Fiches pratiques

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Table des matières
A – L’entrée en musique et les pratiques amateurs
Jouer sur scène
7.1 Se préparer 2
7.1.1 Les répétitions en vue du concert
7.1.2 Les balances 2
7.1.3 le set 3
2
7.2 Où trouver des dates de concert 3
7.2.1 La fête de la musique : comment y jouer ? 3
7.2.2 Les tremplins 4
7.2.3 Les scènes ouvertes 4
7.2.4 Les bars et les cafés-concerts4
7.2.5 Le cachet 5
7.2.6 Le programmateur/la programmatrice
5
7.3 Le matériel 6
7.4 Après le concert 6
7.5 Amateur, Semi-professionnel ou pro ? 7
7.5.1 Que dit la loi pour les artistes ?
7.5.2 l’intermittence 7
7
LÉGENDE :
Fiches nécessitant quelques
connaissances de base
Fiches nécessitant des
connaissances plus pointues
LA BOÎTE À OUTILS DU FURET MAJ 03/14 1
La boÎte à outils du furet
A – L’entrée en musique et les pratiques amateurs
Jouer sur scène
Une des finalités d’un groupe reste de se produire devant un public. Que doit-on savoir pour jouer sur scène et
réussir sa prestation ? Comme le dit le dossier REZONNE « Mon premier concert » : « Affronter ses 1ères scènes
est loin d’être évident ». Heureusement, la scène est l’endroit pour rencontrer son public, connaître ses
premiers émois en se frottant à la foule, et développer son expérience scénique. L’objectif est de s’améliorer
et de se faire plaisir sans pour autant focaliser sur la réussite comme « star ». Si ça arrive, tant mieux, mais
c’est une autre histoire.
Pour aller plus loin :
Artistes : Comment se produire sur scène ? : http://www.widoobiz.com/chroniques/autreschroniques/la-chronique-de-l-irma/artistes-comment-se-produire-sur-scene/9644
7.1 Se préparer
Il convient de préparer son « show » comme un voyage en bateau. Rien ne doit être oublié et
il faut parer à toutes éventualités. C’est pas parce que l’on est amateur et que l’on se fait plaisir
que l’on doit faire n’importe quoi. Donc soyez ponctuels, précis, courtois mais n’acceptez pas
n’importe quelles conditions pour jouer. En général, on se renseigne sur le matériel disponible,
nécessaire et sur les conditions de jeu (y a-t-il un contrat ? ).
7.1.1 Les répétitions en vue du concert
Les groupes répètent beaucoup avant un concert et affinent leur « set », la suite des morceaux,
en cherchant à créer des séquences alternant morceaux vifs et plus calmes pour emmener
le public. Et les répétitions servent à tester ces enchaînements dans un timing précis. Ce qui
permettra de se rassurer et de limiter le trac le moment venu.
7.1.2 Les balances
C’est le moment du réglage des instruments effectués par le technicien son. Ce n’est absolument
pas le moment de tester de nouveaux morceaux ! Il convient d’arriver avec ses instruments
accordés. « Soyez à l’écoute de l’ingénieur du son qui va désormais régler le son de chaque
micro en façade et en retour […]. Cet exercice est important et exige une certaine discipline. Il est
très désagréable d’entendre des notes de basse ou de guitare au moment où l’ingé son demande
au batteur de taper sur sa grosse caisse ! ».
LA BOÎTE À OUTILS DU FURET MAJ 03/14 2
7.1.3 le set
« Le choix des titres n’est pas à prendre à la frivole. Sur 30’, choisissez vos «tubes» en
aménageant la chose suffisamment subtilement pour retenir l’attention d’un public qui en
majorité ne vous connaît ni des lèvres ni des dents. Proscrivez les choses bancales type un
nouveau titre travaillé une semaine avant le show. Finissez sur un air vif, gai et entraînant. »
Il faut aussi, avant et pendant le set, penser à s’hydrater et éviter les boissons sucrées ou
alcoolisées.
7.2 Où trouver des dates de concert
Il suffit de consulter les agendas de concert pour trouver des endroits près de chez vous qui
programment déjà des groupes et qui seront en capacité de vous accueillir dans de bonnes
conditions.
Pour aller plus loin :
Le site de REZONNE et sa rubrique Cartographie de la ressource, Agenda et Annuaire : http://
www.rezonne.org/
Infoconcert : http://www.infoconcert.com
Concerts.fr : http://www.concerts.fr/
Upconcerts : http://www.upconcert.fr/region/ile-de-france
7.2.1 La fête de la musique : comment y jouer ?
Rien de plus simple. Il suffit de demander à un commerçant s’il peut prêter une prise de courant
pour un groupe qui va venir jouer pour la fête de la musique, de lui dire quel genre de musique
vous faîtes, que vous avez beaucoup de copains et de famille qui vont passer pour venir écouter
le groupe et de ne pas jouer pendant des heures pour respecter la tranquillité des voisins. Il n’y a
pas de Sacem à payer lors de la fête de la musique et il arrive même que certaines municipalités
mettent à disposition des scènes pour les groupes locaux. Il peut alors être intéressant de
contacter le service culturel de votre ville pour avoir plus d’informations.
Pour aller plus loin :
Le site de la Fête de la musique : http://www.fetedelamusique.culture.fr
LA BOÎTE À OUTILS DU FURET MAJ 03/14 3
7.2.2 Les tremplins
Le Guide des tremplins, des concours et des dispositifs de repérage et d’accompagnement ouverts aux groupes et artistes d’Ile-de-France est destiné à tous les groupes et artistes franciliens
de musiques actuelles qui souhaitent avoir des informations précises sur les différents tremplins,
concours, battles, dispositifs de repérage et d’accompagnement auxquels ils peuvent postuler.
Il présente des dispositifs franciliens, nationaux, internationaux et présents sur le net. En outre,
une série de conseils vient compléter la partie annuaire : « lorsque l’on vous incite à vendre des
billets à vos amis car le vote se fait par le public, que l’on vous demande de payer pour vous inscrire, d’inciter vos connaissances à venir voter pour vous sur un site (ce qui a pour effet immédiat
d’augmenter le flux sur le site en question) ou que des gens doivent envoyer des SMS pour vous
sauver, alors vous êtes dans le cadre d’opérations qui s’autofinancent grâce à vous ».
Pour aller plus loin :
Le Guide des tremplins, des concours et des dispositifs de repérage et d’accompagnement
ouverts aux groupes et artistes d’Ile-de-France : http://www.lerif.org/Guide_tremplins_2012.pdf
La chronique de Romain Bigay (Irma) sur le site de Widoobiz : Musiciens : bien choisir ses
tremplins, concours et dispositifs de repérages : http://www.widoobiz.com/chroniques/autreschroniques/la-chronique-de-l-irma/musiciens-bien-choisir-ses-tremplins-concours-et-dispositifsde-reperages/9922
Quelques dispositifs en Essonne :
Evryone sur scène : http://www.evryonesurscene.fr
Rock’in kiosque : http://libellulerock.perso.sfr.fr/rk.html
Supertremp’ : http://www.facebook.com/supertremp91?fref=ts
Le tremplin du Silo : www.senart-essonne.com/index.php?option=com_content&view=category&
layout=blog&id=62&Itemid=84
La page dédiée aux tremplins sur le site de REZONNE : http://www.rezonne.org/tremplinsconcours
7.2.3 Les scènes ouvertes
Des bars ou des cafés-culture mettent à disposition une ou plusieurs fois par mois leur scène
pour les musiciens qui veulent jouer. Dans le jazz, on appelle cela des jams et souvent, ces
scènes sont « squattées » par des musiciens (souvent les mêmes sur un territoire donné) qui
trouvent ainsi un moyen de jouer et qui occupent le lieu. C’est toutefois un bon moyen de rencontrer des musiciens et de jauger de son niveau pour la suite, sans oublier que cela permet de
jouer et de se faire (bien) voir.
7.2.4 Les bars et les cafés-concerts
Autre étape après les tremplins, les bars et les cafés-concerts proposent une programmation
adaptée à leur lieu : plutôt rock, électro, jazz… Dans les villes sans salles de diffusion, il y a toujours un bar, un pub ou un café qui propose des concerts de groupes locaux ou en tournée.
7.2.4.1 À quel moment les aborder ?
Dès que le groupe est capable de jouer correctement son répertoire et de pouvoir faire au moins
deux à trois sets de 40 minutes chacun. Il convient de choisir les lieux en fonction du style du bar:
pas la peine d’aller proposer du jazz à des pubs de bikers moustachus…
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7.4.2.2 Comment les persuader ?
Avec une bonne démo, enregistrée proprement que l’on viendra déposer au moment où l’on est
certain que le patron du lieu sera disponible pour écouter le CD ou tout fichier son. Ce qui veut
dire éviter de démarcher les bars le soir en plein rush.
7.4.2.3 Qu’est-ce qu’il faut savoir sur la législation dans les bars ?
Pour simplifier ce qui peut difficilement l’être, à partir du moment où l’on communique sur la présence d’un groupe dans un lieu et que le groupe est obligé de venir, il y a un lien dit de subordination entre le groupe et l’employeur du bar qui équivaut à un contrat de travail. Et qui dit contrat de
travail dit salaire. Ce qui est encore plus vrai lorsqu’il y a une billetterie (ou une participation aux
frais) et un recours à la publicité sous une forme quelconque en vue de la recherche de clientèle.
Il existe un collectif, Culture Bar Bars, qui essaye de faire reconnaître le « statut » de ces cafés
qui programment des groupes amateurs et qui a réussi à trouver un terrain d’entente entre syndicats d’artistes, union des cafetiers, et bonnes volontés…
Pourtant on attend encore la parution d’un texte de loi sur les pratiques amateurs.
Pour aller plus loin :
L’expérimentation Cafés-cultures : http://cafescultures.lepole.asso.fr/
Protocole de bonnes pratiques : http://www.lepole.asso.fr/fichiers/cafescultures/protocoleUMIH_
SNAMCGT.pdf
Profession artiste : http://www.irma.asso.fr/Profession-artiste,5736
Le collectif Culture Bar-bars : http://bar-bars.com/
7.2.5 Le cachet
Le cachet désigne le salaire versé aux artistes intermittents du spectacle. Mais que l’on soit
intermittent ou pas, on reste interprète et salarié. L’employeur devra remettre un certain nombre
de documents aux artistes employés : contrat de travail, bulletin de salaire, rémunération, certificat
de fin d’emploi (nécessaire pour les intermittents), certificat de congés payés.
Pour aller plus loin :
LE SAGERE Stéphan, Profession artiste, Paris, Irma éditions, 2007 : www.irma.asso.fr/Professionartiste,5736
Fiche pratique Irma Le statut de l’artiste-interprète : www.irma.asso.fr/Le-statut-de-l-artisteinterprete
Mots-clés :
Scène, scène ouverte, tremplin, concours, battles, salaire, rémunération, bars, cafés concerts,
balance, set
7.2.6 Le programmateur/la programmatrice
On parle de programmateur dans le cadre des salles de spectacle ou des festivals qui ont un
salarié dédié aux choix artistiques du lieu. C’est un métier qui fait rêver beaucoup de gens mais
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qui relève essentiellement d’une alchimie entre la connaissance des groupes et du milieu musical, la vision de son territoire et de ses publics et la maîtrise des coûts et des dépenses.
7.2.5.1 Comment les aborder ?
Souvent le programmateur aura entendu parler du groupe dans sa ville ou son département
qui a fait beaucoup de dates de concert. Il y a même de fortes chances que les dispositifs
d’accompagnement mis en place dans le département où vous vivez utilisent les compétences
de ces professionnels pour déterminer les artistes à aider… Et si vous répétez dans des locaux
de répétition attenants à un lieu de diffusion, il se peut que vous ayez croisé le programmateur
sans savoir qui il est et quelle est sa fonction exacte.
7.2.5.2 À quel moment les aborder ?
Le métier d’un programmateur est de savoir si un groupe qu’il va faire jouer fera venir du
public, si ce que le groupe propose est suffisament intéressant musicalement pour qu’il décide
de le programmer quand même et si le groupe ou l’artiste sont en capacité de s’améliorer et disposent donc d’un potentiel de développement qu’il souhaitera accompagner. Une fois que vous
avez compris cela, alors la possibilité d’aborder un programmateur se fera quand le groupe sera
prêt. Maintenant rien n’empêche d’avoir du culot et d’y aller, mais sachez que les programmateurs sont des personnes très sollicitées et qui ont énormément de groupes à écouter…
Source : Rencontre « Les cumuls d’activités dans le secteur culturel » à Rennes, le 21 mai
2012.
13
7.3 Le matériel
Chaque lieu de diffusion a sa configuration de matériel son. Et pour les lumières, c’est bien
souvent le service réduit… Il est fréquent de devoir amener uniquement ses instruments, voire
pour le batteur, ses cymbales et sa caisse claire, dans le meilleur des cas.
La plupart du temps, le matériel minimum à emmener est le suivant : sonorisation, table de
mixage, pieds de micro, amplis et instruments plus la batterie. Donc le groupe qui doit jouer
empile au petit bonheur ses instruments dans une ou plusieurs voitures.
Il vaut mieux protéger ses instruments avec des housses rigides et les assurer, une casse est
très vite arrivée.
Parfois certains groupes mutualisent un véhicule, une sono… mais c’est à double tranchant
: moins de coût mais ça ne résout rien si les deux groupes jouent en même temps dans deux
lieux différents. Il existe sinon des entreprises qui louent du matériel dans ce but.
7.4 Après le concert
Il y a toujours un après concert, ce moment de flottement où l’on est content ou pas d’avoir
joué. Il importe d’aller rencontrer le public pour leur demander leur avis, recueillir leur opinion
et, comme le précise le dossier REZONNE sur mon premier concert, d’aller demander son opinion au programmateur du lieu qui pourra ainsi vous faire profiter d’un avis de professionnel.
Tous ces avis sont à écouter pour chercher à améliorer son set, ses morceaux et envisager des
modifications de morceaux ou d’interprétation. En plus cela permet de commencer à récupérer
des adresses mails pour la future promo du groupe, et de rester un être humain qui fait de la
musique et pas une pseudo vedette…
Après le concert, on se préoccupera aussi de voir si l’on peut récupérer une copie de l’enregistrement du concert pour l’étudier à tête reposée à la maison avec les autres membres du groupe
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et améliorer la chose. Attention : si le concert était filmé et que vous souhaitez diffuser la vidéo,
vous êtes obligés de demander les autorisations aux personnes filmées.
7.5 Amateur, Semi-professionnel ou pro ?
A quel moment est-on professionnel, semi-professionnel ou juste amateur éclairé ?
Et bien tout dépend d’un certain nombre de choses. Un professionnel obtient ses revenus uniquement de ses activités artistiques, alors qu’un amateur est censé ne recevoir aucune rémunération et tirer ses moyens habituels d’existence, grâce à des salaires ou des revenus étrangers
aux diverses activités artistiques des professions du spectacle (décret de 53). Le problème se
pose plutôt quand les artistes cherchent à se professionnaliser et se retrouvent « en développement ». Les zones entre amateurs et professionnels sont alors plus difficiles à cerner, et cette
situation ne doit pas s’éterniser. Les artistes n’étant pas connus ont tendance à accepter des
conditions de jeu qui sont en leur défaveur.
7.5.1 Que dit la loi pour les artistes ?
Le statut d’amateur, même dans la musique, est réglementé par le décret de 53 qui s’applique
au théâtre. Dans l’état actuel du droit, l’artiste se produit dans le cadre de la présomption de salariat ou du bénévolat.
Un artiste amateur est un artiste bénévole ne tirant pas ses revenus de ses activités sur scène.
Donc, tout individu recevant une rémunération pour une activité du spectacle est considéré
comme professionnel. La présomption de salariat fait que si l’on joue sur scène et que le fameux
lien de subordination existe, le contrat de travail doit avoir été signé avant de jouer, entraîner le
versement d’un salaire, sinon l’administration considèrera que c’est du travail illégal. Et passer
le chapeau doit être déclaré aux impôts… Philippe Audubert dans Profession Entrepreneur de
spectacles précise : « Le décret de 1953 n’étant pas applicable, et peu appliqué, les musiciens
qui revendiquent une pratique artistique non rémunérée relèvent des règles régissant l’activité
bénévole. Ce qui limite leur activité aux seules associations dans des conditions très restrictives
[…].
On peut donc dire qu’aujourd’hui un musicien est soit rémunéré, soit bénévole ; mais la pratique
« amateur » ne trouve pas sa place juridique dans l’organisation du spectacle vivant. »
Pour aller plus loin :
Fiche pratique Irma Le statut des amateurs : dix questions pour être en règle : www.irma.asso.fr/
Profession-artiste,5736
Irma, CNT, CND, HorsLesMurs, La place du bénévole et des pratiques amateurs dans le spectacle vivant, Journée d’information des centres de ressources du spectacle vivant, théâtre du
Vieux Colombier, Paris, 2003 : http://www.irma.asso.fr/article.php3?id_article=2559
AUDUBERT Philippe, Profession entrepreneur de spectacles, Paris, Irma éditions.
Source Tout contrat par lequel une personne physique ou morale s’assure, moyennant rémunération, le concours d’un artiste du spectacle en vue de sa production, est présumé être un
contrat de travail dès lors que cet artiste n’exerce pas l’activité qui fait l’objet de ce contrat dans
des conditions impliquant son inscription au registre du commerce.
14
7.5.2 l’intermittence
Graal pour certains, l’intermittence est un régime d’assurance-chômage spécifique (et en aucun
cas un statut !). Les intermittents du spectacle sont salariés d’entreprises de spectacles et leur
activité est caractérisée par des contrats de travail à durée déterminée dits d’usage (CDDU), parLA BOÎTE À OUTILS DU FURET MAJ 03/14 7
fois simultanés et pour de multiples employeurs. Deux annexes existent pour qualifier la branche
de travail des intermittents :
- l’annexe 8 pour les techniciens et ouvriers des secteurs du cinéma, de l’audiovisuel, de la
radio, de la diffusion et du spectacle ;
- l’annexe 10 pour les artistes du spectacle
Devenir intermittent (et le rester…) nécessite de faire un certain nombre d’heures de travail
rémunérées par des cachets :
- 507 heures d’activités au cours des 10,5 mois précédant le dernier contrat de travail exercé
pour les artistes ;
- 507 heures au cours des 10 mois précédant le dernier contrat de travail exercé pour les techniciens.
Bien évidemment, ce n’est pas aussi simple que cela et devenir intermittent est soumis à un
certain nombre de conditions…
Pour aller plus loin :
Le régime d’assurance chômage des intermittents du spectacle : www.irma.asso.fr/Le-regime-dassurance-chomage-des
Pôle Emploi Spectacle : http://www.pole-emploi.fr/informations/pole-emploi-spectacle-@/
spectacle/
LA BOÎTE À OUTILS DU FURET MAJ 03/14 8
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