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Responsable de la formation
Laure Lansari
Bureau 753
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Secrétariat
Sophie Rouquette
[email protected]
Bureau 448
01 57 27 58 50
http://www.univ-paris-diderot.fr/EtudesAnglophones/pg.php?bc=CHVF&page=Concours
PROGRAMME AGREGATION INTERNE 2016-2017
Épreuves écrites et orales
Littérature
Écrit : tronc commun
William Shakespeare.
As You Like It [1599]. Michael Hattaway, ed. Cambridge: Cambridge University
Press (The New Cambridge Shakespeare), 2009.
Jane Austen.
Sense and Sensibility [1811]. James Kinsley, ed. Oxford: Oxford University Press
(Oxford World’s Classics), rev. ed. 2008 (2004) et le film de Ang Lee de 1996.
Willa Cather.
My Ántonia [1918]. Janet Sharistanian, ed. Oxford: Oxford University Press
(Oxford World’s Classics), 2006.
Civilisation
Le Royaume Uni à l’épreuve de la crise, 1970-1979
Les Républicains, de Dwight D. Eisenhower à George W. Bush (1952-2008)
William Shakespeare
Ladan Niayesh
Bureau 847
As You Like It
[email protected]
Il est recommandé de commencer la préparation par au moins deux lectures attentives de
l’œuvre pendant l’été : une première lecture-repérage et une seconde, crayon à la main,
pour noter les réseaux d’images et les effets récurrents, sur lesquels vous pourrez
éventuellement commencer à préparer des fiches.
L’introduction de Michael Hattaway dans l’édition Cambridge retenue pour le
concours donne d’utiles portes d’entrée sur l’œuvre. N’hésitez pas à la lire attentivement.
Vous trouverez aussi des compléments utiles, notamment sur les questions de l’ambivalence
sexuelle et de sa mise-en-scène, dans l’introduction de Juliet Dusinberre à l’édition Arden
Third Series de la pièce. Regarder une adaptation filmique de qualité, comme celle de Trevor
Nunn (1996) ou celle de Kenneth Branagh (2006) peut aussi être utile pour réfléchir aux
enjeux de mise-en-scène et de variété générique qui caractérisent cette pièce.
Parmi les concepts récurrents et les genres avec lesquels il serait bon de vous
familiariser dès l’été en consultant un dictionnaire des termes littéraires, je recommande de
regarder tout particulièrement : la comédie romantique, l’amour courtois, la pastorale,
cross-dressing (travestissement), la métathéâtralité.
De manière générale, si vous avez besoin de vous rafraîchir les idées sur le théâtre
anglais de la Renaissance, une consultation des deux premiers chapitres de l’ouvrage
d’Elisabeth Angel-Pérez, Le théâtre anglais, peut s’avérer utile. Pour une rapide révision des
fondamentaux de la prosodie et de la rhétorique, je vous renvoie, pendant l’été et tout au
long de l’année, au classique A Handbook of Literary Terms de Françoise Grellet.
Willa Cather
Mathieu Dupplay
Bureau 822
My Ántonia
[email protected]
My Ántonia (1918) marque un temps fort dans la carrière littéraire de Willa Cather (18731947), l’une des plus singulières de l’entre-deux-guerres américain. Ce récit de l’immigration,
qui raconte la vie d’une communauté de pionniers établis à la fin du dix-neuvième siècle dans
les grandes prairies du Nebraska, peut s’appréhender dans un premier temps comme un
témoignage sur une époque déjà révolue au moment de la première publication — celle où les
nouveaux arrivants en provenance d’Europe centrale, marqués par leurs propres traditions
culturelles, linguistiques et religieuses, se mêlaient peu à peu aux protestants anglophones
dans un Midwest encore hanté par le souvenir de la Frontière. Originaire de Bohème, Ántonia
Shimerda apparaît ainsi, aux yeux du narrateur Jim Burden, comme la figure de l’Autre :
parce qu’elle est catholique, pauvre, issue des classes laborieuses ; parce qu’elle parle tchèque
et que tout en elle rappelle l’Ancien Monde au cœur même du Nouveau ; parce qu’elle est une
femme, et que la question de la sexualité, du genre et de ses multiples déclinaisons s’avère
décisive pour Jim, dont le roman raconte l’apprentissage. Cela dit, on ne peut lire My Ántonia
sans être également frappé par le caractère novateur d’une narration très aventureuse sur le
plan formel, qui doit beaucoup à l’exemple de Henry James sans pour autant chercher le
moins du monde à l’imiter, et qui rivalise de bout en bout avec les expériences modernistes
les plus audacieuses tout en parvenant à donner une impression d’absolue simplicité. Roman
réaliste, voire régionaliste, My Ántonia est aussi un roman intensément artiste, l’œuvre d’une
admiratrice de Cézanne et de Wagner pour qui l’écriture vaut d’abord par son pouvoir de
suggestion, et les mots n’ont de prix qu’en raison de leur aptitude à faire signe vers ce qui ne
peut être dit. Ainsi, Ántonia Shimerda est aussi une figure de la muse américaine ; et le chant
qu’elle inspire au narrateur se caractérise par sa grande variété de ton, comme s’il avait
vocation à renouer, dans cet environnement nouveau, difficile à appréhender et à décrire, avec
les plus anciennes traditions de la littérature occidentale. D’une part, Ántonia est une héroïne
d’épopée ; son aventure est celle d’un peuple, son destin celui d’une bâtisseuse qui contribue
à l’invention d’une nation. D’autre part, Ántonia paraît issue tout droit de la pastorale
virgilienne, des Bucoliques et des Géorgiques, textes voués à la célébration lyrique des
travaux et des jours. Surtout, My Ántonia se lit comme une poignante élégie qui immortalise
un monde à l’instant de sa disparition et qui en salue une dernière fois la splendeur : ainsi que
le proclame l’épigraphe latine, « optima dies prima fugit » — le plus beau des jours est le
premier à s’enfuir.
On ne saurait trop recommander aux agrégatifs de lire au moins un autre roman de
Willa Cather, de préférence O Pioneers ! (1915), A Lost Lady (1923), et/ou My Mortal Enemy
(1930). Il leur est également conseillé de lire les essais regroupés en 1936 dans le recueil
intitulé Not Under Forty. Une bibliographie détaillée sera mise à leur disposition au début du
cours.
Jane Austen Sense and Sensibility (1811)
Sara Thornton
Bureau 822
[email protected]
Sense and sensibility, Jane Austen, first published in 1811
(at first anonymously) signed ‘by a Lady’
Sara Thornton
This summer take your time to read Sense and Sensibility slowly and for pleasure with a
pencil in your hand underling key citations. As you read you could mark on French ‘Bristol’
cards the major events of the novel as they occur with key citations and the page numbers
to help you find the events and key citations later as they occur.
Take time also to understand the context in which the novel was written and the fact
that Sense and Sensibility is very much a story linked to the 18th century and to what has
been called the 'Age of Reason' and 'the Age of Sensibility'. The debate around these terms is
interesting and important: it's necessary to understand the words 'sense', 'reason',
'sensibility' and 'sentimentalism' in context in order to use them well. Here, the critical texts
included in the Norton edition (which we highly recommend you should buy) – Adam Smith,
Samuel Johnson, Edmund Burke, Mary Wollstonecraft, Hannah More, etc. – would be very
useful. You need to keep in mind the connection between the terms 'sense' and 'sensibility'
in the novel – it’s not 'vs', it's not 'or' – but a very open connection and the novel definitely
does not advocate one against the other. From the start you should be careful not to simply
associate 'sense' with Elinor and 'sensibility' with Marianne: all the other characters in the
novel also connect to the notions, and bring nuances and ambiguities to them. Politically,
some critics have accused Austen of being too much on the side of 'sense', but this can be
questioned, and some critics have actually demonstrated that the dangers of sense are
actually presented as much worse than the excesses of sensibility.
The novel is also very much about the financial/social status of disempowered
women, who are deprived of any inheritance (and the whole point of the first chapter is to
show this). Therefore you should also be sensitive to all the very detailed mentions of money
and property, and to the role this plays in social interaction. Social class – a very British
subject which runs through all literature and comes to a peak in the nineteenth century with
Dickens and later with George Gissing – is at the centre of Austen’s fictional universe and
explores it in the most minute detail. The suppressed resentments and anger of those in a
subaltern position at the heart of Sense and Sensibility is the potential matter of revolution –
a revolution which had recently happened across the channel in France and was haunting
the British who had every reason to fear it in Britain. Yet revolution did not take place in
Britain either in the eighteenth or nineteenth century but simmered and bided its time and
produced major political changes at home and in the Empire. Austen is sometimes
considered ‘tame’ and ‘safe’ and even a dull succession of tea drinkings and dances: but
between
the
lines
we
can
read
anger,
violence,
change.
Stylistically Sense and Sensibility, being Austen's first published chapter, is also still quite
close to her Juvenilia, texts which often parodied sentimental literature. But it is also a very
mature novel in terms of style, with Austen's typical use of free indirect discourse, and
"strategies of reticence", irony, etc.
In terms of reading if I had to recommend some readings over the summer: one or
two extracts from her Juvenilia, Pride and Prejudice, and the essays included at the end of
the Norton edition (which makes it simple as they are all in one book). Try to read a
biography and also a work on the historical context. More important than all this is your
close reading of Sense and Sensibility and your finding of short key quotations. Make a list of
key themes (which could become possible leçon or dissertation subjects) and try to choose
potential extracts for commentary and imagine what you would say about them.
Biography
Austen-Leigh, J.E. A Memoir of Jane Austen and other Family Recollections. 1871. Ed.
KathrynSutherland. Oxford : Oxford UP, 2002.
Fergus, Jan. Jane Austen : A Literary Life. London : Macmillan, 1991.
Kaplan, Deborah. Jane Austen among Women. Baltimore : Johns Hopkins UP, 1992.
Le Faye, Deirdre. Jane Austen : A Family Record. 1989. 2nd ed. Cambridge : Cambridge UP,
2004.
Tomalin, Claire. Jane Austen : A Life. Harmondsworth : Viking, 1997.
Editions of Sense and Sensibility
Ed. R.W. Chapman. Oxford : Oxford UP, 1923.
Ed. Tony Tanner. Harmondsworth : Penguin, 1969.
Ed. James Kinsley, intr. and notes Margaret Anne Doody and Claire Lamont. Oxford
World’s Classics.Oxford : Oxford UP, 2008. (Edition au programme)
Ed. Claudia L. Johnson. Norton Critical Edition
Context
Spencer, Jane. The Rise of the Woman Novelist: From Aphra Behn to Jane Austen. Oxford:
Blackwell,1986.
Todd, Janet, ed. Jane Austen in Context. Cambridge : Cambridge UP, 2005.
Jarvis, Robin. The Romantic Period : The Intellectual and Cultural Context of English Literature
1789-1830. Harlow : Pearson Longman, 2004.
Kelly, Gary. English Fiction of the Romantic Period 1789-1830. London : Longman, 1989.
Auerbach, Nina. “Jane Austen and Romantic Imprisonment” in David Monaghan, ed. Jane
Austen in a Social Context. London: Macmillan, 1981. 9-27.
Butler, Marilyn. Jane Austen and the War of Ideas. Oxford: Clarendon Press, 1975.
Other Austen
The Juvenalia of Jane Austen (any edition – print or online)
Pride and Prejudice (any edition)
On sensibility
Barker-Benfield, G.J. The Culture of Sensibility : Sex and Society in Eighteenth-Century Britain.
Chicago : Chicago UP, 1992.
MULLAN, John. Sentiment and Sociability. The Language of Feeling in Eighteenth Century
Britain. Oxford: Clarendon Press, 1988.
TODD, Janet. Sensibility, an Introduction. London and New York: Methuen, 1986.
General
Masséi-Chamayou, Marie-Laure. La Représentation de l’argent dans les romans de Jane
Austen, Paris: L’Harmattan, 2012.
Miller, D.A. Jane Austen, or the Secret of Style. Princeton: Princeton UP, 2003.
Tanner, Tony. Jane Austen. 1986. Basingstoke : Palgrave Macmillan, 2007. [Contient
l’introduction à son édition de S&S. ]
Sense and Sensibility, film de Ang Lee (1995).
Ariane Hudelet
Bureau 833
[email protected]
L’adaptation d’Ang Lee sort en 1995, année charnière dans l’histoire des adaptations de
Jane Austen, considérée comme le début « l’Austenmania ». Il conviendra d’analyser
précisément l’œuvre, avec les outils spécifiques de l’analyse de film, et de ne pas le limiter à
une simple approche comparatiste (ce que le texte fait / que le film ne fait pas, et
inversement). Au-delà du scénario et des dialogues, le travail de lecture du film s’attache à la
mise en scène, au travail de la caméra, du montage, ainsi qu’au traitement du son.
Il s’agira aussi de comprendre le film dans son propre contexte : celui des adaptations
d’Austen, du heritage film anglais, mais aussi la filmographie d’Ang Lee, son réalisateur
considéré comme un auteur, dont la double culture taiwanaise/occidentale est intéressante
au regard des notions cruciales de sense, sensibility, ou de reticence.
Il conviendra bien sûr d’analyser les processus de condensation / d’expansion liés à la
forme cinématographique, l’adaptation des personnages avec notamment l’étoffement des
personnages masculins, et de la petite sœur Margaret transformée en symbole
d’émancipation féminine. Le rôle de l’acteur dans la construction du personnage est bien sûr
prépondérant ici avec des acteurs britanniques majeurs comme Hugh Grant, associé à la
comédie romantique, Emma Thompson (actrice et scénariste), liée au heritage film, Alan
Rickman ou encore Hugh Laurie, que l’on apprécie rétrospectivement différemment
aujourd’hui, après son rôle de Dr. House – cette incarnation du personnage nous conduira à
nous intéresser à la manière dont une œuvre se réinvente, se représente au fil de ses
adaptations, incarnations, médiatisations, qui est bien le propre des romans de Jane Austen,
qui se prêtent à des appropriations foisonnantes.
Films et lectures:
Regardez d’autres adaptations de Sense and Sensibility, et d’autres films adaptés des romans
de Jane Austen comme :
Sense and Sensibility, directed by John Alexander. Screenplay Andrew Davies. BBC / WGBH
Boston, 2008. 174 minutes.
From Prada to Nada, directed by Angel Gracia. Lionsgate, 2011. 107 minutes.
Jane Austen’s Emma, directed by Diarmuid Lawrence, written by Andrew Davies. 1997 UK.
ITV/A&E. 107 minutes.
Mansfield Park, directed and written by Patricia Rozema, 1999 US/UK. Miramax, BBC, HAL
Films. 112 minutes.
Pride and Prejudice, directed by Simon Langton, written by Andrew Davies. 1995 UK. BBC TV
series. 300 minutes (6 episodes).
Pride and Prejudice, directed by Joe Wright, written by Deborah Moggach. Working Title,
2005. 127 minutes.
Regardez d’autres films réalisés par Ang Lee comme :
The Wedding Banquet. Samuel Goldwyn Company, 1993.
Eat Drink Man Woman. Samuel Goldwyn Company, 1994.
The Ice Storm. Fox / Touchstone, 1997.
Crouching Tiger, Hidden Dragon. EDKO / Sony, 2000.
Brokeback Mountain. Focus Features, 2005.
Si le coeur vous en dit, vous pouvez aussi lire des adaptations littéraires telle
Ben H. Withers, Sense and Sensibility and Sea Monsters. Philadelphia: Quirk books, 2009.
Pour se familiariser avec l’analyse de film, et l’étude de l’adaptation:
BORDWELL, David and Kristin Thompson. Film Art, an Introduction. McGraw-Hill, Inc.: 1979,
reed. 1993.
GIDDINGS and Erica SHEEN, eds. The Classic Novel from Page to Screen. Manchester, New
York: Manchester University Press, 2000.
HUTCHEON, Linda. A Theory of Adaptation. London; New York: Routledge, 2006.
MC FARLANE, Brian. Novel to Film: an Introduction to the Theory of Adaptation. Oxford:
Clarendon Press; New York: Oxford University Press, 1996.
Articles et ouvrages sur Sense and Sensibility et les adaptations de Jane Austen :
BLUM, Virginia. “The Return to Repression: Filming the Nineteenth Century”, in Pucci,
Suzanne R. and James Thompson, eds. Jane Austen & Co.: Remaking the Past in
Contemporary Culture. Albany: State University of New York Press, 2003. 133-156.
BROWNSTEIN, Rachel M. “Out of the Drawing Room, Into the Lawn”, in Troost, Linda and
Sayre N. Greenfield, eds. Jane Austen in Hollywood. Lexington: University Press of Kentucky,
1998. 13–21.
DILLEY, Whitney Crothers. “Opposition and resolution in Sense and Sensibility, The Cinema
of Ang Lee. New York: Wallflower, 2007. 85-101.
DOBIE, Madeleine. “Gender and the Heritage Film: Popular Feminism Turns to History”, in
Pucci, Suzanne R. and James Thompson, eds. Jane Austen & Co.: Remaking the Past in
Contemporary Culture. Albany: State University of New York Press, 2003. 247–260.
GAY, Penny. “Sense and Sensibility in a Post-Feminist world: Sisterhood is Still Powerful” in
MacDonald, Gina and Andrew MacDonald, eds. Jane Austen on Screen. Cambridge University
Press, 2003. 90–110.
KOHLER-RYAN, Renee and Sydney PALMER. “What Do You Know of My Heart?: The Role of
Sense and Sensibility in Ang Lee's Sense and Sensibility and Crouching Tiger Hidden Dragon”,
in Arp, Robert, Adam Barkman and James McRae. The Philosophy of Ang Lee. University
Press of Kentucky, 2013. 41–63.
LOOSER, Devoney. “Jane Austen ‘Responds’ to the Men’s Movement”. Persuasions On-Line
18: 150–170. 1996.
http://www.jasna.org/persuasions/printed/number18/looser.htm Last consultation May
2015.
NIXON, Cheryl L. “Balancing the Courtship Hero: Masculine Emotional Display in Film
Adaptations of Austen’s Novels”, in Troost, Linda and Sayre N. Greenfield, eds. Jane Austen
in Hollywood. Lexington: University Press of Kentucky, 1998. 22–43.
NORTH, Julian. “Conservative Austen, Radical Austen: Sense and Sensibility from Text to
Screen”, in Cartmell, Deborah, and Imelda Whelehan, eds. Adaptations. From Text to Screen,
Screen to Text. London and New York: Routledge, 1999. 38-50.
PIDDUCK, Julianne. “Of Windows and Country Walks. Frames of Space and Movement in
1990s Austen Adaptations”, in Park, You-Me and Rajeswani Sunder Rajan, eds. The
Postcolonial Jane Austen. London: Routledge, 2001. 116-136.
STOVEL, Nora. “From Page to Screen: Emma Thompson's Film Adaptation of Sense and
Sensibility” Persuasions On-Line 32 (1). 2011.
http://www.jasna.org/persuasions/on-line/vol32no1/stovel.html Last consultation May
2015.
THOMPSON, Emma. Sense and Sensibility; the Diaries. London: Bloomsbury, 1995.
——. Sense and Sensibility, the Screenplay. London: Bloomsbury, 1995.
of Kentucky, 1998, rpt.2001.
TROOST, Linda V. “The Nineteenth-century Novel on Film: Jane Austen", in Cartmell,
Deborah and Imelda Whelehan, eds. The Cambridge Companion to Literature on Screen.
Cambridge University Press, 2007. 75–89.
Internet
The Republic of Pemberley http://pemberley.com/
The Jane Austen Society of North America http://jasna.org
Le Royaume Uni à l’épreuve de la crise, 1970-1979
Maggy Hary
[email protected]
Bureau 834
A la lumière de l’historiographie du consensus d’après-guerre (« post-war consensus »), les
années 1970 ont longtemps été présentées comme la décennie ayant marqué le
basculement du « benign state », caractérisé par un fort interventionnisme d’Etat et des
mesures sociales permettant une réduction des inégalités, vers le néo-libéralisme
thatchérien conquérant.
Les politiques keynésiennes adoptées par les gouvernements conservateur (Heath,
1970-1974) ou travaillistes (Wilson, 1974-1976 ; Callaghan, 1976-1979) se révélèrent
inefficaces pour remédier aux graves difficultés économiques qui frappent le Royaume-Uni
et signalent la déliquescence de son économie. Autrefois grande puissance industrielle, le
Royaume-Uni est désormais perçu comme « l’homme malade de l’Europe ». La période est
également marquée par l’apparition d’un militantisme syndical radical qui s’exprime lors de
mouvements sociaux de grande ampleur (en 1972-1974 dans un premier temps) et aboutit à
l’hiver du mécontentement (« winter of discontent ») de 1978-1979. Dénoncé par les
conservateurs comme l’avènement d’une gauche autoritaire et anti-démocratique, ce vaste
mouvement de grèves a souvent été interprété comme le préambule à la victoire électorale
de la Nouvelle Droite en 1979.
Néanmoins, dans d’autres domaines, la continuité entre les années 1970 et le
contexte d’après-guerre est notable. Ainsi, malgré l’entrée du Royaume-Uni dans la
Communauté Economique Européenne en 1973, les thèses eurosceptiques progressent et la
question européenne continue de diviser à la fois l’opinion britannique et les partis
politiques. Au plan des politiques sociales également, de nombreuses mesures prises dans
les années 1970, notamment en ce qui concerne l’immigration, l’intégration des minorités et
le combat contre les discriminations, s’inscrivent dans le prolongement de la période
précédente. En continuité avec les années 1950 et 1960, la décennie est également marquée
par la démocratisation de l’information et de la culture, notamment via la télévision, qui
connaît alors son âge d’or.
Les années 1970 nous invitent donc à nous interroger sur les processus de rupture et
de continuité et à réfléchir à la façon dont la victoire électorale de Margaret Thatcher en
1979, unanimement perçue comme un tournant historique, influença l’historiographie de la
période.
Maggy Hary
Les Républicains, de Dwight D. Eisenhower à Georges W. Bush
(1952-2008)
François de Chantal
Bureau 840
[email protected]
Les Républicains ont-ils réussi à mener une « révolution conservatrice » entre 1952 et
2008 ? A l’instar des Démocrates lors des années trente et soixante, le GOP (Grand Old
Party) a t’il été le vecteur d’une réorientation profonde et durable de la société américaine ?
Si les Républicains présentent volontiers Ronald Reagan, président de 1981 à 1989, comme
un « Roosevelt conservateur », force est de constater qu’une rupture conservatrice
assimilable au New Deal demeure évanescente. Le cours s’attachera à expliquer ce manque
relatif en étudiant les évolutions propres au Parti républicain et la nature de la dynamique
politique qui lui a permis de gouverner.
Le GOP est en effet le lieu de tous les affrontements entre les multiples factions de la
droite et du centre. Ainsi, les modérés dominent l’essentiel de l’appareil tout au long des
années cinquante mais perdent leur prééminence à partir de la campagne présidentielle de
1964 où Barry Goldwater, sénateur de l’Arizona, lance le parti sur une voie conservatrice
qu’il a suivie jusqu’à nos jours. Au sein de ce « conservatisme », les traditions sont diverses
et pas toujours en harmonie. Entre les conservateurs fiscaux (fiscal conservatives) et les
conservateurs moraux (moral conservatives), les relations demeurent difficiles. Cette
diversité explique que le défi du Parti républicain est de se doter d’un leader qui puisse
unifier toutes les tendances autour d’un projet global. Seul Reagan y est parvenu durant les
années quatre-vingt. Depuis lors, les Républicains sont à la recherche d’un leadership que
G.W. Bush, par exemple, n’a jamais réussi à assurer. Le problème se complique encore un
peu lorsque l’on prend en compte la dimension institutionnelle. En effet, les équilibres
partisans ne sont pas les mêmes entre les Républicains au Congrès, de plus en plus polarisés,
et ceux liés à la Présidence, plus modérés ; au niveau des Etats, le tableau est plus complexe
car c’est là que de nombreux centristes ont trouvé refuge.
La dynamique politique qui a permis au Parti républicain de progressivement
dominer la scène politique apparaît dans les années soixante. Si Dwight Eisenhower
inscrivait son action dans le prolongement du New Deal, ses successeurs voulurent au
contraire s’en éloigner. Le mouvement des Droits Civiques fut le catalyseur de cette volonté
de rupture. De Goldwater (1964) à Nixon (1968), les Républicains défendirent un
conservatisme dépourvu de tout compromis et qui exprimerait la volonté de la « majorité
silencieuse » (silent majority), celle qui n’est « ni noire, ni jeune, ni pauvre » (unblack,
unyoung, unpoor – Ben Wattenberg, 1970). C’est sous une forme contestataire (insurgent)
que se construisit le renouveau conservateur du Parti républicain à partir des années
soixante. La dénonciation de l’héritage du New Deal et de la Great Society rythme les étapes
de la montée en puissance des Républicains, notamment avec Nixon (1968, 1972), Reagan
(1980, 1984) et Newt Gingrich (1994-1999). Force de dénonciation, le Parti républicain eut
plus de difficultés à devenir force de proposition et à gouverner. Si le bilan est loin d’être
négligeable, il reste sans doute en-deçà des espérances de bien des Républicains. Avec
l’arrivée au pouvoir de George W. Bush en 2001, le conservatisme changea de nature pour
représenter un Establishment, ce qui explique qu’un nombre croissant de Républicains se
mirent à rejeter G.W. Bush. La montée & la visibilité des républicains conservateurs ne doit
donc pas dissimuler les profondes tensions à l’œuvre au sein du parti.
Pour préparer ce sujet, qui pose des questions fondamentales sur les évolutions
électorales, idéologiques et institutionnelles du pays pendant plus de cinquante ans, je vous
conseille d’abord des lectures d’histoire politique générale pour avoir des repères qui vous
permettront de faire face au foisonnement de faits, de dates et de noms que vous allez
rencontrer.
A lire dans l’été :
Lewis L. Gould, The Republicans : A History of the Grand Old Party (2nd éd. 2014).
Sean Wilentz, The Age of Reagan : A History, 1974-2008 (2008)
Explication de choix de traduction
Laure Lansari
Bureau 753
[email protected]
Présentation de l’épreuve
Une épreuve triple
L’épreuve écrite d’explication de choix de traduction constitue une sous-partie de la seconde
épreuve écrite d’admissibilité : « Traduction : thème et version assortis de l'explication en
français de choix de traduction portant sur des segments préalablement identifiés par le
jury dans l'un ou l'autre des textes ou dans les deux textes (durée : cinq heures ; coefficient
1) ».
L’explication de choix de traduction a vu ses modalités évoluer depuis la session 2014 : « A
compter de la session 2014, l’explication en français de choix de traduction portera sur deux
segments préalablement identifiés dans l’un ou l’autre des textes, ou dans les deux textes. »
(Rapport du jury 2013, p. 56).
Dans les faits, l’épreuve s’est déroulée de la façon suivante depuis 2014 : un segment
souligné dans le texte de thème, un segment souligné dans le texte de version.
Il s’agit donc d’une épreuve triple : Version / Thème / Explication de choix de traduction,
avec deux segments. Chaque sous-épreuve compte pour un tiers de la note finale : il ne faut
donc pas négliger l’explication de choix de traduction, malgré les difficultés et réticences
initiales que l’on peut éprouver face à une épreuve qui n’a jamais été abordée dans un
parcours classique d’angliciste. En termes de temps, il est conseillé de passer une heure et
demie pour chacune de ces sous-épreuves, et de consacrer la demi-heure restante à une
relecture de l’ensemble.
Ces difficultés et réticences initiales sont largement liées au caractère interdisciplinaire de
cette explication de choix de traduction, qui mobilise divers types de compétences :
- Compétences linguistiques, nécessaires au bon étiquetage grammatical (catégorie et
fonction) des problèmes de traduction posés par les segments
- Compétences littéraires, et plus spécifiquement narratologiques et stylistiques,
nécessaires à l’identification des différentes voix narratives et points de vue ainsi
qu’à la reconnaissance d’images (métaphores, personnifications, chiasmes, etc.)
Quel que soit le texte dont sont tirés les segments, l’explication est à rédiger dans un
français soigné, sous la forme d’une démonstration. Il s’agit d’abord de contextualiser le
segment souligné dans le texte : les segments ne sont pas choisis par hasard et il faut
s’efforcer de mettre en lumière le rôle du segment dans l’économie globale du texte. Il faut
ensuite identifier clairement les problèmes de traduction posés, sur les plans linguistique,
narratologique et stylistique. La suite de l’explication doit être construite et organisée autour
des différents problèmes soulevés. L’explication s’apparente ainsi à une véritable
démonstration : il s’agit de justifier la traduction finalement retenue, entre choix et
contraintes, en comparant plusieurs traductions envisageables.
Cette sous-épreuve n’est donc pas une épreuve théorique hors contexte : il n’est pas
demandé de développer des connaissances générales sur les divergences entre anglais et
français, mais bien de « résoudre » un problème de traduction en lien avec un texte précis.
Ainsi, les compétences linguistiques et littéraires doivent être mobilisées à bon escient et
mises au service d’une réflexion sur la traduction d’un texte particulier.
Déroulement des cours
Dans l’esprit de l’épreuve, la préparation proposée n’est pas un cours théorique de
linguistique ou de littérature. L’accent est mis sur la pratique et la méthodologie à acquérir,
clé de la réussite à cette épreuve. La préparation se fait en lien étroit avec les collègues qui
assurent la préparation au thème et à la version : à chaque séance, plusieurs segments tirés
des textes proposés par ces collègues sont analysés, et un corrigé-type est proposé. Des
rappels théoriques sont bien sûr eux aussi fournis, mais toujours en relation avec les
segments à l’étude et en fonction des besoins des candidats.
D’une semaine à l’autre, des devoirs à la maison sont proposés et peuvent être rendus pour
correction individuelle. S’ajoute à ces travaux réguliers un concours blanc en novembre.
Conseils de préparation
Afin que la majeure partie du cours puisse être consacrée à l’étude de segments en
contexte, le travail prioritaire à entreprendre est un travail de révisions en linguistique
(notamment en syntaxe, domaine où les lacunes sont souvent les plus importantes – voir les
ouvrages en gras dans la bibliographie). Il est impératif de maîtriser les différentes catégories
et fonctions grammaticales, ainsi que les structures syntaxiques les plus courantes
(subordonnées adverbiales, relatives, complétives, etc.)
Dans un second temps, il sera pertinent de se familiariser avec les enjeux de la traduction et
de la comparaison anglais-français.
Bibliographie indicative
Chuquet, H. & Paillard, M. (1987). Approche linguistique des problèmes de traduction anglais
← → français. Paris : Ophrys.
Gardelle, L., Lacassain-Lagoin, C. (2013). Analyse linguistique de l’anglais. Méthodologie et
pratique. Rennes : PUR.
Goater, T., Lemonnier-Texier, D. et Oriez, S. (2011) L'épreuve de traduction, Collection
Didact’Anglais, Presses Universitaires de Rennes.
Oriez, S. (2009) Syntaxe de la phrase anglaise, Collection Didact’Anglais, Presses
Universitaires de Rennes.
Paillard, M. (2000). Lexicologie contrastive anglais – français. Formation des mots et
construction du sens. Gap : Ophrys.
Et bien sûr le rapport du jury 2015 (disponible sur internet), en attendant le rapport du jury
2016, qui est en général diffusé courant septembre.
PRÉPARER UN ORAL
(TIMING, NOTES, ENTRETIEN)
Les épreuves d'oral (ou certaines parties de l'épreuve académique : commentaire critique et
compréhension-restitution) sont suivies d'un entretien avec le jury, dont l'importance ne
doit pas être négligée par le candidat.
L'entretien est un moment important de l'épreuve. Il doit permettre au candidat de préciser
certains points de son exposé, de considérer des aspects du texte où du sujet qui n'ont pas
été abordés dans l'exposé, de corriger d'éventuelles erreurs de lecture ou d'interprétation,
et à partir de là, de corriger le cours de son exposé ou d'élargir son propos. Le jury attend de
l'entretien qu'il aide le candidat à éclaircir, corriger et enrichir son propos. Un entretien
abordé avec ouverture, concentration, et dans un esprit de communication, offre au
candidat la possibilité d'améliorer sa performance durant l'exposé. En revanche, un candidat
qui tend à camper sur ses positions, qui répète son propos sans chercher à comprendre les
questions du jury, où qui au contraire modifie sans discernement son propos par souci de
plaire au jury, risque de se pénaliser pour la notation finale.
Les questions du jury sont en général de trois types :
- questions de clarification ou de correction portant sur le détail du/des documents
commentés
- questions de reprise portant sur des parties de l'exposé
- questions de reprise et d'amplification portant sur l'exposé en général
Un bon entretien permet au jury de passer d'un type de question à l'autre et au candidat de
corriger ou d'enrichir l'ensemble de sa performance. Un entretien plus laborieux, s'il met à
jour des problèmes de compréhension des documents ou confirme les erreurs commises par
le candidat, en restera à un ou deux types de questionnement.
Attention cependant : les questions posées par le jury ne précisent pas la nature de la
question et ne vous orientera pas vers la correction ou la précision. Le jury se doit de rester
neutre, de ne pas influer sur l'interprétation du candidat. Il vous demandera d'expliquer
votre propos, de reprendre un argument développé, il pourra éventuellement mettre en
lumière des incohérences ou des contradictions dans votre exposé. C'est au candidat de
considérer, en prenant le temps de la réflexion, si son propos semble corroboré par le
document sur lequel il a travaillé, si son propos repris par le jury semble clair. La question
posée indique simplement qu'il y a quelque chose à reprendre, sans en préciser la nature.
Les qualités d'un bon entretien :
Présentation :
- une langue bien tenue, dans la continuité de l'exposé. La qualité de la langue doit faire
l'objet de toutes les attentions : pas de chute de registre, syntaxe claire et correcte,
vocabulaire riche et varié ...
- un débit clair, continu, une voix posée, audible
- une volonté de communication : regarder le jury, prendre le temps d'écouter les questions,
de réfléchir, chercher à convaincre sans agressivité
Contenu :
- écouter les questions, qui ne sont pas faites pour vous piéger mais pour vous permettre de
reprendre, corriger, préciser, votre propos. Ne pas camper sur ses positions, ne pas arguer
que vous avez déjà traité le point sur lequel on vous interroge, ne pas mettre en cause les
capacités d'écoute et de compréhension du jury. Si on vous demande des précisions, c'est en
général qu'elles sont nécessaires. Ne pas non plus vous contredire à tout bout de champ,
modifier et reprendre tout ce que vous avez dit, sous prétexte qu'on attire votre attention
sur tel ou tel point, ce qui indique un manque d'assurance dans votre interprétation. Prendre
le temps de réfléchir aux questions, afin de jauger le type de clarification nécessaire qui vous
est demandé.
savoir dépasser l'erreur: s'être trompé sur un point de détail ou sur une portion
du/des document(s) proposés est ennuyeux, mais ne doit pas paralyser le candidat qui prend
conscience de son erreur. L'entretien doit lui permettre de faire les corrections nécessaires,
à condition de prendre le temps nécessaire pour modifier votre lecture et reprendre certains
points de votre présentation initiale. Il faut alors développer votre propos, ne pas s'en tenir à
une réponse sèche.
En tout état de cause, l'entretien se prépare durant l'année. Il faut absolument participer aux
simulations d'épreuves et organiser des séances de travail entre candidats afin de se former
à l'entretien, dont l'influence sur la note finale est loin d'être négligeable. Il s'agit d'un
moment crucial, souvent appréhendé par les candidats fatigués par la longueur et le stress
de la préparation. Sans une bonne habitude de l'exercice, il peut s'avérer pénalisant. Le
stress, la fatigue, l'appréhension, seront d'autant mieux surmontés par un candidat qu'il en
aura pris l'habitude durant l'année.
Début des cours : mardi 06 septembre 2016
Emploi du temps agrégation interne 2016-17
Groupe 1 (thème et version)
13 septembre
20 septembre
27 septembre
4 octobre
11 octobre
18 octobre
8 novembre
15 novembre
22 novembre
29 novembre
6 décembre
13 décembre
3 janvier 2017
13h30-15h
Thème écrit (Walsh)
Thème écrit (Walsh)
Version écrite (Cros)
Thème écrit (Walsh)
Thème écrit (Walsh)
Version écrite (Cros)
Thème écrit (Walsh)
Thème écrit (Walsh)
Version écrite (Cros)
Thème écrit (Walsh)
Thème écrit (Walsh)
Version écrite (Cros)
Thème écrit (Walsh)
15h-16h30
Version écrite (Cros)
Version écrite (Cros)
Version écrite (Cros)
Version écrite (Cros)
Version écrite (Cros)
Groupe 2 (thème et version)
13 septembre
20 septembre
27 septembre
4 octobre
11 octobre
18 octobre
8 novembre
15 novembre
22 novembre
29 novembre
6 décembre
13 décembre
3 janvier 2017
13h30-15h
Version écrite (Cros)
Version écrite (Cros)
Thème écrit (Meskill)
Version écrite (Cros)
Version écrite (Cros)
Thème écrit (Meskill)
Version écrite (Cros)
Version écrite (Cros)
Thème écrit (Meskill)
Version écrite (Cros)
Version écrite (Cros)
Thème écrit (Meskill)
Version écrite (Cros)
15h-16h30
Thème écrit (Meskill)
Thème écrit (Meskill)
Thème écrit (Meskill)
Thème écrit (Meskill)
Thème écrit (Meskill)
Mardi après-midi
6 septembre amphi de 16h30 à 19h30
16h30-18h : civilisation (de Chantal)
18h-19h30 : littérature (Duplay)
13 septembre amphi de 16h30 à 19h30
16h30-18h : civilisation (Hary)
18h-19h30 : littérature (Niayesh)
20 septembre amphi de 15h00 à 19h30
15h-16h30 : commentaire de traduction (Lansari)
16h30-18h : littérature (Thornton)
18h-19h30 : littérature (Duplay)
27 septembre amphi de 15h00 à 19h30
15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari)
16h30-18h : civilisation (de Chantal)
18h-19h30 : civilisation (Hary)
4 octobre amphi de 16h30 à 19h30
16h30-18h : littérature (Niayesh)
18h-19h30 : littérature (Duplay)
11 octobre amphi de 15h00 à 19h30
15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari)
16h30-18h : civilisation (Hary)
18h-19h30 : littérature (Thornton)
18 octobre amphi de 15h00 à 19h30
15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari)
16h30-18h : littérature (Niayesh)
18h-19h30 : littérature (Duplay)
8 novembre amphi de 16h30 à 19h30
16h30-18h : civilisation (de Chantal)
18h-19h30 : littérature (Thornton)
15 novembre amphi de 15h00 à 19h30
15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari)
16h30-18h : civilisation (Hary)
18h-19h30 : littérature (Niayesh)
22 novembre amphi de 15h00 à 19h30
15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari)
16h30-18h : civilisation (de Chantal)
18h-19h30 : littérature (Thornton)
29 novembre amphi de 16h30 à 19h30
16h30-18h : civilisation (de Chantal)
18h-19h30 : civilisation (Hary)
6 décembre amphi de 15h00 à 19h30
15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari)
16h30-18h : civilisation (Hary)
18h-19h30 : littérature (Niayesh)
13 décembre amphi de 15h00 à 19h30
15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari)
16h30-18h : littérature (Niayesh)
18h-19h30 : littérature (Duplay)
3 janvier 2017 amphi de 16h30 à 19h30
16h30-18h : civilisation (de Chantal)
18h-19h30 : littérature (Thornton)
10 janvier amphi de 15h00 à 19h30
15h-16h30 : Commentaire de traduction (Lansari)
16h30-18h : littérature (Duplay)
18h-19h30 : littérature (Thornton)
Le vendredi après-midi de 14h30 à 17h30
Didactique
Le 16 septembre
Le 23 septembre
Le 30 septembre
Le 7 octobre
Le 14 octobre
Le 21 octobre
Le 4 novembre
Le 18 novembre
Le 25 novembre
Le 2 décembre
Le 9 décembre
Le 16 décembre
Plan de l’université
(ci-dessous)