la course landaise

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la course landaise
LES
• /Un trophée récompense les meilleures arènes fleuries
* 2013 Vielle Tursan, Marciac, Pouillon, Mimizan et Dax
Vainqueurs
ARENES
f* A «£
Au siècle dernier, l'arène n'était que la place du village ou le
champ de foire fermé par des charrettes mises en cercle fermé
pour la circonstance.
A partir de la fin du XIXe siècle s'ébauche un modèle d'arène de
Course landaise : une piste rectangulaire (40 x 32) arrondie à
une extrémité. Le sol doit être suffisamment dur (terre battue)
pour que la vache et l'écarteur ou le sauteur et le cordier puissent
prendre leur appui.
Il existe 150 arènes ou places d'arènes répertoriées dans le SudOuest ; certaines sont de type landais ou de type espagnol
(cercle). Elles font partie du patrimoine local bâti et beaucoup
d'arènes typiques méritent une visite. Le village de Pomarez en
Chalosse avec ses arènes couvertes est considéré comme «la
Mecque de la Course Landaise».
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vers Bordeaux
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Un sport, un patrimoine.,
un spectacle
La Course Landaise est un sport régional,
reconnu par le Ministère de la Jeunesse
et des Sports, géré par une Fédération
Française créée en 1953. Les acteurs
actuels sont des sportifs de haut niveau et
leurs prouesses athlétiques font l'admiration de
tous durant les saisons de plus en plus longues :
de début mars à fin octobre.
C'est également, un élément de notre patrimoine
culturel et une tradition vivante bien ancrée dans la
modernité. La course landaise est aujourd'hui encore
l'événement principal des nombreuses fêtes de village
(du plus petit au plus grand I) qui animent et rythment
l'été gascon. Assister à une course landaise c'est
également être sûr de participer à un spectacle où
vibre l'âme gasconne et où l'on peut encore rencontrer
de vrais personnages et caractères aussi bien sur les
gradins que dans l'arène !
La course landaise est pratiquée depuis toujours
dans le Sud Ouest. Le document authentique le plus
ancien conservé aux archives nationales fait état en
1457 d'une coutume immémoriale de faire courir
vaches et bœufs dans les rues de Saint-Sever
à l'occasion des fêtes de la Saint Jean. Ensuite, pendant
plusieurs siècles, on connaît surtout la tauromachie
landaise par les différentes tentatives d'interdiction
dont elle fut l'objet à maintes reprises et sans succès.
C'est au cours du XIXème siècle que deux événements
majeurs la firent rentrer dans la modernité. Tout
d'abord, ce fut l'obligation de pratiquer uniquement
les courses dans des lieux délimités et fermés
entourés de gradins, et non librement dans la rue
comme c'était le cas jusque là. C'est dans cet espace
limité de l'arène que naquirent d'abord l'écart puis le
saut, les deux figures artistiques de la course landaise.
Ensuite ce fut, en août 1853, l'apparition du
bétail d'origine ibérique qui se révéla plus apte que le
bétail local à la pratique.
C'est à la fin du même siècle que les toreros landais
adoptèrent la tenue qu'ils portent toujours aujourd'hui :
le pantalon blanc et le boléro de couleur agrémenté
de paillettes d'or ou d'argent. La corde et le teneur
de corde apparurent à la même époque ainsi que les
tampons au bout des cornes des coursières les plus
dangereuses.
Le vingtième siècle pouvait commencer : tout était en
place à peu près dans la forme où vous pouvez le voir
aujourd'hui.
L'écarteur
Personnage essentiel de la Course Landaise, il
affronte la vache sauvage du centre de la piste en
l'appellant pour provoquer sa charge. Le second,
derrière lui, aura pour rôle d'attirer l'animal
à lui quand l'écart sera effectué. Au bout de l'arène,
généralement en face de la présidence là où se
trouvent le jury et le speaker, l'entraîneur, depuis le
refuge, place la vache et la dirige vers l'homme qui
l'appelle et la provoque. Au moment où la vache fonce
sur lui et donne le coup de tête pour le prendre, il
l'esquive d'un écart qui laisse passer la vache au creux
de ses reins en perdant le moins de terrain possible
par rapport à l'attaque.
La v a c h e
Il existe 2 formes d'écart : l'écart sur la feinte. L'écarteur
attend la vache de pied ferme, les bras croisés sur la
poitrine.
A l'approche de la vache, il la «jette» du coté opposé
où il compte sortir en avançant et inclinant légèrement
le buste dans cette direction, invitant ainsi la vache à
frapper de coté tout en tournant au dernier instant du
coté opposé.
L'écart sur le saut est le plus apprécié et le plus
difficile. Quand la vache n'est plus qu'à quelques mètres,
l'écarteur fait un saut pieds joints, avançant néanmoins
légèrement la jambe opposée au coté où il compte
tourner, pour «embarquer» la vache dans cette direction.
Au moment où ses pieds retombent sur le sol et que
la vache donne le coup de tête, l'écarteur doit alors
pivoter sur l'autre pied pour s'écarter et creuser les
reins pour faire passer le corps de la vache.
Si cette stratégie échoue, c'est alors la tumade (f),
l'écarteur n'a pas été assez rapide ou n'a pas laissé
assez de place la vache le voit, le prend avec ses
cornes et le projette violemment au sol.
C'est un animal sauvage, femelle du taureau
de corrida.
15
éleveurs (ganadéros)
élèvent
en semi liberté 1 500 vaches landaises dont
plus de la moitié sont nées dans les Landes.
Cependant les éleveurs les plus importants achètent
chaque année une centaine de vaches jeunes en
Espagne dans les élevages de taureaux braves de la
région de Salamanque pour compléter leur cheptel.
En général, la vache sort pour la première fois dans
l'arène sans corde à l'âge de 3 ou 4 ans et poursuit
sa carrière jusqu'à 13 ans environ. Elle peut vivre plus
de 20 ans et pèse entre 300 et 400 kg. (poids d'un
taureau : environ 450 à 600 kg).
La c a z é r i e n n e (m\ page P.33)
l ' h y m n e à la c o u r s e l a n d a i s e
La Course landaise ne se conçoit pas sans musique
pour accompagner et rythmer tous les moments du
spectacle. Joué par une harmonie ou des bandas, le
répertoire est essentiellement espagnol. Cependant,
un hymne a été écrit pour les écarteurs de course
landaise au tout début du XXème siècle. Il accompagne
les acteurs au paséo d'ouverture et de fin de course.
Le musée de 1 a
l a n d a i s e et sa
w
/tumade: coup porté à l'homme par la vache
Le s a u t e u r
Depuis que la course existe, il y a eu des toreros
landais
qui,
au
lieu
d'écarter,
ont
préféré
sauter les vaches. Cependant, peu à peu depuis
les années 1960, cette discipline s'est imposée comme
un élément incontournable de la course. Mis à part
quelques très rares exceptions, aujourd'hui le sauteur
est d'abord un gymnaste qui réalise une série de sauts
au dessus des cornes en mouvement.
Les pieds dans le béret jambes liées par la cravate est
le premier qui fut pratiqué dès le 1 9eme siècle, il reste
le plus difficile à réaliser car il faut, sans élan, s'élever
à pieds joints à 1,40 m au minimum au-dessus d'une
vache lancée.
Le saut périlleux vrillé est le dernier arrivé ; il nécessite
une maîtrise parfaite de la gestuelle. Les deux autres,
classiques, sont le saut de l'ange, apparemment le
plus facile et le saut périlleux classique.
course
chapel1e
BASC El NS
Situé à la croisée des chemins entre Chalosse et
Armagnac, Bascons, village fortement attaché à la
course landaise, abrite ce Musée, entièrement voué à
la conservation et à la mise en valeur de documents
et d'objets relatifs à ce jeu gascon. Les connaisseurs
prendront plaisir à y retrouver affiches, cartes postales
et autres occasions de se souvenir. Lieu de mémoire,
de diffusion et d'échange, ce musée invite aussi les
néophytes à partager la passion de ce sport vivant et
de ce patrimoine bien ancré dans le présent.
A côté, ouverte tous les jours, la Chapelle Notre
Dame de la Course Landaise, lieu du pèlerinage des
Coursayres à l'Ascension, présente quelques curiosités :
une vierge soutenant un écarteur blessé, un frontal de
vache en bois soutenant l'autel et un vitrail évoquant
un écart . A l'extérieur, le Monument aux morts et le
Mémorial Bernard Huguet décédé dans les arènes de
Montfort en 1987.
Ouverture :
MAI-JUIN-SEPTEMBRE mercredi et vendredi de 14H30 à 19h
JUILLET et AOUT mercredi, jeudi et vendredi de 14h30 à 19h
Groupes sur RDV. Entrée gratuite pour les licenciés FFCL
Tel : 05 58 52 91 76
Distinguer
et 4 équipes d'hommes (cuadrillas) sont engagés dans
une compétition par équipe et individuelle. Dans une
course, la cuadrilla est composée de 7 écarteurs en
boléro et de 4 hommes en blanc (le sauteur, les deux
entraîneurs et le cordier).
Ce type de courses se découvrent principalement
en Chalosse, dans le Tursan et l'Armagnac, dans le
nord du Béarn et de la Bigarre. Les courses festival
proposent des spectacles plus informels, avec ou sans
esprit de compétition, parfois avec taureau.
La course de seconde ou promotion
les différentes courses
Le concours landais
Avec 2, 3 ou 4 troupeaux, c'est l'occasion de réunir les
meilleures vaches de chaque ganaderia concurrente
et de les opposer aux meilleurs toreros du moment.
La difficulté vient du fait que chaque homme affronte
des vaches qu'il connaît peu.
C'est l'épreuve reine de la Course Landaise, la plus
disputée et la plus dangereuse aussi. Les grands
concours à 4 troupeaux se déroulent à Aire, SaintSever, Nogaro (Corne d'or), Mont de Marsan pour
les fêtes de la Madeleine, Hagetmau et à Dax, le plus
ancien et le plus prestigieux aux yeux des écarteurs.
La course de challenge
Elle fait l'objet d'une compétition organisée de début
mars à fin septembre sur le territoire du Landes-Béarn
ou de l'Armagnac. 1 0 vaches minimum sont enfermées
dans les loges. 7 sortiront en première partie dont une
vache à sauter, une vache sans corde et une vache de
l'Avenir (vache qui débute à la corde). En deuxième
partie il y aura 7 sorties dont 6 vaches à écarter et 1
à sauter.
A la fin de chaque sortie, le jury annonce le résultat
global (total des figures) et la notation de la vache. Ces
résultats serviront au calcul du «challenge» qui oppose
sur la saison les 4 cuadrillas.
Le jury désigne également les 3 meilleurs écarteurs
de la course qui sont invités à monter à l'escalot pour
obtenir coupes et récompenses qui reviennent aux
écarteurs qui auront exécuté les 1 0 meilleurs écarts sur
2 vaches différentes.
La course formelle et la course festival
Ce sont celles que suivent assidûment les coursayres
tout au long de la saison. C'est là que se bâtissent
les réputations des hommes et des vaches. Elles durent
environ 2 H 15 avec l'entracte.
Elles débutent toujours par le défilé des écarteurs
(paséo) au son de la marche Cazérienne.
Pour la saison (temporada), 4 troupeaux (ganadérias)
Elle se déroule comme la course de challenge mais
avec des cuadrillas dites promotion ou de seconde et
qui ne participent pas à la compétition par équipe, le
challenge. Cela peut être aussi l'équipe « réserve »
d'une cuadrilla de formelle. Des concours viennent
également d'apparaître dans le calendrier coursayre.
La course landaise «mixte»
Plus présente sur le littoral, elle est divisée en 2
temps : un premier temps traditionnel avec des
vaches moins fougueuses qu'en formelles et un second
temps agrémenté de jeux d'arène, appelés aussi toroball ou toro-piscine, ayant inspiré les jeux télévisés.
L'intervache ou toroball
Ne présente que des jeux. C'est souvent par ce type de
jeux que beaucoup de gascons ont pu avoir leur premier
contact (quelque fois douloureux) avec les vaches.
La compétition
Les clubs affiliés à la FFCL organisent les compétitions.
La compétition par équipes
C'est la course de challenge, marquée A (Armagnac)
ou LB (Landes Béarn). Elle est réservée aux 4 cuadrillas
de Formelle, qui se retrouvent en fin de saison pour
disputer la coupe des cuadrillas. Les courses ont lieu
du l er dimanche de mars à la mi-septembre.
La compétition individuelle
Elle se déroule à l'occasion des courses de challenge
et des concours à plusieurs troupeaux. On l'appelle
l'escalot, nom gascon de la petite échelle à laquelle
l'écarteur classé 1 er de la course va monter, à la fin de
la course, pour aller chercher sa récompense.
Le dernier dimanche de septembre a lieu le
championnat de France auquel sont qualifiés le
champion des écarteurs sortant et les 5 premiers, ainsi
que le champion des sauteurs en titre et les 3 premiers.
11
Le c o r p s a r b i t r a l
En compétition (courses de challenge et concours
landais) toutes les figures sont notées par deux jurés
assistés d'un comptabilisateur.
Un délégué sportif s'assure du bon fonctionnement de
la course dans tous ses aspects : suivi du règlement
sportif, qualité de la piste, dispositif de sécurité. Il est le
représentant officiel de la FFCL et a tout pouvoir pour
agir en son nom si nécessaire.
En 2013 de nouvelles mesures plus strictes, en
application dans toutes les autres fédérations sportives,
sont venues renforcer l'autorité du corps arbitral
malheureusement souvent contestée. Il leur suffira de
montrer un carton jaune pour donner un avertissement ;
seul le chef de cuadrilla est habilité à parler au
délégué sportif. Un carton rouge suivra si nécessaire
et entraînera des sanctions plus lourdes pour le ou les
fautif (s).
La n o t a t i o n du b é t a i l ( V0 irg* P0 g e 42)
La course landaise est l'art d'affronter et d'esquiver
l'agressivité naturelle de la vache qui, au fil des
courses apprend vite le comportement de l'homme
et essaye de le contrer en anticipant son écart ou en
le fauchant avec ses pattes. Au fur et à mesure que
la vache gagne en expérience, le rôle du cordier
devient de plus en plus important pour diriger la
charge de la bête. Toutes les vaches ont une corne
préférentielle avec laquelle
elles sont
plus
dangereuses. L'écarteur va donc tourner sur la corne
facile tandis que le cordier se tiendra du côté de la
corne dure. C'est ce détail qui donne plus de valeur à
l'écart dit «intérieur».
Pour leur classement, on distingue 4 catégories
• 1 à 3 pts : les vaches nouvelles, douces et innocentes,
s'adaptent bien à la corde, permettent un travail
agréable et sans danger.
• 3 à 4 pts : Les vaches brillantes et rapides passent
sans saluer, plient la tête sous les chocs et permettent
à l'écarteur de s'exprimer avec des risques réduits.
• 5 à 6 pts, 7 ou 8 si « en course » : Les vaches dures,
parfois difficiles, pas toujours rapides, posent des
problèmes aux écarteurs.
• 9 à 10 pts : Les vaches dangereuses dominent
l'homme et l'arène ou au contraire sont magistralement
dominées par l'homme qui prend tous les risques.
Les vaches de l'avenir Débutantes à la corde
• 1 à 5 pts : pour la présentation
(morphologie, taille des cornes)
• 1 à 10 pts : pour le comportement en piste
(départs, fougue, placement et activité)
• là 10 pts : pour le travail du torero, en général
expérimenté qui, face à ces vaches, a pour principale
mission de mettre en valeur les qualités de cette jeune
vache pour la course landaise.
La n o t a t i o n des é c a r t s (voir g niie P age40)
Chaque figure est jugée selon la présentation de
l'écarteur, l'attaque, le dessin de l'écart et la finition ;
également le risque consenti, la valeur de la vache,
l'élégance et le style. L'écart est noté de 1 à 5 pts ou de
1 à 7 si réalisé du côté de la corde (écart en dedans) :
dangereux puisque le cordier ne peut plus intervenir
sur la corde.
Chaque sortie de coursière (f) comporte 9 écarts
comptant pour la compétition .Le jury «pointe» toutes
les figures qui rentreront dans le calcul des résultats
individuels et collectifs.
Une touche de plein fouet est notée 1 pt sur écart
extérieur et 2 pts sur écart intérieur. Une chute est notée
1.5 pts si elle est causée par la patte avant de la vache
et 2 pts par la patte arrière (on ajoutera 1 pt à ces notes
sur un écart intérieur).
La n o t a t i o n des s a u t s (voir g riiie P age4i)
Les sauts sont notés selon leurs difficultés d' exécution :
le saut à la course (2.5pts ), le saut de l'ange (4 pts),
le saut pieds joints (5 pts ), le saut périlleux (6 pts) et le
saut vrillé (7 pts).
Les
principales
fautes sanctionnées
sont
l'exécution
du saut hors de l'axe de
course de la vache, la
réception non bloquée,
d é s é q u i l i b r é e ou
écrasée, une mauvaise
position du corps ou
les jambes écartées
ou non tendues.
(*f) Coursière : vache de
course landaise.

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