brasseries kronenbourg le brasseur préféré des français

Transcription

Dossier
institutionnel
2010
BRASSERIES
KRONENBOURG
LE BRASSEUR
PRÉFÉRÉ
DES FRANÇAIS
BRASSERIES
KRONENBOURG
LE BRASSEUR
PRÉFÉRÉ
DES FRANÇAIS
Brasseries kronenbourg - Dossier de presse institutionnel 2010
3
LE 1er BRASSEUR FRANÇAIS
I. Depuis 1664, brasseur en Alsace
. Le leader du marché de la bière en France
p. 6
p. 6
II. A Obernai, on produit une bière sur trois consommées en France
. La plus grande brasserie de France
. Technologie et tradition
p. 7
p. 7
p. 7
III. Les deux marques françaises leaders
. Kronenbourg, la bière n°1 en France
. 1664, la bière française la plus consommée au monde
. Une gamme de bières reconnues
p. 8
p. 8
p. 8
p. 8
IV. Brasseur innovant
p. 10
V. Le brasseur préféré des Français
p. 12
BRASSEUR DE NATURE
I. Brasseur depuis 1664 . Depuis 345 ans, nous exerçons notre métier de brasseur avec passion p. 14
p. 14
II. Paroles de brasseurs
. Qu’est ce qu’un Maître Brasseur ?
. Une équipe de 20 Maîtres Brasseurs . Notre bière, un produit de qualité
. La fabrication : un art subtil et quelques bulles de mystère
. La qualité de service et l’art de la dégustation
p. 17
p. 17
p. 17
p. 18
p. 20
p. 21
III. Brasseur engagé
. Nos engagements environnementaux
. Nos engagements vers le consommateur
. Nos engagements sociétaux
. La Fondation Kronenbourg p. 23
p. 23
p. 26
p. 27
p. 28
ANNEXES
1. Brasseries Kronenbourg « à la source de la musique », partenaire depuis 20 ans des plus grands festivals musicaux de France
2. Fiche d’identité : Brasseries Kronenbourg en bref p. 32
p. 33
Brasseries kronenbourg - dossier de presse institutionnel 2010
5
F
ondée en 1664 à Strasbourg, Brasseries Kronenbourg, l’une des plus anciennes entreprises
françaises, a fêté en 2009 ses 345 ans et les 40 ans de sa brasserie d’Obernai.
Ancrée dans son terroir d’origine, où se déroule encore aujourd’hui l’élaboration de ses bières,
Brasseries Kronenbourg, brasseur de nature, appartient au patrimoine du goût français.
Qui dit patrimoine, dit savoir-faire éprouvé et installations de production toujours à la pointe pour
garantir des bières de la plus haute qualité, fraîchement brassées.
Ce savoir-faire est perpétué par une équipe de 20 Maîtres Brasseurs.
Conjuguant l’innovation (Brasserie Kronenbourg a été au fil du temps précurseur de nouveaux arômes
et de nouvelles tendances de consommation) et l’héritage de trois siècles et demi de passion
brassicole, ces femmes et hommes passionnés partagent le secret d’une élaboration 100 % alsacienne.
Ils expriment leur savoir-faire depuis la sélection d’ingrédients nobles issus de la nature (orge et
malts de variété française, eau pure puisée dans la nappe phréatique alsacienne, houblon dont le fameux
strisselspalt, « caviar » des houblons) jusqu’aux diverses étapes de la fabrication.
La brasserie d’Obernai, où se déroule cette secrète « alchimie », produit une bière sur trois consommées
en France. Elle témoigne, depuis 40 ans, du mixage réussi de la technologie et de la tradition.
Une entreprise leader se doit aussi d’être exemplaire. Brasseries Kronenbourg est un brasseur engagé
vers le consommateur, sur les aspects de la qualité et de la sécurité alimentaire, mais aussi dans les
domaines environnementaux et sociétaux. Sans oublier des actions de mécénat à travers la Fondation
Kronenbourg, la plus vieille fondation d’entreprise en Alsace.
Elle occupe aujourd’hui le rang de premier brasseur français – une bière sur trois consommées en France
porte sa griffe – avec ses marques phares Kronenbourg (première marque de bière en France) et 1664,
unique bière premium française (n° 3 en France et bière française la plus consommée au monde).
Leader en grande et moyenne distribution et dans le secteur des cafés-hôtels-restaurants, Brasseries
Kronenbourg est le brasseur préféré des Français, fidèles consommateurs de sa gamme de bières
aussi différentes et caractéristiques que Kronenbourg, 1664, Kanterbräu, la Danoise Carlsberg, l’Irlandaise
Guinness, l’Espagnole San Miguel ou la bière d’abbaye Grimbergen.
Tout un univers à la fois familier et méconnu dont voici les principales clés…
LE 1er BRASSEUR
FRANCAIS
I. Depuis 1664,
brasseur en Alsace
Le leader du marché de la
bière en France
Brasseries Kronenbourg est le premier brasseur
français. Aujourd’hui, une bière sur trois consommées
en France, toutes marques confondues, est issue du
portefeuille de marques de Brasseries Kronenbourg.
Sa part de marché est de 31,3 %1 et atteint 38 %2
en hyper et supermarchés. 70 % de ses ventes sont
réalisées dans le circuit alimentaire et 30% dans le
circuit hors domicile.
Le nouveau management des Brasseries
Kronenbourg, avec à sa tête Thomas
Amstutz, a choisi de s’appuyer,
principalement, sur les deux marques
phares, Kronenbourg et 1664. Deux
marques qui puisent leurs racines dans
l’Hexagone, en Alsace, région de bière par
excellence.
Pour mettre en œuvre cette nouvelle stratégie et
renforcer l’impact commercial, un changement
en profondeur de l’organisation des Brasseries
1
Source : Association des Brasseurs de France
2
Source : Nielsen
Kronenbourg a été mis en place afin de mobiliser
toute l’entreprise derrière ses marques,
au service de ses clients, tournée vers les
consommateurs. Une mutation forte pour créer une
organisation plus simple et plus efficace.
De nouveau en ordre de marche, Brasseries
Kronenbourg se redéploie pour dynamiser le segment
de la bière comme il sied à un leader et au brasseur
préféré des Français. Un rôle qui passe notamment
par une meilleure exécution au point de vente et par
l’innovation produit afin de répondre aux attentes des
consommateurs en matière de goût et de tendances.
Les chiffres clés
Chiffre d’affaires 2009 :
813 millions d’euros
Part de marché : 31,3 %
Effectifs : 1 300 brasseurs
7
II. à Obernai, on produit une bière
sur trois consommées en France
La plus grande brasserie
de France
Brasseries Kronenbourg produit toutes ses bières
en Alsace, à la brasserie d’Obernai, l’une des rares
brasseries à avoir vu le jour à la fin du XXe siècle
(en 1969) sur une superficie de 69 hectares. Cette
brasserie est la plus grande de France. On y produit
une bière sur trois consommées en France. Elle
fête ses 40 ans cette année.
C’est aussi l’une des plus performantes d’Europe. Avec
sa tour de cinquante-deux mètres (silo de stockage
du malt), ses tanks de fermentation gigantesques, son
entrelacs de voies, son incessant ballet de trains et
de camions, le site a des allures futuristes. Tout y est
géré par une informatique de pointe. Sa fantastique
puissance de production –7,5 millions d’hectolitres
par an pour près de 300 références - n’a d’égale que
sa flexibilité, puisque elle brasse des bières aussi
différentes et caractéristiques que Kronenbourg, 1664,
Kanterbräu, Grimbergen et la Danoise Carlsberg.
technologie et tradition
Cette infrastructure technologique, tournée vers le
futur de la bière, observe pourtant le rite séculaire du
brassage. L’eau (puisée sur place), le malt, la levure
et le houblon demeurent les ingrédients essentiels.
D’immenses chaudières en inox remplacent les
gros chaudrons de cuivre que restituent les images
anciennes. Toutes les machineries et les salles de
travail sont aseptisées, nettes comme des épures
d’architecte. Les 52 cuves de fermentation géantes,
à la capacité unitaire de 2 000 hl, 6 000 hl ou
10 000 hl chacune, sont le lieu d’une activité secrète
et ininterrompue.
une bière sur trois consommées
en France, est une bière issue
des Brasseries Kronenbourg
III. Les deux
marques
françaises
leaders
Kronenbourg, la marque n°1
en France
Une bière sur cinq consommées en France est une
Kronenbourg. Ceci représente l’équivalent de 1,4 milliard
de demis. La marque est leader en GMS avec plus
de 22% de part de marché et occupe la place
de n°1 à la pression dans les Cafés, Hôtels et
Restaurants
Cette année, Kronenbourg poursuit sa reconquête
des consommateurs en axant son repositionnement
autour de ses trois
valeurs originelles
: l’authenticité,
la convivialité et
surtout la qualité. Un
engagement porté
par nos 20 Maîtres
Brasseurs.
1664, la bière française la plus
consommée au monde
Marque n°3 en France, elle est unanimement reconnue
comme une bière de grande qualité. Et pas seulement
des consommateurs français. La bière préférée des
Britanniques, selon le site Ciao, figure également parmi
les dix marques les plus reconnues mondialement
d’après une enquête du cabinet Milward Brown
effectuée en 2009.
En 2009, la «Seize », comme la surnomment ses
amateurs, adopte un nouveau positionnement et
une nouvelle signature, « Le goût à la française ». En
clair, 1664
revendique
son statut de
seule bière
premium
française,
incarnation du
savoir-vivre à
la française.
1664 renforce
également
son identité
autour de la couleur bleue qui domine sur l’ensemble
des conditionnements, de la collerette de bouteille au
pack. Un bleu qui s’harmonise parfaitement avec les
deux autres couleurs historiques de la marque, le rouge
et le blanc.
Une gamme de bières
reconnues
Le portefeuille de Brasseries Kronenbourg couvre
tous les segments du marché de la bière : blondes,
blanches, ambrées, brunes, sans alcool et panachés. Des
bières pour tous les instants et toutes les occasions de
dégustation, aptes à satisfaire les goûts les plus divers
des consommateurs et amateurs.
Il comprend notamment les deux seules marques
françaises de dimension nationale : Kronenbourg et 1664
9
Toutes nos bières
Kronenbourg : la bière la plus consommée en
France (plus d’une bière sur cinq) doit son nom à un
quartier de Strasbourg où la brasserie s’est installée
au début du XIXè siècle.
1664 : la seule bière premium française et la plus
vendue au monde dans 70 pays. La bière française
préférée des Britanniques est née en… 1952 ! Elle
est issue du mariage de malts sélectionnés, de
houblons aromatiques et de levures exclusives.
Kanterbräu : Maître Kanter a sélectionné deux céréales, le blé et
l’orge, pour élaborer une bière fine et fraîche.
Wel Scotch : une bière authentique brassée à partir d’un malt des
Highlands.
Wilfort : une brune de fermentation haute, brassée avec plusieurs
variétés de malt (en particulier des malts torréfiés), dont la tradition
est perpétuée par les maîtres brasseurs du groupe.
Force 4 de Kronenbourg : le panaché idéal, pesant moins de
0,5 % d’alcool en volume, pour se rafraîchir en toutes circonstances.
Grimbergen : « la » bière d’abbaye par excellence créée par les
Pères Prémontrés en Flandre au XIIe siècle.
Carlsberg : une bière premium de type « pils », relativement maltée
et à l’amertume franche.
San Miguel : une blonde d’Espagne, idéale pour accompagner les
traditionnelles « tapas ».
Guinness : l’Irlandaise - bière brune dite « stout » - la plus célèbre
au monde, brassée depuis 1759 à Dublin. Elle a fêté ses 250 ans en
2009.
IV. Brasseur
innovant
Le groupe Carlsberg,
quatrième brasseur
mondial
Avec le rachat, au printemps 2008, d’une
partie des actifs de Scottish & Newcastle
en France, mais aussi en Grèce et dans
les pays baltes, notamment, le groupe
Carlsberg s’est hissé parmi les leaders
mondiaux de la bière. En 2009, le groupe
danois a commercialisé près de 120
millions d’hectolitres de bière pour un
chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros.
Chez Carlsberg, la bière se décline sous
plus de 500 marques. Le portefeuille,
qui couvre l’ensemble des segments en
matière d’attentes des consommateurs ou
de moments de dégustation, comprend des
marques locales, à l’image de Kronenbourg
en France, mais aussi des signatures
internationalement reconnues, comme
Carlsberg et Tuborg, les « historiques »,
ainsi que les nouvelles marques intégrées
l’an dernier, Baltika et 1664.
Quatre des produits du groupe figurent
dans le « Top Ten » des bières en Europe :
Baltika, Carlsberg, Tuborg et Kronenbourg.
Carlsberg est présent mondialement,
notamment en Asie où le groupe entend
bien se développer sur le long terme.
Le groupe Carlsberg est présidé par Jorgen
Buhl Rasmussen.
www.carlsberggroup.com
Garder une longueur d’avance sur les tendances
du marché et répondre au mieux aux attentes et
aux nouvelles habitudes de consommation, telle a
toujours été la philosophie de Brasseries Kronenbourg.
Avec un véritable tempérament de précurseur,
l’entreprise n’a cessé d’innover au fil des décennies
tant en matière de produit, à travers la recherche
permanente de nouveaux goûts et de nouvelles
occasions de dégustation, que de packaging,
apportant régulièrement de nouvelles solutions, plus
pratiques, pour faciliter l’achat et la dégustation de
la bière.
Les deux fers de lance de cette innovation
permanente : Kronenbourg et 1664.
Kronenbourg,
la bière n°1 en france
C’est en 1947 que la Tigre Bock, créée pour le
restaurant le Grand Tigre, prend le nom du quartier
strasbourgeois Cronenbourg où est installée la
brasserie. Deux ans plus tard, en 1949, alors que tous
ses concurrents ne produisent leurs produits que dans
des grandes bouteilles, Kronenbourg est le premier
brasseur à lancer la petite bouteille en verre consigné
de 33 cl – la célèbre « Steinie ».
La brasserie innovera une nouvelle fois en 1953 en
proposant sa bière en boîte métallique. Présenté
comme « facile à transporter, facile à ranger et plus
pratique », ce « contenant perdu » offre un nouveau
confort au consommateur.
En 1963, lors de l’ouverture en France du premier
hypermarché, Kronenbourg lance son premier pack
6 x 33 cl en verre perdu spécialement destiné à ce
nouveau type de point de vente. C’est la révolution
sur le marché de la bière. Il s’agit
du premier contenant recyclable
de l’histoire du packaging dans
le monde de la bière. « Avec
deux doigts, vous emportez six
Kronenbourg » disait la pub.
Pack, maxipack, hyperpack, l’idée
géniale est trouvée. Au fil des
ans, Kronenbourg ne cessera de
diversifier et de compléter son
offre avec des packs de 10 x 25 cl
(1973) et 24 x 25 cl (1979), une
capsule qui se dévisse – le «Twist
of »- (1983), un pack de 26 x 25 cl
(1988), Pur Malt, la bière sans
11
alcool (2000), une boîte 100 % recyclable qui se
rebouche – la « bottle can » – (2005), 7°2 (2006),
Extra Fine (2007), le fût de 5 litres pression (2009) et
Kronenbourg Sélection des Brasseurs (2010).
1664, l’unique bière premium
française
Pour optimiser la dégustation de cette bière premium,
Brasseries Kronenbourg innove en 2007 avec « 1664
Instant Pression ». Il s’agit de la première bière blonde
du marché possédant un système pression intégré
dans une boîte de 28 cl et dans un format « spécial
pinte » de 50 cl. Ce procédé (protégé et fruit de deux
ans de recherche) repose sur l’existence dans chaque
canette d’une petite bille remplie d’azote qui au
contact du dioxyde de carbone permet de développer
une certaine quantité de mousse.
Le marché de la bière
en France
Après deux années – 2005 et 2006 – où les
ventes ont été stables et le mauvais été de
2007, avec un recul des sorties de 3.3%, les
chiffres de 2008 ont confirmé la tendance
baissière. 18.6 millions d’hectolitres ont été
consommés sur le marché français, volume en
repli de 5% sur l’année précédente. Le marché
se stabilise en 2009 (+0,5 %).
Le circuit hors domicile est le plus touché
par la baisse des ventes de bière : -11.5% entre
2007 et 2008, -2.7% en 2009. Si l’on remonte
19 ans en arrière, en 1991, les volumes vendus
dans les cafés-brasseries ont été divisés
par deux, régressant de 8,7 à 4,4 millions
d’hectolitres. Interdiction de fumer dans
les lieux publics, baisse du pouvoir d’achat,
fermetures massives d’établissements
limitent l’évolution de la consommation de
bière dans cet univers. Dans le domaine de
la vente à emporter, la bière tire mieux son
épingle du jeu. Grâce à deux segments : les
bières spéciales et les spécialités qui, avec
moins de 50% des volumes, réalisent près
des deux-tiers du chiffre d’affaires. À l’instar
du vin, dans les années quatre-vingt, les
modes de consommation de bière évoluent du
rafraîchissement vers la dégustation. Ce qui
entraîne un report d’achat des bières classiques
ou des panachés et des sans alcools vers des
bières spéciales ou des spécialités. D’autant
que le consommateur a besoin de diversité,
ce qu’il ne trouve pas forcément en CHR. Avec
28 litres par an et par habitant (très variable
selon les régions), la France est le dernier pays
consommateur de bière de l’Union européenne.
V. Le brasseur
préféré des français
Les consommateurs nous plébiscitent
• 1 bière sur 3 consommées en France est produite par Brasseries
Kronenbourg
Brasseries Kronenbourg est le leader
avec 31,3%1 de part de marché
•
• Kronenourg : la marque de bière la
plus consommée en France (18,3% de
part de marché1)
1,4 milliard de demis Kronenbourg
servis en France chaque année
Kronenbourg : la marque de bière la
plus connue, avec 65% de notoriété
spontanée d’après des études du Cabinet
Millward Brown (2009)
•
•
• 1664 : la 3 marque de bière en France
• 1664 : la bière française la plus vendue
e
au monde dans 70 pays
1664 : la bière préférée des
Britanniques
1664 : dans le top 10 des bières les plus
connues au monde d’après des études du
Cabinet Millward Brown (2009)
•
•
Les clients nous choisissent
1 - Brasseries Kronenbourg, le partenaire privilégié de la
distribution en GMS :
est présente dans toutes les enseignes des
7 200 hypers et supers de France
est le leader avec 38% des ventes en volume
du rayon bière
occupe environ 40% de l’espace en moyenne du rayon
bière
représente 30% en moyenne des références du rayon
bière
Brasseries Kronenbourg est perçue comme le
1er fournisseur le plus performant de la catégorie bière par
les enseignes françaises de distribution (enquête Advantage
Group 2009)
Kronenbourg est la 4e marque de boisson
Kronenbourg est la 8e marque en valeur des produits de
grande consommation
Nouveau pack 20x25 cl : nouveauté n°1 en valeur du
marché de la bière en 2009 (55 % du chiffre d'affaires
généré par des innovations)
Kronenbourg Sélection des Brasseurs est reconnue comme
la meilleure innovation bière des 10 dernières années.
•
•
•
•
•
•
•
•
Nos salariés
se sentent bien
chez Brasseries
Kronenbourg
• 90% sont prêts à s’engager au delà
des missions de leur poste
87% sont fiers d’appartenir à
Brasseries Kronenbourg
78% adhérent à la culture de
69% sont contents de leurs conditions
de travail
•
•
2 - Le CHR, le partenaire historique des Brasseries
Kronenbourg
Le portefeuille unique de marques prestigieuses des
Brasseries Kronenbourg est présent dans 100 000 caféshôtels-restaurants en France
Nos marques sont présentes à la pression dans
45 000 cafés-hôtels-restaurants en France
Kronenbourg : la marque n°1 à la pression
•
•
•
•
•
Résultats issus d’une étude menée en
interne par le cabinet Towers Perrin en
septembre 2009
1
Source : Association des Brasseurs de France
13
BRASSEUR
DE NATURE
La brasserie du Canon
I. Brasseur
depuis 1664
Depuis 346 ans, nous exerçons notre
métier de brasseur avec passion.
1664… Louis XIV supervise les travaux du château
de Versailles, d’Artagnan et ses mousquetaires
parcourent le royaume, Molière fait scandale avec
Tartuffe, Jean de La Fontaine écrit ses premiers
contes… et le 9 juin, à Strasbourg, le jeune
Jérôme IV Hatt frappe de son sceau son premier
tonneau de bière, posant par ce geste les
fondations des Brasseries Kronenbourg.
Le diplôme de tonnelier-brasseur que vient d’obtenir
ce fils d’une grande famille strasbourgeoise (qui fit
fortune dans la teinturerie et le tissage) lui confère
désormais le droit de fabriquer et de vendre sa
propre bière. Il installe son activité en plein cœur
de Strasbourg, à la brasserie Zur Carthaunen – la
brasserie du Canon toujours en activité aujourd’hui
place du Corbeau- à quelques enjambées de la
cathédrale. Pionnier d’une longue dynastie au
service de la bière, il n’aura de cesse d’améliorer les
techniques du brassage.
En 1669, il achète l’établissement où l’aîné de
ses fils apprend à son tour le métier et devient
Maître Brasseur. Les fils de ce dernier reprendront le
flambeau, mais iront s’installer dans d’autres lieux.
En 1850, Frédéric-Guillaume Hatt décide de
transférer la brasserie sur les hauteurs de Strasbourg,
dans le tout nouveau quartier de Cronenbourg (qui
s’est développé dès 1840, grâce à la construction de
la Rotonde –triage de dépôt- et du chemin de fer)
mettant ainsi ses installations à l’abri des fréquentes
crues de la rivière l’Ill. Par ailleurs, ce lieu, où il fait
creuser des caves profondes, lui permet d’appliquer
le procédé de la fermentation basse, alors
tout nouveau en Europe. Celui-ci nécessite de
conserver les bières en sous-sol de manière à ce
que la température ambiante n’excède pas 10°C. Ces
installations historiques sont devenues le siège de
Brasseries Kronenbourg.
A partir de 1857, la brasserie lance sur les
rails le légendaire « train de la bière ». Des wagons
transportent, d’abord chaque semaine, puis chaque
jour, les fûts à Paris.
On boit dans la capitale les premières gorgées de nos
bières chez Lipp, alors appelé Brasserie des bords
15
élan à Kronenbourg qui devient la première marque
de bière française en termes de notoriété et de
volumes.
En 1949, Kronenbourg fait impression en
introduisant un nouveau format dans l’univers de la
bière : la petite bouteille capsulée et consignée de
33 cl. Sur cette célèbre « Steinie », l’étiquette à damier
rouge et blanc (aux couleurs de l’Alsace) est présente.
En 1952, une
1922. La Tigre
Bock, ancêtre de la
Kronenbourg, voit
le jour
du Rhin, créée par Léonard Lippmann, un Alsacien.
Entre les deux guerres, la commercialisation s’étend à
toutes les grandes villes françaises. La notoriété et la
réputation de qualité de la brasserie se développent.
En 1867, lors de l’Exposition Universelle, la brasserie
strasbourgeoise avait conquis le marché parisien et
Kronenbourg en prenait déjà sa part.
En 1922, Maurice-Georges Hatt fait l’acquisition
d’un prestigieux restaurant alsacien, le Grand
Tigre. En l’honneur de ce restaurant, la Brasserie
baptise sa bière « Tigre Bock », l’ancêtre de la
Kronenbourg. La brasserie se hisse en tête des
brasseries alsaciennes et s’agrandit.
bière spéciale, la
« Kronenbourg
1664 », en hommage
à l’année de création
de la brasserie, est
lancée à l’occasion
du couronnement de
la Reine Elisabeth II
d’Angleterre. L’habillage
royal de la bouteille lui
vaut le surnom de « col
blanc ». Elle prendra ses
quatre chiffres pour seul
nom en 1988.
En 1953, Kronenbourg lance sa première bière en
boîte métallique.
En 1959, Kronenbourg aborde les marchés
européens, notamment l’Allemagne, la Suisse, la
Belgique et l’Italie.
En 1947, Jérôme VI Hatt (6e à porter ce prénom),
de retour des Etats-Unis, applique des idées
neuves et propulse la brasserie de succès en
succès. L’entreprise, ainsi que la bière «Tigre
Bock», prennent le nom de Kronenbourg, à la
consonance plus germanique (allusion à la haute
réputation de qualité des bières allemandes), et le
nom devient une marque (déposée le 15 septembre
1947).
Dès le début des années 1950, Jérôme
Hatt investit massivement en publicité. A travers des
slogans omniprésents (« Je précise Kro-nen-bourg » ;
« Kronenbourg, le grand nom des bières d’Alsace »),
les affiches, la presse, la radio, donnent un formidable
En 1969, l’entreprise prospère et les installations du
quartier de Cronenbourg ne suffisent plus à assurer
la production : une nouvelle unité est ouverte à
une vingtaine de kilomètres, à Obernai (photo
ci-dessus). Il s’agit à cette période de la plus grande
brasserie jamais construite. Elle fête ses quarante ans
cette année !
Dans le sillage des fondateurs, l’histoire suit son cours.
En 1970, l’entreprise Kronenbourg entre dans le
groupe Danone (alors BSN) aux côtés de la Société
Européenne de Brasseries qui diffuse notamment les
marques Kanterbräu et Gold.
En 1975, la production de Kronenbourg est de
5 millions d’hectolitres, elle dépasse les 6 millions
l’année suivante.
En 1977, Jérôme Hatt prend sa retraite à l’âge de
65 ans, mettant fin à une dynastie de brasseurs qui
régnait depuis plus de 300 ans.
Il était entré à la brasserie en 1935, devenu directeur
commercial en 1945 et directeur général en 1954. La
brasserie lui doit son essor spectaculaire.
L’année 1981 est marquée par le lancement du
Panaché Force 4 qui rencontre un très vif succès.
En 1983, la production atteint les 7 millions
d’hectolitres.
En 1986, Kronenbourg fusionne avec
Kanterbräu au sein du groupe Danone et devient
Au cours des années 90, Brasseries
Kronenbourg concentre ses efforts sur les nouvelles
attentes des consommateurs en proposant notamment
des bières de spécialité comme Wel Scotch ou
Grimbergen qui connaît un franc succès (aujourd’hui
3è bière de spécialité en grande distribution).
En juillet 2000, Brasseries Kronenbourg
est reprise par le groupe écossais Scottish
& Newcastle. Les années 2000 marquent le
développement à l’international des Brasseries
Kronenbourg et la mise sur le marché d’innovations
comme « 1664 Blanc », « Kronenbourg Pur Malt » ou
encore « Grimbergen Cuvée Blanche ».
Depuis avril 2008, Brasseries Kronenbourg
fait partie de Carlsberg Group, le 4è groupe
brassicole au monde.
En 2009, Brasseries Kronenbourg, l’une des
plus anciennes entreprises au monde et le premier
brasseur français, fête ses 345 ans et les 40 ans de
sa brasserie à Obernai.
En 2010, Brasseries Kronenbourg innove en créant
une nouvelle bière "Konenbourg - Sélection des
Brasseurs" et en présentant le savoir-faire de ses
Maîtres Brasseurs dans un espace éphémère rue de
Rivoli à Paris : l'Atelier des Brasseurs.
1664 impose le goût à la française au terme
d'une campagne publicitaire et d'opérations
événementielles.
17
ii. Paroles
de brasseurs
La haute qualité et le goût inimitable
des bières élaborées par Brasseries
Kronenbourg reposent sur le savoirfaire et les secrets des Maîtres
Brasseurs. Ils et elles1 ont en moyenne
vingt ans d’expérience. Leur domaine
d’expression : la brasserie d’Obernai,
à 25 km au sud-ouest de Strasbourg,
ainsi que le centre de recherche et de
développement à Strasbourg.
Qu’est ce qu’un maître
brasseur ?
Un Maître Brasseur, ingénieur ou technicien diplômé
avec mention complémentaire de brasseur, est la
personne qui possède la connaissance scientifique
et technique pour à la fois sélectionner et utiliser
au mieux les différents ingrédients pour fabriquer
la bière. Il veille à ce que les diverses étapes
soient respectées, du maltage au brassage, de
la fermentation à la filtration. Pour chaque bière,
il maîtrise la «recette» et sait quelles sont les variétés
d’orge qu’il faut utiliser, la qualité du malt, le type
de levure, la composition minérale idéale de l’eau, le
diagramme de brassage, le profil de la fermentation.
Si la technique et la science jouent un rôle important,
le maître brasseur, personne « clé », intervient
continuellement pour choisir, contrôler, régler, goûter…
Ses compétences ne s’acquièrent pas uniquement
à l’école (diplôme d’ingénieur ou de technicien avec
mention complémentaire de brasseur) ou dans
les livres. Il lui faut également du jugement, de
l’expérience, sans doute également de l’intuition et
de la passion. Sans oublier un bon palais pour savoir
apprécier le malt en le croquant, goûter le brassin
encore chaud, déguster la bière en pleine fermentation,
créer de nouvelles recettes...
Comme les sommeliers et les œnologues, les Maîtres
Brasseurs sont formés à la dégustation pour pouvoir
reconnaître les différents caractères d’une bière et les
décrire. Bien sûr, les gestes de ce métier ancestral ont
évolué. Le Maître Brasseur se tient devant les cuves
mais également souvent dans un laboratoire ou
devant les écrans de contrôle de la production. Minute
par minute, il est informé de ce qui se passe dans les
cuves. A l’aide de courbes et de schémas, il suit en
permanence tous les paramètres de la naissance de
la bière, des matières premières mises en œuvre aux
différents stades de l’élaboration jusqu’à son départ
vers le consommateur.
1
Une partie de l'équipe des 20 Maîtres Brasseurs
Une équipe de 20 maîtres
brasseurs
Le plus passionnant pour un Maître Brasseur ?
Travailler en équipe pour développer une nouvelle
recette. Un véritable travail en commun où est
partagé le secret d’une élaboration 100 %
alsacienne et où science, technique et créativité
s’assemblent. « La gamme de goûts peut être aussi
diversifiée avec la bière qu’avec le vin. On fait varier
saveurs et styles en changeant les ingrédients ou la
température, par exemple », indique Nathalie Dalliès,
Maître Brasseur chez Brasseries Kronenbourg.
seuls nos
maîtres brasseurs
maîtrisent
la « recette »
de nos bières
Parmi les 20 Maîtres Brasseurs de Brasseries Kronenbourg, 7 sont des femmes
Thierry Robin, Maître Brasseur et directeur de la brasserie d’Obernai.
« Pour délivrer une qualité constante du produit,
nous devons toujours répéter le processus de la
même façon. Octobre, le mois où l’on reçoit le malt
de la nouvelle récolte (orge de printemps récoltée
en juillet) est ainsi l’un des moments les plus
importants dans la brasserie. Notre savoir-faire de
Maître Brasseur, proche de celui d’un Chef cuisinier,
consiste à adapter toutes nos recettes à cette nouvelle
matière première, produit vivant qui évolue avec la
climatologie. Ce réglage que nous effectuons en
équipe demande plusieurs semaines. C’est une étape
clé passionnante…» renchérit Thierry Robin, Maître
Brasseur et directeur de la brasserie d’Obernai.
Notre bière, un produit de
qualité à base d'ingrédients
issus de la nature
Au sein de la brasserie, l’acier inoxydable cache
des matières premières naturelles issues du terroir
alsacien, des mécanismes mystérieux, des secrets de
fabrication inviolables détenus uniquement par les
Maîtres Brasseurs.
« Pour la fabrication d’une bière, l’un des éléments
clés est la sélection des ingrédients car la bière est
fabriquée à partir de matières premières issues de
la nature. Ainsi nous passons beaucoup de temps
à les choisir et à les contrôler », explique Myriam
Shingleton, Maître Brasseur chez Brasseries
Kronenbourg.
Les bières de Brasseries Kronenbourg sont élaborées
à partir d’orges soigneusement choisies, garantes
d’une qualité constante, d’eau puisée dans la nappe
Myriam Shingleton, Maître Brasseur chez Brasseries Kronenbourg.
phréatique alsacienne et de houblon de variétés amères
ou aromatiques d’origine alsacienne. Une conjugaison
d’éléments naturels méticuleusement contrôlés que le
Maître Brasseur mélange, soigne, apprivoise…
L’eau joue un rôle essentiel dans
la fabrication de la bière. Brasseries
Kronenbourg, qui dispose de cinq puits sur le site
d’Obernai, attache une attention toute particulière
à la qualité de son eau, une eau pure, contrôlée en
permanence. Elle doit être d’une pureté et d’une
composition minérale bien définie. Il en faut cinq
litres pour fabriquer un litre de bière car la brasserie
reste une industrie alimentaire où le nettoyage des
installations est primordial.
Le malt est le corps de la bière, son
ingrédient fondamental. L’orge, céréale la plus riche
en amidon, de variété française, est rigoureusement
sélectionnée avec le malteur, fournisseur des
Pour l’élaboration d’1 litre de bière,
il faut 3 semaines au minimum.
5 litres d’eau, 140 grammes de malt,
2 grammes de houblon
et 10 grammes de levure
sont nécessaires.
19
la bière est
fabriquée à
partir de matières
premières issues
de la nature
Le malt
Maltée (germée et séchée,
parfois torréfiée), riche en
éléments nutritifs, elle apporte
couleur et saveur à la bière. Il existe plusieurs types
de malts, du plus pâle au plus foncé, presque noir,
que l’on obtient en fonction de la durée du touraillage
(séchage des grains) à la fin du maltage.
« Nous sommes intégrés depuis longtemps et au
niveau national à la filière des agriculteurs- malteursbrasseurs. Au sein de cette filière, nous travaillons
ensemble pour sélectionner de nouvelles variétés
d’orge, exclusivement brassicoles, qui vont pouvoir
s’adapter aux conditions climatiques et aux conditions
de culture respectueuses de l’environnement
(naturellement plus résistantes aux maladies sans
employer de produits phytosanitaires). La sélection
s’effectue très en amont. En collaboration avec les
malteurs et les sélectionneurs, avant même que les
céréales ne soient commercialisées, nous les testons
en outils pilote puis industriel. 80 % des orges
que nous utilisons viennent du Nord-Est de la
France, » précise Myriam Shingleton, Maître Brasseur
chez Brasseries Kronenbourg.
Les malts pâles, peu touraillés, font la finesse et le
moelleux des bières blondes.
Les malts, dits caramels, sont plus dorés, ils apportent
un arôme caramel et la couleur ambrée aux bières
rousses. Les malts bruns et noirs, qui subissent en plus
une torréfaction, donnent la couleur acajou et le goût
de café des bières brunes.
140 grammes de malt sont nécessaires pour
fabriquer un litre de bière.
Le houblon
On y ajoute parfois des céréales crues
(maïs, blé) pour stabiliser la bière.
Le houblon est l’épice
indispensable qui confère à la bière son
amertume mais aussi ses senteurs d’agrumes, de
citrus, d’épices…
également appelée «vigne du Nord», cette plante
grimpante de la famille des cannabacées, dont on
utilise les cônes (les fleurs femelles), est choisie pour
ses vertus :
aromatiques : 200 huiles essentielles
regroupées en trois familles (agrumes, florales,
herbales)
amérisantes
médicinales : le houblon est reconnu pour
être apaisant (autrefois, on mettait des fleurs
de houblons dans les oreillers). Par ailleurs, le
houblon contient des polyphénols aux propriétés
anti-oxydantes.
antiseptiques.
« Il existe deux types de houblon que l’on sélectionne
en fonction de la bière et du goût recherché :
le houblon amérisant et l’aromatique. Il existe près
de 15 variétés dans chaque type. Le plus fameux,
surnommé le « caviar » des houblons, est le
strisselspalt. Cultivé en Alsace, il est utilisé
pour la 1664, à l’amertume très fine » indique
Nathalie Dalliès, Maître Brasseur chez Brasseries
Kronenbourg.
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La levure Kronenbourg
est la même depuis 1664…
Tradition et authenticité !
La levure est le plus grand secret du
brasseur. Cultivée et conservée au cœur de la
brasserie, loin des regards indiscrets, c’est elle qui fait
la personnalité unique de chaque bière. On ajoute
10 grammes de levure pour un litre de bière.
Chez Brasseries Kronenbourg, les levures sont
stockées à -80°C, dans une enceinte sous alarme.
« Nous avons à notre disposition cinq levures
différentes qui apportent leur typicité à
chacune de nos bières : les levures de fermentation
basse sont destinées à l’élaboration des lagers
comme Kronenbourg ou 1664 ; les levures à
fermentation haute sont utilisées pour des bières de
plus grande intensité et richesse de goût comme la
Grimbergen ou la blanche » détaille Thierry Robin,
Maître Brasseur et directeur de la brasserie d’Obernai.
La fabrication : un art
subtil et quelques bulles de
mystère…
farine, mêlée à l’écorce des
grains. Le malt concassé est
mélangé à l’eau, chauffé à
feu doux et brassé.
Lors de cette opération,
l’amidon contenu dans le
malt se transforme en sucre.
La même opération est
réalisée dans une autre cuve
si on utilise une céréale non maltée (grains crus).
Le tout est ensuite mélangé pour constituer la
« maische » ou « brassin » à l’aspect proche d'une
bouillie. Filtrée une première fois et débarrassée des
enveloppes du grain dans la cuve-filtre, la « maische »
devient « bouillon ».
Dans de grandes chaudières en cuivre, toutes
ventrues, ce jus sucré est alors soigneusement
additionné de houblon et
porté à ébullition avant
d’être à nouveau filtré
pour obtenir le moût.
Doux, amer... il est plein
de saveurs, mais encore
loin du produit bière.
La fermentation (1 à 2 semaines)
Une fois refroidi dans un échangeur à la température
de fermentation voulue, ce moût quitte la salle de
brassage et reçoit sa levure qui transformera, pendant
une à deux semaines, dans de grandes cuves de
fermentation, le sucre en alcool, en arômes et en gaz
carbonique.
Il existe plusieurs types de fermentation :
la fermentation haute : réalisée à
température élevée de 18 à 28°C, les levures
remontent à la surface.
la fermentation basse : réalisée en cuves
réfrigérées entre 8 et 14°C, les levures se déposent
au fond des cuves.
•
•
La garde (1 à 3 semaines)
Le maltage
Première étape de la fabrication, cette opération a
pour objectif de dégrader l’amidon contenu dans
le grain d’orge afin qu’il se transforme en sucre au
moment du brassage : l’orge est trempée une dizaine
de jours dans de l’eau très pure et germe. Les grains,
une fois asséchés (touraillés), donnent le malt.
Cette première étape est effectuée par un malteur,
fournisseur de Brasseries Kronenbourg.
Le brassage (8 h)
A la brasserie d’Obernai, la fabrication de la bière
commence dans les moulins où le malt est réduit en
Il ne reste plus qu’à maturer le breuvage : la « bière
verte » est née. A la fin de la fermentation, elle est
placée dans des cuves de garde à une température
de 0°C.
Elle y mûrit pendant plusieurs semaines pour donner
naissance à la bière de garde.
Elle s’affine lentement et acquiert son bouquet et son
goût grâce au travail de la levure et du froid.
Une dernière filtration avant embouteillage, et la voici
brillante, limpide, lumineuse...
Fin prête à être mise en bouteilles, en boîtes ou
en fûts, avant d’arriver à point sur les tables,
délicieusement fraîche, légère et désaltérante, ou plus
complexe, puissante et aromatique.
21
La qualité du service et l’art
de la dégustation
par Nathalie Dallies, Maître Brasseur aux brasseries Kronenbourg
« J’ai soif, qu’on me l’apporte mousseuse ! » s’écriait
Alexandre Dumas.
Avant de consommer la bière, il convient
d’abord de bien la servir :
« Il est très important de
servir la bière très fraîche,
idéalement entre 4 et
6 °C, pour qu’elle ne se
réchauffe pas à plus de
9-10 °C au moment où la
personne va la déguster.
Ensuite, il faut choisir
la forme du verre en
fonction du style de
bière. Pour Kronenbourg
et 1664, des verres assez
hauts permettent de
concentrer et conserver les
arômes, tandis que pour
une bière d’abbaye comme
la Grimbergen, plus dense
et de plus grande complexité
aromatique, un large verre
ballon, plus ouvert, convient
mieux pour laisser s’exprimer
tous les arômes. La mousse,
c’est primordial, elle permet
d’éviter le contact avec l’air.
L’oxygène rend la bière plate. »
Toutes les conditions sont réunies
pour apprécier pleinement sa
bière. Mais boire, est-ce déguster ?
Car, comme nous l’explique
Nathalie, la dégustation fait appel
aux cinq sens.
« Tout commence avec l’ouie,
le «pschitt» caractéristique de la
bouteille que l’on décapsule, le son
de la bière que l’on verse dans
le verre puis celui des fines bulles
qui se développent et forment la
mousse fine ou crémeuse avec
un léger chuchotement... Tous
ces petits bruits participent
au rituel de la dégustation.
Le toucher intervient
également lorsqu’on prend
le verre très frais et perlant
dans la main, puis lorsqu’on sent la douceur de la
mousse sur les lèvres.
Les autres sens entrent ensuite en jeu. A
l’œil, une belle mousse blanche
(on dit aussi «crème»), de
fines bulles qui persistent
et laissent une délicate
dentelle dans le verre
sont un premier critère
d’appréciation. Tout
comme la couleur,
pâle, blonde, dorée,
ambrée, brune, brillante,
chaleureuse…
Puis le nez capte tous les
arômes liés aux céréales
(le pain, le caramel issu
de la torréfaction du
malt), le citrus, les pointes
d’agrume, les épices et les
notes florales dégagés par le
houblon, les senteurs fruitées
(pomme, pêche, prune, parfois
banane) communiquées par
la levure. Au nez, les arômes
de la Kronenbourg et de la
1664, protégés par la mousse,
se perçoivent subtilement, ceux
de la Grimbergen s’expriment
de façon plus intense avec des
notes fruitées et épicées (clous de
girofle). En bouche, tous les arômes
s’exhalent et, avec le pétillement,
s’intensifient par la rétro-olfaction.
L’équilibre des saveurs se dévoile. Un
équilibre subtil entre le sucré, l’acide
et l’amertume auquel nous portons
beaucoup d’attention en tant que
Maîtres Brasseurs.
L’amertume doit être franche, mais
pas trop forte ni trop âcre. Tout se
joue au niveau du brassage, du
type de houblon utilisé (plus ou
moins riche en amertume et en
huiles essentielles) et de son
dosage. »
« Voyage au centre de la bière »
et des 346 ans d’histoire des Brasseries Kronenbourg
Le tourisme gourmand est une valeur montante.
Qu’il s’agisse de “faire un détour” pour découvrir
une bonne table, d’effectuer un stage de cuisine,
de visiter une cave ou de remonter à la source des
grands produits du terroir français…
Proposant une savoureuse plongée au cœur de ses
bières, de ses 346 ans d’histoire, de ses matières
premières, des étapes d’élaboration de ses produits,
de son patrimoine et de l’art de la dégustation, le
musée des Brasseries Kronenbourg, sur son site
historique à Cronenbourg, est ouvert toute l’année
aux visiteurs depuis 1960. à l’époque, Brasseries
Kronenbourg faisait partie des pionnières en matière
de tourisme industriel. Le pittoresque circuit-visite
qui s’est structuré au fil des ans accueille aujourd’hui
25 000 visiteurs par an.
Regarder, humer, goûter… Les premiers pas de
cette visite se font à l’école de la bière pour
découvrir, par l’expérience des sens (ouie, vue,
odorat, goût, toucher) les ingrédients de la bière.
Puis, le visiteur découvre la salle de brassage aux
spectaculaires chaudières en cuivre. Ensuite, à
travers un dédale de galeries souterraines, on entre
dans les anciennes caves voûtées à l’atmosphère
si singulière où l’on faisait mûrir la bière quand le
froid industriel n’existait pas. La glace, récoltée sur
les étangs gelés, était stockée dans une glacière en
rotonde et diffusait la fraîcheur nécessaire dans les
galeries voisines. Les spectaculaires foudres en bois
témoignent de cette époque. La bière Kronenbourg,
au fil du temps, a aussi fait « mousser » la créativité.
La galerie des arts expose les pièces les plus
emblématiques de la collection Kronenbourg :
chopes, plaques émaillées, anciennes affiches de
publicité, ou encore matériel brassicole ancien (œuf
à levure, beaudelot…).
La visite se conclut par une projection cinéma sur
l’histoire et la fabrication de la bière, ainsi qu’une
dégustation des produits maison dans un somptueux
espace bar.
La maison natale de Jérôme Hatt a également été
transformée en lieu d’expositions et témoigne de la
saga d’une famille de brasseurs de génération en
génération.
Informations pratiques :
68 route d’Oberhausbergen
67 200 Strasbourg
A35 sortie Cronenbourg
Tarifs Adultes : 6 euros
Tarifs réduits (chômeurs, étudiants,
handicapés) : 4,50 euros
Entrée gratuite pour les enfants âgés de moins
de 12 ans
Visite sur réservation, du lundi au samedi (sauf
jours fériés). Tél : 03 88 27 41 59
[email protected]
23
Grâce à un accord pluriannuel avec la SNCF, Brasseries Kronenbourg
favorise le transport ferroviaire, moins polluant
La station d'épuration de la brasserie d'Obernai a une capacité
équivalente à celle d'une ville de 350 000 habitants
iii. Brasseur
engagé
issus de la nature, c’est l’avenir de l’entreprise et celui
de son produit qui est en jeu. Brasseries Kronenbourg
a donc fait des investissements industriels en ce sens
avec une station d’épuration et de méthanisation.
L’ensemble du personnel de l’entreprise a également
été mobilisé autour de ce projet. En 1998, cette
démarche a été concrétisée par l’obtention de la
norme ISO 14001 pour la brasserie d’Obernai, une
première dans le monde brassicole à cette époque !
En tant que premier brasseur français,
fabricant de produits alimentaires à
partir d’ingrédients issus de la nature,
Brasseries Kronenbourg se doit d’être
exemplaire aussi bien dans le domaine
de l’environnement, que de la qualité
et de la sécurité alimentaire ainsi que
de la prévention d’une consommation
responsable. Cela passe par des
engagements de tous les instants
qui soudent nos équipes autour d’un
véritable projet collectif.
Nos engagements
environnementaux
Des économies d’énergie à l’utilisation d’emballages
recyclables, de la valorisation des rejets au traitement
de l’eau, Brasseries Kronenbourg s’est engagée depuis
longtemps dans une véritable démarche volontariste de
protection de l’environnement.
L’énergie, l’eau, les déchets, le bruit, l’air : le législateur
édicte peu à peu un ensemble de règles visant à
protéger l’environnement des nuisances susceptibles
d’être causées par l’activité industrielle. Consciente
que la préservation du milieu naturel constitue
non seulement un devoir à l’égard des générations
futures, mais une nécessité pour
améliorer encore la qualité et la
compétitivité de sa production,
Brasseries Kronenbourg a
souvent été précurseur dans
les démarches nécessaires pour
« produire plus propre ».
La bière étant un produit né de
la transformation d'ingrédients
Les économies d’énergie
Brasseries Kronenbourg a un double objectif dans ce
domaine :
réduire la consommation d’énergie. Cela passe
par le perfectionnement constant des installations
et la chasse au gaspillage. Entre 2004 et 2009,
la consommation d’énergie nécessaire à la
production d’un hectolitre de bière a été
réduite de 29 %. Brasseries Kronenbourg recycle
également la vapeur d’eau : l’énergie contenue
dans la vapeur d’eau émise lors de la cuisson des
ingrédients est en effet récupérée pour produire
l’eau chaude utile à la cuisson du brassin suivant.
utiliser des sources d’énergie propres. Le recours
au fuel TBTS (très basse teneur en soufre), au
gaz naturel et à l’électricité a été généralisé sur
l’ensemble de la brasserie. Objectif pour 2010 : les
énergies renouvelables doivent couvrir plus de 12 %
des besoins énergétiques de l’usine. Une réflexion
autour de l’utilisation de l’énergie solaire, de la
géothermie et de la biomasse est également initiée.
•
•
La bière étant un produit
de la terre, c’est l’avenir
de l’entreprise et celui de
son produit qui est en jeu.
Sans une eau parfaitement
pure, il est impossible de
réaliser une bonne bière.
Les économies et le traitement de l’eau
Peu de gens savent que les brasseurs choisissent
l’implantation de leur brasserie en fonction de la
qualité de la source. Sans une eau parfaitement
pure, il est impossible de réaliser une bonne bière.
Pour cette raison, mais aussi par respect pour
l’environnement, Brasseries Kronenbourg s’engage sur
la qualité de l’eau rejetée.
Un de ses investissements majeurs : la station
d’épuration de la brasserie d’Obernai gérée par la
Lyonnaise des Eaux, et d’une capacité équivalente
à celle d’une ville de 350 000 habitants, permet de
rejeter dans la rivière une eau de meilleure qualité que
celle de cette dernière.
Par ailleurs, la quantité d’eau utilisée pour fabriquer
un litre de bière est passée de 6 litres en 1998
à 5 litres en 2009.
Le traitement des déchets
Depuis plus de quinze ans, Brasseries Kronenbourg
suit une ligne de conduite claire qui s’applique aussi
bien en amont qu’en aval de la fabrication. D’abord
produire propre (utilisation de contenants entièrement
recyclables et forte contribution à la mise en place
de programmes de recyclage du verre à travers EcoEmballages, organisme favorisant le partenariat entre
les industriels et les collectivités locales), ensuite traiter
les déchets. Les sites sont équipés de bennes de tri
des déchets : avec la participation active du personnel
au tri sélectif, 97 % de nos déchets sont recyclés
chaque année.
En plus des actions menées pour les économies
d’énergie et la protection de l’eau, Brasseries
Kronenbourg agit pour traiter les déchets dits
« banals ». Ces produits et ces matières sont générés par
le processus de fabrication ou proviennent de produits
finis endommagés (verre, cartons...). Tous ces déchets
sont traités de la meilleure façon pour permettre leur
valorisation et, dans une faible proportion, leur mise en
décharge. Ainsi en 1997, 1 100 tonnes de déchets étaient
non valorisés contre 420 aujourd’hui.
Une attention toute particulière a également été
apportée à la conception des bouteilles en verre.
Plus légères, elles nécessitent moins d’énergie pour
leur conception (8 000 tonnes de verre économisés
par an) et permettent également une réduction
conséquente des déchets (5 500 tonnes de CO2 en
moins par an).
La lutte contre le bruit
Brasseries Kronenbourg génère un important trafic
de marchandises : acheminement des matières
premières, expédition des produits finis, livraison
des drêches et convoyage des divers déchets en
vue de leur recyclage. Pour préserver la tranquillité
des zones d’habitation, mais également réduire les
émissions de CO2 (cf encadré p.25) l’entreprise a signé
une convention avec la SNCF afin de développer la
part du transport ferroviaire, plus silencieux et moins
polluant que le transport routier.
25
une pionnière en matière
d’environnement
En 1969, dès la construction du site de production de la brasserie
d’Obernai, Brasseries Kronenbourg intègre une station d’épuration.
En 1973, un réseau de collecte de verre est mis en place avec les
industries verrières.
Dans les années 1990, Brasseries Kronenbourg investit dans la
méthanisation.
Dès 1994, Brasseries Kronenbourg est le premier brasseur en France à
avoir obtenu la certification ISO 9002 pour l’ensemble de ses sites de
production.
En 1998, la brasserie d’Obernai obtient la certification ISO 14001.
Brasseries Kronenbourg devient ainsi la première brasserie dans le
monde et la deuxième de l’industrie agroalimentaire de France à
obtenir cette certification.
En 2009, 12 % des besoins énergétiques de la brasserie sont couverts
par les énergies renouvelables. Par ailleurs,
des réflexions autour de l’énergie solaire, de la
géothermie ou de la biomasse ont été initiées.
Un train d’avance… pour
le premier brasseur
français
Brasseries Kronenbourg, qui a signé fin 2007
un accord pluriannuel avec la SNCF, favorise
le transport ferroviaire, moins polluant. Des
trains complets (et non plus des wagons
isolés) partent de l’usine pour alimenter les
cinq entrepôts régionaux de Paris, Lyon,
Bordeaux, Rennes et Châtre (près de Reims).
Cette nouvelle stratégie vise à rationaliser
et fluidifier la distribution mais aussi à
respecter l’environnement en diminuant la
part du trafic routier. Objectif fixé pour 2010 :
réduire de 41 % les émissions de CO2 par
rapport à 2007.
Le biogaz, un des
carburants de la brasserie
d’Obernai depuis 1996
Les eaux usées issues de la production de la bière offrent un
précieux potentiel énergétique exploité par la brasserie d’Obernai
depuis plus de dix ans. Dès 1995, deux réacteurs de méthanisation
ont été installés dans la station d’épuration et un troisième est
venu compléter l’équipement en 2007. Une partie des effluents
peuvent ainsi être transformés en biogaz, riche en méthane,
exploitable par les chaudières. Il représente désormais 12 % de
l’énergie consommée par la brasserie d’Obernai
Nos engagements vers le
consommateur
La sécurité alimentaire et la qualité de
nos produits
La prévention et la consommation
responsable
La sécurité alimentaire et l’exigence d’une qualité
irréprochable sont, depuis longtemps, des priorités
absolues de Brasseries Kronenbourg. Cela signifie une
surveillance méticuleuse du processus de production
et l’engagement permanent de toute une équipe. Une
persévérance récompensée. Brasseries Kronenbourg
est le premier brasseur en France à avoir
obtenu la certification ISO 9002, dès 1994, pour
l’ensemble de ses sites de production. Une preuve que
cet investissement au service de la qualité ne date pas
d’hier !
Brasseries Kronenbourg s’engage vers le
consommateur au travers de ses produits et de
ses actions de prévention.
Dans un contexte sociétal où la lutte contre l’alcool
au volant est une priorité, l’attitude des Français
face à l’alcool a fortement évolué. 47 % d’entre eux
déclarent faire attention au taux d’alcool contenu
dans les bières et 64 % se prononcent en faveur des
bières faiblement alcoolisées (source « Les Français
et la bière » baromètre TNS Sofres / Brasseries
Kronenbourg 2006).
Soucieuse de ces considérations, Brasseries
Kronenbourg s’engage au travers de ses produits ou
par ses actions de prévention :
Le degré d’alcool de
ses bières a diminué ces
dernières années (de 4,7°
à 4,2° pour Kronenbourg
et Kanterbräu et de 6,3°
à 5,5° pour 1664) tout en
respectant leur goût et leur
qualité.
Sa bière sans alcool
« Kronenbourg Pur
Malt », créée dès 2000
et composée de 5 malts
différents, est obtenue
au cours d’un processus
Fabriquer un produit de grande consommation
implique de contrôler l’ensemble de la chaîne, de
la réception des matières premières à la livraison
des produits dans les entrepôts. Plus de 900 000
analyses sont effectuées chaque année dans nos
laboratoires de contrôle. Elles complètent l’ensemble
des auto-contrôles réalisés par les brasseurs à chaque
étape de fabrication.
En 20 ans, la probabilité de rencontrer un petit défaut
(bouteille fuyarde, étiquette collée de travers…) est
passé d’environ un pour cent à un pour un million
aujourd’hui. Ce résultat est devenu possible grâce aux
actions de sensibilisation et de formation mais aussi à
l’évolution technologique des systèmes automatiques
de contrôles.
•
•
27
à fermentation basse. Elle offre toute la saveur
d’une bière de qualité pour une consommation
non alcoolisée.
Un message préventif contre la
surconsommation d’alcool afin de sensibiliser
les consommateurs a été imprimé au cours des
dernières années sur de nombreux sous-bocks.
Par ailleurs, Brasseries Kronenbourg s’est abstenue
de produire un certain type de boissons dites « RTD »
(ready to drink-prêtes à boire), boissons alcoolisées
fortement sucrées. Leur taux élevé en sucre masque
à court terme la sensation d’alcool et renforce le
sentiment de soif. Elles risquent donc d’attirer des
consommateurs dont l’âge est inférieur à la limite
légale de consommation.
•
Brasseries Kronenbourg est aussi un membre
fondateur et actif d’Entreprise et Prévention.
Composée des principaux producteurs de bières,
vins et de spiritueux, cette association, devenue
incontournable dans le domaine de la prévention
de l’abus d’alcool, développe des actions dans trois
directions :
Informer le public et les éducateurs/enseignants
sur les risques dus à l’alcool au moyen de
différents outils pédagogiques (livrets, Cd-Rom,
site internet...).
Réaliser une campagne d’affichage annuelle,
en collaboration avec la Sécurité Routière, pour la
promotion du «conducteur désigné» à travers le
slogan « Celui qui conduit c’est celui qui ne boit pas ».
Coordonner des opérations pilotes locales de
prévention routière avec l’ensemble des acteurs
concernés (Gendarmerie et Police, Rectorat de
l’Education Nationale, Mairies, associations...).
•
•
•
Afin de relayer de manière permanente et visible le
message des pouvoirs publics et des organisations
de santé publique sur les limites de consommation
d’alcool, Brasseries Kronenbourg a initié, avec
les membres de l’Association des Brasseurs de
France, la campagne 2 3 4 0 (www.2340.fr).
Cette campagne vise à communiquer les seuils de
consommation à moindre risque pour la santé. Pour
votre santé et votre sécurité, il est donc recommandé
de ne pas consommer plus de 2 unités d’alcool par
jour pour les femmes, 3 pour les hommes, 4 dans le
cadre des consommations occasionnelles et
0 au moins un jour par semaine et dans certaines
situations à risque.
tant qu’ambassadeurs de la bière, sont invités à en
rappeler les caractéristiques liées à la santé. Il leur
est recommandé d’encourager une consommation
modérée en toute circonstance. Au volant, les
commerciaux s’engagent à une vigilance particulière
et s'interdisent la conduite au delà des seuils
autorisés.
Brasseries Kronenbourg dispose d’un service médical
interne spécialement formé pour répondre aux
questions des salariés sur la consommation d’alcool.
Nos engagements sociétaux
Brasseries Kronenbourg investit pour préserver son
patrimoine et offre aux visiteurs une expérience
unique.
La brasserie « Le Canon »
C’est au « Canon », Place du Corbeau à Strasbourg,
que fut brassée par Jérôme IV Hatt la première bière
à l’origine des Brasseries Kronenbourg, le 9 juin 1664.
Le 9 juin 2008, les portes de ce lieu historique et
symbolique, berceau de la dynastie des Hatt, se sont
réouvertes. Devenu brasserie-restaurant-musée,
« Le Canon » fait aujourd’hui office d’étape
incontournable dans la découverte des 346 ans
de l’histoire de Brasseries Kronenbourg.
Après des travaux de réhabilitation entrepris en 2007
par ses nouveaux propriétaires, Sandrine et Yvan
Mackiewicz, l’établissement a bénéficié de la mise à
disposition du patrimoine culturel et publicitaire de
Brasseries Kronenbourg : affiches et visuels des bières
1664 et Kronenbourg, chopes d’époque, gravures,
plaques émaillées, matériel brassicole ancien...
Les bières proposées en tirage pression sont celles des
marques emblématiques de Brasseries Kronenbourg :
Kronenbourg, 1664 et Grimbergen.
En devenant partenaire exclusif du « Canon »,
Brasseries Kronenbourg renoue ainsi avec ses racines
et affirme sa volonté de s’inscrire dans sa tradition
d’origine. La réouverture du lieu permet au « Circuit
Visites de Brasseries Kronenbourg » de s’enrichir d’une
étape supplémentaire.
Les salariés des Brasseries Kronenbourg
responsabilisés
Chaque salarié de Brasseries Kronenbourg doit être
exemplaire. A titre personnel, les collaborateurs, en
La galerie des Foudres du Musée Kronenbourg
Le Musée Kronenbourg, « Voyage au
centre de la bière »
Située à Cronenbourg, un quartier de l’ouest de la
capitale alsacienne, une partie du site historique
de Brasseries Kronenbourg s’est transformée en un
pittoresque musée où l’on découvre l’histoire et les
secrets de la marque tricentenaire. Visiter notre
musée, c’est effectuer un grand voyage au cœur
de la légende… au cœur de notre métier de
brasseur.
En 2009, Brasseries Kronenbourg a obtenu
l’agrément de conformité du musée aux nouvelles
normes des « Établissements Recevant du Public »
(ERP) suite aux investissements pour la prévention
(détection et évacuation des fumées en cas
d’incendie, portes coupe-feu) et l’accessibilité du
circuit aux personnes à mobilité réduite (ascenseur,
rampes d’accès), points clés des nouvelles mesures
d’accueil du site.
La Fondation Kronenbourg
Vocation et missions
Là où un projet soutenu par la Fondation Kronenbourg
voit le jour, les choses doivent durablement changer.
Tout comme le métier de brasseur implique
l’assemblage d’ingrédients disparates pour élaborer
une bière au goût unique, la concrétisation d’un projet
original nécessite de rassembler toutes les énergies.
Depuis 1996, la Fondation Kronenbourg, la
plus ancienne des fondations d’entreprise
d’Alsace, soutient le développement de projets
originaux qui brassent les différences sociales
et culturelles en générant du « lien social ».
D’abord créée pour dynamiser par des chantiers
d’insertion les zones urbaines ou rurales fragilisées,
la Fondation Kronenbourg soutient aujourd’hui en
France le développement de projets innovants et
générateurs de convivialité. Des initiatives fédératrices
qui brassent les différences et soutiennent l’idée de
« mieux vivre ensemble ».
La Fondation Kronenbourg s’engage financièrement
(dotation globale de 200 000 euros par an) mais
aussi par le mécénat de compétences. Un parrain
volontaire, salarié de l’entreprise, est associé pendant
son temps de travail à un projet qu’il accompagne
et conseille à travers ses expériences et son réseau
relationnel.
Le Conseil d’Administration de la Fondation
Kronenbourg se réunit quatre fois par an. Composé
pour moitié de salariés des Brasseries Kronenbourg
et pour l’autre moitié de personnalités issues du
monde économique, social et culturel, le Conseil
d’Administration sélectionne les projets à soutenir
financièrement et humainement. Ils sont de trois
natures :
Artistique / culturelle : création d’œuvres
artistiques et / ou de manifestations culturelles qui
génèrent un « mieux vivre ensemble » dans leur
environnement immédiat (voisins, quartier, ville,
région, pays).
Environnementale : projets qui œuvrent pour
le respect de l’environnement, la protection de la
nature, le développement durable, la propreté ou
•
•
29
Les lauréats 2009 de la Fondation Kronenbourg
la réduction de la pollution et dont l’impact touche
le plus grand nombre.
Socio-économique : projets de lutte contre
l’exclusion et projets d’insertion professionnelle ou
sociale par l’entreprenariat.
En 2009, la Fondation Kronenbourg a décerné
pour la première fois les Prix de la Fondation
Kronenbourg.
L’appel à candidatures 2010 s'est déroulé du 1er
mars au 15 mai. 670 dossiers ont été reçus et
19 projets seront accompagnés sur 2010-2011.
•
Prix 2009 de la Fondation Kronenbourg Parmi les 17 projets soutenus en 2009, la Fondation
Kronenbourg a décerné pour la première fois les Prix
de la Fondation Kronenbourg :
• Le Prix du Brasseur de Culture, dans
le domaine artistique/culturel (Prix de
la diversité) a été remis à : “Festival
international du film à la con“. Basé en
Rhône-Alpes, il crée une dynamique culturelle en
milieu rural et utilise l’événement comme outil
d’insertion sociale.
• Le Prix du Brasseur de Nature, dans
le domaine environnemental (Prix du
développement durable) a été remis à :
Reconnect. Comment dynamiser les projets
d’insertion de personnes en précarité ?
L'association leur propose des outils de
communication dans les villes de Paris, Bordeaux
et Lyon.
• Le Prix du Brasseur de Solidarité,
dans le domaine socio-économique (Prix
de la solidarité) a été remis à Ariena.
Cette association sensibilise les Alsaciens à
la préservation de la biodiversité au travers,
notamment, d’une malle pédagogique à
destination des enfants.
• Le Grand Prix de la Fondation
Kronenbourg (Prix de la convivialité) a
été remis à Cadhame qui crée des ateliers de
pratique artistique pour les écoles. 500 élèves
d’école primaire et de collège en Alsace et en
Moselle sont concernés.
La Fondation Kronenbourg valide les projets
postulants et décide de la somme allouée à chacun.
Pour être retenus, les projets soutenus doivent
répondre à un vrai besoin social, présenter des
garanties de pérennité financière et être portés par
une équipe compétente et engagée.
« En créant ces Prix, nous voulons donner une
plus grande visibilité à la Fondation Kronenbourg,
au travail remarquable accompli par ses bénévoles
depuis des années et aux projets qu’elle soutient
financièrement et humainement » déclare Jean
Hansmaennel, Président de la
Fondation Kronenbourg et Directeur
de la Communication, des Affaires
publiques et du Développement
Durable de Brasseries Kronenbourg.
La remise des prix 2010 de la
Fondation Kronenbourg aura lieu le
18 novembre à Strasbourg.
La plus ancienne
boisson de l’humanité
"Du haut de cette mousse, plusieurs millénaires vous
contemplent…"
Le premier verre de bière serait né par hasard il y a près de 5 000 ans en Mésopotamie1 . Les premiers
peuples sédentaires commencent à cultiver les céréales (orge et épeautre), à les moudre et à les faire bouillir.
Une de ces mixtures conservées pour une consommation ultérieure a dû fermenter par inadvertance, donnant
naissance à une boisson alors appelée sikaru (pain liquide), parfumée de miel, cannelle et autres épices.
Procurant une légère ivresse, ces décoctions céréalières à la fois nourrissantes et désaltérantes ont séduit les
palais de nos lointains ancêtres qui, dès lors, se sont transmis le secret…
Devenue monnaie d’échange à Babylone, la bière commence à se disséminer. Autour de 3 300 ans avant JC,
elle fait la conquête des égyptiens qui, des pharaons aux ouvriers des pyramides, raffolent de ce zythum (vin
d’orge), à la fois boisson festive, offrande religieuse, monnaie, produit de beauté. « La bouche d’un homme
parfaitement heureux est pleine de bière » résume une maxime de l’égypte ancienne. Au cours du
1er millénaire avant JC, la « liqueur noble et puissante » chère à Jules César se diffuse dans tout le pourtour
méditerranéen et en Europe. Sous le nom de cervoise (de Cérès, déesse des moissons), elle devient la boisson
nationale des Gaulois qui la conservent dans de gros tonneaux en bois, dont ils sont les inventeurs.
Au-delà des latitudes favorables à la viticulture, elle s’implante durablement et devient très populaire.
Au Moyen-âge, apparaît le terme de brasserie sous l’impulsion de Charlemagne qui réunit les
tonneliers-brasseurs en corporation et crée une charte de qualité confiée aux moines. Ces derniers
améliorent les techniques de fabrication et l’aromatisation. C’est en particulier à l’abbesse Hildegarde de Bigen
que l’on doit la découverte du houblon qui va peu à peu devancer les autres plantes amères, gentiane, coriandre,
absinthe, sauge, lavande, utilisées à l’époque. Jusqu’à la fin du Moyen-âge, parallèlement aux moines, les
femmes perpétuent une tradition brassicole domestique dans tout le saint empire romain germanique. à partir
du XIIIe siècle, le métier de brasseur se développe hors des abbayes : les brasseries s’organisent en guildes.
En 1435, un édit de Jean sans Peur, Duc de Bourgogne, impose le houblon comme arôme principal.
En 1489, le mot bière apparaît en France pour la première fois dans les statuts des brasseurs de Paris.
Le XIXe siècle marque un tournant décisif dans l’art
brassicole
Vers 1840, la découverte de la fermentation basse améliore la conservation et produit une bière
plus légère et fraîche davantage au goût du consommateur. En 1856, l’invention d’un refroidisseur de moût
permet de fabriquer de la bière toute l’année. A la même époque, Hansen identifie les levures, Watt construit
sa machine à vapeur (utilisée pour concasser le malt et pomper l’eau) qui permet d’augmenter la production
et une plus grande précision de température. En 1876, grâce à la pasteurisation, la bière garantit une qualité
parfaitement stable plusieurs mois. En cette fin de XIXe siècle également, avec l’invention des machines
frigorifiques et l’expansion du chemin de fer, la bière commence à quitter ses fiefs des Flandres et de l’Est
pour voyager partout en France. Les progrès sont considérables, la demande exponentielle, les brasseurs
prennent une nouvelle dimension, plus industrielle. Aujourd’hui, la bière offre des goûts infiniment variés et
distribuée sur tous les continents. Avec une consommation mondiale qui dépasse le milliard d’hectolitres, elle
vient en deuxième place des boissons élaborées, juste derrière le thé.
Le Monument Blau du British Museum de Londres, tablette d’argile provenant de Mésopotamie et datant du 3e millénaire avant notre ère,
évoque une offrande de bière à la déesse Nin-Hara.
1
31
Dans la mémoire de tous les Français :
60 ans de slogans et de spots
« Kronenbourg »
« Ne laissons pas s’envoler les bons moments
de la vie, il faut les faire mousser avec quelques
amis… », Kronenbourg, marque phare de
Brasseries Kronenbourg, c’est aussi des brassées
d’images, de musiques et de mots qui restent dans
la mémoire de tous les Français.
Brasseries Kronenbourg est le premier
brasseur à investir en publicité dès 1947. De
sorte que sa marque phare, « Kronenbourg »
devient la bière n°1 en terme de notoriété et de
volume.
« Kronenbourg, le grand nom des bières
d’Alsace » est son 1er slogan publicitaire. Il fleurit
dans toute la France en 1951. Dans les années
1970, les campagnes de publicité Kronenbourg se
placent sur le terrain de la détente et de la bonne
humeur… « Trois siècles d’amour de la bière » et
« Les bons moments » apparaissent en 1973.
Entre 1980 et 1986, la mousse est à l’honneur
avec les campagnes « Faites mousser les bons
moments » entre 1980 et 1985 », puis « Ca va
mousser entre nous » et « Tout mousse bien entre
nous » en 1986. En 1987, année de l’interdiction
de la publicité pour boissons alcoolisées à la
télévision, Kronenbourg prend la parole avec
une campagne explicite : « Laissez parler la
Kronenbourg ».
Suivront ensuite des campagnes de
rassemblement : « Autour d’une Kronenbourg »,
entre 1988 et 1989, « Brassons nos différences »
en 1990.
En 1991, la « Loi Evin » est votée… Kronenbourg
recentre sa communication sur le « service de la
bière » et la figure du garçon de café. C’est ainsi
qu’entre 1997 et 2007, l’A[KRO]bate jongle avec
les mots et les situations. Cette silhouette servira
la Kronenbourg pendant dix ans avant de laisser
la place à deux égéries, emblèmes du blason
Kronenbourg : les lions. « Entre rois de la bière »
rassemble les amateurs de Kronenbourg.
En 2009, la campagne « Parole de Brasseur » de
Kronenbourg installe le référent «Fraîchement
Brassée » assurant aux consommateurs une
sélection rigoureuse des ingrédients, pour une
qualité et une fraîcheur de goût exceptionnelles :
intensité du malt, pureté de l’eau, douceur amère
du houblon
Le référent du « Fraichement brassée » est
décliné en campagne publicitaire, affichage
et annonces-presse, avec un relais en radios
nationales.
En 2010, les Maîtres Brasseurs s'engagent sur la
qualité, au travers d'une nouvelle campagne de
publicité et au sein de l'Atelier des Brasseurs à
Paris.
ANNEXE 1
brasseries Kronenbourg,
« à la source de la musique »
brasseries Kronenbourg,
partenaire depuis 20 ans
des plus grands festivals
musicaux en France
Partenaire historique des plus grands instants
musicaux de l’été, Brasseries Kronenbourg partage
et s’associe à ces événements conviviaux et
authentiques.
Présent dans plus de 40 festivals, soit les trois
quarts des plus gros rassemblements français,
Brasseries Kronenbourg est ainsi au contact de ses
consommateurs et donne de la visibilité à ses couleurs
dans des événements très populaires (3,5 millions de
spectateurs rassemblés en 2009).
La bière est l'une des boissons des festivals. Brasseries
Kronenbourg assure le prêt de tirages pression pour
les buvettes installées sur les sites.
Le top 4 des festivals
Le Printemps de Bourges
Les Francofolies de La Rochelle
Les Vieilles Charrues à Carhaix en Bretagne
Le Festival Interceltique de Lorient
•
•
•
•
Brasseries Kronenbourg est aussi partenaire de
nombreuses salles de spectacle et de concerts
en France, parmi lesquelles l’Olympia, Le Palais
Omnisports de Paris Bercy, Le Zenith, l’Axone à
Montbéliard, le Phare à Toulouse ou encore le Cargo
à Caen…
33
ANNEXE 2
FICHE D’IDENTITE
brasseries Kronenbourg
Brasseries Kronenbourg S.A.S
Société par actions simplifiée au capital de 547 891 076,78 €
Filiale depuis 2008 de Carlsberg Group, 4e brasseur mondial
Activité : production et commercialisation de bières et panachés
Date de création : 9 juin 1664, à Strasbourg (Kronenbourg est l'une des plus anciennes entreprises françaises)
Marques principales : Kronenbourg, 1664, Grimbergen, Kanterbrau, Carlsberg, Guinness, San Miguel
Chiffre d’affaires (2009) : 813 millions d’€
Part de marché : 31,3 %, leader de la bière en France
Effectif (31/12/2009) : 1300 personnes
Comité exécutif
Thomas AMSTUTZ : Président
Pierre-Emmanuel BORé : Directeur des Ressources Humaines
Hervé BOURC’HIS : Directeur Commercial CHD
Jean-Dominique CASTELLANI : Directeur Commercial GMS
Carole COLIN-KJAER : Directeur Business Development
Jean HANSMAENNEL : Directeur de la Communication, des Affaires publiques
et du Développement durable ; Président de la Fondation Kronenbourg
Jakob KNUDSEN : Directeur Marketing
Frédéric OLIVIER : Directeur Supply Chain
Frédéric RENAULD : Directeur Administratif et Financier
Siège social, administration et centre de développement
68, Route d’Oberhausbergen - B.P. 13 - 67037 Strasbourg Cedex 2 - Tél. + 33 3 88 27 44 88
Brasseries Kronenbourg est installée à Cronenbourg, le quartier de Strasbourg dont elle porte son nom,
depuis 1850. Le site emploie aujourd’hui 250 salariés dans des activités administratives et de R&D.
Centre de production brassicole
Boulevard de l’Europe - 67210 Obernai
Tél. : +33 3 88 27 44 88
Toute la production de Kronenbourg est concentrée sur un seul site français, à Obernai (Alsace), qui emploie
600 personnes. Inaugurée en 1969, Obernai est la plus grande brasserie nationale : une bière sur trois
consommées en France, toutes marques confondues, est fabriquée ici.
Plateforme marketing / commercial
122, Avenue du Général Leclerc - 92514 Boulogne Cedex - Tél : + 33 3 88 27 44 88
Fondation Kronenbourg
Depuis sa création en 1996, la Fondation d’entreprise des Brasseries Kronenbourg soutient le développement de
projets innovants créateurs de lien social et de convivialité, dans divers domaines (socio économique, culturels /
artistiques, environnement / développement durable).
Musée Kronenbourg, Voyage au centre de la bière
Sur le site historique de la brasserie, le Musée Kronenbourg et ses magnifiques Caves brassicoles accueillent
chaque année 25 000 visiteurs pour de fabuleux “Voyages au centre de la bière”.
RCS STRASBOURG 775 614 308 - SIRET 775 614 308 00846 - CODE APE 1105 Z
www.brasseries-kronenbourg.com
68, Route d’Oberhausbergen - B.P. 13
67037 Strasbourg Cedex 2
tél : 03 88 27 48 54
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération. Octobre 2010
BRASSERIES
KRONENBOURG
LE BRASSEUR
PRÉFÉRÉ
DES FRANÇAIS

brasseries kronenbourg le brasseur préféré des français

Transcription

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