Zoo Basel Massive Monckies

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Zoo Basel Massive Monckies
Zoo Basel
Massive Monckies
Dario photographe
Cedric correcteur
Jérémie critique
Guillaume critique
Aurélien secrétaire
Katia chef informatique
Arbre phylogénétique
de quelques vertébrés
Synthèse de la sortie au zoo de Bâle
INTRODUCTION :
L’Homme actuel est issu d’une longue histoire évolutive. La lignée humaine correspond à
l’Histoire évolutive des primates hominidés. Cette histoire permet la compréhension de la place
de l’homme au sein du règne animal. L’étude de l’arbre phylogénétique du vivant indique que
les étapes de l’hominisation consiste en une acquisition de diverses caractéristiques
morphologiques, anatomiques et socio-culturelles propres à la lignée humaine. Ces grandes
étapes sont à la base de l’évolution humaine. Mais quelle est la place réelle de l’homme dans le
règne animal ? Pourquoi l’expression «l’homme descend du singe » est-elle aujourd’hui
désuète ?
I.
L’HOMME EST UN MAMMIFÈRE :
Tout d’abord, l’Homme est un être vivant constitué de cellules eucaryotes. Son mode de vie
terrestre s’est accompagné du développement de caractères qui lui ont permis de s’affranchir du
milieu aquatique, milieu source de vie. Afin de supporter son poids sur la terre, l’Homme est
doté de deux paires de membres locomoteurs ce qui le classe dans le groupe des tétrapodes. Son
squelette interne se décompose en trois grandes parties : le squelette axial, le squelette des
membres et le squelette du crâne. La présence de vertèbres au niveau du squelette axial permet
de classer l’Homme au sein du groupe des vertébrés. La mise en place d’annexes embryonnaires
tels que l’amnios, qui permet le déroulement du développement embryonnaire dans un milieu
aquatique artificiel, classe l’Homme parmi les amniotes.
L’Homme est un être vivant homéotherme. Il possède un système régulé qui lui permet de
maintenir constante la température de son corps recouvert de poils. De plus, il allaite ses petits
par l’intermédiaire de mamelles. L’acquisition de ces caractères place l’Homme au sein des
mammifères.
II.
L’HOMME EST UN PRIMATE :
L’étude de la main de l’Homme révèle la présence de pouces opposables et d’ongles plats sur
chaque doigt. Le volume de son cerveau est plus important celui de son corps. Ainsi, dans le
groupe des mammifères, l’Homme possède des caractères dérivés propres au groupe des
primates.
L’absence de queue permet à l’homme d’être classé dans le groupe des singes hominoïdes
comme le gorille, l’orang-outan et le chimpanzé.
III.
L’HOMME NE DESCEND PAS DU SINGE :
L’Homme est le seul homininé vivant. Il constitue à lui seul la lignée humaine, définie à
partir de la comparaison de l’Homme avec son plus proche parent, le chimpanzé.
L’Homme se distingue des grands singes par sa parfaite bipédie. Les grands singes sont
quadrupèdes avec une bipédie occasionnelle. Cette différence de locomotion est observable au
niveau anatomique par la comparaison des squelettes de l’Homme et du chimpanzé. Le bassin de
l’Homme, plus large, permet l’insertion d’un grand muscle fessier. Ce dernier joue un rôle dans
la maintient de la station verticale par un redressement stable du buste et il maintient par la
même occasion les viscères. La position de la rotule chez l’Homme permet une meilleure
répartition du poids du corps. Les jambes sont plus robustes et malgré le poids du corps,
l’Homme est capable de se déplacer dans son environnement. Sa colonne vertébrale présente 4
courbures qui assurent la souplesse et le redressement de la colonne. Chez l’Homme, le squelette
facilite son mode de locomotion.
Contrairement aux grands singes, le crâne n’est plus dans le prolongement de la colonne
vertébrale, mais il est posé au-dessus du trou occipital. Le crâne est dans l’axe de la colonne
vertébrale. Certains caractères propres à l’Homme sont également visibles sur le crâne. On
constate l’apparition d’un front et d’un menton chez l’Homme. La réduction de la mâchoire
permet la diminution de la taille des dents qui sont peu différenciées. Une des différences les
plus marquantes concerne le volume cérébral. Le cerveau de l’Homme est bien plus volumineux
que celui des autres hominidés. (Chimpanzé : 400cm3, Homme : 1700cm3).
Le caryotype des chimpanzés est également différent de celui de l’Homme. L’Homme
possède 46 chromosomes, tandis que le chimpanzé en possède 48.
Tous les hominidés présentent des activités sociales et culturelles, des caractères qui dérivent
de leur ancêtre commun. Toutefois, les outils constituent les premières traces d’une activité
humaine réfléchie. La forme des outils est conçue en fonction des besoins de l’Homme. La
fabrication des outils ainsi que la maîtrise du feu sont des caractères dérivés propres à l’espèce
humaine. Ils lui ont permis de conquérir des contrées au climat plus froid. L’Homme est capable
d’aménager son espace. Il enterre aussi ses morts. L’Homme a conscience de soi. La mort a une
signification précise comme le montre les différents rites funéraires.
L’Homme a développé des modes de communication particuliers. Il est capable d’écrire son
Histoire et de communiquer avec ses congénères par le biais d’un langage. L’Homme est aussi
un artiste.
L’Homme se distingue des autres primates par sa pensée des techniques qu’il met en œuvre,
son savoir qu’il peut communiquer et ses nombreuses activités culturelles.
CONCLUSION :
L’Homme se place au sein du règne animal parmi les espèces les plus récentes dans l’arbre
phylogénétique du vivant. Bien que classé parmi les primates, l’Homme ne descend pas du
singe.
On constate qu’il est le seul représentant des homininés. Malgré certains points communs, il existe
de nombreuses différences entre l’Homme et les primates. L’Homme ne descend pas du singe
mais l’Homme et les primates ont un ancêtre commun. La divergence a permis à l’Homme de
développer des adaptations qui permettent de répondre aux contraintes de son environnement.
L’existence de l’Homo sapiens sapiens résulte d’une succession d’étapes qui ont conduites à son
évolution. Cependant l’Homo sapiens sapiens est une espèce qui n’évolue plus dans les conditions naturelles
mais influe sans cesse les modalités de son évolution (Vaccination, contrôle de la reproduction, règles sociales…).
Pour le travail de groupe, nous nous sommes organisés de la manière suivante:
Au zoo, nous nous sommes appropriés plusieurs tâches. Aurélien et Katia ont pris des notes ainsi que tous les noms
scientifiques, français et la classification des animaux.
Après avoir fait le tour du zoo, nous avons réfléchi à la manière de compléter le défi 1.
Arrivés à la Affenhaus, nous nous sommes séparés en 4 groupes.
Cédric et Guillaume se sont occupés des lémurs cata. Jérémie s'est occupé des chimpanzés. Dario lui s'est contenté
des gorilles. Aurélien et Katia, se sont consacrés aux orang -outans. Mais c'est en groupe que nous sommes allés
étudier les macaques.
Puis chacun a fait des recherches sur les primates manquants dont le saki, le singe araignée et le gibbon.
A la fin de la matinée, nous avions déjà tous les brouillons et nous les avons confiés à Katia, la chef informatique.
Notre chef étant très exigeante et soucieuse du travail est retournée au zoo pour vérifier les informations. Mais rien
n'était à revoir le travail avait été déjà bien fait.
Suite aux recherches, nous avons laissé Katia faire un power point pour les défis.
Elle nous les a envoyés et mardi 13 novembre, nous avons participé à une réunion de crise.
Après de longues discussions, nous avons fait quelques retouches grâce aux photos du chef photographe Dario. Par
la suite, nous avons commencé à rédiger la synthèse. Jérémie et Guillaume ont été des critiques. Cédric regardait les
possibles erreurs de grammaire mais aussi de biologie. Quant à Aurélien, il a pris note des critiques et des phrase à
réaméliorer.
Par contre, nous avons rencontés des difficultés avec google doc, en effet tout le défi 2 n'a pas pu y apparaître après
tant d'heures passées dessus. De plus nous avons préféré utiliser MSN pour le travail à distance. En outre, pour les
corrections et les critiques, nous avons privilégié les rapports verbaux pour pouvoir mieux en discuter. Ainsi tout le
monde était impliqué dans ce travail et cela évitait de pénaliser ceux qui avait d'éventuels pannes d'ordinateurs et
autres bugs informatiques.

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