conditions de travail en entreprises, et des entreprises
plus compétitives
Une image de filière redynamisée
Nombre de diagnostics, efficacité des mesures
Nombre de formations
Investissements réalisés
Communication auprès des salariés après améliorations
UHRC en lien avec l’ARACT et Gehodes
2013-2016
. Diagnostics pour le groupe d’entreprises pilotes (au moins 4) :
. Animation partage d’expériences de 1 journée par an (durant 3 ans)
. Visites croisées sur chantiers en cours (2 journées par an).
. Estimation 15 jours de travail animateur pour l’année 1, 15 jours
pour l’année 2, 10 jours pour l’année 3, 10 jours pour l’année 4 = 50
jours à 500 € soit 25 000 € pour les 4 ans
6
. Prestation ARACT si recours à un questionnaire de ciblage des
entreprises-pilotes 4 200 € (forfait 1 500 € + 9 € / questionnaire pour
300 questionnaires remis)
Total 29 200 €
L’appui de l’ARACT au-delà du questionnaire sera gratuit si l’action
est validée dans les priorités 2013 de l’Agence.
Formations des salariés (FAFSEA)
Investissements : cf fiche « investissements dans les entreprises »
Participation Conseil
régional
15 860 €
Participation Etat
2 250 €
(Prise en charge de 50% du coût de l’animation et de 80 % du coût des
enquêtes)
(prise en charge de 30% du coût de l’animation sur 2013)
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Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A : L’amélioration de la compétitivité des entreprises au travers d’actions individuelles
ou collectives
Action 4 : Développer la culture de l'innovation
Problématique
La filière horticulture pépinière a besoin d’innovation, dans le domaine des
produits, du conditionnement, des méthodes de production, de
l’organisation… Il faut poursuivre et amplifier le travail sur l’innovation,
développer une véritable culture autour de ce concept, en s’appuyant sur
l’antenne régionale VEGEPOLYS
Développer la culture de l’innovation dans la filière
Objectifs action
Développer les projets et les réalisations innovantes : ateliers
d'émergence de projets émergents, actions collectives, groupes de
réflexion sur des thématiques transversales...
Assurer la veille concurrentielle nécessaire au repositionnement innovant
des entreprises
Plusieurs pôles de compétitivité sont présents sur le Bassin (Végépolys,
Cosmetic Valley, DREAM...). Il est important de faire connaître et de
s’appuyer sur les activités de ces pôles afin de favoriser l'innovation dans
la filière et de stimuler des rapprochements entre les producteurs et les
centres de recherche.
Un permanent du pôle Végépolys est présent en région Centre, des
rencontres régulières sont à envisager entre les professionnels pour à la
fois mettre en valeur des systèmes de production végétale respectueux
de l’environnement et de la santé mais aussi créer de nouvelles variétés
qui ouvriront de nouveaux marchés. Pour ce faire :
Réalisation d’un repérage des innovations récemment conduites
dans les filières végétales, mais également dans les autres filières
agricoles et les autres secteurs (gamme, techniques de
production, process de conservation,…)
Description action
Inventaire des besoins du marché, veille concurrentielle, nouveaux
usages : perspectives de développement à mener avec l’étude
prospective de Végépolys.
Identification des freins au développement pouvant être levés par
une ou plusieurs innovations, qu’elles soient techniques,
technologiques, marketing, packaging, etc… (projets individuels et
collectifs)
Définition d’une culture commune de l’innovation au sein de la
filière en vue de l’émergence de projets collaboratifs à travers des
ateliers de travail ou d’émergences de projet, des conférences,
des démonstrations…
Appel à projets innovants collaboratifs dans le domaine des cultures
spécialisées. Lancé sur l’automne 2012, l’appel à projets concernera
l’innovation, qu’elle soit de produit, de procédé, de service, marketing ou
organisationnelle. Dans un souci d’innovation proche du marché, le
porteur devra être une entreprise. Le projet collaboratif comportera au
moins deux partenaires, la collaboration avec les laboratoires de
recherche régionaux sera encouragée.
Résultat visé
Emergence de projets innovants (on estime à 40 le nombre d’entreprises
d’horticulture-pépinières de la région restant à prospecter et pouvant
disposer potentiellement de projets d’innovation)
8
Indicateur de suivi
Nombre de professionnels impliqués dans des groupes de travail
Mise en œuvre
VEGEPOLYS – antenne Région Centre
Calendrier
A caler avec l’antenne régionale de VEGEPOLYS
70 jours sur 4 ans, à 580 €/jour
Coût
(NB : il est difficile de distinguer cette action du reste de l’action
VEGEPOLYS)
Le poste d’animateur VEGEPOLYS Région Centre est déjà
Participation Conseil financé par le Conseil régional, la CRA, La Chambre
d’agriculture du Loiret et le Crédit agricole des régions du
régional
Centre
Participation Etat
-
Remarques :
•
Le repérage des entreprises, soit par leur intérêt pour la démarche, soit par un projet innovant mené à son terme
ou non et dont elle pourrait témoigner, permettra de constituer le groupe de travail support de cette action.
•
La filière a un représentant à la gouvernance de VEGEPOLYS.
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Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A : L’amélioration de la compétitivité des entreprises au travers d’actions
individuelles ou collectives
Action 5 : Organiser une logistique commune
Problématique
Objectifs action
Description action
Résultats visés
Indicateurs de suivi
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
Grâce à son réseau routier, à l'implantation de nombreuses bases de
logistique, à sa position centrale et à la proximité de l'Ile-de-France,
la région Centre dispose d'atouts importants en terme de logistique.
Or, les conditions de transport des végétaux de la région sont
souvent médiocres.
La filière n'exploite donc pas suffisamment les atouts logistiques de
la région.
Optimiser les coûts de transport des produits de l'horticulturepépinière (améliorer la connaissance de la logistique, concentrer
l’offre, diminuer les coûts, améliorer la qualité du transport, diminuer
le coût environnemental). Une 1ère mission a été effectuée en 2011.
Ce 1er travail a permis de valider l’intérêt de grouper les besoins de
transport. Les gains financiers ont été vérifiés. Désormais, le groupe
doit s’agrandir, envisager des solutions de groupage, élaborer une
charte commune.
Cette 2ème étape consiste à :
établir la liaison avec le projet Végémarché préparé par
VEGEPOLYS
proposer des solutions concrètes de groupages (affrètements,
tournées…)
identifier les entreprises pouvant intégrer ce groupe de travail. En
priorité, il s’agit de contacter les entreprises de la filière.
Ensuite, l’intégration d’entreprises ayant une saisonnalité
complémentaire pourrait être envisagée (ces entreprises
peuvent ou non faire partie de l’horticulture pépinière).
Cette étape nécessite le recours à un consultant afin de disposer
d’un regard extérieur, d'identifier les facteurs de réussite du projet,
de consolider l’engagement des entreprises du groupe. L'implication
dans cette étape exige un engagement fort des professionnels.
Diminuer les coûts de transports des entreprises adhérentes.
Pérenniser l’action en intégrant 5 à 10 autres entreprises.
Le nombre d’entreprises impliquées dans cette mutualisation.
La baisse des coûts de transport
CRA Centre
2012-2016
Coût du consultant ou d’une personne extérieure (cabinet juridique,
chargé de mission CER, CoopdeFrance…), évalué à 8 000 € HT
Temps d’animation CRA estimé à 10 jours par an pendant 4 ans
(580 € / jour)
Participation Conseil
régional
Participation Etat
4 000 €
(prise en charge de 50% de la prestation de conseil)
2 400 €
(prise en charge de 30 % de la prestation de conseil)
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Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A L’amélioration de la compétitivité des entreprises au travers d’actions collectives et
individuelles
Action 6 : Améliorer la lisibilité des disponibles des exploitations
Problématique
Objectifs action
Description action
Résultats visés
Indicateurs de suivi
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
Participation Conseil
régional
Participation Etat
Il est souvent difficile pour les producteurs de pouvoir répondre à des
commandes globales de collectivités, grossistes, jardineries. Afin de
faciliter les partenariats entre entreprises régionales et ainsi de
pouvoir proposer une offre globale aux clients ou se fournir en
jeunes plants, une base de données interactive type site web pour
les adhérents au système a été initiée, mais nécessite d’être
améliorée pour renforcer la logique de filière au niveau de
l’approvisionnement dans l’ensemble de la Région
19 entreprises de la région se sont engagées dans l’action. Depuis
l’été 2012, le site web www.vegestock.com a été mis en ligne sur la
base du disponible de 4 entreprise-pilotes. D’ici l’automne 2012,
l’ensemble des disponibles des 19 entreprises sera mis en ligne,
quel que soit le logiciel utilisé par l’entreprise (difficulté technique de
transfert des données solutionnée). Une charte d’utilisation du site
est en cours d’élaboration.
Les objectifs sont maintenant de :
. Optimiser la base de données de disponible commun des
exploitations et la rendre plus lisible à l’échelle de la Région :
. Rendre cohérentes les données entre producteurs, répartir les
producteurs dans la Région, diversifier les productions proposées
pour une gamme de plantes la plus large possible
. Ouvrir la démarche à d’autres producteurs de la région
Optimisation du site web
Mise en place et mise en action du disponible
Initiation à l’utilisation du site
Ergonomie du site (ex envisager une version mobile du site)
Ouverture du site à de nouveaux adhérents
Recrutement
Mise en place des règles d’usage et charte pour les
nouveaux adhérents
Optimiser le disponible de chaque exploitation
Renforcer le partenariat entre producteurs de la Région Centre
Redynamiser l’image de la production régionale
Augmenter la réponse des entreprises aux appels d’offres (pour les
entreprises concernées par les marchés publics, de production de
jeunes plants, tournées vers l’export, concernées par les structures
de commercialisation)
Nombre de producteurs adhérents
Nombre de producteurs utilisant régulièrement le site (sondage
avant/après ; nombre de réponses aux appels d’offre)
UHR Centre
2012-2016
Temps d'animation : 10 jours/an x 4 ans (500 € par jour), soit 20 000
€ au total sur 4 ans
Suivi du site web et coût d’adaptation du logiciel (devis en cours)
4 000 €
(prise en charge de 50 % du coût de l’animation en année 1 et 30 % en
année 2)
1 500 €
(prise en charge de 30% du coût de l’animation en 2013)
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Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A : L’amélioration de la compétitivité des entreprises au travers d’actions
individuelles ou collectives
Action 7 : Favoriser l’évolution des pratiques grâce à l’expérimentation
Problématique
Objectifs action
Description action
Résultat visé
Indicateurs de suivi
Mise en oeuvre
Calendrier
Coût
Les programmes d’expérimentation reposent sur la prise en compte
de l’évolution règlementaire, des besoins professionnels et des
priorités d’action en matière de développement durable.
Ils s’inscrivent donc dans une approche de moyen terme
nécessitant des moyens techniques et des compétences en
perpétuelle évolution, mais aussi prenant en compte l’évolution des
métiers horticoles (production, services, distribution, nouveaux
usages). Ils ont pour objectif de préparer les facteurs clés techniques
indispensables à la compétitivité des entreprises et à la pérennité de
la filière.
Une coordination avec les autres bassins de production est
également nécessaire pour utiliser au mieux les spécialisations et
savoir-faire de chacun.
Assurer, au travers du CDHRC et des coordinations de programmes
du bassin Loire Bretagne un programme d’expérimentation adapté
aux besoins de la filière
A partir des analyses de besoin des professionnels, des priorités
régionales en matière de développement durable et d’une
segmentation des usages (actuels et futurs) des produits horticoles,
établir un programme d’actions pluriannuelles.
Définir les évolutions nécessaires en matière d’outils et configurer la
station d’expérimentation en conséquence
Participer à la coordination interrégionale des programmes horticoles
du bassin Centre Loire Bretagne et apporter les expertises
nécessaires.
1/ Segmentation entre
- essais méthodologiques de fond (fertilisation organique, limitation
des intrants, produits et méthodes alternatifs…)
- essais liés aux nouveaux usages et métiers de l’horticulture
(phytoremédiation, plantes industrielles …)
- essais liés aux facteurs clés techniques transférables rapidement
en entreprise.
2/ Réaménagement des outils de la station.
Nombre d’actions d’expérimentation menées chaque année
Nombre d’actions de transfert technique auprès des entreprises
Nombre d’entreprises engageant des évolutions en termes de
nouveaux usages ou en termes de nouvelles technologies.
CDHRCentre
2013-2016
Programme d’actions régionales : 250 000 € annuel, soit 1 million €
pour 4 ans
Adaptation de la station, avec investissements sur l’aménagement
d’aires sécurisées pour la phytoremédiation, et pour la gestion de
l’eau (150 000 € pour 4 ans)
NB : selon évolution du projet de regroupement avec les Pays de
Loire et la Bretagne, mise à plat de la station pour accompagner les
métiers horticoles de demain (estimation 1,5 million €)
12
Participation Conseil
régional
Participation Etat
Animation des programmes et diffusion : méthodes pratiques pour le
transfert technique, portes ouvertes, démonstration en entreprises,
mise à jour du site internet, films vidéo, diffusion de bulletins
techniques (coût 24 000 € par an, soit 96 000 € sur 4 ans)
492 000 €
(prise en charge de 36 % des programmes d’expérimentation, de 33 % de
la diffusion et du transfert et 66 % des investissements)
90 000 €
(sur les programmes d’expérimentation, et mesure 111 du FEADER sur
transfert de technologie)
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Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A l’amélioration de la compétitivité des entreprises, au travers d’actions individuelles
ou collectives
Action 8 : Poursuivre l’adaptation des pratiques environnementales
Problématique
Objectifs action
Description action
Résultats visés
Indicateurs de suivi
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
Participation Conseil
régional
Participation Etat
Les engagements de respect de l’environnement et les actions entreprises par
les professionnels trouvent difficilement une valorisation au travers des produits
horticoles.
Les entreprises n’ont pas toutes les moyens (temps, gestion, finances) de
poursuivre ces démarches et de communiquer sur leur mise en œuvre.
Simplifier les démarches et l’accès aux aides environnementales s’intégrant
dans des démarches de production (gestion de l’eau, protection biologique
intégrée, gestion énergétique, gestion des déchets…)
Poursuivre la valorisation sur les démarches environnementales engagées par
la profession.
Diffuser plus généralement les nouvelles pratiques et engager de nouvelles
entreprises dans la démarche
Favoriser les investissements liés aux plans d’amélioration issus des
diagnostics environnementaux, simplifier les conditions d’accès aux aides
(montage des dossiers, interfaces entre services instructeurs …) et développer
leur communication.
Développer les pratiques en amont (formations) pour sensibiliser les futurs
professionnels et les synergies entre centres techniques et structures
pédagogiques.
S’appuyer sur les méthodes liées à la certification environnementale horticole
(Plante Bleue) pour porter les conduites de projet et valoriser les engagements
vers cette démarche.
Meilleur accompagnement de la profession sur le Plan Végétal pour
l’Environnement ou les systèmes d’aides aux projets similaires.
Augmentation de la visibilité sur les actions engagées, et du nombre
d’entreprises conduisant des projets d’amélioration
Nombre de dossiers PVE déposés par les entreprises (NB : actuellement ce
nombre est limité, les critères étant compliqués, les zones non prioritaires non
prises en compte, les compléments Agence de l’eau complexes, la relation
devant être établie entre l’entreprise et la DDT, une communication sur AAP
devant être menée…)
Nombre de formations ou d’ateliers pédagogiques sur les pratiques
environnementales
Nombre de diagnostics « Plante Bleue »
Nombre de dossiers de certification environnementale
Nombre de projets d’amélioration et d’investissements liés à la certification
environnementale
Nombre de communications.
Nombre de conversions énergétiques.
CDHRCentre
2013-2016
Chiffrage précis selon résultat enquête auprès des entreprises sur leurs
investissements ; menée à l’été 2012
Estimation 10 jours de travail annuels d’ingénieur pour travailler avec les
centres de formation régionaux, soit 8 000 € par an (32 000 € sur 4 ans)
3 200 €
(prise en charge de 40% du coût de l’animation des ateliers)
14
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A : L’amélioration de la compétitivité des entreprises, au travers d’actions
individuelles ou collectives
Action 9 : Intégrer les nouvelles pratiques environnementales dans les systèmes de
production
Problématique
Objectifs action
Description action
Résultats visés
Indicateurs de suivi
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
Participation Conseil
régional
Participation Etat
La gestion de l’eau répond à une nécessité technique et aux besoins de
préserver les ressources.
Les actions en matière d’optimisation ou de reconversion énergétique sont
souvent peu adaptées à la taille de l’entreprise, et les conduites de projet très
complexes.
Les approches globales liées à l’environnement sont peu développées et peu
lisibles dans la filière horticole, leur approche économique souvent difficile à
appréhender.
Simplifier l’accès aux pratiques environnementales et aux dispositifs de soutien
par la mise en place de projets démonstrateurs spécifiques à l’horticulture
Poursuivre la communication sur les démarches environnementales engagées
par la profession.
Favoriser les actions pilotes (qui, à la différence des clubs, concernent une mise
en place spécifique, dans un centre de formation ou une entreprise et non un
travail de récolte de données en groupe de travail collectif. Exemple :
investissement production/vente détail dans un lycée) permettant de concilier
approches environnementales et efficacité économique (notamment en matière
de gestion de l’eau, de protection biologique intégrée, d’énergie, et de gestion
des déchets) et développer leur communication (dimension « démonstrateurs,
pouvant faire l’objet ensuite d’un transfert).
Favoriser les investissements liés aux plans d’amélioration issus des
diagnostics environnementaux,
S’appuyer sur les méthodes liées à la certification environnementale horticole
(Plante Bleue) pour porter les conduites de projet et valoriser les engagements
vers cette démarche.
Evolution des pratiques liées à l’usage de l’eau (quantitatif et qualitatif), de
l’énergie et des intrants biodégradables.
Meilleures connaissance de la production d’énergie verte
Meilleur accompagnement de la profession sur les systèmes d’aides aux projets
Amélioration de l’interface avec les projets de conversion énergétiques ou
d’utilisation de la biomasse.
Nombre de projets d’amélioration et d’investissements liés à la certification
environnementale
Nombre de projets démonstrateurs retenus
Nombre de communications.
CDRHCentre
2013-2016
Appel à projets démonstrateurs ?
Cf dispositifs PVE et PPE
15
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe A : L’amélioration de la compétitivité des entreprises, au travers d’actions
individuelles ou collectives
Action 10 : Investir dans les entreprises pour assurer leur pérennité
Problématique
Objectifs action
Description action
Les entreprises de l’horticulture-pépinière ont besoin d’investir régulièrement,
notamment pour moderniser leur outil de production, maîtriser l’énergie,
préserver la ressource en eau, développer la gestion de la production et la
logistique, communiquer, préserver l’environnement.
Ces investissements ont besoin d’être effectués régulièrement, afin de disposer
d’entreprises « à niveau », anticipés, étudiés et préparés, bref d’assurer la
pérennité des entreprises.
Permettre aux entreprises d’investir régulièrement, et d’assurer ainsi leur
pérennité.
Effectuer une enquête auprès des entreprises adhérentes au CDHRCentre et à
l’UHR Centre, afin de préciser les besoins en investissements, de les classer
par nature et par année (enquête menée en août 2012).
Appuyer les entreprises dans leurs projets d’investissements.
Résultats visés
Indicateurs de suivi
Inciter à certains types d’investissements, par un soutien financier ciblé.
Entreprises compétitives et « à jour » dans leurs investissements
Nombre de PVE déposés par les entreprises (NB : actuellement ce nombre est
limité, les critères étant compliqués, les zones non prioritaires non prises en
compte, les compléments Agence de l’eau complexes, la relation devant être
établie entre l’entreprise et la DDT, une communication sur AAP devant être
menée…)
Nombre de projets d’investissements effectués
Nombre de projets d’investissements ayant fait l’objet d’un conseil par le
CDHRCentre.
Mise en oeuvre
Calendrier
Coût
CDHRCentre
2013-2016
Chiffrage précis selon résultat enquête auprès des entreprises sur leurs
investissements (31 réponses, 185 projets d’investissements recensés soit une
moyenne de 6 par entreprise, représentant bien les divers types d’entreprises) :
* outils de production : 55 entreprises, pour 3 687 814 €
* maîtrise de l’énergie : 16 entreprises, pour 400 000 €
* préservation ressource en eau : 21 entreprises, pour 559 800 €
* autres investissements (dont études) : 20 entreprises, pour 199 000 €
* gestion production et logistique : 33 entreprises, pour 871 000 €
* communication : 32 entreprises, pour 210 335 €
* préservation environnement : 8 entreprises, pour 125 300 €
TOTAL : 6 053 249 €
Tous ces chiffres sont évidemment pour les 4 années 2013 à 2016
Participation Conseil
régional
300 000 €
Aide aux investissements, notamment :
* ayant trait la gestion de la production, à des investissements couplés à de
l’innovation, à la mécanisation de l’expédition, à de nouveaux projets NTIC
(nouvelles technologies d’information et de communication), à l’aménagement
de points de vente (si outils construits collectivement)
* ayant trait à l’ergonomie (action A3)
* ayant trait aux actions-pilotes (action A8)
16
Participation Etat
* ayant trait à la mise en avant de la production régionale (actions B1, B2 et
B2bis).
*
Aide aux investissements ayant trait à la modernisation des serres (PPE,
circulaire serres) et à l’environnement (PVE)
17
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe B : Le renforcement de l’attractivité du métier horticole et la valorisation des hommes
et des métiers
Action 1 : Mise en avant de la production régionale via la certification horticole dans les
entreprises de la Région Centre
Problématique
Objectif action
Description action
Résultat visé
Indicateur de suivi
Les entreprises horticoles se trouvent dans un contexte où la
préservation de l’environnement, le bien-être au travail et
l’implication locale sont devenues des variables de la compétitivité
des entreprises et de la démarche sociétale. La mise en avant de la
production régionale doit donc tenir compte des nouvelles attentes
des consommateurs en termes d’environnement, d’économie et de
social, en intégrant des démarches de RSE, dans un secteur
fortement employeur de main d’œuvre. La certification horticole
Plante Bleue est la première certification d’entreprise permettant de
reconnaître le respect de ces critères par les entreprises et qui inscrit
ces entreprises dans une dynamique de progrès. De plus, Plante
Bleue deviendra à terme une condition d’accès à certains marchés.
Seulement 4 entreprises de la Région sont aujourd’hui inscrites dans
cette démarche, une sensibilisation des entreprises de la Région
autour de Plante Bleue est nécessaire pour que la certification
puisse avoir un impact régional face aux productions étrangères.
Inscrire les entreprises de la Région Centre dans la dynamique de
cette démarche durable, afin de promouvoir les facteurs-clés de la
qualité de la production de ces entreprises.
Différencier la production régionale des autres productions sur des
critères de qualité et de respect de l’environnement et la valoriser
depuis le lieu de production jusqu’au consommateur.
Le Conseil régional travaille sur la création d’une signature régionale
visant à valoriser la production régionale. La certification Plante
Bleue ou le respect d’une charte qualité telle que le label
Horticulteurs-Pépiniéristes de France (HPF) pourraient permettre
d’intégrer la démarche régionale.
Inscrire les entreprises dans la démarche de certification d’entreprise
Plante Bleue par :
. Sensibilisation des chefs d’entreprise à Plante Bleue
. Mise en place de formation Plante Bleue : appropriation du
référentiel et préparation à l’audit de certification
. Identification des points d’améliorations et appui pour avancer dans
le plan d’amélioration construit par les entreprises, notamment sur le
volet sociétal
. Investissements liés au plan d’amélioration de l’entreprise pour la
certification « plante bleue »
. Support pour la valorisation de Plante Bleue
En parallèle, il faudra inciter les exploitations à valoriser la
« signature régionale »
Création d’une image de l’horticulture ornementale de la Région
respectant les objectifs du Grenelle de l’Environnement
Favoriser l’accès à un outil de différenciation des productions
régionales quel que soit leur réseau de distribution
Permettre aux producteurs d’accéder au marché en répondant aux
préoccupations environnementales et sociétales, qui deviennent
prépondérantes dans les choix d’achat des consommateurs
Apporter une source de motivation pour l’entreprise et ses salariés
Nombre de producteurs sensibilisés et participant à la formation
18
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
Participation Conseil
régional
Nombre d’entreprises certifiées
UHR Centre
2012-2016
Potentiel de 10 entreprises par an pendant les 2 premières années
(20 entreprises durant les 4 ans)
Coût pédagogiques de la formation : 588 € TTC / stagiaire
(modalités de prise en charge par le FAFSEA de l’ordre de 75 % du
budget global ; prise en charge directe du coût pédagogique par
Vivea), soit un total de 11 760 € sur 4 ans
Temps d’animation pour organiser les formations : 3 jours par an
durant 2 années (500 €/jour), soit un coût de 3 000 € pour
l’ensemble de l’action
Participation aux coûts engendrés par l’audit de certification (1 405 €
pour 3 ans, soit 28 010 € pour les 20 entreprises)
Volet investissements inscrits dans le plan d’amélioration de
l’entreprise
Support de valorisation de l’engagement Plante Bleue
14 755 €
(prise en charge de 50% du coût des audits et 25% du coût de l’animation)
Participation Etat
19
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe B : Le renforcement de l’attractivité du métier horticole et la valorisation des hommes
et des métiers
Action 2 : La mise en avant de la production régionale au niveau local
Problématique
Objectif action
Description action
Résultat visé
Indicateur de suivi
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
Les producteurs détaillants représentent un maillage important de la
Région et sont un réel réseau de communication avec les
consommateurs sur l’identité régionale de la production et l’image
des métiers de l’horticulture. Compte-tenu de leur capacité de
communication et de transfert d’informations, il serait nécessaire
d’améliorer la visibilité de ces métiers de proximité. Ce type
d’entreprises pouvant souffrir d’un manque de temps et
d’organisation pour développer cette visibilité, un accompagnement
de ces entreprises dans leur recherche de pistes d’amélioration
pourrait être envisagé.
Améliorer la visibilité de ces métiers de proximité au travers le
développement de la mise en avant de la production régionale sur
les points de vente, la valorisation des métiers ou de services
connexes à la production
Accompagner les entreprises dans leur recherche commune de
prestataires afin de développer l’accueil dans les entreprises de
production détaillantes réalisant plus de 70 % du CA réalisé avec de
la production locale et 70 % de la production mise en vente sur le
site d'accueil :
- Recensement des producteurs locaux intéressés pour
s’impliquer dans l’action de mise en avant des métiers et de
la production horticole régionale
- Création d’un groupe d’entreprises prêtes à s’impliquer
- Définition des besoins et attentes en matière d’accueil sur
ces points de vente pour l’image de l’horticulture régionale
Structure d’accueil : outils de mise à disposition des
produits à la vente
Communication sur la production régionale sur les
points de vente : panneautage des produits phares de
la Région, outils pour faire connaître du public la
production locale, livret recensant les producteurs de
la région…
- Recherche commune de prestataire de service adapté
(cahier des charges élaboré en commun, signalétique
commune, prestataire unique…)
Valorisation d’une production locale, promotion du territoire et de
l’horticulture
Pérennisation de l’activité locale
Meilleure connaissance des attentes des consommateurs
Transfert des valeurs des métiers horticoles
Vision du métier par les consommateurs
Nombre d’entreprises impliquées dans cette démarche
CRA
2012-2016
Conduite de l’action : 8 jours par an, durant 4 ans, soit 32 jours (500
€/jour) soit 16 000 €
Supports de mise en avant de la production régionale (panneautage,
livret…) 30 000 € pour les 4 ans
20
Participation Conseil
régional
15 000 €
(prise en charge de 50 % des supports de communication/ 50 % du coût de
l’animation (soit 8 000 €) seront pris en charge au travers de la convention
de l’animation des filières avec la CRA)
Participation Etat
21
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe B : Le renforcement de l’attractivité du métier horticole et la valorisation des hommes
et des métiers
Action 2Bis : La mise en avant de la production régionale au niveau local
Problématique
Objectif action
Description action
La région Centre est le troisième bassin de production horticole
français. La filière repose à la fois sur une gamme étendue de
produits et sur certaines productions majeures. Paradoxalement,
malgré son poids économique, elle reste méconnue. En parallèle, il
existe sur le territoire régional des manifestations ou des lieux
emblématiques qui pourraient servir de vitrine à la filière régionale.
Le domaine de Chaumont, propriété de la Région, pourrait être un
de ces lieux. Des synergies sont encore à construire.
Améliorer la visibilité de la filière et de ses savoir-faire au travers de
la mise en place d’un partenariat avec le domaine de Chaumont sur
Loire. L’objectif de cette action est à la fois de mettre en avant la
filière, de valoriser les entreprises qui innovent sur des aspects
variétaux, techniques mais aussi pour les entreprises concernées de
s’appuyer sur la notoriété du Domaine pour valoriser leurs
productions.
Mise en avant de la production et des entreprises régionales au
travers de deux actions principales :
- Aménagement d’un espace dédié : il s’agit à la fois de créer
une vitrine avec des espaces pérennes et des espaces qui
pourront être renouvelés chaque année. Le format de cette
collaboration reste à construire avec le domaine (concours
…).
- Mise en place d’expositions thématiques et temporaires
permettant à la filière de communiquer sur ses savoirs faire
ou productions emblématiques.
Résultat visé
Valorisation des entreprises régionales
Renforcement du lien entre la filière régionale et le Domaine de
Chaumont
Indicateur de suivi
Nombre d’entreprises impliquées dans l’aménagement de l’espace
dédié
Nombre d’expositions thématiques organisées
CRA
2012-2016
Animation
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
Participation Conseil
régional
Participation Etat
22
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe B : Le renforcement de l’attractivité du métier horticole et la valorisation des hommes
et des produits
Action 3 : Valoriser les métiers de la filière horticole
par une communication structurée
Problématique
Objectifs action
Description action
La région Centre est un bassin historique de production et dispose
d’un savoir-faire, mais les métiers, les débouchés et les perspectives
d’évolution de cette filière sont souvent méconnus. Pourtant, le
secteur horticulture-pépinière recèle de nombreux emplois.
Toutefois, la mise en relation entre les entreprises du secteur et les
jeunes (stages, apprentissage, recrutements) se révèle insuffisante.
Les professionnels ont identifié comme un enjeu phare le fait de
communiquer davantage, en offrant une image positive de la filière,
notamment auprès des jeunes.
Valoriser la filière que ce soit ses métiers, ses formations, en
cherchant à créer une notoriété forte.
Mieux faire connaître les métiers, en développant la mise en relation
pour inciter les élèves à choisir les formations du secteur
horticulture-pépinière.
Augmenter la dynamique de filière dans le domaine de la formation
et du recrutement.
Favoriser la transmission des entreprises, en développant le
parcours de formation (apprentissage, stages, salariat…), de nature
à faire émerger des repreneurs potentiels.
La communication de la filière horticulture pépinière s’adresse à
plusieurs publics fortement liés. Cette action vise à structurer cette
communication, en s’appuyant fortement sur les établissements de
formation horticoles, pour valoriser les métiers de l’horticulturepépinière. L’action nécessite au préalable d’établir une dynamique
collective sur ce thème (en se tenant informés des éventuelles
actions des instances nationales comme VALHOR), de la manière
suivante :
- créer et faire fonctionner une dynamique d’échange entre les
établissements de formation (lycées, CFA…) et la filière, pour
mener une réflexion collective sur plusieurs thèmes comme
l’apprentissage, les stages, les recrutements…
- collecter des données (nombre d’offres de stages,
d’apprentissage, d’emploi, nombre de candidats…), les
analyser en comité de filière pour examiner les pistes de
progrès.
L’action nécessite des outils de communication, à bâtir de manière
collective notamment avec les établissements de formation
horticoles. Ces outils devront être complémentaires et avoir des axes
d’écoute différents, mais cohérents entre eux.
Dans la mesure du possible, cette communication s’appuiera sur les
outils existants (plaquette, film sur les métiers…). D’autres outils
(dépliant présentant les formations en horti-pépi, affiches…) sont
sans doute à créer. Ce plan s’adresse à la fois :
- aux prescripteurs de formations (centres de documentations,
professeurs principaux, conseillers psychologues, maisons
de l’emploi, CIO, professionnels de l’éducation, missions
locales …)
- aux jeunes : futurs lycéens, collégiens, futurs apprentis,
23
familles, parents
aux adultes en recherche d’une reconversion
aux partenaires de la filière : chefs d’exploitation,
commerciaux, chargés de communication, collectivités…
Les actions à mettre en œuvre sont les suivantes :
- créer un lien avec les établissements de formation générale,
notamment les collèges : 1) organiser les réunions d’équipes
des prescripteurs au sein des entreprises horticoles afin de
faire visiter les exploitations 2) « Infiltrer » les collèges, en
créant du lien avec eux pour changer l’image de l’horticulturepépinière et de l’apprentissage (cf formation des professeurs
principaux de 3ème organisée au lycée horticole de Blois) 3)
favoriser les stages « découverte de métiers » (fin de collège)
dans les entreprises d’horticulture-pépinière et dans les
établissements de formation horticoles.
- lors des forums d’orientation/des métiers, déployer un stand
commun avec un espace dédié pour chacune des écoles,
mobilisant des professionnels de la filière, faire rêver grâce à
un stand interactif, prévoir un « petit cadeau » (ex graines,
petites plantes), un film à créer en partenariat avec les écoles
de l’image de la région. NB : le forum sert en général à
confirmer un choix déjà largement engagé et permet
également aux jeunes de choisir leur école.
- explorer l’idée de plusieurs forums emplois (sur les grands
bassins de production : Blois, Orléans, Montargis), si possible
en lien avec la journée filière : créer un événement afin de
mettre en relation les chefs d’entreprises avec les futurs ou
jeunes diplômés. Travailler en étroite collaboration avec Pôle
Emploi, les collèges..
- développer les stages (mise en place de listings de maîtres
de stage…)
- développer les sites internet qui existent (APECITA, Accès,
Pôle emploi…), permettant de faire connaître les offres
d’emplois/de stages de la filière et les candidatures. Travail
en lien avec l’APECITA.
- travailler en étroite relation avec la DRAAF, service
« formation et développement », pour assurer la promotion
des formations horticoles et de la carte. La DRAAF est
« autorité académique » des établissements de formation
horticoles
- développer l’apprentissage (augmenter le nombre de maîtres
d’apprentissage et veiller à l’adéquation entre les souhaits du
maitre d’apprentissage et ceux du jeune)
- voir dans quelle mesure un système de parrainage (entre
professionnels installés et futurs repreneurs) peut être mis en
place.
- faire connaître la filière : valoriser les métiers de l’horticulture,
- faire connaître les débouchés, les métiers, les compétences
nécessaires, valoriser l’apprentissage, l’employabilité.
- mobiliser la moitié des missions locales et des Comités
d’Orientations et d’Information (CIO) sur les 4 années
- des forums correspondant à l’organisation énoncée
- nombre de rencontres avec les missions locales et les CIO
- nombre d’offres et de CV enregistrés
CRA Centre et Etablissements de formation
2013-2016
Animation CRA chiffrée à 10 jours par an, soit 40 jours sur 4 ans
Animation des établissements de formation chiffrée à 10 jours par
-
Résultats visés
Indicateur de suivi
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
24
an, par établissement (3), soit 120 jours sur 4 ans.
Supports de communication (dépliants, affiches…) et forum emploi
évalués à 10 000 € HT
Participation Conseil
régional
5 000 €
(prise en charge de 50% du coût des supports de communication)
Participation Etat
25
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe B : Le renforcement de l’attractivité du métier horticole et la valorisation des hommes
et des produits
Action 4 : Faciliter l’installation et la transmission des entreprises
Problématique
Objectifs action
Description action
Même si l’âge moyen des professionnels de l’horticulture pépinière
reste moins élevé que celui des autres secteurs agricoles, il s’est
élevé de 4 ans entre 2000 et 2010 et atteint les 50 ans. Les
problématiques de transmissions et d’installations sont à prendre en
compte afin d’assurer la pérennité de la filière régionale.
De plus, sur les 17 installations aidées intervenues dans ce secteur
durant les 5 dernières années en région Centre, un tiers s’est
effectué HCF (Hors Cadre Familial), et cette proportion semble en
hausse, alors que le recrutement HCF dans ce secteur s’avère
difficile. 4 exploitations d’horticulture-pépinière et 15 candidats sont
actuellement inscrits au RDI.
L’horticulture pépinière est rattachée à l’agriculture, toutefois, elle
présente un processus de production aux caractéristiques fortes qui
la démarque des autres filières agricoles. Ainsi, parfois, certaines
exploitations ont le sentiment de relever davantage du commerce
que de l’agriculture. De ce fait, les soutiens à l’installation existant
dans l’agriculture ne répondent pas exactement aux enjeux de cette
filière. Les appuis doivent être spécifiques.
40 % des entreprises du secteur sont sous statut
« exploitation individuelle » et 60 % sous statut sociétaire (21 % en
EARL, 6 % en GAEC et 33 % en autre statut juridique).
Par ailleurs, la filière est confrontée à une problématique de
financement lors des reprises d’entreprises. Les repreneurs ne
trouvent pas toujours d’établissement bancaire qui accepte de les
accompagner.
Pour soutenir l’installation, notamment celle HCF :
. identifier les personnes ressources pour les démarches
d’installations et de cessions d’exploitation
. faire connaître les démarches pour une cession d’entreprise et
inciter à l’installation dans la filière
. permettre une bonne anticipation des cessions et des installations
. trouver des repreneurs en HCF
. permettre la reprise financière des entreprises
Deux préalables sont nécessaires :
. une séquence d’échange à organiser entre les services installationtransmission des Chambres et les conseillers de la filière régionale
(CDHRC), pour analyser le contexte exact du secteur d’une part
(nombre de cessions, localisation, typologie des successeurs,
nombre de candidats à l’installation…), et pour sensibiliser les
conseillers horti-pépi de manière détaillée sur les dispositifs de
soutien en place d’autre part
. interroger la base du recensement agricole 2010, via le SRISEDRAAF Centre, pour préciser la pyramide des âges en horticulturepépinière, compter le nombre d’entreprises ayant un responsable >
55 ans sans repreneur connu. Ceci permettra de fixer des objectifs
réalistes
Rappel pour mémoire de l’action individualisée classique en faveur
de la transmission des Chambres d’agriculture, à destination des
26
cédants : entretien-conseil après repérage d’un cédant, suivi annuel
des « prospects », puis pour ceux qui n’ont pas de repreneur
orientation vers le RDI avec un audit d’exploitation.
Action spécifique en faveur de l’horticulture-pépinière proposée en 2
axes :
- à destination des cédants, il s’agit d’informer les chefs
d’entreprise des démarches à suivre, et de stimuler
l’inscription dans les dispositifs prévus. L’identification des
cédants peut être faite à l’occasion des diagnostics
d’avantages concurrentiels (fiche A1).
- à destination des candidats à l’installation, afin de les
sensibiliser : une journée de découverte de la filière (visite
d’entreprises, témoignages, présentation filière, contacts
avec les fournisseurs et les clients…), un stand sur
l’installation / transmission lors des portes ouvertes du
CDHRCentre de septembre, des articles dans la presse
spécialisée (ex : le Lien horticole). On cherchera notamment
à s’appuyer sur les établissements de formation pour faire
émerger des candidats.
Il est proposé que ce travail repose prioritairement sur 2 personnes
des Chambres d’agriculture (1 de la CRA, 1 de la CDA Loiret), pour
donner « un coup de pouce » significatif à l’action les années 1 et 2
(préparation journée des conseillers, outils de communication…)
Mettre en place un groupe de travail afin de recenser les dispositifs
existants pour le financement des entreprises ou de réfléchir à un
autre dispositif qui corresponde mieux à la filière horticole, le cas
échéant.
Un travail de partenariat entre les Chambres d’agriculture, les CCI, la
SAFER, la FRSEA (juristes), le Pôle Emploi doit être engagé. Il s’agit
de construire des « boîtes à outils », répertoriant l’ensemble des
personnes ressources, les outils de financement et d’appui
disponibles, les aspects juridiques...
Diffuser dans les bulletins d’informations le nom des personnes
ressources pour la création et/ou la cession d’entreprises.
Résultats visés
Indicateur de suivi
Mise en œuvre
Calendrier
Coût
Assurer la reprise des entreprises et maintenir les emplois dans la
filière. Freiner les disparitions d’entreprises.
L’interrogation de la base de données du RA2010 permettra de fixer
des objectifs réalistes pour l’action, notamment le nombre
d’entretien-conseils et d’inscription d’exploitations au RDI
Nombre de chefs d’entreprise reçus en entretien-conseil
Nombre d’entreprises inscrites au RDI
Nombre de personnes reçues en vue d’une installation
Nombre de candidats à l’installation inscrits au RDI
Nombre d’actions de communication
CRA Centre
2012-2016
Animation des 2 personnes des Chambres d’agriculture (10 jours par
an par personne, pour chacune des années 1 et 2, avec un coût de
570 €/jour) soit 22 800 € au total
Séquence d’échange de 1 journée entre conseillers horti/pépi et
conseillers installation/transmission : 15 jours (à 580 €, soit 8 700 €)
27
organisation comprise
Audit des entreprises : intégré dans le dispositif « classique »
transmission
Journées découvertes : 2 journées (en 2013, puis en 2015),
supposant 5 jours d’organisation chacune soit 10 journées au total
durant les 4 années (à 580 €, soit 5 800 €)
Animation d’un groupe de travail pour la création des « boîtes à
outils » : 10 jours durant les 4 années (à 580 €, soit 5 800 €)
Participation du
Conseil régional
Participation Etat
Supports de communication (une plaquette spécifique horticulturepépinière, une affiche), estimés à 2 000 € HT
12 400 €
(prise en charge de 50% des outils de communication et de 50 ù du coût
d’animation spécifique des 2 personnes)
2 400 €
(financement de 2 journées découvertes (PIDIL))
28
Projet filière horticulture pépinière 2012-2016
Axe B : Le renforcement de l’attractivité du métier horticole et la valorisation des hommes
et des produits
Action 5 : Réunir la filière afin de promouvoir un « Esprit filière »
Problématique
Indicateurs de
suivi
Sensibiliser tous les professionnels de la filière et les partenaires à la
production régionale. Même si la production horticole est concentrée, les
professionnels n’ont pas l’opportunité de se réunir au sein d’un même
événement régional.
Concevoir et mettre en œuvre des journées de communication, créer et
promouvoir une dynamique de filière. Créer des occasions d’échanges
afin de développer les liens entre les producteurs.
Il s’agit d’organiser des rassemblements périodiques et thématiques des
acteurs de la filière, sur des sites choisis. Ces rencontres avoir lieu tous
les ans, en alternant entre :
. des visites sur une journée entière, qui auront lieu tous les 2 ans (2013
et 2015), la journée se déroulant en 2 temps : une visite d’exploitation
(mise en avant d’une action qui a avancé, d’une innovation, etc…) et la
visite d’un établissement de formations. Les élèves et les jeunes
diplômés seront également invités. Cette action peut être couplée au
forum emplois (action B2)
. des rencontres sur une demi-journée, groupées par exemple avec les
Portes ouvertes du CDHRCentre
Favoriser les liens au sein de la filière.
Favoriser les recrutements : favoriser les échanges entre les chefs
d’entreprise et les futurs diplômés.
Nombre de journées organisées
Nombre de participants
Mise en œuvre
CRA Centre
Calendrier
2013 et 2015
Coût
Coût par journée : 8 000 € (salle, chapiteau, décoration), soit 32 000 €
pour 4 ans
Animation chiffrée à 10 jours par an, soit 40 jours sur 4 ans (23 200 €)
Objectifs
Description
Résultats visés
Participation
Conseil régional
16 000 €
(prise en charge de 50 % du coût des 4 journées)
Participation Etat 4 000 €
(prise en charge de 50% du coût de la journée de 2013)
29