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Les 10 engagements pour l’école Un plan pour ne laisser personne au bord du chemin AJIR signifie Agir pour la Jeunesse : Insertion et Réussite « L’école n’est pas seulement un espace d’apprentissage du savoir. Elle est aussi, tout autant que la cellule familiale, le lieu de transmission des valeurs portant sur les fondamentaux de la vie en communauté citoyenne. C’est en ce sens tout d’abord que l’école doit être préservée et renforcée dans ses missions, toutes ses missions au service de ce qu’il y a de plus précieux pour l’avenir de la Nouvelle-Calédonie : nos enfants. C’est en ce sens ensuite que l’école doit demeurer un sanctuaire épargné de toutes les violences qui affectent notre société. Voilà pourquoi la province Sud s’efforce de garantir au quotidien et à tous, sans exception, de nombreuses exigences dans ce domaine : promotion de l’égalité des chances, renforcement de la lutte contre l’échec scolaire, encouragement au mérite pour faciliter la réussite et l’insertion. Avec ce guide vous trouverez l’essentiel de nos engagements pour l’école. Au nombre de dix, ils recoupent tous les enjeux que considère la province Sud pour vous permettre de réussir vos missions. Nos enfants nous engagent à réussir l’école. » Cynthia Ligeard Présidente de la province Sud Sommaire Page 5 AJIR en province Sud, Agir pour la Jeunesse : Insertion et Réussite Page 7 Promouvoir l’accueil Page 9 Sanctuariser l’école Page 11 Lutter contre la violence Page 13 Développer l’éducation citoyenne Page 15 Renforcer le rôle des directeurs Page 17 Affirmer l’importance de l’école maternelle Page 19 Accueillir tous les élèves Page 21 Développer le partenariat avec les parents Page 23 Affirmer le caractère océanien de notre école Page 25 Réussir l’école numérique Page 26 Lexique PRÉAMBULE p4 AJIR EN PROVINCE SUD AGIR POUR LA JEUNESSE Insertion et Réussite Un plan pour ne laisser personne au bord du chemin Pourquoi ? Relever les nouveaux défis de l’école du troisième millénaire en Nouvelle-Calédonie en tenant compte des évolutions de la société et des bouleversements institutionnels à venir. Pour qui ? Pour les 3-11 ans. Comment ? De nombreux dispositifs ont été imaginés et fonctionnent déjà. La province Sud propose, au travers de dix engagements, une politique éducative cohérente, intégrée dans un plan général ambitieux « AJIR pour la Jeunesse : Insertion et Réussite » qui constitue un véritable pari sur l’avenir. À venir : • Le développement et l’organisation de l’offre sportive, culturelle et artistique dans les écoles afin d’en promouvoir l’esprit. • L’opération « Touche pas à mon école » afin d’améliorer l’accueil et la sécurité dans les écoles. • Un dispositif de prise en charge spécifique des enfants atteints de troubles envahissants du comportement. • De nouvelles dispositions pour améliorer et optimiser l’accueil à l’école maternelle. • Le développement et le renforcement du partenariat avec les parents. • L’école numérique. Ce qui existe déjà - CPJ - École de la 2e chance - Internat d’excellence - Service civique - Formation Sylvicole - Carte Jeunes - À venir... p5 ENGAGEMENT N°1 p6 PROMOUVOIR L’ACCUEIL Développer des stratégies pour favoriser l’assiduité scolaire Reconsidérer les rythmes scolaires et l’accueil à l’école Pourquoi ? Favoriser l’assiduité scolaire des élèves afin de lutter contre les inégalités, de prévenir le décrochage scolaire et la délinquance, d’améliorer la protection de l’enfance et d’améliorer la réussite des élèves. Pour qui ? Tous les élèves scolarisés à l’école primaire qui sont exposés au décrochage scolaire. Comment ? • Poursuivre le développement d’écoles innovantes ( bilingue, école des sciences, école de rugby, école numérique… ). • Améliorer l’accompagnement à la scolarité et les études surveillées ainsi que les services de garderie ( en partenariat avec les communes ). • Reconsidérer les rythmes scolaires en menant une réflexion avec tous les partenaires de la communauté éducative et en tenant compte des recherches les plus récentes en matière de rythmes biologiques des enfants. • Optimiser, en partenariat avec les communes, les ramassages scolaires afin de réduire les temps de transport. • Favoriser l’assiduité des maîtres en améliorant leurs conditions de travail. Ce qui existe déjà Le protocole de signalement de l’absentéisme. Mis en place depuis mars 2011, il a contribué à une réduction significative de l’absence des élèves de la province Sud. p7 ENGAGEMENT N°2 p8 SANCTUARISER L’ÉCOLE Faire de nos écoles un lieu protégé L’école doit rester un espace préservé et consacré à l’éducation de nos enfants Pourquoi ? L’école est un lieu d’apprentissage de connaissances mais aussi de valeurs. Pour devenir des citoyens, nos enfants ont besoin d’un lieu approprié qui doit répondre à des exigences et à des critères particuliers. Notre devoir est donc de préserver cet environnement. Pour qui ? Tous les élèves scolarisés à l’école primaire. Comment ? Par la mise en place de l’opération « Touche pas mon école ». • Pour chaque école : proposer des actions de valorisation de son école dans le cadre de cette opération. Les collèges seront associés à chaque fois que cela sera possible ( parrainage des élèves de CM2 par des collégiens par exemple ). • Ouvrir l’école aux quartiers afin de responsabiliser les habitants ( vigilance ). En organisant des conseils de la communauté scolaire, à l’initiative de l’APE ou de l’équipe enseignante, les directeurs doivent activer des réseaux de vigilance au sein des quartiers où les écoles font régulièrement l’objet de dégradations et de vandalisme. • Lancer une grande campagne médiatique de sensibilisation de la population sur la nécessité de respecter l’école. Financée par la province Sud, cette campagne viendrait en renfort et en soutien des actions en cours. Ce qui existe déjà Un partenariat étroit entre les communes et la province Sud permet déjà, par des actions conjointes, d’intervenir auprès des écoles sinistrées. Un état des lieux des écoles « vulnérables » est en cours afin de prévoir des actions à court terme. p9 ENGAGEMENT N°3 p 10 LUTTER CONTRE LA VIOLENCE Prévenir et juguler tout phénomène de violence à l’école Préserver les enfants de toute forme de violence pour favoriser un climat scolaire propice aux apprentissages Pourquoi ? La violence sous toutes ses formes ( entre les élèves ou envers les élèves ) n’a pas sa place à l’école. Elle doit être combattue sans relâche et doit faire l’objet d’une vigilance sans faille. Pour qui ? Tous les élèves scolarisés à l’école primaires, élémentaires et maternelles. Comment ? Par la mise en place de procédures spécifiques. • Associer étroitement les parents à toutes les situations de violence rencontrées et favoriser la tenue de conseils de la communauté scolaire. • Proposer aux écoles volontaires ( en accord avec tous les partenaires de l’école ) le port d’une tenue identique pour les élèves. L’objectif est de créer un sentiment d’appartenance à une « communauté scolaire » et de freiner la formation de groupes aux codes vestimentaires identifiables. • Proposer de nouvelles procédures de sanction adaptées aux situations de violence. • Réaffirmer l’importance des informations signalantes des enfants en danger. • Favoriser la mixité sociale dans les écoles pour l’apprentissage du vivre ensemble au travers du développement d’activités ( mise en place des « Jeux de l’amitié » en partenariat avec l’USEP et développement des pratiques culturelles et artistiques ). Ce qui existe déjà La province Sud, par sa direction de l’Éducation, poursuit une politique de partenariat institutionnel dans le cadre des CLSPD ( Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance ) notamment. p 11 ENGAGEMENT N°4 p 12 DÉVELOPPER L’ÉDUCATION CITOYENNE Former des citoyens respectueux des valeurs Développer les valeurs sportives, la prévention de la santé et le goût de la culture et des arts Pourquoi ? L’école, premier endroit de socialisation, est le lieu privilégié d’apprentissage des valeurs citoyennes. Cet apprentissage n’a pas meilleur vecteur que les activités culturelles, artistiques et sportives qui favorisent la tolérance, le respect de l’autre, ainsi qu’une meilleure connaissance de soi et de son environnement. Pour qui ? Tous les élèves scolarisés à l’école primaire. Comment ? Par la mise en place de procédures spécifiques. • Développer les valeurs sportives et le goût de la culture en favorisant l’accès aux infrastructures culturelles et sportives par une politique plus cohérente d’attribution d’aides au financement et par la simplification des procédures administratives. • Créer un catalogue explicatif des activités proposées par les diverses directions afin d’encourager les initiatives des enseignants, grâce à un choix éclairé. • Mettre en place un passeport qui suivra l’enfant tout au long de son parcours scolaire en matérialisant l’ensemble des visites des espaces culturels, sportifs, civiques et naturels qu’il effectuera tout au long de sa scolarité. • Prendre part à la promotion de la santé ( alimentation, activité sportive… ) en étroite collaboration avec les services concernés comme la DPASS et la DASS et les associations de promotion de la santé. • Développer les bonnes conduites citoyennes en matière de prévention routière et inscrire les compétences de l’APER dans le livret scolaire. Ce qui existe déjà À l’heure actuelle, les offres d’activités destinées aux scolaires sont nombreuses. Cependant, il est nécessaire d’en effectuer l’inventaire complet et de les coordonner. Les actions de prévention routière sont déjà effectives depuis plusieurs années, mais restent à développer. p 13 ENGAGEMENT N°5 p 14 RENFORCER LE RÔLE DES DIRECTEURS Affirmer le rôle central du directeur Valoriser la fonction de directeur véritable pilote de son école Pourquoi ? Le directeur d’école, garant des apprentissages, de la sécurité des élèves, de la conformité du fonctionnement de son école et interlocuteur privilégié de tous les partenaires (Nouvelle-Calédonie et communes), a vu son rôle se complexifier au cours des années. Une réflexion et de nouvelles dispositions sont nécessaires pour l’accompagner dans l’évolution de son métier. Pour qui ? Toutes les directrices et tous les directeurs d’école de la province Sud, de l’agglomération et de l’Intérieur. Comment ? Par la mise en place de procédures spécifiques. • Redéfinir le rôle du directeur en précisant tous les domaines où sa fonction fait autorité en complément de la circulaire définissant ses missions. • Renforcer le soutien de la direction de l’Éducation auprès des directeurs dans l’accomplissement de leurs missions au travers du bureau des écoles. • Créer des groupes scolaires pour décharger le maximum de directeurs afin qu’ils se consacrent totalement à leur fonction. • Réviser les procédures de recrutement de formation et de suivi des directeurs. • Associer les directeurs aux réflexions de la direction de l’Éducation. Ce qui existe déjà - La création du bureau des écoles a facilité les échanges entre les directeurs et leur hiérarchie. La mise en fonction d’une ligne téléphonique spéciale, de l’extranet et l’utilisation de fiches de liaison aide les directeurs dans l’exercice quotidien de leur fonction. - Une gestion des remplaçants au plus près du terrain et des besoins. p 15 ENGAGEMENT N°6 p 16 AFFIRMER L’IMPORTANCE DE L’ECOLE MATERNELLE Aider à une scolarisation dès la petite section L’École maternelle permet au travers des activités qu’elle propose de réduire les inégalités scolaires à venir Pourquoi ? • Favoriser une scolarisation en maternelle dans les meilleures conditions permet incontestablement de réduire à long terme les inégalités. • S’habituer à la culture de l’école dès le plus jeune âge offre aux élèves et à leurs parents des garanties de réussite accrues. Pour qui ? Tous les élèves en âge d’être scolarisés ( à partir de 2 ans et 9 mois à la rentrée scolaire ). Comment ? • Accroitre le temps d’apprentissage des élèves. La section des petits doit être investie à plein temps par les élèves, dans le respect de leur rythme biologique. • Améliorer les conditions de scolarisation des élèves en diminuant les effectifs par classe et optimiser leur accueil et leur encadrement en partenariat étroit avec les communes concernées. • Veiller au respect de l’engagement des parents à scolariser leur enfant à plein temps dès lors qu’il est inscrit. • Respecter les recommandations en matière de sieste à l’école. Ce qui existe déjà L’école maternelle devient une obligation pour les parents qui choisissent d’y inscrire leur enfant. La signature d’un engagement formalisé leur est demandée. Un enfant inscrit en section des petits doit pouvoir profiter à plein temps de l’enseignement qui y sera dispensé, conformément aux textes et dans le respect de ses rythmes biologiques. p 17 ENGAGEMENT N°7 p 18 ACCUEILLIR TOUS LES ÉLÈVES L’école primaire est un droit pour chaque enfant L’école a le devoir d’accueillir tous les élèves dans leur diversité et de répondre à leurs besoins spécifiques Pourquoi ? La mission première de l’école est de proposer des solutions éducatives pour chaque élève en concertation avec les parents. Dès lors, les parents sont en droit d’attendre la meilleure scolarisation possible pour leur enfant. Pour qui ? Tous les élèves en âge d’être scolarisés. Comment ? • Pérenniser le dispositif des écoles prioritaires mis en place depuis 2006. Après en avoir redéfini les critères en 2010, le dispositif des écoles prioritaires sera maintenu afin d’assurer une meilleure égalité des chances. • Améliorer les conditions d’accueil des élèves en situation de handicap en proposant des formations spécifiques aux enseignants et en développant le DESI ( Dispositif des enseignants spécialisés itinérants ) qui répond très précisément à cette problématique. • Pérenniser le dispositif CLASSE ( Classe d’aide à la socialisation et la scolarisation à dominante éducative ) qui permet à des élèves auteurs de violences de trouver leur place à l’école ainsi qu’un lieu d’écoute adapté à leurs difficultés. • Prendre en compte les besoins des élèves précoces. Ce qui existe déjà - Les écoles prioritaires. - Le DESI ( Dispositif des enseignants spécialisés itinérants ). - Le dispositif CLASSE ( Classe d’aide à la socialisation et la scolarisation à dominante éducative ). La province Sud a su faire preuve d’audace et d’innovation et procède régulièrement à des ajustements afin que l’offre soit en adéquation avec les besoins réels du terrain. p 19 ENGAGEMENT N°8 p 20 DÉVELOPPER LE PARTENARIAT AVEC LES PARENTS Favoriser les initiatives où les parents sont acteurs Continuer à ouvrir l’espace scolaire aux parents pour développer une relation de confiance avec l’école et ses acteurs Pourquoi ? De plus en plus de parents se positionnent comme partenaires incontournables du système scolaire. Tous sont, légitimement, de plus en plus exigeants envers l’école de leur enfant et tiennent à être associés, dans la mesure des limites institutionnelles, à leur scolarité. Pour qui ? Tous les parents qui ont des enfants scolarisés à l’école primaire. Comment ? • Associer les parents aux principales manifestations de l’école en mettant en place des remises de prix en fin d’année, en promouvant une politique familiale d’accès à la culture. • Inviter, selon un planning prédéfini, des parents volontaires dans les classes de maternelle pour participer à l’animation d’ateliers. • Pérenniser la semaine des parents et favoriser les initiatives innovantes qui sont mises en place dans les écoles lors de cet événement. Ce qui existe déjà La semaine des parents rencontre, d’année en année, un succès grandissant. Cet engouement est bien la preuve de ce désir d’implication des parents dans l’école de leur enfant. p 21 ENGAGEMENT N°9 p 22 AFFIRMER LE CARACTÈRE OCÉANIEN DE NOTRE ÉCOLE Situer notre école dans son environnement géographique Valoriser et promouvoir tous les aspects culturels de notre population scolaire et de nos voisins d’Océanie Pourquoi ? • Se reconnaître et vivre ensemble dans l’école puis dans la société passe nécessairement par la connaissance de la culture de l’autre. • Se situer dans un contexte géographique spécifique afin de mieux appréhender sa propre réalité. Pour qui ? Tous les élèves scolarisés à l’école primaire. Comment ? • Promouvoir et favoriser les initiatives innovantes qui prennent en compte toute la diversité culturelle de notre pays et favoriser tous les projets sollicitant un intervenant dans le domaine des cultures océanienne et européenne. • Pérenniser et développer le dispositif LCK* : - en développant l’apprentissage des LCK* lors de l’accompagnement à la scolarité. - en favorisant la production de supports en LCK ( albums... ). • Favoriser l’élaboration de modules de formation, pour les aides maternelles (lecture de contes, activités culturelles et artistiques) dans le cadre précité. Ce qui existe déjà Le dispositif LCK est déjà déployé sur 14 écoles de la province. Cinq langues y sont enseignées**. Deux écoles bilingues accueillent des élèves sur la commune de Nouméa et du Mont-Dore. Une troisième est en construction à Dumbéa et sera opérationnelle à la rentrée 2012. *LCK : langues et culture Kanak. **Langues enseignées : Nengone, Drehu, Païci, Numèè, Xârâcùù. p 23 ENGAGEMENT N°10 p 24 RÉUSSIR L’ÉCOLE NUMÉRIQUE Développer la culture informatique des élèves Renforcer le développement des TICE à l’école pour relever le défi du 3e millénaire Pourquoi ? La formation des élèves du 21e siècle est au centre des préoccupations de la province Sud. L’école se doit d’être à la pointe du progrès afin d’optimiser l’impact des nouvelles technologies sur la réussite des élèves et de tisser un véritable réseau pour rompre l’isolement. Pour qui ? Tous les élèves scolarisés à l’école primaire. Comment ? • Consolider l’environnement numérique favorable au développement des usages : - en renouvelant le partenariat avec les communes pour l’équipement informatique de base des écoles dans le cadre de l’opération développement d’internet ( ODI 3 ) ; - en lançant une école tout numérique expérimentale afin d’analyser l’impact des nouvelles technologies sur la réussite des élèves. • Développer les espaces numériques de travail ( ENT ) afin de favoriser les échanges école/parents/élèves : - en s’affranchissant des barrières temporelles et géographiques ( cahier de texte numérique, etc. ). • Accompagner les enseignants dans les nouveaux usages : - en les formant et en les sensibilisant à l’émergence de « l’e-citoyenneté ». • Promouvoir les outils numériques qui rendent l’élève acteur de son apprentissage : - en dotant progressivement les enseignants d’équipements innovants ( tableau interactif, dispositif d’évaluation en temps réel, etc. ). Ce qui existe déjà - Le plan ODI 2 mis en place depuis 2005 qui comprend l’équipement de toutes les écoles en matériel informatique. - La formation initiale et continue de tous les enseignants. - L’équipement progressif des établissements en tableaux blancs interactifs ( TBI ). p 25 LEXIQUE DPASS : direction Provinciale de l’Action Sanitaire et Sociale DASS : direction des Affaires Sanitaires et Sociales AJIR : Agir pour la Jeunesse : Insertion et Réussite LCK : APER : DES : CLASSE : Langues et culture Kanak attestation de première éducation à la route direction de l’Éducation classe d’aide à la socialisation et à la scolarisation à dominante éducative DESI : dispositif des enseignants spécialisés itinérants TICE : technologies de l’information et de la communication ODI 2 : opération développement d’internet ( 2e tranche ) ODI 3 : opération développement d’internet ( 3e tranche ) ENT : TBI : APE : espace numérique de travail tableau blanc interactif association des parents d’élèves USEP : union sportive de l’enseignement du premier degré CLSPD : conseil local sécurité prévention de la délinquance Hôtel de la province Sud Artillerie • 9, route des artifices - BP L1 98849 Nouméa Cedex - Tél. 25 80 00