Modes et tenues - Variation d`Expositions

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Modes et tenues - Variation d`Expositions
MODES ET TENUES D’UNE EPOQUE FLORISSANTE
photographies de Janine NIEPCE,
agence Roger-Viollet
MODES ET TENUES D’UNE EPOQUE FLORISSANTE
photographies de Janine NIEPCE,
agence Roger-Viollet
En 1945, de la naissance à la mort, on s’habillait selon sa classe sociale et sa profession. On était
classé dans une catégorie : cols blancs ou bleus de travail. Il y avait les habits des dimanches et
fêtes suivant les saisons. Pour marquer les grands évènements de la vie on portait du blanc et du
noir. Les uniformes signalaient l’appartenance aux services de l’Etat ou aux grands corps d’Etat.
Les modes étaient spécialement suivies par les jeunes et ceux qui voulaient être dans le vent :
modes Brigitte Bardot, Mao, hippy, unisex.
Dans la rue, les individus vêtus de jeans et de tee-shirts, les cheveux coupés court, rendaient
difficile l’identification du sexe, de la catégorie sociale et de la profession. Au début on était surpris,
puis on s’est habitué. Déjà le conformisme s’était en partie envolé en 1975, annonçant un
changement de la société.
53 tirages montés sous marie-louise 40x50
Conditionnement de l’exposition :
Deux valises - 15 kg - 45x55x71
Valeurs d’assurance des œuvres :
1.500 € par tirage, soit une valeur totale de 79.500 €
L’ordre des photographies indiqué ci-dessous devra impérativement être respecté lors
de l’accrochage.
Le petit de l’homme, comme celui de l’animal, nait tout nu.
Une infirmière va faire sa toilette et le vêtir,
Hôpital de Saint-Denis, 1956.
Selon la coutume, les premiers vêtements des bébés
sont de couleurs claires, blancs de préférence,
Zoo de Vincennes, 1965.
A l’adolescence les garçons revêtent des complets sombres ornés
d’un brassard blanc ; on photographie les
premiers communiants, Paris, 1954.
L’écolière s’est déguisée en première communiante
ou en mariée, son amie en sioux ; sa soeur ainée n’est pas
déguisée, elle prépare une vraie vaisselle, Paris, 1971.
Que de rêves devant une robe de mariée !
Rue des Saint-Pères, Paris 1960.
En Charente, un cortège de mariage de soixante-dix
personnes ; les invités sont vêtus de leurs rituels habits
de cérémonie, Foussignac, 1965.
Le cuisinier fait le tour de la salle de restaurant coiffé
de sa toque blanche, quartier de l’Opéra à Paris, années 50.
Rue Mouffetard, en tablier blanc, le boucher se frotte les mains
devant son étalage, Paris, années 50.
Des effets pour toutes les bourses sont étalés sur les
présentoirs du « Carreau du Temple », Paris, 1956.
Avec leurs bottes de sept lieues et leurs lampes pour
travailler sous terre, les égoutiers intriguent les enfants,
Ile Saint-Louis, années 50.
Le facteur en uniforme sombre fait une pause
à l’épicerie-tabac, années 50
Le pompier est aimé pour son courage et admiré pour
son beau casque brillant et son blouson de cuir noir,
Jarnac, Charente, 1958
Habillés de kaki, bardés de cartouches, accompagnés de leurs
chiens, voilà les chasseurs du Thoronet, Var, 1952.
Au costume on reconnait la classe sociale et le métier de celui
ou de celle qui le porte, Palais de justice, Paris, années 50.
Le 11 Novembre 1954, les gardiens de la paix en pèlerine
font le service d’ordre à l’Etoile.
Une A.F.A.T, auxiliaire féminine de l’armée de terre,
en grand uniforme, quête pour les oeuvres de l’armée,
Champs-Elysées, Paris, 1956.
Massée à l’Etoile, la foule regarde le défilé militaire ;
cette année-là un renard argenté jeté sur les épaules est
à la mode pour protéger de la bise, Paris, 1954.
Les anciens combattants des différentes guerres se réunissent
le 11 Novembre, jour de la victoire, Compiègne, 1973.
Pendant un an au moins, on porte le deuil d’un parent, en
costume noir ou le bras entouré d’un brassard. Les faire-part
de décès sont bordés d’un liseré noir, Angoulême, 1952.
Les ailes blanches des cornettes des soeurs de
Saint-Vincent-de-Paul, tel un vol de mouettes, rassurent ;
elles soignent les malades, Paris, 1954.
Au temps de Noël, l’Armée du Salut, en uniforme, chante
et quête dans les rues ; Monsieur le curé en soutane ne leur
accorde pas un regard, le « Bon Marché », Paris, 1957.
Madame B., couturière en chambre, reçoit ses clientes qui
apportent les modèles à copier dans « Elle » ou
« Modes et travaux », Nîmes, Gard, 1955.
La robe du premier bal reste un souvenir privilégié dans le
coeur d’une jeune-fille : Taffetas, talons aiguilles, cheveux
gonflants, telle était la mode en 1959, Paris, les beaux quartiers.
De la passerelle des Arts, une élégante dans sa nouvelle robe,
admire la pointe de la cité, Paris, 1960.
Une bien curieuse inscription découverte par le joli mannequin
de Jacques Heim qui pose pour une photo de mode,
Quai Bourbon, Paris 1946.
On vient chez Dominique, le magasin des jeunes-gens distingués,
en voiture de sport, Chaussée de la Muette, Paris, 1956.
Deux hommes de belle allure passent devant le célèbre
restaurant « Maxim’s », Paris, rue Royale, 1956.
Dans une des plus petites rues de Paris, rue Berton, un balayeur
de la ville, armé d’un balai en branches, ramasse les feuilles
mortes dans une brouette, La Muette, Paris, 1956.
Sur l’esplanade du Palais de Chaillot deux ouvriers en bleus de
travail, outil sur l’épaule, croisent une « queue de cheval »,
Paris, 1959.
Première « Maison des Jeunes » à Vincennes ; photos des idoles
dont Brigitte Bardot qui vient de lancer la mode des robes
en vichy à carreaux roses et blancs, 1960.
Bal champêtre et jupes corolles à la Cité Universitaire
de Paris, 1961.
Dans les grands magasins, les étalagistes présentent
« la petite robe noire » qui sera portée des années durant,
Paris, 1960.
Les africaines immigrées apportent la beauté et les couleurs
subtiles de leurs costumes et de leurs turbans,
Magasins du Louvre, Paris, 1966.
Trois travailleurs africains vêtus à l’européenne sur un
chantier rue Boissy d’Anglas, Paris, 1972.
Chapeautées, en « tailleur-trotteur », les amies quittent
le magasin du Louvre, véritable caverne d’Ali Baba,
où elles viennent de faire leurs courses, Paris, 1954.
Les musiciens de la fanfare de Lens défilent pendant la grève
des mineurs en 1962.
Pour la plus grande joie des parisiens, les robes sont courtes,
Avenue des champs-Elysées, Paris, 1966.
Enviées, les élèves de l’écoles des hôtesses d’Air-France,
dans leurs uniformes seyants, 1965.
A la galerie Charpentier, Faubourg Saint-Honoré,
deux élégantes en robe de soie imprimée, coiffées de toques
et de voilettes à pois, Paris, 1962.
Lors d’une séance à l’Institut de France, les « immortels »
en habits verts, Paris, 1965.
Deux curistes à Vichy. Panama blanc ou feutre,
petit noeud rayé et canne sont de rigueur, 1961.
n Mai 1968, la casquette Mao est de mise dans la cour de
la Sorbonne à Paris.
Les courses à Parly II, les filles choisissent aussi la
casquette Mao, 1969.
Chez Dorothée bis, des robes très courtes et des bandeaux
de tissu qui enserrent la tête, Paris, 1969.
« La Foire aux femmes », organisée par le M.L.F à
Vincennes ; les cheveux sont très frisés ou longs et plats
comme les robes, 1973.
Une femme qui conduit une moto avec un homme assis
à l’arrière, c’est peu courant, Sarcelles, 1972.
Les femmes défilent pour leurs droits et brandissent
des balais, Paris 1975.
Déjà en 1967, on voit des filles et des garçons vêtus des
mêmes pulls, des mêmes jeans ; leurs cheveux sont
coupés de la même façon. Rassemblement de gauche à Paris.
La mode des seins nus imitée des naturistes,
plage de Pampelonne, Saint-Tropez, 1973.
La mode hippie à Saint-Germain des-prés :
free-jazz et pop-music, 1969.
Boutique unisex à Montmartre, en 1973.
C’est la fin des « Trente Glorieuses » ;
Miss Chômage des Hauts-de-Seine défile à la tête de
ceux qui cherchent un travail, 1975.
Jeune-fille ou adolescent ?
Les tenues et la mode ne renseignent plus ni sur le sexe
ni sur l’appartenance sociale de ceux qui les portent,
quartier du Marais, Paris, 1981.
CONDITIONS GENERALES DE LOCATION
PROTECTION DES OEUVRES
Les tirages sont, sauf exception, fournis montés sous marie-louise. Ils doivent être encadrés et protégés
sous verre par l’organisateur.
Un devis de location de cadres peut vous être proposé sur demande.
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L’attestation d’assurance « clou à clou » sera exigée avant enlèvement de l’exposition.
Valeur d’assurance par tirage : 1.500,00 €
Les tirages sont disponibles dix jours avant l’ouverture de l’exposition et doivent être rendus dans les dix
jours suivant la fermeture.
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Les montants indiqués s’entendent pour un mois de location, sur un seul et même site.
Un forfait peut être étudié pour toute exposition de longue durée.
Toute option de réservation non confirmée par écrit au minimum un mois avant l’ouverture de l’exposition
ne pourra être prise en compte.
Les montants sont indiqués hors taxe : TVA de 19,6 % en sus.
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Le règlement doit être effectué à réception de facture, avant l’emprunt de l’exposition.
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