Pour assurer la sécurité des patients - CSSS de Saint

Transcription

Pour assurer la sécurité des patients - CSSS de Saint
L
’
Vol. 1, NO 7
5 mai 2011
Bulletin du CSSS de
Saint-Léonard et Saint-Michel
DANS CE
NUMÉRO
3
Centre de jour
5
Ma santé
mentale
6
En mai
on célèbre...
7
Ma passion
hors CSSS
8
Rencontre sur
la maturité
affective
9
Le CSSS
reçoit ses
bénévoles
PROCHAINE
DATE DE TOMBÉE
20 mai
PARUTION
16 juin
Un nouveau logiciel
au département de pharmacie
Pour assurer la
sécurité des patients
Monique Deslongchamps,
conseillère cadre en communication
A
ssurer le service pharmaceutique au CSSS
implique plusieurs volets, principalement
en centre d’hébergement. L’évaluation annuelle
de chaque résident en collaboration avec les
médecins et les infirmières, l’évaluation de
chaque ordonnance reçue et la distribution des
médicaments constituent les responsabilités les
plus connues.
L’implantation d’un système d’information
de la pharmacie, en septembre 2010, est venu
bousculer le travail régulier de l’équipe, composée
de trois pharmaciennes, de deux pharmaciennes
remplaçantes et de cinq assistants techniques en
Safia Benseradj, assistante technique en pharmacie, Luminita
pharmacie.
Ungur, assistante technique en pharmacie, Pascale Meunier,
Au mois de mars, L’Objectif a rencontré pharmacienne, Kambaji Tshisekedi, assistant technique en
France Robitaille, qui occupait le poste de chef pharmacie, Mélissa Pelletier, pharmacienne et chef du département
du département avant son départ à la retraite en par intérim, Alain Bergeron, assistant technique en pharmacie, et
avril, pour en connaître davantage sur le système Judith Maer Babos, assistante technique en pharmacie.
d’information GESPHARX.
de 12 heures pendant cinq semaines! Une étape
« Le travail préparatoire a été colossal! Nous
essentielle cependant pour pouvoir faire les liens
partions à zéro », s’exclame France Robitaille. En
entre ce module et l’ensacheuse qui sera acquise d’ici
effet, il a d’abord fallu « nourrir » la base de
un an et qui permettra la distribution automatique des
données avec les caractéristiques d’environ
médicaments pour chaque résident.
1 000 médicaments : modes d’administration, effets
« L’équipe s’est pleinement investie dans ce
secondaires, interactions, particularités… puis
projet, nous savions que le temps et l’énergie
dresser la liste de tous les produits utilisés par la
consacrés seraient profitables et que nous aurions
pharmacie.
en main un outil efficace », affirme France Robitaille.
Par la suite, on a dû saisir l’ensemble des
Évidemment, la contribution du service informatique
dossiers des 490 résidents : les diagnostics, les
fut essentielle dans l’implantation de GESPHARX.
pathologies, le poids, les allergies, etc., ainsi que
Avec toutes les informations saisies dans sa
toutes les ordonnances une par une. Un travail
base de données, le logiciel peut maintenant produire
de moine qui a exigé de l’équipe des journées
suite page suivante
Un nouveau logiciel au département de pharmacie
Pour assurer la sécurité des patients
le profil pharmacologique du résident. Il
détecte les duplications et les interactions
possibles avec tel ou tel produit et fait les
ajustements selon les données inscrites au
dossier. Bref, il fait une préanalyse que la
pharmacienne doit tout de même valider.
« Ces changements et ceux à venir
amènent nécessairement des modifications
dans les pratiques, il faut garder l’esprit
ouvert. L’objectif final est la sécurité des
patients et il faut tout mettre en place pour
s’assurer que le circuit du médicament est
sans faille », conclut Mme Robitaille.
suite de la page 1
Bonne retraite!
A
près 34 de carrière comme pharmacienne
dont plus d’une trentaine dans le réseau de
la santé, France Robitaille a pris sa retraite en avril.
Pourquoi avoir choisi de travailler dans le réseau?
Principalement pour le travail multidisciplinaire avec
les médecins et les infirmières et la possibilité de
soulager la douleur des gens, notamment en soins
palliatifs.
France Robitaille était chef du département de pharmacie du CSSS depuis
deux ans. À son arrivée, son premier défi fut de planifier la mise à niveau du système
informatique. Avec GESPHARX, le train est parti! Ce sera à son successeur de
le conduire en gare. Dans l’intervalle, c’est Mélissa Pelletier qui assure l’intérim
comme chef du département.
Toute une première pour les
partenaires jeunesse du réseau
local de Saint-Léonard!
Angela Mancini, chef d’administration de programme pour les
5-24 ans, Direction famille-enfance-jeunesse et santé publique
L
e 31 mai, le Collectif Jeunesse,
la Commission scolaire de la
Pointe-de-l’Île, la Commission scolaire
English-Montréal et le CSSS de SaintLéonard et Saint-Michel se mobilisent
pour discuter des besoins des enfants
âgés de 6 à 12 ans. Cette rencontre a
pour but de dégager des priorités pour
développer un plan d’action concerté et
de mettre en commun les actions posées
par chacun sur les trois thèmes suivants :
1. La violence, l’intimidation et
la cyber intimidation;
2. Les nouveaux arrivants avec
un lien sur les relations interculturelles;
2
3. La santé physique et l’hygiène
de vie.
Ce premier rendez-vous démontre
le désir de collaboration des partenaires
et l’intérêt de chacun à travailler
ensemble pour assurer des actions
complémentaires et intégrées. La santé
et la réussite scolaire des jeunes sont des
responsabilités à partager. Ensemble,
nous pouvons renforcer le lien entre
l’école, la famille et la communauté afin
d’assurer le plein potentiel des jeunes.
Cette rencontre n’est qu’un début, mais
une étape primordiale. Soyez assurés
que nous vous reviendrons avec les
suites!
Nouveau!
Un protocole
de coordination
interne sur le
suicide
Guylaine Lalime,
directrice des services
multidisciplinaires
U
n comité de travail sur l’intervention
et la référence en situation de
risque suicidaire est maintenant en place.
Ces travaux visent à mieux définir le rôle
de chacun lors d’une situation à risque
et porteront sur l’évaluation, le suivi et
l’accompagnement.
Le comité est constitué des
personnes suivantes : Sylvie Trépanier,
Serge Veilleux et Alexandrine Martineau,
DSGSSA, Marie-Ève Caron et Julie
Provencher, DFEJSP, Roxana Reyes et
Danielle Perron, DSPPA, et moi-même,
qui coordonne le comité.
C
entre
de JOUR
Mais qu’est-ce que
le programme IMP?
L
Louise Boucher,
thérapeute en réadaptation physique
’intervention multifactorielle personnalisée (IMP) s’adresse
aux personnes âgées qui présentent une histoire de chute
ayant eu lieu dans l’année. Le centre de jour des Quatre-Temps
offre ce service dans le cadre de la prévention des chutes du
service aux personnes en perte d’autonomie.
L’objectif du service de groupe est d’améliorer l’autonomie
des clients en freinant les problèmes pouvant devenir chroniques.
Les interventions doivent toucher aux facteurs de risque reliés
à la perte d’autonomie et aux chutes éventuelles comme la
nutrition, la réadaptation (marche et équilibre), la médication et
les installations domiciliaires. D’autres facteurs doivent aussi être
pris en considération, tels que la prévention de l’ostéoporose,
l’hypotension orthostatique et les troubles visuels. L’intervenante
dédiée s’assurera du repérage et de l’admissibilité, du dépistage
sélectif et de l’évaluation de la clientèle ciblée.
Pour être admissible au programme IMP, il faut :
• avoir fait une chute dans la dernière année;
• être inscrit au programme de soutien à domicile;
• être âgé de 65 ans et plus;
• avoir une capacité motrice suffisante (évaluation en
physiothérapie);
• être motivé à participer à un tel groupe.
Le programme IMP inclut des interventions de groupe en
physiothérapie d’une durée de 12 semaines à une fréquence
de deux demi-journées par semaine. Les clients de la direction
des services aux personnes en perte d’autonomie inscrits à ce
programme font partie des groupes donnés au centre de jour et
seront pris en charge par une thérapeute en réadaptation physique.
La durée totale d’intervention s’échelonne entre 12 et 18 mois.
Qu’est-ce que
le SARCA?
L
Catherine de Launière,
thérapeute en réadaptation physique
e service ambulatoire de réadaptation pour clientèle âgée
(SARCA) est offert aux clients nécessitant des soins
posthospitalisation. Il faut que ceux-ci aient obligatoirement
séjourné dans un centre hospitalier ou une unité de réadaptation
fonctionnelle intensive. Ce service assure la poursuite de
traitements de physiothérapie visant l’amélioration de leur qualité
de vie à domicile.
Le SARCA est donné aux clientèles ayant des atteintes
musculo-squelettiques (fracture, lésions tendineuses et articulaires, atteinte du rachis sans atteinte neurologique sévère,
maladie dégénérative et inflammatoire, blessures orthopédiques),
multisystémiques (diagnostics variables avec une ou plusieurs
comorbidités menant, par exemple, à un déconditionnement et
une perte d’autonomie) ou atteintes du système nerveux (AVC et
autres pathologies neurologiques). Ce service est situé dans le
local du centre de jour des Quatre-Temps et il permet à la clientèle
du CSSS de Saint-Léonard et Saint-Michel d’obtenir des soins en
réadaptation au cœur de leur quartier.
Vous avez envie de transmettre
votre savoir et de
guider un étudiant?
Vous avez le goût de jouer un
rôle clé auprès d’un stagiaire?
DEVENEZ
SUPERVISEURS DE STAGE!
L
e CSSS est en train de mettre en place une
banque de SUPERVISEURS DE STAGE.
Si vous avez le goût de vivre cette aventure,
communiquez avec nous!
Pour les soins infirmiers :
Carole Dagenais au poste 2112.
Pour les autres professions :
Guylaine Lalime au poste 2143
3
En mai
achetez une fleur
pour aider une famille
Des nouvelles du Conseil
multidisciplinaire
Le comité du fonds de dépannage
À mettre à votre agenda
C’est le retour du
Marché O’fleurs
Le 19 mai, passez par le CLSC de SaintMichel, entre 12 h et 13 h 30, à la salle 403, et
offrez-vous une fleur. Tous les profits seront
versés au fonds de dépannage qui aide les
familles du CSSS. Surveillez les affiches!
Au plaisir de vous voir nombreux!
Un merci du « Fonds »
du cœur
Nos activités de vente de desserts et de
chocolats en décembre ont rapporté 614,92 $.
Ce montant a permis d’aider 30 familles!
Merci aux généreux donateurs, à tous
les participants ainsi qu’aux bénévoles!
Le comité du fonds de dépannage :
Thérèse Eustache, Prisca Guzman, Olga
Lebron, Ginette Pronovost et Francine Malley.
L
’assemblée générale aura lieu le mercredi 18 mai, à 13 h 30, au CLSC de
Saint-Michel, salles 401-403. Le bilan de la dernière année ainsi que le plan
d’action 2011-2012 vous seront présentés. Nous profiterons de cette occasion
pour identifier un sujet sur lequel l’exécutif réfléchira au cours de l’année et pour
dévoiler les bons coups réalisés par vos collègues.
Merci de votre participation!
Nouveauté dans intranet
V
ous êtes invités à consulter la section du Conseil multidisciplinaire dans
l’intranet. Les documents du CM y sont dorénavant déposés!
Le comité du CECM
Nicole Lavoie, présidente
Thérapeute en réadaptation physique,
Centre d’hébergement de Saint-Michel,
poste 3802
Marie-Ève Caron, vice-présidente
Travailleuse sociale FEJSP, CLSC de
Saint-Michel, poste 5428
Marie-France Clément, agente aux
communications
Nutritionniste, Centre d’hébergement de
Saint-Michel et des Quatre-Saisons,
poste 3776
Brigitte Bruneau
Psychoéducatrice FEJSP, CLSC de
Saint-Michel, poste 5244
Guy Bourgie
Éducateur spécialisé FEJSP, CLSC de
Saint-Michel, poste 5211
Rosangela Garcia-Saquil
Intervenante sociale DSGSSA, CLSC
de Saint-Léonard, poste 1407
Guylaine Lalime
Directrice DSM, Centre d’hébergement
des Quatre-Temps, poste 2143
Marche pour la persévérance scolaire dans Saint-Léonard
Une grande marche a été organisée, le 15 février, dans le cadre de la
semaine de la persévérance scolaire, par le Carrefour Jeunesse Emploi, en
collaboration avec le Collectif Jeunesse (table de concertation jeunesse de
Saint-Léonard).
Plus de 1 300 élèves, accompagnés de représentants d’écoles primaires
et secondaires, francophones et anglophones, s’étaient réunis, malgré le
froid, pour démontrer l’importance de la persévérance scolaire. Le parcours
s’est terminé dans le parc Robert, à l’aréna Martin-Brodeur. Sur place, une
collation les attendait ainsi que diverses personnalités (élus, représentants des
deux commissions scolaires et du Collectif, etc.) qui leur ont adressé quelques
mots d’encouragement. Il s’agissait d’une première, mais il est clair que cet
événement reviendra à l’agenda sur une base annuelle, ce qui est très bien,
même si la semaine de la persévérance scolaire arrive en plein milieu du mois
de février… brrr!
4
Pierre Pineau,
organisateur communautaire
M
Déjeuner-causerie sur
la santé mentale
a santé mentale
J’en prends soin!
Françoise Fréchette, travailleuse sociale
en santé mentale adulte, CLSC de Saint-Michel
L
a Semaine nationale de la santé
mentale se déroule du 1er au
7 mai et a pour objectif de souligner
l’importance de prendre soin de sa
santé mentale.
Au Canada, une personne sur
cinq éprouvera un problème de santé
mentale au cours de sa vie. C’est
pourquoi l’Association canadienne
de la santé mentale souligne, depuis
60 ans, l’importance de rechercher
un équilibre entre tous les aspects de
sa vie, personnels, familiaux, sociaux
et professionnels, afin de préserver
un bon équilibre mental.
Être en bonne santé mentale,
c’est être en mesure de s’adapter
aux diverses situations de la vie,
qui est composée de joies, de
frustrations, de moments heureux
et difficiles, ainsi que de résoudre
des problèmes. Cependant, pour
faire les bons choix et prendre les
décisions qui conviennent, cela
L
’
nécessite une certaine confiance en
soi, une confiance qui se construit
par le reflet que nous renvoie notre
environnement.
Dans votre milieu de travail,
ressentez-vous que l’on vous fait
confiance? Il a été démontré que
la confiance que nous éprouvons
dans notre milieu de travail favorise
le partage de connaissances,
permet d’établir des relations
professionnelles positives et, en plus,
motive l’engagement et la fidélisation
du personnel.
Comme le dit le slogan de la
présente campagne, « Merci de me
faire confiance, ça me donne des
ailes »!
Cette année, pour souligner
cette semaine, l’équipe de santé
mentale adulte offrira, dans les
salles d’attente de nos deux CLSC,
des dépliants portant sur différents
aspects de la santé mentale.
Des échanges
enrichissants!
Manon Leclerc,
organisatrice communautaire
L
e 13 avril avait lieu, au CLSC de Saint-Michel,
le deuxième déjeuner-causerie de la table de
concertation en santé mentale. Une vingtaine de
personnes y participait et on y comptait autant des
intervenants des groupes communautaires que du
CSSS. Valérie Coulombe et Marie-Ève Nault, de
l’Association canadienne pour la santé mentale,
ont présenté les services, la programmation, les
formations ainsi que les documents qui sont offerts
par cet organisme. Cette présentation a suscité
plusieurs échanges et discussions concernant
les pratiques d’intervention qui s’adressent à
une clientèle présentant des problèmes de santé
mentale.
D’autres déjeuners-causeries auront lieu à
l’automne et à l’hiver 2012. Si vous avez des sujets
en santé mentale que vous aimeriez aborder,
n’hésitez pas à communiquer avec moi au poste
5332.
Manon Leclerc, Valérie Coulombe et Marie-Ève Nault.
accès aux services :
les fonctions d’accueil et des guichets d’accès
Le comité
Un comité de travail est en place avec pour objectif de définir
le mandat de l’accueil et des guichets d’accès. Au moment d’écrire
ces lignes, tous les membres du personnel assumant ces fonctions
ont été rencontrés afin de mieux connaître le fonctionnement de
leurs équipes ainsi que leurs recommandations.
Guylaine Lalime,
directrice des services
multidisciplinaires
L’objectif
Les membres souhaitent revoir la « trajectoire » de la clientèle
qui se présente en CLSC et celle qui est référée par les partenaires
ainsi que les liens et les complémentarités entre l’accueil et les
guichets d’accès. Les travaux visent également à dégager une
vision commune et harmonisée.
Les membres du comité de travail :
Nathalie Trastour et Aline Bourgon, DSIQ, Éliane Trempe et Mario Gagnon, DFEJSP, Sylvie Boutin et Hélène Bergeron, DSGSSA,
Liette Bernard et Catherine Leblanc, DSPPA, et moi-même, DSM et directrice intérimaire DGSSA.
5
En
mai
on célèbre
ai
m
5
JOURNÉE DE L’INFIRMIÈRE
et de L’INFIRMIER AUXILIAIRE
ai JOURNÉE DE L’INFIRMIÈRE ET
m
DE L’INFIRMIER
12
C’est à votre tour…
Aline Bourgon, directrice des soins infirmiers et de la qualité
E
n ce mois de mai, qui célèbre
les journées de l’infirmière et de
l’infirmière auxiliaire, la Direction des
soins infirmiers et de la qualité profite
de l’occasion pour souligner votre
engagement et la qualité des services que
vous offrez à la clientèle.
Un
L
nouveau CIIA!
e 6 avril se tenait une assemblée
générale spéciale afin de procéder à
l’élection des trois officières du comité des
infirmières et infirmiers auxiliaires. C’est
avec plaisir que nous vous annonçons
que Rachida Haddad, Nathalie Thibault et
Richère Trudeau forment dorénavant le
comité exécutif du CIIA.
Nous profitons de cette journée
de l’infirmière et de l’infirmier auxiliaire
pour vous témoigner notre engagement
dans ce nouveau mandat qui portera
toujours sur la qualité des soins offerts
dans notre CSSS. Nous croyons que
ce comité professionnel représente
une tribune privilégiée pour mettre en
valeur la contribution des infirmières et des
infirmiers auxiliaires au mieux-être de la
clientèle.
Nous vous communiquerons
régulièrement des informations relatives
aux travaux du comité et nous vous invitons
à nous contacter pour tout renseignement
ou suggestion en lien avec cette instance
professionnelle.
Nous vous souhaitons une très belle
journée du 5 mai!
6
Votre précieuse contribution au
mieux-être et à la qualité de vie de
la clientèle est digne de mention. Le
professionnalisme dont vous faites preuve
est indispensable et contribue grandement
à réponde aux besoins de la population
que nous desservons.
Bonne JOURNÉE
DE L’INFIRMIÈRE
et de L’INFIRMIER
AUXILIAIRE!
Partout nous veillons sur votre santé
Au nom de toute l’équipe de la
Direction des soins infirmiers et de la
qualité, je vous remercie pour tout le travail
accompli dans chacun de vos secteurs
d’activités respectifs. Je suis également
reconnaissante envers les membres du
CECII pour leur implication professionnelle
et souhaite aussi bonne route au nouveau
CIIA, récemment élu.
Le coin
du CECII
Julie Boissonneault,
agente de
communication
pour le CECII
L
Richère Trudeau, Nathalie Thibault et
Rachida Haddad.
Votre CIIA
Rachida Haddad, présidente
Centre d’hébergement de Saint-Michel,
poste 3270
Nathalie Thibault, vice-présidente
Centre d’hébergement des Quatre-Temps,
poste 2271
Richère Trudeau, secrétaire
Centre d’hébergement des Quatre-Temps,
poste 2261
e 12 mai représente une journée
bien spéciale, car ce sera la
journée de l’infirmière. Cette année le
CECII soulignera cet événement lors
de son assemblée générale annuelle
en recevant Mme Gyslaine Desrosiers,
présidente de l’Ordre des infirmières et
infirmiers du Québec. Je profite donc
de ce moment pour souhaiter, en mon
nom ainsi qu’en celui du CECII, une
excellente journée à chaque infirmière
et infirmier de notre CSSS. Je vous dis
un grand MERCI pour votre excellent
travail!
Ma passion hors CSSS,
c’est… la moto
U
ne entrevue avec Lynda Hamel, agente administrative à la
Direction des services financiers, techniques et informationnels
K.L. : À quand remonte votre passion pour la moto?
L.H. : Lorsque j’ai eu 45 ans, je voulais me faire un cadeau
qui sortait de l’ordinaire. Quatre jours avant mon anniversaire, en
passant sur l’autoroute 640, j’ai vu un concessionnaire qui vendait
des motos et j’en ai acheté une! Je leur avais demandé de la
préparer pour le jour de ma fête. Alors le jour « J », je suis retournée
la chercher et dès que je l’ai enfourchée, ça été naturel!
Lynda Hamel sur sa moto
K.L. : Aviez-vous déjà fait de la moto avant?
L.H. : Non. Je n’avais même pas suivi de cours.
K.L. : Aviez-vous un permis de
moto?
L.H. : Oui. Avant 1980, tout le monde
avait automatiquement sur son permis
de conduire les classes qui permettaient
de conduire une voiture et une moto.
Lorsque la loi a changé, on avait eu le
choix de garder les deux classes, ce que
j’avais fait.
K.L. : Quelle a été votre première
expérience de route?
L.H. : J’ai appelé un ami, membre
d’un groupe de motos qui faisait de la
route toutes les fins de semaine, et je
lui ai demandé si je pouvais me joindre
à eux. Il a accepté, mais il m’a demandé
de ne pas dire tout de suite que c’était
ma première fois pour ne pas trop attirer
l’attention sur moi. Alors, après 575 km,
autour d’une bière, je leur ai demandé de
porter un toast à la première journée de
Kathleen Lapointe,
agente d’information
moto de ma vie! Tout s’était tellement bien déroulé que personne ne
me croyait! Cet été-là, j’ai fait 17 000 km avec eux.
K.L. : Comment a réagi votre entourage quand il a su que
vous conduisiez une moto?
L.H. : Mes fils sont restés bouche bée. Je leur avais donné
rendez-vous au restaurant en leur demandant de m’attendre à
l’extérieur. Quand je suis arrivée, avec mon casque et mon foulard
dans le visage, ils ne m’ont pas reconnue. Mon plus vieux, qui
pensait que j’étais une inconnue, m’a regardée me stationner et
m’a fait un signe de la main signifiant que j’étais cool. Lorsque j’ai
enlevé mon casque et mon foulard, ils n’en revenaient pas que leur
mère conduise une moto! Mon plus jeune m’a fixée d’un air stupéfait
durant tout le souper.
K.L. : Qu’est-ce qui vous fait vibrer lorsque vous
conduisez?
L.H. : C’est la sensation de liberté. On se sent enveloppé par la
nature. On sent le vent, le froid, le chaud, les odeurs… Au printemps,
lorsque les fleurs poussent, c’est extraordinaire!
K.L. : Y a-t-il un voyage qui vous a marqué plus que les
autres?
L.H. : L’été dernier, je suis partie 10 jours en Caroline-du-Nord
parcourir le Blue Ridge Mountain. La route est toujours en montagne
et les paysages sont tous plus beaux les uns que les autres. C’est
un voyage de 5 000 km en tout et nous
roulions environ 500 km par jour. C’est
dans ce coin que se trouve la Dragon tail
qui compte 318 courbes sur 17,6 km. À
chaque courbe, les pédales de ta moto
touchent à terre, c’est l’adrénaline à son
maximum!
K.L. : Trouvez-vous ça dangereux
parfois?
L.H. : Lorsqu’on fait de la moto, il
faut être conscient qu’on a juste deux
roues et toujours être très vigilant. Il
arrive que mes fils soient inquiets, mais
je leur dis que, si un accident m’arrivait
et que le pire survenait, ils pourraient se
consoler en se disant que leur mère est
partie heureuse!
K.L. : Merci pour cette entrevue
et bonne route!
7
Rencontre de ressourcement sur la
maturité affective, un rendez-vous réussi!
L
Marie Danielle Girouard, organisatrice
communautaire et représentante pour le
comité maturité scolaire de Saint-Michel
e 6 avril, 75 intervenants et directeurs, représentant différents
organismes de la petite enfance de Saint-Michel (services de
garde, milieu communautaire, réseau scolaire, Centre jeunesse et
CSSS), participaient à la rencontre de ressourcement sur le thème
de la maturité affective. Cette activité avait été proposée par le
comité de la maturité scolaire de Saint-Michel et a été soutenue
financièrement par le CSSS et Avenir d’enfants.
Cette thématique faisait suite au sommet de la maturité scolaire
de 2008 où l’une des trois priorités d’action était de mieux outiller les
intervenants dans le domaine de la maturité affective afin de joindre
les parents plus vulnérables.
Des conférences
La première partie de la matinée comprenait trois conférences
qui visaient à sensibiliser les intervenants sur les aspects suivants :
1. Situer la maturité affective dans le continuum du
développement global de l’enfant;
2. Différencier les concepts de maturité affective et de
compétence sociale;
3. Identifier les facteurs de risque et de protection qui
influencent la maturité affective.
Mme France Capuano, du département d’éducation spécialisée
de l’UQÀM, nous a présenté les défis des enfants et le rôle des
parents au cours des différentes étapes du développement.
L’auditoire a réagi lorsque Mme Capuano a mentionné qu’un enfant
issu de milieux économiquement favorisés aura entendu plus de
50 millions de mots avant son entrée à l’école, alors qu’un enfant
venant d’un milieu défavorisé aura entendu à peine 10 millions de
mots. Les activités qui favorisent le développement du langage
venaient de prendre toute leur importance ainsi que leur sens pour
les enfants de Saint-Michel.
Mme Christa Japel, chercheuse et professeure au département
d’éducation spécialisée de l’UQÀM, nous a situés, à partir des
résultats d’une étude longitudinale sur le développement de l’enfant,
sur les facteurs de risques et de protection. Un des facteurs de
protection pour les milieux plus vulnérables consiste en des services
de garde de qualité.
Zoom sur la maturité affective, présentée par Mme Danielle
Guay, de la Direction de la santé publique, nous a fait découvrir
les défis que les enfants de la maternelle du quartier de SaintMichel doivent relever. Entre autres, nous apprenions que 21 %
de ces enfants montrent des signes d’anxiété plus marqués
que les enfants montréalais (14 %). Aussi, que 72 % de ceux-ci
présentent davantage de vulnérabilité dans le domaine de la
compétence sociale touchant les habitudes de travail, l’autonomie
et l’organisation, comparativement à 59 % à Montréal.
8
Des ateliers
Lors de la deuxième partie de la rencontre, les participants
étaient invités à se diriger vers des ateliers de discussion pour
d’abord échanger sur la place du parent dans leur intervention. Par
la suite, ils avaient à identifier des besoins plus spécifiques pour
bonifier leur pratique. Voici quelques-unes des pistes de travail qui
ont ressorti des discussions :
• offrir une suite sur la maturité affective en approfondissant
des moyens concrets d’intervention et en bonifiant avec
l’aspect du parcours migratoire;
• développer la formation « Ces années incroyables » aux
intervenants du milieu communautaire afin de mieux les
outiller et d’augmenter la qualité de leurs interventions
auprès d’une clientèle plus difficile;
• donner une formation pour comprendre le point de vue
des parents de différentes origines face à leur rôle et à leur
implication dans le développement de leurs enfants;
• explorer des stratégies concrètes et innover pour joindre les
parents « hors réseaux »;
• Faire davantage de « outreach » de la part des intervenants
du CSSS vers les ressources communautaires;
• Se donner du temps pour travailler les liens entre le CSSS,
les services de garde et les parents;
• Favoriser une meilleure compréhension des attentes du
milieu scolaire face aux enfants de maternelle.
Le comité de maturité scolaire aura, dans les semaines à
venir, à analyser l’ensemble des recommandations et à faire des
propositions de travail pour la prochaine année du plan d’action de
la table Concert’action enfance famille.
Les membres du comité se sont dits très heureux du succès de
ce rendez-vous.
Le comité avec les conférencières
Première rangée : Marie Danielle Girouard, organisatrice communautaire
au CSSS, Claire-Marie Dionne, psychoéducatrice au CSSS, Kim Dupré,
directrice de Femmes-Relais, Danielle Guay, conférencière, et MarieJosée Fréchette, de VSMS (club sports et loisirs). Deuxième rangée :
Stéphane Lévesque, travailleur social au Centre jeunesse de Montréal,
Sébastien Breton, chargé de priorité de VSMS (enfance famille),
France Capuano, conférencière, Christa Japel, conférencière, Isabelle
Tremblay, directrice adjointe de la Joujouthèque St-Michel, et Claude
Doyon, conseiller cadre en santé publique au CSSS.
U
ressource
Unene
ressource
à utiliser
à utiliser!
Guylaine Lalime,
directrice des services
multidisciplinaires
J
e vous rappelle que l’Alliance des communautés culturelles pour l’égalité dans la santé
et les services sociaux (ACCÉSSS) a traduit en
15 langues : le grec, l’arabe, l’espagnol, l’italien, le
vietnamien, le hindi, le chinois, le roumain, le russe,
le farsi (dari), l’urdu, le punjabi, le tamoul, le créole
haïtien et le portugais un certain nombre de documents d’intérêt général destinés à notre clientèle.
À cet effet, vous trouverez, dans la section des
dossiers du site www.accesss.net, des documents
portant sur :
• La présence au Québec pour avoir droit à
l’assurance-maladie ;
• L’assurance médicaments;
• Les services disponibles pour les
personnes en perte d’autonomie et les aînés;
• La prévention de l’obésité chez les enfants;
• La prévention des cancers gynécologiques et du
sein;
• Le système de santé au Québec.
Ces documents sont également disponibles en
français et en anglais.
Une première campagne de la
Fondation auprès du personnel
L
a Fondation du CSSS de Saint Léonard et Saint-Michel franchira bientôt un
autre pas pour atteindre ses objectifs. En effet, elle planifie actuellement
une première campagne de levée de fonds auprès du personnel du CSSS et il
sera possible de contribuer par retenue sur la paie ou par don.
Cette campagne vise principalement l’acquisition d’un deuxième blanchon,
Paro, un robot qui permet d’intégrer une nouvelle forme d’activité thérapeutique
en zoothérapie. Le succès des interventions réalisées avec Paro auprès des
résidents fait en sorte de vouloir intensifier ce type d’activité.
Jusqu’à maintenant, la Fondation a financé des activités pour les résidents
de nos trois centres d’hébergement. Le conseil d’administration a cependant
démontré son intérêt à connaître les autres secteurs d’intervention du CSSS.
À leur prochaine assemblée, Éliane Trempe, coordonnatrice à la Direction
famille-enfance-jeunesse, ira présenter aux membres les services offerts aux
jeunes. D’autres avenues pourront peut-être s’ajouter aux activités que finance
actuellement la Fondation.
D’autres informations sur cette campagne de levée de fonds vous
parviendront bientôt. Surveillez les affiches et le feuillet joint à votre prochaine
paie! En attendant, si vous souhaitez obtenir plus d’information, vous pouvez
vous adresser à Lise Robidoux, coordonnatrice de la Fondation, poste 3009.
Le CSSS
reçoit ses bénévoles
L
e dictionnaire définit un bénévole ainsi : Personne qui
accomplit un travail sans recevoir de salaire de façon
volontaire. Vous en connaissez sûrement dans votre entourage!
Dans les centres d’hébergement, les bénévoles représentent une
ressource importante. Ils participent à diverses activités, tels le
Bingo, le OKO, les visites amicales, etc.
La semaine de l’action bénévole s’est conclue sur une note
joyeuse le 19 avril, car quelque 60 bénévoles avaient été conviés
à une fête de reconnaissance qui nous a permis de souligner
l’engagement, le soutien et la grande présence dont ils font preuve,
au quotidien, auprès de notre clientèle.
Le maître de cérémonie, Marie-Claude Desjardins, conseillère
en milieu de vie et chef des services multidisciplinaires, présidait
le repas au cours duquel il y a eu remise de certificats et tirage de
nombreux prix de présence. Mentionnons la contribution de Nadine
Léger, récréologue, d’Édith Tremblay, technicienne en loisirs, de
Céline Lacroix, éducatrice spécialisée, sans oublier nos aumôniers
Monique Corriveau,
secrétaire de direction
Robert Boivin et Jean-Clotaire Boco. Un tel repas n’aurait pu
se dérouler sans une touche musicale qui s’est poursuivie en
après-midi pour les danseurs désirant faire quelques pas...
Avec toute notre gratitude,
un grand MERCI à vous tous, nos bénévoles!
Au centre, l’aumônier Robert Boivin entouré de quatre de nos
bénévoles.
9
Saviez-vous
que...
Monique Corriveau,
secrétaire de direction
D
ans chacun de nos trois centres d’hébergement, il existe un comité des résidents qui a
pour fonctions de :
• renseigner les résidents sur leurs droits et obligations;
• promouvoir l’amélioration de la qualité des conditions de vie des résidents et évaluer le
degré de satisfaction des résidents à l’égard des services obtenus de l’établissement;
• défendre les droits et les intérêts collectifs des résidents ou, à la demande d’un résident, ses droits et ses intérêts en tant que
résident de l’établissement;
• faire un rapport annuel d’activités au comité des usagers.
Le comité se veut le porte-parole et le gardien des droits des résidents en tant qu’utilisateur des services offerts en hébergement.
Ce comité est formé de résidents, de membres de familles, de bénévoles élus pour un mandat de trois ans.
Contrer la pénurie et
améliorer l’accès aux services
Le partage des activités professionnelles entre
les techniciens et les bacheliers, une démarche
mobilisante
10
Pour le personnel de la catégorie 4 :
Les techniciens et les professionnels
de la santé et des services sociaux
Guylaine Lalime,
directrice des services
multidisciplinaires
Le réseau de la santé et des services
sociaux est confronté à de grands défis
dont celui de la fidélisation et du renouvellement de sa main-d’œuvre. Le contexte
actuel de pénurie de main-d’œuvre dans
certains domaines nous oblige à réfléchir
à de nouvelles avenues et à de nouvelles
façons de faire pour faire face à nos
obligations.
Par ailleurs, la Loi 90 et le projet de
loi 21 nous invitent à une étape majeure
vers une reconfiguration des rôles, des
tâches, des fonctions et des responsabilités
des professionnels.
L’incapacité de combler des postes
vacants dans certains secteurs en pénurie,
les différentes listes d’attente, les visions
et les obligations découlant de la Loi 90 et
du projet de loi 21, les récents travaux sur
l’interdisciplinarité convergent vers cette
nécessaire nécessité de revoir la pratique
professionnelle au sein de l’organisation. Il
nous revient non seulement de prendre les
bonnes décisions pour assurer la qualité et
l’accessibilité des services, mais aussi de
s’assurer que ces services soient rendus
par « les bonnes personnes ».
De tels changements organisationnels
peuvent être porteurs de belles occasions
d’apprentissage et de mobilisation pour le
personnel. Du coup, cela représente de
nouvelles avenues permettant de contrer
la pénurie importante de la main-d’œuvre.
Ces
quelques
paragraphes
ne sont qu’un aperçu du document
de travail et de réflexion que vous
trouverez dans l’intranet à l’adresse :
ht t p: //slsm.int r anet.mt l.r t s s.qc .c a,
dans l’onglet Documentation, section
Consultation. Nous invitons les techniciens et les professionnels de la santé et
des services sociaux du CSSS à prendre
connaissance du texte en vue d’alimenter
une réflexion commune et de collaborer
ensemble à la recherche de pistes
mobilisatrices.
Invitation
Semaine québécoise des
personnes handicapées
Du 1er au 7 juin
Dîner-causerie
Dans le cadre de cette semaine, un dînercauserie est organisé par l’équipe déficience intellectuelle-troubles envahissants
du développement-déficience physique.
Venez visionner un film de 30 minutes qui
présente le quotidien de cinq familles vivant
avec une personne handicapée. Une discussion suivra.
Date : Mercredi 1er juin
Heure :12 h à 13 h
Lieu : CLSC de Saint-Michel,
salle 402
Apportez votre lunch, le dessert et le
café vous sont offerts!
Kiosque
Également, un kiosque sera tenu, le
1er juin, au rez-de-chaussée du CLSC
de Saint-Michel en matinée et en aprèsmidi. Du matériel promotionnel de même
que quelques copies du film seront
gracieusement offerts.
Nous vous attendons en grand nombre!
Existe-t-il des aliments ou des astuces pour maigrir?
Connie Ann Ramos, nutritionniste,
(Avec la participation de Phuong Thao Bui, stagiaire en nutrition)
L
e thé vert fait-il maigrir? Le pamplemousse et l’ananas font-ils fondre la graisse? Notre estomac rapetisse-t-il lorsqu’on mange
moins? Est-ce que manger le matin fait maigrir et, par conséquent, manger le soir fait grossir? Avec tout ce qu’on entend sur la
nutrition de nos jours, comment distinguer les mythes de la réalité? Remettons les compteurs à zéro avec le texte qui suit!
Le thé vert fait-il maigrir?
Le thé vert a des pouvoirs anticancéreux remarquables que l’on attribue aux
catéchines, une substance contenue dans
celui-ci. Les catéchines accompagnés
de la caféine, qu’on retrouve aussi dans
le thé, pourrait également augmenter le
métabolisme énergétique. Le métabolisme
énergétique peut être comparé à un four
situé à l’intérieur de notre corps. Ce
four a pour responsabilité de brûler les
calories ingérées pour nous fournir de
l’énergie. Plus ce four est efficace, plus
il brûle des calories et donc plus on peut
se permettre de manger sans prendre
de poids et inversement. Si l’on suit
cette logique, comme les catéchines
combinées à la caféine augmentent la
performance de notre four interne, le thé
pourrait nous aider à perdre du poids.
Or, cet effet n’est présent que lors d’une
grande consommation de thé vert (de
six à sept tasses par jour). De plus, cette
augmentation du métabolisme n’est que
de très courte durée. À ce jour, les impacts
de la consommation de cette boisson sur
le poids corporel n’ont pas encore été
démontrés scientifiquement. Toutefois,
le thé demeure un bon choix de boisson
sans sucre et antioxydant. Conclusion : le
thé vert, chaud ou froid, est un délicieux
breuvage à consommer à tout moment de
la journée!
Le pamplemousse et l’ananas
font-ils fondre la graisse?
Nombreux sont les gens qui pensent
que les pamplemousses et les ananas
ont le pouvoir de faire fondre la masse
graisseuse. Si c’était vrai, il suffirait de
manger ces fruits quotidiennement pour
perdre du poids. Or, aucun aliment ou
boisson n’a le pouvoir de faire perdre du
poids. En effet, c’est plutôt l’ensemble
de nos habitudes de vie, comme nos
habitudes alimentaires, notre pratique
d’activité physique ainsi que notre bagage
génétique, qui détermine notre poids.
Est-ce que manger le matin fait
maigrir et, par conséquent, manger
le soir fait grossir?
« Ah! J’ai faim, mais je ne peux pas
manger, je vais dormir dans une heure :
ça va me faire engraisser! » Cette phrase
vous est sans doute familière. En effet,
de nombreuses personnes pensent que
manger le soir va leur faire prendre du poids,
car le corps dépense moins d’énergie pour
dormir et inversement. Cependant, les
aliments ont la même teneur énergétique
qu’ils soient consommés le matin ou le
soir. Une pomme va contenir 70 calories
qu’elle soit mangée à 9 h ou à 22 h. C’est
le nombre total de calories ingérées qui
fait une différence sur la balance. Le lien
qui peut être fait entre la nourriture et la
période de la journée est la tendance
des gens à grignoter le soir sans avoir
réellement faim. Lorsqu’on mange sans
avoir faim, par exemple, manger par
ennui, par fatigue, par récompense, par
habitude, etc., on consomme un surplus
d’énergie et c’est cela qui va contribuer
au gain de poids. Donc, la période de la
journée choisie pour manger n’influence
pas le poids corporel tant qu’on respecte
nos signaux de faim et de satiété.
Notre estomac rapetisse-t-il
lorsqu’on mange moins?
Saviez-vous que l’estomac peut être
comparé à un sac élastique qui peut
contenir jusqu’à quatre litres de solides et
de liquides? Son volume peut s’ajuster à la
quantité de nourriture ingérée. Alors, si on
avait pris un petit repas, celui-ci remplirait
moins notre estomac que si on en avait
pris un gros. Donc, l’estomac ne rapetisse
pas de façon permanente lorsqu’on
mange moins. Cependant, cet organe
peut s’adapter à la sensation de plénitude
apportée par le volume consommé selon
nos habitudes alimentaires. Le degré
de plénitude qui va satisfaire chaque
personne varie selon les habitudes de
celle-ci. Par exemple, si on a l’habitude
d’avoir un ventre bien rempli après chaque
repas, on va avoir tendance à rechercher
cette sensation. C’est pour cela que
certaines personnes s’habituent à manger
jusqu’à ce que leur ventre soit bien tendu.
Pour conclure…
En somme, il n’y pas d’aliments ou
d’astuces miracles pour maigrir. Pour
un impact positif sur notre santé, rien de
mieux que d’avoir de bonnes habitudes
de vie. Cela inclut des bonnes habitudes
alimentaires, la pratique régulière de
l’activité physique et une saine gestion
du stress. Non seulement ces bonnes
habitudes de vie vont influencer
positivement votre santé, mais elles
pourraient éventuellement vous aider à
avoir un poids santé. Et surtout, n’oubliez
pas que des changements durables
doivent provenir de changements
endurables. Bref, savourez la vie, bougez
et restez zen!
11
A
N
ISSANC
N
O
C
E
R
E2
E
D
011
E
T
FÊ
En
reconnaissance
10
de vos
En
reconnaissance
5
de vos
ans de service
ans de service
À VOS AGENDAS…
En
reconnaissance
15
de vos
ans de service
La Fête de reconnaissance aura lieu le
29 septembre.
Surveillez les annonces pour plus de détails.
En
En
reconnaissance
30
reconnaissance
de vos
ans de service
20
de vos
En
reconnaissance
25
de vos
ans de service
ans de service
Prix
reconnaissance 2010-2011
Vous ou vos collègues avez élaboré un projet innovateur, réalisé un projet qui a
amélioré la qualité des services à la clientèle ou la qualité de vie au travail?
Vous avez jusqu’au mercredi 15 juin à 17 h pour vous inscrire!
Pour plus d’information ou pour trouver le formulaire d’inscription, consultez intranet.