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GenèveV.I.P.
C’divin
34
Christophe Dechavanne.
Céline Nusbaumer et Eric (sans Ramzy).
MARDI 7 FEVRIER 2006
TRIBUNE DE GENÈVE
Jennifer Covo et Alina Schiau (One FM)
encadrent Emilie Casetta (Léman Bleu).
Qu’est-ce qui fait rire Smaïn?
Le Bypass,
c’est
l’Olympe
des people!
JEAN-DANIEL SALLIN
PHOTOS: GEORGES CABRERA
Il est resté fermé pendant
cinq mois à la suite de l’expulsion de l’ancien gérant.
Le Bypass a officiellement
rouvert ses portes samedi
soir. Avec Pierre Thomas
comme chef d’orchestre
et une poignée de people
rompue aux règles de la vie
nocturne.
Scène d’une soirée ordinaire.
Campé sur la mezzanine réservée aux VIP, Satya Oblet – mannequin au poil immuablement
décoloré – tente d’attirer l’attention du DJ derrière ses platines.
Une jeune fille lui sert de messagère. Il agite alors son téléphone portable et fait un signe
de la main assez clair. Du genre
baisse le son, j’ai un appel à
faire! Obéissant, le disc-jockey
se hâte de soustraire quelques
décibels...
Au Bypass, il y a deux mondes. Celui des «dieux», sur leur
PUBLICITÉ
piédestal, qui se gavent de
champagne, en fumant des barreaux de chaise. Et celui de la
plèbe, au pied de l’Olympe, qui
joue des coudes sur la piste de
danse, la tête en l’air, à la
recherche d’un visage connu.
Visiblement, on n’est pas venu à
l’Etoile pour remuer son popotin, mais pour frayer un peu
avec le people.
Un brelan de Miss
Organisatrice de Miss Suisse
romande, Laurence Hérard est
la première à débarquer sur le
balcon VIP. «Une soixantaine
de filles se sont présentées au
casting à Lausanne, j’arrêterai
la date de la finale dans le
courant de la semaine», avouet-elle. Avec une escouade de
Miss dans son sillage. Un brelan de charme! Zara Zidane –
première dauphine d’Antonella
Lama en 2005 – vient de fêter
ses vingt ans (le 3 février!). «J’ai
aussi participé au casting du
Bachelor», ajoute-t-elle. Antoinette Schmid, couronnée en
1999, bavarde avec l’un des
chanteurs d’Organiz – pâle sur-
Amuse-bouche
Gwendal Peizerat,
champion olympique à
Salt Lake City en 2002
Les Jeux olympiques de Turin
commencent vendredi. Serezvous présent en Italie?
Bien sûr. Je m’occuperai de
l’accueil des sportifs à la Maison France. Je serai sur place
jusqu’au 26 février.
Ophélie Winter sur la piste de danse. La Française a retrouvé le sourire et s’éclate sur une chanson
du boys band Organiz (en arrière plan).
vivant de la vague des boys
bands. Désormais célibataire,
Céline Nusbaumer évoque son
projet de court-métrage. En papillonnant entre les tables.
Où est Ophélie?
On croise Smaïn, avec sa fine
moustache et son cuir d’aviateur; le crâne chauve d’Eric –
venu à Genève sans Ramzy,
cloué au lit. Il y a aussi Christophe Dechavanne avec son col
roulé noir et sa bouteille d’eau.
Même Gwendal Peizerat – médaillé d’or aux Jeux olympiques
en 2002 – a laissé Marina Anissina à ses patins pour montrer
sa chevelure de mousquetaire
au Bypass.
«Mais où est Ophélie Winter?», s’interroge alors une demoiselle. «Elle est dans sa
chambre, elle va arriver», rétor-
que Dechavanne. Sur les coups
de minuit, telle Cendrillon descendant de sa citrouille, la
blonde vaporeuse fait son apparition sur la mezzanine. Suivie
comme son ombre par un garde
du corps, elle fend la foule de sa
démarche féline. Les flashes
crépitent. Les têtes se tournent.
Mais, lorsqu’elle se retrouve
face à Satya Oblet, Ophélie
Winter se jette dans ses bras et
fond en larmes.
Au milieu des humains
Sur la piste de danse, le «peuple» ne manque pas une miette
de la scène. Pendant qu’un officiel musèle les photographes ou
cameramen qui tentent d’immortaliser ce coup de chagrin.
Que se passe-t-il? L’info se répand comme une traînée de
poudre: la belle aurait appris le
décès d’un ami proche. Elle disparaît alors pendant une trentaine de minutes. Le temps de
se ressaisir en coulisses. Refait
son entrée. Plus discrètement.
Avec un sourire – presque gêné
– sur les lèvres.
La soirée n’est pas (encore)
terminée. Mais, nimbés dans
leur nuage nicotiné, les «dieux»
se disent qu’ils feraient bien un
tour sur la terre ferme. Au
milieu des humains – qui ont
enfin décidé de se dandiner sur
le dancefloor. Quelques marches d’escalier et hop! Ophélie,
Satya, Gwendal & Cie se lancent
dans quelques chorégraphies
diaboliques. Micro en main. Organiz et Yannick se rappellent
même à la mémoire de leurs
fans. Pas de doute: on s’en
souviendra, de «cette soiréelà»!
Après votre titre, vous avez
choisi de cesser la compétition. Patinez-vous encore?
Avec Marina, nous continuons
à faire des galas. D’ailleurs, il y
a une tournée prévue juste
après les Jeux. Nous allons au
Japon, aux Etats-Unis, en
France... Nous avons des dates
agendées jusqu’en août.
Et la Suisse?
Ce n’est pas prévu, désolé!
Il y a deux ans, vous avez aussi
créé votre propre société,
Soléus...
C’est vrai. Elle s’occupe de l’optimisation et de la mise en
conformité des installations
sportives. Ça marche assez
bien! Nous travaillons déjà avec
une cinquantaine de communes et nous avons quinze collaborateurs dans nos bureaux de
Lyon. (jds)