Il y a un début à tout… Le petit poucet - Lo Caleï

Transcription

Il y a un début à tout… Le petit poucet - Lo Caleï
Il y a un début à tout…
Il y a 2 ans, alors que le jour de Pentecôte
L’association, représentée par son Président
était encore la journée de solidarité en
le Dr G. ROTH, a soutenu ce projet, car quoi
faveur
l’équipe
de mieux qu’un journal, pour favoriser la
administrative de Lo Caleï a mis à profit ce
communication. Et puis la parole, c’est
temps « en plus », pour réfléchir à différents
comme le sang dans nos veines : il faut que
moyens de créer des contacts, des liens
ça circule !
entre les bénéficiaires, mais aussi entre les
On compte sur vous pour qu’un second
intervenantes.
numéro voit le jour : vos souvenirs, vos
L’association a organisé plusieurs temps de
idées, vos dessins, vos photos, tout nous
travail. Ainsi les salariés ont pu se retrouver
intéresse….
des
personnes
âgées,
régulièrement pour réfléchir
au meilleur
Bonne année à vous,
moyen de dynamiser les contacts…
Ce journal, c’est leur idée : Echanger,
Bon vent au « CIRCUL’ »
s’intéresser à ce qui se passe, autant
Le journal de l’Association LO CALEI.
d’éléments qui favorisent le lien, et qui
permettent à tous de rester actifs, de rester
dans le mouvement, de participer.
Alors leur idée est devenue la nôtre.
« On apprend à tout âge » dit l’adage : c’est
vrai, pour preuve, vous venez de lire mon
premier édito et j’ai 40 ans !
Le petit poucet
Sandrine DUFOURCQ
Directrice de Lo Calei
Le petit Poucet un jour au bois voulut faire un tour.
Il écoute les oiseaux chanter au bord du ruisseau.
Il faisait avec des fleurs des bouquets de trois couleurs.
Mais l’Ogre allait venir, Petit Poucet doit partir,
Petit Poucet doit partir.
L’Ogre avec ses larges mains lui barre le chemin.
Le Petit Poucet lui dit : laisse-moi passer bandit
Car je n’ai pas peur de toi, à l’école on nous apprend
A l’école on nous apprend que tu es un ignorant.
Tes bottes je le sais bien
Tes bottes ne valent rien.
Elles ne font à chaque pas que de tous petits pas.
Ton couteau est coupé et ne coupera jamais,
Et ne coupera jamais la gorge au Petit Poucet.
Clément CAMGRAND de Lendresse
1
Souvenirs d’écoleSouvenirs d’école
Vers 1928…
J’avais 7 ans quand je suis arrivée en France ;
Dans mon sac d’école, offert par la commune
je suis née au Portugal. Nous avons habité en
pour les familles nombreuses, j’avais une
région parisienne, dans l’Oise. A pied, j’allais
ardoise, des crayons et un plumier ; les livres
dans une école primaire de filles avec ma
restaient à l’école…
sœur, et mes deux frères dans une autre, pour
les
garçons.
Nous
étions
six ;
J’étais vêtue d’une blouse noire boutonnée sur
l’épaule avec une jupe plissée longue et un
malheureusement deux sont décédés.
chemisier avec des volants en bas. J’étais
J’aimais beaucoup ma maîtresse qui était très
chaussée
gentille. Il y avait des règles très strictes : nous
chaussettes montantes.
devions attendre que la maîtresse s’assoit
de
galoches
et
j’avais
des
J’apportais mon casse–croûte et des gâteaux.
pour que nous puissions, nous aussi le faire à
Je me souviens qu’il y avait un cuisinier qui
notre tour. Nous devions aller aux toilettes
s’appelait Edouard. Après le déjeuner, nous
uniquement pendant la récréation. J’aimais
beaucoup ce moment-là
car on jouait à la
devions
débarrasser
et
deux
personnes
faisaient la vaisselle.
marelle, à la corde à sauter, aux dominos…
On chantait et on dansait en faisant des
rondes.
Mon
sport
préféré
était
la
gymnastique. La maîtresse tapait des mains
Tous les jeudis, la classe devait être rangée et
nettoyée... notamment nos pupitres et le grand
tableau noir…
pour nous prévenir : la récré était terminée et
A l’école, j’ai appris à coudre et à broder. Avec
on devait se mettre en rang, deux par deux en
des allumettes, on faisait des petites maisons.
silence. La classe se terminait à 17H00. Après
J’ai obtenu mon certificat d’études : mes
j’allais au catéchisme…
parents étaient très émus et fiers de nous…
En hiver, la classe était chauffée par un gros
poêle à mazout…
Denise LUCIO d’ Argagnon
Cinq kilomètres à pieds…
A l’époque je faisais plusieurs kilomètres à
avec des clous en dessous) trempées, il fallait
pied pour aller à l’école : le matin 5 km, le midi
à tour de rôle aller chercher du bois pour
autant pour rentrer manger car il n’y avait pas
allumer le poêle à bois de la classe.
de cantine et le soir pour revenir à la maison.
La vie était dure mais le plaisir d’aller à l école
Dans cette école
faisait oublier tout le reste.
la blouse noire était
obligatoire. Souvent, elle était confectionnée
assez longue pour durer plusieurs années.
Raymonde COURTIN de Ste Suzanne
Elle était raccourcie au fur et à mesure.
L’hiver, malgré les galoches (semelles en bois
2
Souvenirs d’école
« Aujourd’hui, j’ai 90 ans et qui
aurait pu imaginer que cette photo
serait publiée 84 ans après avoir
été prise par mon instituteur. Il en
serait certainement content. »
Raymonde COURTIN
L’école d’autrefois
Native des Landes, j’ai été scolarisée à l’école de
classe.
Saint-Paul-Les Dax à l’âge de 7 ans et demi. Maman
Je me souviens que nous déjeunions sous le préau et
préparait tout la veille et le matin, je partais à l’école
qu’une dame venait nous apporter de la soupe. Comme
avec mon cartable qui contenait mes affaires de
nous l’attendions avec impatience cette brave dame !
classe ainsi que le repas de midi (pâté, saucisse,
Nous nous empressions d’aller lui ouvrir le portail dès
boudin..).
que nous entendions le bruit de la charrette. Quelle était
L’école était située à environ 5 kilomètres de mon
bonne cette soupe de légumes chaude !
domicile et il fallait bien 45 minutes pour s’y rendre. J’y
J’ai également le souvenir que nous portions tous un
allais accompagnée de ma sœur et de mes 3 frères.
tablier noir. Le mien était noir vichy et pour l’égayer un
D’autres enfants venaient encore de plus loin. Quand
peu ma tante y cousait un galon rouge ou bleu.
ils passaient devant chez moi, je me joignais à eux et
Lorsque les cours étaient finis, il fallait refaire le chemin
plus nous nous rapprochions de l’école plus le groupe
du retour à pied et c’était un réel plaisir lorsque nous
d’enfants grossissait. Durant le parcours, nous nous
apercevions fumer la cheminée de la ferme car cela
amusions beaucoup, nous nous racontions des
voulait dire que maman nous avait préparé de bonnes
blagues et chantions à tue tête.
chocolatines qu’elle avait cuit dans le four à pain.
En hiver, je portais des galoches et maman faisait
Enfin, la journée n’était pas terminée car je devais aller
chauffer des cailloux qu’elle enveloppait dans du papier
garder les vaches. J’en profitais pour réviser mon
journal et que je glissais dans une poche de mon
catéchisme. Mes parents étaient agriculteurs. Le soir,
manteau pour me réchauffer les mains. Au fil du trajet,
j’aidais aussi à traire les vaches et si je renversais du
je changeais les cailloux de poche afin de réchauffer la
lait, je me faisais punir.
main qui portait le cartable. Ils passaient ainsi dans
Voilà ce qu’était l’école autrefois. Même si les journées
l’autre main. A cette période de l’année, nous
étaient longues, j’en garde un très bon souvenir car on y
rajoutions aussi dans notre cartable des copeaux de
était aimé de tous.
bois résineux, que nous appelions des « allume feux »
et qui servaient en fait à allumer le poêle de la salle de
Jacqueline PEDELUCQ d’Orthez
3
Souvenirs d’école
Souvenirs d’école
Au pays Basque
C’est la récré.
Mes doigts sont plein
Je suis née au pays basque le 25 décembre
. Pendant la récréation, nous faisions des
1927, à Sauguis St Etienne exactement (d’où
jeux et quand c’était nécessaire, nous allions
l’origine de mon prénom : Noélie). Ce petit
tous ramasser les sarments de vignes.
village se situe entre Tardets et Mauléon
A 11 ans, j’ai fait un voyage scolaire à Biarritz
dans la plaine de Saison.
où pour la première fois, j’ai découvert la mer.
de craie
Nous étions 4 enfants (3 filles et 1 garçon).
J’ai obtenu mon certificat d’études en 1939, à
Le pouce est rouge
J’étais la seconde, c’est mon frère qui a
12 ans l’âge légal à l‘époque. Ensuite, j’ai aidé
L’index est jaune
gardé la maison mère et ma belle sœur
mes parents qui étaient agriculteurs. Ils
l’habite toujours.
avaient des vaches, des brebis, des porcs,
Et l’annulaire est vert
A Sauguis, il y avait 2 écoles pour 300
des poules…
L’auriculaire a su
habitants. J’étais à l’école privée où il n’y
Après 12 ans, je suis allée dans une école
mieux faire.
avait que des filles. Les tabliers n’étaient pas
ménagère, 1 jour par semaine, pour y
Il est tout blanc !
obligatoires donc je n’en portais pas. Aux
apprendre le repassage, la cuisine…
Mes doigts sont plein
pieds, nous portions des galoches avec des
A l’école, nous devions parler Français, à la
de craie,
semelles en bois et des sandales l’été. Nous
maison, nous pouvions parler le Basque ou
Heureusement,
avions une institutrice qui s’occupait bien de
le Français
c’est la récré !
nous, elle nous faisait écrire à l’encre. Les
Plus tard, je me suis mariée. Mon mari était
encriers étaient dans nos bureaux.
électricien. Ensemble, nous avons eu 6
Il nous arrivait de manquer l’école pour aider
enfants : 5 filles et 1 garçon.
Le majeur est bleu
Pierre RUAUD
au travail des champs.
Pour le repas du midi, je rentrais chez moi
Noélie CUYOLAA d’Orthez
mais d’autres rapportaient leur gamelle. Je
ne
me
souviens
pas
comment
ils
la
réchauffaient
« Photo de classe de Mme CUYOLAA.»
4
Souvenirs d’école
La boutonnière
Native de Sauveterre de Béarn je suis allée à
Je me souviens qu’à l’école je portais une
l’école à l’âge de six ans. Au début je partais
blouse noire, boutonnée sur l’épaule, que
avec une copine puis plus tard avec ma
papa m’avait appris à laver et à rincer. Je la
sœur. Nous allions à l’école à pied qui était
trouvais triste et bien ordinaire ma blouse.
distante de 3 ou 4 kilomètres de chez nous.
En fait, j’admirais une de mes camarades qui
Avant d’y arriver il y avait une côte très raide
avait la chance d’en avoir une beaucoup plus
« la côte rouge » et lorsqu’un camion passait,
belle, ce qui fait que même avec sa blouse
nous avions l’habitude de nous y accrocher
elle était toujours coquette.
derrière. Je me souviens d’ailleurs être
Par ailleurs, je parlais patois à la maison et
tombée une fois alors que le conducteur
j’ai très vite appris le français. J’aimais l’école
avait freiné brusquement.
et j’aimais parler français.
Eté comme hiver, je portais des sabots dans
Enfin, j’ai obtenu mon certificat de fin
lesquels papa mettait du foin lorsqu’il faisait
d’études, mais pas aussi bien que ma
froid. En hiver, papa faisait chauffer des
maîtresse l’aurait voulu à cause d’une
cailloux qu’il enveloppait dans du papier
boutonnière que je n’ai pas réussie. J’aimais
journal et que je glissais dans mes poches
beaucoup ma maîtresse mais pas du tout la
pour me réchauffer les mains.
couture. D’ailleurs je ne sais toujours pas
Issue d’une famille très modeste, je partais à
bien faire les boutonnières !
C’est la rentrée
Marie CASTERA d’Orthez
Cartable nouveau, joli manteau.
Livres, cahiers et beau
plumier…
Cloche a sonné, un gros baiser.
Il faut y aller,
C’est la rentrée !
l’école avec une tranche de lard et un
morceau de pain pour le repas de midi que
nous prenions sous le préau. Mais comme je
n’aimais pas le lard, je me contentais de
manger le pain.
Je me souviens…
J’ai
été
à
l’école
jusqu’au
Christian Merveille
certificat
Dans la classe, les tables et les chaises
d’études. Le matin, il y avait la messe puis
étaient en bois. Nous écrivions à l’encre, et
je m’en allais à l’école à pied. Dans mon
la classe était chauffée au charbon.
école, il y avait 3 classes d’environ 25
Je me souviens que le soir, mon papa
enfants. C’était des classes uniques.
prêtait une attention particulière à ce que
Une leçon de
morale débutait le cours.
les devoirs soient faits. Jamais je ne serai
Nous avions une petite récréation vers 12h
partie à l’école sans un devoir fait ! Après
pour aller aux toilettes puis à la cantine ou
seulement, j’avais le droit de jouer.
le repas était fourni (payé en fin de mois
par mes parents). Le jeudi était notre jour
de repos et le vendredi après-midi, nous
faisions du sport.
5
Souvenirs d’écoleSourires
Les histoires de M. CAILLEAU…
Deux enfants font connaissances.
C’est un gosse qui rentre de l’école avec des
- Moi je suis du midi ! dit l’un deux.
notes lamentables, mais alors nulles, nulles !!
Sceptique, le second va trouver sa mère et lui
Son père lui demande :
demande :
- T’as une explication à donner, hein ?
- Maman, j’ai un nouveau copain. Il dit qu’il
Et le gamin répond :
est du midi et moi je suis du soir ou du
- Ben, j’hésite entre l’hérédité et …
matin ?
l’environnement familial.
Humour
Lorsque je suis né, le docteur a dit à ma
mère que je me présentais très bien.
Les autres tous les ans, elle les envoyait
chez un autre instituteur, mais moi, elle m’a
gardé 10 ans tellement j’étais bon !
Puis après il a fallu que j’aille à l’école.
Au bout de 10 ans, ne voyant rien venir, on
J’étais très très bon.
J’ouvrais les volets, balayais, coupais le bois,
m’occupais du poêle… La maîtresse m’a
gardé avec elle tant elle m’aimait bien.
ne me parlait ni de retraite, et même pas de
proportionnelle, j’en ai eu marre, alors je
m’en suis retourné à la maison !
Christian TOULOUSE d’Arthez De Bearn
Trucs et astuces
Astuces pour stimuler vos papilles :
- Mettez de la couleur dans vos plats, le plaisir commence par la vue.
- Marquez les saveurs avec des mets suffisamment épicés et poivrés.
- Mâchez les aliments, le goût se développe dans la bouche.
- Buvez suffisamment, la déshydratation influe sur la perception du goût.
Engrais pour rosier :
Pour avoir de beaux rosiers : couper des peaux de banane en petits morceaux, les
déposer aux pieds des rosiers en remuant un peu la terre.
Pour les pâtes à beignets ou crêpes sucrés :
On oublie souvent d’ajouter 1 pointe de sel dans la pâte, pourtant il relève leur saveur. En
revanche éviter de mettre du sucre dans la pâte : les préparations brunissent à la cuisson.
Proverbe béarnais
A Sent – Luça,
Lo jorn creish d’un saut de
puça
A Nadau,
D’un saut de brau
A cap d’An
D’un volet de hasan
A Sainte Lucie,
Le jour grandit d’un saut de
puce,
A Noël,
D’un saut de taurillon,
Au premier de l’An,
D’une envolée de coqs
6
Animations
Souvenirs d’école
C’est nouveau ?
Oui c’est nouveau et on espère bien que le
Notre projet c’est de vous aider à dépasser
service de lien social va se développer …
ces obstacles : toute notre équipe travaille et
Nous
ne
souhaitons
pas
« faire
des
est mobilisée pour proposer des thèmes qui
animations », nous souhaitons favoriser
vous donnent envie de tenter une sortie !
des contacts entre les gens.
Alors notre projet prend parfois l’allure d’un
La vie réserve parfois avec l’arrivée du grand
loto (fin janvier), d’un gouter autour des
âge certains désagréments : des réflexes de
crêpes (en février)…et bien d’autres idées
conducteurs
la
encore : aller la messe, au repas des ainées
circulation est, elle, devenue trop dense,
de vos communes, aller au bal musette,
nous contraignant bon gré, mal gré, à laisser
manger au restaurant, parler des palombes,
la voiture au fond du garage.
tricoter ensemble, écrire un journal…
C’est parfois le compagnon d’une vie qui s’en
Et si en sortant vous retrouviez vos amis (es)
va. Ce compagnon était aussi celui qui
de quartier, d’école …si vous faisiez de
conduisait…alors en même temps qu’on fait
nouvelles
face à un deuil on se trouve isolée.
simplement on partageait des moments
Parfois on est gêné par une démarche
ensemble avec des sourires et des mots.
hésitante, une main qui tremble, ou une
Vous avez des idées, des envies … dites les
oreille bien moins fine qu’avant…autant de
nous pour qu’on propose les thèmes dont
raison et bien d’autres encore qui nous
vous serez à l’initiative.
un
peu
lents
quand
laissent penser qu’on est mieux chez soi au
connaissances…..Et
si
tout
L’ équipe de Lo Caleï
chaud, tranquille…tellement tranquille qu’on
ne voit presque plus personne … et que tout
doucement on se replie.
7
Animations
Souvenirs d’école
Ce qui est fait au quotidien
Le
« Dessins réalisés par
des bénéficiaires avec
l’aide de Nathalie
PEDEBEARN lors
d’une intervention.»
métier
d’aide
à
domicile
est
certes
Denise et Adèle étaient très adroites de leurs
d’accompagner les personnes dans les
tâches
mains, l’une faisait de magnifiques ouvrages au
de la vie quotidienne tout en préservant leur
crochet,
aujourd’hui
autonomie mais c’est aussi communiquer et être
l’aquarelle et autres activités artistiques, grâce à
à l’écoute de leurs souhaits, de leurs désirs afin
Nathalie, et ont ainsi repris le goût de créer.
de les satisfaire au mieux. C’est aussi permettre
De plus, plusieurs d’entre nous (Denise, Fatima,
à certains de retrouver ou une activité qu’ils ne
Patricia …) partagent des moments privilégiés en
pouvaient plus faire seuls ou en découvrir une
faisant
nouvelle.
scrabble… Ce qui est une
C’est ainsi que Jeanine est allée se promener,
d’entretenir la mémoire d’André, Marie, Olga…
en compagnie d’Annie, le long du Luy à Amou où
Enfin, sachez aussi, que quelques-unes d’entre
un goûter avait été prévu. Une autre personne
nous font circuler des revues de foyer en foyer
est allée dans un centre équestre avec Reine,
au plus grand bonheur des personnes qui en
Thierry joue aux boules régulièrement grâce à
profitent.
Sonia et souhaiterait à présent aller à la piscine.
En conclusion nous pouvons dire que ces
Par ailleurs Noélie a fait des confitures de figues
activités ont permis à certains d’entre vous de
avec Maryvonne, elle n’en avait pas fait depuis
retrouver des plaisirs perdus, de découvrir, de
bien longtemps, elle a été très heureuse de
créer,
pouvoir en distribuer autour d’elles comme elle le
s’exprimer…
faisait autrefois. Quand à Marie, elle adore le
Et vous, qu’aimeriez-vous faire ? Faites-nous
jardinage, mais ça devient difficile à présent alors
part de vos souhaits
elle profite de la venue de Patricia pour faire du
votre tour !
des
de
parties
elles
de
s’oxygéner,
ont
découvert
dominos,
de
cartes,
façon ludique
partager,
de
et devenez acteur à
rempotage ou repiquer quelques plants, quel
plaisir de les voir fleurir !
Jocelyne SAUVIGNET, aide à domicile.
Nous remercions Annie, Jocelyne, Violette, Fatima, Nathalie, Patricia, Corinne, Elodie ainsi que les
bénéficiaires de LO CALEI pour leur participation à la réalisation de ce journal
« Si les scientifiques ajoutent des années à la vie,
notre rôle est d’ajouter de la vie aux années »
Theodore Monod
LO CALEI
4 avenue Francis Jammes
64300 ORTHEZ
 05.59.69.47.45
[email protected]
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