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La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 10/4
10/43 25 Octobre 2010
La pensée de la semaine
«L'expérience ressemble aux curecure-dents. Personne ne veut s'en servir après vous.»
Roland Dorgelès
Le DSI : futur dirigeant de l'entreprise numérique, selon le Cigref
http://www.journaldunet.com/solutions/dsi/cigref-dsi-et-entreprise-numerique.shtml
L'assemblée générale 2010 du Club informatique des grandes entreprises françaises a été l'occasion de faire le point sur
la relation entre les grands DSI et leurs fournisseurs, et d'évoquer le futur de la profession.
Client numérique, stratégie digitale... Pour Bruno Ménard, président du Cigref et DSI de Sanofi-Aventis, nombre d’exemples montrent que
l'entreprise numérique est en train d'émerger, notamment avec "la montée en puissance des réseaux IP désormais omniprésents".
"Mais, cette nouvelle stratégie doit désormais recouvrir l'ensemble de l'entreprise", a-t-il notamment indiqué lors de son allocation, à
l'occasion de l'assemblée générale du Club informatique des grandes entreprises (qui se tenait le 14 octobre à Paris).
Le DSI, chef d'orchestre de la stratégie numérique Selon Bruno Ménard, le DSI doit se positionner comme le chef d'orchestre de
cette stratégie. "Car qui d'autre que lui peut être le garant de son intégration dans le système d'information : le DSI a pour vocation de
devenir le dirigeant de l'entreprise numérique." Son défi ? Définir un plan numérique couvrant toutes les facettes de l'entreprises :
relation client, partenaires, métiers, en accompagnant l'émergence d'une culture, de compétences, d'innovations numériques.
Le Green IT sur toutes les bouches Parmi les grandes préoccupations des DSI du Cigref, le Green IT est revenu comme un leitmotiv
tout au long de l'assemblée générale. Membre du groupe de travail sur la relation avec les fournisseurs, Philippe Rouaud, DSI de France
Télévisions, a évoqué la volonté du Cigref de promouvoir l'émergence d'un éco-label, qui permettrait de mesurer le niveau d'écoresponsabilité des fournisseurs de matériel informatique, en termes de fabrication et de capacité de recyclage.
Sur ce plan, le Cigref mène également des réflexions en lien avec l'Association française de normalisation (AFNOR), conscient également
qu'une politique informatique verte ne peut être menée sans tableaux de bord. "Nous nous sommes lancés en lien avec l'Agence de
l'environnement et de la maîtrise de l'énergie dans l'élaboration d'un référentiel d'indicateurs de pilotage Green", ajoute Pascal Buffard,
vice-président du Cigref et directeur général d'Axa France Services.
La sécurité et les risques du Cloud Computing Les systèmes d'information s'ouvrant de plus en plus sur l'écosystème de l'entreprise,
les DSI sont plus que jamais en quête de solutions leur permettant maitriser la sécurité informatique comme un processus global.
"L'état français s'est récemment réorganisé autour de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information pour mieux faire face
à la cyberdélinquance", note Jean Saas, DSI de Dassault Aviation. "Nous devons apprendre à mieux collaborer avec les autorités, en
faisant notamment remonter nos informations et nos recommandations." Avec l'ANSI, le Cigref a déjà commencé à collaborer,
notamment autour de la création d'un guide sur les précautions à prendre pour sécuriser ses données lors d'un déplacement à l'étranger.
Qu'en est-il des réflexions du club sur le Cloud Computing ? Là encore, même si l'offre commence à se structurer, les DSI des grandes
entreprises membres sont bien conscients des risques. "Risques en termes de sécurité, mais aussi d'interopérabilité avec les systèmes
d'information et entre les différentes solutions SaaS", souligne Georges Epinette, trésorier du Cigref, et DSI de la Stime Intermarché, qui
insiste sur l'importance de la réversibilité. "Enfin, le Cloud modifie profondément la chaine de valeur, le modèle économique de la DSI, et
oblige à revoir nos organisations ainsi que la relation avec les fournisseurs. Face à ce défi, mais prêt à actionner ce modèle comme levier
d'innovation et d'économie, les DSI attendent également une meilleure réglementation en matière de patrimoine numérique. Mais
également un accompagnement de l'état sur la question de la localisation des données.
La relation entre DSI et fournisseurs reste centrale Enfin, la relation avec les fournisseurs aura été marquée d'une actualité forte
cette année. "Nous avons vécu des changements d'état major chez plusieurs grands acteurs", constate Francis Aaron, VP du Cigref et DSI
Bolloré, en évoquant SAP, Oracle, IBM. Des évolutions se traduisant souvent par des changements d'équipes commerciales qui ne
facilitent pas les contacts avec les DSI. "Des contacts qu'il faut pourtant conserver". L'apparition de mega-fournisseurs, toujours plus forts
au fil des acquisitions, est toujours point du doigt. "Y-a-t-il un risque à continuer à travailler avec eux ?", se demande Francis Aaron,
avant d'évoquer les alternatives possibles, et notamment le soutien à des PME innovantes et à l'Open Source.
Steampunk
http://www.pcworld.com/article/207734/15_fun_and_freaky_iphone_mods.html
This steampunk iPhone dock by artist Scott Freeland features a urethane resin base handsculpted to simulate a very early rotary-style telephone. The dock includes an insert for your
iPhone USB, and it can accommodate most iPhone models, including the iPhone 3G, the iPhone
3GS, and the iPhone 4. The iRetrofone sells for $350 on Etsy, but only three units remain
according to the site, so you’d better hurry if you want one.
Top 10 enterprise architecture trends, identified by Forrester
http://www.zdnet.com/blog/service-oriented/top-10-enterprise-architecture-trends-identified-by-forrester/5949?tag=nl.e539
Forrester’s Gene Leganza queried his compatriots at Forrester Research, compiled a list of the hottest trends enterprise architects and IT
managers need to watch over the next two to three years. Forrester identified 15 trends; here are the top 10 trends on the list:
1. Next-gen BI takes shape, combining real-time access with pervasiveness, agility, and self-service;
2. Business rules processing and policy-based SOA move to the mainstream;
3. SaaS and cloud-based platforms become standard;
4. System management enables continued virtualization (new trend);
5.
6.
7.
8.
9.
10.
Collaboration platforms become people-centric;
Event-driven patterns demand attention (new trend);
Customer community platforms integrate with business apps;
Apps and business processes go mobile on powerful devices and faster networks;
Analytics target text and social networks (new trend);
IaaS finds a broader audience (new trend);
Un smartphone flexible facilite la transmission d'informations
http://www.atelier.fr/inventions/10/15102010/telephone-haptique-toucher-invention-comprimable-reaction-flexible-elastique-40362-.html#xtor=EPR-233-[HTML]-20101015
Les laboratoires d'Intel et l'université de Washington proposent un système haptique qui modifie la rigidité d'un
ordiphone, en fonction des messages à fournir à l'utilisateur.
Pour permettre aux utilisateurs de téléphone portable d’interagir avec leur appareil sans faire appel aux sens visuels ou auditifs, il faut
donner plus d’ampleur au toucher, indique une équipe de scientifiques des laboratoires d’Intel et de l’université de Washington, à Seattle.
Les chercheurs proposent de repenser ces appareils, en les dotant d’une coque flexible, dont la rigidité évolue en fonction des actions
effectuées par l’utilisateur et des retours transmis par le téléphone. "Il s’agit d’un système haptique qui modifie l’élasticité de la coque
pour transmettre des informations sans interactions visuelles", expliquent les scientifiques. BaptiséSqueezeBlock, le dispositif qu’ils ont
mis en place intègre un système électromécanique qui génère une résistance continue – programmée au préalable – et des pressions
momentanées, pour transmettre des informations à l’utilisateur.
Mesurer la pression exercée par l’utilisateur Le système se fonde sur la loi de Hooke, pour prendre en compte la force exercée par
l’utilisateur et modifier en conséquence l’élasticité de l’appareil. Le prototype conçu par les scientifiques intègre dans une coque en
aluminium des capteurs sensoriels, un codeur de position et un système d’engrenage mécanique. L’ensemble permet de mesurer la
pression exercée par la main de l’utilisateur. "Ainsi, le programme peut être réceptif aux ‘clics’ effectués par l’utilisateur, et lui fournir un
feedback". Ce dispositif permet différentes applications : en générant une résistance continue, au moment de la consultation d’e-mail par
exemple, le système peut exercer une force supplémentaire lorsque le nombre de messages dépasse un certain seuil.
Des signaux haptiques pour les e-mails importants Le système de clics permet également à l’utilisateur de compter le nombre de
messages électroniques importants. L’appareil peut en outre signaler à l’utilisateur que tel message est prioritaire, sans que celui-ci n’ait à
porter les yeux sur son ordiphone. Le changement relatif de la rigidité permet toute une palette d’actions : plus la coque est rigide, plus
la batterie de l’appareil est chargée, par exemple. Les scientifiques ont soumis leur système à des expérimentations, auprès d’une dizaine
de personnes, âgées de 22 à 46 ans. Et selon les résultats de ces tests, les participants étaient tout à fait capables de ressentir les
changements de pression de l’appareil au cours des tâches simples qu’ils devaient effectuer.
Copains d'avant plus utilisé que Facebook
http://www.generation-nt.com/reseaux-sociaux-facebook-etude-ifop-suppression-donnees-actualite-1100541.html
Plus de 78 % des internautes français déclarent être membres d'un réseau social. Facebook est le plus connu mais toujours pas le plus
utilisé. Une immense majorité estime qu'il est difficile d'effacer des informations personnelles publiées.
L'Ifop vient de publier son nouvel Observatoire des réseaux sociaux, fruit d'une enquête réalisée auprès de 2015 internautes adultes
interrogés en ligne en septembre. Comme lors du classement précédent, Facebook demeure en France le réseau social qui bénéficie de
la plus grande notoriété (94 %) devant YouTube (92 % ; pour la première fois intégré à cette étude) et Copains d'avant (88 %).
Ils sont 78 % à déclarer faire partie d'au moins un réseau social et à ce niveau un plafond semble avoir été atteint. Par contre, en
moyenne, un internaute est membre de 2,9 réseaux sociaux, contre 1,9 en 2009. La palme de la plus grande utilisation revient à
Windows Live (52 %) qui compte notamment sur Messenger. Ainsi, le même constat que l'année dernière demeure car si Facebook est le
plus connu, ce n'est pas pour autant le plus utilisé (43 %).
Comme en 2009, Copains d'avant (46 %) est toujours devant Facebook en termes d'utilisation. L'écart s'est toutefois resserré puisque
Copains d'avant a perdu 3 points d'utilisation quand Facebook en a gagné 6, tout comme Windows Live d'ailleurs.
La notoriété de Twitter a connu un véritable boom (80 %), mais seulement 7 % des internautes déclarent être membres du donc
célèbre mais peu utilisé site de microblogging. L'étude note également que les réseaux sociaux à visée politique comme Les Créateurs
de Possibles (UMP) et La Coopol (PS) sont " marginaux " quant à leur notoriété (3 % et 2 %), et encore plus pour leur utilisation (1 %).
Effacer des données apparaît complexe
Les informations les plus divulguées sur les réseaux sociaux sont la date de naissance, nom de famille, adresse e-mail, une photo de soi
et ses passions ou intérêts. Lorsqu'on commence à toucher la sphère de plus en plus privée, la prudence semble demeurer comme pour
l'orientation sexuelle, la religion, les idées politiques. L'identité d'un employeur n'aime également pas trop être divulguée, et les
internautes interrogés sont 24 % à l'avoir déjà mise en ligne (et donc jamais pour 76 %). Il y a toutefois certaines informations que les
internautes ne souhaitent plus visibles de tout le monde. Ils sont ainsi 43 % à avoir déjà tenté d'effacer des informations
personnelles. Au bout du compte, seulement un peu plus du tiers d'entre eux y sont parvenus ( 53 % en partie et 14 % pas du tout ). Le
sentiment général qui se dégage, pour ceux qui ont essayé ou pas, est que cette entreprise est difficile ( 73 % ).
Gartner : 19,5 millions de tablettes écoulées en 2010 ?
http://www.generation-nt.com/gartner-tablettes-tactiles-previsions-actualite-1100901.html
Le cabinet d'études Gartner fait dans la surenchère concernant les prévisions de ventes de tablettes ces prochaines
années, prédisant un volume de presque 20 millions d'unités dès cette année et plus du double l'an prochain.
Le marché est naissant et comporte encore beaucoup d'inconnues dont la première est : le marché des tablettes tactiles est-il viable à
moyen terme ou n'est-il qu'une mode qui va s'effacer au profit d'autres produits mobiles ?
Les analystes sont bien en peine de répondre à cette question mais cela ne les empêche pas de construire des scénarios, quitte à les
ajuster au fur et à mesure à la réalité. Concernant les ventes de tablettes tactiles en 2010, tous les chiffres ou presque ont été avancés
dans une fourchette de 4 à plus de 20 millions d'unités.
Autant dire que personne ne sait rien mais que tout le monde entend prédire l'évolution du marché. Si beaucoup d'analystes revoient
leurs estimations à la hausse pour 2010 (nous sommes tout de même au dernier trimestre) et se concentrent sur une fourchette
comprise entre 10 et 15 millions d'unités (principalement des tablettes iPad), d'autres sont encore plus ambitieux.
Le scénario "tablettes tactiles" de Gartner prévoit ainsi qu'il s'écoulera cette année pas moins de 19,5 millions de tablettes
tactiles, avec une forte progression dans les années à venir : 54,7 millions en 2011 ; 103,4 millions en 2012 ; 154,1 millions en 2013 ;
208 millions en 2014.
En revanche, les ordinateurs portables bas de gamme ne devraient pas trop souffrir, de même que les smartphones, même si le segment
haut de gamme pourrait connaître quelques frictions, les usages entre ces produits et des tablettes tactiles se recouvrant largement.
Un point de vue que ne partage par totalement Paul Otellini, CEO d' Intel, qui voit quant à lui une cannibalisation mineure et de la place
pour vendre largement ses processeurs mobiles sur tous les segments.
C'est le marché US qui devrait constituer le moteur des ventes de tablettes en 2010, avec une part de marché de 61%, mais celle-ci
devrait refluer du fait d'un élargissement de la disponibilité des tablettes au reste du monde. Les tablettes ne se concevront quasiment
plus sans modem cellulaire à partir de 2014. Gartner affirme aussi que les tablettes auront un rôle à jouer dans le secteur professionnel
mais en tant que compagnon plutôt que réel remplaçant des ordinateurs portables. Et ce sont les employés eux-mêmes qui les
introduiront plutôt qu'une volonté réelle des entreprises de les en équiper, avec une prédilection pour des tablettes à affichage 10".
Ingres Database 10 met l’accent sur les performances et les outils de migration
http://www.silicon.fr/ingres-database-10-met-l%E2%80%99accent-sur-les-performances-et-les-outils-de-migration-42508.html
Avec la version 10, Ingres Database monte encore un peu plus en puissance… et à l’assaut des logiciels de gestion de
bases de données propriétaires.
Ingres Corporation vient de dévoiler la version 10 de sa solution open source de gestion de bases de données Ingres Database. Au
menu, une vitesse de traitement en hausse et des outils permettant de faciliter la migration des données depuis d’autres produits, tels
ceux proposés par des compagnies comme Oracle, Microsoft ou Sybase.
« Les nombreuses fusions et acquisitions qui ont marqué le secteur des bases de données l’an dernier ont poussé les clients à
s’interroger sur l’avenir des technologies de bases de données concernées », remarque Roger Burkhardt, CEO d’Ingres. « Avec Ingres
Database 9.3, nous facilitions déjà la migration vers un produit plus fiable et stable. La version 10 transforme l’essai avec des nouveautés
qui simplifient davantage encore la migration depuis des plates-formes insuffisamment stables et qui coûtent pourtant très cher. »
Parmi les nouveautés de cette mouture, nous trouvons la possibilité pour chaque utilisateur de travailler sur un instantané de la base de
données (multi-versioning), ce qui élimine les risques d’interblocage. Autre fonctionnalité, le chiffrement des données peut être activé
pour un champ précis (column encryption), contenant par exemple des informations sensibles. Les requêtes pourront dorénavant être
transmises par lot. Enfin, le chargement en masse de données au sein d’une base (le bulk loading) pourra être jusqu’à deux fois plus
rapide que précédemment. Du solide pour cette nouvelle version.
C'est quoi une Google TV ?
http://www.01net.com/editorial/522400/cest-quoi-une-google-tv/
Google s’attaque à la télé. Les premières Google TV arrivent aux Etats-Unis. A quoi ça sert, comment ça marche ?
Google TV, c’est quoi ? Google débarque sur les téléviseurs. Mais l’américain ne va pas pour autant fabriquer ses propres
appareils. Google TV est avant tout un logiciel, reposant sur le système d’exploitation Android et sur Chrome, son navigateur Web. Les
constructeurs pourront l’installer sur leurs télévisions, leurs lecteurs de salon ou sur des boîtiers dédiés que l’on branchera sur son poste
TV. Ces appareils devront disposer d’une interface réseau (Ethernet ou Wi-Fi) raccordée sur le point d’accès à Internet du foyer.
A quoi ça sert ? Principalement à surfer sur Internet depuis l’écran du salon : consulter des sites Web, accéder à des services de VOD,
piocher des vidéos sur les sites de partage, afficher un album photo stocké en ligne (sur Picasa, Flickr…) ou écouter de la musique. La
Google TV permettra de faire du Picture in picture : on pourra regarder une émission télé dans une fenêtre tout en consultant le Web.
Mais la fonction phare de Google TV sera la recherche. Vous voulez regardez le dernier épisode de Boardwalk Empire ? Il suffit de saisir la
requête dans le champ de recherche pour afficher la disponibilité du programme sur le Web (VOD notamment) mais aussi par
l'intermédiaire des programmes télé. Google devrait en effet intégrer à son périmètre de recherche les guides de programmes
numériques : TNT, bouquets payants sur satellite, chaînes ADSL… Mais à ce stade, on ne sait pas lesquels de ces services seront
concernés en France. Aux Etats-Unis, Google passe des accords avec les opérateurs câbles et satellites pour intégrer leurs contenus.
Comment va-t-on s’en servir ? La page de recherche ne déboussolera pas les utilisateurs du moteur de Google. Elle affichera très
sobrement un simple champ de saisie. A l’allumage de la télé, une page d’accueil personnalisable s’affichera à l’écran. On y retrouvera ses
favoris Web, ses chaînes préférées, ses podcasts, etc. Le tout accessible en un clic. Malheureusement, on pourra difficilement éviter le
recours à de vrais claviers pour piloter l’ensemble, même si un clavier virtuel, affiché à l’écran est envisageable. Partenaire de Google
pour le lancement de Google TV, Logitech a déjà dévoilé un petit clavier aux allures de grosse télécommande. Les iPhone et les
téléphones Android pourront également servir d’interface de pilotage. Il suffira d’installer l’application adéquate.
En quoi Google TV est-il différent de ce qui existe déjà ? Ce n’est pas la première tentative d’amener le Web sur la TV. A titre
d’exemple, Samsung commercialise déjà des « TV connectées » permettant d’accéder à des services Web grâce à des widgets : VOD,
Twitter, jeux, etc. Google promet d’aller plus loin en offrant tout le Web sur la télé, sans restriction sur les possibilités (le Flash sera pris
en charge par exemple). Mais en pratique, il invite déjà les éditeurs à adapter leurs sites pour faciliter la consultation de leurs contenus
sur un téléviseur. En France, les fournisseurs d’accès à Internet offrant des bouquets TV sur ADSL (grâce à des décodeurs spécifiques)
tendent eux aussi vers un mélange Web/TV. Bouygues Telecom déploie actuellement une plate-forme de widgets Flash sur son décodeur
TV sur ADSL, permettant d’accéder à des services d’informations, des jeux, etc. Ses concurrents ont eux aussi des projets plus ou moins
aboutis dans le domaine. Mais aucun n’envisage à ce stade un service aussi complet que celui de Google. Du moins pas officiellement.
Pourra-t-on installer des logiciels ? Google TV emprunte à la téléphonie mobile le principe de l’App Store. On pourra donc ajouter
de petites applications à sa Google TV pour l’enrichir comme on le fait sur un iPhone ou un téléphone Android. Aux Etats-Unis, le système
embarquera en standard des applications comme Twitter, Netflix et Amazon Video on Demand, NBA game Time, etc. Mais on pourra en
ajouter par l'intermédiaire de l’Android Market dès l’année prochaine.
Ca va arriver quand ? D’ici à la fin du mois d’octobre aux Etats-Unis. Sony va commercialiser outre-Atlantique un téléviseur et une
platine Blu-ray estampillées Google TV, respectivement au prix de 600 et 400 dollars. Logitech proposera lui un boîtier dédié et une
gamme d’accessoires (claviers, webcam). En France, Google TV n’arrivera pas avant 2011, sans plus de précision.
Et l’intérêt de Google dans tout ça ? Déjà présent sur le Web, les téléphones mobiles et bientôt directement sur les ordinateurs avec
Chrome OS, Google ne pouvait pas laisser échapper la télévision qui constitue un nouveau débouché pour ses plates-formes de publicité.
L’américain n’est pas le seul à lorgner sur ce pactole. Yahoo! propose aux fabricants de télévision ses widgets (adoptés par Samsung et
Sony), tandis que Sharp et Panasonic (avec Viera Cast) ont développé leurs propres solutions.
Microsoft est aussi sur les rangs avec sa plate-forme Live, déjà déclinée sur les PC, la Xbox 360 et sur les téléphones Windows Phone 7.
Quant à Apple, les rumeurs lui prêtent depuis plusieurs mois l’intention de développer sa propre TV. Jusqu’à présent, il s’est contenté
d’un boîtier Apple TV bien loin des ambitions de Google. On ne peut pas être le premier dans tous les domaines.
Internet, capable de prédire les crises financières ?
http://hightech.nouvelobs.com/actualites/depeche/20101018.OBS1430/internet-capable-de-predire-les-crises-financieres.html
La Commission européenne devrait investir dans des recherches basées sur les transactions électroniques et la fréquence de mots-clés.
La Commission européenne a annoncé lundi 18 octobre son intention d'investir dans un programme de recherches visant à prédire
les crises financières en se basant sur les transactions électroniques et les recherches sur internet.
"Les recherches s'intéresseront non seulement aux données des transactions financières, mais également aux données de consultation de
l'internet, comme par exemple la fréquence de certains mots-clés relatifs à la finance dans les moteurs de recherche", précise la
Commission. Les chercheurs essayeront ainsi de définir de nouveaux indicateurs de risque, et d'évaluer à quel point l'interconnexion
des systèmes électroniques d'information et de transaction des établissements financiers les expose à des risques systémiques.
Le projet regroupe des chercheurs d'universités italiennes, espagnoles, suisses et britanniques, des experts du groupe internet Yahoo! et
de la Banque centrale européenne. Leurs travaux, débutés en septembre, devraient durer jusque 2013 et coûter €2,48 M. Bruxelles
compte les financer à hauteur de €1,8 M.
BlackBerry 9670 Style, le prochain BlackBerry à clapet.
http://www.zone-numerique.com/news_8269_Rumeur_BlackBerry_9670_Style_le_prochain_BlackBerry_a_clapet_en_video.htm
D'après les premières vidéos, le prochain smartphone BlackBerry sera à clapet, embarquera le BlackBerry OS 6 et
s'appellera BlackBerry 9670 Style. Vidéos et détails.
Le BlackBerry 9670 Style, prochain smartphone à
clapet BlackBerry a certainement plusieurs projets en
préparation avec l'arrivée du système d'exploitation nouvelle
version BlackBerry 6. le prochain smartphone de la firme
canadienne, est le BlackBerry Style 9670, un terminal à
clapet qui se dévoile plus dans quelques vidéos destinées
aux distributeurs. Initialement destinées à faire la
démonstration de l'interface utilisateur, les vidéos permettent
d'apercevoir le design éventuel de l'appareil et son format.
Caractéristiques du BlackBerry 9670 Style Il est équipé
d'un écran externe en plus de l'écran standard ainsi que d'un
clavier complet. Dans sa version européenne, il devrait
proposer une connexion 3G ainsi que le Wifi et un module AGPS. Réseau CDMA (3G norme américaine) ; - écran externe
360 x 400 pixels ; - écran interne 240 x 320 pixels ; clavier Azerty, après adaptation) + trackpad optique ; - APN
5 mégapixels ; - connexion Wifi ; - module A-GPS.
La fonction "zoom dans l'image" est contrôlable via le trackpad optique, une façon de compenser l'absence d'écran tactile.
L'écran externe du BlackBerry Style 9670 permet d'avoir un aperçu des messages entrants, mais aussi de contrôler la lecture multimédia.
Décès de Benoît Mandelbrot, le « papa » des objets fractals
http://www.01net.com/editorial/522424/deces-de-benoit-mandelbrot-le-papa-des-objets-fractals/
C'est une figure iconoclaste de la science qui s'en est allée jeudi 14 octobre en la personne du mathématicien franco-américain Benoît
Mandelbrot, à l'âge de 85 ans. Né en 1924 à Varsovie dans une famille juive d'origine lituanienne, il avait fui les nazis avec les siens pour
s'installer en France, étudié à Polytechnique, avant de partir aux Etats-Unis.
Dans plusieurs de ses livres, dans les années 70 et 80, il a couché noir sur blanc la théorie
qui l'a rendu célèbre sur les objets fractals (ou fractales), qu'il définissait ainsi lui-même
dans cette interview en 1998 : « un objet géométrique que l'on peut couper en petits
bouts et dont chaque bout présente la même structure que le tout. Le chou-fleur est une
très jolie fractale naturelle. Chaque morceau que vous détachez présente la même
structure que le tout, et ainsi de suite ». Benoît Mandelbrot estimait en effet que les
objets fractals se retrouvaient partout dans la nature : fougère, nuage, flocons de neige,
côte de Bretagne, etc. Ses travaux - qui ont été parfois critiqués - sont aujourd'hui
appliqués à de très nombreuses disciplines (biologie, géologie, sciences humaines, etc.)
dont l'informatique, en matière d'image de synthèse par exemple (création de paysages
complexes) et de traitement d'images. La théorie des fractales a aussi été utilisée pour
créer des antennes radio, par exemple. Benoît Mandelbrot a lui-même appliqué ses idées
au monde de la finance, dans son livre Une approche fractale des marchés.
Arte avait diffusé un documentaire sur Benoît Mandelbrot (premier volet ci-dessous).
Ray Ozzie hangs up his Chief Software Architect hat
http://www.zdnet.com/blog/microsoft/ray-ozzie-hangs-up-his-chief-software-architect-hat/7703?tag=nl.e589
Just days after he started blogging again, Ray Ozzie has announced plans to retire from Microsoft.
Ozzie is stepping down as Chief Software Architect, as Microsoft CEO Steve Ballmer announced in an e-mail to employees on October 18.
Ozzie will remain with the company for some undisclosed period of time to handle his teams’ transitions. He also will be “focusing his
efforts in the broader area of entertainment, where Microsoft has many ongoing investments,” according to Ballmer’s mail.
Ballmer said he will not appoint another Chief Software Architect. There’s no word on what Ozzie’s plans are after his Microsoft departure.
Ozzie joined Microsoft in 2005 and penned one of the most forward-looking memos in the company’s history (his “Internet Services
Disruption” memo.) After that, he went quiet and made very few public appearances.
He championed Microsoft’s Live Mesh and FUSE Labs/Docs.com projects and also helped create the team that developed Windows Azure.
When I wrote my Microsoft 2.0 book in 2007, I questioned whether Ozzie was the right guy to fill Bill Gates’ Chief Software Architect’s
shoes. I thought he’d end up as a researcher at Microsoft or in some other role. But I didn’t expect him to leave completely so soon…
Google upgrades Enterprise Search Appliance; straddles both sides of firewall
http://www.zdnet.com/blog/btl/google-upgrades-enterprise-search-appliance-straddles-both-sides-of-firewall/40566?tag=nl.e539
Google’s Search Appliance Engine, a piece of hardware that sits behind the firewall to make corporate data searchable, is getting an
upgrade today. With the new version, users can work within a single query box to search both within and outside of the firewall,
including Google Docs and Google Sites, as well as the general search engine indexes. The new People Search feature also lets you see
who in the company is an expert on the query topics or is somehow otherwise linked to the query results.
The new version also includes dynamic navigation, which allows users to drill down deeper into their results by refining them based on
factors relevant to the search. It also has an update for Sharepoint 2010.
The upgrade goes live today. All existing customers can download, install and upgrade free from the Appliance support page.
Envoyer 10 Go par email est désormais possible avec Hotmail
http://www.linformaticien.com/Actualit%C3%A9s/tabid/58/newsid496/9256/envoyer-10-go-par-email-est-desormais-possible-avec-hotmail/Default.aspx
Microsoft a fortement amélioré son outil de messagerie Hotmail dans sa nouvelle édition. Désormais, les internautes
peuvent envoyer jusqu’à 10Go de photos ou vidéos et peuvent aussi lire et éditer des documents Office, sans avoir
préalablement installé la suite.
Face au développement considérable de Gmail, Microsoft devait travailler sur son propre outil et le rendre plus attractif. C’est fait. Le
groupe a développé une nouvelle version de Windows Live Hotmail, aujourd’hui utilisée par près de 15 millions de Français. Son
déploiement a commencé en juin mais s'est fait progressivement. Aujourd'hui tous les utilisateurs ont accès aux nouvelles fonctionnalités.
Les internautes auront désormais la possibilité d’envoyer jusqu’à 10 Go de photos ou de vidéos par email et pourront partager, toujours
par email, des vidéos YouTube ou DailyMotion avec leurs contacts. Ces derniers, s’ils possèdent Hotmail, n’auront plus besoin de cliquer
sur un lien vers les deux hébergeurs pour visualiser les contenus vidéo car ils seront diffusés directement dans le corps du message.
Quant aux photos, le destinataire reçoit un aperçu de l’album, qu’il peut télécharger en un clic s’il le souhaite.
Autre fonctionnalité ajoutée par Microsoft dans la dernière mise à jour de son outil de messagerie, l’intégration de la suite Office à
Windows Live Hotmail. Ainsi, plus besoin d’avoir la suite bureautique installée sur son PC, il suffit juste de disposer d’un compte Hotmail
et d’une connexion à Internet pour lire et même éditer des documents Word, Excel ou encore PowerPoint. Ainsi, l’émetteur du mail sera
certain que le destinataire pourra lire ses documents, qu’il soit sur PC ou sur Mac, qu’il passe par Hotmail ou non et qu’il ait ou non la
solution Office sur son poste de travail. Hotmail se charge de tout.
Enfin, pour plus de sécurité, Microsoft a amélioré son outil anti-spam et anti-phishing.
De bonnes pratiques pour protéger son téléphone du piratage
http://www.atelier.fr/securite/10/19102010/securite-iphone-smartphone-protection-applications-pirates-vole-donnees-connexion--40374-.html#xtor=EPR-233-[HTML]-20101019
Préférer le navigateur aux applications, se débarrasser de celles peu utilisées... Autant de conseils délivrés par l'école
polytechnique de New York pour défier les tentatives d'hameçonnage.
Appels en provenance d'un numéro inconnu, demande de mise à jour d'application jamais téléchargée... Alors que les modes de piratage
d'informations personnelles sur mobiles se multiplient, huit étudiants de l'école polytechnique de New York proposent chacun une bonne
pratique à respecter pour protéger son combiné et ses données. Parmi les conseils distribués, celui de se connecter aux sites comme
ceux collaboratifs via le navigateur de son téléphone plutôt que depuis une application. Ces dernières conservant davantage
d'informations personnelles, selon les élèves. Autre problème : certaines applications peuvent être en mesure de surveiller et d'accéder à
différents types de données présentes sur un mobile, y compris la liste de contacts. Seul un nettoyage régulier des modules non utilisés
peu assurer la fiabilité du téléphone. Par ailleurs, pour s'éviter de télécharger des applications piratées, les étudiants conseillent de lire les
avis des utilisateurs et de ne choisir que celles à haute réputation.
Toujours se déconnecter des services web Car "celles peu notées ou récentes sont davantage soumises aux problèmes de
confidentialité et de sécurité", ajoutent-ils. En outre, ils préconisent de se méfier des applications qui demandent plusieurs autorisations
lors de l'installation ou de la connexion. En effet, pour exploiter les données mobiles au travers d'une application, "les cyber-pirates
doivent faire accepter par l'utilisateur davantage de codes et d'autorisations". Après chaque connexion à un service web, il est préférable
de se déconnecter. Sans cela, le mobile - à l'inverse de l'ordinateur fixe qui est capable après un délai de couper l'accès au web - peut
rester connecté indéfiniment. Une connexion risquée dans le cas où le mobile est volé et qu'une session vers un site bancaire n'est pas
désactivée. Les étudiants mettent aussi en garde contre l'envoi de faux liens, moyen fréquemment utilisé pour diriger les utilisateurs vers
des sites où des renseignements personnels peuvent être communiqués.
Hameçonnage et piratage du Bluetooth Pour s'en prémunir, il est ainsi préconisé de vérifier le lien utilisé pour le téléchargement
avant de cliquer dessus. Ou d'aller directement sur le site éditeur pour bénéficier de l'actualisation. A noter aussi : "les appels effectués
en Bluetooth avec un kit main libre facilitent l'accès à des données qui peuvent alors être consultées ou corrompues". D'où la nécessité
de préférer une oreillette filaire. Enfin, attention aux risques de hameçonnage qui "permettent aux fraudeurs d'obtenir des informations
personnelles en vue d'une usurpation d'identité". Ces conseils sont distribués par des élèves qui s'apprêtent à participer au Cyber Security
Awareness Week (CSAW), un concours réservé aux étudiants en sciences informatiques. Et qui verra s'affronter trois cents finalistes
autour de problèmes de sécurité simulés.
Google Car Home GPS App Gets Upgrade
http://wheels.blogs.nytimes.com/2010/10/18/google-car-home-gps-app-gets-upgrade/?nl=automobiles&emc=wheelsema2
With new improvements to a phone app called Car Home, Google is enticing drivers to say, “Goodbye Garmin, uh-uh,
TomTom, and get lost, Magellan.”
Now when you put an Android phone into a car-charging cradle, it automatically gives you access to a GPS navigator that takes voiceactivated commands and can be customized with shortcuts to other car-oriented apps. There is an existing version of Car Home, but it
lacks the automation and customization of the new version. For now, the new version works only on theNexus One and original Droid
phones, provided they are running the latest the Android operating system, 2.2. Plans are to introduce it to more phones over time.
In addition to turning on automatically when placed in a charging cradle, Car Home can be set to activate when the phone pairs with a
Bluetooth device. A cradle is a good idea, though, because navigation uses a lot of power and quickly drains the battery.
Car Home starts up with six buttons on-screen with commands like navigate, phone, contacts, music and voice search. There are three
screens of tiles, including eight blank tiles that say “add shortcut.”
Touch an add shortcut tile and you can put other applications in your car settings, like Pandora radio, so you can listen to your custom
station while driving. You can also add direct dial numbers or directions to common destinations, like home and work.
Even with the upgrade, voice recognition is still a problem in a noisy car. Saying “navigate home” should take me to the home shortcut I
set up. It didn’t. But there is a workaround. You can create a contact with home in the name field, and it does a better job — but still not
great. You are better off using the on-screen buttons, which worked reliably.
You can change both the background picture and alter the colors of the icons, but the biggest changes remain in the offing. Google has
made it easier for software developers to link their apps to work within the Car Home setting.
10 things: Handicapping Gartner's top technologies for 2011
http://www.zdnet.com/blog/btl/10-things-handicapping-gartners-top-technologies-for-2011/40662?tag=nl.e539
Gartner on Tuesday outlined its top 10 technologies for 2011 that will give technology execs the most bang for their
budgets. How many of these technologies will be a true hit?
Carl Claunch, an analyst at Gartner, said at the research firm’s Symposium conference in Orlando that things like sustainability, data
center overhauls and virtualization were dropped. Here’s Gartner’s 2011 list, why those technologies were chosen and a few observations.
Le HTC Gratia, copie du Legend, disponible en France en novembre
http://www.businessmobile.fr/actualites/le-htc-gratia-copie-du-legend-disponible-en-france-en-novembre-39755499.htm#xtor=EPR-10010
Ce nouveau smartphone Android 2.2 doté d’un écran tactile de 3,2 pouces est une
adaptation européenne du HTC Aria, lui même copie du Legend.
HTC ne perd pas le rythme. Après sa série de smartphones Windows Phone 7, le fabricant
repart sur Android avec un nouveau modèle milieu de gamme dédié au marché européen.
Le HTC Gratia propose un écran tactile de 3,2 ‘’, un processeur Qualcomm de 600 MHz, 512
Mo de stockage interne extensibles par carte microSD et un capteur photo de 5 mégapixels.
Le Gratia est doté d'une connectivité complète avec Bluetooth, WiFi, microUSB et GPS.
Milieu de gamme Autre point positif, le smartphone reçoit la dernière version 2.2 d'Android
agrémentée de l'interface HTC Sense et de l'application Friend Stream qui regroupe les flux
des réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter et Flickr. Le Gratia sera proposé en blanc. Il
arrive en France en novembre et sera en avant-première chez NRJ Mobile.
Certains salueront la capacité d'HTC de multiplier dans un laps de temps réduit les références. D'autres rappelleront que ce Gratia est en
fait la copie quasi-conforme de l'Aria lancé aux Etats-Unis, lui même dérivé du Legend.
Un ultraportable à €100 pour les enfants… uniquement ?
http://www.silicon.fr/un-ultraportable-a-100-euros-pour-les-enfants%E2%80%A6-uniquement-42557.html
VideoJet ajoute à son catalogue un ultraportable ARM pour les enfants, qui pourrait également tenter certains parents.
Que trouve-t-on dans le catalogue de Noël de Carrefour ? Un ordinateur ultraportable réservé aux enfants, mais qui fera verdir de
jalousie certains adultes technophiles. En effet, ce produit signé VideoJet est disponible pour seulement €100 TTC.
Pour ce prix, vous disposerez d’un ultraportable pourvu d’un écran d’une diagonale de 7 pouces. Il comprend 128 Mo de RAM et un
disque flash de 2 Go. Trop peu ? Pas vraiment, puisque c’est le très peu gourmand Windows CE 6.0 qui est aux commandes du PC Kids
(et donc probablement un processeur ARM… nous parions sur un VIA VT8500 cadencé à 300 MHz ou plus).
Les versions mobiles d’Internet Explorer, d’Outlook, de Media Player, d’Office et de MSN sont toutes de la partie. Le constructeur
ajoute à ceci un système de contrôle parental, un clientSkype allégé et une quinzaine de jeux. La connectique est relativement complète :
un port Ethernet, un module Wifi, 3 connecteurs USB et un lecteur de cartes SD. Des sorties audio et vidéo sont elles présentes
(probablement : oui pour l’audio, non pour la vidéo). L’ensemble est crédité de 3 heures d’autonomie, ce qui est clairement insuffisant.
Ce produit prouve que les ultraportables ARM peuvent être distribués à un prix réellement compétitif. Modifier ce modèle
dédié aux enfants pour toucher un public plus large ne couterait pas un centime, en revoyant la configuration logicielle, voire en
corrigeant le design général de l’appareil. Reste à savoir qui osera importer un tel produit en France… à un prix de €100, évidemment.
Google Android Gingerbread : une nouvelle interface et l’arrivée du chat vidéo ?
http://www.fredzone.org/google-android-gingerbread-une-nouvelle-interface-et-larrivee-du-chat-video
Nous allons parler de Google et plus précisément de Gingerbread. Phandroida publie un article dans lequel il affirme que
la prochaine version de Google Android bénéficiera d’une nouvelle interface et d’une version de Gtalk proposant le chat vidéo.
Attendu avant la fin de l’année, Gingerbread s’annonce comme une évolution majeure du système Android. On sait
encore très peu de choses à son sujet (les dernières rumeurs datent de juillet et d’octobre dernier) mais ça risque de changer
rapidement à mesure que nous approchons des fêtes de fin d’année. Et oui, fallait le placer, le « inexorablement », hein… C’est
du même acabit que la « perception de rareté » balancée par Christine Lagarde à la gueule du petit peuple en parlant de la
pénurie d’essence. Pénurie qui ne semble pas si imaginaire que ça dans la mesure où ma ville n’a plus de gasoil.
D’après une source officielle mais anonyme, il semblerait donc que la prochaine version de Google Android propose une toute
nouvelle interface. Ce qui n’est guère étonnant, mais on soulignera que cette dernière sera sans doute réalisée par
Matias Duarte qui a eu l’occasion de bosser sur l’interface de Palm. Et oui, ça me fait froid dans le dos à moi aussi.
Fondamentalement, la nouvelle interface de Gingerbread devrait être plus ou moins la même que l’interface actuelle. On
retrouvera donc un écran d’accueil avec un nombre important de widgets et la même structure au sein des menus et des pages.
En revanche, les icônes, effets et autres éléments graphiques devraient être mis au goût du jour. De quoi donner un petit coup
de jeune à votre téléphone portable, pour peu qu’il soit capable de le faire tourner, cela va sans dire.
Seconde rumeur, Gingerbread embarquera sans doute une nouvelle version de GTalk, proposant les conversations vidéo.
Certains penseront sans doute que Google marche dans les pas de Facetime et ils n’auront sans doute pas tort.
L’attention est louable, mais je ne suis pas certain qu’il soit très judicieux de chercher à copier ce que propose la concurrence.
En revanche, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que le géant américain a récemment dévoilé son Google TV. Et là, je pense qu’on
risque d’être très surpris par Gingerbread.
Android 4.0, Ice Cream, prévu pour 2011
http://www.clubic.com/smartphone/android/actualite-373808-android-ice-cream-prevu-2011.html
Google ne s'en cache pas et continue d'avouer son faible pour les desserts tous plus sucrés les uns que les autres. Bien entendu nous
voulons parler des noms de code donnés à son système d'exploitation mobile Android. Après avoir dévoilé CupCake (v 1.5) en mai 2009,
Google a publié Donut (v 1.6) en septembre 2009 et Eclair (v 2.0/2.1) un mois plus tard. Froyo (v 2.2) vît le jour au mois de mai dernier.
Pour les prochaines déclinaisons du système mobile, Google a déjà annoncé que les versions 3.0 et 3.5 s'intituleront pour leur part
Gingerbread et Honeycomb. Respect de l'ordre alphabétique oblige, la version ultérieure devrait donc commencer par un "i". Après avoir
interrogé Tudor Brown, le président de ARM, le magazine Forbes a appris qu'Android 4.0 sera baptisé « Ice Cream ». Ce n'est d'ailleurs
pas la première fois qu'un partenaire de Google laisse échapper ce type d'information. Au mois de septembre c'est le constructeur
Samsung qui avait révélé le nom Honeycomb. Les versions 3.0 et 3.5 d'Android sont respectivement attendues en fin d'année et début
2011. La version 4.0 serait pour sa part prévue au second semestre de l'année prochaine.
WebOS 2.0 et le Palm Pre 2 débarquent chez SFR le 22 octobre
http://www.lemagit.fr/article/mobilite-hp-palm-webos/7331/1/webos-palm-pre-debarquent-chez-sfr-octobre/
Quelque 16 mois après l’arrivée de la première mouture de webOS, Palm / HP annonce la version 2.0 de
l’OS mobile qui motorise les terminaux Palm Pre et Pixi. Une mise à jour que le groupe qualifie de
majeure car elle représente non seulement une montée en gamme mais elle débarque également en
France avec le nouveau terminal Pre, le Palm Pre 2 - disponible le 22 octobre chez SFR
Côté nouveauté, Palm met en avant des possibilités de multitâches, un module baptisé Synergy, qui
permet de réunir ses données en ligne (Google, Facebook, Outlook) dans une même interface. webOS
2.0 propose également un outil - Exhibition - qui permet d’utiliser la base de recharge pour lancer des
applications spécifiques. Côté développeurs, tout en rappelant que webOS repose sur des technologies
100% web (HTML5, Javascript et CSS), le groupe indique avoir inclus le framework de services Javascript,
node.js, qui permet notamment d’avoir accès au système de fichier et aux services réseaux du terminal.
Le Palm Pre, vitrine de webOS 2.0, affiche quant à lui un écran plus plat et plus sensible aux gestes
naturels qui caractérisent la navigation dans l’interface. Le terminal embarque un processeur plus
puissant, cadencé à 1 Ghz, ainsi qu’un appareil photo à 5 mégapixels. L’arrivée de WebOS 2.0 et du Palm
Pre 2 marquent donc le retour de HP sur le terrain de la mobilité, avec un terminal de dernière génération
prêt à affronter un marché bouillonnant, où bataillent déjà Apple, Google, RIM, Nokia et Microsoft.
Chrome 7.0 disponible à peine six semaines après la version 6.0
http://www.pcinpact.com/actu/news/59943-chrome-7-disponibilite-ameliorations-windows-mac-osx-linux.htm
Le navigateur Chrome est désormais disponible en version 7.0 finale, aussi bien pour Windows que pour Mac OS X et
Linux. Google avait promis une accélération du rythme de développement, et les faits le prouvent : la version 6.0 est
sortie début septembre, soit il y a à peine un mois et demi.
Qu’a donc eu le temps de faire Google depuis six semaines environ ? Voici la liste des nouveautés et améliorations :
Des centaines de problèmes et de bugs corrigés ; Le support complet d’AppleScript ; Nouvel algorithme de parsing HTML5 ; L’API File ;
Le support de l’upload des dossiers ; Nouvelle fenêtre de gestion pour les sites bloqués (avec interdiction de créer et/ou modifier des
cookies) ; Dix failles de sécurité corrigées, dont cinq critiques.
Chrome 7.0 peut être téléchargé depuis son site officiel. Ceux qui ont déjà une version en place du navigateur peuvent simplement
mettre à jour en utilisant la ligne « À propos de Google Chrome » dans le menu clé anglaise.
Le rôle des DSI de plus en plus important dans la conduite du changement
http://www.atelier.fr/usages/10/20102010/entreprise-dsi-pdg-structures-professionnelles-organisation-virtualisation-40379-.html#xtor=EPR-233-[HTML]-20101020
Les directeurs des systèmes d'information sont perçus comme des acteurs centraux qui permettent de réorganiser la
structure professionnelle.
Les professionnels sont de plus en plus nombreux à affirmer que le rôle des DSI - directeurs des systèmes d’information - devient
prédominant dans les nouvelles formes de réorganisation des structures de travail, note l’Economist Intelligence Unit dans une étude.
Pour près de la moitié des personnes interrogées - pour la plupart des dirigeants d’entreprise ou des responsables de département - le
DSI est désormais un acteur stratégique, qui, aux côtés de la direction, accompagne le changement informatique nécessaire à
l’adaptation des métiers. Les professionnels considèrent que les organisations qui ont mis en place des équipes virtuelles bénéficient
d’une innovation et d’une compétitivité accrues.
Le DSI, acteur du changement Même si elles manquent encore de visibilité pour quantifier avec précision les résultats de ces
initiatives. Pour 45 % des répondants, le DSI doit en tout cas promouvoir la transformation vers un lieu de travail plus virtualisé.
"Aujourd’hui, les dirigeants explorent de nouvelles manières de travailler pour répondre aux évolutions dans leur secteur telles que
l’apparition de nouvelles méthodes et technologies collaboratives, ainsi qu’une génération montante de salariés et de clients qui
connaissent de mieux en mieux les technologies", déclare Malcolm Frank, senior VP et directeur de la stratégie chez Cognizant.
La virtualisation favorise l’innovation Cette société - spécialisée dans l’externalisation des processus métier (BPO) - a commandité
l’étude. Et le responsable d’ajouter : "la virtualisation des personnes, des processus et des technologies favorise l’innovation". Une
personne interrogée sur six a déclaré que l’entreprise dans laquelle elle travaillait en voyait déjà les résultats et une sur cinq s’attend à en
collecter les bénéfices d’ici un an. L’étude a été menée auprès de plus de 400 professionnels en Europe (52 %) et aux Etats-Unis (48 %).
Bull se lance dans le conseil dédiée à l'optimisation des infrastructures
http://www.journaldunet.com/breve/france/49049/bull-se-lance-dans-le-conseil-dediee-a-l-optimisation-des-infrastructures.shtml
Bull annonce la création d'Advisory Services, une nouvelle entité de conseil en évaluation et en optimisation d'infrastructures. Un
investissement de Bull qui s'inscrit dans sa « stratégie de développement d'activités à forte valeur ajoutée » selon la société. Le conseil
interviendra sur tout le cycle de vie et tous les composants de l'infrastructure, via des offres s'appuyant sur le standard ITSM, pour
accompagner les DSI dans la mise en œuvre d'infrastructures orientées service. Dans un communiqué, la nouvelle entité donne trois de
ses objectifs principaux : mesurer la maturité de l'infrastructure informatique, l'aligner avec les niveaux de services demandés par les
métiers et, bien sûr, optimiser les coûts.
La géolocalisation au service du système d’alerte et d’information des populations
http://www.silicon.fr/la-geolocalisation-au-service-du-systeme-d%E2%80%99alerte-et-d%E2%80%99information-des-populations-42581.html
Le gouvernement envisage de mettre en place un système d’alerte qui exploitera mieux les nouvelles technologies.
L’envoi de SMS ciblés serait ainsi au menu.
Alerter individuellement les citoyens en cas de danger est aujourd’hui presque impossible. Collectivement, le système d’alerte par sirènes
est bien architecturé, mais il reste insuffisant. C’est le constat fait par Patrice Calméjane, député UMP 93: « Les “catastrophes
naturelles” se répètent dans notre pays avec malheureusement de nombreuses victimes. Si le président de la République a annoncé le
21 juin, l’interdiction totale de toutes nouvelles constructions en zone dangereuse, il reste que nos moyens d’alerte semblent en retard
par rapport aux évolutions technologiques. »
Et de proposer la mise en place d’un système d’avertissement par le biais de SMS, une solution qui, à défaut d’être totalement
démocratique (tous les Français n’ont pas un téléphone portable), permettra de toucher rapidement une majorité de nos concitoyens.
Patrice Calméjane conseille à cet effet de collecter les numéros de téléphone… sur la base du volontariat.
En réponse, le ministère de l’Intérieur et des Collectivités territoriales suggère d’utiliser les nouvelles technologies pour alerter
les habitants d’une région en cas de danger, mais d’une façon bien plus efficace. En effet, « le principe d’une alerte géolocalisée est
préférable à la constitution d’annuaires, qui présentent l’inconvénient de devoir actualiser de manière continue les coordonnées
téléphoniques et posent le problème du stockage d’un volume important de données au niveau national. En outre, rien ne garantit que le
titulaire du téléphone portable se trouve dans la zone d’alerte pour laquelle il serait enregistré. »
La solution est simple : envoyer un message à toutes les personnes se trouvant dans une zone donnée, au travers d’un flux de type
‘datacast’ (des données diffusées à tous les terminaux se connectant à une borne donnée; ici, via le « cell broadcast »), ou en utilisant
des techniques de SMS géolocalisés. Ce système pourrait être mis en place - au plus tôt - en 2011. Tous les détails se trouvent ici.
TomTom, HTC team up on mobile navigation
http://news.cnet.com/8301-1035_3-20020144-94.html
TomTom and HTC are teaming up in a bid to offer quicker and more accurate maps and directions for HTC mobile phone customers.
The two companies announced today that HTC Locations, the smartphone maker's new mapping and navigation service, will come
preloaded with TomTom's "location-rich" maps. The service will initially appear on the Android-based HTC Desire and HTC Desire
Z smartphones in Europe and Asia before rolling out to future smartphones models.
Since TomTom's maps will come preloaded, the companies are promising quick access to maps and locations.
"I am very pleased to be providing HTC customers with TomTom's accurate location and navigation content on their phones wherever
they are," Maarten van Gool, managing director of TomTom licensing, said. "The beauty of it is that the maps are preloaded and instantly
available. For the first time, this makes the power of TomTom navigation content available 'in-pocket' for HTC smartphone users."
Though the TomTom maps and locations will be freely and automatically available on the phones, users who want turn-by-turn directions
will still need to buy and download them through HTC Locations or HTC Sync, which lets subscribers sync data between their phones and
PCs. TomTom's maps and HTC Locations will also compete with the free Google Maps, which already has a home on many Android
phones and other mobile devices. TomTom could use a boost. The company has been hit by shrinking margins and a tighter GPS market
as more people start to pick up directions through their mobile phones.
The Amsterdam-based GPS maker today reported third-quarter results showing that its net profit sunk to €19.3 M, on revenue of €375 M,
from €30.5 M in the year-ago. TomTom attributed the downturn partly to the weakness in the dollar against the euro. Though it's
continually done well in Europe, TomTom has struggled in the U.S. where it's faced tough competition from market leader Garmin.
La nouvelle version de l'iPhone 4 se précise
http://www.businessmobile.fr/actualites/la-nouvelle-version-de-l-iphone-4-se-precise-39755593.htm#xtor=EPR-10010
Cette nouvelle mouture, destinée à l'opérateur Verizon, serait compatible avec la norme CDMA et corrigerait
définitivement les problèmes d'antenne du terminal.
Après le Wall Street Journal, c'est le toujours bien renseigné Boy Genius Report qui annonce la sortie prochaine d'une nouvelle version
de l'iPhone 4 pour le marché américain. Le site dit s'appuyer sur des sources solides.
Le terminal serait actuellement en phase de test en grandeur nature. Il aurait par ailleurs passé la phase de validation technique par les
ingénieurs d'Apple. Le smartphone pourrait entrer en phase de production dès la fin de l'année pour un lancement début 2011.
LTE ou pas ? Les changements au niveau du design ne seraient pas nombreux, c'est sous le capot que les modifications seraient les plus
marquantes. Les problèmes d'antenne seraient ainsi résolus grâce à l'utilisation de la technologie ARMC.
Il serait par ailleurs compatible avec les réseaux CDMA et serait distribué par Verizon Wireless, le grand concurrent d'AT&T qui perdrait
ainsi l'exclusivité de la distribution du terminal, exclusivité qu'il détient depuis 2007.
Autre rumeur, ce nouvel iPhone 4 serait également compatible avec le très haut débit mobile (LTE). En effet, Verizon est sur le point
d'activer son réseau LTE dans certaines villes américaines. Il couvrira 110 millions d'habitants.
"Je m'attends à ce que nos intérêts économiques se rejoignent à un certain moment et je pense que les choses comme la LTE sont une
autre bonne raison pour laquelle (Apple) voudrait avoir un appareil pour ça ou une tablette sur un tel réseau. Donc je m'y attends
fermement", a déclaré aux journalistes Lowell McAdam, le directeur opérationnel de Verizon.
Un processeur ARM pour les voitures
http://www.presence-pc.com/actualite/arm-voiture-41104/
ZoomFreescale propose une nouvelle gamme de puces, destinées aux... voitures. En effet, les systèmes internes des véhicules se
rapprochent de plus en plus des smartphones, mais certaines contraintes sont différentes. Les puces i.MX53 sont par exemples
supportées pendant 15 ans, un cycle de vie bien plus long que celui de la majorité des puces classiques.
La première est la i.MX534. Basée sur un Cortex A8 à 800 MHz, elle prend aussi en charge la 3D (OpenGL ES), la vidéo (1080p),
l'Ethernet, le SATA, la mémoire DDR2 et DDR3 et évidemment les cartes SD. Deux écrans sont gérés, tout comme l'USB 2.0. La 535 est
plus rapide (1 GHz) et la 536 consomme moins et intègre un encodeur vidéo en 720p. Les puces sont prises en charge par Windows CE,
QNX, Linux et Android (et globalement tous les systèmes qui fonctionnent sur une architecture ARM). L'intérêt est évidemment de
proposer des systèmes de bord complet, avec prise en charge du Bluetooth et même du Wi-Fi, de la navigation GPS, etc.
Le smart grid sécurisé vérifie les informations par deux fois
http://www.atelier.fr/infrastructures/10/21102010/smart-grid-dysfonctionnement-electriques-capteurs-verification-40387-.html#xtor=EPR-233-[HTML]-20101021
Dans les infrastructures électriques, des données concernant l'état du réseau sont envoyées pour rééquilibrer les flux.
Afin d’éviter que des programmes malveillants ne les falsifient, il faut croiser les sources.
Multiplier et croiser les sources d'informations du smart grid - qui font état du réseau, pour redistribuer l'énergie et mieux la répartir dans
la structure - permet de lutter contre le piratage de ces mêmes réseaux, affirme une équipe de scientifiques des universités du Tennessee
et de l’Arkansas. Celle-ci a mis au point un système qui ne se contente pas des données fournies par les rapports d'activité pour adapter
le grid, mais qui prend en compte celles transmises par différents capteurs, simultanément, et les compare. Pourquoi un tel dispositif ?
Croiser les données, pour vérifier la fiabilité des rapports Parce qu'en interceptant les rapports traditionnels envoyés au sein des
infrastructures dites "intelligentes", des programmes malveillants sont susceptibles de les modifier, alertent les chercheurs. Ces
opérations malveillantes peuvent provoquer l’instabilité de l’ensemble du réseau. Et mener à une panne généralisée. Le processus
développé par les chercheurs se fonde en fait sur un système de filtres, dit de Kalman, et qui permet de croiser plusieurs paquets
d’informations. "Des données concernant les paramètres de l’infrastructure de smart grid (voltage, fréquences, etc.) et la consommation
d’énergie sont régulièrement transmises".
Améliorer la solidité de la structure Voilà ce que précisent les scientifiques. "Ces données permettent en fait d’améliorer la solidité de
la structure, sa flexibilité, et son efficacité". De façon tout à fait normale, les unités de mesure de phase (PMU, "phasor measurement
units") envoient ainsi des rapports pour informer les responsables d’une saturation momentané du réseau, à tel ou tel endroit.