BOSQUE ARDORA
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BOSQUE ARDORA
mister dante présente BOSQUE ARDORA de Rocío Molina Rocío Molina, © Alain Scherer BOSQUE ARDORA Rocío Molina Chorégraphie, direction artistique et musicale Mateo Feijoo Dramaturgie, Direction artistique et scénario de la video d’ouverture Rosario «la tremendita» Direction musicale, composition et arrangements pour le chant Eduardo Trassierra Musique originale et arrangements pour trombones Dorantes Composition originale de la pièce «Mandato» pour trombones Pablo martín caminero Composition pour trombones Carlos Marquerie Conception lumières Pablo martín Jones Conception espace sonore Maite Dono Paroles PRODUCTION COMPAGNIE ROCÍO MOLINA PRODUCTION DÉLÉGUÉE MISTER DANTE COPRODUCTION Biennale de la Danse de Lyon • Festival de Marseille_danse et arts multiples Théâtre National de Chaillot • Théâtre de l’Olivier / Régie Culturelle Scènes et Cinés Ouest Provence Festival Internacional Madrid en Danza • Mercat de les Flors - Barcelone • Bienal de Flamenco de Sevilla Théâtre de Nîmes – scène conventionnée pour la danse contemporaine Ballet National de Marseille • Théâtre de Villefranche BOSQUE ARDORA Rocío Molina est artiste associée au Théâtre National de Chaillot BIENNALE DE LA DANSE DE LYON CRÉATION BIENNALE DE LA DANSE DE LYON 2014 AU THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE / 19 septembre 2014 Danseurs Rocío Molina, Eduardo Guerrero et Fernando Jiménez Musiciens Eduardo Trassierra, Guitare José Ángel Carmona, Chant et basse electric José Manuel Ramos “Oruco”, Palmas et Compás Pablo Martín Jones, Batterie et live electronics José Vicente Ortega, Trombone Agustín Orozco, Trombone Equipe technique et production Costumes de Rocío Molina : Josep Ahumada Stylisme : Soledad Seseña Chaussures : Gallardo Répétiteur : Oscar Villegas Réalisation video : Gerard Gil et David Fernández Cours d’équitation : Rafael Hernández Régisseur son : Javier Álvarez Régisseur lumières : Antonio Serrano Régisseur plateau : Adrián Molina Production exécutive : Monica Hamill Administration : Magdalena Escoriza Diffusion : Mister Dante (D. Michel et JM Chatot) La compagnie Rocío Molina bénéficie du soutien de l’INAEM. Remerciements à Flamenqueria Sevilla et à la Diputacíon de Ourense. 4 synopsis Rocío a choisi ses hommes : 2 danseurs et 6 musiciens. Un huis-clos pour ces huit hommes face à cette femme, cette danseuse toute à la fois envoûtante, charmeuse, chasseuse et amoureuse. Elle connaît la fragilité des hommes et accepte d’être leur proie, mais pour mieux les diriger, les dominer, les aimer, les combattre puis les abandonner. Rocío Molina est comme une fleur. « Oui» dit-elle « Mais une fleur qui peut pousser sur un rocher et mourir pour renaître plus belle et plus forte encore ». «Bosque Ardora» débute par un film de 4 minutes, projeté sur un tulle tendu en avant-scène. C’est l’aube d’une belle journée. Rocío est à cheval dans un bois imaginaire. Et puis le rideau tombe et Rocío apparaît divine, comme une fée, une amazone, une déesse… Les hommes la regardent, la scrutent mais elle les affronte et les jauge. Quelques pas, quelques jeux d’épaules, quelques regards. Mais qui seront les proies, qui seront les chasseurs ? Un jeu s’installe entre Rocío et ses hommes, tombés tous sous le charme de cette femme dominatrice et délicieusement soumise à celui qui voudra jouer avec elle. 5 Et les émotions cheminent tout au long de la pièce, et sont le fil rouge qui guide le spectateur jusqu’au bout du chemin de ce conte pas toujours féérique. C’est une journée particulière imaginée par Mateo Feijo et Rocío Molina, une journée qui durera le temps du spectacle (1h20), pour aller du petit jour à la nuit tombée. Les lumières de Carlos Marquerie retracent la course du soleil, des lumières éblouissantes de midi aux ombres parfois effrayantes de la fin du jour. Avec les Impulsos, expérimentations et les improvisations que Rocío Molina a présentées dans des espaces les plus divers (une fontaine à Barcelone, les bords de Seine à Paris ou Central Park à New York), elle a trouvé une liberté, autant dans le geste que dans le rythme. N’ayant plus peur de personne, ni d’elle-même, elle s’abandonne dans une partition chorégraphique quasi barbare presque païenne pour les aficionados de Flamenco. Pourtant tous les codes du flamenco sont là. La pureté du geste, la virtuosité de ses « punteado » et de « redoble ». Tout y est et plus encore. Des bras qui se déroulent comme d’une danseuse contemporaine, 6 rocio molina L’EXPÉRIENCE DU SENSIBLE Danseuse prodige aux côtés des plus grands chorégraphes espagnols, LA MOLINA promène aujourd’hui sa danse sur les plus prestigieuses scènes internationales. Du Théâtre National de Chaillot à Paris au Sadler’s Wells à Londres, du Lincoln Center à New York à L’Esplanade de Singapore, ce petit bout de femme déchaîne l’admiration de tous. Elle est indiscutablement un prodige de la danse. Raison pour laquelle un Baryshnikov ému s’est agenouillé devant elle après l’avoir vu danser. Rocío Molina n’appartient déjà plus au monde du flamenco, mais à celui de l’art. Rocío Molina va toujours là où on n’attend pas le flamenco. Pas par principe, par nature. Sa danse, elle se permet de la provoquer, de la tricoter hors des modes et des gabarits traditionnels sans la dénaturer pour autant. Ses pieds, son corps n’ont peur de rien tant les porte le besoin d’en explorer les multiples résonances et leurs plages secrètes. Elle court Rocío, à l’assaut d’espaces et de situations improbables : bords de Seine, galeries d’art, musées, églises, esplanades, ruelles, espaces ouverts ou intimes, guettant l’allumage des sens, pistant les traces d’une œuvre à venir. Toujours avec la même précision rythmique, la même élégance et la même audace, et ce besoin d’y inclure le spectateur en cultivant l’art de la surprise. 7 La presse en parle De tous les spectacles présentés à la Biennale de Lyon, certains nous marquerons à tout jamais par leur exceptionnelle interprétation. C’est le cas de la création Bosque Ardora de la chorégraphe espagnole Rocío Molina, une jeune femme rusée et sexy qui ébranle le flamenco traditionnel avec intelligence et courage, qui le réinvente en incorporant son énergie et ses envies pleines d’audace. Ora Brafman - Jerusalem Post, 29 septembre 2014 Le flamenco de la bomba Molina est pur, intense comme une attaque au désespoir. La partition des jambes est époustouflante et celle des bras jugule en permanence entre geste traditionnel et invention osée. Rocío Molina réinterroge aussi le rapport à la robe. Déjà parce qu’elle n’en porte pas tout le temps et lui préfère souvent un mini short en lycra de toute laideur et de toute sexualité (…). Les attributs féminins doivent s’assumer pleinement ou n’être pas. Les scènes de trio sont aussi des moments oscillants entre exaltation grossière de la sexualité et danse rigoureuse. On peut être plus ou moins rétif à cet étalage de chair mais on ne peut qu’être séduit par la qualité technique des danseurs et le choix toujours risqué et ingénieux des enchaînements. Le kitsch l’emporte et l’on plonge l’œil dedans comme l’enfant une cuillère dans une mousse au chocolat un peu écœurante. Bruno Paternot, INFERNO-magazine 8 A-t-on jamais vu et entendu deux trombones accompagner les danseurs, les musiciens et les danseurs d’un spectacle « flamenco » ? Là n’était pas la moindre surprise que réservait la célèbre danseuse et chorégraphe espagnole Rocio Molina. Sur le plateau de « Bosque Ardora, la brochette d’artistes de haut niveau évoluant autour de l’ardente Artémis, déesse chasseresse, avait tout d’une machine vivante, parfaitement huilée, à laquelle participait le décor de forêt nourrie de matériaux organiques.. Ces tableaux ardents, musclés et vibrants, abécédaires du flamenco revu en mouvements aux bras plus flexibles, aux élans plus sensuels, en animait la flamme brûlante avec un souffle neuf. Aurore Busser - Nice Matin, 13 octobre 2014 Peu de danseurs dégagent ce genre de force en acier trempé comme le fait Rocío Molina. Elle est comme un pur sang ; elle est la force nucléaire au centre de l’atôme ; elle est, comme le dirait la chanteuse Sia, en titane. [...]Au fil d’une pièce très bien construite, Molina est à la fois chasseuse et chassée, mais par dessus tout, on est ébloui par la manière dont elle bouge. Elle fait des étincelles, et ce n’est pas une métaphore. Molina est une danseuse non conventionelle et absolument captivante, toute en angles et accents intéressants. Avec des bras qui se déroulent et un torse qui ondule tel un serpent, elle est sensuelle et toute en rondeur, mais aussi aiguisée et drôle. Et son jeu de jambe limpide est loin du martellement incessant d’une démonstration de flamenco : ces rythmes parlent. Dans un duo, Molina apparait avec chemise d’homme et cravate sur des talons aiguille, une rose entre les dents. Une petite inversion des rôles car son partenaire, torse nu, porte une jupe. Leur danse est jouissive, impertinente, complice, comme des préliminaires. Molina est extrêmement sexy, sans fausse pudeur ni clichés : on a rarement vu quelqu’un avec autant de contrôle. Beyoncé peut bien écrire «Féminisme» en néon sur scène lors de ses spectacles. Cette fille, elle, l’incarne tout simplement. Lyndsey Winship - London Evening Standard, 17 octobre 2014 9 mister dante Didier MICHEL et Jean-Marie CHABOT [email protected] [email protected] 12 grand rue - 30000 NIMES tél. +33 (0)4 66 36 03 18 Didier : +33 (0)6 77 15 88 75 Jean-Marie : +33 (0)6 01 32 04 98 www.misterdante.com