karlex - Pyrprod

Dossier de presse
KARLEX
Nouvel album: « With all due respect »
www.myspace.com/karlex
Onè Respè, littéralement Honneur/Respect, formule courante dans certaines campagnes
haïtiennes où celui qui demande à être reçu dans une maison crie «honneur» et le maître ou la
maîtresse de maison répond «respect» signifiant ainsi la permission d’entrer.
Cette chanson d’où l’album tire aussi son titre «With All Due Respect» demande la reconnaissance
de ceux qui sont de l’autre côté du monde, le respect de ceux et celles qui se pressent aux
frontières du nord.
Les racines de la musique black s’étendent à travers les océans de l’Afrique à l’Amérique aux Iles
Caraïbes et l’Europe. Ce voyage d’un peuple et de sa culture, un voyage fait de combats et de
joie, se retrouve dans la musique de karlex.
Né à Haïti, karlex a fait ses classes musicales à New York où il mêle ses racines natales avec la
musique noire américaine. Afro beat, funk, soul, jazz sont les principaux ingrédients avec lesquels
Karlex élabore ce son si particulier qui porte sa marque ; avec une utilisation habile de guitares,
claviers, percussions, samples, sa pop soul caribéenne est porté par une basse groovy.
Avec un sens aigu de la mélodie, Karlex compose des chansons où se mèlent révolte et
mélancolie chantée tantôt en créole, tantôt en américain et en français. Ses chansons abordent les
thèmes de la renaissance et de la liberté (I Nèg marron), le questionnement face à la misère du
Sud (Do you know my name) et d’un monde plus fraternel.
Attaché de presse: Bertrand Mariaux
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Revue de presse
MARIANNE 13 juin 09
GEO magazine Août 09
VIBRATIONS juin 2009
MONDOMIX juillet 2009
CULTZINE Août 2009
B AWARE août 2009
La NOUVELLE VIE OUVRIÈRE Juillet 2009
Presse régionale
Midi libre Montpellier-août 2009 Manon L’HOSTIS
Auteur-compositeur haïtien, désormais basé à La Grande-Motte, il se produit cet été avec son
excellent nouvel album, "With All Due Respect"
En jean et Converse, la coupe afro et le sourire facile, Karlex est, dans la vie comme en chansons,
d’une simplicité redoutable. Né à Haïti, le jeune artiste est parti faire ses études à New York où il a
fait ses premiers pas dans la musique. Il reviendra au pays plus tard, travailler avec son père, pour
finir par s’établir à La Grande-Motte où il vit depuis cinq ans.
Après Ghetto Fabulous, premier opus teinté de gospel, le chanteur « tâtonne moins » et propose un
album aux couleurs plus funk et électro, métissées de soul et d’afrobeat. « J’ai essayé de faire ce
que je n’avais jamais osé », résume-t-il. Mais Karlex a déjà les yeux rivés sur d’autres palettes
musicales : celles du Brésil.
Ses textes parlent de liberté, d’espoir, de fraternité, de révolte, de misère aussi. Justement, cette vie
de voyage et de mélange de cultures lui permet de pouvoir relativiser, de « comprendre ce qu’est la
misère sans espoir ». Parce que la misère d’Haiti, où la seule issue est de partir, n’est pas la même
que celle des pays occidentaux. Le regard sûr, il cherche les mots justes pour raconter sa musique.
Une musique qui suspend le temps, sorte de mélancolie d’espoir, de juste mélange des genres,
d’hommage moderne aux racines de la musique noire… Un chant envoûtant aussi, qui refuse le
clivage.
Issu d’une famille chrétienne pratiquante, Karlex parle d’une foi qui s’accorde avec la révolte et le
questionnement, d’un Dieu qu’il aime mais qu’il prend à parti dans son titre Do You Know My
Name.
La vie de tous les jours est aussi un jardin dans lequel poussent ses chansons. Le travailleur à qui il
demande s’il aime les papayes et qui lui répond : « Je n’aime pas, j’en mange », mais aussi la
naïveté des textes d’Amadou et Mariam qui le séduit.
Créole, français, anglais, les langues se mêlent au fil des pistes « pour que la chanson ne soit pas
figée ». Le titre de cet album, classé "Coup de cœur" par la Fnac « With All Due Respect », en
français Avec tout le respect que je vous dois, en référence à une coutume haïtienne qui veut que le
visiteur demande : onè (honneur) à celui lui l’accueille et qui lui répond : respè (respect). Karlex
nous demande le droit de pénétrer dans nos cœurs et nos maisons, le temps d’un album. Respè. l
Karlex en concert ce soir dans le cadre des afters de Fiest’à Sète sur la plage de La Ola.
Egalement vendredi 7 août dans le cadre des Méditerranéennes de Leucate.
Midi Libre-Montpellier Édition du samedi 20 juin 2009- Jeremy BERNEDEMAIS AUSSI:
Karlex Né à Haïti, le chanteur Karlex, qui a fait son apprentissage musical à New York, vit
désormais à Montpellier. Il vient de publier With All Due Respect. Un album qui, comme un puzzle
achevé, impressionne par sa beauté black et sa cohérence issues d'éléments épars. Prises une par
une, ses pièces révèlent ainsi des accents afrobeat, jazz, funk, soul et world.
Et il y a la colle : le chant soulful et polyglotte (créole, anglais, français) de Karlex et son discours
humaniste positif. Magnifique.
Sites internet
www.le-hiboo.com
La basse retentit. Le son roots de Karlex se fait entendre : la cérémonie musicale de ce soir a
démarré. A la croisée des genres, Karlex étonne et surtout détonne sur scène par sa générosité et son
investissement. N’hésitant pas à mélanger l’électro, le rock, le reggae ou les sons créoles, Karlex et
ses musiciens offrent une demi-heure de voyage(s). La grande messe a bel et bien commencé à coup
de lignes de basses tonitruantes… Le son dub est dans la Maroquinerie !