seminaire

Lieu du séminaire
Hôtel Mercure
10, avenue de Bad
Kreuznach
Tél : 04.74.22.44.88
Fax : 04.74.23.43.57
Adresse à programmer sur GPS :
10 avenue de Bad Kreuznach
01000 BOURG EN BRESSE
Coordonnées GPS :
N 46° 12' 44.44'' E 5° 14' 27.48'
Les modes d'accès
Voiture
GROUPEMENT NATIONAL des DIRECTEURS GENERAUX D’ASSOCIATION
DU SECTEUR EDUCATIF, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL
MERCURE BOURG EN BRESSE : De Paris, Mâcon,
Lyon et Genève par l'A40 ou de Dijon et Dole par
l'A39, prendre la sortie n°6 pour Bourg centre et
suivre la direction de Bourg en Bresse. L'hôtel est à
l'entrée de la ville, à 3 km de l'échangeur.
Du centre-ville prendre la N83 vers la sortie de la ville
en direction de Strasbourg.
Par la route, l’hôtel est sur la Nationale 83 à la sortie
de la ville, en direction de Lons-Le-Saunier,
Strasbourg.
Aéroport
LYON SAINT-EXUPERY
SEMINAIRE
Gare : BOURG EN BRESSE
« Ancrage territorial, modèle de
développement et formes de dirigeance ».
« A quelles conditions les associations d'actions
sociales peuvent-elles conserver une visée de
transformation sociale et de contribution au débat
public ? »
26, 27 et 28 septembre 2012
Les 26 (au soir), 27 et 28 septembre 2012
Hôtel Mercure Bourg en Bresse
10, avenue de Bad Kreuznach
01000 Bourg en Bresse
Séminaire ouvert
aux Présidents
et collaborateurs
Ancrage territorial, modèle de développement et formes de dirigeance.
ANCRAGE TERRITORIAL, MODELE DE DEVELOPPEMENT
Le mercredi 26 septembre 2012 au soir
A partir de 19 h 00, Buffet d’Accueil
ET FORMES DE DIRIGEANCE.
et échanges avec le Conseil d’Administration
« A QUELLES CONDITIONS LES ASSOCIATIONS D’ACTIONS SOCIALES PEUVENTELLES CONSERVER UNE VISEE DE TRANSFORMATION SOCIALE ET DE
CONTRIBUTION AU DEBAT PUBLIC ? »
Le Jeudi 27 septembre 2012
09h30
Introduction de la journée par Bernard CAVAT, Secrétaire général du GNDA
et Jean-François MEUNIER, Délégué Régional Rhône-Alpes Auvergne
La « rationalité économique », conçue comme un principe de gestion, comme une modalité
d'organisation des institutions, tend à devenir une finalité en soi, un paradigme hégémonique
qui fait système à tous les étages de l'organisation sociale. Lors des journées de mars dernier,
Philippe Chanial, nous alertait sur la menace que fait peser cet état de fait sur l'idée même de
démocratie et nous rappelait que les associations devaient rester ces « groupes primaires » à
partir desquelles peut s'organiser la vie sociale.
Après ce tour d'horizon « socio-politique » et, par un mouvement de retour sur nous-mêmes,
associations d'action sociale, il s'agit maintenant d'examiner en quoi l'exercice du pouvoir
interne, l’implication locale de nos différents organes associatifs, la place effective occupée par
les différentes parties prenantes à l'action témoigneraient d'une réelle plus-value
«démocratique ».
Si, en cette qualité d'associations à vocation sociale, nous entendons participer à notre échelle à
un mouvement consistant à « refaire société en temps de crise », alors nous avons à examiner
de près plusieurs tensions lourdes qui traversent nos organisations :
- Tensions entre les intentions vertueuses de nos projets associatifs et leur traduction
opérationnelle dans un environnement contraint,
- tensions entre le souci d’une efficacité procédurale et d’un bon niveau de performance et,
d’autre part, la prise en compte de la complexité du sujet au cœur du service rendu,
- tensions entre les stratégies de développement et de concentration à l’œuvre dans notre
secteur et le maintien d’une plus-value quant à notre objet social.
Nos associations sont contestées, tant à l'interne qu'à l'externe, parce qu'elles ne seraient plus
porteuses d'espoir de transformation sociale.
L’objet de ce séminaire est donc d’examiner quels seraient les modèles d’évolution ou de
développement compatibles avec le maintien de cette fonction de transformation sociale qui a
fait la singularité du mouvement associatif dans le secteur. Mais, à coté de ces modèles de
développement, il s’agit aussi de se pencher sur les rapports de pouvoir à l’œuvre dans nos
organisations, sur l’effectivité de la représentation des usagers qu’elles peuvent revendiquer,
sur notre capacité à valoriser la gratuité comme nous y invitait Philippe CHANIAL.
A l'articulation du technique et du politique, nous avons, nous, directeurs généraux, une
responsabilité majeure sur l’ensemble de ces questions ; les paradoxes ainsi posés traversent les
réflexions du groupement et seront mis en débat lors de ces journées.
10h00
Séance plénière
Introduction du discutant : Bernard CAVAT
Intervention de :
Jean-Louis LAVILLE, Professeur du Conservatoire national des arts et métiers et
chercheur au Lise (CNRS-CNAM) – « Les associations aujourd’hui, quelle
légitimité et quelle pratique de dirigeance ? »
Echanges avec les participants.
12h30
14h00
Déjeuner : l’ensemble des participants au séminaire est invité au déjeuner
(compris dans le prix d’inscription) en vue de faciliter le début des travaux à 14h
Séance plénière
Introduction des discutant : Didier WUSTNER, Directeur général ADAEAR
et Yannick Pendola, Directrice générale ACOLADE
Table ronde avec la participation de :
Patrick MARTIN, Directeur général de l’Association d’Action Educative de Loire
Atlantique (44).
Christian BERTHUY, Directeur général de l’Association OVE (69)
Eric PLIEZ, Directeur Général de l’Association AURORE (75)
Fin des travaux
.
----- Soirée festive -------------
Le vendredi 28 septembre 2012
09h30
Séance plénière
Intervention de :
Hubert ALLIER, Directeur général de l’UNIOPSS jusqu’en 2012 "Associations de solidarité d'hier, Associations d'aujourd'hui. Une légitimité à
consolider, à refonder. Pourquoi ?... réflexions sur le comment ?"
Echanges avec les participants.
11h30
12h00
Conclusion des journées par le Président et fin des travaux
Déjeuner – L’ensemble des participants au séminaire est invité au déjeuner
(compris dans le prix d’inscription)