Dossier de presse – 24 octobre 2003 Les jeudi 23 et vendredi 24
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Dossier de presse – 24 octobre 2003 Les jeudi 23 et vendredi 24
Dossier de presse – 24 octobre 2003 Pour toute information : Ariane Selinger 01 53 23 05 45 [email protected] Les jeudi 23 et vendredi 24 octobre 2003 s’est tenue, au lycée Louis le Grand, à Paris, la première Université Enseignants – Entreprises, sur le thème « Les entreprises dans la mondialisation ». Organisée par la Direction de l’Enseignement Scolaire (Desco) du ministère de l’Education Nationale et l’Institut de l’entreprise, cette Université a réuni plus de 400 personnes : 250 enseignants de Sciences Economiques et Sociales (SES), dont la participation s’inscrivait dans le cadre du plan de formation continue du ministère de l’Education Nationale, et 160 cadres et dirigeants d’entreprise. Cette rencontre visait à nourrir le dialogue entre le monde de l’entreprise et le monde de l’enseignement, à travers des échanges directs lors de tables rondes et d’ateliers de travail. Accueillis par Jean-Paul de Gaudemar, directeur de la Desco, Jean Etienne, doyen de l’Inspection Générale des SES, et Michel Bon, président de l’Institut de l’entreprise, les participants ont pu débattre de la gestion des entreprises dans la mondialisation, en s’appuyant notamment sur une vingtaine de cas concrets préparés conjointement par des enseignants et des cadres d’entreprise. En ouverture, Luc Ferry, ministre de l’Education Nationale, a souhaité replacer la mondialisation dans une perspective historique longue. Les critiques qui sont aujourd’hui adressées à ce phénomène ne doivent pas conduire à un retour en arrière ; la solution ne saurait être de revenir sur un processus irréversible, mais plutôt de lui redonner un sens afin d’en retrouver la maîtrise. Thierry Desmarest, président de Total et président de la commission « Entreprises dans la mondialisation » qui s’est réunie à l’Institut de l’entreprise tout au long de l’année 2003, a présenté ensuite la démarche qui a sous-tendue l’organisation de cette Université Enseignants - Entreprises. La table ronde de la matinée du jeudi 23 octobre s’est penchée sur les opportunités et les contraintes de la mondialisation, à travers l’examen de quatre secteurs porteurs d’enjeux cruciaux : l’eau, le médicament, la finance et l’industrie, représentés respectivement par Paul-Louis Girardot (Compagnie Générale des Eaux), Jean-François Dehecq (Sanofi-Synthélabo), Michel Pébereau (BNP Paribas) et Jean-Martin Folz (PSA Peugeot Citroën). Au-delà des spécificités sectorielles, deux points forts sont ressortis de leurs interventions : ! la mondialisation n’est pas un choix, mais bien une nécessité pour assurer la pérennité des entreprises engagées dans une compétition internationale ; ! les entreprises sont prêtes à assumer toutes leurs responsabilités, notamment en matière sociale et environnementale, mais elles ne peuvent, ni ne veulent se substituer aux Etats dans la définition des politiques publiques. Les intervenants ont été interpellés par trois professeurs discutants : Elisabeth Carrara, professeure agrégée, Isabelle Waquet, professeur en classe préparatoire, et Charles-Albert Michalet, professeur des Universités et membre du Cercle des Economistes. Point fort de cet événement, l’après-midi du jeudi était consacré à un travail en atelier ; chaque enseignant a pu participer à trois séquences d’une durée d’1 heure ¼. Après une brève présentation des études de cas, conjointement par des enseignants et des cadres d’entreprise, la quarantaine de professeurs présents dans chaque atelier ont été invités à réagir aux exposés. Dans la grande majorité des cas, le président de l’entreprise étudiée, qui assistait à cette présentation, a pu répondre directement aux questions des enseignants, dans une atmosphère détendue favorisant un dialogue ouvert. 6 rue Clément Marot – 75008 Paris tél. : 01 53 23 05 40 – www.idep.asso.fr Au cours d’une seconde table ronde, organisée le vendredi matin, l’accent a été porté sur les règles du jeu à mettre en place pour mieux maîtriser la mondialisation. La question de la régulation a été abordée sous les angles sociaux, financiers et environnementaux par Gaby Bonnand (CFDT), Arnaud de Bresson (Paris-Europlace) et Jean-François Minster (Ifremer). Ceux-ci, ont été, après leurs interventions, interpellés à leur tour par trois professeurs discutants : Pierre-André Copron, professeur en classe préparatoire, Jean-Paul Fitoussi, professeur des Universités et président de l’OFCE, et Robert Lafargue, professeur agrégé. Tous ces échanges ont alimenté de longs débats avec la salle. Pascal Lamy, Commissaire européen au Commerce, est ensuite intervenu pour aborder la place de l’Europe dans la mondialisation, en insistant sur les opportunités que celle-ci présente à condition que les Etats de l’Union européenne parviennent à s’entendre pour parler d’une seule voix dans les instance de régulation internationales. Enfin Xavier Darcos, ministre délégué à l’Enseignement Scolaire, a clôturé cet événement, en saluant dans cette initiative novatrice une « vraie réussite » dont il a tenu à remercier les participants et les organisateurs, et dont il souhaite qu’elle trouve des prolongements dans un proche avenir. L’organisation de cette première Université d’Automne a bénéficié de l’implication forte des entreprises, qui pour la plupart étaient représentées à leur plus haut niveau ; Pierre Bellon (Sodexho Alliance), Daniel Bernard (Carrefour), Philippe Carli (Siemens SAS), Henri de Castries (Axa), Bertrand Collomb (Lafarge), Jean-François Dehecq (Sanofi-Synthélabo), Elizabeth Ducottet (Thuasne), Jean-Martin Folz (PSA Peugeot Citroën), Dominique Jacomet (Union des Industries Textiles), Patrice Kretz (Chantelle), Henri Lachmann (Schneider Electric SA), Pierre Lévi (Faurecia), Michel Pébereau (BNP Paribas) et Benoît Potier (Air Liquide) ont ainsi participé personnellement à la présentation de l’étude de cas consacrée à l’entreprise dont ils assurent la présidence. Du côté des enseignants, cette rencontre a présenté deux intérêts majeurs : d’abord celui de réunir au niveau national un nombre jamais atteint de professeurs de SES, ce qui leur a permis d’échanger avec leurs pairs et de nouer de nouveaux contacts ; ensuite et surtout, celui de rendre possible un dialogue direct avec des décideurs économiques de premier plan. Les travaux de l’Université d’Automne seront disponibles sur le site de l’Institut de l’entreprise avant la fin du mois d’octobre (www.idep.asso.fr) ; toute les études de cas ont été adaptées en vue d’une utilisation pédagogique par des enseignants et seront prochainement mises en ligne sur le site Melchior (www.melchior-eco.com.fr). Les séances plénières et les ateliers ont été filmés par des équipes du CNED. Ces films serviront à la construction d’outils pédagogiques qui seront mis à la disposition des enseignants. Les études de cas seront par ailleurs mises à la disposition du bureau du Pacte Mondial de l’ONU pour nourrir des sessions de formation internationales. Thierry Desmarest remettra une synthèse des études de cas au Secrétaire Général de l’ONU, Kofi Annan, à l’occasion de sa visite à Paris, en janvier 2004 ; l’Institut de l’entreprise abrite en effet le Forum des amis du Pacte Mondial, qui est animé par Bertrand Collomb. Annexes ! Présentation des actions des l’Institut de l’entreprise en direction du monde enseignant ! Programme de l’Université Enseignant - Entreprises ! Liste des ateliers de travail Paris, le 24 octobre 2003 L’Institut de l’entreprise et les professeurs de Sciences Economiques et Sociales (SES) Depuis trois ans, l’Institut de l’entreprise a engagé différentes actions destinées à apporter aux professeurs de SES des éléments d’information et de réflexion sur l’économie et des occasions de connaissance concrète des entreprises. En effet, autant les entreprises ont développé de longue date des relations étroites avec l’enseignement de l’économie dans le supérieur en accueillant des professeurs et des doctorants, en encourageant leurs cadres à participer aux enseignements, en fournissant les informations nécessaires à l’élaboration d’études de cas … autant elles avaient négligé l’enseignement de l’économie dans le second degré. ! Melchior Melchior est un site internet (www.melchior-eco.com.fr) conçu pour apporter aux 5 000 professeurs de SES des matériaux pour construire leurs cours : textes d’auteurs, statistiques, comparaisons internationales … Melchior privilégie deux domaines : les études de cas (35% des consultations) et la mise en ligne de textes difficilement accessibles pour les professeurs (bulletins d’études économiques des entreprises ou des institutions internationales…). Pour faciliter son utilisation, les documents mis en ligne sur Melchior se réfèrent aux différents chapitres du programme de terminale ES. Le nombre de visiteurs de Melchior a régulièrement augmenté depuis son ouverture il y a deux ans. Il s’est établi à 10 500 en septembre 2003 avec 40 000 pages téléchargées. ! Les stages de professeurs En janvier 2002, pour répondre à la demande de nombreux professeurs, la Direction des enseignements scolaires du Ministère de l’Education Nationale, l’Inspection Générale de SES et l’Institut de l’entreprise ont décidé de bâtir un système de stages d’immersion de deux mois pour permettre à des professeurs de découvrir de manière concrète la réalité de l’entreprise. Le quatrième stage se déroule du 20 octobre au 19 décembre 2003 et concerne 25 professeurs. Contrairement aux stages d’étudiants qui sont des stages d’initiation à un métier, les stages des professeurs sont des stages de découverte de l’entreprise. Le professeur stagiaire est mis en contact avec l’ensemble des fonctions de l’entreprise (production, vente, finance, personnel, social…) dans le cadre d’un programme structuré qui prévoit également des journées de réflexion en commun et des visites de sites (usine automobile, salles de marché…) L’Education Nationale maintient son traitement au professeur pendant la durée de son stage et pourvoit à son remplacement. L’entreprise prend en charge ses frais de transport et d’hébergement. Une quarantaine d’entreprises, adhérentes à l’Institut, ont accueilli un stagiaire depuis le début de ce programme. ! L’Université d’Automne Enseignants - Entreprises Cette rencontre entre professeurs et dirigeants d’entreprise a été conçue et organisée pour permettre l’instauration d’un débat entre des experts et des acteurs de nature à éclairer les deux parties. ! ! ! Les participants viennent de l’enseignement (240 professeurs) et de l’entreprise (160 cadres et dirigeants) ; Trois professeurs de l’enseignement supérieur, de classe préparatoire et de lycée interpellent les intervenants aux tables rondes et introduisent le débat avec la salle ; Les études de cas présentées en ateliers ont été préparées conjointement par les professeurs et les entreprises. Les échanges qui suivent cette présentation sont animés par le président de l’entreprise étudiée et un inspecteur général ou un inspecteur pédagogique régional. Il ne s’agit donc pas d’une formation au sens scolaire, mais d’un séminaire où des professionnels de l’enseignement et des responsables d’entreprise échangent à parité sur un sujet qui est au cœur de la matière qu’ils enseignent ou de leur responsabilité professionnelle. L’action de l’Institut de l’entreprise dans le domaine de la responsabilité sociale et environnementale des entreprises et du développement durable Le Conseil d’Orientation de l’Institut de l’entreprise a décidé d’aider à la diffusion du Pacte Mondial (Global Compact) parmi les entreprises françaises. Le Pacte Mondial lancé à l’initiative du Secrétaire Général de l’ONU,Kofi Annan, incite les entreprises à respecter neuf principes de base concernant les droits de l’homme, la liberté et les conditions de travail, et la défense de l’environnement. Les entreprises signataires du pacte s’engagent à rendre compte chaque année des progrès qu’elles ont accomplis sur l’un ou plusieurs de ces principes. En janvier 2003, 7 entreprises françaises avaient signé le Pacte Mondial ; on en compte près de 210 aujourd’hui et l’Institut (www.idep.asso.fr) en espère 300 à la fin de l’année. L’Institut abrite le «Forum des amis du Pacte Mondial» dont l’objectif est d’étendre le cercle des entreprises signataires, de diffuser les informations concernant le pacte, d’organiser des échanges d’expériences au profit notamment des PME, de réaliser des études sur des cas de « bons comportements » qui sont mis à la disposition du bureau du Pacte Mondial à l’ONU pour être utilisés dans les sessions de formation que celui-ci organise au niveau international. Le Forum des amis du Pacte Mondial est animé par Bertrand Collomb (Lafarge) entouré d’une dizaine de chefs d’entreprise dont Daniel Bernard (Carrefour), Thierry Desmarest (Total), Henri Lachmann (Schneider Electric), Louis Schweitzer (Renault) ... Il bénéficie de l’expertise de l’ORSE (Observatoire de la Responsabilité Sociétale des Entreprises) et de l’EPE (Entreprises Pour l’Environnement). Les vingt études de cas réalisées par les enseignants et les entreprises participant au groupe de travail de l’Institut de l’entreprise, présidé par Thierry Desmarest, seront présentées au Secrétaire Général de l’ONU en janvier 2004 à l’occasion de sa venue à Paris. Ce sont ces études qui sont mises en débat avec les professeurs participant à l’Université d’Automne 2003. L’Institut de l’entreprise (www.idep.asso.fr) Créé il y a 30 ans par une vingtaine de grandes entreprises, l’Institut de l’entreprise compte aujourd’hui plus de 110 adhérents : une centaine d’entreprises, 10 fédérations professionnelles et chambres de commerce et 5 grandes écoles de management et d’ingénieurs. L’Institut de l’entreprise a une double activité, à la fois centre de réflexion des entreprises et lieu de contact entre les entreprises et leur environnement. Dans sa fonction de centre de réflexion, l’Institut s’intéresse aux sujets macro-économiques (la dépense publique, la fiscalité), aux questions sociales (le droit du travail, l’emploi des travailleurs âgés), au management des entreprises (les entreprises dans la mondialisation). L’Institut de l’entreprise abrite également le Forum des amis du Pacte Mondial proposé par l’ONU. Dans le cadre de sa fonction de lieu de contact, l’Institut de l’entreprise a crée l’Institut des Hautes Etudes de l’Entreprise (IHEE), qui permet à des fonctionnaires d’encadrement, des magistrats, des syndicalistes, des journalistes, des politiques …. d’accéder à des informations et de participer à des débats de nature à enrichir leur perception et leur analyse des entreprises. Il a pris également des initiatives en direction des professeurs de Sciences Economiques et Sociales, des élèves des écoles de journalisme et des députés. L’Institut de l’entreprise n’est investi d’aucun mandat de représentation ou de négociation, et il est intégralement financé par les cotisations de ses adhérents. Il bénéficie ainsi d’une grande liberté dans le choix de ses thèmes de réflexion et des démarches qu’il met en œuvre. Les actions menés par l’Institut s’inscrivent dans le long terme, intègrent la dimension internationale et s’attache à favoriser le débat contradictoire. Jean-Pierre Boisivon Délégué général de l’Institut de l’entreprise ! Université d’Automne 2003 ! Enseignants de Sciences Economiques et Sociales - Entreprises « Les entreprises dans la mondialisation » Programme des jeudi 23 et vendredi 24 octobre 2003 Lycée Louis le Grand ! Paris 123 rue Saint Jacques, Paris 5è « Les entreprises dans la mondialisation » L’internationalisation des échanges poursuivie depuis la fin de la seconde guerre mondiale a connu une brusque accélération au tournant des années quatre-vingt-dix. Par la croissance très rapide du volume de leurs investissements à l’international, les entreprises sont devenues les principaux acteurs du processus de mondialisation de l’économie. C’est précisément en raison de leur rôle moteur dans ce processus que les entreprises sont aujourd’hui souvent mises en cause : les choix d’implantation de sites de production dans des pays émergents ou en développement, parfois au détriment des pays développés, cristallisent les critiques du mouvement hétérogène mais puissant que l’on désigne désormais sous le nom d’ « altermondialiste ». L’objectif de l’Université d’Automne n’est pas de rouvrir un débat général maintes fois tenu ni d’opposer une vision angélique de la mondialisation à une vision diabolisée de celle-ci mais, à partir d’une vingtaine de cas concrets que les entreprises elles-mêmes considèrent comme des réussites, d’inviter les participants issus de l’enseignement et de l’entreprise à s’interroger sur les conditions qui permettent à la mondialisation de devenir un jeu à somme positive pour toutes les parties prenantes. Les études de cas seront présentées en atelier en présence d’un enseignant qui y a été associé et qui a pu en suivre l’élaboration. Les ateliers laisseront une large place aux débats qui seront animés par un dirigeant de l’entreprise concernée - dans la majorité des cas le président lui-même - et un représentant du corps d’inspection : inspecteur général ou inspecteur pédagogique régional. Deux tables rondes encadreront les ateliers. La première posera la question des contraintes qui s’exercent sur les entreprises. La seconde s’interrogera sur la nécessité d’une régulation et sur son contenu. La conclusion offrira l’occasion d’évoquer la place de l’Europe dans la mondialisation. Programme Jeudi 23 octobre Matinée en séance plénière 9h30 - 9h45 Accueil Jean Etienne, Doyen, Inspection générale des SES Michel Bon, Président, Institut de l'entreprise Jean-Paul de Gaudemar, Directeur de l’Enseignement Scolaire 9h45 - 10h15 Ouverture Luc Ferry, Ministre de la Jeunesse, de l'Education et de la Recherche 10h15 - 10h30 Présentation du projet « Entreprises dans la mondialisation » Thierry Desmarest, Président Directeur Général, Total, Président de la commission Entreprises dans la mondialisation, Institut de l’entreprise 11h - 13h Table ronde « Les entreprises dans la mondialisation : opportunités et contraintes » Que peuvent faire les entreprises pour que la mondialisation soit bénéficiaire pour toutes les parties prenantes et quelles sont les limites à leur action ? Quatre secteurs seront étudiés : l’eau, le médicament, la finance et l’industrie. Animateur : Intervenants : Erik Izraelewicz, Rédacteur Editorialiste, Les Echos Paul-Louis Girardot, Président du Conseil de Surveillance, Compagnie Générale des Eaux Jean-François Dehecq, Président Directeur Général, Sanofi-Synthelabo Michel Pébereau, Président du Conseil d’Administration, BNP Paribas Jean-Martin Folz, Président du Directoire, PSA Peugeot Citroën Discutants : Jean-Hervé Lorenzi, Professeur à l’Université de Paris Dauphine, Président du Cercle des Economistes Isabelle Waquet, Professeure de chaire supérieure, classe préparatoire HEC, lycée Janson de Sailly, Paris Elisabeth Carrara, Professeure agrégée, lycée Galilée, Cergy Débat avec la salle 13h - 14h15 Déjeuner à la cafétéria du lycée Louis le Grand 14h30 - 18h45 Ateliers 14h30 - 15h45 (A) 16h - 17h15 (B) 17h30 - 18h45 (C) BNP Paribas Accor Areva PSA Peugeot Citroën Air Liquide Axa Sanofi-Synthelabo Groupe Carrefour Crédit Agricole Schneider Electric SA Lafarge Groupe Danone Sodexho Alliance Siemens France SA Faurecia UIT (Chantelle) Total UIT (Thuasne) Veolia Environnement UIT (Chargeurs) Programme Vendredi 24 octobre Matinée en séance plénière 9h - 11h Table ronde « Les entreprises dans la mondialisation : quelles règles du jeu ? » L’objectif d’un comportement positif des entreprises dans la mondialisation peut-il se réaliser sans régulation ? Quels types de régulation (engagement volontaire ou réglementation ) ? Quel contenu à la régulation ? Quel(s) régulateur(s) ? Trois angles seront considérés : financier, social et environnemental. Animateur : Intervenants : Jacques Barraux, Rédacteur en Chef, Les Echos Gaby Bonnand, Secrétaire National, CFDT Jean-François Minster, Président Directeur Général, IFREMER Arnaud de Bresson, Délégué Général, Europlace Discutants : Jean-Paul Fitoussi, Professeur des Universités à l’IEP et Président de l’OFCE Pierre-André Corpon, Professeur agrégé, classe préparatoire, lycée Jean-Baptiste Corot, Savigny-sur-Orge Robert Lafargue, Professeur agrégé, lycée Maurice Ravel, Paris Débat avec la salle 11h30 - 12h30 L’Europe dans la mondialisation : Espérances et menaces Pascal Lamy, Commissaire européen au Commerce 12h30 - 12h45 Clôture Xavier Darcos, Ministre Délégué à l’Enseignement Scolaire Les partenaires Ministère de la Jeunesse, de l’Education Nationale et de la Recherche Institut de l’entreprise Direction de l’Enseignement Scolaire, Sous-direction des actions éducatives et de la formation continue des enseignants 110 rue de Grenelle - 75357 Paris SP 07 www.education.gouv.fr et les commissions présidées par Michel Pébereau (Enseignement des SES) et Thierry Desmarest (Mondialisation) 6 rue Clément Marot - 75008 Paris www.idep.asso.fr - www.melchior-eco.com.fr Contact : Martine Vessière - DESCO A 10 Tél. : 01 55 55 19 82 - Fax : 01 55 55 31 33 Contact : Françoise Minchin Tél. : 01 53 23 87 24 - Fax : 0147 23 79 01 Centre National d’Enseignement à Distance (CNED) www.cned.fr Contact : François Delaunay Tél : 05 49 49 97 20 Les études de cas du jeudi 23 octobre 2003 Présidé par un président d'entreprise et un représentant des corps d'inspection de SES L’adaptation de la stratégie internationale de Accor aux spécificités du Brésil B Eliane Rouyer Accor (ACC) Air Liquide (AIR) B Areva (ARE) C AXA (AXA) C BNP Paribas (BNP) A Sarah Roux-Périnet Benoît Potier Anne-Marie Dreiszker Vincent Benoit Marie-Lise Fosse Henri de Castries Sarah Roux-Périnet Michel Pébereau Anne-Marie Dreiszker L’implantation d'Air Liquide en Indonésie La sauvegarde d'une usine du groupe Areva grâce au marché nucléaire américain L’internationalisation du groupe Axa et son implantation en Asie du Sud-Est BNP-Paribas en Chine et à Hong-Kong Groupe Carrefour B Daniel Bernard Marc Montoussé (CAR) Crédit Agricole (CAG) C Bruno Maisonnier 30 ans de présence de Carrefour au Brésil: le cas des filières qualité Groupe Danone (DAN) C Le partenariat entre Aqua et Danone en Indonésie Faurecia (FA) C Lafarge (LAF) B Didier Vin-Datiche Michel Sardin Philippe Cauche Pierre Levi Jean Fleury Bertrand Collomb Catherine Veyer Le Crédit Agricole en Pologne : une stratégie européenne Présence de Faurecia en Europe de l’Est Le redéploiement industriel de Lafarge au Maroc PSA Peugeot Citroën : La formation professionnelle « Un outil de développement partagé » dans le cadre de la mondialisation PSA Peugeot Citroën A Jean-Martin Folz Marc Montoussé (PSA) Sanofi-Synthelabo (SA) A Jean-François Dehecq L'acquisition de Chinoïn en Hongrie : comment le groupe Sanofi-Synthelabo a-t-il mené son développement en Europe de l'Est Marie-Lise Fosse ? L'adaptation de la stratégie commerciale de Schneider Electric à l’internationalisation de ses grands clients Schneider Electric SA (SC) A Henri Lachmann Didier Vin-Datiche Siemens France SA (SIE) Sodexho Alliance (SO) B Philippe Carli Claude Sage Siemens France : le transfert de production de faisceaux de câblage automobile en Lituanie A Pierre Bellon Jean Fleury Sodexho au Pérou : un exemple de contribution au développement de l’économie locale Total (TOT) B Y.L. Darricarrere Total en Indonésie et au Qatar Philippe Cauche Thierry Noblot et Union des Industries Textiles (UIT) : . Chantelle (CH) A . Patrice Kretz Claude Sage Un exemple de redéploiement industriel : la lingerie Chantelle . Chargeurs (CHG) B . Christophe Pothier Alain Debrabant Un exemple d'internationalisation dynamique : la stratégie d'implantation de Chargeurs en Chine . Thuasne (TH) C . Elizabeth Ducottet Catherine Veyer Le positionnement commercial de Thuasne dans les textiles médicaux en République Tchèque A Paul-Louis Girardot Alain Debrabant Veolia Environnement dans la mondialisation : Le contrat de propreté d’Onyx à Chennai (Inde) Veolia Environnement (VEO)