Finance - SwissLife Banque Privée

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Finance - SwissLife Banque Privée
Lettre Patrimoine et finance 19_Mise en page 1 08/07/15 10:43 Page1
Patrimoine
& Finance
N° 19 – Juillet 2015
À la une
LE CHIFFRE
Diminuer la pression fiscale
sur ses revenus
57 %
de nos contrats d’assurance
vie sont souscrits
en unités de compte.
Zapping
Comme nous l’avions annoncé dans notre numéro précédent, nous poursuivons notre série
d’articles sur la transmission avec la donation.
Il existe en effet différents types de donations,
quel que soit le bien transmis — espèces, titres,
biens mobiliers ou immobiliers — qui correspondent chacun à des objectifs précis.
La donation temporaire du seul usufruit a un
impact direct sur l’impôt sur le revenu et sur
l’ISF du donateur lorsque le bien donné génère
un revenu taxable.
Vous êtes parent d’un enfant majeur, encore
Swiss Life,
assureur
responsable
Engagée dans une
démarche de
responsabilité sociale
d’entreprise (RSE), une action de progrès
bénéfique pour l’entreprise comme pour
la société, Swiss Life publie son premier
rapport pour l’exercice 2014.
>>> Suite en page 2
Focus
Consulter le rapport
Marchés actions : optimisme
ou utopie ?
Des « mots pour
Alzheimer » en direct
Les 27 et 28 mai dernier, Yves Duteil,
Marie Vincent, Clémentine Lévy,
Catherine Laborde, Satya Oblette,
Laurent Kerusore et Denis Cherer
s’étaient donné rendez-vous chez
Swiss Life Banque Privée pour
enregistrer des témoignages de malades
ou d’aidants. La Fondation Swiss Life
qui soutient ce projet depuis trois ans,
est partenaire de France Alzheimer
depuis 2010. Les enregistrements seront
diffusés en septembre, spécialement
lors de la Journée mondiale de cette
maladie le 21 septembre 2015.
Avant de savoir si la période est propice aux actions, il est urgent de s’interroger
sur la durée dont on dispose, le postulat de base étant que le risque est inversement
proportionnel à la durée.
© Swiss Life Intellectual Property Management AG
Après l’augmentation de la notation
en mai 2012 et l’attribution de la
« perspective positive » l’année dernière,
l’agence de rating Standard & Poor’s
reconnaît à présent la solidité financière
et la capacité de rendement durables
de Swiss Life : elle relève son rating
à A avec perspective stable.
© Swiss Life Intellectual Property
Standard & Poor’s relève
la notation de Swiss Life à A
Aujourd’hui, l’environnement objectif
des « actifs risqués » réunit une série
de facteurs positifs, désignant les actions
européennes comme vecteur privilégié,
même si nous sommes également favorables
à l’international. D’autant qu’on note des
frémissements sur le crédit et l’investissement.
En effet, le fameux alignement des planètes
que sont les taux, le pétrole et l’euro subsiste,
même s’il vient d’être un peu corrigé. Or, pour
favoriser le désendettement, les banques
centrales maintiendront des taux inférieurs
à la croissance, ce qui contribuera à une
appréciation des PER*, quand, par ailleurs,
la flexibilité accrue du marché du travail, des deux côtés de l’Atlantique notamment,
bénéficiera aux profits.
L’actionnaire devrait sortir largement gagnant de cette politique de restauration des grands
équilibres et il verra ses dividendes majorés au fil des ans, tout en constatant une
valorisation de ses actifs. Les crises ne sont que des épiphénomènes de la vie financière
et ont le mérite d’entraîner des ajustements, voire des mutations, dont l’investisseur
doit tirer parti en étant mobile.
* Price Earning Ratio.
© Swiss Life Intellectual Property Management AG
Parmi les procédés à mettre en place avant la fin de l’année pour réduire l’imposition
2016, donner temporairement un bien se révèle une solution particulièrement
intéressante. Avec un double avantage : donner un coup de pouce à vos enfants
et bénéficier de bonnes conditions pour le faire. Démonstration.
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Patrimoine et Finance n° 19 // Juillet 2015
Édito
À la une
Chacun le sait : en matière de gestion
patrimoniale, celui qui détient la primeur
d’une information ou d’une nouvelle
approche d’investissement détient
une formidable clé de succès. C’est une
des raisons pour laquelle l’anticipation
et l’innovation sont chez Swiss Life
Banque Privée deux exigences permanentes
de notre action.
Cette double exigence forge, au cœur de notre
entreprise, une capacité à certes améliorer
de manière constante la qualité de notre
offre produits et services, mais elle
a également deux conséquences qui,
à mon sens, nous caractérisent en propre.
Le premier engagement est d’être sans cesse
capable, même face à la frilosité ambiante,
de prendre des risques en en maîtrisant
au mieux la nature et la pertinence
en termes de rémunération. À titre
d’exemple, nous revenons dans cette lettre
sur les opportunités des marchés actions
ou des marchés émergents.
L’autre facette de cet engagement est de vous
mettre en situation de minimiser les risques
liés à certaines situations de la vie. Cela peut
concerner la gestion ou la cession de votre
entreprise comme la transmission de votre
patrimoine. L’ensemble de nos experts
— en assurance, banque privée et gestion
financière — vous accompagnent alors pour
sécuriser les transactions, actes ou donations
nécessaires. Ils vous permettent non
seulement d’optimiser vos décisions
patrimoniales et d’alléger autant que faire
se peut la fiscalité successorale mais avant
tout d’anticiper — en toute sérénité —
les conséquences naturelles de l’évolution
de nos vies.
En tout cela, notre volonté est de répondre
aux attentes que vous nous confiez lors
de nos différentes enquêtes dans le cadre
de l’observatoire de la banque privée* :
être le partenaire au plus près de vos
préoccupations au quotidien en vous
donnant un conseil patrimonial personnalisé
et le service de qualité que vous attendez.
Je vous souhaite à tous un bel été !
Tanguy Polet, directeur général
Swiss Life Banque Privée
* Voir notre dernière lettre d’avril 2015.
© Swiss Life Intellectual Property Management AG
© D.R.
>>> Suite de la page 1
étudiant, qui dispose de revenus modestes. En
lui donnant temporairement l’usufruit d’un
bien fortement fiscalisé, un bien immobilier par
exemple, vous améliorerez sa situation financière tout en transférant un revenu fortement
fiscalisé vers votre enfant qui a un taux marginal d’imposition plus faible que le vôtre.
Le disponible de votre enfant sera donc supérieur à celui que vous lui donnez aujourd’hui.
Ne percevant plus les revenus liés à l’usufruit
transmis, vous ne serez plus tenu d’acquitter
les impôts afférents. Pour cela, votre enfant
devra être détaché de votre foyer fiscal (vous
pourrez également lui verser une pension alimentaire).
Par ailleurs, il revient donc à l’usufruitier (votre
enfant) de déclarer la valeur du bien immobilier
que vous lui aurez temporairement donné pour
le calcul de l’ISF. Il « sortira » ainsi de votre base
taxable. L’optimisation fiscale réalisée sera d’autant plus intéressante que l’usufruitier n’est pas
ou peu imposable et non assujetti à l’ISF, ou à
un taux inférieur à celui du donateur.
Vous pourrez fixer librement la durée dans l’acte
de donation, et récupérez la pleine propriété à
l’échéance qui vous paraît opportune.
À retenir
Cas pratique
Un bien immobilier locatif estimé
à 500 000 euros génère un revenu de
1 700 euros par mois. Son propriétaire est
imposé à un taux marginal d’imposition de
45 % (+ 15,5 % de prélèvements sociaux) et a
deux enfants. En donnant temporairement
ce bien locatif à un de ses enfants, le gain
sera supérieur à10 000 euros par an.
De plus, si ce propriétaire est taxé à 1 % au
niveau de l’ISF pour ce même bien, il fera une
économie de 5 000 euros par an. La donation
temporaire d’usufruit lui aura donc permis
d’aider son enfant majeur tout en optimisant
à la fois son impôt sur le revenu et son ISF.
Pour en savoir plus : Swiss Life organise
pour ses clients des soirées patrimoniales
sur la thématique « Les modes de transmission,
quelles stratégies ? ». Pour connaître les dates
et lieux, n’hésitez pas à vous rapprocher
de votre interlocuteur habituel.
Retrouvez la vidéo « Donner
temporairement » de notre expert
en scannant le QR Code
– S’agissant d’une donation, elle doit être déclarée et peut être soumise à fiscalité.
– Si l’optimisation fiscale est une des conséquences de ce type de donation,
elle ne peut en être la motivation première, au risque d’être considérée
comme abusive par l’administration fiscale. Elle doit donc être avant tout
envisagée comme une solution pour donner un coup de pouce à ses enfants
en les logeant, ou en les aidant à démarrer dans la vie.
– Cette opération est à réaliser avant la fin de l’année 2015 pour en tirer
tous les bénéfices dès 2016.
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Repères
Corporate Finance, une offre globale et sur mesure
pour votre entreprise à travers deux activités
Cession ou transmission, entrée en bourse ou levée de fonds constituent des moments clés dans la vie d’une société. Créé en 2011
et renforcé en 2014, le département Corporate Finance de Swiss Life Banque Privée met à disposition son expertise pour accompagner
les dirigeants dans leurs différents projets.
Dirigée par Alain Kuperty, l’activité « cession –
transmission » s’appuie sur une expérience de plus
de 25 ans avec un savoir-faire spécifique orienté
PME. Cette entité se positionne ainsi sur les entreprises de taille moyenne à caractère industriel, et a
tissé des liens privilégiés avec plus d’une centaine
de fonds d’investissement qu’elle peut solliciter
selon la nature des opérations. « Notre objectif, souligne Alain Kuperty, est de garantir la maximisation
du prix, dans le respect de la confidentialité, grâce à un
dispositif structuré, de la signature du mandat à la réalisation de la transaction. »
Début 2014, Frédéric Legros, dirigeant de
Chaudronnerie de l’Est (CDE), mandate le département Corporate Finance de Swiss Life Banque
Privée pour le conseiller dans une opération de cession. Premier constructeur européen de réservoirs
standard à pression atmosphérique avec 35 % de
parts de marché et 16 millions de chiffre d’affaires,
CDE quitte ainsi le giron familial fin mai 2015,
dans le cadre d’un LBO majoritaire mené par
Industries & Finances Partenaires, fonds d’investissement dédié au regroupement sectoriel. Alors
que la famille reste actionnaire à hauteur d’au
moins 10 % du capital, CDE entend profiter de la
force de frappe de son nouveau propriétaire pour
se déployer à l’international, tout en enrichissant
ses compétences et en se diversifiant.
Financer la croissance
Lancée il y a quelques mois et comptant déjà à
son actif de belles réussites (notamment Abivax
dont on a beaucoup parlé), l’activité marchés de
capitaux de Swiss Life Banque Privée réalise l’ensemble des opérations relatives au financement
et à la vie boursière des sociétés : levées de fonds
privés, introductions en bourse (IPO), augmentations de capital, émissions obligataires, émissions de titres hybrides (obligations convertibles,
obligations à bons de souscription d’actions, etc.),
offres publiques (OPA, retrait de la cote…). Elle
s’appuie sur l’expérience d’une équipe intégrée et
reconnue sur la place. « Nous proposons un suivi personnalisé tout au long du processus par notre équipe qui
En un clic
Conseil de pro
© Swiss Life Intellectual Property Management AG
SwissLife Stratégic Vie Génération,
la preuve par 3
Lancé en avril, ce produit constitue un complément particulièrement intéressant à l’assurance
vie classique pour ceux qui disposent d’un patrimoine important et souhaitent optimiser leur
fiscalité successorale (grâce à un abattement supplémentaire d’assiette de 20 %)*. De plus, il permet
d’adopter une attitude citoyenne en participant
au financement de secteurs utiles à l’économie
réalise toutes les étapes, de l’ingénierie au conseil, en passant par le montage, la recherche d’investisseurs ou le
placement des titres », souligne Jean-Michel
Cabriot, son directeur.
Petites et moyennes capitalisations avec un fort
potentiel de croissance, dans des secteurs traditionnels ou de haute technologie comme la santé,
l’électronique ou l’informatique, composent le
portefeuille clients.
Pour en savoir plus :
Scannez les QR codes ci-contre.
– le premier pour l’offre Marchés
de capitaux.
– le second pour l’accompagnement
en cession / transmission d’entreprise
réelle : les contrats vie génération sont en effet investis en totalité en unités de compte, dont au
moins 33 % dans des secteurs comme le logement, l’économie sociale et solidaire, le développement des PME et ETI. La particularité du
contrat imaginé par Swiss Life réside dans son
approche patrimoniale centrée sur la flexibilité et
la maîtrise du risque. L’assuré a le choix entre des
solutions éligibles pour partie en gestion libre
et / ou pour partie en allocation d’actifs. Selon
son profil d’investisseur, il optera parmi ces solutions complémentaires : un FCP spécifiquement
défini par Swiss Life Asset Managers qui offre
une volatilité faible (6 %) ; des allocations pilotées
Premium permettant de sélectionner quatre niveaux de volatilité : 10 %, 15 %, 20 % ou 25 % ; une
allocation libre composée de six supports PME /
ETI avec une volatilité supérieure à 25 %.
Pour toute information, n’hésitez pas à vous rapprocher de votre interlocuteur Swiss Life habituel.
* Voir Patrimoine et Finance n° 18.
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Patrimoine et Finance n° 19 // Juillet 2015
Décryptage
Crise de croissance dans les émergents
par Éric Bourguignon, directeur de la gestion de taux et crédit (Fixed Income) de Swiss Life Asset Managers
Les pays émergents ont connu, à partir du milieu des années quatre-vingts, une accélération phénoménale de leur développement.
Au cours de ces « 30 glorieuses », leur poids dans le PIB mondial est ainsi passé de 35 % à 51 %, tandis que leur population progressait
dans le même temps de 10 % pour atteindre 85 % de la population totale de la planète. Cette formidable phase d’expansion semble
cependant révolue.
La plupart des pays en développement marquent
en effet le pas depuis quelques trimestres, et les
plus importants d’entre eux, à l’image de la Chine
et du Brésil, suscitent même une inquiétude grandissante. Ils disposent cependant de ressources
humaines, financières et naturelles suffisantes
pour faire face avec succès aux défis économiques
auxquels ils sont aujourd’hui confrontés.
Le premier défi que beaucoup de ces pays devront
relever, sera de parvenir à dégonfler la bulle de crédits qui les menace, sans provoquer de ralentissement brutal de l’activité. Tel est en particulier le
cas en Chine, dont le modèle de croissance basé
sur le crédit facile a engendré un surinvestissement dans des domaines peu porteurs, une
hypertrophie du secteur immobilier et une fragilisation préoccupante du système financier.
D’autres, comme le Brésil, l’Inde ou la Turquie,
sont surtout pénalisés par les goulots d’étranglement apparus dans leurs économies. Ils devront
à la fois développer leurs infrastructures et leurs
ressources en énergie, mais également sensiblement améliorer leur système éducatif, pour espérer apaiser les tensions inflationnistes qui érodent
leur compétitivité et retrouver le chemin d’une
croissance harmonieuse.
À ces problèmes structurels s’ajoutent parfois des
soucis plus conjoncturels. Les pays producteurs
de matières premières, comme la Russie dont
l’économie repose largement sur l’exploitation
pétrolière, ont été frappés de plein fouet par la
baisse des prix de ces matières.
xpert
Avis d’e
© Thinkstock.
Une croissance déséquilibrée
Les pays lourdement endettés en dollars pâtissent
de l’envolée que connaît le billet vert depuis un
an. D’autres, dont le déficit courant s’est dangereusement creusé ces dernières années, ont été
affectés par les perspectives de remontée de taux
aux États-Unis. Celles-ci ont en effet provoqué
d’importantes sorties de capitaux de leur territoire au moment où ils devaient recourir aux
marchés internationaux pour se financer.
Bien qu’elle traverse incontestablement une
phase délicate, la zone émergente ne mérite pas
pour autant d’être délaissée par les investisseurs.
Sa croissance dépasse encore celle des pays occidentaux, malgré son récent ralentissement. Elle
Fonds émergents, une équation complexe
Créé par Swiss Life Gestion Privée, le mandat diversifiés émergents
100 % OPCVM (contrat SwissLife Stratégic Premium) permet d’investir
sur cette thématique en diversifiant les risques sur les marchés actions
et obligataires, et d’accompagner à long terme la croissance des pays qui composent
ce très vaste univers d’investissement.
restera en outre soutenue par l’immensité de ses
besoins et la jeunesse de sa population.
Des opportunités d’arbitrage
et de diversification
Cette zone est par ailleurs d’une grande hétérogénéité. Entre les pays producteurs de matières
premières et ceux qui les importent, entre les pays
qui ont misé sur l’industrie quand d’autres se spécialisaient dans les activités de services, les situations sont difficilement comparables. Elle offre
de ce fait de permanentes opportunités d’arbitrages qui peuvent être sources de profits appréciables.
Point important : les marchés émergents n’ont
pas toujours commis les excès observés sur les
marchés occidentaux sur lesquels les rémunérations sont parfois déconnectées des risques qu’ils
comportent. Ils présentent enfin un attrait supplémentaire : ils sont relativement décorrelés des
places financières des pays développés, et ils procurent donc d’intéressantes possibilités de diversification. n
Focus sur deux fonds du mandat émergent de Swiss Life Gestion Privée
Magellan (Comgest)
Construit autour de trois grands thèmes — la consommation, les infrastructures
et les acteurs globaux —, particulièrement investi sur l’Asie, notamment la Chine qui
est un des moteurs de performance les plus importants de cette thématique, ce fonds
est aussi exposé aux devises, spécialement au dollar en 2015. Deux raisons qui lui
permettent d’afficher une des meilleures performances des fonds de sa catégorie.
JPM Total Emerging Market (JP Morgan)
Ce fonds diversifié émergents permet d’investir tant sur les actions que sur les obligations
émergentes, à une époque où les rendements sur les pays développés sont très bas, tout
en diversifiant les sources de performances attendues.
Directeur de la publication : Anne-Marie Lasry.
Responsable de la rédaction : Véronique Eriaud.
Rédacteur en chef : Pascal Cheynis
Rédaction : Florence Beau, Éric Bourguignon, Gérard Cercet,
Pascal Cheynis et Xavier Lespinas.
Conception / réalisation / editing : Natasha Stefanovic.
Impression : Imprimerie de La Centrale.

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