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Responsable de la formation Laure Lansari Bureau 753 [email protected] Secrétariat Sophie Rouquette [email protected] Bureau 448 01 57 27 58 50 http://www.univ-paris-diderot.fr/EtudesAnglophones/pg.php?bc=CHVF&page=Concours PROGRAMME AGREGATION INTERNE 2016-2017 Épreuves écrites et orales Littérature Écrit : tronc commun William Shakespeare. As You Like It [1599]. Michael Hattaway, ed. Cambridge: Cambridge University Press (The New Cambridge Shakespeare), 2009. Jane Austen. Sense and Sensibility [1811]. James Kinsley, ed. Oxford: Oxford University Press (Oxford World’s Classics), rev. ed. 2008 (2004) et le film de Ang Lee de 1996. Willa Cather. My Ántonia [1918]. Janet Sharistanian, ed. Oxford: Oxford University Press (Oxford World’s Classics), 2006. Civilisation Le Royaume Uni à l’épreuve de la crise, 1970-1979 Les Républicains, de Dwight D. Eisenhower à George W. Bush (1952-2008) William Shakespeare Ladan Niayesh Bureau 847 As You Like It [email protected] Il est recommandé de commencer la préparation par au moins deux lectures attentives de l’œuvre pendant l’été : une première lecture-repérage et une seconde, crayon à la main, pour noter les réseaux d’images et les effets récurrents, sur lesquels vous pourrez éventuellement commencer à préparer des fiches. L’introduction de Michael Hattaway dans l’édition Cambridge retenue pour le concours donne d’utiles portes d’entrée sur l’œuvre. N’hésitez pas à la lire attentivement. Vous trouverez aussi des compléments utiles, notamment sur les questions de l’ambivalence sexuelle et de sa mise-en-scène, dans l’introduction de Juliet Dusinberre à l’édition Arden Third Series de la pièce. Regarder une adaptation filmique de qualité, comme celle de Trevor Nunn (1996) ou celle de Kenneth Branagh (2006) peut aussi être utile pour réfléchir aux enjeux de mise-en-scène et de variété générique qui caractérisent cette pièce. Parmi les concepts récurrents et les genres avec lesquels il serait bon de vous familiariser dès l’été en consultant un dictionnaire des termes littéraires, je recommande de regarder tout particulièrement : la comédie romantique, l’amour courtois, la pastorale, cross-dressing (travestissement), la métathéâtralité. De manière générale, si vous avez besoin de vous rafraîchir les idées sur le théâtre anglais de la Renaissance, une consultation des deux premiers chapitres de l’ouvrage d’Elisabeth Angel-Pérez, Le théâtre anglais, peut s’avérer utile. Pour une rapide révision des fondamentaux de la prosodie et de la rhétorique, je vous renvoie, pendant l’été et tout au long de l’année, au classique A Handbook of Literary Terms de Françoise Grellet. Willa Cather Mathieu Dupplay Bureau 822 My Ántonia [email protected] My Ántonia (1918) marque un temps fort dans la carrière littéraire de Willa Cather (18731947), l’une des plus singulières de l’entre-deux-guerres américain. Ce récit de l’immigration, qui raconte la vie d’une communauté de pionniers établis à la fin du dix-neuvième siècle dans les grandes prairies du Nebraska, peut s’appréhender dans un premier temps comme un témoignage sur une époque déjà révolue au moment de la première publication — celle où les nouveaux arrivants en provenance d’Europe centrale, marqués par leurs propres traditions culturelles, linguistiques et religieuses, se mêlaient peu à peu aux protestants anglophones dans un Midwest encore hanté par le souvenir de la Frontière. Originaire de Bohème, Ántonia Shimerda apparaît ainsi, aux yeux du narrateur Jim Burden, comme la figure de l’Autre : parce qu’elle est catholique, pauvre, issue des classes laborieuses ; parce qu’elle parle tchèque et que tout en elle rappelle l’Ancien Monde au cœur même du Nouveau ; parce qu’elle est une femme, et que la question de la sexualité, du genre et de ses multiples déclinaisons s’avère décisive pour Jim, dont le roman raconte l’apprentissage. Cela dit, on ne peut lire My Ántonia sans être également frappé par le caractère novateur d’une narration très aventureuse sur le plan formel, qui doit beaucoup à l’exemple de Henry James sans pour autant chercher le moins du monde à l’imiter, et qui rivalise de bout en bout avec les expériences modernistes les plus audacieuses tout en parvenant à donner une impression d’absolue simplicité. Roman réaliste, voire régionaliste, My Ántonia est aussi un roman intensément artiste, l’œuvre d’une admiratrice de Cézanne et de Wagner pour qui l’écriture vaut d’abord par son pouvoir de suggestion, et les mots n’ont de prix qu’en raison de leur aptitude à faire signe vers ce qui ne peut être dit. Ainsi, Ántonia Shimerda est aussi une figure de la muse américaine ; et le chant qu’elle inspire au narrateur se caractérise par sa grande variété de ton, comme s’il avait vocation à renouer, dans cet environnement nouveau, difficile à appréhender et à décrire, avec les plus anciennes traditions de la littérature occidentale. D’une part, Ántonia est une héroïne d’épopée ; son aventure est celle d’un peuple, son destin celui d’une bâtisseuse qui contribue à l’invention d’une nation. D’autre part, Ántonia paraît issue tout droit de la pastorale virgilienne, des Bucoliques et des Géorgiques, textes voués à la célébration lyrique des travaux et des jours. Surtout, My Ántonia se lit comme une poignante élégie qui immortalise un monde à l’instant de sa disparition et qui en salue une dernière fois la splendeur : ainsi que le proclame l’épigraphe latine, « optima dies prima fugit » — le plus beau des jours est le premier à s’enfuir. On ne saurait trop recommander aux agrégatifs de lire au moins un autre roman de Willa Cather, de préférence O Pioneers ! (1915), A Lost Lady (1923), et/ou My Mortal Enemy (1930). Il leur est également conseillé de lire les essais regroupés en 1936 dans le recueil intitulé Not Under Forty. Une bibliographie détaillée sera mise à leur disposition au début du cours. Jane Austen Sense and Sensibility (1811) Sara Thornton Bureau 822 [email protected] Sense and sensibility, Jane Austen, first published in 1811 (at first anonymously) signed ‘by a Lady’ Sara Thornton This summer take your time to read Sense and Sensibility slowly and for pleasure with a pencil in your hand underling key citations. As you read you could mark on French ‘Bristol’ cards the major events of the novel as they occur with key citations and the page numbers to help you find the events and key citations later as they occur. Take time also to understand the context in which the novel was written and the fact that Sense and Sensibility is very much a story linked to the 18th century and to what has been called the 'Age of Reason' and 'the Age of Sensibility'. The debate around these terms is interesting and important: it's necessary to understand the words 'sense', 'reason', 'sensibility' and 'sentimentalism' in context in order to use them well. Here, the critical texts included in the Norton edition (which we highly recommend you should buy) – Adam Smith, Samuel Johnson, Edmund Burke, Mary Wollstonecraft, Hannah More, etc. – would be very useful. You need to keep in mind the connection between the terms 'sense' and 'sensibility' in the novel – it’s not 'vs', it's not 'or' – but a very open connection and the novel definitely does not advocate one against the other. From the start you should be careful not to simply associate 'sense' with Elinor and 'sensibility' with Marianne: all the other characters in the novel also connect to the notions, and bring nuances and ambiguities to them. Politically, some critics have accused Austen of being too much on the side of 'sense', but this can be questioned, and some critics have actually demonstrated that the dangers of sense are actually presented as much worse than the excesses of sensibility. The novel is also very much about the financial/social status of disempowered women, who are deprived of any inheritance (and the whole point of the first chapter is to show this). Therefore you should also be sensitive to all the very detailed mentions of money and property, and to the role this plays in social interaction. Social class – a very British subject which runs through all literature and comes to a peak in the nineteenth century with Dickens and later with George Gissing – is at the centre of Austen’s fictional universe and explores it in the most minute detail. The suppressed resentments and anger of those in a subaltern position at the heart of Sense and Sensibility is the potential matter of revolution – a revolution which had recently happened across the channel in France and was haunting the British who had every reason to fear it in Britain. Yet revolution did not take place in Britain either in the eighteenth or nineteenth century but simmered and bided its time and produced major political changes at home and in the Empire. Austen is sometimes considered ‘tame’ and ‘safe’ and even a dull succession of tea drinkings and dances: but between the lines we can read anger, violence, change. Stylistically Sense and Sensibility, being Austen's first published chapter, is also still quite close to her Juvenilia, texts which often parodied sentimental literature. But it is also a very mature novel in terms of style, with Austen's typical use of free indirect discourse, and "strategies of reticence", irony, etc. In terms of reading if I had to recommend some readings over the summer: one or two extracts from her Juvenilia, Pride and Prejudice, and the essays included at the end of the Norton edition (which makes it simple as they are all in one book). Try to read a biography and also a work on the historical context. More important than all this is your close reading of Sense and Sensibility and your finding of short key quotations. Make a list of key themes (which could become possible leçon or dissertation subjects) and try to choose potential extracts for commentary and imagine what you would say about them. Biography Austen-Leigh, J.E. A Memoir of Jane Austen and other Family Recollections. 1871. Ed. KathrynSutherland. Oxford : Oxford UP, 2002. Fergus, Jan. Jane Austen : A Literary Life. London : Macmillan, 1991. Kaplan, Deborah. Jane Austen among Women. Baltimore : Johns Hopkins UP, 1992. Le Faye, Deirdre. Jane Austen : A Family Record. 1989. 2nd ed. Cambridge : Cambridge UP, 2004. Tomalin, Claire. Jane Austen : A Life. Harmondsworth : Viking, 1997. Editions of Sense and Sensibility Ed. R.W. Chapman. Oxford : Oxford UP, 1923. Ed. Tony Tanner. Harmondsworth : Penguin, 1969. Ed. James Kinsley, intr. and notes Margaret Anne Doody and Claire Lamont. Oxford World’s Classics.Oxford : Oxford UP, 2008. (Edition au programme) Ed. Claudia L. Johnson. Norton Critical Edition Context Spencer, Jane. The Rise of the Woman Novelist: From Aphra Behn to Jane Austen. Oxford: Blackwell,1986. Todd, Janet, ed. Jane Austen in Context. Cambridge : Cambridge UP, 2005. Jarvis, Robin. The Romantic Period : The Intellectual and Cultural Context of English Literature 1789-1830. Harlow : Pearson Longman, 2004. Kelly, Gary. English Fiction of the Romantic Period 1789-1830. London : Longman, 1989. Auerbach, Nina. “Jane Austen and Romantic Imprisonment” in David Monaghan, ed. Jane Austen in a Social Context. London: Macmillan, 1981. 9-27. Butler, Marilyn. Jane Austen and the War of Ideas. Oxford: Clarendon Press, 1975. Other Austen The Juvenalia of Jane Austen (any edition – print or online) Pride and Prejudice (any edition) On sensibility Barker-Benfield, G.J. The Culture of Sensibility : Sex and Society in Eighteenth-Century Britain. Chicago : Chicago UP, 1992. MULLAN, John. Sentiment and Sociability. The Language of Feeling in Eighteenth Century Britain. Oxford: Clarendon Press, 1988. TODD, Janet. Sensibility, an Introduction. London and New York: Methuen, 1986. General Masséi-Chamayou, Marie-Laure. La Représentation de l’argent dans les romans de Jane Austen, Paris: L’Harmattan, 2012. Miller, D.A. Jane Austen, or the Secret of Style. Princeton: Princeton UP, 2003. Tanner, Tony. Jane Austen. 1986. Basingstoke : Palgrave Macmillan, 2007. [Contient l’introduction à son édition de S&S. ] Sense and Sensibility, film de Ang Lee (1995). Ariane Hudelet Bureau 833 [email protected] L’adaptation d’Ang Lee sort en 1995, année charnière dans l’histoire des adaptations de Jane Austen, considérée comme le début « l’Austenmania ». Il conviendra d’analyser précisément l’œuvre, avec les outils spécifiques de l’analyse de film, et de ne pas le limiter à une simple approche comparatiste (ce que le texte fait / que le film ne fait pas, et inversement). Au-delà du scénario et des dialogues, le travail de lecture du film s’attache à la mise en scène, au travail de la caméra, du montage, ainsi qu’au traitement du son. Il s’agira aussi de comprendre le film dans son propre contexte : celui des adaptations d’Austen, du heritage film anglais, mais aussi la filmographie d’Ang Lee, son réalisateur considéré comme un auteur, dont la double culture taiwanaise/occidentale est intéressante au regard des notions cruciales de sense, sensibility, ou de reticence. Il conviendra bien sûr d’analyser les processus de condensation / d’expansion liés à la forme cinématographique, l’adaptation des personnages avec notamment l’étoffement des personnages masculins, et de la petite sœur Margaret transformée en symbole d’émancipation féminine. Le rôle de l’acteur dans la construction du personnage est bien sûr prépondérant ici avec des acteurs britanniques majeurs comme Hugh Grant, associé à la comédie romantique, Emma Thompson (actrice et scénariste), liée au heritage film, Alan Rickman ou encore Hugh Laurie, que l’on apprécie rétrospectivement différemment aujourd’hui, après son rôle de Dr. House – cette incarnation du personnage nous conduira à nous intéresser à la manière dont une œuvre se réinvente, se représente au fil de ses adaptations, incarnations, médiatisations, qui est bien le propre des romans de Jane Austen, qui se prêtent à des appropriations foisonnantes. Films et lectures: Regardez d’autres adaptations de Sense and Sensibility, et d’autres films adaptés des romans de Jane Austen comme : Sense and Sensibility, directed by John Alexander. Screenplay Andrew Davies. BBC / WGBH Boston, 2008. 174 minutes. From Prada to Nada, directed by Angel Gracia. Lionsgate, 2011. 107 minutes. Jane Austen’s Emma, directed by Diarmuid Lawrence, written by Andrew Davies. 1997 UK. ITV/A&E. 107 minutes. Mansfield Park, directed and written by Patricia Rozema, 1999 US/UK. Miramax, BBC, HAL Films. 112 minutes. Pride and Prejudice, directed by Simon Langton, written by Andrew Davies. 1995 UK. BBC TV series. 300 minutes (6 episodes). Pride and Prejudice, directed by Joe Wright, written by Deborah Moggach. Working Title, 2005. 127 minutes. Regardez d’autres films réalisés par Ang Lee comme : The Wedding Banquet. Samuel Goldwyn Company, 1993. Eat Drink Man Woman. Samuel Goldwyn Company, 1994. The Ice Storm. Fox / Touchstone, 1997. Crouching Tiger, Hidden Dragon. EDKO / Sony, 2000. Brokeback Mountain. Focus Features, 2005. Si le coeur vous en dit, vous pouvez aussi lire des adaptations littéraires telle Ben H. Withers, Sense and Sensibility and Sea Monsters. Philadelphia: Quirk books, 2009. Pour se familiariser avec l’analyse de film, et l’étude de l’adaptation: BORDWELL, David and Kristin Thompson. Film Art, an Introduction. McGraw-Hill, Inc.: 1979, reed. 1993. GIDDINGS and Erica SHEEN, eds. The Classic Novel from Page to Screen. Manchester, New York: Manchester University Press, 2000. HUTCHEON, Linda. A Theory of Adaptation. London; New York: Routledge, 2006. MC FARLANE, Brian. Novel to Film: an Introduction to the Theory of Adaptation. Oxford: Clarendon Press; New York: Oxford University Press, 1996. Articles et ouvrages sur Sense and Sensibility et les adaptations de Jane Austen : BLUM, Virginia. “The Return to Repression: Filming the Nineteenth Century”, in Pucci, Suzanne R. and James Thompson, eds. Jane Austen & Co.: Remaking the Past in Contemporary Culture. Albany: State University of New York Press, 2003. 133-156. BROWNSTEIN, Rachel M. “Out of the Drawing Room, Into the Lawn”, in Troost, Linda and Sayre N. Greenfield, eds. Jane Austen in Hollywood. Lexington: University Press of Kentucky, 1998. 13–21. DILLEY, Whitney Crothers. “Opposition and resolution in Sense and Sensibility, The Cinema of Ang Lee. New York: Wallflower, 2007. 85-101. DOBIE, Madeleine. “Gender and the Heritage Film: Popular Feminism Turns to History”, in Pucci, Suzanne R. and James Thompson, eds. Jane Austen & Co.: Remaking the Past in Contemporary Culture. Albany: State University of New York Press, 2003. 247–260. GAY, Penny. “Sense and Sensibility in a Post-Feminist world: Sisterhood is Still Powerful” in MacDonald, Gina and Andrew MacDonald, eds. Jane Austen on Screen. Cambridge University Press, 2003. 90–110. KOHLER-RYAN, Renee and Sydney PALMER. “What Do You Know of My Heart?: The Role of Sense and Sensibility in Ang Lee's Sense and Sensibility and Crouching Tiger Hidden Dragon”, in Arp, Robert, Adam Barkman and James McRae. The Philosophy of Ang Lee. University Press of Kentucky, 2013. 41–63. LOOSER, Devoney. “Jane Austen ‘Responds’ to the Men’s Movement”. Persuasions On-Line 18: 150–170. 1996. http://www.jasna.org/persuasions/printed/number18/looser.htm Last consultation May 2015. NIXON, Cheryl L. “Balancing the Courtship Hero: Masculine Emotional Display in Film Adaptations of Austen’s Novels”, in Troost, Linda and Sayre N. Greenfield, eds. Jane Austen in Hollywood. Lexington: University Press of Kentucky, 1998. 22–43. NORTH, Julian. “Conservative Austen, Radical Austen: Sense and Sensibility from Text to Screen”, in Cartmell, Deborah, and Imelda Whelehan, eds. Adaptations. From Text to Screen, Screen to Text. London and New York: Routledge, 1999. 38-50. PIDDUCK, Julianne. “Of Windows and Country Walks. Frames of Space and Movement in 1990s Austen Adaptations”, in Park, You-Me and Rajeswani Sunder Rajan, eds. The Postcolonial Jane Austen. London: Routledge, 2001. 116-136. STOVEL, Nora. “From Page to Screen: Emma Thompson's Film Adaptation of Sense and Sensibility” Persuasions On-Line 32 (1). 2011. http://www.jasna.org/persuasions/on-line/vol32no1/stovel.html Last consultation May 2015. THOMPSON, Emma. Sense and Sensibility; the Diaries. London: Bloomsbury, 1995. ——. Sense and Sensibility, the Screenplay. London: Bloomsbury, 1995. of Kentucky, 1998, rpt.2001. TROOST, Linda V. “The Nineteenth-century Novel on Film: Jane Austen", in Cartmell, Deborah and Imelda Whelehan, eds. The Cambridge Companion to Literature on Screen. Cambridge University Press, 2007. 75–89. Internet The Republic of Pemberley http://pemberley.com/ The Jane Austen Society of North America http://jasna.org Le Royaume Uni à l’épreuve de la crise, 1970-1979 Maggy Hary [email protected] Bureau 834 A la lumière de l’historiographie du consensus d’après-guerre (« post-war consensus »), les années 1970 ont longtemps été présentées comme la décennie ayant marqué le basculement du « benign state », caractérisé par un fort interventionnisme d’Etat et des mesures sociales permettant une réduction des inégalités, vers le néo-libéralisme thatchérien conquérant. Les politiques keynésiennes adoptées par les gouvernements conservateur (Heath, 1970-1974) ou travaillistes (Wilson, 1974-1976 ; Callaghan, 1976-1979) se révélèrent inefficaces pour remédier aux graves difficultés économiques qui frappent le Royaume-Uni et signalent la déliquescence de son économie. Autrefois grande puissance industrielle, le Royaume-Uni est désormais perçu comme « l’homme malade de l’Europe ». La période est également marquée par l’apparition d’un militantisme syndical radical qui s’exprime lors de mouvements sociaux de grande ampleur (en 1972-1974 dans un premier temps) et aboutit à l’hiver du mécontentement (« winter of discontent ») de 1978-1979. Dénoncé par les conservateurs comme l’avènement d’une gauche autoritaire et anti-démocratique, ce vaste mouvement de grèves a souvent été interprété comme le préambule à la victoire électorale de la Nouvelle Droite en 1979. Néanmoins, dans d’autres domaines, la continuité entre les années 1970 et le contexte d’après-guerre est notable. Ainsi, malgré l’entrée du Royaume-Uni dans la Communauté Economique Européenne en 1973, les thèses eurosceptiques progressent et la question européenne continue de diviser à la fois l’opinion britannique et les partis politiques. Au plan des politiques sociales également, de nombreuses mesures prises dans les années 1970, notamment en ce qui concerne l’immigration, l’intégration des minorités et le combat contre les discriminations, s’inscrivent dans le prolongement de la période précédente. En continuité avec les années 1950 et 1960, la décennie est également marquée par la démocratisation de l’information et de la culture, notamment via la télévision, qui connaît alors son âge d’or. Les années 1970 nous invitent donc à nous interroger sur les processus de rupture et de continuité et à réfléchir à la façon dont la victoire électorale de Margaret Thatcher en 1979, unanimement perçue comme un tournant historique, influença l’historiographie de la période. Maggy Hary Les Républicains, de Dwight D. Eisenhower à Georges W. Bush (1952-2008) François de Chantal Bureau 840 [email protected] Les Républicains ont-ils réussi à mener une « révolution conservatrice » entre 1952 et 2008 ? A l’instar des Démocrates lors des années trente et soixante, le GOP (Grand Old Party) a t’il été le vecteur d’une réorientation profonde et durable de la société américaine ? Si les Républicains présentent volontiers Ronald Reagan, président de 1981 à 1989, comme un « Roosevelt conservateur », force est de constater qu’une rupture conservatrice assimilable au New Deal demeure évanescente. Le cours s’attachera à expliquer ce manque relatif en étudiant les évolutions propres au Parti républicain et la nature de la dynamique politique qui lui a permis de gouverner. Le GOP est en effet le lieu de tous les affrontements entre les multiples factions de la droite et du centre. Ainsi, les modérés dominent l’essentiel de l’appareil tout au long des années cinquante mais perdent leur prééminence à partir de la campagne présidentielle de 1964 où Barry Goldwater, sénateur de l’Arizona, lance le parti sur une voie conservatrice qu’il a suivie jusqu’à nos jours. Au sein de ce « conservatisme », les traditions sont diverses et pas toujours en harmonie. Entre les conservateurs fiscaux (fiscal conservatives) et les conservateurs moraux (moral conservatives), les relations demeurent difficiles. Cette diversité explique que le défi du Parti républicain est de se doter d’un leader qui puisse unifier toutes les tendances autour d’un projet global. Seul Reagan y est parvenu durant les années quatre-vingt. Depuis lors, les Républicains sont à la recherche d’un leadership que G.W. Bush, par exemple, n’a jamais réussi à assurer. Le problème se complique encore un peu lorsque l’on prend en compte la dimension institutionnelle. En effet, les équilibres partisans ne sont pas les mêmes entre les Républicains au Congrès, de plus en plus polarisés, et ceux liés à la Présidence, plus modérés ; au niveau des Etats, le tableau est plus complexe car c’est là que de nombreux centristes ont trouvé refuge. La dynamique politique qui a permis au Parti républicain de progressivement dominer la scène politique apparaît dans les années soixante. Si Dwight Eisenhower inscrivait son action dans le prolongement du New Deal, ses successeurs voulurent au contraire s’en éloigner. Le mouvement des Droits Civiques fut le catalyseur de cette volonté de rupture. De Goldwater (1964) à Nixon (1968), les Républicains défendirent un conservatisme dépourvu de tout compromis et qui exprimerait la volonté de la « majorité silencieuse » (silent majority), celle qui n’est « ni noire, ni jeune, ni pauvre » (unblack, unyoung, unpoor – Ben Wattenberg, 1970). C’est sous une forme contestataire (insurgent) que se construisit le renouveau conservateur du Parti républicain à partir des années soixante. La dénonciation de l’héritage du New Deal et de la Great Society rythme les étapes de la montée en puissance des Républicains, notamment avec Nixon (1968, 1972), Reagan (1980, 1984) et Newt Gingrich (1994-1999). Force de dénonciation, le Parti républicain eut plus de difficultés à devenir force de proposition et à gouverner. Si le bilan est loin d’être négligeable, il reste sans doute en-deçà des espérances de bien des Républicains. Avec l’arrivée au pouvoir de George W. Bush en 2001, le conservatisme changea de nature pour représenter un Establishment, ce qui explique qu’un nombre croissant de Républicains se mirent à rejeter G.W. Bush. La montée & la visibilité des républicains conservateurs ne doit donc pas dissimuler les profondes tensions à l’œuvre au sein du parti. Pour préparer ce sujet, qui pose des questions fondamentales sur les évolutions électorales, idéologiques et institutionnelles du pays pendant plus de cinquante ans, je vous conseille d’abord des lectures d’histoire politique générale pour avoir des repères qui vous permettront de faire face au foisonnement de faits, de dates et de noms que vous allez rencontrer. A lire dans l’été : Lewis L. Gould, The Republicans : A History of the Grand Old Party (2nd éd. 2014). Sean Wilentz, The Age of Reagan : A History, 1974-2008 (2008) Explication de choix de traduction Laure Lansari Bureau 753 [email protected] Présentation de l’épreuve Une épreuve triple L’épreuve écrite d’explication de choix de traduction constitue une sous-partie de la seconde épreuve écrite d’admissibilité : « Traduction : thème et version assortis de l'explication en français de choix de traduction portant sur des segments préalablement identifiés par le jury dans l'un ou l'autre des textes ou dans les deux textes (durée : cinq heures ; coefficient 1) ». L’explication de choix de traduction a vu ses modalités évoluer depuis la session 2014 : « A compter de la session 2014, l’explication en français de choix de traduction portera sur deux segments préalablement identifiés dans l’un ou l’autre des textes, ou dans les deux textes. » (Rapport du jury 2013, p. 56). Dans les faits, l’épreuve s’est déroulée de la façon suivante depuis 2014 : un segment souligné dans le texte de thème, un segment souligné dans le texte de version. Il s’agit donc d’une épreuve triple : Version / Thème / Explication de choix de traduction, avec deux segments. Chaque sous-épreuve compte pour un tiers de la note finale : il ne faut donc pas négliger l’explication de choix de traduction, malgré les difficultés et réticences initiales que l’on peut éprouver face à une épreuve qui n’a jamais été abordée dans un parcours classique d’angliciste. En termes de temps, il est conseillé de passer une heure et demie pour chacune de ces sous-épreuves, et de consacrer la demi-heure restante à une relecture de l’ensemble. Ces difficultés et réticences initiales sont largement liées au caractère interdisciplinaire de cette explication de choix de traduction, qui mobilise divers types de compétences : - Compétences linguistiques, nécessaires au bon étiquetage grammatical (catégorie et fonction) des problèmes de traduction posés par les segments - Compétences littéraires, et plus spécifiquement narratologiques et stylistiques, nécessaires à l’identification des différentes voix narratives et points de vue ainsi qu’à la reconnaissance d’images (métaphores, personnifications, chiasmes, etc.) Quel que soit le texte dont sont tirés les segments, l’explication est à rédiger dans un français soigné, sous la forme d’une démonstration. Il s’agit d’abord de contextualiser le segment souligné dans le texte : les segments ne sont pas choisis par hasard et il faut s’efforcer de mettre en lumière le rôle du segment dans l’économie globale du texte. Il faut ensuite identifier clairement les problèmes de traduction posés, sur les plans linguistique, narratologique et stylistique. La suite de l’explication doit être construite et organisée autour des différents problèmes soulevés. L’explication s’apparente ainsi à une véritable démonstration : il s’agit de justifier la traduction finalement retenue, entre choix et contraintes, en comparant plusieurs traductions envisageables. Cette sous-épreuve n’est donc pas une épreuve théorique hors contexte : il n’est pas demandé de développer des connaissances générales sur les divergences entre anglais et français, mais bien de « résoudre » un problème de traduction en lien avec un texte précis. Ainsi, les compétences linguistiques et littéraires doivent être mobilisées à bon escient et mises au service d’une réflexion sur la traduction d’un texte particulier. Déroulement des cours Dans l’esprit de l’épreuve, la préparation proposée n’est pas un cours théorique de linguistique ou de littérature. L’accent est mis sur la pratique et la méthodologie à acquérir, clé de la réussite à cette épreuve. La préparation se fait en lien étroit avec les collègues qui assurent la préparation au thème et à la version : à chaque séance, plusieurs segments tirés des textes proposés par ces collègues sont analysés, et un corrigé-type est proposé. Des rappels théoriques sont bien sûr eux aussi fournis, mais toujours en relation avec les segments à l’étude et en fonction des besoins des candidats. D’une semaine à l’autre, des devoirs à la maison sont proposés et peuvent être rendus pour correction individuelle. S’ajoute à ces travaux réguliers un concours blanc en novembre. Conseils de préparation Afin que la majeure partie du cours puisse être consacrée à l’étude de segments en contexte, le travail prioritaire à entreprendre est un travail de révisions en linguistique (notamment en syntaxe, domaine où les lacunes sont souvent les plus importantes – voir les ouvrages en gras dans la bibliographie). Il est impératif de maîtriser les différentes catégories et fonctions grammaticales, ainsi que les structures syntaxiques les plus courantes (subordonnées adverbiales, relatives, complétives, etc.) Dans un second temps, il sera pertinent de se familiariser avec les enjeux de la traduction et de la comparaison anglais-français. Bibliographie indicative Chuquet, H. & Paillard, M. (1987). Approche linguistique des problèmes de traduction anglais ← → français. Paris : Ophrys. Gardelle, L., Lacassain-Lagoin, C. (2013). Analyse linguistique de l’anglais. Méthodologie et pratique. Rennes : PUR. Goater, T., Lemonnier-Texier, D. et Oriez, S. (2011) L'épreuve de traduction, Collection Didact’Anglais, Presses Universitaires de Rennes. Oriez, S. (2009) Syntaxe de la phrase anglaise, Collection Didact’Anglais, Presses Universitaires de Rennes. Paillard, M. (2000). Lexicologie contrastive anglais – français. Formation des mots et construction du sens. Gap : Ophrys. Et bien sûr le rapport du jury 2015 (disponible sur internet), en attendant le rapport du jury 2016, qui est en général diffusé courant septembre. PRÉPARER UN ORAL (TIMING, NOTES, ENTRETIEN) Les épreuves d'oral (ou certaines parties de l'épreuve académique : commentaire critique et compréhension-restitution) sont suivies d'un entretien avec le jury, dont l'importance ne doit pas être négligée par le candidat. L'entretien est un moment important de l'épreuve. Il doit permettre au candidat de préciser certains points de son exposé, de considérer des aspects du texte où du sujet qui n'ont pas été abordés dans l'exposé, de corriger d'éventuelles erreurs de lecture ou d'interprétation, et à partir de là, de corriger le cours de son exposé ou d'élargir son propos. Le jury attend de l'entretien qu'il aide le candidat à éclaircir, corriger et enrichir son propos. Un entretien abordé avec ouverture, concentration, et dans un esprit de communication, offre au candidat la possibilité d'améliorer sa performance durant l'exposé. En revanche, un candidat qui tend à camper sur ses positions, qui répète son propos sans chercher à comprendre les questions du jury, où qui au contraire modifie sans discernement son propos par souci de plaire au jury, risque de se pénaliser pour la notation finale. Les questions du jury sont en général de trois types : - questions de clarification ou de correction portant sur le détail du/des documents commentés - questions de reprise portant sur des parties de l'exposé - questions de reprise et d'amplification portant sur l'exposé en général Un bon entretien permet au jury de passer d'un type de question à l'autre et au candidat de corriger ou d'enrichir l'ensemble de sa performance. Un entretien plus laborieux, s'il met à jour des problèmes de compréhension des documents ou confirme les erreurs commises par le candidat, en restera à un ou deux types de questionnement. Attention cependant : les questions posées par le jury ne précisent pas la nature de la question et ne vous orientera pas vers la correction ou la précision. Le jury se doit de rester neutre, de ne pas influer sur l'interprétation du candidat. Il vous demandera d'expliquer votre propos, de reprendre un argument développé, il pourra éventuellement mettre en lumière des incohérences ou des contradictions dans votre exposé. C'est au candidat de considérer, en prenant le temps de la réflexion, si son propos semble corroboré par le document sur lequel il a travaillé, si son propos repris par le jury semble clair. La question posée indique simplement qu'il y a quelque chose à reprendre, sans en préciser la nature. Les qualités d'un bon entretien : Présentation : - une langue bien tenue, dans la continuité de l'exposé. La qualité de la langue doit faire l'objet de toutes les attentions : pas de chute de registre, syntaxe claire et correcte, vocabulaire riche et varié ... - un débit clair, continu, une voix posée, audible - une volonté de communication : regarder le jury, prendre le temps d'écouter les questions, de réfléchir, chercher à convaincre sans agressivité Contenu : - écouter les questions, qui ne sont pas faites pour vous piéger mais pour vous permettre de reprendre, corriger, préciser, votre propos. Ne pas camper sur ses positions, ne pas arguer que vous avez déjà traité le point sur lequel on vous interroge, ne pas mettre en cause les capacités d'écoute et de compréhension du jury. Si on vous demande des précisions, c'est en général qu'elles sont nécessaires. Ne pas non plus vous contredire à tout bout de champ, modifier et reprendre tout ce que vous avez dit, sous prétexte qu'on attire votre attention sur tel ou tel point, ce qui indique un manque d'assurance dans votre interprétation. Prendre le temps de réfléchir aux questions, afin de jauger le type de clarification nécessaire qui vous est demandé. savoir dépasser l'erreur: s'être trompé sur un point de détail ou sur une portion du/des document(s) proposés est ennuyeux, mais ne doit pas paralyser le candidat qui prend conscience de son erreur. L'entretien doit lui permettre de faire les corrections nécessaires, à condition de prendre le temps nécessaire pour modifier votre lecture et reprendre certains points de votre présentation initiale. Il faut alors développer votre propos, ne pas s'en tenir à une réponse sèche. En tout état de cause, l'entretien se prépare durant l'année. Il faut absolument participer aux simulations d'épreuves et organiser des séances de travail entre candidats afin de se former à l'entretien, dont l'influence sur la note finale est loin d'être négligeable. Il s'agit d'un moment crucial, souvent appréhendé par les candidats fatigués par la longueur et le stress de la préparation. Sans une bonne habitude de l'exercice, il peut s'avérer pénalisant. Le stress, la fatigue, l'appréhension, seront d'autant mieux surmontés par un candidat qu'il en aura pris l'habitude durant l'année. Début des cours : mardi 06 septembre 2016 Emploi du temps agrégation interne 2016-17 Groupe 1 (thème et version) 13 septembre 20 septembre 27 septembre 4 octobre 11 octobre 18 octobre 8 novembre 15 novembre 22 novembre 29 novembre 6 décembre 13 décembre 3 janvier 2017 13h30-15h Thème écrit (Walsh) Thème écrit (Walsh) Version écrite (Cros) Thème écrit (Walsh) Thème écrit (Walsh) Version écrite (Cros) Thème écrit (Walsh) Thème écrit (Walsh) Version écrite (Cros) Thème écrit (Walsh) Thème écrit (Walsh) Version écrite (Cros) Thème écrit (Walsh) 15h-16h30 Version écrite (Cros) Version écrite (Cros) Version écrite (Cros) Version écrite (Cros) Version écrite (Cros) Groupe 2 (thème et version) 13 septembre 20 septembre 27 septembre 4 octobre 11 octobre 18 octobre 8 novembre 15 novembre 22 novembre 29 novembre 6 décembre 13 décembre 3 janvier 2017 13h30-15h Version écrite (Cros) Version écrite (Cros) Thème écrit (Meskill) Version écrite (Cros) Version écrite (Cros) Thème écrit (Meskill) Version écrite (Cros) Version écrite (Cros) Thème écrit (Meskill) Version écrite (Cros) Version écrite (Cros) Thème écrit (Meskill) Version écrite (Cros) 15h-16h30 Thème écrit (Meskill) Thème écrit (Meskill) Thème écrit (Meskill) Thème écrit (Meskill) Thème écrit (Meskill) Mardi après-midi 6 septembre amphi de 16h30 à 19h30 16h30-18h : civilisation (de Chantal) 18h-19h30 : littérature (Duplay) 13 septembre amphi de 16h30 à 19h30 16h30-18h : civilisation (Hary) 18h-19h30 : littérature (Niayesh) 20 septembre amphi de 15h00 à 19h30 15h-16h30 : commentaire de traduction (Lansari) 16h30-18h : littérature (Thornton) 18h-19h30 : littérature (Duplay) 27 septembre amphi de 15h00 à 19h30 15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari) 16h30-18h : civilisation (de Chantal) 18h-19h30 : civilisation (Hary) 4 octobre amphi de 16h30 à 19h30 16h30-18h : littérature (Niayesh) 18h-19h30 : littérature (Duplay) 11 octobre amphi de 15h00 à 19h30 15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari) 16h30-18h : civilisation (Hary) 18h-19h30 : littérature (Thornton) 18 octobre amphi de 15h00 à 19h30 15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari) 16h30-18h : littérature (Niayesh) 18h-19h30 : littérature (Duplay) 8 novembre amphi de 16h30 à 19h30 16h30-18h : civilisation (de Chantal) 18h-19h30 : littérature (Thornton) 15 novembre amphi de 15h00 à 19h30 15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari) 16h30-18h : civilisation (Hary) 18h-19h30 : littérature (Niayesh) 22 novembre amphi de 15h00 à 19h30 15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari) 16h30-18h : civilisation (de Chantal) 18h-19h30 : littérature (Thornton) 29 novembre amphi de 16h30 à 19h30 16h30-18h : civilisation (de Chantal) 18h-19h30 : civilisation (Hary) 6 décembre amphi de 15h00 à 19h30 15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari) 16h30-18h : civilisation (Hary) 18h-19h30 : littérature (Niayesh) 13 décembre amphi de 15h00 à 19h30 15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari) 16h30-18h : littérature (Niayesh) 18h-19h30 : littérature (Duplay) 3 janvier 2017 amphi de 16h30 à 19h30 16h30-18h : civilisation (de Chantal) 18h-19h30 : littérature (Thornton) 10 janvier amphi de 15h00 à 19h30 15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari) 16h30-18h : littérature (Duplay) 18h-19h30 : littérature (Thornton) Le vendredi après-midi de 14h30 à 17h30 Didactique Le 16 septembre Le 23 septembre Le 30 septembre Le 7 octobre Le 14 octobre Le 21 octobre Le 4 novembre Le 18 novembre Le 25 novembre Le 2 décembre Le 9 décembre Le 16 décembre Plan de l’université (ci-dessous)