OUT OF AFRICA
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OUT OF AFRICA
Date : 01/12/2011 Pays : FRANCE Page(s) : 74-79 Rubrique : LIFESTYLE Périodicité : Bimestriel OUT OF AFRICA AU JUBALANI CAMP SUR LESTRACES DE KAREN BLIXEN Vingt-deux parcs nationaux émaillent I ancien TransvaaJ nord devenu Limpopo, nom du neuve qui sépare 1Airique du Sud du Zimbabwe. Le Kruger est l'un des plus connus : situé tout au Nord, ses 20 000 kin^ abritent 147 espèces de mammiières (léopards, lions, guépards, éléphants, burrles, rhinocéros...), 507 variétés d'oiseaux et des paysages souvent à couper le sourile. A sa rrontière plusieurs réserves privées pratiquent des saiaris originaux. Le Camp Jabulani est sans doute 1un des plus luxueux et sa création par Lente Rooue, une iemme qui se consacre à la protection des éléphants et des guépards, est due à l'amour que celle-ci porte aux animaux sauvages. C'est de jour comme de nuit en Jeep et à dos d'éléphants que le visiteur découvre la beauté d'un monde sauvage et préservé. TexteclphotosAlamAmmaraiBarbaraGhéno. 1 (1/6) JETSET Page 1 Tous droits de reproduction réservés Date : 01/12/2011 Pays : FRANCE Page(s) : 74-79 Rubrique : LIFESTYLE Périodicité : Bimestriel Le soleil n'est pas encore couché er la brousse s'érale en contre-jour hérissée des mille cris dune faune tapie dans les hautes herbes. Au couchant une étendue d'eau rougie reflète l'ombre de dizaines de buffles venus s'abreuver avant la tombée du soir. La scène est magique. L'un d'eux avance ses cornes puissantes vers la torche du ranger dont la lueur l'aveugle, tandis que le reste de la troupe continue de s'hydrater. Ce n'est pas l'inquiétude qui nous étreint quelques secondes (quoique !...) mais l'émotion d'une rencontre espérée... et aléatoire ! Un moment rare et l'impression de vivre un film d'aventures. A deux mètres à peine de notre Jeep ouverre, la silhouette d'un gigantesque éléphant solitaire se dessine sous la lune. Il tourne les oreilles, lève un peu la trompe pour nous sentir puis finit de broyer une tige avant de disparaître d'un pas lourd dans le noir. Sa masse de sept tonnes ne produit pas plus de bruit qu'un froissement de feuilles. Lorsque la nuit s'empare du territoire, ne se montrent que les animaux qui le veulent ou ceux que la lampe surprend dans leur ranière, révélés par l'éclat de leurs yeux. Le ranger donne leur nom er s'éloigne, pour ne pas perrurber la vie nocturne. Toutes les Jeep circulent ainsi à petite vitesse sur les chemins du parc, les guides - armés - connaissant Ci-conlre : l'extraordi naire confort des lodgr du camp Jabulani. Page de gauche : vue d'une vallée prise du ".n-rc Jabulani parfaitement les lieux de prédilection des buffles ou des lions mais la nature garde, comme ce soir, des surprises en réserve. à Jabulani, c'est que même la nuit les L'extraordinaire, expéditions se déroulent à dos d'éléphants, c'est le seul camp en Afrique du Sud à pratiquer ce genre d'aventure. De jour, il suffit de suivre les sentiers balisés du parc pour croiser des animaux qui vonr et viennenr à leur aise, indifférents aux véhicules mais pas confiants pour autant, toujours prêrs à détaler ou à défendre leur marmaille. Ici des babouins font un bruit d'enfer, là des impalas nous gratifient de quelques sauts aussi gracieux qu'élégants. Le ranger nous fait remarquer le «M» que dessine le poil noir sur le fond beige de leur derrière : ce sont les impalas Mac Donald ! Le sourire fait vire place à des bouches ouverres d'admiration devant une maman girafe nourrissant au loin son périt, la tête tournée vers nous pour guetter nos mouvements. La Jeep cahote à petite vitesse, s'arrête pour nous permettre d'admirer la vie de la savane et laisser le temps au ranger de nous conter mille anecdores. C'est ainsi que le mythe du cimetière des éléphants s'envole : les vieux solitaires ne quittent pas le troupeau pour s'en aller mourir dans un endroit mystérieux. Leurs dents trop fragiles les incitent tout simplement à rechercher sans cesse des pousses plus tendres, mourant ainsi au bout des chemins balisés par des espèces plus comestibles pour leurs vieilles gencives. . . En octobre, c'est le prinremps dans cerre Afrique australe, une excellente période pour tenter d'y voir les animaux car il y a peu de feuilles aux arbres et les animaux chassent dans la journée, ils n'ont pas trop chaud. S'ils circulent, nous pouvons les croiser. Un groupe de vautours perchés dans les arbres, c'est le signe que le lion n'est pas loin. Malgré les jumelles à fort grossissement pour fouiller les sous-bois du regard, difficile de distinguer sa fourrure dans le beige général de la savane sèche. Soudain (2/6) JETSET il s'ébroue et nous fait découvrir deux jeunes congénères, ils sont jeunes et n'en finissent plus de jouer. Nous les fixons dans nos objectifs babillant comme des enfanrs. Plus loin des zèbres, le regard étonné, donneronr à nos clichés des impressions de peintures abstraites. Encore des girafes er deux rhinocéros qui traversent d'un pas lent la piste et nous coupent la route. Le premier tourne sa corne vers nous l'air interrogatif, nous toisant comme des intrus. Le seul animal avec l'éléphant qui n'a peur de rien dégage, à distance, une certaine tendresse malgré son groin menaçant et sa masse imposante. Centre magnérique pour touristes en mal d'aventures exoriques, le Parc rCruger esr enrouré de réserves privées qui se développent toutes en prorégeant les animaux. Car le Kruger, avec 350 km de long er 60 km de large, est trop étroit pour que les populations animales qui l'habitent s'y cantonnent, alors que l'appel de la nature les incite à parcourir des kilomètres en une journée. Et parce que les animaux ne connaissent pas de frontières, l'Afrique du Sud, le Zimbabwe er le Mozambique sont en train d'abattre les barrières entre les parcs narurels du pays pour créer un parc naturel de 35 000 km2 qui deviendra la plus grande zone de conservation sur la planète. Pour l'heure, Page 2 Tous droits de reproduction réservés Date : 01/12/2011 Pays : FRANCE Page(s) : 74-79 Rubrique : LIFESTYLE Périodicité : Bimestriel Ci-contre les «Big Five» sont tous visibles ou cours des safaris à dos d'éléphants qui partent de Jabulani. Ci-dessous : Lente Roode avec un animal qu'elle vient de soigner, Alain Ammar en compagnie de deux guépards en pension au Endangered Center et Barbara Ghéno photographiant des éléphants à leur toilette tout près du camp tfeœ~: entre les populations la cohabitation et les animaux sauvages semble encore difficile. Des barrières métalliques tentent de les empêcher de se faire écraser par les voitures (les Sud-Africains conduisent à tombeau ouverr), les lois les prorègenr mais la pauvreté est immense et les fourrures se vendent cher. De nombreuses initiatives privées tentent d'assurer le développement des populations comme la Palabora Foundation (www.pafound.co.za), créée par une mine de cuivre qui fait vivre la région. Ecoles, centres artisanaux, lutte contre le sida : elle se bat sur tous les fronts et inclut des programmes environnementaux, développés avec le WWF et Bird Life. Elle compte sur le tourisme pour créer de l'emploi pour les jeunes formés au service (hôrellerie, cuisine) er a créé une coopérative ou onze femmes fabriquenr des rideaux, des nap pes et des sacs imaginés par un srylisre. Une goutte d'eau dans la met r Sans doute, mais ces femmes ont trouvé là de quoi nourrir leurs familles. Et il existe aussi des centres d'aide aux animaux, comme celui de Lente Roode, grande blonde au sourire immense et à la voix douce. Fille de grand propriétaire terrien, Lente est tombée amouteuse des guépards quand on lui a confié, enfant, un bébé blessé à soigner. Elle en élève cinq aujourd'hui chez elle, qui circulent librement dans son salon. Elle a surrout fondé un centre de protection des espèces en danger, Hoedspruit Endangered Species Center, tout à la fois centre vétérinaire, zoo pour les animaux blessés, centre d'éducation pour les touristes avec vidéo conférences er boutique, pour financer les soins. (3/6) JETSET Derrière les grillages vivent des guépards, des licarons (chiens sauvages), des vautours, un tigre récupéré dans un zoo en faillite au Portugal. Un groupe de guépards, élevés au centre, est utilisé par l'aéroport d'Hoedspruit pour lutter contre la présence des impalas et des phacochères sur les pistes d'atterrissage 1 Un programme de rachat a été lancé auprès des fermes des environs pour qu'elles n'abattent pas les animaux sauvages qui rodent aurour des rroupeaux de buffles. La propriéré, Kapama, abrite également un hôtel de grand luxe. On se sent comme chez soi dans ce lodge répertorié Relais et Châteaux. Chaque chambre est décorée avec un grand raffinement et meublée avec goût. Une piscine individuelle est à disposition de chacun des hôtes, et les repas pris dans la salle à manger digne du film Ouï ofAjrica sont gastronomiques. A la fois protection et exploitation des animaux, Jabulani est aussi un havre de paix pour amoureux des grands espaces. Le troupeau de douze éléphants vient du Zimbabwe voisin. Son propriétaire devait trouver un espace suffisamment grand pour un groupe complet qui, s'il n'était maintenu dans son état domes tique, deviendrait probablement dévastateur. Les hôtes du Camp Jabulani sont traités comme des princes. Ils peuvenr décider de l'heure des safaris ou des repas avant de grimper sur leur pachyderme pour une promenade rrès encadrée à travers la savane. Sitôt libérés de leur bât, les éléphants repartent ensuite passer la journée à leur gré sous les arbres. . . pour revenir le soir à l'appel du sifflet à ultrasons pour un nouveau safari au soleil couchant. Page 3 Tous droits de reproduction réservés Date : 01/12/2011 Pays : FRANCE Page(s) : 74-79 Rubrique : LIFESTYLE Périodicité : Bimestriel étranges et rares mais disposés dans une harmonie paisible. Des pots énormes, noirs, d'un arrondi parfait datant du siècle dernier, servaient à entreposer la bière. D'autres en cordes rressées sillonnés de dessins géométriques racontent une histoire d'amour ou de mort. Des chapeaux en couleurs, des tapis en fibre, des éroffes, des costumes éclatants de lumière, des lances de guerriers à la pointe large et plate pour le combat au corps à corps, des fourchettes ciselées d'une finesse exquise et des objets en perles rressées formanr un langage étrange et fascinant. Chaque objet à une fonction dans la vie de la tribu, une utilité, chaque tissage de perles dans ses couleurs vives, Amasumpa, une signification, un code à déchiffrer. L'art Zoulou est un art du signifiant, une partie intégrante du quotidien. Tout est matière à communication : les reliefs sur les objers usuels parlent d'abondance ou de disette. D'autres de féminiré, de fécondité ou de colère. Les cannes symboles de puissance affichent sur leur pommeau raillé, le statut social. Rien n'est laissé au hasard ou au décor contemplatif, tout à trait au sens. Les maté riaux sont ceux de l'environnement immédiat : la terre, le bois, l'écorce, DANS LES ARCANES DE L'ART ZOULOU |e suis sorti, étrange, d'un township de Sowero comme d'un roman de Camus. Le décor est intact. La misère banaJe. Les perspectives glabtes et le froid, en ce début octobre, intense. Impossible de ne pas repenser à ce 16 juin 1976 où des gamins ont provoqué l'armée des Africaners et ébréché par leurs morts le mur de l'apartheid. 34 ans plus tard... Mandela fêre ses 92 ans et sa photo traîne parrout : Madiba, le père du peuple noir d'Afrique du sud. le sauveur d'une nation terrée dans les ghettos. Ce zoulou de la rribu des Xhosa qui par sa non violence a rejoint dans le panthéon de ses concitoyens Chaka, un autre Zoulou qui fit de cette tribu la glèbe de cette tetre d'Afrique australe. Des images en noir er blanc traversent mon esprit. Des cris, de la violence mais aussi des regards d'une acuité insoutenable. J'ai traversé les rails du chemin de fer et me suis retrouvé au nord de Johannesburg dans ces quarriers où les blancs ont bâti leurs demeures de blancs protégés par des murs infranchis sables. Sandton, Rosebank, Parlcwood... et puis toujours transi par le froid, j'ai franchi la porte de la galerie de Kim Sacks, sans savoir que j'entrais dans l'univers magique de larr Zoulou. Un espace lumineux, encombré d'objets (4/6) JETSET le chanvre... rien de sophistiqué : une culture de l'intérieur, pour les passages de la vie : naissances, mariages, morts, cérémonies mis en scène par les ancêtres, Amadzoli vérirables contrôleurs de la société africaine. Aucune peinture ou sculpture sauf sur les cannes, les assiettes et les couverts. L'art Zoulou, qui veut dire Ciel en langue tribale, est servi par la plus authentique des cultures, celle de l'usage comme ces repose-tête au galbe délicat que chaque guerrier personnalise à sa manière. Un monde à part qui se perpétue encore dans la brousse sud-africaine mais perd, chaque jour, de son intensité. Un monde à part gardée par Kim qui recueille religieusement chaque bribe d'une civilisation qui se perd. Une femme pérrie de passion et de tendresse qui aime les humains et leur génie créateur. Une femme blanche avec un cœur de Zoulou. Si vous passez par là, arrêtez-vous pour un instant ou quelques heures dans cette galerie hantée, le monde Zoulou vous y attend. PRATIQUE Y aller : Air France est la seule compagnie qui desserr quotidienne ment Johannesburg depuis Paris, en directe. Entre 850 et 2 400 euros en éco en fonction de la date de départ, www.airfrance.fr. Se loger : Michelangelo hôtel, magnifique 5 étoiles au cœur du quartier culturel de la ville. Environ 200 euros la nuit. 8 Maude street, sandown, Sandton. www.Legacyhotels.co.za. dans des Y manger : Moyo, une excellenre cuisine néo-africaine décors d'une créativité époustouflante. Il en existe trois. Entre 20 et 30 euros par personne, www.moyo.co.za Ou : Kim Sacks Gallery, 153 ]an Smurs Av. Parkwood. Johannesburg. www.kimsacksgallcry.com Page 4 Tous droits de reproduction réservés Date : 01/12/2011 Pays : FRANCE Page(s) : 74-79 Rubrique : LIFESTYLE Périodicité : Bimestriel CAPE TOWN, CAPITALE TENDANCE Lorsque le soleil darde ses rayons et que le regard se porte sur l'impressionnante silhouette de Table Montain et de sa baie, un cadre époustouflant avec ses falaises qui plongent à pic dans l'océan Atlanti que et ses merveilleuses plages, on comprend mieux pourquoi CapeTown est l'une des plus belles villes d'Afrique du Sud. Capitale politique du pays, elle est surtout la capitale de l'art de vivre, de la mode, du melting pot et de la gastronomie. C'est aussi une ville branchée, rendance, cosmopolite et tolérante par excellence. Cape Town abrite ainsi une lorre communauté homosexuelle, la plus importante de l'hémisphère sud après Sydney en Australie. Elle offre un éventail impressionnant d'activités et fait preuve d'un remarquable dynamisme, que ce soit dans le domaine de la culture, des arts ou du développement économique. Bref, CapeTown est une ville qui bouge. Pour en avoir la preuve il suffit de déambuler dans les artères du centre, faire un rour dans le quarrier malais avec ses petites maisons aux mille couleurs, ou encore flâner sur le marché d'artisanat africain avant de prendre la route du bord de mer er de ses plages de sable blanc, Camps Bay, Glen beach, Noordhoek ou Clifton, séparées par d'énormes rochers de granit. Une mer froide où les surfers sont au paradis face à un bord de mer aux allures de côte d'Azur. Mille petits restaurants dont le Paranga, ses fruits de mer et sa vue imprenable sur l'océan et les couchers de soleil, ou le Wakame niché à Mouille Point, essentiellement pour ses sushis. Laissez ensuite votre regard suivre les méandres de la côte et s'émerveiller du flux des vagues émeraudes à Chapman's Peak jusqu'au Cap de Bonne Espérance en passant les quartiers huppés de Llandudno et ses magnifiques villas, Hout Bay, son port et ses excursions maritimes vers l'île aux phoques ou Whire Sands et ses langoustes, avant de pénéttet dans Misty Cliff toujouts embrumée... Quelques clichés en descendanr du funiculaire pour une vue de la pointe extrême de l'Afrique à couper le souffle, et ensuite direction Millers Point pour les pingouins qui vous courent entre les jambes. Retour en ville, objectif : découvrir un quartier laissé à l'abandon er aux SDF voila dix ans, (5/6) JETSET Page 5 Tous droits de reproduction réservés Date : 01/12/2011 Pays : FRANCE Page(s) : 74-79 Rubrique : LIFESTYLE Périodicité : Bimestriel Un partrait de Nelson Mandela (ci-contre) jouxtant le water front de Cape Town où se trouve 'hôtel Table-Bay (en bas à gauche) et son toit bleu. devenu theplace to be. Woodstock, ses galeries d'art et ses designers branchés à la mode Brooklyn ou ses aventuriers comme Justin Rhodes et Cameron Munro qui ont lancé le Neighbourgoods Market, un espace de créateurs et de designers de mode triés sur le volet, ouvert tous les samedis. A ne pas manquer :The Bromwell, un café-boulangerie atypi que où l'on trouve de superbes bijoux, des objets de déco et des vêtements de créateurs, dans un cadre de maison victorienne. Si la faim vous tenaille, passez au resrauranr Superette pour ses œufs à la coque dans leur boîte de carton, son Banana bread au miel er son vin d'Alphabetical. . . toute une histoire. A propos de galerie d'arr, n'oubliez pas le fantastique lieu de Michael Stevenson tenu par l'électrique Angela Ferreira, qui expose de jeunes artistes africains et internationaux. Libre à vous ensuite d'emprunter le téléphérique pour arriver au sommet de « la Table », frôler les fynbos (buissons fins) et tenter d'apercevoir les dassies(sorte de castor sud-africain) dans un vent à décorner un buffle. . . Pour le shopping, arpenter Roeland et Loop Street ou encore Kloof et Long Street, et découvrir les baskets Sawa créées et cousues sur place au luxueux Merchants on Long. Chemises en Jean rétro et coupes business au Blue Collar White Collai, des chaussures en tissus recyclés végétariens dans l'atelier show-room de G-Mo. Ou encore des sacs et ceintures minimalistes en cuir à Urban Africa. Gardez du temps pour suivre la vallée des vins en commençant par Steenberg, la plus vieille ferme d'Afrique du sud, située dans le domaine viticole de Constantia, et en allanr déjeuner dans le fabuleux bistro 1682 où vous dégusterez de superbes crus du domaine. Suivre la roure pour Stellenbosch et s'arrêter à Franschhoek, le coin des huguenots français, son église, ses galeries et ses boutiques chic de fanfreluches et de dentelles. Sur le trajet une halte obligatoire au restaurant Delaire, une pure merveille en pleine campagne dans un cadre de rêve, entourés d'objets d'art et de sculptures. Là encore vous dégusterez des vins sud africains de haute qualité et une excellente cuisine. Retour maison en passant par le domaine viticole de Guardian Peak jouxtant celui du golfeur Etrnie Els. On y découvre des assem CARNET DE VOYAGE blages étonnants, notamment parmi les blancs Air France relie Paris-CDG à Johannesbourg en direct par moelleux et goûteux. . . un délice. Pour l'hôtel, une un vol quotidien sur A380, et du 31 octobre au 25 mars seule adresse possible : celle de l'excellent Table bay, Paris-CDG à Cape Town sur B777-200. un 5 étoiles Leading hôtels of the world dans la Résa : airfrance.com ou 3654. SAA relie l'Afrique du tradirion des grands palaces, situé sur le port face à SAA. Table Mountain. Service impeccable et chambres sud via Londres ou Francfort quotidiennement. de grand standing, donr certaines font face à [email protected]. Hôtel Table-Bay at the Waterfront. - tél. : 01 58 71 40 53. Résa : www.suninternational.com Robben Island où Nelson Mandela fut prisonnier. Jabulani Camp fait partie des Relais et Châteaux. Le showbiz et les personnalités des mondes des arts - tél. : 002 712 460 5605 et de la politique se côtoient à Table Bay. On y Résa : www.campjabulani.com A partir de 800 euros la nuit. a vu Michael Douglas, Ton)' Blair ou récemment Equinoxiales propose : Splendeurs Sud africaines ; Michelle Obama y séjourner comme un hommage a 10 jours/7 nuits , à partir de 1915 euros par personne en rendu à l'éléganre hospitalité sud-africaine, base double pour CapeTown, Parc Kruger, Johannesburg - www.equinoxiales.fr - tél. : 01 77 48 81 00. Photosprisesavec unappareil Canon 60 D et un ojectif Office du 'Tourisme : 0810 203 403 ou inkxfr('»)soutliafrica.nei Canon IS?4 lu', mm prôtos par Gook Trond.com i^^ii Ihiui »t. (6/6) JETSET Page 6 Tous droits de reproduction réservés