BASKET INF S - asptt saint

BASKET INF S
LE PETIT JOURNAL DE L’ASPTT SAINT-BRIEUC
NUMERO 161
OCTOBRE 2015
1/8èmes DE COUPE : LES SM1 AU RENDEZ-VOUS
Lors de ce rendez-vous tant attendu les récents finalistes de la dernière édition recevaient le BC Pommeret
1. Très appliqués à l'échauffement les seniors 1 étaient avant tout très désireux de sortir de la spinale des
défaites actuelles. Le match débute timidement et le score n'évolue que de peu, Pommeret prenant une
légère avance dans le 1er quart-temps. Le réveil sonne pour l'ASPTT qui retrouve sa défense, maîtrisant ses
rebonds et provoquant des interceptions. François Le Sayec (8 points) et les siens enfoncent le clou en
deuxième quart-temps, David (6 point) enquillant le panier de l'égalisation : 22 partout. Dès lors les
hommes en noir enclenchent le turbo et distancent leurs adversaires sous l'impulsion d'un Jean-Hervé (17
points) intenable avec 3 paniers à suivre. 21-10 dans ce 2ème quart-temps. Au four et au moulin Sylvain (6
points) et ses coéquipiers reprennent les débats après la pause, perdent par séquence leur intensité mais ne
lâchent pas. Quand l'ASPTT la joue solo, c'est Pommeret qui en profite pour revenir sur ses talons. Quand
elle fait circuler son ballon, elle trouve toujours la mire à l'image de François Magne (8 points) qui se
démultiplie comme un beau diable. A l'orée du dernier quart-temps, les locaux mènent de 7 petits points, 50
à 43. Malgré la sortie définitive de leur capitaine Sylvain, la tension de plus en plus palpable sur le terrain,
ces derniers restent lucides et Christophe (4 points), pour son premier match, se lâche enfin avec deux
paniers consécutifs très appréciés par le public. Le meilleur joueur adverse, Fred Hillion, effectue sa 5 ème
faute sur une antisportive. Sans la défense efficace qui s'est relayée autour de lui tout au long du match
(Alexandre en premier chef), ses 18 points auraient pu être multipliés aisément. La fin de rencontre tourne
pleinement à l'avantage de l'ASPTT qui conclue avec un 73 à 57. Les finalistes, heureux de renouer avec la
victoire, retrouveront les quarts début février. On leur souhaite d'aussi belles rencontres en perspective.
Merci au public de s’être déplacé une nouvelle fois.
ON A RETENU…
 La première journée de championnat a débuté fort avec la victoire de toutes les équipes jeunes !
 L’équipe 2 des U15 a sauvé l’honneur du club en sortant victorieuse de sa rencontre contre Quintin 2.
BON ANNIVERSAIRE !
08/11/2001
18/11/2007
19/11/1992
VICTOR HAGUET
ANTHONY FAUCHER
JEAN-HERVE BOUTIN
1
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RESULTATS DES MATCHS
03/04 octobre
BC Pommeret – Seniors masculins 1
BC Broons - U17
AL Ploufragan - U15 équipe 1
U15 équipe 2 – Lannion Trégor 2
EN-CTC Argoat Trégor - U13 équipe 1
U13 équipe 2 - Plouézec
Bilan :
1V – 5D
1V – 6D
69-62
63-37
31-78
26-34
98-30
22-39

10/11 octobre
Seniors masculins 1 – AL Ploufragan 2
Seniors masculins 2 – BC Pommeret 2
AS St Samson 2 - U17
U15 équipe 1 – EB St Brieuc
U15 équipe 2 – MJC Quintin 2
U13 équipe 1 – BB Pordic
BC Pommeret - U13 équipe 2
Bilan :
PROCHAINES RENCONTRES
U13 équipe 2 – EN-Langueux BC
70-86
67-70
63-25
49-66
62-25
22-53
58-17

Dimanche 18 octobre (15h)
Coupe départementale (1/8èmes de finale)
Seniors masculins 1 – BC Pommeret
07/08 novembre
Lannion Trégor 2 – Seniors masculins 1
BB Pordic 2 - Seniors masculins 2
U17 – HDG Pluduno
AS St Samson - U15 équipe 1
AL St Brieuc - U15 équipe 2
IE US Yffiniac - U13 équipe 1
73-57
Dim. 10h30
Dimanche 13h30
17h
14h45
15h30
15h (salle de
Trégueux)
15h
14/15 novembre
Seniors masculins 1 - US Yffiniac Entente
Seniors masculins 2 – BC Lamballe
CS Merdrignac - U17
U15 équipe 2 – AL Ploufragan 2
EB St Brieuc - U13 équipe 1
19h15
21h15
14h
15h
15h30
21/22 novembre
Plaintel SP – Seniors masculins 1
AS St Samson - Seniors masculins 2
Guerlédan – U17
EN Trégastel - U15 équipe 1
U15 équipe 2 – ABC Guingamp 2
IE US Yffiniac 2 - U13 équipe 1
U13 équipe 2 - EN-CTC Argoat Trégor 2
Dimanche 15h30
Dimanche 15h30
15h30
14h
17h
16h
15h
28/29 novembre
Seniors masculins 1 – AL St Brieuc
Seniors masculins 2 – MJC Quintin
U17 – BC Broons
U15 équipe 1 – AL Ploufragan
Lannion Trégor 2 - U15 équipe 2
U13 équipe 1 – EN-CTC Argoat Trégor
Plouézec - U13 équipe 2
19h15
21h15
17h
15h45
16h45
14h
14h
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INTERVIEW : JEAN-JACQUES RUGA
Avec le calme qui le caractérise Jean-Jacques nous a aimablement ouvert les portes de
ses souvenirs. Ancien joueur de haut niveau le finistérien a pris en main les féminines
de l’ASPTT quatre saisons durant les 70’s, les ancrant solidement en nationale 3.
« j’ai toujours aimé enseigner »
Qui est Jean-Jacques Ruga ?
« J’ai 75 ans, je suis marié et j’ai une fille, Stéphanie (48 ans). J’étais responsable du personnel à l’office
des HLM. Je suis en retraite depuis 15 ans. Je pratique le golf et je pense être quelqu’un d’ouvert sur les
autres.
Comment as-tu commencé le basket ?
Quand j’avais 7 ans, j’habitais le quartier St Michel à Brest et je jouais sur un terrain en plein air de
l'autre côté de ma rue. A 11 ans j’ai intégré le Stade Brestois. J’étais un passionné, c’était basket ou rien
d’autre ! J’ai joué jusqu’à 17 ans et été plusieurs fois champion du Finistère et de Bretagne en catégorie
jeunes.
Raconte-nous ton parcours.
J’ai été sélectionné une fois en équipe de France juniors, c’était à Bruxelles sous la houlette d’André
Buffière. Je me suis fait des copains dont certains sont devenus internationaux par la suite. A 18 ans le
COB est venu me chercher car il n’y avait pas de gros club à Brest à l’époque. Ca ne s’est pas bien passé.
Par la suite je suis parti à Orléans, au sein de l’Olympique Club Orléanais où je suis resté entre 1961 et
1968. J’ai vécu de très bonnes années là-bas, on jouait en excellence nationale (2ème niveau de l’époque).
On finissait toujours dans les trois premiers du classement mais on ne montait jamais. J’étais meneur de
l’équipe première, plutôt meneur shooteur. A 22 ans, j’étais même le plus vieux de l’équipe ! On a
parfois joué des équipes étrangères, comme la Russie, le Spartak de Prague, et de grosses cylindrées
françaises comme Berck ou Tours. En 1968, j’ai suivi ma femme, briochine, qui était mutée dans les
Côtes-du-Nord. Je suis retourné au COB et çà s’est mieux passé cette fois. Mes coéquipiers étaient Job
Morvan, Jean-Yves Houron ou encore Jacky Quinio. J’y suis resté 7 ans, jusqu’en 1975. Je me souviens
de matchs difficiles, contre La Baule, le PUC, le Racing. Après j’ai décidé de descendre en excellence
région.
Quel type de joueur étais-tu ?
J’étais un teigneux, porté sur l’attaque, la vitesse d’exécution, très adroit à mi-distance.
La fibre d’entraîneur t’es venue très tôt ?
Oui dès 25 ans. J’ai passé des diplômes et j’ai décroché le E3 (entraîneur national). J’entraînais des gars
du COB avec qui je jouais, et des cadets. J’ai toujours aimé enseigner.
Comment es-tu arrivé à l’ASPTT ?
Je suis arrivé en janvier 1976. André Pelé et Bernard Le Guern sont venus me chercher car ils n’avaient
plus personne pour entraîner les seniors féminines. J’aurais pu venir un an plus tôt mais les dirigeants du
COB n’étaient pas d’accord pour que j’entraîne à l’ASPTT.
Comment cela s’est passé avec les filles ?
Très bien ! Les filles jouaient alors en excellence région et avaient déjà gouté à la nationale 3 auparavant.
Dès le 1er entraînement j’ai eu la sensation d’un bon groupe, elles étaient d’ailleurs premières du
classement. Il est clair que l’on pouvait faire beaucoup mieux encore. Il ne faut pas oublier qu’elles
n’avaient qu’un seul entraînement par semaine ! On est monté à la fin de la saison. L’adaptation en
nationale 3 a été plutôt facile. En attaque j’insistais sur la vitesse d’exécution et en défense je leur faisais
appliquer une défense de zone qu’elles n’avaient pas l’habitude de faire. Je n’avais aucun problème avec
elles car il y avait un respect de l’entraîneur, que ce soit les anciennes ou les jeunes. J’ai passé 4 bonnes
années à leur côté et on a terminé par trois fois 2èmes du classement. Quand on était ensemble, ça se
passait bien, que l’on gagne ou que l’on perde, il n’y avait pas de déçues au final. Les filles formaient
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une bonne complémentarité : sans l’une ou l’autre cela n’aurait tout simplement pas fonctionné. Je me
sentais plus proche de Marie-Hélène ou de Denise, évidemment en raison de notre âge. Mais je ne leur
faisais pas de cadeaux pour autant ! Tous les ans je cherchais à intégrer une ou deux joueuses. Bernard
me parlait toujours de certaines jeunes qu’il fallait tester, qui étaient encore à l’école.
A quoi ressemblait l’ASPTT à ton époque ?
On n’avait pas beaucoup de moyens financiers, seulement 6 sponsors ! Le club ne couvrait pas les frais
alors on se débrouillait comme on pouvait. Ainsi on a réalisé nous-même des calendriers dont la vente
nous a permis de payer les déplacements et les frais de restauration. D’ailleurs cela gênait un peu les
joueurs de l’équipe première ! Dans certaines villes, à force d’y aller, on faisait toujours les mêmes
restos.
« les filles formaient une bonne complémentarité »
Le club n’était pas vraiment derrière vous ?
Financièrement non. Il ne voulait pas que l’on monte surtout. Il y avait une différence de point de vue on
va dire ! Mais il y avait toujours du public pour venir nous supporter, encore plus lorsque l’on a investi le
Sépulcre.
Pour quelle raison es-tu partie ?
Je suis parti pour des raisons d’effectif en 1980, les pièces principales n’étant plus au club.
Quelles ont été tes étapes après ton départ de l’ASPTT ?
J’ai rejoint Loudéac où j’ai entraîné les gars pendant 3 saisons en régional. Langueux ensuite, avec les
gars pendant 3 années également (excellence région), puis enfin Trégueux en tant que dirigeant quand
Jean-Pierre Pinsard m’a demandé. J’étais manager adjoint. Après cela j’ai décidé d’arrêter le basket.
Quelles sont les images que tu gardes en mémoire ? A l’ASPTT et ailleurs ?
A Orléans, lors des matchs internationaux, je me souviens que le capitaine russe, 285 sélections, m’avait
serré la main. C’était un honneur pour moi à 24 ans !
Je suis resté sur un bon souvenir des PTT, il y avait un bon esprit.
Quel est ton avis sur le club aujourd’hui ? Continues-tu de le suivre ?
Non je ne le suis pas.
Quel est ton avis sur le basket en général, et dans les Côtes d’Armor ?
Le jeu est beaucoup plus athlétique, le basket a connu une sacrée évolution physique. Mais sinon la
technique n’a pas changé, notamment dans le système de la pose d’écran. Dans le département je suis
surtout les filles de Trégueux.
Qu’est-ce que le basket t’a apporté dans ta vie ?
Des rencontres surtout. J’étais un mordu de balle orange. J’ai une grande satisfaction car toutes les
équipes que j’ai pu entraîner ont connu au moins une montée. Le but d’un entraîneur, c’est de monter à
un moment donné. Le seul regret que j’ai c’est de n’avoir jamais connu une montée en première
division ».
(interview réalisée en avril)
A la loupe :
Né le 23 septembre 1940 à Brest (29)
Meneur de jeu
Médaille d’argent de la FFBB
Clubs en carrière :
Stade Brestois : 1951-1957
Olympique Club Orléanais : 1961-1968
COB : 1958 puis 1968-1975
Gazélec : 1975-1981
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Comme entraîneur :
ASPTT Saint-Brieuc : 1976-1980
ESSM Loudéac : 1981-1984
Langueux BC : 1989-1992
Comme dirigeant :
Trégueux : 1994-2005
Jean-Jacques et l’équipe féminine de nationale 3 lors de la saison 1977-78 (au Sépulcre)
(De gauche à droite) : Assises :Pascale Balorge, S. Rivery, Marie-Hélène, Catherine Corbel.
Debout : Jean-Jacques (entraîneur-coach), Denise Lejeune, Armelle Philippe, Marie-Odile Le Nepvou,
Catherine Henry.
DES FILLES REUNIES A LA REUNION
Elsa Martins a rendu visite cet été à sa grande copine Laure Dauvin sur l’île de La Réunion où réside cette
dernière. Nos deux ex pensionnaires nous ont gratifiés d’un joli souvenir en photo…et coquillages !
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SUR LE SABLE
Comme la saison passée les U15 ont effectué leur reprise sportive sur le sable des Rosaires fin
août. Une reprise à base de footing, pompes, abdos, fractionné, courses en tout genre (brouette et
porté), lutte et rugby. Une fois de plus la bonne humeur était de mise !
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L’EQUIPE DECRYPTEE : SENIORS MASCULINS ENTENTE
Il fallait effacer des tablettes les déboires de la saison passée, se faire oublier des instances disciplinaires, redorer le
blason de l’équipe, marquer les esprits d’une manière différente. Pour faire court : faire profil bas ! En se séparant
d’éléments négatifs et en accueillant des joueurs altruistes au caractère sympathique (le quintinais Ludovic Le Fol
et le brestois Alexandre Melcus), le groupe ne pouvait pas partir sur d’aussi bonnes bases. En poursuivant le travail
effectué auparavant (intensité défensive, systèmes offensifs sur zone et individuelle, attaque en surnombre) Pierre
Le Baleur a pu améliorer les valeurs intrinsèques de chacun, s’appuyant comme il le pouvait sur le maigre effectif
présent le mardi soir, un des deux entraînements hebdomadaires. Bien qu’encore fragile psychologiquement (ex :
courtes défaites face à Lannion et Loudéac ou contre une bande d’U20 ploufragannais…), rarement constante,
l’équipe a néanmoins débuté sa saison par un succès prometteur face à l’AL St Brieuc, confortée 15 jours plus tard
par une victoire d’un point en prolongation à Chaptal face à Plaintel. Surprenante par moment, elle a fait déjouer
les pronostics en allant s’imposer à Yffiniac par deux fois ou à Pordic (1 ère défaite à domicile des pordicais),
prenant les matchs les uns après les autres sans se mettre de pression. Une stratégie qui s’est avérée payante,
notamment dans son formidable parcours en coupe départementale : Lamballe, Yffiniac et Plaintel sont tombés les
uns après les autres, offrant à l’entente la joie de disputer une finale. Malheureusement le rêve a pris fin face à
l’ogre trégueusien. Impuissants, manquant totalement d’arrogance et de réalisme, peut être paniqués par l’enjeu, les
coéquipiers de Sylvain Philippe ont retouché terre avec une dureté inouïe. Cette fin de saison violente aura
notamment permis de mettre en exergue le manque d’assiduité aux entraînements : une erreur payée cash. Quoi
qu’il en soit les seniors n’ont absolument pas à rougir de leur championnat avec leur bilan positif (12 victoires, 10
défaites), une seconde 6ème place consécutive et surtout ce titre flatteur de meilleure défense du championnat.
L’excellente ambiance interne peut expliquer le succès, tout autant que le rendement efficace du trio offensif Robin
– Ludovic – David, sans oublier les apports de la jeunesse montante (Jean-Hervé et Kevin). La marge de
progression restante demeure évidente. Elle passera indubitablement par une constance à établir, une envie de
mordre à chaque match et une présence forte aux séances d’entraînement. En repartant seule à la rentrée sans l’aide
langueusienne et avec un nouvel entraîneur, Lionel Médina, l’ASPTT se prépare à un nouveau challenge excitant.
Est-elle en mesure de faire mieux que les deux précédentes aventures ? C’est à chacun d’en décider. Nous, on y
croit en tout cas !
(De gauche à droite)
Debout : Alexis Mercier, Robin Moisan, Pierre Le Baleur (entraîneur-coach), Saïd Karfach, David Pédron, Sylvain
Philippe. Assis : François Magne, Christopher Nicogossian, Kevin Bonny, Ludovic Le Fol.
Absents sur la photo : Jean-Hervé Boutin et Alexandre Melcus.
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PORTES OUVERTES & FOIRE ST MICHEL
Courant septembre l’ASPTT était sur plusieurs fronts. Avec le week-end tournois (cf numéro précédent),
les bénévoles ont répondu présent sur le stand aux portes ouvertes (4-5 septembre) à Stéredenn, au
Sépulcre et à Plérin. Quelques semaines plus tard ils étaient 24 volontaires à venir servir la morue et les
frites à l’occasion de la Foire St Michel aux Promenades. Retour en images.
Moran, bénévole en devenir, et sa maman Sophie, notre
nouvelle responsable licences, au stand de Plérin.
Lionel à Stérédenn, entouré d’Hugo Gouysse et d’Antony.
Le clan FSM : 24 volontaires au service du club
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Qu’ils soient parents, jeunes, loisirs, merci aux participants qui ont donné un peu de leur temps
pour la section :
Céline TARDIVEL, Pierre BOULDE, Dimitri HAUTIERE, Fréderic MARTIN, Antony HUE, Ludovic
LE FOL, Emma RAFIDINARIVO, David PEDRON, Suzanne FRALIN, Sophie ROCHE, Isabelle
PERRET, Sylvain CLOUET, Samuel LEMEE, Laurette LAUDREN, Lionel MEDINA, Eric et Moran
BOIVENT, Mickaël RAOULT, Jean-Noël ROUAULT, Hélène TANGUY, Ludovic JACQUIOT, Franck
QUINTIN, Victor et Luc HAGUET.
Retrouvez-nous chaque semaine dans la presse
(Ouest-France pages Plérin, rubrique
« résultats sportifs ») mais aussi dès le
dimanche/lundi soir sur notre page Facebook
ASPTT SAINT-BRIEUC BASKET grâce aux
résumés du week-end concoctés par les coachs.
VICTIMES DE LEUR SUCCES
Fin août, on craignait pour les effectifs des U17, jugés maigres. Petit à petit, les joueurs sont arrivés au comptegouttes, le copain emmenant le copain. Prévus initialement de s’entraîner sur le même créneau que les U15, les
jeunes ont commencé à devenir de plus en plus nombreux à la surprise générale, et le nombre total a grimpé en
flèche ! Pas facile pour les entraîneurs (Lionel et Nicolas le mercredi puis Lionel, Antony et Jérôme le
vendredi) de gérer plus d’une vingtaine de joueurs en même temps et de satisfaire les attentes de chacun !
Afin de remédier à cela, et après avoir étudié les possibilités de créneaux avec la Ville, il a été décidé de
rajouter une demi-heure supplémentaire le mercredi aux U17, encore à la recherche d’un jeu collectif.
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par JH
« Ce Qu’il Fallait Démontrer » c’est votre rendez-vous mensuel au cours duquel vous
allez découvrir (ou redécouvrir) ce qu’il se passe au sein de notre club, mais de façon
humoristique.
Les championnats ont tous commencé depuis fin septembre, toutes les équipes
ont joué 3 matchs et elles sont déjà en repos pendant 2 semaines. C’est donc le
bon moment pour faire le point sur les équipes engagés en championnat et leurs
résultats depuis le début de la saison. Ne soyez pas trop déçu si vous observez que
pour l’instant il n’y a pas eu beaucoup de victoires… Ca va venir ne vous
inquiétez pas.
Les SM1 en championnat Pré région (0V – 3D)
Cette année les joueurs se sont lancé un nouveau défis : celui de perdre le plus de match possible et le
tout sans coach mais tout en gardant casi la même équipe puisque nous avons eu seulement 2 départs pour
2 arrivées (Jimmy le Vendéen et Christophe le Guyanais – faut savoir importer les joueurs puisque plus
aucun breton ne veut venir signer chez nous). La saison commence donc bien puisqu’ils ont enchainé
trois défaites de suite. Mais comme notre équipe 1 est capable de tout elle s’est tout de même qualifiée
pour les quarts de finale de la coupe du conseil général. L’objectif cette année va donc être de ne pas finir
dernier (ou se maintenir si vous préférez) et bien sûr faire mieux que l’année dernière en coupe (pour cela
il faut juste aller en finale et ne pas se prendre de branlée une fois qu’on y sera … FACILE A DIRE !!!!).
Plus sérieusement c’est une équipe aux nerfs « solides » et ce ne sont pas trois petites défaites qui va leur
faire peur.
Les SM2 en DM1 (2V – 1D)
Cette année l’équipe réserve démarre mieux que l’équipe fanion et pour cause elle a enchaîné deux succès
de suite pour une seule défaite… Dommage que ces deux succès soit liés aux forfaits des équipes
adverses qui ont probablement trop peur de nous affronter cette année. Les anciens ont été mis en préretraite et les jeunes ont pris le relais. Dans le fond, faire une équipe de D’jeuns c’est cool mais l’idée
n’était pas si brillante que ça car l’expérience des darons a manqué pour le seul match de la saison qui a
eu lieu pour l’instant. Mais bon c’est pas ça qui va décourager une équipe dont la taille moyenne est de
1m61 pour un poids moyen de 72 kg dans un championnat où les brutes se donnent rendez-vous tous les
samedis.
Les U17 en division 3 (1D – 2V)
Avec le retour de Nicolas (alias « Coach Carter ») aux commandes d’une équipe on s’est tous dit que la première
équipe de U17 de l’histoire de l’ASPTT n’allait pas être là pour enfiler des perles cette année. Le premier match
a confirmé tout cela car ils ont mis une dérouillée à la pauvre équipe de Guerlédan qui aurait mieux fait de déclarer
forfait ce jour-là. Mais depuis cette rencontre c’est le vide total car 2 lourdes défaites sont venues gâcher le moral
des troupes. C’est comme ça que l’on murit les gars mais maintenant il va falloir se ressaisir ! Rome ne s’est pas
faite en un jour alors gardez la pêche parce qu’on croit en vous. Et vous qui êtes encore à l’école et qui étudiez
encore l’histoire, j’imagine, souvenez-vous de ce qu’a dit le Général de Gaulle alors que tout était mal engagé
pendant la seconde guerre mondiale : "La France a perdu une bataille, mais la France n'a pas perdu la guerre" (et
oui, je suis calé en Histoire de France).
Les U15-1 en division 1 (2V – 1D)
Nos fidèles jeunes que l’on revoit tous les ans sur nos parquets depuis quelques années maintenant ont
bien commencé la saison, sur une courte victoire. Suite à ça leur coach Tony s’est exclamé « "il ne s'agit
pas que les loups deviennent des chiots en fin de match à chaque fois sinon je ne vais pas finir l'année à
ce rythme ! » (quel poète). Sans se faire prier les jeunes ont compris le message pour enchaîner sur un
deuxième succès un peu plus. Mais il ne faut pas oublier que « plus l’oiseau vole haut, plus il perd
rapidement son énergie ». Cette très belle métaphore du philosophe Boutin illustre bien la suite de
l’histoire car malgré beaucoup d’envie ils n’auront pas réussi à gagner trois fois de suite. Je ne sais pas
qui est le con qui a inventé le dicton « jamais deux sans trois » au XVIIIème siècle mais il aurait mieux
fait de se taire le jour-là.
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Les U15-2 en division 3 (2V – 1D)
On dit toujours qu’un jour l’élève dépassera le maître et c’est ce qu’ont voulu faire les U15-2 en ce début
de saison. Avec beaucoup d’envie ils ont essayé d’avoir un meilleur bilan que les U15-1 mais sans
succès. Malgré tout ils leur tiennent tête avec également deux victoires et 1 défaite. Cela est sans doute lié
à l’engouement des deux coachs qui, d’après certaines observations, ne comprennent pas toujours toutes
les règles du basket mais qui donnent tout pour faire « genre on a 15 ans d’expérience » : pas mal pour
intimider l’adversaire. Du côté des joueurs on peut dire qu’il faut qu’ils continuent d’être assidus car
s’entrainer c’est progresser et depuis l’année dernière on peut dire qu’il y a du mieux.
Les U13-1 en division 1 (1V – 2D)
Le sport c’est une histoire de famille. En Espagne il y a Zidane et ses deux fils qui suivent sa lancée et à
l’ASPTT nous avons la famille Fraslin. Dans la famille Fraslin je demande le père qui s’est mis à la tête
de l’équipe puis le fils Elie qui joue en U15-1 et enfin le frère Noé qui ne veut pas décevoir son papa qui
coache donc qui apprend aussi vite que son frère. A cela s’ajoute la maman qui vient regarder tous les
matchs. Mise à part cela la saison de cette équipe avait plutôt bien commencé par une belle victoire mais
la suite a été moins belle. Après une lourde défaite au deuxième match ils n’ont pas su remonter la tête
assez vite et ils ont enchainé une deuxième défaite d’affilée. On compte sur coach Philippe pour
remotiver les troupes afin de reprendre de plus belle au retour des vacances.
Les U13-2 en division 3 (1V – 2D)
Les U13-2 ont pris exemple sur leurs copains qui sont en division 1. Ainsi ils ont commencé comme eux
par une belle victoire mais ont enchainé par deux défaites. A noter que malgré cela les jeunes ont toujours
la patate et ne se découragent pas. L’équipe va grandir et enchaîner les succès à force d’entrainements car
pour les jeunes qui découvrent la compétition ce n’est jamais facile, surtout si on leur rabâche « qu’on est
là pour participer et non pas pour gagner » (non faut qu’on arrête de leur faire croire ca aux jeunes en
vrai : ils s’en moquent de participer eux, ce qu’ils veulent c’est gagner). En tout cas ils ne vont rien lâcher
et comme dit coach Seb « suite des aventures en novembre ».
Ce qu’il fallait démontrer : On constate que depuis le début de la saison le bilan général est de 9 victoires,
dont 2 par forfait des adversaires, pour 12 défaites. Alors les gars (j’aurais bien dis « et les filles » mais bon
il n’y a que des équipes de gars) on se sort les doigts du cul et on essaye de gagner un peu plus de matchs.
Attention je referais un nouveau bilan aux vacances de Noël et s’il est toujours aussi négatif ce sera punition
pour tout le monde et je dirais aux coachs de commencer tous les entrainements par 10 suicides (quand je
parle de suicides, je parle de l’exercice bien sûr…). Allez, on relève la tête et si on veut gagner on arrête les
pizzas, on éteint la console … et on va s’entrainer !!!!!!!!
ILS ONT DIT…
Chaque mois des personnalités du monde sportif (joueurs ou entraîneurs) nous apportent leurs petites
déclarations, chocs ou subtiles, mais pas si anodines que cela.
« On a toujours envie d’avoir des joueurs talentueux autour de soi. Mais le talent sur le papier çà ne fait
pas gagner les matchs. Il faut être prêt à bosser tous les jours à l’entraînement pour s’améliorer. (…)
Je nous attends surtout sur la façon dont on saura rebondir, dont on saura apprendre d’une défaite, d’en
tirer le constructif. Voilà à quoi sert l’expérience »
Trenton Meacham (joueur américain de l’équipe de l’ASVEL Villeurbanne)
« Aujourd’hui, le plus important, c’est que je sais dans quel club je suis, on a fait des choses
exceptionnelles et il y a encore des choses à faire. Je sais très bien que l’herbe n’est pas plus verte
ailleurs »
Jocelyn Gourvenec (entraîneur de Guingamp)
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LA BELLE HISTOIRE DE…
Voici la belle histoire des cadets lors de la saison 2007-08. Après une phase aller vierge de toute défaite
(10 victoires consécutives avec un écart moyen de…43 points !) les coéquipiers de Christopher Nicogossian
se retrouvent en finale d’accession pour la région face aux favoris de l’AL Ploufragan…
22 décembre 2007. Dans la vieille salle de Gazélec le public ASPTTiste s’est déplacé en nombre, amassé tout autour
du terrain. Il faut dire que le rendez-vous est de taille avec deux belles équipes rêvant de passer l’année 2008 en
région. D’un côté l’AL Ploufragan 1 et son réservoir de jeunes talents, les favoris, coachés par Abdel Chouf. En
récupérant 3 pépites de Pordic à l’été, ils ont bâti leur saison sur cette montée en région. L’ASPTT, moins forte
collectivement, est l’outsider parfait : heureuse d’être à pareille fête, elle n’a rien à perdre dans cette finale haute en
couleur. Avant le match, dans les vestiaires, les esprits sont détendus mais les visages déterminés. Dès le coup d’envoi,
les deux coachs, Stéphane Tanguy et Antony Hue, vont très vite se rendre compte de la motivation de leurs ouailles.
Après tout la pression demeure sur les épaules de Plouf. Il faut jouer, juste jouer. En défense, le meneur Benjamin
Bouc a été ciblé comme le danger principal et une boîte est prévue sur lui. Le but est de le couper de ses coéquipiers
tout en l’empêchant de shooter à 3 points. Une prise de risques qui s’avèrera payante au final.
Début du match. Très dominateur sous les cercles, Ronan Girard impose sa force physique et montre la marche à
suivre, bien relayé par Christopher Nicogossian dans ce 1er quart temps enlevé 22 à 15. Théo Cheval ne lâche pas le
meneur adverse d’une semelle et François Henry effectue un très bon passage. Surpris, sonné d’entrée de jeu,
Ploufragan retrouve des couleurs sous l’impulsion de Félix Fraizy puis de Steven Berthelot et gagne de peu le second
quart temps (15 à 14). A la mi-temps (36 à 30 pour les noirs), les visages sont rouges mais toujours empreints d’un
incroyable magnétisme de victoire. « On est à 20 minutes de la région ! » claironnent les coachs. Le 3ème quart temps
est une nouvelle fois (mais de peu : 21 à 19) en faveur de l’ASPTT malgré un festival offensif de Florian Etourneau (6
points consécutifs) puis d’Antoine Montfort. A ce moment-là, l’écart maximum monte à +8. Félix Fraizy décide de
prendre les choses en main (10 points dans ce quart temps) face à un Ronan qui commence à voir poindre la fatigue.
Les coachs choisissent de le faire souffler quelques minutes car les crampes arrivent. Mais c’était sans compter sur
Christopher, le capitaine courage, qui lui répond de la même manière (10 points également), un Joran Offredo
intraitable en défense et un Vincent Le Tinnier qui rentre enfin son premier shoot. Quand Théo puis Clément Joly font
chacun du 2/2 aux lancers francs, c’est tout le camp ASPTT qui bascule définitivement dans la joie. Ploufragan, trop
stressé par l’enjeu, a trouvé plus fort que lui ce jour-là. A l’image d’un Félix Fraizy qui bougonne face à l’arbitrage,
les oranges ont buté contre un groupe moins adroit mais finalement pas moins talentueux, voire plus fort
psychologiquement.
Victoire 77 à 70 dans un
match homérique qui
restera
dans
les
mémoires. Les jeunes ont
joué comme dans un
rêve, sans se poser de
questions et les leaders
de
l’équipe
ont
parfaitement assumé leur
statut. Ce jour-là marque
non seulement la victoire
d’un groupe mais aussi
celle d’un club car la
formation a fini par
payer.
Ce
match
référence rentre tout
logiquement
dans
l’histoire de l’ASPTT. Et
à quelques jours de Noël,
on ne peut espérer plus
beau cadeau sous le
sapin ! En janvier les
jeunes partent à l’assaut
du
championnat
régional…
Les cadets : (de gauche à droite) 1er rang : Théo Cheval, Clément Joly,
Christopher Nicogossian, Vincent Le Tinnier – 2ème rang : Antony Hue
(entraîneur-coach), Pierrick Guégan, Joran Offredo, Ronan Girard, François
Henry.
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