DU 15 FÉVRIER AU 4 MARS - Cégep du Vieux Montréal

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DU 15 FÉVRIER AU 4 MARS - Cégep du Vieux Montréal
Dixième édition
DU 15 FÉVRIER AU 4 MARS
La dixième édition de la Quinzaine des cultures souhaite rendre compte, à travers plusieurs
activités, de l’effervescence qui anime le monde autochtone depuis quelques années.
Après avoir subi durant des siècles la marginalisation, l’injustice et l’indifférence, les Autochtones font entendre leurs
voix et réclament des changements.
Avec l’effet mobilisateur du mouvement Idle No More, qui signifie « plus jamais l’inaction », l’existence des peuples
autochtones et leurs revendications sont redevenues visibles et incontournables.
Mettant de côté le fatalisme, les membres des Premières Nations cherchent à établir les conditions pour guérir les
blessures profondes qu’ils ont subies, dont celles qu’ont causées les pensionnats. La récente Commission de vérité
et réconciliation est pour eux un pas en avant.
Après des années de demandes répétées, le gouvernement canadien va enfin mettre sur pied une enquête sur les
femmes autochtones disparues ou assassinées, enquête qui soulèvera forcément la question des rapports entre les
Autochtones et les forces policières.
Les communautés unissent aussi leurs forces pour faire valoir leurs droits ancestraux. Depuis qu’un jugement sans
précédent de la Cour suprême a reconnu un titre ancestral sur un territoire de plus de 1750 kilomètres carrés à la
Première Nation Tsilhqot’in (en Colombie-Britannique), de nouvelles perspectives s’ouvrent.
Une effervescence culturelle est aussi palpable.
L’un des évènements clés de cet essor fut le succès, en 2001, du premier long métrage de fiction en inuktitut :
Atanarjuat.
Est incontestable aussi le rôle qu’ont joué Arnait Ikajurtigiit, collectif offrant des ateliers de production vidéo pour
les femmes inuites, et le Wapikoni, studio mobile qui sert de lieu de rassemblement, d’intervention et de création
audiovisuelle et musicale pour les jeunes des Premières Nations. C’est d’ailleurs lors de sa participation à un projet
du Wapikoni que la parole engagée de Samian, ce vibrant rappeur d’origine algonquine, a été remarquée.
La littérature et les arts visuels ne sont pas en reste. Grâce à des évènements comme la Biennale d’art contemporain autochtone et grâce à des maisons d’édition comme Mémoire d’encrier, la force créative des artistes issus des
Premières Nations est canalisée et connaît une large diffusion.
Le coup d’envoi de notre évènement revêt un caractère important pour nous : un café citoyen qui permettra d’établir
un dialogue entre les étudiants de l’Institution Kiuna (premier cégep dédié à l’éducation des Autochtones) et ceux
du Cégep du Vieux Montréal. Favoriser une compréhension mutuelle et un meilleur vivre ensemble : voilà le grand
rêve de cette Quinzaine.
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Artiste anonyme, Disparition institutionnalisée, 2015
Collection d’œuvres d’art de la Ville de Montréal
EXPOSITION
DU 15 FÉVRIER AU 4 MARS, À L’AGORA
Du lundi au jeudi de 12 h à 19 h et le vendredi de 12 h à 16 h
AFFIRMATIONS AUTOCHTONES
Artiste anonyme, Hannah Claus, Eruoma Awashish
À l’invitation de Marlène Boudreault, le commissaire Guy Sioui Durand a choisi de présenter les œuvres de trois femmes autochtones, dont deux font partie de la collection d’œuvres d’art de la Ville de Montréal. Actuelles et en prise sur la société, ces œuvres
traitent toutes d’identité et de mémoire. Une artiste anonyme revisite la peinture des XVIIIe et XIXe siècles pour contrecarrer les
stéréotypes associés aux femmes autochtones et l’anonymat auquel on les confine. Hannah Claus aborde, à travers une installation multimédia, la tragédie des femmes autochtones disparues ou assassinées. Eruoma Awashish, pour sa part, crée des œuvres
hybrides qui allient savoir-faire traditionnels et réalités contemporaines. Une exposition qui sort des sentiers battus.
DU LUNDI 22 FÉVRIER AU VENDREDI 4 MARS
VISITES GUIDÉES
Des étudiants de Marlène Boudreault – qui ont rencontré le commissaire Guy Sioui Durand et qui ont suivi une formation en
médiation culturelle – agiront à titre de guides de l’exposition Affirmations autochtones.
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CONFÉRENCE
LUNDI 15 FÉVRIER DE 11 H 40 À 13 H, AU LOCAL A8.64
POÉSIES ENTRECROISÉES : HAÏTI ET PREMIÈRES NATIONS
Rencontre avec Rodney Saint-Éloi, auteur et fondateur des éditions Mémoire d’encrier
Rodney Saint-Éloi, d’origine haïtienne, vient nous parler de sa poésie au souffle profond, mais aussi de son travail d’éditeur attaché
à faire entendre des voix plurielles, dont celles de plusieurs auteurs autochtones de grand talent comme Joséphine Bacon, Naomi
Fontaine et Natasha Kanapé Fontaine. Sa démarche curieuse « d’altérités porteuses d’avenirs et de solidarités » l’a amené à
susciter toutes sortes de rencontres entre des artistes d’Haïti et du Québec, dont plusieurs issus des Premières Nations. Membre
de l’Académie des lettres du Québec, Rodney Saint-Éloi a écrit une dizaine de livres, dont Jacques Roche, je t’écris cette lettre
(2013) et Je suis la fille du baobab brûlé (2015).
DISCUSSION
JEUDI 18 FÉVRIER DE 12 H 30 À 14 H, AU CAFÉ L’EXODE
ALLOCHTONES ET AUTOCHTONES : RÊVES D’AVENIR
Café citoyen, avec la participation des étudiants et étudiantes autochtones de l’Institution Kiuna
Depuis quelques années déjà, le département de philosophie du cégep du Vieux Montréal organise des Cafés citoyens, lesquels
se veulent des lieux d’échanges, de débats et de rapprochement. Ils incarnent l’idéal humaniste au cœur du projet éducatif de
notre établissement. Dans le cadre de la Quinzaine des Cultures, le Café citoyen portera sur les perspectives d’avenir imaginées
et souhaitées par les Autochtones et Allochtones. Pour l’occasion, nous aurons la chance d’accueillir des étudiants et étudiantes
de l’Institution Kiuna, seul cégep autochtone au Québec. Des Autochtones qui étudient au cégep du Vieux Montréal participeront
aussi à la discussion.
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CONFÉRENCE
JEUDI 18 FÉVRIER DE 14 H 30 À 16 H, AU LOCAL A8.82
ART AUTOCHTONE : DES REPRÉSENTATIONS REMISES EN QUESTION
Conférence de Guy Sioui Durand, sociologue, critique d’art, commissaire indépendant et créateur de harangues performées
autochtones
Parmi toutes les thématiques abordées par les artistes visuels autochtones, on retrouve celle de l’identité à l’ère de la Commission
de vérité et réconciliation… L’héritage et le vécu de ces artistes permettent un regard singulier sur notre monde en changement,
regard qui dépasse l’éternelle tension entre l’authenticité et l’uniformisation, entre le repli identitaire et l’ouverture sur le monde.
Les notions de colonisation, de tradition et d’assimilation, par exemple, sont abordées par eux de façon à dépasser les stéréotypes
et les idées reçues.
À la lumière de ces considérations, quel statut doit-on réserver aux productions artistiques autochtones ? Est-il possible de faire
côtoyer les œuvres issues de la culture autochtone avec les productions artistiques allochtones, ou doit-on constamment poser
l’art autochtone comme un cas à part qui ne peut exister qu’en se définissant ainsi ? Est-il encore permis, en art contemporain,
d’aborder les questions identitaires sans tomber dans les formules préconçues ?
EXPOSITION
JEUDI 18 FÉVRIER À 17 H, À L’AGORA
Lors du vernissage de l’exposition Affirmations autochtones (décrite à la page 3), le commissaire et les artistes seront invités à prendre la parole. À cette même occasion auront lieu
la présentation des t-shirts engagés Awa Rebel et le lancement du dernier numéro de la
revue Inter, qui traite de pratiques artistiques dont la charge – décolonisatrice, humoristique
et sensible – permet de considérer autrement les enjeux autochtones.
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Œuvre d’Eruoma Awashish
VERNISSAGE DE L’EXPOSITON/LANCEMENT DE LA REVUE INTER
FILM
LUNDI 22 FÉVRIER DE 16 H 15 À 17 H 45, AU LOCAL A9.78
MERCREDI 24 FÉVRIER DE 13 H 30 À 15 H, AU LOCAL A9.78
JEUDI 25 FÉVRIER DE 16 H 15 À 17 H 45, AU LOCAL A9.78
QUÉBÉKOISIE
C’est à 30 ans, après avoir parcouru la planète, qu’Olivier Higgins et Mélanie Carrier réalisent qu’ils entretiennent des liens avec le
bout du monde alors qu’ils n’ont jamais posé les pieds dans une réserve indienne au Québec, où ils vivent. Le jeune couple décide
alors de parcourir la Côte-Nord à vélo afin de mieux comprendre les relations entre Autochtones et Allochtones. D’où vient cette
méconnaissance des Premières Nations ? Pourquoi les préjugés sont-ils toujours aussi tenaces ? Comment les choses peuventelles évoluer ? De rencontres fortuites en rencontres programmées, la quête des cinéastes croisera celle, surprenante, d’un Innu
parti à la recherche de ses ancêtres en Normandie et la démarche bouleversante de la sœur du caporal Lemay, tué lors de la crise
d’Oka en 1990.
ATELIER
MARDI 23 FÉVRIER DE 14 H À 15 H 15, AU LOCAL 7.06
MERCREDI 24 FÉVRIER DE 9 H 15 À 10 H 30, AU LOCAL 7.06
INITIATION À L’INNU-AIMUN
Atelier animé par Joséphine Bacon, auteure et réalisatrice
Joséphine Bacon est une auteure prodigieuse qui écrit à la fois en innu-aimun et en
français. C’est grâce à sa grande connaissance des deux langues qu’elle réussit à
traduire son imaginaire aux images dépouillées, denses et précises. Elle vient nous
parler de ce travail d’écriture, mais aussi nous initier aux caractéristiques grammaticales de la langue innue-aimun, bien sûr indissociables d’une certaine façon de voir le
monde. Joséphine Bacon a notamment publié Un thé dans la toundra / Nipishapui nete
mushuat (2013) aux éditions Mémoire d’encrier.
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CONFÉRENCE
MERCREDI 24 FÉVRIER DE 15 H 30 À 17 H, AU LOCAL A4.82A
EFFERVESCENCE DES MOUVEMENTS AUTOCHTONES
Conférence de Melissa Mollen Dupuis et Widia Larivière, les deux instigatrices du mouvement Idle No More au Québec
Un peu partout dans le monde, nous assistons à une effervescence des mouvements
autochtones. Au Canada, nous avons vu émerger le mouvement Idle No More, qui
signifie : « On ne se laissera plus faire ! » C’est un véritable cri de ralliement des
Autochtones de diverses nations qui revendiquent leurs droits ancestraux, la gestion de
leurs ressources et la reconnaissance de leur identité propre. Cette conférence vise à
mettre en relief les différentes initiatives autochtones — tant au niveau local, national et
international — qui œuvrent à faire respecter des droits urgents et essentiels.
Melissa Mollen Dupuis
Widia Larivière
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CONFÉRENCE
MERCREDI 24 FÉVRIER DE 15 H 30 À 17 H, AU LOCAL A7.05-A7.07
LES INUITS FONT LEUR CINÉMA
Présentation de Marie-Hélène Cousineau, réalisatrice et productrice
Cofondatrice du collectif Arnait Ikajurtigiit avec quatre femmes inuites, Marie-Hélène Cousineau a participé activement au
développement du cinéma au Nunavut. Après avoir réalisé de nombreux documentaires sur l’expérience des femmes d’Igloolik, le
collectif a réalisé deux longs métrages de fiction, dont Before Tomorrow (2008), qui s’est mérité plusieurs prix aux Génies et aux
Jutra, et Sol, un documentaire créé en 2014, qui a gagné le prix du meilleur long métrage canadien aux Rencontres internationales
du documentaire de Montréal. Ponctuant sa présentation d’extraits de films, elle parlera de son expérience, mais aussi de l’effet
catalyseur qu’a eu la sortie, en 2001, du film Atanarjuat, dont elle a côtoyé les artisans.
CONFÉRENCE
JEUDI 25 FÉVRIER DE 12 H À 13 H 30, AU LOCAL A4.82A
LES PENSIONNATS AUTOCHTONES : UNE GUÉRISON POSSIBLE ?
Conférence de Marie-Pierre Bousquet, professeure au département d’anthropologie
à l’Université de Montréal, et de Norman Kistabish, membre de la bande Anishinabeg
Abitibiwinni de Pikogan
Au Canada, l’histoire des pensionnats autochtones administrés par le gouvernement fédéral commence dans les années 1870. Au Québec, des établissements semblables ouvrent
leurs portes dans les années 1930. Que sont ces pensionnats et comment ont-ils fonctionné ? Quelles conséquences ont-ils entraînées pour les Autochtones ? Lors de cette conférence, nous entendrons un témoignage personnel qui nous permettra de comprendre
concrètement l’expérience des pensionnats autochtones. Il sera également question des
actions menées par et pour les communautés autochtones, afin que puissent guérir les
cicatrices et les traumatismes vécus lors de cet épisode tragique de notre histoire.
Marie-Pierre Bousquet
Norman Kistabish
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FILM
LUNDI 29 FÉVRIER DE 8 H À 11 H, AU LOCAL A8.03
MERCREDI 2 MARS DE 11 H 40 À 14 H 40, AU LOCAL A8.79
JEUDI 3 MARS DE 14 H 25 À 17 H 25, AU LOCAL A8.79
ATANARJUAT
Atanarjuat, qui a été réalisé par Zacharias Kunuk (dont l’équipe était presque entièrement composée d’Inuits), est un chef-d’œuvre
cinématographique. C’est aussi un évènement historique en soi, puisqu’il s’agit du premier long métrage à avoir été écrit, réalisé
et joué entièrement en inuktitut. D’une durée de trois heures, il s’inspire d’une légende orale inuite vieille de 4000 ans qui parle
d’une rivalité amoureuse et du danger de faire passer ses désirs personnels avant le bien-être de la communauté. Associant le
paysage de l’Arctique à la tonalité épique, Kunuk a réalisé un film à l’imaginaire et au rythme uniques. Atanarjuat a remporté plus
de vingt prix importants, dont la Caméra d’or, au Festival de Cannes.
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SPECTACLE
MARDI 1er MARS À 19 H, À LA MAISON THÉÂTRE
SAMIAN
Coût : 5 $
Originaire de Pikogan, petite communauté autochtone en Abitibi-Témiscamingue, Samian, rappeur métis, défenseur de la langue
algonquine, artiste profondément engagé, déclame sa poésie avec l’âme du guerrier. Révélé par le projet Wapikoni, le talent de
Samian est mis de l’avant dès 2004 alors qu’il prend part à divers évènements culturels au Québec et en France. En 2006, il fait
la connaissance d’Anodajay, fondateur des Disques 7e Ciel, et réalise son premier album, Face à soi-même, aux côtés de Florent
Vollant, Anodajay et Loco Locass. En 2010, après des spectacles aux quatre coins du monde, il lance Face à la musique, qui
obtient le Félix du Meilleur album hip-hop de l’année. Samian prend de nouveau position en 2012, avec la sortie de l’extrait Plan
nord, dénonçant les projets du gouvernement pour le territoire au nord du 49e parallèle. Enfant de la Terre, son troisième album,
mélange de façon convaincante rap, jazz et rock. Avec fougue et conviction, il nous présente son spectacle en formule trio.
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Julien Vadeboncoeur
Pierre Trudel
TABLE RONDE
MERCREDI 2 MARS DE 15 H 30 À 17 H, À LA MAISON THÉÂTRE
NITASSINAN UT NITIPINIMITISHINAN, NOTRE TERRE POUR NOUS DIRIGER NOUS-MÊMES
Table ronde avec Julien Vadeboncoeur, membre de la nation des Pekuakamiulnuatsh et professeur à l’Institution Kiuna, et Pierre
Trudel, chargé de cours à l’UQAM et spécialiste des questions autochtones
Les Autochtones ont toujours refusé le régime juridique et territorial dans lequel le gouvernement canadien les a enfermés. Depuis
les années 1970, un important mouvement pour l’autonomie gouvernementale se déploie afin de corriger la situation. Loin de
revendiquer quelque privilège, comme certains le laissent entendre, les Autochtones se battent pour retrouver la dignité qui leur
a été volée. Cette table ronde permettra de voir où en sont leurs revendications territoriales et en quoi consistent les négociations
actuelles.
CONFÉRENCE
MERCREDI 2 MARS DE 15 H 30 À 17 H, AU LOCAL A4.82A
LE DÉSIR DE JUSTICE DES FEMMES AUTOCHTONES
Conférence de Alana Boileau, coordinatrice Justice et sécurité publique chez Femmes
autochtones du Québec, et Isabelle Paillé, coordinatrice Promotion non-violence et Réseau
des maisons d’hébergement chez Femmes autochtones du Québec
Dans le contexte de l’annonce d’une commission d’enquête tant attendue sur les filles et
les femmes disparues et assassinées, nous assistons à une prise de parole importante
des femmes autochtones à propos des multiples violences qu’elles subissent. Une prise
de parole qui se traduira, espérons-le, par des changements tangibles et pérennes. Mais
comme l’ont montré les évènements récents de Val-d’Or, un long chemin reste à parcourir.
La conférence a pour objectif d’éclairer des cas d’actualité afin de mieux comprendre la
situation préoccupante des femmes autochtones et de mettre en relief les défis que nous
avons à relever collectivement.
Alana Boileau
Isabelle Paillé
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COURTS MÉTRAGES
JEUDI 3 MARS DE 12 H À 13 H 30, AU LOCAL A4.82A
PROJET WAPIKONI : IDENTITÉ ET REVENDICATION
Présentation de courts métrages animée par Widia Larivière et Mélanie Lumsden, réalisatrices et militantes
Depuis 2004, le Wapikoni mobile, studio ambulant de création, a parcouru les territoires des communautés des Premières Nations
du Québec. Il a donné à des milliers de jeunes Autochtones une occasion unique de prendre la parole et de faire connaître leur
réalité à travers des créations visuelles ou musicales. Afin d’en apprendre davantage sur les effets positifs que le Wapikoni a sur
les jeunes et sur leurs communautés, nous vous invitons à rencontrer deux cinéastes et à voir plusieurs courts métrages ayant
pour thème l’identité.
Cette dixième édition de la Quinzaine des cultures (2016) est une réalisation des membres du Comité organisateur de la Quinzaine (André
Cadotte, François Carrier, Charles Guilbert, Steven Légaré, Sophie Lemoyne-Dessaint) avec la collaboration de Sophie Brosseau, Marlène
Boudreault, Marie-Claude Mirandette, du Canif, du SAC et de l’animation interculturelle. Un tel évènement est possible grâce au soutien de La
Fondation du cégep du Vieux Montréal ainsi que des équipes de l’audiovisuel, de l’aménagement, des communications et de la reprographie.
Informations : 514 982-3437, poste 2164
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