Communiqué de presse + historique

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Communiqué de presse + historique
COMMUNIQUE DE PRESSE
Direction : Sandor Buffó RIGÓ & Jószef Csócsi LENDVAÏ www.100violins.com
L’ORCHESTRE SYMPHONIQUE DES 100 VIOLONS TZIGANES DE BUDAPEST restitue, sous
la plus époustouflante virtuosité, l'âme de tout un peuple.
Un programme brillantissime qui mêle la tradition du violon tzigane hongrois et des
œuvres de Khatchatourian, De Sarasate, Brahms, Strauss, Bizet. Le tout
magistralement interprété, sans partition, par 100 musiciens tziganes venus de
Budapest, tous virtuoses et fascinants. Un Orchestre étonnant qui enflamme le public
partout sur la planète.
Un enchantement !
Des violons, des violoncelles, des contrebasses, des cymbalums et des clarinettes,
tous unis pour porter jusqu’à nous les accents entraînants et déchirants d’une
bouleversante tradition, celles des tziganes et d’un art d’interprétation qui
n’appartient qu’à eux.
La constitution de cette formation ressemble à une légende. En 1985, l’inoubliable
soliste et chef tzigane hongrois, le Primas Sandor JAROKA (le Primas des Rois et roi
des Primas) meurt. A son enterrement la communauté se retrouve. Les musiciens sont
venus nombreux dans le froid et sous la pluie avec leurs instruments pour saluer une
ultime fois la mémoire de leur chef spirituel.
D’une sérénade mélancolique sur une tombe va naître cet orchestre fabuleux, celui
des 100 VIOLONS TZIGANES DE BUDAPEST.
Depuis l’Orchestre n’a cessé de jouer et a obtenu un énorme succès dans quelquesuns des plus fameux théâtres et festivals classiques et notamment en Allemagne,
Autriche, Belgique, Croatie, Danemark, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hollande,
Hongrie, Irlande, Italie, Japon, Lettonie, Luxembourg, Monaco, Pologne, Portugal,
République Tchèque, Roumanie, Russie, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse et
Turquie.
Ce qui éblouit le public, c’est cet art qui n’appartient qu’à ces musiciens de jouer
sans partition, cet art de la virevolte, de la variation qui ne trahit en rien la
composition mais l’enrichit. Ils transmettent au spectateur l’énergie d’un peuple qui
a choisi la musique comme langue universelle. Instinctif comme une veillée
populaire tzigane, rigoureux comme un concert viennois, en smoking noir ou en
costume traditionnel, l’Orchestre donne autant à voir qu’à écouter.
Il est sans conteste l’Orchestre Symphonique le plus excitant de notre temps, le plus
grand Orchestre au Monde de Musiciens Tziganes.
COMMUNIQUE DE PRESSE
HISTORIQUE
Un Arc-en-Ciel Hongrois
La constitution de cette formation pas comme les autres, qui porte aux quatre coins
du monde l'énergie d'un peuple qui a choisi cette langue universelle qu'est la
musique, ressemble à une légende. En 1985, l'inoubliable soliste et chef tzigane
Sandor Jaroka, "Primas" comme on l'appelle, c'est à dire un interprète exceptionnel,
soliste qui est désigné à la fois comme chef, chef d'orchestre mais aussi comme chef
spirituel, ce grand maître meurt. A son enterrement, la communauté se retrouve. Il
pleut sur le cimetière. Une pluie froide et coupante comme grésil. Mais les musiciens
sont là, qui jouent, saluent une ultime fois Sandor Jaroka, Roi des Primas. Pour qui a
vécu cet instant, il est inoubliable.. D'une sérénade mélancolique sur une tombe, va
naître cet orchestre fabuleux, celui des 100 Violons Tziganes de Budapest.
L'ORCHESTRE DES 100 VIOLONS TZIGANES DE BUDAPEST était placé sous la direction
de LASLZO BERKI chef de l'Orchestre National de Hongrie jusqu'à sa disparition
brutale durant l'automne 1997. Sous son impulsion, les plus prestigieux musiciens du
pays se regroupent, qui, pour beaucoup, appartiennent à de véritables dynasties de
la musique : BERKI, BOROSS, CSOCSI, LAKATOS, entre autres.
Désormais sous la direction de Monsieur SANDOR RIGO BUFFO, son Président et de
Monsieur JOZSEF LENDVAI CSOSCI, Maître de Violons, l'Orchestre a pu surmonter ce
douloureux manque.
Depuis l'orchestre n'a cessé de jouer et obtenu un énorme succès dans quelques-uns
des plus fameux théâtres et festivals dans le Monde et notamment en Allemagne,
Autriche, Belgique, Croatie, Danemark, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hollande,
Hongrie, Irlande, Italie, Japon, Lettonie, Luxembourg, Monaco, Pologne, Portugal,
République Tchèque, Roumanie, Russie, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse et
Turquie.
A chacune de leurs apparitions, les musiciens déclenchent l'enthousiasme par leur
virtuosité et leur énergie fantastique, leur instinct et leur intelligence, laissant derrière
eux un souvenir inoubliable.
Ce qui bouleverse le public, c'est que, par-delà l'harmonie d'un choix de pages
musicales enivrantes, émouvantes, entraînantes, gaies ou mélancoliques, mais
toujours touchantes, c'est l'harmonie même de l'orchestre, cette entente
exceptionnelle, cet accord vibrant qui unit tous les interprètes. Tous virtuoses, tous
rares, mais se fondant dans un ensemble fascinant pour le seul bonheur de livrer au
monde quelques secrets indicibles : ceux qui ne passent que par la musique, ceux
que seule la musique peut exprimer.
Ce qui éblouit le plus le public, c'est la manière tzigane. Cet art qui n'appartient qu'à
ces musiciens de jouer sans partition, cet art de la virevolte, de la variation qui ne
trahit en rien la composition mais l'enrichit.
LES TZIGANES SENTENT AUTANT LA MUSIQUE QU'ILS LA JOUENT, DE MANIERE INTUITIVE,
PRESQUE INSTINCTIVE, DONNANT AU PUBLIC A VOIR AUTANT QU'A ECOUTER.