PDF Rue Morgue Essai
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La Compagnie Neo Vent présente lacompagnieneovent.free.fr La nouvelle d’Edgar Allan Poe parut en 1841 dans une édition du Graham’s Magazine, dont il était le rédacteur en chef, sous le titre “The Murders in the Rue Morgue”. Soucieux de plonger le lecteur dans un climat sombre et ténébreux, Edgar Allan Poe n’aura cesse de construire des énigmes où l’horreur se mèle à l’insolite. L’œuvre littéraire d’Edgar Allan Poe connut très tôt en France un large succès grâce à Charles Baudelaire qui, dès 1856, en fit la traduction dans un premier recueil intitulé “Histoires Extraordinaires” La mort même de l’écrivain reste encore de nos jours une énigme sujette à de nombreuses controverses. Dans ce récit, l’on voit apparaître pour la première fois le précusseur du détective: le Chevalier Dupin, dont la perspicacité et l’esprit d’analyse permettront de résoudre plus d’une énigme comme dans “Le Mystère de Marie Roget” ou bien “La Lettre volée”. Retrouvé délirant dans les rues de Baltimore non loin d’une taverne, le "Gunner's Hall”, vêtu de loques et dans un grand désarroi, Edgar Allan Poe ne tiendra que des propos incohérents et s’éteindra, le 7 octobre 1849, sans jamais recouvrer les facultés qui auraient permis d’élucider sa mort. Double Assassinat dans la rue Morgue De notre correspondant à Paris, Edgar Allan Poe. “Double meurtre dans la rue Morgue ! Une mère et sa fille sauvagement assassinées ! La Gazette : édition spéciale !” Les crieurs de journaux envahissent les rues de Paris, porteurs d’une nouvelle épouvantable. Un crime atroce a été commis quartier SaintRoch. Les badauds sont médusés. Les témoins frappés de stupeur et d’effroi. Les gendarmes déroutés. L’assassin a disparu comme un diable. Le Chevalier Dupin, esprit des plus éclairés, mène l’enquête. “La police a eu le tort de confondre l’extraordinaire avec l’inextricable.” Traduction : Charles Baudelaire. Adaptation : Pascal Montel. La Compagnie Neo Vent vous plonge dans la plus célèbre des Histoires extraordinaires d'Edgar Allan Poe. Une affaire des plus mystérieuses, un véritable puzzle où s’entremêlent les témoignages, les investigations, les commérages. Surgissant d’un numéro géant du journal “La Gazette”, les témoins succèdent aux témoins. Les récits brefs, les articles de presse, les rapports de police donnent au public le loisir de mener sa propre enquête. Six comédiens pour incarner une foule de personnages qui détiennent, chacun, une part infime de la vérité. En empruntant au roman gothique du XVIII ème siècle les thèmes de l’enfermement, de l’horreur et de l’irrationnel , Edgar Allan Poe provoque une succession de réactions émotionnelles qui n’ont pour effet que de mystifier le lecteur afin de rendre le dénouement des plus inattendus. Avec “Double assassinat dans la rue Morgue”, Edgar Allan Poe invente un nouveau genre littéraire : le roman policier. e Contact : Pascal Montel 0623391363 Créateurs de la Compagnie Neo Vent Pascal Montel Après les bancs du Cours Simon, il entre au Conservatoire National d’Art Dramatique où Jacques Seyres lui transmet l’amour grands textes. Ses premiers pas sur scène, il les doit à Claude-Michel Rome dans «Pourquoi ?» et à Robert Hossein dans «Un Homme Nommé Jésus». Dans le même temps il rencontre Henri Lazarini qui lui offre, entre autres, les rôles de «Ruy Blas», du mime Debureau dans «Les Enfants du Paradis» ou encore Lebret dans «Cyrano de Bergerac» avec Patrick Préjean. Plus récemment il joue Chrysale dans «Les Femmes Savantes» en Avignon sous l'égide d'Anthony Magnier et Orgon dans «Le Jeu de l’Amour et du Hasard» dirigé par Charlotte Pichon à la Comédie des Boulevards... Au sein de la Cie Neo Vent, il crée «Devos existe, Je l’ai rencontré...», adapte et joue le roman de Victor Hugo «Le Dernier Jour d'un Condamné», imagine le concept de théâtre interactif pour jeune public «L’Isle au Trésor», endosse «Scapin», «L'Avare». Bref, il est de tous les projets... Marie-Martine Montel Après le Cours Simon, classe Laurence Constant, elle aborde le masque et le clown avec Guy Freixe. Puis elle se lance dans la création collective avec «Don Juan revient de guerre» d'Oton Von Orvarth et «1936 : L'Espoir déçu», une épopée sur le Front Populaire. Plus récemment elle explore le théâtre philosophique avec «La Porte de l’Initiation» de Rudolf Steiner au Sudden Théâtre et joue «2001 : Le Malentendu», adaptation de l’œuvre d’Albert Camus, aux Arènes de Montmartre et à Barcelone. Au sein de la Cie Neo Vent, elle planche sur toutes les créations. Elle prend part à l’aventure de «Devos existe, Je l'ai rencontré» au Bec Fin, se charge de la direction d’acteur dans «Le Dernier Jour d'un Condamné», endosse Toinette dans «Le Malade Imaginaire», Frosine dans «L’Avare», joue en Commedia dell’Arte «Les Fourberies de Scapin», «Les Secrets de Polichinelle» et «Monsieur de Pourceaugnac» et collabore à «Station Courteline». Son grand sens de l’improvisation lui permet de créer «Le P’tit Traintrain Quotidien», «La Conférencière», ou encore de participer au concept de théâtre interactif «L'Isle au Trésor»... Vingt-cinq ans de connivence et de jubilation en scène. Histoire de la Compagnie Neo Vent Depuis sa création, en 1986, la Compagnie Neo Vent se consacre au théâtre de tréteaux, un théâtre vif, proche du public qui fait fi des somptueux décors, des grands effets et dont le meilleur atout est le jeu. Sillonnant routes et chemins au devant du public, dressant toiles et tréteaux dans une vieille halle au blé, sur un parvis d’église, dans la cour d’un château ou encore devant quelques vieilles pierres, la Compagnie Neo Vent, tels les saltimbanques d'autrefois, amuse et divertit la foule des jours de marchés ou de fêtes de pays avec ses contes, ses jongleries, ses pantalonnades, ses tours de passe-passe et ses chansons. La Compagnie Neo Vent crée, pour un soir, en un lieu inattendu, un moment particulier de convivialité, de joie et de rires pour le plaisir des petits et des grands. C’est un véritable retour aux sources du spectacle vivant où se tisse un lien indicible entre acteurs et spectateurs. Les regards émerveillés, les rires cristallins des enfants sont la meilleure récompense de ce théâtre. La Compagnie Neo Vent est née d'une chose extraordinaire, un spectacle : «Devos existe, Je l'ai rencontré...». Et quelle rencontre! 7 ans à l'affiche plus de 2000 représentations. «Coup de génie!» écrira Jean Luc Jeener. Tout juste sorti du Conservatoire, Pascal Montel, grand admirateur de Raymond Devos, s'offre le culot de demander au maître de l'humour l'autorisation de créer un spectacle avede textes de jeunesse délaissés. La gentillesse du bonhomme est telle qu'il accorde toute confiance à la jeune compagnie pour qui l'aventure commence. Les rencontres et les créations, depuis lors, se succèdent : Henri Lazarini, directeur du théâtre La Mare au Diable de Palaiseau, avec qui la Compagnie Neo Vent collaborera pour présenter nombre de spectacles : «Le Dernier Jour d'un Condamné» de Victor Hugo, «Le Journal d'un Fou» de Nicolaï Gogol ou encore «1789 - Le Feu sous la Cendre» fresque historique avec 60 comédiens... Pierre Caner qui conviera quatre années de suite la compagnie à la Fête à Molière de Réalmont, la Compagnie Neo Vent y créera «Les Fourberies de Scapin», «L'Avare», «Le Malade imaginaire» et «Monsieur de Pourceaugnac». Claudine Deruelle qui accueillera la Compagnie Neo Vent au sein du CAEL, MJC de Bourg la Reine, pour des activités tous azimuts : Avant Festival de l'Humour avec «La Conférencière», «Les Secrets de Polichinelle», Semaine théâtrale avec «Station Courteline», théâtre interactif jeune public avec «L'Isle au Trésor», représentations dans les squares de cité...