Hello les gars content de vous retrouver dans nos lignes

INTERVIEW HIGHWAY – ZIKANNUAIRE
09/04/2012
Hello les gars content de vous retrouver dans nos lignes pour cet
entretien. Commençons par une brève présentation du groupe ainsi que
de son évolution musicale ?
Ben Chambert (guitare): Salut à toi et aux lecteurs de Zikannuaire. Ravis
de pouvoir nous exprimer dans tes colonnes.
HIGHWAY, c’est un groupe de hard rock’n’roll, joué par des passionnés,
avec les tripes, et une bonne dose de fun.
Le groupe est déjà formé depuis de nombreuses années, on se connaît par
cœur, c'est que du bonheur.
Le projet a été monté par mon frère Romain (le batteur) et moi. On était fan
de hard, on rêvait devant les albums de nos idoles...alors on s’est dit
pourquoi pas nous (rire)! Benjamin (au chant) nous a vite rejoint avec sa
voix si caractéristique…c’était une évidence qu’il nous le fallait ! Il ne nous
restait qu’à bosser…et on a bossé dur.
Pour revenir sur notre évolution et notre parcours, en 2002 nous avons
gagné un tremplin rock organisé au Rockstore à Montpellier, ce qui nous à
permis d’enregistrer rapidement notre premier E.P « Have a beer ! », album
dont nous jouons encore quasiment l'intégralité des titres en live, à la
demande des fans. Il faut savoir que cet album n'a été tiré qu'à 500
exemplaires …il est en passe de devenir "ultra-collector"! (rire)
Puis en 2005, retour en studio pour notre second essai « Goodbye Money »
avec lequel nous avons pas mal tourné et qui nous a permis de signer un
contrat de distribution avec le label Brennus Music pour nos 2 premiers
opus.
Après un petit changement de line up, nous re-voilà plus en forme que
jamais, et ultra-motivés pour défendre notre nouveau bébé « United States
Of Rock’n’Roll ».
Romain Chambert (batterie): Oui, Highway c’est une histoire de famille!
C’est une vraie formation de Hard Rock. Le pur, le vrai ! Au cours de nos
trois enregistrements studio, le groupe a évolué naturellement vers des
morceaux plus riches, tant au niveau des structures que des textes.
Pourquoi ce nom Highway, un clin d’œil aux US ?
Romain : Perso, j’aime tracer la route, voyager, aller à la rencontre des
territoires et des individus. Le nom Highway était donc tout à fait adapté.
En outre, la musique d’Highway est faîte pour la route : tu fais le vide, tu
suis la bande jaune (…ou la ligne blanche si tu es en France, mais ça le fait
moins bien (rire) !) qui défile sur les rythmes de morceaux tels que « United
states of Rock’n’roll » ou encore « Mr King Size ». Là, plus rien n’existe, tu
es en connexion totale avec Highway.
Le clin d’œil au States est évident. On a été bercé par les « road movies »
américains, avec ses décors de route, de déserts, de mirages qui remontent
du bitume. I LIKE IT !! Si la musique est en accord avec les images, c’est le
top ! Le morceau « In the circus of madness », tiré de l’album « Goodbye
Money », est directement issu de cette imagerie américaine.
Ben C: En même temps, ce nom c’est également un hommage évident à nos
grandes influences: "Highway Star" de Deep Purple, "Highway to hell"
d’AC/DC, l’album "Highway" de Free ou encore "Heading out to the
highway" de Judas Priest.
Votre registre musical s’étale sur un Heavy rock très ricain, quelles sont
vos influences premières ?
Ben C: Nos influences sont assez larges, mais pour ma part c’est le bon
hard rock 70’s – 80’s : AC/DC, Aerosmith, Deep purple, Whitesnake, GN’R,
Van Halen et bien d’autres…
Mes idoles, celles qui m’inspirent et qui m’ont vraiment donné envi de jouer
de la guitare sont des gars comme Angus Young, Joe Perry ou encore Billy
Gibbons.
Sam Marshall (basse): Personnellement j’admire Aerosmith pour
l’ensemble de sa carrière et la qualité de ses morceaux. Ça « groove », ça
« rocke » et les mélodies sont la plupart du temps sorties de nulle part.
A chaque fois que j’écoute « Rocks », « Toys » ou « Get a grip », je
découvre des trucs nouveaux. C’est très riche musicalement.
J’aime également la sauvagerie des Stooges et la puissance fédératrice de
Motorhead. Les Guns bien sur, Motley, Whitesnake …tous ceux qui vivent
« in the U.S of Rock ‘n’ Roll » ! Pas de frontières pour le rock, on est tous
des accrocs de musique, de liberté et de fun !
Benjamin Folch (chant): Mon premier amour est Deep Purple. Viennent
ensuite Whitesnake AC/DC, ZZ Top... les classiques ! Mais je suis fan
également de choses plus Heavy comme Iron Maiden, Symphony X etc…
Concernant mes influences au niveau du chant lead, je dirais David
Coverdale, Russell Allen ou encore Jorn Lande.
Ben C: Tu vois, tout ce panel d’influences fait partie d’Highway, un melting
pot de tous ce qui fait le rock mais avec une véritable identité.
Pouvez-vous nous décrire votre album United states Of Rock'n'roll de
l'intérieur, les influences, les thèmes ?
Romain : Cet album est notre troisième expérience studio.
Il n’y a pas d’influences volontaires. Je m’explique : nous n’avons pas
cherché à insérer délibérément nos influences dans l’album. Elles y sont
distillées naturellement. On peut y déceler pourquoi pas du Def Leppard, du
Guns, du AC/DC ou du Great White. Mais cet album est avant tout du
Highway. Ça fait longtemps que le groupe s’est forgé une identité propre.
Sur le plan des thèmes, je dirais qu’au-delà des apparences - des textes
légers sur la fête, le rock’n’roll et le sexe -, les paroles recèlent de réflexions
plus profondes sur la liberté de l’Homme, son aptitude à véritablement
choisir sa vie. (Freedom, United states of Rock’n’Roll…). Highway a choisi
le Rock’n’Roll, avec tout ce que ce mode de vie représente. Personne ne
nous enlèvera ça!
Benjamin F : U.S of R’n’R c'est l'album de l'unité autour d'un thème : la
grande famille du Rock'n'Roll! Peu importe nos origines, nos différences,
notre situation, quand le premier morceau commence, on oublie tous les
problèmes, on plonge dans l'univers d'Highway et du Rock'n'Roll. Le but
c'est de fédérer un max de monde autour de ce thème
Comment s'est passé l'enregistrement au "Trendkill Studio" ?
Romain : D’un point de vue technique, j’ai enregistré les pistes batterie en
premier puis …j’ai écouté les autres ! (rire)
Concrètement, nous avons changé de méthode. Nous avons enregistré
séparément, et perso j’ai enregistré les pistes de batterie au « click ».
Auparavant nous enregistrions « live », sans click, pour garder le coté
« sauvage » du groupe. Cette fois sur les conseils de « Ole Duke Hill » (exEyeless, Mudweiser) et « Matt E. West » du Trendkill Studio
(www.trendkillstudio.com), nous avons accepté de travailler différemment.
Et nous avons bien fait car cette expérience nous a incontestablement
renforcé.
Il y a eu une super ambiance pendant la dizaine de jours de tracking, un
mélange de travail et de convivialité. C’était vraiment cool. Ole et Matt sont
des gars supers, j’invite les groupes à enregistrer chez eux, ces mecs sont
vraiment au service du groupe. Je ressors grandi de cette expérience. Je sais
que je serais mieux préparé pour l’enregistrement du 4ème album qui est en
cours de composition…
Benjamin F : Ce fut…Tranquille ! On avait super bien bossé avant, on a pu
profiter de cet enregistrement à fond sans en perdre une miette. Une super
ambiance, des ingés sons très professionnels et de la musique à fond! Le
pied!!!
Vous travaillez avec le label Brennus Music, comment se passe le
partenariat ?
Ben C : A la différence de nos deux premiers albums (« Have a beer ! » et
« Goodbye Money »), « US of R’n’R » n’est pas distribué par Brennus
Music. Nous n’avons pas accepté sa proposition concernant notre nouveau
« bébé », elle ne répondait pas à nos attentes. Nous restons bien évidemment
en très bon terme avec Alain Ricard qui continu la vente des deux premiers
opus sur son catalogue. Nous démarchons actuellement les labels pour
distribuer et promouvoir au mieux le groupe et cet album.
Il est, pour le moment, disponible en live et en ligne sur notre webstore
(http://www.highwayshop.kingeshop.com/). On espère qu’il sera bientôt
dans les bacs.
Au niveau matériel, êtes-vous fidèle à vos instruments, ou aimez-vous le
changement perpétuel, la découverte ?
Sam : Je resterai toujours fidèle à ma première basse, une Weston Thunder
2. J’ai appris à jouer dessus et elle a un touché que je ne retrouve pas
ailleurs. Le « hic » est qu’elle est super lourde…je lui ai donc trouvé une
petite sœur, plus légère, plus maniable : une Fender Jazz bass Aerodyne !
Niveau ampli, je n’y connais rien …tant que ça sonne, c’est que c’est
bon (rire)!!
Romain : Lorsque j’ai trouvé le bon élément, je le garde ! Pour tes lecteurs
batteurs, je joue actuellement sur une Tama Starworks 5 fûts, une caisse
claire Pearl signature « Ian Paice » (un monument !). Pour les cymbales, je
suis un féru de Paiste. Elles ont la brillance que je recherche et sont
inimitables…si j’ai pas un contrat d’endorsement après ça ! (rire !) Niveau
peaux, je joue sur REMO en frappe pour les fûts et la caisse claire. Les
peaux de résonance sont des EVANS. La grosse caisse est équipée de peaux
EVANS, en frappe comme en résonance. Mes baguettes sont généralement
des Vic Firth.
Ben C : Je suis assez simple et fidèle. Une bonne Gibson dans un bon
Marshall à lampe et c’est partie ! C’est LE son du Rock’n’Roll (RIP Jim…).
Mon petit bébé est une SG 61 réissue modèle guitar of the week n°6 (400
exemplaires dans le monde !!). Elle a un son et un look d’enfer ! Elle est
légère, très pratique sur scène, moi qui me tortille beaucoup (rire !)
Je m’emmerde pas avec les pédales d’effets, je cherche le meilleur son
possible avec ma gratte et la tête de l’ampli. De toute façon, comme je
bouge beaucoup sur scène, je finis toujours par tout débrancher (rire !) Je
garde juste une wah-wah Dunlop Cry Baby signature Slash bien puissante.
En ampli, j’ai actuellement un vieux JCM900 qui déchire tout.
Benjamin F : Depuis que j’ai commencé le chant, je n’ai changé que 3 fois
de micro (Samson, Sennheiser et enfin Shure en ligne puis HF – Beta 58). 4
micros en 13 ans, dont la moitié sur Shure, je crois qu'on peut me qualifier
comme quelqu'un de fidèle ! Et je ne parle pas de mes cordes vocales
« modèle signature Benjamin Folch » que j’ai depuis ma naissance (rire) !
Quel est votre regard sur la scène heavy française ?
Sam : Je trouve qu’il y a pas mal de bon groupes en France et ce depuis les
80’s. J’adore Warning, le 2eme album est une tuerie et la pochette avec ce
coq en métal…excellent !
Vulcain, Satan jokers, ADX avec qui nous avons joué cet automne. J’adore
aussi Manigance ou Heavenly dans un registre plus moderne. Little bob est
une figure underground du rock français. J’ai adoré le premier album de
Black rain et je suis de près le parcours des groupes de notre division
comme Aesthesia, Bloody mary ou les Electric ducks qui sont des
Montpellierains tout comme nous. Il y a plein de bons groupes qui méritent
d’aller voir ailleurs si la bière est meilleure !!! J’espère qu on en fera partie,
on a tous la foi! Mais soit dit en passant, j’ai l impression que le label
« France » dans le Hard est assez discrédité à l’étranger et c’est bien
dommage !
Benjamin F : A mon avis, cette scène n'est pas assez développée, elle
manque de représentation au niveau national. Il y a quelques groupes qui
sortent du lot mais cela n'est pas assez représentatif du nombre de groupes
existants dans ce domaine. Peut-être qu'elle manque d'unité justement. On
ferait mieux de se serrer les coudes et de se retrouver aux cours de grands
festivals nationaux plutôt que de continuer à jouer tous seuls dans nos
coins...
Citez-moi chacun cinq mots qui vous décrivent le mieux...
Ben C : Rock’n’Roll, Energie, Passion, Osmose, Ambition.
Romain : Joie, Emotion, Unité, Puissance, Elégance.
Benjamin F : Souriant, Fun, Décontracté, Rigoureux, Rock'n'roll.
Sam: Fun, Foune, Taper, Bière, Rock…
Les disquaires ferment les uns après les autres, le modèle économique
de la musique s’effondre. Croyez-vous encore aux disques "physiques"
pour l'avenir ?
Sam : Oui a fond ! Un morceau fait partie d’un tout, sorti de son contexte, il
n’a pas la même saveur. Les autres font ce qu’ils veulent…mais c’est des
con (rire) ! Moi j’aime acheter un disque et écouter les morceaux, en
dévorant le livret, paroles, photo, visuel…un disque est une œuvre ! Je suis
resté des heures à contempler la pochette de l’album « Quo » de Status quo
et à tourner et retourner les faces. Faut dire que j’ai pas les chaînes TV ni
Internet. C’est mon plaisir premier d’écouter de la musique et d’en jouer.
Pour moi il n’y a pas d’autres solutions : quand tu aimes la musique, tu veux
l’objet et t’immerger dans son univers. Ou alors trouvons un autre support
qui permette de garder l’intégrité artistique de la musique…une chanson
n’est pas un fichier paumé dans un recoin d’ordinateur !
Romain : Malheureusement non pour le grand public…mais pas pour moi!
Le CD est toujours mon support d’écoute, tout comme les disques vynils.
J’adore le son du vynil, j’en ai d’ailleurs une belle collection. J’aime ce
moment où je pose le diamant sur le disque, minutieusement choisi dans ma
discothèque. Franchement, un disque vynil, du bon matériel HI-FI, une
bonne bière fraîche, y’a que ça de vrai !! (rire)
Benjamin F : Selon moi, l'industrie du disque, telle que nous la connaissons
à l'heure actuelle, est vouée à disparaître. Le futur c'est le numérique, les
plateformes électroniques. Les gens n'écoutent plus de la musique sur CD.
C'est tellement plus simple pour eux d'écouter de la musique sur son ordi ou
sa tablette.
Je pense que la musique d'aujourd'hui est faîte pour être entendue à la
radio, dans des bars musicaux…mais surtout en concert! Le live y a que ça
de vrai!!!
A l'inverse on annonce un grand retour du vinyle, qu'en pensez-vous ?
Sam : C’est super cool ! Justement ça permet à beaucoup de jeunes de
vraiment se plonger dans la musique. J’ai des potes qui organisent souvent
des soirées où tout le monde ramène ses vinyls et on les écoute en buvant des
bières et en refaisant l’histoire du rock… c’est génial ! On a l’impression de
revivre les débuts du rock’n’roll ! Et une pochette de vinyl, de par sa taille,
est plus sujette à la personnalisation…Sur mon exemplaire de « Shout at the
devil » de Motley Crue, j’ai deux belles empreintes de rouge à
lèvre…j’adore voir ce genre de truc ! Ça a du vécu, même sans la musique,
ça te raconte une histoire !
Romain : Je ne sais pas si on assiste vraiment au « grand retour du vynil »,
c’est peut être un phénomène de mode vintage… Ce que je peux dire, c’est
que les puristes écouteront toujours la musique sur ce support. Parce que
c’est incomparable. Aujourd’hui, la commercialisation des vynils répond au
besoin d’une clientèle particulière, passionnée et exigeante. Elle est donc
immuable, réjouissons-nous!
Benjamin F: Pourquoi pas… un retour en arrière pour se donner des fauxair de renouveau... Je pense que malheureusement ça ne durera pas.
Quelles sont vos ambitions actuelles ?
Sam : Faire toujours plus de concerts, partout où nous pourrons. Le monde
n’attend que nous…mais il ne le sait pas encore (rire)!
Romain : Yeah ! Tourner, tourner …et encore tourner !! Le Hellfest en
2013, et concevoir notre 4eme album !
Ben C : Exactement ! Silloner les routes de France et de Navarre pour
répandre la bonne parole du Rock’n’Roll !! J’en profite pour lancer un
appel aux assos, tourneurs, boîtes de prod …si vous cherchez un groupe
ultra-motivé pour envoyer du pur rock’n’roll…pensez à Highway ! Rock,
Fun et big show garanti !
Benjamin F : Fédérer le plus de monde possible sous la bannière des
États-Unis du rock'n'roll!!!! In rock we trust!!!
Si vous deviez partir sur une île déserte avec pour seule compagnie un
CD et un livre, que choisiriez-vous?
Romain: Un CD: c’est dur… allez AC/DC: Highway To Hell, un si grand
chef d’oeuvre! Un bouquin : c’est dur aussi, va pour Les liaisons
dangereuses de Choderlos de Laclos, un chef d’œuvre de la littérature
française.
Benjamin F : comme CD: Deep Purple - Machine Head et comme bouquin:
George R.R. Martin - Le trône de fer (c'est celui que je lis en ce moment
mais il y en a tellement...)
Ben C : Hyper dur cette question, surtout à un collectionneur de CD comme
moi…Un album : AC/DC – Back in black, pour moi l’un (le ?) meilleur
album hard rock de tout les temps. Je l’ai écouté des milliers de fois mais il
me procure, à chaque fois, cette sensation indescriptible. Il me prend aux
tripes, me fait frissonner, me traverse littéralement tous le corps et le
cerveau !
Et comme bouquin : The Dirt – l’autobiographie de Motley Crue, le bouquin
le plus rock’n’roll qu’il m’ait été donné de lire ! De quoi bien fantasmer sur
l’île déserte…et se taper le premier animal qui passe (rire !)
Sam : Je préférerais emmener une guitare plutôt qu’un seul CD…trop
frustrant ! Et avec ça un stylo et du papier !
Avec qui aimeriez-vous partager une scène actuellement ?
Sam : mmmh…Nathalie Portman…mais ce serait une drôle de scène (rire) !
Non sérieusement, on adore Koritni et on aimerait vraiment jouer avec eux.
Sam Prévot (leur manager) si tu nous entends…
On vient juste d’ouvrir pour les Crucified Barbara et c’était excellent ! Elles
envoient carrément les nanas ! Elles ont plus de « cojones » que beaucoup
de groupes masculins ! Tant qu’on peut partager un bon moment bien rock
‘n’ roll, on est partant !
Si j’avais un souhait improbable à réaliser, ce serait de faire un concert où
il y aurait les Guns version « appetite », Skid Row avec Sebastian Bach,
Motley Crue, Motorhead, AC/DC…et HIGHWAY !! Tous dans la même
loge…le pied !! Surtout l’odeur… (rire !)
Romain et Ben C: Ouais…Koritni, le même sang coule dans nos veines !!
Benjamin F : Sérieusement? Avec n'importe qui! Une scène reste une scène!
L'essentiel c'est de se donner à fond devant une foule en délire!
Mais dans mes rêves les plus fous, Whitesnake, Kiss, AC/DC ou encore
Aerosmith...
Quelques mots pour terminer …
Romain: Long live Rock’n’Roll!! (RIP Ronnie…)
Benjamin F: Je n'aurais qu'une phrase à dire: Follow the Highway to the
United States of Rock'n'Roll!!!
Ben C: Merci à toi et toute l’équipe de Zikannuaire pour votre soutien ! Ça
nous incite à aller toujours plus loin. Quand à toi lecteur…merci de donner
une chance à notre album et RDV sur un de nos prochains shows pour
partager tous ensemble un pur moment de fun et de Rock’n’Roll !
Vous pouvez retrouver toutes les news du groupe et les dates sur le Myspace
officiel (www.myspace.com/onlyhighway) ou sur Facebook. Kiss l’avais déjà
dis en 1975 et on y croit à fond : Rock’n’Roll all night n’ party every day !!
MERCI !!