Programme de salle - Opéra de Saint

Transcription

Programme de salle - Opéra de Saint
les 20 ans
de la maîtrise
voix
En partenariat avec le Conseil général de la Loire.
établissement de la Ville de Saint-étienne, l’Opéra Théâtre bénéficie du soutien
du Ministère de la Culture et de la Communication ( Direction Régionale des Affaires
Culturelles ), du Conseil régional Rhône-Alpes et du Conseil général de la Loire
L’Opéra Théâtre remercie l’ensemble de ses partenaires pour leur confiance et leur fidélité
à l’opéra théâtre
Musique
Théâtre Jeune Public
LE BŒUF SUR LE TOIT
OUASMOK ?
ALEXANDRE THARAUD
AND FRIENDS !
Cie PANTAÏ
Bienvenue à Paris, dans les années
1920, à l’intérieur du célèbre cabaret
parisien Le Boeuf sur le Toit !
Grand Théâtre Massenet
Mercredi 10 oct. : 20h
Tarifs : de 10 € à 28 € (et tarifs réduits)
Musique
TE DEUM - MAGNIFICAT
LES OMBRES
Deux pièces emblématiques du plus
grand maître de l’art musical sacré de
son temps : Marc-Antoine Charpentier.
Marc-Antoine Charpentier
Sonate à huit
Magnificat à trois voix
Miserere à deux dessus et deux flûtes
François Colin de Blamont
Te Deum
L’écriture de Sylvain Levey conjugue
humour, finesse et justesse du regard
un rien poil à gratter. Sur scène, l’intérêt
de ce dialogue à deux personnages tient
autant à la fraîcheur du texte qu’à son
intelligence et au jeu des comédiens.
Auteur Sylvain Levey
Mise en scène Anaïs Simon
Avec Emma Barcaroli, Mathieu Saccucci,
Anaïs Simon
Théâtre Copeau
Mercredi 17 oct. : 15h
Samedi 20 oct. : 17h
Tarif : 15 € (et tarifs réduits)
11e édition
Église de Saint-Galmier
Mercredi 10 oct. : 20h
Tarif : 15 € (et tarifs réduits)
Du 20 octobre
au 7 décembre
Retrouvez tout au long de la saison les détails des spectacles (distributions, vidéos...)
sur www.operatheatredesaintetienne.fr
1
octobre
En préparation
11e Biennale Massenet
du 20 octobre au 7 décembre
650
C’est le nombre de nouvelles
familles abonnées à l’Opéra
Théâtre de Saint-étienne.
En faites-vous partie ?
Brèves
Bienvenue à Stéphane
Bégou, nouveau directeur
administratif et financier de l’Opéra
Théâtre de Saint-Étienne.
Bonnes retraites à Chantal Faugier
et Michèle Fallu, habilleuses à
l’Opéra Théâtre.
© DR
2
En cette année de commémoration de la mort
du célèbre compositeur stéphanois, l’Opéra Théâtre
a souhaité, fidèle à sa tradition, contribuer à faire
redécouvrir ses œuvres, à travers notamment la
recréation d’un opéra Le Mage, mais aussi d’autres
soirées d’opéra, de récitals, une exposition, un
colloque international... Retrouvez toute la
programmation de ce festival, ainsi
que les concerts du “off” sur le
site internet de l’Opéra.
Théâtre Jeune Public
Ouasmok ?
Représentation en langue des
signes française le 17 octobre à
15h à l’Opéra Théâtre
les 20 ans de la maîtrise
Direction Jacques Berthelon, Jean-Baptiste Bertrand
Soprano Marion Grange
Orchestre Symphonique Saint-Étienne Loire
Maîtrise du Conseil général de la Loire
Georges Bizet
Carmen (extrait) / Chœur des gamins « la garde montante »
Léo Delibes
Messe brève pour voix d’enfants et cordes
Matthieu Burgard
Soir en Forez création à partir d’un poème de Victor de Laprade
Francis Poulenc
Gloria
Grand Théâtre Massenet
Vendredi 5 octobre 20h
Durée 1h20 sans entracte
Mademoiselle Marion Grange est pensionnaire du Centre National d’Artistes Lyriques (CNIPAL).
3
Georges Bizet Carmen : Chœur des gamins
4
« Cette œuvre vaut pour moi un voyage en Espagne, une œuvre extrêmement
méridionale. Il faut méditerraniser la musique. » C’est en ces termes que
Nietzsche s’exprimait sur Carmen de Bizet (créé à Vienne en 1875), après
avoir adulé Wagner. Extrait du premier acte (scène 3), le « Chœur des
gamins » sonne comme une pièce dénuée de l’emphase wagnérienne à
laquelle le romantisme germanique avait abouti. C’est paradoxalement
dans la légèreté de son texte, dans l’ingénuité de ses tournures
mélodiques et de son orchestration, ou encore dans la fraîcheur de sa
vocalité enfantine, que la pièce - et l’opéra dans son ensemble - atteint
une profondeur inégalée chez nombre de compositeurs contemporains de
Bizet. Loin de pâtir de son fonctionnalisme descriptif - le rapprochement
de la garde militaire -, l’extrait recèle un miracle de dosage de timbres et
d’équilibre orchestral.
Après une intervention de la trompette solo annonçant le lancement de
la relève de la garde, une introduction instrumentale en trois parties,
composée d’un contrepoint de flûtes piccolos, énonce le thème principal,
ponctué d’une formule de trompette que les “gamins” imiteront par des
« ta ra ta ta ». Le thème est bientôt rejoint par un marquage des cordes en
pizzicato (les cordes des instruments sont pincées avec les doigts) et tout
en légèreté, des temps fort de la mélodie. Le second thème est ensuite
lancé par la trompette en dialogue avec les flûtes, avant que celles-ci ne
réitèrent leur premier thème.
Les “gamins”, au chant accompagné des cordes et ponctué par les vents,
entrent à leur tour sur la thématique entendue. Avec l’élan insufflé par
l’insouciance enfantine (cf. les effets d’échos des « ta ra ta ta » chantés à
deux voix), l’orchestre se déchaîne peu à peu, libérant son énergie en un
extraordinaire jeu instrumental et vocal, dans un espace sonore élargi.
Carmen, qui reçut après sa création des critiques très dures, mais aussi
l’admiration de Brahms, Tchaïkovski et de Wagner, est aujourd’hui un des
opéras les plus joués du répertoire, malgré son “impureté” de caractère,
car populaire et tragique à la fois.
Léo Delibes Messe brève
Léo Delibes (compositeur français, 1836-1891), dont l’histoire semble
n’avoir retenu que les nombreuses œuvres pour la scène (ballets - Coppelia,
opéras - Lakmé, et opéras-comiques - Jean de Nivelle…), n’a composé que
de rares pièces de musique religieuse. Sa Messe brève comporte cinq
parties : « Kyrie », « Gloria », « Sanctus », « O salutaris » et « Agnus Dei »,
constituant l’Ordinaire de la messe.
Aux trois invocations « Kyrie - Christe - Kyrie » de la première pièce
correspondent trois parties musicales (a b a’) dont l’extrême clarté et
simplicité de l’écriture des voix invite à la prière : chacune d’elles énonce
en alternance le début des phrases, puis les voix se superposent en
parallélisme de sixtes ou de tierces pour leur conclusion.
Tout autre est le « Gloria » qui offre une plus grande variété de types
d’écriture. Ainsi le majestueux « Gloria in excelsis Deo » (« Gloire à Dieu
au plus haut des cieux ») est d’abord énoncé en strict parallélisme des voix
dans un tempo rapide. Puis le « Gratias agimus tibi » (« Nous te rendons
grâce ») retrouve un certain recueillement dans une nuance apaisée, et
des voix qui alternent puis se retrouvent en contrepoint. Vient ensuite le
« Qui tollis peccata mundi » (« Toi qui enlèves les péchés du monde »)
qui prend un ton nettement plus dramatique par ses rythmes pointés et
son homophonie des voix dans un tempo très lent, puis qui se poursuit
dans une écriture imitative. Enfin le « Quoniam tu solus Sanctus » (« Car
toi seul es Saint ») reprend l’écriture majestueuse du début avant de
s’orienter vers une écriture fuguée pour le « Cum Sancto Spiritu » (« Avec
le Saint-Esprit »).
Après un bref « Sanctus » essentiellement écrit en homophonie, et un
« O salutaris Hostia » (« Ô réconfortante Hostie ») qui fait appel à la
technique d’alternance d’une voix soliste avec le tutti, l’« Agnus Dei » clôt
cette messe, réaffirmant le caractère recueilli et quelque peu archaïque de
l’écriture de Léo Delibes dont Maurice Emmanuel avait noté « la fermeture
à toute tentative extra-classique. »
5
Matthieu Burgard Soir en Forez
6
Marqué par un certain onirisme, Soir en Forez de Matthieu Burgard
(compositeur français né en 1970) s’offre en une seule trajectoire
musicale et par le choix même d’un atypique effectif orchestral, comme
une vision sonore très impressionniste de la nature. Des harmonies
tonales mais aux fonctions incertaines sillonnent la partition au gré d’une
écriture musicale aérée, souple et aux aspects changeants. Oscillant entre
homorythmie et contrepoint canonique, l’écriture rend tour à tour du texte,
une vision sémantique et lui donne son aura méditative. Ainsi, dans la
partie centrale, le violon et le violoncelle solistes semblent, par leur canon
strict, préfigurer le sens du texte à venir : « Bientôt, submergeant tout, de
l’une à l’autre chaîne… ». Puis le chœur d’enfants à trois voix en restitue le
sens en une parfaite homorythmie, alors que le canon gagne, d’abord en
accompagnement du chœur, les vents de l’orchestre, enfin comme thème
principal, sa texture entière.
Francis Poulenc Gloria
Dans une période riche en innovations avant-gardistes (le Gloria date de
1959), la musique de Poulenc faisait figure, aux yeux des compositeurs
sériels français, de gardienne « de la tradition de la légèreté française »
(André Hodeir). Conscient de ne pas apporter la nouveauté de langage
musical d’un Schœnberg ou d’un Stravinsky, Poulenc défendait pourtant
ses œuvres en affirmant qu’il n’était guidé que par son seul instinct.
Pour lui, la nouveauté était dans l’instinctif, donc le tonal… Fort de ses
principes, Poulenc était confiant dans ses capacités à créer un art dont
la valeur saurait être reconnue. Il avouait même être très satisfait de
son Gloria, lequel fut ovationné à Boston, lieu de sa création en 1961.
« Le Gloria est sans doute ce que j’ai fait de mieux » avait-il affirmé.
Malgré une grande diversité dans l’écriture orchestrale, plusieurs éléments
thématiques unifient l’œuvre, telle la cellule mélodico-rythmique qui
l’introduit (rythmes pointés et homophones), omniprésente et soudant
les parties chorales de la sixième et dernière pièce (« Qui sedes… »).
Le « Laudamus te » (seconde pièce) recèle quant à lui une grande pureté
et mise à nu des lignes mélodiques. Mais si le dépouillement des timbres
instrumentaux accompagnant l’écriture homophonique des chœurs lui
donne un côté stravinskien, le « Domine Deus » (troisième pièce) retrouve
sa profondeur mélodique dans le plus pur style du Poulenc des Litanies
à la Vierge noire. Après un « Domine Fili unigenite » (quatrième pièce)
marqué par d’incessantes répétitions thématiques, le second « Domine
Deus » (cinquième pièce) renoue avec l’intériorité du premier dans un air
de soprano des plus propices à la ferveur religieuse.
C’est dans le lyrisme poignant du « Qui sedes ad dexteram Patris » déjà
évoqué que s’achève le Gloria de Poulenc. Tout en douceur et en sérénité
retrouvées, sa coda s’inscrit en contraste avec une sonorité d’ensemble
somme toute éclatante et grandiose.
Jean-Marc Bardot
Professeur agrégé de musique et docteur en musicologie, Jean-Marc Bardot est
chercheur associé au CIEREC de l’Université de Saint-Étienne. Auteur d’une thèse
consacrée à la musique de Philippe Hersant, il a fait publier une série d’entretiens
avec ce compositeur (Cig’Art édition, 2003), ainsi que plusieurs articles sur la musique
française contemporaine (François-Bernard Mâche, Jean-Louis Florentz, Olivier Greif).
7
Jacques Berthelon Direction
8
Titulaire d’une maîtrise de Physiologie, il se
consacre à l’enseignement et à la recherche en
physiologie cellulaire tout en menant en parallèle
des études de chant et de direction de chœurs.
Membre du Choeur de Chambre de l’Orchestre
National de Lyon (direction Bernard Tétu) et du
Nouvel Ensemble Vocal (direction Henri Farge). Il
chante actuellement au sein de l’ensemble vocal « Les Voix Six ».
Après des études en classe de direction de chœurs au Conservatoire
National Supérieur de Musique de Lyon, il est chargé en 1984 de la création
du Centre Polyphonique Régional Rhône-Alpes qu’il anime jusqu’en 1988.
A cette date il est sollicité par le Département de la Loire pour développer
la pratique du chant choral dans le milieu scolaire et les écoles de Musique
afin d’aboutir à la création d’une école maîtrisienne départementale.
Celle-ci ouvre ses portes en septembre 1992 avec Jacques Berthelon en
directeur pédagogique et musical. Sous son impulsion la Maîtrise de la
Loire a rapidement atteint un excellent niveau musical.
Il est aussi directeur de la Schola Witkowski à Lyon et du chœur des Marais
à Villefranche. Il dirige de nombreux concerts tant en France qu’à l’étranger
et aborde avec bonheur tous les répertoires, avec une prédilection pour la
période baroque et la musique française du xxe siècle.
Jean-Baptiste Bertrand Direction
Chef de chœur et Professeur d’enseignement
artistique territorial de chant choral du
Conservatoire de Saint-étienne pendant 7 ans, puis
à la Maîtrise du Conseil général de la Loire, JeanBaptiste Bertrand a été l’élève de Daniel Kawka,
Philippe Caillard et François Lusignant.
Il est invité par Jacques Berthelon à prendre la
fonction de chef de chœur à la Maîtrise du Conseil général de la Loire, et
depuis septembre 2011, en est le Directeur artistique et Pédagogique. Il est
également Directeur Musical de l’Académie Internationale de chant choral
In terra Pax (Pologne et Allemagne) et représente la France dans le cadre
World Choir Council à Shanghai (Chine).
Il est invité comme chef de chœur et jury par le Bali International Choir
Festival (Indonésie) au mois d’août 2012.
Il dirige le Groupe Vocal Chœur Universitaire de Saint-Étienne de 1996
à 2011 ainsi que l’Académie des jeunes chanteurs du festival des Voix de
L’Aures en Normandie depuis 2009.
Marion Grange Soprano
Née en 1985 à Saint-Étienne, elle débute sa
formation musicale par l’étude du violoncelle au
Conservatoire de Saint-Étienne, puis étudie le chant
avec la Maîtrise du Conseil général de la Loire.
à12 ans, elle fait ses premiers pas sur scène dans
Die Zauberflöte de Mozart (rôle du 3ème enfant) à
l’Opéra de Toulon et dans Tosca de Puccini (rôle du
Pâtre) à l’Opéra Théâtre de Saint-Étienne.
Elle intègre ensuite la Haute École de Musique de Genève, où elle obtient
un Master spécialisé Soliste en 2012.
En 2011, elle interprète les Illuminations de Britten avec l’Orchestre de la
Haute école de Musique de Genève, puis Les Noces de Stravinsky en 2012
au Festival de Villefavard et à la Cathédrale de Lausanne.
Au Grand Théâtre de Genève, en 2012 elle chante dans le Chœur de
Solistes dans le Devin du village de Rousseau. Elle est ensuite Sylvabelle
dans L’Auberge du Cheval Blanc de Benatzky.
Marion Grange a obtenu pour la saison 2011/2012, une bourse de la
Fondation Sigg (Genève), puis le Prix de la Ville de Genève.
En 2012, elle chante la partie Soprano Solo du Requiem Allemand de
J. Brahms au Victoria Hall de Genève (Dir : Michel Corboz) ainsi que celle
de la 9ème Symphonie de Beethoven à Salvador de Bahia au Brésil.
En janvier 2013, elle chantera notamment un programme de Lieder en
récital au Goethe Institut de Paris.
Marion Grange est Lauréate du 2ème Prix catégorie opéra, du Concours
International de Chant Lyrique de Béziers 2012.
Elle intègre le CNIPAL en septembre 2012, pour la saison 2012-2013.
9
Maîtrise du Conseil général de la Loire
Créée en 1992 par le Conseil général, la Maîtrise du
Conseil général de la Loire est l’une des dix maîtrises
en France fonctionnant sur le principe du mi-temps
pédagogique et la seule gérée directement par
un département. Elle regroupe actuellement 150
élèves garçons et filles de la 6ème à la terminale.
En plus de la vingtaine de concerts que la Maîtrise
donne chaque année dans le département, elle prépare des solistes et des
chœurs d’enfants pour les productions lyriques. Ses élèves participent
régulièrement à divers festivals estivaux comme ceux de La Chaise-Dieu
et d’Ambronay.
Orchestre Symphonique Saint-Étienne Loire
10
Créé en 1987, l’Orchestre Symphonique SaintÉtienne Loire (OSSEL) a su s’élever au rang des
grands orchestres français.
La critique, toujours attentive aux évolutions des
institutions musicales, salue de façon enthousiaste
cette phalange, considérant désormais que la Ville
de Saint-Étienne possède un très bel instrument,
capable de servir tant les grandes oeuvres du répertoire que la création
contemporaine. En 2004 Laurent Campellone devient Directeur musical
de l’orchestre et instaure une véritable complicité avec ses musiciens ;
il entreprend un travail en profondeur sur la qualité artistique de cet
ensemble, permettant d’engager l’OSSEL dans une nouvelle phase de
développement.
Sur le plan régional, l’OSSEL va à la rencontre de tous les publics au travers
d’actions de médiation ou de la participation à des festivals (Festival
Berlioz, Festival de La Chaise-Dieu...). Sur le plan national enfin, l’OSSEL
a su acquérir une solide réputation, en particulier dans le répertoire
romantique français. En septembre 2010, le Conseil général de la Loire
confirme son attachement à l’Orchestre en signant avec la Ville de SaintÉtienne une convention visant notamment à développer l’action artistique
et pédagogique sur l’ensemble du département.
maîtrise du conseil général de la loire
élèves de 6ème
Garance Biffaud
Mathis Billon
Lise Bonnefoi
Anouk Chaquet-Rostaing
Mathilde Chavot
Clémence Col
Baptiste Coulomb
Clémence Delaplane
Lucien Fayolle
Oumayma Kabil
Swan Larcheveque
Marine Lipowski
Morgane Lipowski
Roxane Macaudiere
Théo Mazzini
Amalia Mirzoyan
Lalou Mohammedi-Menguy
Thelma Morel
Etienne Navaron
Estelle Odo
Noé Poix
Violette Puchot
Lilou Ribeyron
Maëlle Rousson
Baptiste Tranchant
Laurie Viallard
Téo Xavier
élèves de 5ème
Héloïse Barnabe
Clémentine Carlion
Marion Dottin
Manon Fillatre
Margot Finet
Manon Gallo
Keren Garcia
Enora Gastel
Diego Gatte
Jules Henriot
Hervé Le Bert
Nellya Mamezy
Mélina Marcoux
Mathilde Massias
Thaïs Oriol
Emma Peatier
Amandine Perisse
Clara Prades
Bertille Puchot
Raphaël Schwitters
Mathieu Struffi
Clara Vacher
Tom Weber
Nagib Zeghdalou
élèves de 4ème
Pierre Bahr
Valentine Berne
Thomas Bertrand
Lila Boughida
Mattéo Caracciola
Chloé Charras
Océane Clere
Isabelle Cotte
Emmanuelle Defour
Martin De Garsignies
An-Lan Durieu
Manon Foray-Murat
Gaspard Gonthier
Grégoire Granger
Victor Grenier
Pénélope Jacquet
Augustin Magneron
Nino Martin
Irène Meunier
Adam Mezaber
Chloé Morales
Yann Mourelon
Léa Nourry
Salomé Ribba
Alicia Suchet
Erwan Thevenon
élèves de 3ème
Mélanie Bader
Loana Baroux
Charlotte Bayon
Aurore Beauchamp
Aude Bourgier
Lilly Buisson
Mélisande Charles
Audrey Chillet
Maude Coulomb
Cécile Defaux
Jason Dherissard
Sarah Duc
Laurie Fanget
Marie Forest-Dodelin
Jean Fortunier
Jolan Garcia
Mathilde Guillot
Léo Nil Joanin
Julie Maisonneuve
Julia Marco
Mathilde Saignol
Théo Samuel
Noémie Vallat
Leeloo Vial
Philippine Zadeo
11
maîtrise du conseil général de la loire
élèves de 2
élèves de t
Florine Barry
Apolline Beauchet
Farah Belkorchia
Lucy Benoit
Anissa Chalal
Charles Andréa Dupuy
Mélissande Gallet
Marie-Elise Gerossier
Clara Girard
Raphaelle Mourelon
Candice Rolly
Clémentine Seguin
Ann-Laure Serra
Célestine Seux
Louise Seux
Héloïse Therrat
Adrien Xavier
Zoé Achard
Clément Brun
Laurine Brun
Tim Corbeau-Broly
Lucas Cottancin
Justine Leonard
Loÿs Marechal
Natacha Monteil
Pauline Mourelon
Tanguy Poble
Julie Robert
Etienne Seux
Mégane Viallon
de
12
élèves de 1ère
Léna Anderson
Rachel Arnaud
Guillaume Bernard
Margaux Catillon
Eva Chaussinand
Bénédicte Chevalier
Karoline Fontrodona
Anna Hoel
Louise Le Maitre
Margaux L’huillier
Caroline Lopez
Léa Mosnier
Estelle Paracuellos
Jessica Paris
Audrey Suc
Axel Sudrie
Marie Taillandier
ale
Grand Chœur
à voix mixtes
(élèves non maîtrisiens)
Pascale Antoine
Timothée Asensio
Betty Aurange
Clarysse Bachongy
Suzelle Barbaroux Valentine Bardel
Candice Barjat
Barbara Barnoud
Meddy Bernard
Sophie Bonaque
Margot Bonini Théo Bonnefoy Romain Bouniard
Emile Caillol
Elsa Chomienne
Roxane Choux
Jehanne Crouzier
Guillemette David François Defour
Laureline Descos
Léa Dupuy Arthur Epinat
Emmanuel Fontana
Julie Gaudin Gabrielle Gay
Gaëtane Gillet
Pierre-Yves Grange
Gwendoline Guichard
Léa Guillot
Arsène Kapikian
Mélanie Lapalus
Norbert Maisse
Nadine Maisse
Jean-Luc Masset
Lara Odin
Charlotte Pabiou
Mathilde Perrin
Henri Pinet
Yoann Piquenot
Justine Poirieux
Marjorie Poyard
Mathilde Seux Amélie Tournaire
orchestre symphonique saint-étienne loire
Violons I
Contrebasses
Contrebasson
Lyonel Schmit soliste
Françoise Chignec soliste
Elisabeth Gaudard
Charlotte Vergnes
Agnès Pereira
Tigran Toumanian
Virginie Fioriti
Albane Genat
Jérôme Bertrand soliste
Daniel Romero soliste
Marie Allemand
Dominique Rochet
Pierre Cathelain soliste
Violons II
François Vuilleumier soliste
Alain Meunier
Solange Becqueriaux
Marie-Noëlle Villard
Christophe Gerboud
Caroline Bréchet
Béatrice Meunier
Altos
Anne Perreau soliste
Marc Rousselet
Geneviève Rigot
Aurélie Metivier
Chen-Ling Huang
Sophie Mouson
Violoncelles
Florence Auclin soliste
Joël Schatzman
Marianne Pey
Louis Bonnard
Clémence Ralincourt
Cors
Marion Sicouly soliste
Frédéric Hechler soliste
Serge Badol
Thierry Gaillard
Philippe Constant
Flûtes
Trompettes
Denis Forchard soliste
Christine Comtet
Didier Martin soliste
Gilles Peseyre
Stéphane Fyon
Harpe
Piccolo
Gilles Bauer
Trombones
Hautbois
Nicolas Vasquez soliste
Gilbert Bonnet
Joël Castaingts
Sébastien Giebler soliste
Stéphane Mingasson
Cor Anglais
Mylène Coimbra soliste
Clarinettes
Bernard Gaviot-Blanc
soliste
André Guillaume
Clarinette basse
Didier Reymond
Bassons
Pierre-Michel Rivoire soliste
Charles Villard
Tuba
Éric Varion soliste
Timbalier
Philippe Boisson soliste
Percussionnistes
Quentin Allemand soliste
Patrick Gagne
Locations / réservations
du lundi au vendredi de 12h à 19h
04 77 47 83 40
[email protected]
Conception graphique : Et d’eau fraîche / Opéra Théâtre de Saint-Étienne
Réalisation : Opéra Théâtre de Saint-Étienne - Licences n°1028383-1028384-1028385
Opéra Théâtre de Saint-étienne
Jardin des Plantes – BP 237
42013 Saint-étienne cedex 2
www.operatheatredesaintetienne.fr

Documents pareils

Programme de salle - Opéra de Saint

Programme de salle - Opéra de Saint L’exaltation des héros : Beethoven « Il est bien davantage que le premier des musiciens. Il est la force la plus héroïque de l’art moderne. » Tels sont les mots de Romain Rolland dans sa biographie...

Plus en détail

ORCHESTRE SYMPHONIQUE SAINT

ORCHESTRE SYMPHONIQUE SAINT par la tradition viennoise – et de solutions nouvelles nées au contact des grands maîtres baroques. La tradition viennoise se manifeste par le réglage quasi chorégraphique de l’orchestre. Les corde...

Plus en détail