Dossier de presse SNCFRFF 30 juin - LGV Rhin
Transcription
Dossier de presse SNCFRFF 30 juin - LGV Rhin
PREMIER VOYAGE SUR LA LGV RHIN-RHÔNE SOMMAIRE La Ligne à Grande Vitesse Rhin‐Rhône p.3 Des phases de tests avant mise en service de la ligne p.5 Une rame d’essai événementielle p.10 La LGV Rhin‐Rhône en chiffres p.11 Les grandes dates de la LGV Rhin‐Rhône p.12 A propos de RFF p.14 A propos d’INEXIA et de l’INGÉNIERIE SNCF p.15 Contacts presse p.16 2 LA LIGNE A GRANDE VITESSE RHIN‐RHONE La ligne à grande vitesse Rhin‐Rhône entre Dijon et Mulhouse est la 7e du réseau national et la 1ère à offrir simultanément deux nouveaux axes de voyage : ‐ un axe Paris‐Province prolongeant la desserte de Dijon vers le Nord de la Franche‐ Comté, le Sud‐Alsace et la Suisse alémanique ‐ un axe Province‐Province entre régions de la façade Est connectées à Lyon avec le pourtour méditerranéen et à Strasbourg avec l’Allemagne. Cette ligne et l’offre de dessertes TGV, dont la mise en service commercial est fixée au 11 décembre prochain, vont offrir de nouvelles opportunités de voyages à près de 11 millions de voyageurs français et européens, sur les réseaux français, suisse et allemand. Maillon essentiel de l’Europe à grande vitesse, la nouvelle ligne va rapprocher un nombre remarquable de territoires nationaux (Bourgogne, Franche‐Comté, Alsace et Rhône‐Alpes, notamment) et européens (Allemagne, Suisse alémanique et romande en liaisons directes mais aussi Espagne, Grande‐Bretagne ou Belgique par les gares de correspondance du réseau Railteam). Des gains de temps de parcours significatifs Performante, la ligne à grande vitesse Rhin‐Rhône offrira le plus important gain de temps par kilomètre construit. A partir du 11 décembre, SNCF va s’appuyer sur cette ligne pour offrir de nouvelles dessertes TGV avec des temps de parcours considérablement réduits (comme Dijon– Strasbourg en 2h00 ou Paris–Belfort‐Montbéliard en 2h15, au lieu de 3h40 et 3h50 actuellement), ou pour améliorer des dessertes existantes (comme Paris–Besançon en 2h05 au lieu de 2h30). 3 Branche Est : 190 km de ligne à grande vitesse entre Dijon et Mulhouse La 1ère phase de la branche Est relie Villers‐les‐Pots (à l’Est de Dijon) à Petit‐Croix (au Nord‐Est de Belfort), soit 140 km. Les travaux de réalisation de cette première portion de ligne à grande vitesse ont commencé en juillet 2006. Le premier coup de pioche ainsi que la signature de la convention de financement pour la réalisation de cette ligne, ont eu lieu le 3 juillet 2006 en présence de Dominique Perben, Ministre des Transports, de l’Equipement, du Tourisme et de la Mer et de l’ensemble des co‐financeurs du projet. Les travaux de génie civil de la première phase de réalisation ont débuté en juillet 2006, et ceux concernant la pose des équipements ferroviaires en juin 2009. La mise en service de cette première portion de ligne est prévue le 11 décembre 2011 La seconde phase de la branche Est prolongera chacune des extrémités de ces 140 premiers km : ‐ à l’ouest, 15 km entre Genlis (21) et Villers‐les‐Pots (21) ‐ à l’est, 35 km entre Petit‐Croix (90) et Lutterbach/Richwiller (68) Les études de projet (dernière phase avant les travaux), ont débuté en 2009 et se poursuivent jusqu’à fin 2011 afin de définir précisément le tracé en positionnant et en dimensionnant tous les ouvrages. Des relevés topographiques, sondages et reconnaissances des sols sont en cours ainsi que les diagnostics archéologiques et inventaires environnementaux. Les procédures administratives et environnementales sont menées en parallèle. Pour fin janvier 2012 (expiration de la Déclaration Utilité Publique), RFF aura acquis les terrains nécessaires à la construction de la ligne. Les autorisations réglementaires préalables aux travaux sont en cours. Les tracés des branches Ouest et Sud en projet ne sont pas arrêtés. La première vise à relier à grande vitesse la branche Est à la LGV Paris‐Lyon via une nouvelle traversée de l’agglomération dijonnaise ; la seconde, connectée à la branche Est, permettra de raccorder la ligne classique Dijon‐Dole à Lyon. 4 DES PHASES DE TESTS AVANT LA MISE EN SERVICE DE LA LIGNE ! La réalisation de lignes nouvelles, la modernisation de lignes anciennes et la mise en place de nouvelles connexions ferroviaires donnent systématiquement lieu à des phases de tests poussés avant les mises en service commerciales. L’objectif est de vérifier la sécurité des nouveaux dispositifs et la conformité aux objectifs de performance, sachant que plus d’une quarantaine de trains circulera chaque jour sur la LGV Rhin‐Rhône à partir du 11 décembre prochain. INEXIA, en association avec la Direction de l’Ingénierie SNCF, est chargée par RFF d’effectuer ces essais et contrôles préalables sur la ligne TGV Rhin‐Rhône. Ces essais se déroulent en trois phases. ‐ La phase de contrôle, débutée en septembre 2009, vise à vérifier que les installations sont bien construites conformément aux plans des bureaux d’étude, puis à réaliser des essais pour vérifier qu’elles remplissent intégralement leurs fonctions. ‐ Les « essais statiques » ont commencé en 2010. Il s’agit de tests effectués sur l’ensemble des sous‐systèmes : ceux de signalisation qui gèrent la sécurité ferroviaire, les outils de télécommunication (numériques et radios), l’alimentation électrique de la caténaire et la voie. ‐ Les « essais dynamiques », avec circulation d’engins roulants sur les voies, ont lieu du 6 juin au 4 septembre 2011. La fin des essais se concrétise par la mise en service de la voie après la délivrance d’une autorisation d'exploitation délivrée par l’Etablissement Public de Sécurité Ferroviaire, l’EPSF. Janvier à juin 2011 : les essais statiques De janvier à juin 2011, des premiers tests ont été menés pour vérifier le fonctionnement simultané de l’ensemble des équipements ferroviaires de la ligne : voie, caténaire, alimentation en énergie, système de télécommunications (fibre optique enterrée le long de la voie et transmission des informations par réseau GSM‐ Rail) et système de signalisation. Cette première phase a permis de s'assurer du bon fonctionnement des installations, d'abord indépendamment puis les unes par rapport aux autres. Le périmètre des installations concernées par ces essais statiques est la ligne à grande vitesse Rhin‐Rhône ainsi que la ligne entre la gare de Besançon Franche‐Comté TGV et la gare de Besançon‐Viotte. Les techniciens et experts mobilisés ont simulé des situations normales et dégradées pour mesurer la sûreté de la ligne en toutes circonstances et apporter des réponses à tous les risques d'incident identifiés. 5 Concernant le système de signalisation, les tests ont permis de vérifier que toutes les données sont correctement centralisées dans les 14 bâtiments techniques qui jalonnent la ligne à grande vitesse, eux‐mêmes reliés à la Commande Centralisée du Réseau (CCR) située à Dijon. La CCR permettra aux opérateurs d’assurer la surveillance et le pilotage à distance des installations. Juin 2011 : La mise sous tension de la LGV Rhin‐Rhône branche Est La mise sous tension intervient après le contrôle du bon fonctionnement des installations de sécurité et des installations de traction électrique. Elle permet la circulation des premiers TGV sur la LGV Rhin‐Rhône Branche Est grâce à l’alimentation électrique de la caténaire. La ligne électrifiée permet l’alimentation des TGV en courant alternatif de 2 x 25 kV, à une fréquence de 50 Hz. Deux sous‐stations électriques ont été créées dans cet objectif, l’une à Besançon, l’autre dans le secteur de Belfort‐Monbéliard. Elles permettent de transformer le courant très haute tension provenant du réseau électrique principal RTE (225 000 volts) en courant de traction. La mise sous tension s’est décomposée en deux temps : • Début juin 2011 : alimentation du secteur de la sous‐station de Besançon, entre le raccordement de Villers‐les‐Pots (21) et Cubrial (25) ; comprenant la liaison entre la gare Besançon Franche‐Comté TGV et la gare Besançon Viotte ainsi que la liaison électrique entre Miserey‐Salines et Moncley (25). • Mi‐juin 2011 : alimentation du secteur de la sous‐station d’Héricourt, entre Cubrial (25) et le raccordement de Petit‐Croix (90). Cette opération fait l’objet, depuis mai 2011, d’une campagne d’affichage de sensibilisation aux abords de la LGV et dans les communes concernées. 6 Juin à septembre 2011 : une ligne testée à grande vitesse ! A 5 mois de la mise en service de la LGV Rhin‐Rhône et après cinq années de travaux de génie civil et de pose d’équipements ferroviaires, RFF lance la phase d’essai dynamique sur les 140 premiers kilomètres de la ligne à grande vitesse Rhin‐Rhône. D’abord sur une première portion de 95km entre Villers‐les‐Pots (21) et Cubrial (25) puis à partir de mi‐juillet sur les 45km restant jusqu’à Petit‐Croix (90). Contrôle de la géométrie de la voie par une voiture SNCF « Mauzin » RFF / PHOTO LAB SERVICE Début juin, un premier cycle de circulations avec les voitures‐laboratoires « Mauzin » et « Lucie‐Vulcain » a permis de vérifier la géométrie de la voie ainsi que le fonctionnement dynamique de la signalisation et de la traction électrique. Le 20 juin, une rame TGV Duplex (modèle « Dasye ») spécialement équipée d’un laboratoire, est arrivée sur la LGV afin de vérifier et d’évaluer le comportement dynamique de la voie, de la caténaire, de la signalisation, de la télécommunication et les conditions de circulation pour s’assurer du confort et de la sécurité des futurs voyageurs. Cette rame TGV circulera tous les jours (hors week‐end) jusqu’à fin août avec des montées en vitesse progressives (160, 200, 240, 270, 300, 320, 340 km/h), pour atteindre 352 km/h (soit 10% de plus que la vitesse commerciale). Au total ce train laboratoire effectuera plus de 60 000 km durant les onze semaines des essais ! 7 La campagne d’essais dynamiques va permettre à Réseau Ferré de France de tester l’infrastructure dans ses possibilités techniques maximales pour vérifier si les installations fixes et les matériels roulant sont techniquement compatibles en particulier du point de vue : ‐ du comportement dynamique sur la voie, ‐ de l’interaction pantographe/caténaire (captage). ‐ des variations de pression à la traversée de tunnel ‐ du comportement dynamique des ouvrages d’art ‐ des perturbations électromagnétiques ‐ des transmissions radio. Ces différents contrôles permettront ainsi de s’assurer, à grande vitesse, de la fiabilité des installations et du confort des futurs voyageurs. Cette campagne de tests s’achèvera début septembre 2011 et Réseau Ferré de France sollicitera alors l’autorisation d’exploitation de la ligne en remettant l’ensemble des résultats à l’Etablissement public de sécurité ferroviaire, l’EPSF. Le 4 septembre, RFF confiera l’exploitation et la maintenance de la ligne à SNCF en tant que gestionnaire délégué. Pendant les trois mois qui précéderont la mise en service commercial de la nouvelle offre TGV Rhin‐Rhône, SNCF formera également ses conducteurs à l’utilisation de la nouvelle ligne. 8 LE TRAIN D'ESSAIS Les essais de la LGV Rhin‐Rhône sont effectués à bord d'une rame TGV Duplex spécialement équipée d'appareils de contrôle. Le laboratoire et tous les dispositifs de mesure sont installés dans une voiture (salle haute) à l’une des deux extrémités de la rame. Un dispositif de communication est installé entre le laboratoire et les cabines de conduite. Laboratoire d’essais dynamiques dans une rame TGV SNCF A la place des sièges et sur les essieux sont posés des capteurs, caméras et enregistreurs. La rame est équipée de capteurs accélérométriques permettant d’apprécier le comportement dynamique. L’alimentation en énergie des appareils de mesure sera fournie grâce à un convertisseur statique (220V/50Hz) connecté aux batteries de la rame. 9 UNE RAME D’ESSAI EVENEMENTIELLE Dans le cadre des marches d’essai dynamiques, RFF et SNCF ont souhaité « habiller » complètement la rame d’essai d’une livrée événementielle permettant de souligner la mobilisation de tous les acteurs du projet dans la préparation de la mise en service de cette 7e ligne à grande vitesse française. Le développement du réseau ferroviaire, la grande vitesse, les relations entre les territoires et l’intégration de la ligne dans son environnement ont inspiré le concept graphique de cette livrée qui intègre également les principales villes desservies par le futur TGV Rhin‐Rhône: Bâle, Belfort, Besançon, Colmar, Dijon, Francfort, Lyon, Marseille, Montbéliard, Montpellier, Mulhouse, Paris, Strasbourg, Zurich. Les logos des co‐financeurs de la LGV sont également présents sur ce pelliculage aux côtés de ceux de SNCF et RFF. Réalisée dans le Technicentre SNCF du Landy à Saint‐Denis où ont également été installés le laboratoire et les capteurs extérieurs, cette livrée exceptionnelle sera visible du 20 juin au 9 septembre sur les 140 kilomètres de la ligne Rhin‐Rhône testés durant cette période. 10 PROCHAINS RENDEZ‐VOUS MEDIAS 6/7 juillet : événement autour du bilan environnemental de la LGV : colloque et visite de sites remarquables (sur réservation) 8/9 septembre : inauguration de la ligne à grande vitesse Rhin‐Rhône 18 octobre : inauguration des gares nouvelles Besançon Franche‐Comté TGV et Belfort‐ Montbéliard TGV 11 décembre : mise en service commercial de TGV Rhin‐Rhône LA BRANCHE EST DE LA LGV RHIN‐RHONE EN CHIFFRES • 140 kilomètres de ligne de Villers‐les‐Pots (21) à Petit‐Croix (90) dont 40% en forêt • 2,312 milliards d'euros pour le périmètre LGV et infrastructures connexes • 2 gares nouvelles : Besançon Franche‐Comté TGV et Belfort‐Montbéliard TGV • 85 communes traversées • 6 000 emplois directs et indirects créés sur le chantier depuis 2006 • Plus de 1 500 réunions publiques organisées • 30 millions de m³ de déblais (4 fois le volume extrait du tunnel sous la Manche) • 22 millions de m³ de remblais (9 fois le volume de la pyramide de Khéops) • 13 viaducs • 1 tunnel de 2 km • 160 ponts • 1,350 million de tonnes de ballast • 550 000 traverses • 5000 km de fil de cuivre • 300 km de fibre optique • 380 km de fil de caténaire • 6 000 poteaux caténaires • 300 km de clôtures • 600 km de rails • 30 mâts GSM‐R • 63 appareils de voie • 300 panneaux et 14 postes de signalisation 11 Coût de construction de la LGV Rhin‐Rhône branche Est (1ère phase) : 2,312 milliards d’euros, financés en partenariat par : ‐ les collectivités alsaciennes (9%), ‐ les collectivités bourguignonnes (5,5%) ‐ les collectivités franche‐comtoises (13,7%), ‐ l’Etat (32,5%), ‐ Réseau Ferré de France (27,8%), ‐ l’Union Européenne (8,5%) ‐ la Suisse (3%). Investissements SNCF Environ 1 milliard d’euros pour ‐ l’achat de 30 nouvelles rames TGV EuroDuplex permettant à la flotte TGV d’assurer le développement de l’offre en 2012, ‐ la construction d’un atelier de maintenance de rames TGV à Lyon et d’installations d’entretien à Mulhouse et Strasbourg ; ‐ la construction de deux gares nouvelles et la rénovation de 10 gares autour de la LGV. 12 LES GRANDES DATES DU PROJET 2002 Déclaration d’utilité publique 2005 Archéologie, travaux préparatoires, enquêtes publiques loi sur l’eau, enquêtes parcellaires, acquisitions foncières, appels d’offres de génie civil, déboisement 2006 Premier coup de pioche et signature de la convention de financement pour la réalisation de la première phase 2009 « Premières pierres » des deux gares nouvelles Besançon Franche Comté TGV et Belfort‐Montbéliard TGV. Pose des artères câbles (janvier) Réouverture de la ligne Lure‐Villersexel (mars) Mise en service de la base travaux, pose des premiers poteaux caténaires, pose des mâts GSM‐R (avril) Début des travaux sur la ligne entre les 2 gares de Besançon‐Viotte et Besançon TGV Pose du premier rail (juin) 2010 Début des travaux de la sous‐station de Besançon (février) et de la sous‐station d’Héricourt (mai) 2011 Pose du dernier rail (31 janvier) Tests d’intégration (janvier‐juin) Mise sous tension de la ligne (juin) Tests dynamiques (juin à septembre) Remise de l’infrastructure à SNCF (4 septembre) Mise en service commercial de la ligne (11 décembre) La Ligne Grande Vitesse à Thervay (39) RFF / PHOTO LAB SERVICES 13 A PROPOS DE RFF Pivot du système ferroviaire français, Réseau Ferré de France développe, modernise et commercialise l’accès au réseau ferré dans une logique de solidarité du territoire aux échelles européenne, nationale et régionale. Deuxième investisseur public français, comptant 1 200 collaborateurs pour un chiffre d’affaire de 3,4 milliards d’euros, RFF pilote un plan de modernisation du réseau sans précédent de 13 milliards d’euros sur la période de 2008 ‐ 2013. Dans le cadre du Grenelle de l’environnement, RFF met en œuvre la politique nationale de déploiement de lignes nouvelles. Fort d’un actif industriel de 30 000 km de lignes, RFF organise à l’attention de l’ensemble de ses clients, entreprises ferroviaires de transport de voyageurs et de fret, un accès équitable et performant au réseau ferré français. 14 A PROPOS D’INEXIA et de l’INGÉNIERIE SNCF Pour réaliser la phase d’essais techniques sur la LGV Rhin‐Rhône branche Est, RFF a retenu le groupement intégrateur « iTest » composé de la Direction de l’Ingénierie SNCF et d’INEXIA. L’ingénierie SNCF est sollicitée sur l’ensemble du cycle de vie des infrastructures : réflexion stratégique en amont, conception détaillée, travaux, essais, exploitation et maintenance. Créée pour reprendre les activités concurrentielles de l’ingénierie SNCF, INEXIA est née juridiquement le 30 août 2006. Cinq ans plus tard, cette filiale de la SNCF se positionne non seulement sur les besoins croissants en ingénierie des lignes ferroviaires, mais aussi sur l’ingénierie des tramways, trams‐trains ou métros. INEXIA et la LGV Rhin‐Rhône INEXIA a accompagné RFF sur l’ensemble du projet de construction de la LGV Rhin‐ Rhône branche Est dans le cadre d’un contrat d’assistance à maîtrise d’ouvrage technique. INEXIA a également assuré des études d’exécution et/ou des contrôles externes sur plusieurs lots de terrassements et de grands ouvrages d’art pour les entreprises de BTP chargés des travaux . C’est dans le domaine des équipements ferroviaires que le positionnement d’INEXIA est le plus original, puisque pour la première fois sur une LGV des prestations d’équipements ferroviaires étaient assurées en réponse aux appels d’offres de RFF (et non plus par la SNCF). INEXIA était présente dans trois des quatre principaux marchés attribués par RFF : • Voie, caténaires et Base travaux (groupement C2R) avec TSO (Mandataire), TSO Caténaires et ETF (Eurovia Travaux Ferroviaires) • Signalisation ‐ Energie ‐ Artères Câblées (SEAC) avec ALSTOM et LEGRAND • Alimentation Traction avec COLAS RAIL et SPIE Est INEXIA et la grande vitesse Autres projets en cours : • Membre du groupement mené par VINCI pour la LGV Sud Europe Atlantique (Tours‐Bordeaux), • Maître d’œuvre du génie civil et des équipements ferroviaires, coordination de la sécurité pour la LGV Est européenne 2ème phase (Courcelles‐Strasbourg), • Etudes techniques et environnementales pour les Grands projets du Sud‐Ouest (lignes Bordeaux‐Toulouse et Bordeaux‐frontière espagnole), • Etudes techniques et environnementales pour la ligne nouvelle Montpellier‐ Perpignan, • Etudes techniques et environnementales, études de prospective territoriale pour la LGV PACA (Marseille‐Nice‐Italie). INEXIA en chiffres • • 103 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2010, en progression de 37% par rapport à 2009 800 collaborateurs en 2010 ; 3 implantations régionales. 15 CONTACTS PRESSE Version partenariat Quadrichromie 0/100/100/0 100/60/0/5 0/20/100/0