Normes du papier

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Normes du papier
Indications pour l’impression / Service
page C – 1
juillet 2014
Normes du papier
Ordre de grandeur des grammages usuels des
différentes qualités de papier et de carton
160 – 700
Carton bristol
180 – 400
Carton ivoire
150 – 180
Carton pour cartes postales
160 – 450 Carton pour fichier
90 – 140
Papier pour lecteurs optiques de
documents (OCR)
80 – 140
Papier à la cuve
70 – 500
Papier et carton chromo
30– 50 Papier bible
70 – 300
Papier et carton couché
90 – 170
Papier couché classique
45 – 75
Papier couché de faible grammage (LWC)
15 – 40
Papier pour poste aérienne
60 – 700
Papier et carton offset
40– 180 Papier d’emballage
40 – 100
Papier pour machine à écrire
50 – 150
Papier à écrire
15– 30 Papier de soie
60 – 350
Papier et carton pour couvertures
100 – 140
Papier pour pages de garde
60– 120 Papier édition
60 – 160
Papier pour photocopies et laser
40– 55 Papier journal
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Exemple: format 70x100 cm
Bande étroite (BE)
(largeur du rouleau 70 cm)
70 cm
100 cm
70 cm
Bande large (BL)
(largeur du rouleau 100 cm)
Format 70x100 cm BE
(Bande étroite)
100 cm
70 cm
70 cm
Sens
de
(Sen fa brica
ti
s de
fibre on
s)
Ordre de grandeur des grammages par catégorie
masse en g/m2
– 150 Papier
160– 240 Mi-carton
250– 700 Carton
300– 2400 Carton-machine
400 – 2400 Carton main
Sens des fibres du papier
Dans le cas des papiers confectionnés à la machine, les fibres de
la pâte s’orientent essentiellement dans le sens de défilement du
papier. Suivant la découpe dans la bande de fabrica­tion du papier,
ces fibres peuvent donc être parallèles au petit ou au grand côté
de la feuille. Si on désire spécifier le sens de fabrication du format
commandé, il suffit alors de préciser bande étroite (BE) ou bande
large (BL). Le sens des fibres est normalement indiqué par une
­flèche imprimée sur l’emballage.
Sens
de
(Sen fa brica
ti
s de
fibre on
s)
Poids au mètre carré (grammages)
Les masses s’expriment en grammes au mètre carré (g/m2). Elles
doivent donc être précisées par les intéressés lors de la commande.
De faibles fluctuations de masse sont inévitables pour des raisons
techniques, motif pour lequels les fabricants de papier précisent
tous, dans leurs conditions générales de vente, les tolérances de
poids au m2 en usage dans le commerce. D’un commun accord,
les fabricants suisses, négo­ciants et leurs clients ont normalisé les
grammages comme suit:
30, 35, 40, 45, 50, 55, 60, 65, 70, 75, 80, 85, 90, 95, 100, 110,
115, 120, 130, 135, 140, 150, 160, 170, 180, 190, 200, 210, 220,
230, 240, 250, 260, 280, 300 g/m2
Les poids au m2 supérieurs à 300 g/m2 sont fixés librement ou convenus à la demande.
100 cm
Format 70x 100 cm BL
(Bande large)
Bande étroite. La longueur de la feuille a été coupée dans le sens
de la machine. L’orientation des fibres est parallèle au grand côté.
Spécification: 70x100 cm BE (dimension soulignée = côté pris dans
la largeur de la bande de fabrication).
Bande large. La largeur de la feuille a été coupée dans le sens
de la machine. L’orientation des fibres est parallèle au petit côté.
Spécification: 100x70 cm BL (dimension soulignée = côté pris dans
la largeur de la bande de fabrication).
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page C – 2
Indications pour l’impression / Service
Dans le sens de la machine, le papier se révèle plus rapide; il
s’allonge moins que dans le sens travers. Le choix du sens de fabrication joue donc un rôle important pour l’affectation ultérieure du
papier considéré. C’est ainsi que dans l’édition, par exemple, le sens
des fibres doit être parallèle au dos des livres.
Il va sans dire que les fabricants s’efforcent toujours de livrer le
papier commandé dans le sens de fabrication désiré. Pour des raisons techniques (utilisation de la largeur utile de la machine), il n’est
pas toujours possible de fournir un format donné dans un sens de
fabrication unique. On parle donc de coupe alternée lorsqu’un
même format doit être alternativement livré en bande étroite et
en bande large. Il est donc recommandé, lors des soumissions de
projets ou demandes de devis, de s’en référer préalablement au
fournisseur.
Formats normalisés
Pour éviter la multiplication des formats usuels, on tend de plus en
plus à adopter aujourd’hui dans le commerce, en Suisse et même à
l’étranger, les normes de l’industrie allemande DIN. Cette unification
des formats ne peut que contribuer à simplifier sensiblement la gestion des stocks et l’archivage dans l’industrie, les administrations
et le commerce, mais aussi le trafic postal. Les formats DIN sont
subdivisés en trois séries (dimensions en mm):
Classe
de formats
Série A
Série BSérie C
0
841 x 1189
1000 x 1414917 x 1297
1
594 x 841 707 x 1000648 x 917
2
420 x 594 500 x 707458 x 648
3
297 x 420 353 x 500324 x 458
4
210 x 297 250 x 353229 x 324
5
148 x 210 176 x 250162 x 229
6
105 x 148 125 x 176114 x 162
7 74 x 105 88 x 125 81 x 114
8 52 x 74 62 x 88 57 x 81
9 37 x 52 44 x 62 C5/6114 x 229
10 26 x 37 31 x 44 C6/5114 x 224
SRA3
320 x 450
DIN long110 x 220
Les formats de la série A s’appliquent aux imprimés, magazines, livres, prospectus, feuilles de papier à lettres, cartes de fichier, cahiers,
cartes postales, etc., ceux de la série B aux chemises de dossiers et
ceux de la série C aux enveloppes, sachets, etc. Tous les formats DIN
sont des formats définitifs rognés après impression ou transformation. Les dimensions des feuilles brutes commandées au papetier
doivent donc être légèrement supérieures (par exemple 63x88 ou
64 x 90 cm pour un format A1).
Par le partage successif en deux du format initial on obtient des
feuilles dont les dimensions, selon le tableau ci-contre, r­espectent
entre elles le même rapport.
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Les classes matières
Papiers et cartons avec fibres blanchies
ancienne
Matière
dénominationdénomination
Fabriqué exclusivement avec du chiffon
pur chiffon
CM 1
Fabriqué avec min. 10% de chiffon
avec chiffon
CM 2
Fabriqué avec max. 5% fibres de bois
mais sans utilisation de pâte mécanique
sans bois
CM 3
Fabriqué avec min. 25% de pâte mécanique
avec traces de
bois
CM 4+5
Fabriqué avec min. 55% de pâte mécanique
avec bois
CM 6
Fabriqué avec min. 70% de pâte mécanique
papier journal
CM 7
Fabriqué à base de 100% de vieux papiers
papier recyclé
CM 15
Pour toutes les classes matières (CM) la composition des matières
utilisées identifiables dans le produit fini est déterminant.
Format A0: 841 x 1189 mm ≈ 1 m2
16 A4 = 1 m2 ≅ de la grammature
A1
A3
A5
A7
A9
A2
A4
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A6 A8A10
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Indications pour l’impression / Service
juillet 2014
En tant que leader des distributeurs de papier, la société Inapa c­ onsidère qu’elle se
doit d’agir de manière responsable en respectant des aspects sociaux, écologiques
et économiques.
Le papier possède l’avantage unique d’être fabriqué à partir d’une
matière première naturelle, le bois, qui repousse. La seconde source
de matière première est le papier de récupération qui, à l’échelon
européen représente plus de 50%, les chiffres étant encore plus
élevés en Allemagne, et qui sert à fabriquer du papier et du carton.
Inapa s’approvisionne en papier à plus de 95% en Europe où les
industries papetières sont majoritairement regroupées au sein de la
CEPI, Confederation of European Paper Industries (www.cepi.org).
Les objectifs clairs des entreprises membres de la CEPI sont:
– Exclure tout approvisionnement de bois en provenance de forêts
ou forêts tropicales situées en zone protégée.
– S’approvisionner à partir de forêts gérées de manière responsable et durable, dont la gestion fait l’objet d’un contrôle continu ou
d’une certification éventuelle par des tiers indépendants.
– Continuer à faire évoluer la part de papier de récupération utilisé,
au-delà des taux actuels.
– Poursuivre la restriction de toutes les émissions et des besoins en
énergie dans la fabrication.
Inapa soutient pleinement ces principes d’action.
La gestion responsable et durable des forêts est un sujet qui
s’est largement médiatisé ces derniers temps.
Deux normes de certification font aujourd’hui foi:
FSC Forest Stewardship Council (www.fsc.org), un
système de certification notamment soutenu par les associations écologiques. A ce jour, en raison d’une diffusion
confidentielle de ces normes, les quantités de bois disponibles sur le marché sont relativement faibles.
PEFC Programme for the Endorsement of Forest Certification Schemes (www.pefc.org). Il s’agit d’une organisation qui chapeaute de nombreux systèmes de certification nationaux (SFI Amerique, FSFC Finlande), elle est
très répandue à l’échelon mondial et peut de ce fait mettre
à disposition des quantités de bois plus importantes.
Le point commun des deux systèmes est une certification sur la
base du strict respect d’objectifs et règles minimales déterminées
du point de vue social, écologique et économique.
Dans le cadre de la gestion durable des forêts, le principe de la
«chaîne de contrôle» appelée Chain-of-Custody (CoC) a été introduit.
Il s’agit d’une documentation très complète et d’une traçabilité sans
faille de toute la chaîne d’approvisionnement du bois, de la forêt
jusqu’au (papier) produit. PEFC et FSC prévoient à cet effet leurs
propres normes ou restrictions qui doivent être respectées pour
obtenir une certification CoC, afin d’utiliser commercialement les
labels PEFC ou FSC.
Inapa adhère totalement au principe CoC et est à cet effet en dialogue permanent avec ses partenaires industriels. Pour 2004, des
papetiers renommés ont annoncé l’extension des certifications de
leurs systèmes d’approvisionnement en bois.
Les papiers de bureau de Inapa, en l’occurrence les papiers
Inapa Tecno sont presque exclusivement fabriqués à partir
de cellulose provenant de forêts ou plantations gérées dans
une perspective durable.
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La plupart de ces papiers disposent aujourd’hui d’un label FSC ou
PEFC. Sur demande, nous sommes prêts à mettre à votre disposition
les documents correspondants pour le papier de votre choix. Outre
la gestion des forêts, nous souhaitons évoquer une série d’autres
aspects environnementaux déterminant votre achat.
Procédé et matières premières:
– Les papiers TCF «blanchis sans chlore» sont fabriqués à partir de
cellulose blanchie en renonçant totalement au chlore élémentaire
ou aux dérivés du chlore (dioxyde de chlore). Cela peut s’avérer
avantageux en raison des conséquences critiques lors d’un
blanchiment au chlore (dégagement de combinaisons dioxydes),
notamment dans les installations déjà plus anciennes. Néanmoins, les émissions des usines modernes travaillant sans chlore
élémentaire (ECF) sont plus faibles que celles des installations
travaillant en TCF.
– Sans OBA (Optical Brightener Additives), cela signifie: Des papiers
sans éclaircissants optiques, habituellement mis en œuvre pour
atteindre la clarté souhaitée du papier.
– Les papiers recyclés présentent surtout l’avantage d’avoir
recours à la matière première «papiers de récupération» ce qui
déleste d’autant les dépôts d’ordures.
Labels écologiques:
L’ange bleu (www.blauer-engel.de): Il est décerné par
le RAL «Institut für Gütesicherung und Kennzeichnung»
(www.ral.de) sur la base des directives du ministère allemand de l’environnement dans le cadre d’une procédure
de licence pour le papier recyclé (uniquement), fabriqué à
100% à partir de papier récupéré et qui remplit quelques
autres critères.
Le cygne blanc (www.svanen.nu): C’est un label scandinave écologique du «Nordic Ecolabelling Board» décerné
au cours d’une procédure de licence, décerné entre
autres pour des papiers qui remplissent certaines conditions concernant la provenance de la matière première et
sa composition et pour lesquels on respecte, au moment
de la fabrication, des seuils définis d’émissions ainsi que
d’autres critères.
L’Eco Label (www.eco-label.com) est le label écologique de la Communauté Européenne. Il est décerné
par le «European Eco Labelling Board» notamment à des
papiers, sur des critères similaires à ceux du cygne blanc.
Normes environnementales:
ISO 14001 (www.iso.org) et
EMAS Label Eco-Management
and Audit Scheme (www.emas.org.uk).
Les deux attestent que le fabricant de papier permet à son entreprise d’atteindre, tout en étant contrôlée, certaines normes environnementales et d’améliorer constamment sa performance écologique
(par exemple réduction des émissions, économies d’énergie, etc.)
Inapa utilise majoritairement des papiers de bureau dont les
fabricants sont certifiés selon les systèmes de gestion environnementale précédemment cités.
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Indications pour l’impression / Service
Papiers couchés deux faces
Un bon résultat final dépend cependant de l’observation des propriétés respectives des trois éléments: papier, encre et impression.
Dans cet ordre d’idées, nous espérons que les deux constatations
suivantes, tirées de la pratique, pourront vous être utiles.
Jaunissement par contact (sublimation) et juxtaposition
de zones brillantes et mates dans l’impression poly­chrome
(impression fantôme)
La juxtaposition en polychromie peut occasionnellement se produire
lors de l’impression du verso. Il s’ensuit une reproduction estompée
sur le verso du sujet imprimé sur le recto.
On observera parfois une modification de l’éclat de la couleur,
soit par excès (effet de brillance) ou atténuation (effet mat). A ces
modifications de la brillance peuvent s’ajouter des modifications
de l’intensité ou du ton de la couleur. Les effets susmentionnés ne
peuvent se produire que lorsque les encres sont surimprimées sur
une première couleur déjà sèche du verso; c’est-à-dire uniquement
lorsque une impression polychrome sur le verso est effectuée sur
une machine une ou deux couleurs. En règle générale de tels effets
ne peuvent se produire dans le cas où le verso est imprimé humide
sur humide sur une machine quatre couleurs à un seul passage.
Dans les deux cas, la cause est imputable avant tout à l’encre.
Durant le séchage de l’encre, certains résidus se libèrent. A cause
de l’étroit contact des feuilles dans la pile, ces résidus se gazéfient
(sublimation) et modifient ainsi la nuance et le pouvoir d’absorption
du verso encore vierge de la feuille suivante. Le jaunissement par
contact est d’autant plus visible que le papier est plus blanc. Dans
l’impression polychrome, I’effet de juxtaposition de zones plus brillantes et plus mates ne peut se produire qu’avec des encres contenant des oxydants.
Pour éviter ou atténuer ces deux phénomènes, nous conseillons de
prendre les mesures suivantes:
a)Stockage des feuilles imprimées en petites piles, bien aérées. Ne
pas trop attendre avant de continuer l’impres­sion.
b)Température des magasins et salles des machines pas trop élevée. Ne jamais laisser une pile de papier à proximité d’un radiateur ou d’une cheminée.
c) Encrage minimum.
d) Prudence dans l’utilisation de siccatifs, diluants et pâtes.
e) Eviter de couper des encres de plusieurs fournisseurs.
f) Utiliser des encres concentrées.
g)Ne pas choisir des papiers plus blancs qu’absolument nécessaire.
h)En cas de doute, faire un essai sur une presse à épreuves avec
le papier et l’encre définitifs.
i)Pour éliminer cette juxtaposition de zones brillantes et mates une
solution consiste à appliquer un vernis à dispersion ou à effectuer un laminage.
(Informations détaillées disponibles c/o UGRA/EMPA St.-Gall)
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Indications pour l’impression / Service
Résistance à l’abrasion et problèmes de
séchage avec les papiers couchés mats
Avec les papiers couchés mats et demi-mats, des problèmes de
résistance au frottement apparaissent souvent lors du façonnage.
Pour des raisons physiques, il n’est pas possible d’obtenir une résistance au frottement aussi bonne qu’avec des papiers natures ou des
papiers couchés brillants. La plus grande rugosité de la surface des
papiers mats ne permet pas l’obtention d’une résistance maximale
au frottement.
Causes possibles de problèmes de séchage et d’abrasion:
– Encres d’impression non adaptées pour le support utilisé.
– Trop d’eau de mouillage émulsionnée dans l’encre d’impression.
– Eau de mouillage représentant une valeur pH trop basse (en dessous de 5.5).
– Mauvais renouvellement de l’encre dû à une consommation trop
faible de la forme et de ce fait, une émulsion accrue des encres
d’impression.
– Grain et quantité de poudre antimacule pas appropriés.
– Temps de séchage insuffisant entre les différents passages
d’impression ou jusqu’à la transformation ultérieure.
Optimalisation des conditions d’impression:
– Lors d’une faible utilisation d’encre, impression en parallèle
d’une bande de décharge.
– Utilisation minimale d’eau de mouillage (év. utilisation de siccatif
pour l’eau de mouillage).
– Utilisation d’une encre mieux adaptée pour le support employé.
– Vernissage mat ou brillant. Pour une surface noire, impression en
duplex. Adjonction de vernis (jusqu’à 20%) à l’encre.
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Indications pour l’impression / Service
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Conseils
Conseils pour l’impression et le façonnage de supports qui
n’absorbent l’encre que difficilement
Ce sont, par exemple:
– CHROMOLUX COLOR
– CHROMOLUX METALLIC
Leurs surfaces sont «fermées» et ne permettent pas aisément la
pénétration de l’encre ou de particules de celle-ci. Le film d’encre
doit donc durcir en surface, processus qui se déroule dans le
séchage conventionnel par l’absorption d’oxygène (oxydation). Afin
d’éviter des dégâts dus au stockage, difficultés de séchage et dépôt
d’encre ultérieur, il faut observer les conseils suivants:
– Utilisation d’encres séchant par oxydation adaptées au support
d’impression correspondant. (Important: prendre con­tact avec
le fournisseur d’encre.)
– Ne pas régler la valeur pH de l’eau de mouillage en dessous de
5.3.
– Pendant l’impression, ne pas utiliser des produits chimiques pour
le traitement des plaques.
– Toujours imprimer avec une quantité d’eau de mouillage minimum.
– Lorsqu’il y a peu de débit, installation d’une bande de dé­charge
dans la forme d’impression, pour rendre possible un renouvellement d’encre sur les rouleaux encreurs.
– En aucun cas imprimer avec des encres qui sont déjà émulsionné
par l’eau de mouillage.
– Lors de l’empilage, faire attention de ne pas rayer les feuilles
imprimées. Arrêter le système d’égalisation de l’empilage.
Indications pour l’utilisation des papiers Offset
Généralités pour les papiers natures
Les papiers natures en général ont des propriétés de réaction au
variations d’humidité. Tenant compte des variations climatiques et
de l’influence de l’eau de mouillage pendant l’impression offset, il
peut apparaître des ondulations sur les bords et des déformations
des feuilles. Ceci est spécialement valable pour les papiers avec une
humidité relative quelque peu ré­duite. Pour garantir une transformation sans problèmes, les recommandations suivantes sont à prendre
en considération:
Avant l’impression Offset:
– Stocker le papier au minimum une journée dans le local
d’impression afin qu’il puisse s’acclimatiser à la température
environnante. Lors de très grandes différences de températures (été, hiver), cette adaptation peut durer plus long­temps.
L’enlèvement de la présence éventuelle de feuilles de cerclage
présente un avantage.
– Enlever l’emballage de protection juste avant l’impression afin
que les différences climatiques influencent le moins possible.
– Ne pas laisser traîner du papier sans protection climatique (couverture en plastique).
Pendant l’impression Offset
– La surface à imprimer correspond au côté de l’ouverture des
rames, respectivement face supérieure de la palette.
– Imprimer toujours avec une quantité minimum d’eau.
– Les machines avec mouillage à alcool permettent en principe un
meilleur contrôle de celui-ci.
– La valeur pH de l’eau de mouillage ne doit pas se trouver en
dessous de 5.5.
– Utiliser une encre adéquate selon le domaine d’utilisation, après
avoir consulté votre fournisseur d’encre.
– Travailler si possible sans poudre antimacule.
Après l’impression Offset
– Prendre suffisamment de temps en considération pour le séchage
des encres.
– Consulter le transformateur pour les particularités (reliure, finissage, etc.).
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Indications pour l’impression et le façonnage de préimpression sur papiers à photocopier/laser/ink-jet
Lors de la préimpression sur des papiers à photocopier/laser/ink-jet,
les points suivants doivent être pris en considération:
Papier
Les papiers pour photocopieurs et imprimantes laser présentent des
propriétés particulières. Il faut choisir la sorte la plus appropriée à
la future utilisation. Un papier préimprimé est bien choisi si ses propriétés au cours de l’impression, du façonnage et de l’emballage
demeurent inchangées.
– Basse humidité relative du papier (25– 40% au max.)
– Une surface conductrice électrique définie avec précision assure
une consommation réduite de toner et une adhérence adéquate
– Les papiers exempts de poussière, dotés de bords de coupe lisses, respectent les appareils et permettent d’espacer les examens d’entretien
Transformation
Hormis les facteurs humidité et planéité, poussière de coupe et
pétouilles sont le plus souvent cause de panne, de problème de
prise, de bourrage, etc. Les influences de l’humidité peuvent conduire à des blancs dans l’impression.
– Procéder au format final uniquement à l’aide d’un couteau affûté
– Réemballer les papiers imprimés le plus rapidement possible
– Une protection immédiate aux conditions climatiques est particulièrement importante lors de préimpressions en quadrichromie
Emballage
Un taux d’humidité bas du papier doit être maintenu jusqu’à l’étape
de la copie. Recommandation: utilisez un emballage étanche à la
vapeur d’eau ou pour 500 feuilles un papier d’emballage coupé pour
les formats A4 et A3. Cet emballage présente une protection optimale contre les variations de température.
Impression
Le maintien du taux d’humidité – variant selon la fixation de la chaleur dans les photocopieurs et les imprimantes laser (allant jusqu’à
250° C) – est capital afin d’éviter tout problème d’utilisation ultérieur. Le maintien de la planéité est aussi d’un caractère de première
importance.
– Ne retirer l’emballage du papier que peu de temps avant le travail
d’impression
– Ne pas poudrer
– Couvrier les piles imprimées avec des cloches en plastique
– Eviter la sous-impression aux endroits devant être copiés ou fixer
la trame au maximum à 15%
– Eviter la préimpression de formulaires avec des surfaces comportant de grands aplats, si inévitable, éclaircir avec une trame
d’environ 30%.
– Pour une préimpression sur une surface couchée, procéder à des
essais pratiques
Encres
Des encres d’impression séchées et durcies peuvent provoquer des
dépôts sur les machines à photocopier. Plus tard, les impuretés peuvent être copiées – les espaces entre les nettoyages et les visites de
maintenance sont ainsi écourtés.
– Utiliser des encres séchant par oxydation. Prendre concact avec
le fournisseur d’encre.
– Etre attentif à la propreté des plaques et au pH de l’eau de mouillage
– S’il y une petite surface d’impression comparée avec le format de
machine, imprimer des bandes de décharge.
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juillet 2014
Recommandations relatives à Inapa Infinity by Condat mat Périgord
Recommandations relatives à l’apprêt et à la mise en œuvre
Cassure lors du rainage
On a constaté que lorsque la surface du carton ou encore le carton
lui-même se cassait à l’emplacement de la rainure, cela était moins
souvent dû au matériau qu’à un réglage inapproprié ou incorrect du
dispositif de rainage. Bien entendu, le rainage de cartons couchés
sur les deux faces est plus problématique que celui des cartons
couchés sur une seule face ou non couchés. Pour obtenir de bons
résultats, il conviendra de suivre les règles énoncées ci-après et
d’effectuer des contrôles sur échantillons lors du rainage d’un tirage.
Un rainage précis demande que l’on respecte les règles suivantes:
Epaisseur de la ligne de rainage
= env. 1–11⁄2 x l’épaisseur du carton à rainer
Largeur de la rainure
= largeur de la ligne de rainage
+ 2 x épaisseur du carton + 0,2 mm
Dans le cas des cartons couchés
= reprendre toutes les valeurs indiquées ci-dessus et les augmenter
d’environ 50%. Arrondir généreusement le rainage afin que la couche ne soit ni écrasée ni cassée.
Outils
= les arêtes ne doivent pas être affilées, mais au contraire émoussées.
Il est important que la profondeur de pénétration soit bien régulière sur toute la longueur du rainage et qu’elle soit en rapport avec
l’épaisseur du carton et sa nature.
Normalement, trois épaisseurs de lignes de rainage suffisent pour
les catégories de carton présentant un grammage de 160 à 600
g/m2 . Dans la mesure où les rainures d’un cahier sont toutes orientées dans le même sens, il est avantageux, sur des machines
à imprimer cylindriques, de les placer perpendiculairement à l’axe
du cylindre, c.-à-d. parallèlement au processus d’impression. Les
lignes de rainage doivent se trouver exactement au milieu des rainures. A partir d’un grammage de 600 g/m2, on ne parlera plus de
rainage, mais d’un pliage à l’aide de dispositifs spéciaux.
A la question de savoir si le rainage doit s’effectuer de la face extérieure vers l’intérieur ou inversement, il faut répondre ainsi: Si par
la suite un contenu doit être agrafé sur le carton, le bombé devra
toujours être dirigé vers l’extérieur. Dans tous les autres cas, on aura
avantage à choisir le sens inverse.
Epaisseur du filet raineur 0,7 mm (2 pt)
Hauteur du filet raineur = hauteur filet coupeur – épaisseur du papier
Sorte
Grammage g/m2
Périgord
150
170
200
225
250
275
300
350
380
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Epaisseur
µm
162
186
201
236
268
300
333
403
415
Largeur contre-partie
Rainage
Rainage
sens marche
sens travers
0,9
0,9
1,0
1,0
1,0
1,1
1,1
1,2
1,2
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0,9
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Référence CHANNEL
Chamois no 40
Chamois no 40
Chamois no 40
Chamois no 40
Chamois no 40
Chamois no 40 / Blanc no 50
Chamois no 40 / Blanc no 50
Blanc no 50
Blanc no 50
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page C – 9
Indications pour l’impression / Service
Recommandations relatives à HiTec et Mirri
Informations techniques pour l’impression de «HiTec»
L’impression sur des supports d’impression métallisés nécessite en
règle générale des encres d’impression spéciales (encres pour films
proposées par tous les fabricants d’encre) qui sont constituées dans
une large mesure ou exclusivement d’une base de liant séchant par
oxydation c’est-à-dire à l’air. Les supports d’impression en question
sont la plupart du temps très lisses et ne possèdent pas de pores
à travers lesquels l’encre ou ses composants peuvent pénétrer ou
s’incruster physiquement. De plus, des agents de démoulage ou
agents antiadhérents ainsi que des plastifiants se trouvant sur la
surface peuvent gêner l’adhésion des encres.
Conseils à l’imprimeur
– Les cylindres et encriers doivent être parfaitement nettoyés. Il ne
doit pas y avoir de traces de produit de lavage sur les cylindres.
La solution de mouillage doit être remplacée.
– Les encres pour films ne séchant généralement que par oxydation, on devra éviter les conditions pouvant faire obstacle ou
gêner ce processus de séchage:
1. En offset humide, la quantité de solution de mouillage doit être
aussi réduite que possible (en cas de faible absorption, on
pourra vérifier s’il n’est pas possible de prévoir des surfaces
d’absorption d’encre supplémentaires).
2. On devra utiliser des plaques d’impression à surface lisse.
3. Eviter un climat humide et froid dans le local d’impression.
4. Le pH de la solution de mouillage doit être le plus neutre possible.
5. A part l’isopropanol, seul l’usage d’HYDROFIX B 8013 09 ou
d’HYDROFIX B-Plus 8077 09 est à conseiller comme additif à
la solution de mouillage. Afin d’améliorer le séchage, on pourra
encore ajouter à la solution de mouillage de l’HYDROSIC 8041
09 à raison d’environ 2%.
– On évitera d’ajouter des additifs à l’encre d’impression. Le cas
échéant, on pourra y ajouter un siccatif comme par ex. GrafoDrier Extra 10 T 5001 (au maximum 3%). Les encres pour films
séchant rapidement à l’air, on évitera tout arrêt prolongé des
machines d’impression.
– Il y a un risque accru de maculage et de collage. Par conséquent,
la sortie des feuilles devra pouvoir se faire sans encombre et le
dispositif de sortie devra être parfaitement plan. On procèdera à
un poudrage de la pile à l’aide d’une poudre de granulométrie
appropriée (max. 20). L’épaisseur d’encrage sera aussi faible que
possible (retrait de sous-couleur). Afin de faciliter le séchage par
oxydation des encres, le local devra être suffisamment aéré.
– Avant le tirage définitif, le mieux sera de procéder à un premier
tirage d’essai dans les conditions de la pratique afin de s’assurer
que le séchage de l’encre se déroule comme il se doit et que la
résistance au frottement et la résistance à la rayure des imprimés
sont suffisantes pour l’usage prévu.
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juillet 2014
page C – 10
Indications pour l’impression / Service
juillet 2014
Recommandations pour des papiers transparents
Impression offset
Le papier transparent a un pouvoir absorbant pratiquement nul. Il
doit donc être imprimé au moyen d’encres séchant par oxydation
(encres pour films), avec un mouillage aussi faible que possible (PH
neutre) et par petites piles. En cas de faible absorption de l’encre,
il conviendra d’imprimer en même temps une bande d’absorption
aussi large que possible. Cela permettra de réduire le risque d’une
émulsion trop importante de la solution de mouillage dans l’encre.
Afin d’éviter le maculage, on devra procéder à un poudrage suffisant. Celui-ci devra être adapté à l’épaisseur d’encrage et à la
hauteur de pile (choisir la granulométrie selon les recommandations
du fournisseur). Dans le cas d’une importante épaisseur d’encrage,
d’impression de grandes surfaces (> 100%) ou d’une impression
recto-verso, des exsudations semblables à de la graisse peuvent
apparaître et ainsi gêner l’absorption de l’encre. Pour de tels sujets
d’impression, il est conseillé d’effectuer un séchage aux UV. Cela
permettra également d’éviter le maculage. En raison de la chaleur
dégagée inévitablement par le séchage aux UV, on veillera particulièrement à la planéité du papier. Les radiateurs aux UV de la
nouvelle génération avec filtres thermiques sont particulièrement
recommandés. Si l’on utilise un chauffage à infrarouges, le rayonnement thermique peut entraîner des défauts de planéité (tendance
au roulage/gondolage).
Impression au jet d’encre/laser
Les papiers transparents conviennent à l’impression au moyen
d’imprimantes à jet d’encre et d’imprimantes laser. Etant donné la
variété des imprimantes, nous ne pouvons que recommander de
consulter les spécifications émises par le fabricant, notamment en
ce qui concerne le grammage admis. D’une façon générale, il est
à conseiller d’effectuer des tests spécifiques à chaque application.
Massicotage
Afin d’éviter la détérioration des lames en raison de la densité et de
la dureté du papier, il est recommandé d’utiliser une lame au carbure légèrement émoussée présentant un angle d’affûtage de 26°
et un chanfrein, l’épaisseur de la pile ne devant pas dépasser 5 cm.
Climat
De par leur nature, les papiers transparents sont particulièrement
sensibles au climat. On devra donc veiller tout particulièrement à
maintenir l’hygrométrie et la température dans le local d’impression
dans les limites conseillées (env. 20° C / 50% d’humidité relative).
Pour préserver les feuilles en vue de leur façonnage ultérieur, il est
conseillé de placer les piles de feuilles imprimées sous un emballage étanche à la vapeur d’eau immédiatement après l’impression.
Pré-impression
Les papiers transparents conviennent aux applications de préimpression. Pour ce domaine d’application, veuillez consulter les
­paragraphes «climat», «impression au jet d’encre/laser» et «impression à chaud».
Association avec d’autres types de papier
L’hygrométrie relative du papier est de l’ordre de 50%. Les papiers
transparents étant sensibles à l’humidité, il faut, ­lorsqu’on les associe à d’autres papiers, veiller à ce que les papiers en question aient
également un taux d’humidité de 50%, faute de quoi les papiers
transparents subiront des déformations différées.
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Façonnage/finition
Gaufrage à sec
D’une façon générale, les papiers transparents se prêtent au
gaufrage à sec. Selon les conditions d’application, le papier peut
prendre un aspect laiteux en raison de la compression importante
qu’il subit, ce qui se traduit également par de très beaux effets. Des
tests préalables sont conseillés.
Pliage/Rainage
La ligne de pliage ou de rainage devrait être de préférence parallèle au sens du papier. A partir d’un grammage de 150 g/m2, le
papier transparent a tendance à se déchirer dans le pli. On devra
donc effectuer un rainurage double au dos (la ligne de pliage ou de
rainage doit alors obligatoirement être parallèle au sens du papier).
Si le degré d’humidité du papier est trop faible, une déchirure dans
le pli est également à craindre. Par conséquent, on évitera le dessèchement du papier.
Lors du rainure, la compression du papier se traduit par un bord à
l’aspect légèrement laiteux.
Découpe/perçage/perforation
Les papiers transparents se prêtent très bien à la découpe et à la
perforation. La découpe au laser ne pose également aucun pro­
blème. Lors du traitement du papier au laser (brûlage), il se forme
au dos du papier une fine lisière brune à peine visible.
Impression à chaud (films d’impression à chaud)
A l’aide de cette technique, il est possible d’obtenir de très beaux
résultats sur des papiers transparents. Le papier transparent étant
très incompressible, le contact avec le film d’impression à chaud
doit être extrêmement précis. Pour exercer la contre-pression,
on utilisera un matériau difficilement déformable. Les films très
secs avec adhésif standard conviennent le mieux (pour la mise en
œuvre, se conformer aux instructions du fabricant). Les impressions à chaud ne conviennent pas toujours au laser. Il est conseillé
d’effectuer des tests.
Vernissage
Avec un vernis brillant, on pourra obtenir de beaux effets sur la
surface mate du papier. Du fait de la capacité d’absorption nulle
des papiers transparents, nous conseillons d’utiliser des vernis à
dispersion ou des vernis de surimpression aux UV. Afin de bien se
rendre compte de l’effet obtenu, il est conseillé d’effectuer des
essais préalables.
Reliure/collage
Les papiers transparents se prêtent à toutes les techniques de reliure. Dans le cas d’une reliure par collage, on veillera à ce que le
sens du papier soit parallèle à la reliure, en particulier si l’on utilise
des colles à dispersion. Dans le cas des colles contenant de l’eau,
les feuilles en papier transparent ont souvent t­endance à gondoler. Nous conseillons d’utiliser des colles contenant très peu d’eau
et plus particulièrement les systèmes adhésifs sans eau (hotmelt,
PUR). Par mesure de précaution, il conviendra de faire des essais
à blanc.
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page C – 11
Indications pour l’impression / Service
juillet 2014
Marche à suivre lors d’une réclamation
Les réclamations en tout genre sont infiniment désagréables pour
tous les participants, car elles surgissent constamment au moment
le moins opportun. Malgré les contrôles et les efforts, les défauts
sont inévitables, même quand il s’agit d’un produit de qualité supérieure. Si vous deviez faire face à un problème, nous vous remercions
de bien vouloir suivre la procédure prescrite. Lorsque les pièces justificatives manquent ou lorsque le rapport arrive trop tard, le traitement d’une réclamation s’avérera plus délicat. Aidez-nous, et nous
vous garantissons une solution rapide et efficace.
Pièces justificatives importantes
– Bulletins de livraison, emballages des palettes et/ou étiquettes
de rames; il vaut mieux conserver ces pièces justificatives avec
le stock imprimé ou avec les enveloppes de travail, ainsi I’on
pourra suivre le problème depuis le départ usine jusqu’à fin du
traitement de la commande, même lorsqu’il s’agit d’un défaut
dissimulé.
– Ne rien éliminer sans I’accord d’Inapa (pas même les maculatures).
– Lorsque I’on constate un défaut sans pouvoir joindre quelqu’un
auprès d’Inapa (week-end ou équipe de nuit), transmettre la
commande et poursuivre I’ordre inhérent. Si I’on procède à un
test, à une impression ou à une finition coûteux, sans I’accord
d’Inapa, nous ne supporterons plus la responsabilité des dommages.
– En cas de réclamation, 2 heures d’utilisation des machines sont
tolérées pour la recherche d’une solution..
Dommages causés lors du transport
– Formuler les réserves et les faire signer par le chauffeur sur le
bulletin de livraison. Ce document est indispensable!
– Si possible, photographier I’état de la marchandise à I’aide d’un
appareil digital. Conserver les numéros de commande et de
palette, éventuellement conserver les pièces justificatives.
– Informer aussitôt Inapa.
Arrachage des fibres, impuretés
– Prélever les particules du blanchet à I’aide d’un ruban adhésif.
– 25 feuilles imprimées ou non imprimées dans I’ordre d’impression.
Arrachage du couchage, synthèse sur le blanchet
– Prélever les particules du blanchet à I’aide d’un ruban adhésif.
– Conserver suffisamment de feuilles responsables d’un dommage
et celles qui sont endommagées.
– Echantillons de I’encre d’imprimerie utilisée et de I’eau de mouillage.
Impression irrégulière, dépôts, problèmes de séchage à la
couleur
– 25 feuilles imprimées ou non imprimées dans I’ordre d’impression.
– Echantillons de I’encre d’imprimerie utilisée et de I’eau de mouillage.
– Si possible, quelques feuilles d’un bon papier à comparaison
(qualité comparable, c’est-a-dire même grammage et même
sens de fibres).
Blanchets/plaques défectueux/euses
– Feuilles fautives.
– Blanchets et plaques concerneé, non lavés.
– En principe, nous dédommageons le blanchet et la plaque pour
une valeur max. de 50%.
– Au maximum 15 min d’indemnités pour faire valoir, par blanchet/
plaque, un changement d’équipe ou de la maintenance.
Ecarts angulaires et différences de format, raccords de
bobines, marquages mécaniques
– 25 feuilles non imprimées dans I’ordre d’impression, à plat.
Planéité imparfaite, tensions, problèmes hygrométriques,
stabilité dimensionnelle
– Si possible, photographier I’état de la marchandise à I’aide d’un
appareil digital.
– Si possible, donner des indications quant à la température dans
la pièce, respectivement quant à I’humidité de la rame fermée/
palette.
– Lorsqu’il s’agit d’une marchandise enramée, conserver si possible un emballage original. Lorsque la marchandise est ouverte,
garder env. 2 cm de feuilles originales, à plat, dans un emballage
résistant aux intempéries.
– Lors de difficultés de repérage, conserver au moins 25 feuilles
imprimées dans I’ordre d’impression.
Problèmes d’impression en général
– Modèle de machine et conditions d’impression, modèle de blanchet, chromaticité et ordre des couleurs, grosseur de la poudre,
valeur en ph de I’eau de mouillage sans additifs.
– Fixer les rubans adhésifs sur une pellicule transparente, ne pas
les frotter. Ne jamais fixer sur un support en papier ou en carton!
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juillet 2014
Conseils en cas de problèmes avec les papiers pour
photocopieurs et pour imprimantes laser
Recommandation générale
Avant de prendre contact avec le fournisseur d’appareils ou encore
de papier, il faut tout d’abord ouvrir une autre rame et procéder à un
test. Si possible, procéder aussi à des tests dans un autre appareil.
Problème
Causes possibles
Remèdes
Bourrage de papier au niveau de
I’entrée
• Charge électrostatique due à un air ambiant
sec ou encore à un taux d’humidité du papier
trop bas
• Roues d’entrée/de transport fortement usées
ou encore encrassées
• Bords de coupe poussiéreux
• N’introduire que la quantité nécessaire aux
besoins quotidiens
• Avant d’introduire le papier, bien aérer et
réajuster la pile
• Tourner la pile de papier
• Tests: introduction de feuilles uniques ou
autre bac de papier
• Nettoyer les roues ou les faire remplacer
Bourrage de papier dans I’appareil
Cintrage après I’impression
Formation de plis pendant I’impression
• Taux d’humidité du papier trop élevé
• Taux d’humidité de I’air ambiant trop élevé
• Déformation du papier due à un appareil
dont le diamètre de passage est trop étroit
• Mauvais sens de fabrication du papier
• Conservation du papier dans des boîtes le
protégeant des variations climatiques
• Introduction limitée à la quantité nécessaire
aux besoins quotidiens
Cintrage avant I’impression
• Le papier a absorbé de I’humidité =
ondulation des bords
• Le papier connaît une déformation
• Conservation du papier dans des boîtes le
protégeant des variations climatiques
• Introduction limitée à la quantité nécessaire
aux besoins quotidiens
Le toner n’adhère pas
Taches de toner sur le papier
• Température de fixation trop faible ou
passage trop rapide
• Surface du papier trop rugueuse, par ex.
qualités dotées d’une structure ou vergé
• Grammage du papier ne se prête pas à
I’appareil utilisé
• Un papier épais et lourd exige une température de fixation plus élevée ou un passage
plus lent = introduction de feuilles uniques
• Des tests préalables sont conseillés s’il
s’agit de papiers structurés ou vergé
• Observation des conseils et des réglages
indiqués dans le manuel descriptif de
I’appareil
Aplats avec impression tachée
Suspension d’impression
• Faculté de guidage perturbée par une
humidité du papier et une humidité du local
trop haute ou trop basse
• Papier nuageux
• Mauvaise planéité du papier
• Défaut causé par I’appareil
• Introduction limitée à la quantité nécessaire
aux besoins quotidiens
• Service de l’appareil, nettoyage
Impression superposée des
préimprimés (ombrage)
• Lors de la préimpression, encre non adaptée • Prendre contact avec I’imprimeur
ou non durcie
Poussière dans I’appareil
• Bords de coupe sales
• Résidus de poudre sur le préimprimé
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• Prendre contact avec le fournisseur en
papier
• Prendre contact avec I’imprimeur
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Indications pour l’impression / Service
juillet 2014
Conseils pour les formules préimprimées sur papiers pour photocopieurs et
imprimantes laser pour une utilisation électrophotographique ultérieure
Papier
• Basse humidité relative du papier
(25–40% au max.)
• Une surface conductrice électrique définie
avec précision assure une consommation
réduite de toner et une adhérence adéquate.
• Les papiers exempts de poussière, dotés
de bords de coupe lisses, respectent les
appareils et permettent d’espacer les examens d’entretien.
Les papiers pour photocopieurs et imprimantes
laser présentent des propriétés particulières.
Il faut choisir la sorte la plus appropriée à
la future utilisation. Un papier préimprimé
est bien choisi si ses propriétés au cours de
I’impression, du façonnage et de I’emballage
demeurent inchangées.
Impression
• Ne retirer I’emballage du papier que peu de
temps avant le travail d’impression.
• Ne pas poudrer.
• Couvrir les piles imprimées avec des cloches
en plastique.
• Eviter la sous-impression aux endroits
devant être copies ou fixer la trame au
maximum à 15%.
• Pour une préimpression sur une surface
couchée, procéder à des essais pratiques.
Le maintien du taux d’humidité – variant
selon la fixation de la chaleur dans les
photocopieurs et les imprimantes laser (allant
jusqu’a 200°C) – est capital afin d’éviter tout
problème d’utilisation ultérieur. Le maintien de
la planéité est aussi d’un caractère de première importance.
Encre
• Utiliser des encres séchant par oxydation.
• Etre attentif à la propreté des plaques et au
pH de I’eau de mouillage.
• Lorsque le pourcentage de couverture est
inférieur à 5%, selon le format mesuré sur la
machine, imprimer aussi les barres sur les
bords non imprimés.
Les encres non durcies conduisent à un dépôt
dans les photocopieurs. Plus tard, les impuretés peuvent être copiées – les espaces entre
les nettoyages et les visites de maintenance
sont ainsi écourtés.
Façonnage
• Procéder au format final uniquement à I’aide
d’un couteau affûté.
• Réemballer les papiers imprimés les plus
rapidement possible.
• Une protection aux conditions climatiques
immédiate est particulièrement importante
lors de préimpressions en quadrichromie.
Hormis le facteur humidité, poussière de coupe
et pétouilles sont le plus souvent cause de
panne, de problème de prise, de bourrage, etc.
Les influences de I’humidité peuvent conduire
à des blancs dans I’impression.
Emballage
• Un taux d’humidité bas du papier doit être
maintenu jusqu’à I’étape de la copie.
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juillet 2014
Recommandations I’effet «cigarettes»
Le nombre de feuilles éraflées lors de la manipulation de papiers
épais ou de cartons, a fortement augmenté. Les analyses le prouvent: les erreurs apparaissent en général à la préparation du papier,
et plus particulièrement au moment de couper le papier au format
d’impression, lorsque les pages sont déplacées, mises en place et
en ordre ou encore en cours d’impression.
en assumer la responsabilité. Ce qui est bien compréhensible. Les
coupables présumés: des échines de bois, des éclats de plâtre ou
tout autre corpuscule étranger. En réalité, ce sont des centaines de
fibres minuscules qui, suite à un coup ou un glissement, se trouvent
comprimées dans un espace restreint et forment des nodules d’une
incroyable dureté. L’éraflure est souvent de forme triangulaire, la
pointe dirigée vers I’extérieur de la page.
Les conséquences de plus en plus coûteuses
Si I’on pouvait jusqu’alors remédier aux dommages par le remplacement de blanchets isolés (dédommagement de la valeur actuelle), il est aujourd’hui souvent nécessaire d’en remplacer quatre,
six ou plus encore, ainsi que les feutrines. Mais ce type d’incident
est maintenant entré dans les coûts accessoires. Dans les nouvelles
installations d’imprimerie, les cylindres de contre-pression et de
transfert sont recouverts d’un film de chrome. Ces parties coûteuses de la machine, complétées par des surfaces concaves spéciales, sont sans exception détruites au passage d’une feuille avec
«cigarette», I’espace entre les cylindres étant minime. II n’existe
malheureusement pas encore de machine d’imprimerie qui soit en
mesure de déceler I’arrivée de feuilles endommagées à temps et de
stopper son fonctionnement le cas échéant. Aujourd’hui, les «couteaux à éplucher» endommagent aussi les systèmes d’impression
«Computer to machine», engendrant ainsi une nouvelle dimension
de conséquences, inconnues jusqu’à présent. En I’occurrence, les
dégâts coûteux ne peuvent pas être réparés simplement par le remplacement immédiat des pièces d’une machine.
Comment éviter des dommages
Conséquences d’une éraflure. La «cigarette» se comporte souvent comme un
«couteau à éplucher» et consiste en une centaine de minces enroulements de
papier. Aucun blanchet ne lui résiste.
De petits incidents avec de graves conséquences
Comment cela arrive-t-il? Lorsque I’on glisse ou pousse des
paquets de feuilles – et non une ou deux feuilles comme d’usage à
la coupeuse en feuilles – les angles de papier ou de carton peuvent
être endommagés et, sous le poids du chargement, se transformer
en «couteaux à éplucher» qui agressent le papier. Une fine couche
de fibre de papier s’enroule sur elle-même et formera un nodule
compact que I’on nomme «cigarette», dans le métier. II suffit d’une
fibre endommagée sur un angle d’une feuille et qui se dresse sur
elle-même. Plus tard, il y aura autant de blanchets et de feutrines
détruits qu’il y a de machines à imprimer. Et dans certains cas,
des dommages plus sérieux encore sont infligés à la machine. Des
analyses objectives précédentes démontrent que les éraflures et la
cause de ces éraflures n’ont été livrées que dans de rares cas avec
le papier. Dans les usines de papier et de carton, on ne découpe
latéralement qu’une ou deux feuilles à la fois lorsqu’il s’agit de
materiaux plus épais. Or, ce type d’éraflures dépend aussi du poids
de toute une pile.
A qui la faute ?
Par nature, les feuilles restent en place plusieurs heures ou jours
avant que ne soit découvert le malheur. Comme I’éraflure se produit
dans les strates les plus basses de la pile, personne n’est plus en
mesure de se rappeler I’incident et donc personne n’est disposé à
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a) Au cours de la coupe précédant I’impression:
– Ne jamais glisser les rames; les porter et les déposer avec précaution.
– Au cours de la coupe précédant I’impression, au moment
d’installer le papier ou de I’enlever, faire attention de ne pas
blesser les arêtes supérieures et inférieures.
– Ne pas prendre trop de feuilles. Avec le poids et le volume augmente aussi I’éventualité d’une éraflure.
– Diviser les paquets en ramettes ou déposer le reste des paquets
sur le paquet suivant dejà déballé.
– Ne jamais faire glisser le contenu d’une deuxième ou troisième
ramette sous le pont de la machine à découper s’il s’y trouve
dejà une pile de feuilles. .
Les connaissances actuelles permettent d’affirmer que les risques
d’éraflures sont plus élevés sur les bords fraîchement coupés.
b) Au cours du chargement:
Au cours du chargement, on utilise souvent des rames de grandes
feuilles instables. Aussi les arêtes arrière de la feuille supérieure du
paquet en attente peuvent être endommagées et peuvent se déchirer sans que I’on s’en aperçoive lors de lavmanipulation suivante, la
mise à plat. Se forme alors entre les feuilles une éraflure de papier
bien dure. Dans d’autres cas, on observe le déroulement inverse: les
rames éraflent leur face inférieure en partant depuis le bord avant.
Une seule fibre blessée ou une bordure imparfaite provenant de la
trace de la lame de la machine à découper suffisent pour donner
naissance à une dechirure en cas de manipulation malencontreuse.
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Indications pour l’impression / Service
juillet 2014
Voilà pourquoi:
– Ne jamais choisir les rames instables trop grandes.
– Ne pas blesser les faces supérieures ou inférieures de la rame.
– Ne jamais faire glisser ou pousser une rame.
– Redoublez de précaution au moment de faire pivoter une rame
empilée. Les arêtes sont alors soumises à des risques de coupure.
c) Les autres causes possibles:
– La lame de la machine à découper est usée (et augmente le
risque potentiel).
– Utilisation d’outils pour aplatir la rame sur le chargeur.
– S onde pour la mesure de I’humidité et de la température.
– Passage de rames de feuilles sur des tables à coussin d’air, valve
défectueuse.
Certains papiers ou cartons présentent un risque plus élevé
Par exemple des papiers avec des surfaces apprêtées ou striées, les
papiers nature épais et des cartons avec superficie rêche, mais aussi
des supports d’imprimerie épais et satinés et plus particulièrement
des cartons encollés. A la base, on peut dire que chaque glissement
d’une pile de carton ou de papier induit le danger d’une éraflure en
superficie. II importe donc de toujours soulever les paquets et de
les transporter en les portant. En cas de stricte nécessité, tirez et
poussez avec précaution. Cela vaut particulièrement au cours de la
découpe avant I’impression, car I’une des sources principales provoquant une éraflure se trouve lors du chargement de la machine
d’imprimerie.
Des éraflures sur le dessous ou le dessus d’une rame. Chaque déplacement
d’une rame par glissement (rame sur rame ou rame sur une autre surface)
comporte un risque. Et plus les piles sont hautes, plus le risque potentiel
augmente.
Le transport des rames par glissement sur la table de travail ou la machine à
découper. Les risques de blessures de la rame du dessous sont très élevés,
surtout par la lame de la machine à découper.
Eraflure d’une rame sur I’arête supérieure de la rame placée en dessous. Des
dommages qui découlent souvent du déplacement ou de la mise en place d’une
rame.
Eraflure de la rame du dessous par la rame en mouvement. Un incident qui
a souvent des conséquences. Origine ici aussi: le déplacement ou la mise en
place d’une rame.
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juillet 2014
Bases de calculation relatives au poids du papier
Lors de grandes quantités, le papier est commandé selon le poids.
Afin de déterminer le besoin d’une commande, le poids de 1000 feuilles
doit être connu.
Exemple relatif au poids
Poids de 1000 feuilles:
Longueur × largeur en cm × g/m2
10 000 (cm2)
= poids en kg par 1000 feuilles
Les prix sont exprimés en «CHF par 100 kg». La formule suivante
est alors employée, si ces prix sont à convertir pour 1000 feuilles:
Exemple relatif
au prix par 1000 feuilles
Calculation de prix pour 1000 feuilles:
Poids par 1000 feuilles × prix en CHF par 100 kg
= CHF par par 1000 feuilles
100 kg
Lorsque le prix et le poids par 1000 feuilles sont connus,
le prix par 100 kg est calculé de la façon suivante:
= CHF par 100 kg
Si la quantité livrée est accompagnée de données en kg, le nombre
de feuilles par tonne se calcule, par exemple, de la façon suivante:
Nombre de feuilles par tonne:
1000 kg × 1000
Poids en kg par 1000 feuilles
56 kg × CHF 230.– = CHF 128.80
100 kg
Exemple relatif
au prix par 100 kg
Calculation de prix pour 100 kg:
Prix en CHF par 1000 feuilles × 100
Poids en kg par 1000 feuilles
70 x 100 cm × 80 g/m2
= 56 kg
10 000 cm2
= Nombre de flles par 1000 kg
CHF 128.80 × 100
= CHF 230.–
56 kg
Exemple relatif
au nombre de feuilles
1000 kg × 1000
= 17 860 feuilles
56 kg
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