armand behar – histoire d`une représentation

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armand behar – histoire d`une représentation
armand behar – histoire d'une représentation
Depuis les années 2000 Armand Behar se consacre à la réalisation
d'une seule et même oeuvre : Histoire d'une représentation.
Chaque pièces réalisées : installations, vidéos, photographies, livres,...
fonctionnent comme un indice, et au fur à mesure des expositions
le spectateur découvre un monde imaginaire où cohabitent paysages
artificiels et lieux administratifs, formes héritées du monde moderne
et formes oniriques générées par la société industrielle contemporaine.
Ce travail protéiforme interroge les conditions même de l'apparition
de l'oeuvre dans le temps et dans l'espace de l'exposition.
Armand Behar s'approprie les formes archétypales de l'art : la série,
le participatif, l'in-situ, la performance, le process,... pour construire
une oeuvre qui explore les rapports réel-fiction dans notre société
à la manière d'un réalisateur de film d'anticipation.
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Titre : Image boussole d'une civilisation souterraine
Film durée : 5 mn., musique de Roland Cahen
Histoire d'une représentation, volet II - 2010
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Titre : Au-delà des mondes parallèles
Intervention in-situ. Porte murée avec 25 parpaings,
lumière verte et diffusion d'un son de vent, 70 X 225 cm
Histoire d'une représentation, volet II - 2009
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Titre : De la fenêtre s'étend un paysage
Installation "plateforme de consultation" d'un film montrant
un paysage. Sol de 4m2 composé de dalles de moquette,
néons verts vibrants, écrans, magnétoscope et trois k7 vhs.
Histoire d'une représentation, volet II - 2009
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Titre : Mémoire d'un explorateur
Sculpture composée de 325 k7 Vhs, 70 X 225 cm
Histoire d'une représentation, volet II - 2009
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Titre : A l'origine du monde des anonymes.
Projection d'une vidéo in-situ. Dans un couloir souterrain
sans fin...infini, une foule de gens regardent des écrans
au plafond qui diffusent des images de paysages.
Histoire d'une représentation, volet II - 2009
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Titre : Au milieu de ces paysages artificiels
seul les restes d'un monde industriel sont bien réels - N°1
Tirage photographique lambda plastifié 120x160 cm
Histoire d'une représentation, volet II - 2009
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Titre : Au milieu de ces paysages artificiels, seul les restes
d'un monde industriel sont bien réels - N°2
Tirage lambda plastifié 120x160 cm
Histoire d'une représentation, volet II - 2008
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Titre : Au milieu de ces paysages artificiels, seul les restes
d'un monde industriel sont bien réels - N°3
Tirage lambda plastifié 120x160 cm
Histoire d'une représentation, volet II - 2008
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Titre : Au milieu de ces paysages artificiels, seul les restes
d'un monde industriel sont bien réels. N°4
Tirage lambda plastifié 120x160 cm
Histoire d'une représentation, volet II - 2008
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Titre : Une balade sur la presqu'île
Installation, plateau de 4m2 avec bois plus moquette avec hauts
parleurs types vibreurs et dessins au stylo à bille sur feuilles
mécanographiques, format 24x29.
Histoire d'une représentation, volet II - 2008
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i
Titre : Histoire d'une repésentation n°10
Document de 96 pages de texte avec 30 dessins , 21x29,7 cm
Histoire d'une représentation, volet I - 2002
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Titre : Voix-off
Cartes, format 15X10,5 cm, 500 exemplaires
Histoire d'une représentation, volet I - 2002
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Titre : Rapport d’activité
Environnement, table de réunion, chaises,
bouteilles, documentation, projection vidéo (3mn)
Histoire d'une représentation, volet I - 2003
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Titre : Centre de transfert
Diffusion en ligne, manuscrit (75 dessins), 1 vidéo (1mn), 36 sites
Histoire d'une représentation, volet I - 2002/05
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Titre : Histoire d’une représentation, manuscrit n°10. 2005
96 pages, format 21x16 cm. Editions Bernard Dumerchez
Histoire d'une représentation, volet I - 2004
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Titre : En direct du Centre
Performance webcam en réseau.
Histoire d'une représentation, volet I - 2004
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Titre : Présence
Installation, vidéo (10 mn), caisse en bois, 40 livres.
Histoire d'une représentation, volet I - 2004
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Archéologie du futur.
par Marie Astrid Meunier
Car, il s'agit bien d'occuper des murs, ou plutôt, des espaces. Le
public n'étant pas autorisé à pénétrer dans le bâtiment, le rez de
chaussée, composé essentiellement de pièces vitrées, les
installations et les objets demeurent intouchables. Ainsi, sur le thème
de la boucle (Rittberger était un patineur allemand célèbre pour cette
figure, d'où son nom et non pas de la boucle répétitive de montage du
type « loop »), chaque artiste invité « bricole » in situ une pièce
dialectisant avec le lieu. Parmi toutes ces propositions, pourtant aussi
intéressantes les unes que les autres, je me suis arrêtée sur celle
présentée dans l'ombre du garage souterrain.
Sur la grande porte noire inscrit « A l’origine du monde : des
anonymes. » J'avance à l'intérieur de l'ancien garage. Ambiance bien
étrange. Les jeux d'éclairage m'évoquent immédiatement une
atmosphère de film fantastique des années 80...J'avance et distingue
une accumulation (sorte d'armoire) de cassettes VHS soigneusement
disposées et enveloppées d'une lumière verte ténue. Pas très loin,
disposé sur le sol, un carré de moquette, surélevé de quelques
centimètres, avec au dessus un magnétoscope et trois cassettes
VHS. Sur le moniteur, les images d'une balade dans un paysage
virtuel en 3D. Au dessus clignotent subrepticement des néons à
faibles lumières d'où sort de nouveau cette lueur verte angoissante.
Quasi invisible, la troisième installation est comme « incrustée » dans
l’un des murs: je découvre un autre mur vraisemblablement construit
pour l'occasion dans un encart de porte. A travers les jours entre les
parpaings, cette même lumière, sorte de fil conducteur, plus forte
cette fois, accompagnée d'une douce musique de roulis de bord de
mer, me laisse envisager un paysage serein mais toutefois inquiétant.
Je me retourne et une grande projection vidéo ( « A l'origine du
monde : des anonymes. Film : vidéo, durée : boucle »), calme encore
une fois, se déploie sur le vaste mur au fond du garage: un horizon de
visibilité qui monte, une foule qui se meut au ralenti et sans bruit dans
des couloirs, vraisemblablement, d'une gare, avec au dessus d'eux,
des écrans où l'on retrouve les paysages des vidéos précédentes.
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Ces pièces d'Armand Behar correspondent entre elles au sein même
de l’exposition mais également, d'une exposition à l'autre, formant
ainsi un récit morcelé dont nous sommes les détectives temporaires,
de passage. Ce récit c'est celui d'une « Histoire d'une représentation » oeuvre sur laquelle il travaille depuis 2000, la décomposant
en « volets ». Le « récit » en tant que tel a une place prépondérante
dans son travail. Le but est de raconter une histoire qui se déplie
dans le temps et à travers chaque exposition. Pièces comme
fragments d'un puzzle. Une immersion dans un monde avec des
codes et des formes particuliers. Le visiteur devient donc enquêteur
et participe à sa manière à l'histoire : son imaginaire fait le lien et
compose avec l'oeuvre. En imaginant, le spectateur compose des
sortes d' « espaces manquants ». En parlant d'espace, ils peuvent
également participer activement à la perception de l'oeuvre et avoir
accès à de nouveaux indices en l' « activant »: les vhs sont mises à
disposition du visiteur par exemple, afin de pouvoir être regardée
selon le bon vouloir de l'audacieux qui s'ose à pénétrer le périmètre,
pourtant délimité symboliquement au sol par un carré de moquette
surélevé.
Raconter une histoire à partir d'un travail plastique
De nombreux média s'emparent d'histoires fictives, notamment la TV
et l'industrie cinématographique. Armand Behar, comme Nicolas
Moulin par exemple, utilise ses photographies et crée un récit
d’images sous la forme d’un livre; il utilise aussi la vidéo (avec
éléments incrustés ou carrément 3D) dont il tire des images, comme
Alain Bublex, ou des vidéos interactives, qui placent le spectateur
comme visiteur voire acteur dans l’histoire (Olivier Oswald apparait
comme en vidéo conférence, au dessus d’une table de réunion
dans « Rapport d’activités », ou le visiteur lit des écrits d’archives
sous forme de micro film dans « Une mission pour olivier Oswald»).
Ici, il s’agit d’installation. Ce type de média est rarement considéré en
vue de raconter une histoire. Et pourtant elle n’évoque que par bribes,
suggère une grande possibilité d’ouvertures narratives et nous invite
à découvrir un monde riche. Du paysage où se promène le
personnage (caméra subjective) à la gare où la foule nous oppresse,
en passant par le mur qui nous incite à nous mettre dans la peau du
« Peeping Tom » découvrant un passage vers un autre monde… les
sensations sont légions. « Il y a dans mon travail un enjeu autour du
récit, et par rapport à l'espace, à l'exposition et le lieu d'exposition: un
point important, dont les enjeux ont déjà été très développés par des
artistes comme Liam Gillick, Pierre Huygue, Philippe Parreno,
Douglas Gordon... J'essaie donc de continuer à suivre ce chemin déjà
tracé ... » raconte l’artiste, « chaque pièce proposée peut être
autonome : lors de la prochaine exposition je peux envisager qu’il n’y
ait que l'armoire à cassette ici, ou que le mur ou la vidéo.
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Mais chacune d’entre elles s’entretiennent plus ou moins avec
l'histoire de l'art contemporain" (si tant est qu'il y en est "déjà" une):
elles correspondent toutes à une sorte de ramification. Les cassettes
font appel à la notion de série, l'espace de consultation à la notion de
"participatif" (ou "relationnel"), l’in situ : ce sont des éléments
importants des années 90 et de l’art contemporain en général. Ce qui
m'intéresse c’est de m'appuyer sur un monde moderne qui s'en va
pour interroger un monde à venir avec des bizarretés numériques qui
apparaissent tout d’un coup… ». Un monde fictif qui se déploie dans
l’espace, dans une dialectique avec le visiteur, entre les pièces elles
mêmes, et circonstancielle : « chacune des pièces proposées
entretient son propre rapport avec la réalité du lieu ici ».
A la manière dont la fiction va jouer avec le réel, le lieu justement,
singulier, a aidé et/ou contraint (au choix) les artistes invités dans le
choix et l’exécution de l’oeuvre.
Un lieu, un contexte
L’architecture de la résidence est l ‘oeuvre de Claude Parent et des
architectes iraniens Mossem Foroughi et Hedar Ghiai : une construction
métallique résolument moderne de la période de l’après guerre.
La fermeture, temporaire, est due à la vétusté des locaux et à
un escalier externe impraticable. Ainsi la résidence porte en elle une
histoire et des symboles particuliers ii, que Behar, prend soin de
considérer en travaillant le style industriel de ses installations in situ :
les parpaings utilisés pour le mur font ainsi référence à une certaine
époque, aux murs des années 60 ; aussi, le bâtiment étant interdit au
public et autorisé exceptionnellement aux artistes pour l’exposition :
« l'interdiction répétée "interdit de rentrer" aussi m'a inspiré. Le mur
le rappelle, il a été posé, comme arrivé brusquement de nulle part. »…
Le lieu inspire d’autres scénarii, moins réels cette fois : « dans les
films de science fiction on voit les gens courir dans des couloir
jusqu’à ce qu’ils rencontrent une porte ouverte: elle est murée. Puis,
ainsi de suite, les autres sont également toutes murées. Ils se
retrouvent ainsi enfermés dans un couloir sans fin ». Ambiance
anxiogène, peut être à l’image d’un avenir incertain : « La fiction
justement. Comment aujourd'hui les technologies arrivent à fabriquer
certaines représentations, et formes, comment participent elles du
coup de la définition que l'on a du monde ? Les jeux vidéo en sont un
bon exemple. Les technologies participent donc aussi de cette
frontière entre la fiction et le réel. A mon avis, il s'agit d'un puissant
outil pour travailler sur les fantasmes ».
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Science fiction, nostalgie vintage et futur numérisé
L’artiste utilise abondamment des matériaux faisant référence au
monde de l’analogique, des années 80/90. « Comme c'est souvent le
cas dans l'anticipation; je vaisutiliser pour les installations des objets
quasi obsolètes aujourd'hui, par exemple, la VHS etc. Certaines
technologies et références d'un monde qui est en train de disparaitre,
un monde administratif avec la moquette (sur laquelle nous sommes
assis), des espaces industriels souterrains. Je joue beaucoup avec
ça. Et, au contraire, pour interroger le devenir de ces formes
numériques qui elles au contraire essaient de se cacher de plus en
plus (de moins en moins visibles). ». Des matériaux pour faire
également appel à l’imaginaire du spectateur, qui convoquent les
mêmes références, et ainsi facilitent l’immersion dans le monde
artificiel. Un anachronisme intéressant, entre le présent dans lequel
s’inscrit l’expérience sensorielle du visiteur, la fiction futuriste à
l’intérieur de laquelle il tente de nous faire immerger, les « vieilles
technos » et les archives qui font déjà partie du passé. Un postulat
plastique de l’artiste qui construit déjà les ruines de notre monde
actuel. N’utiliserait-il pas ces « vieilles technologies » pour nous
inciter à critiquer le fantasme des réalités augmentées et autres
incorporations du numérique dans l’environnement urbain par
exemple ? Ses références culturelles se basent plutôt sur une
imagerie de sciences fictions déjà vieillies, qui évoquent des sociétés
souterraines du type pandémonium, des hommes qui tentent de
s’immerger complètement dans un monde artificiel, style « heroic
fantasy », ou celles d’une ville oppressante à l’image de la Métropolis
de Fritz Lang, dont on s’échappe pour s’isoler dans un paysage
lunaire, comme celui visible en 3D dans ces balades oniriques. Ces
vidéos présentent un immeuble mystérieux, sorte d’HLM qui aurait
subsisté à une catastrophe, haut perché sur une montagne, ou tout
simplement, imitation d’un élément du passé. A l’instar de M. Oswald
du premier volet, il s’agit maintenant dans le volet II (depuis 2006) de
se concentrer sur ce mystérieux bâtiment où logent des artistes…
« On y apprend notamment que ce bâtiment (le hlm en 3D) existe
réellement. Sa propre histoire m'a aidé à écrire l'histoire du bâtiment
visible sur la vidéo. Il abritait notamment une entreprise qui fabriquait
des fours industriels, mais la société a fait faillite et ils ont transformés
le bâtiment en lieu d'habitation, logements sociaux et ateliers
d'artistes… » Une sorte de squat ? « ah non, un truc officiel ! Très
inspiré donc de ce bâtiment, hormis le fait qu’il ne se trouve pas en
haut d'une presqu'île, en haut d'une montagne... mais à Montreuil,
enclavé! ». Armand Behar semble vouloir raconter une histoire
longue, riche, mystérieuse, légendaire et futuriste à la fois, mais aussi
de créer des fossiles du futur, des fables dont on se servira peut‐
être si les éléments de l’enquête de fiction correspondent
un jour avec le réel.
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Strates fictionnelles de Larys Frogier Directeur La criée Centre d'art contemporain
Armand Behar réalise des dispositifs visuels qui convoquent autant
l'écriture, la performance, la photographie, les nouvelles technologies
numériques que les installations plastiques. L'extrème pertinence
du processus artistique tient dans la création de mondes imaginaires
ambigus où les réalités urbaines et humaines se confondent avec
des strates fictionnelles. De fait, les projets de l'artiste tiennent dans
de subtil processus de production de l'information, de sa circulation
par le biais de sites internet et de surgissements d'images
fantasmatiques qui nous questionnent sur la construction de nos
espacescontemporains . le projet riche et dense de l'oeuvre
Histoire d'une représentation prolonge cette quête simultanée de la
disponobilité critique aux éléments du réel et de la prospection
imaginaire. C'est par le biais de double vue que se trament
les événements de surprise et d'heuristie qui participent
à projeter l'image hors cadre du réel.
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__________________
Expositions et réalisations
Armand Behar
____________________
né en 1963
vit et travaille à Paris, France.
Oeuvres produites
. 2009
- Au-delà des mondes parallèles - installation in-situ,
- De la fenêtre s'étend un paysage - installation plateforme n°2,
- Souvenir d'un explorateur - sculpture,
- Au milieu de ces paysages artificiels,
seul les restes d'un monde industriel sont bien réels – série photographies
. 2008
- Une balade sur la presqu'île - Installation plateforme n°1.
- Une mission pour Olivier Oswald. Installation (visionneuse micro-film).
- A l'origine du monde : des anonymes. Film vidéo, durée : 10mn.
- Au milieu de ces paysages artificiels,
seul les restes d'un monde industriel sont bien réels - Photographie n°1.
. 2006-07
- Ecriture du projet. HR Volet II.
. 2003-05
- En direct du Centre, performance en réseau. HR Volet I.
. 2004 - Présence, installation. HR Volet I.
. 2003 - Histoire d’une représentation , manuscrit n°10, édition de livre. HR Volet I.
. 2002 - Rapport d’activité, installation. HR Volet I.
. 2002-05
- Centre de transfert, création en réseau. HR Volet I.
. 2002 - Voix-off, cartes. Histoire d’une représentation, Volet I
. 2001 - Injection, par visuelle, d'une compilation à fragmentation calculée, environnement,
- Infiltration d'images respiratoires en milieu semi-ouvert/semi-fermé, Entrisme n°3,
vidéo en réseau.
. 2000 - Chavirement d'âme précipité par le passage d'un vertige (à écho mécanique)
- Entrisme n°2 vidéo en réseau.
- Pliages et dépliages d'une pensée à étages, Entrisme n°1 vidéo en réseau.
. 1999 - Circulation d'une pensée à étages, environnement.
. 1998 - P-M-E (père, mère, enfant), environnement.
. 1997 - Pendule, installation.
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Expositions, éditions, conférences, workshops
. 2010 - Résidence Glassbox Cité Internationale Universitaire de Paris
création de portraits vidéo « Conquest »
- Ce qui suit dévoile des moments clés de l'intrigue - Galerie Aperto-Montpellier
Exposition collective : film Image-boussole d'une civilisation souterraine.
. 2009
- Optical Sound – magazine dédié à l'art, parution photographie.
- La main qui dessinait toute seule - Galerie Magda Danysz- Shanghai,
exposition collective : Une balade sur la presqu'île, série de 5 dessins.
-.Uchronies part II : Changer le cours de l'histoire – Galerie Ars Longa
Film vidéo, A l'origine du monde des anonymes
- Le complexe de Rittberger, Glassbox, Installation : A l'origine du monde des anonymes.
- Au milieu de ces paysages artificiels, seul les restes d'un monde
industriel sont bien réels – Exposition personnelle : installations, film et série prhographies
Centre Culturel Saintex, Reims.
. 2008 - La main qui dessinait toute seule - Galerie Magda Danysz, exposition collective
............ installation : Une balade sur la presqu'île
- Conférence Salon du Light #5 organisée par le Cneai invité par l'éditeur Burozoïque
. 2006 - Workshop thème : Formes d’anticipations, artiste invité. Ecole d’art de Valence.
- Conférence présentation démarche et productions 1998/2005. Ecole d’art de Valence.
. 2005 - Workshop thème : Les monstres. ENSCI/ Les ateliers,
. 2004 - Performance En direct du centre sur le site disseminer.org
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. 2003 - Edition du livre Histoire d’une représentation, n°10. Editeur Bernard Dumerchez.
- Workshop thème : Fiction d’entreprise. ENSCI/Les ateliers.
- Conférence-performance Histoire d’une représentation,
........... Centre Culturel Saint Exupery - Rennes
- Performance En direct du centre. Librairie Guerrin Merlin - Rennes.
- Exposition Présence. Librairie Guerrin Merlin - Rennes.
- Workshop thème : Envers du numérique. Ecole Nationale Supérieure de Création Industrielle.
- Sélection et soutien du Ministère de la Culture-dicream édition du livre
........... Histoire d’une représentation.
. 2002 - Exposition Rapport d'activité galerie du Frac Picardie - Péronne.
- Sélection d’Histoire d’une représentation par Rhizome - New-York.
. 2001 - Exposition Infiltration d’images respiratoires en milieu semi-ouvert/semi-fermé, Entrisme n°3.
............ Rencontres Internationales Hors-Circuit-Paris.
- Exposition Injection par voie visuelle d’une compilation fragmentation calculée
.
Espace François Mitterand -Beauvais.Entrismes, création en réseau.
- Sélection des Entrismes par Rhizome. New Museum of Contempory Art – New-York.
. 2000 - Conférence, présentation des Entrismes à Pre-load. CRECA-Paris.
- Conférence FIAC, thème : art contemporain et nouvelle technologie organisée par l’IESA.
- Exposition P-M-E Centre culturel Saint-Exupéry - Reims.
. 1999 - Exposition P-M-E Forum des images - Paris.
- Exposition Circulation d'une pensée étages Rencontres Internationales Hors-Circuit - Paris.
. 1998 - Exposition P-M-E Galerie J&J Donguy - Paris.
. 1997 - Exposition Pendule organisée par la fondation Getty à l'UNESCO - Paris.
- Exposition Pendule Festival de la vallée des Terres Blanches, CICV – Montbelliard.
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armand behar
Galerie Patricia Dorfmann
61 rue de la Verrerie . 75004 Paris France
Tel +33 (0)1 42 77 55 41
Fax +33 (0)1 42 77 55 41
http://www.patriciadorfmann.com/special_project/23
http://www.armandbehar.fr
a r m a n d . b e h a r @ f r e e . f r
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