9ème réunion du CLDD Mercredi 13 avril 2016 19h-21h
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9ème réunion du CLDD Mercredi 13 avril 2016 19h-21h
9ème réunion du CLDD Mercredi 13 avril 2016 19h-21h 1 Présents Membres du CLDD Collège « Elus » de Rosny-sous-Bois • M. Jean-Paul FAUCONNET : Adjoint délégué aux Espaces publics et au Cadre de vie – Représentant du maire pour l’A21 et le CLDD, président d’honneur du CLDD • Mme Ninette SMADJA : Conseillère municipale déléguée à l’A21 - Présidente du CLDD • M. Jean-Pierre BOYER : Adjoint délégué au Développement durable et au Pré-Gentil Vice-président du CLDD • M. Pierre-Olivier CAREL : Conseiller municipal, 2ème vice-président du CLDD Collège « habitants, personnalités et acteurs du territoire» • M. BERTRAND Daniel, • M. BOURGERON Marc, • M. CHARTIER Alain, • Mme COULOMBEL Francine, • M. DRIFFORT Jack, • M. FLE Alain, • Mme FLEAN Germaine, • M. GERARD Jean-Claude, • Mme HOLLEBECQ Isabelle, • M. JOURDAIN Michel, • M. LEFELLE Emmanuel, • Mme SIMPSON Ann, • M. VAVASSORI Charles Invités : Ville de Montfermeil • M. Robert SALVATORE : 5ème Adjoint au Maire au cadre de vie, environnement, transition énergétique, systèmes d’information, TIC, marchés publics • M. Michel THUNIERE : Directeur des Services Techniques • Mme Manon BERNARD : Adjointe à la chargée de mission transition énergétique Mission Développement Durable / Direction voirie et déplacements - Bureau de conseil : • Julie BESCO : Mission développement durable – Ville de Rosny-sous-Bois • Julie RODRIGUEZ : Chargée de mission auprès du DGS – Ville de Rosny-sous-Bois • Kévin PAMART : Consultant – Auxilia • Alexandre KATSENIS : Stagiaire chargé d’études - Auxilia 21 absents dont 10 excusés 1 membre quitte le CLDD pour raisons personnelles : Mme KASRAOUI Compte rendu de la neuvième réunion du CLDD 13/04/2016 p 1/7 2 Ordre du jour 1/ Mot de bienvenue 2/ Présentation par Julie Rodriguez, chargée de mission auprès du Directeur Général des Services de la place de Rosny-sous-Bois dans la nouvelle Métropole du Grand Paris 3/ Retour d’expériences en matière de transition énergétique de la ville de Montfermeil 3 Rosny-sous-Bois et la métropole du Grand Paris Structure du Grand Paris L’objectif de cette présentation est de dresser le cadre du bouleversement institutionnel auquel a donné lieu la mise en place de la Métropole du Grand Paris depuis le 1er janvier 2016 et de présenter les changements effectifs et à venir pour la Ville de Rosny-sous-Bois. Deux nouveaux échelons institutionnels, la Métropole du Grand Paris et les Etablissements Publics Territoriaux (EPT), sont venus s’ajouter à la région, au département, et à la commune. Issue de la loi NOTRe (2015), la Métropole du Grand Paris rassemble près de 7 millions d’habitants répartis sur 12 EPT (dont un à l’échelle de la Ville de Paris) d’au moins 300 000 habitants. La nouvelle métropole est dirigée par un conseil métropolitain dont est membre un adjoint de la Ville de Rosny-sous-Bois, M. Itzkovitch. Chaque EPT a mis en place un conseil des territoires. Rosny-sous-Bois fait partie de l’EPT Paris Grand-Est et est représentée par 9 conseillers territoriaux (dont Monsieur le maire de Rosny-sous-Bois, M. Capillon, 1er Vice-président, délégué au PLU) parmi 80. Dans ce territoire, Rosny-sous-Bois est la deuxième ville en termes de population. Les autres communes de l’EPT sont présentées sur la carte suivante : Compte rendu de la neuvième réunion du CLDD 13/04/2016 p 2/7 Partages de compétences Ces deux nouvelles instances se partageront un certain nombre de compétence avec un niveau stratégique (la Métropole) et un niveau opérationnel (les EPT). Certaines compétences seront détenues exclusivement par la métropole, d’autres par les EPT, certaines seront, enfin, partagées entre les deux niveaux ou avec les communes. Cependant, le transfert se fera progressivement puisque certaines compétences ne seront transférées qu’en 2017. Enfin par la définition d’un intérêt métropolitain et d’un intérêt territorial, impérativement avant le 31/12/2017, sera établie la ligne de partage entre MGP, territoires et communes sur un certain nombre de compétences opérationnelles. Dans cette période de transition, certaines compétences du territoire sont en pratique encore assurées par les communes, bien qu’officiellement, l’EPT en est législativement responsable. A terme un transfert de personnel correspondant aux compétences transférées pourra avoir lieu. Si des communes veulent continuer à gérer ensemble certaines compétences comme c’était le cas avant la réforme, elles peuvent le faire par la création de syndicats ou en faisant le choix de donner à l’EPT des compétences supplémentaires. Financement La création de la MGP ne s’accompagne pas d’une création de niveau d’imposition supplémentaire. La MGP et les EPT sont désormais bénéficiaires des impôts versés par les entreprises (CFE pour les EPT, CVAE pour la MGP) qui seront reversés aux communes sur la base des recettes d’une année de référence (2015). Il a été remarqué que cette redistribution, faisait perdre l’intérêt fiscal de la ville à attirer les entreprises. Néanmoins, il demeure l’intérêt en termes d’emplois locaux. Questions : Q : Que devient le préfet ? R : Le préfet garde ses compétences. Q : Si un tramway passe entre deux villes, qui peut légiférer sur la gestion des feux de circulation ? R : La réponse n’est pas connue par les acteurs présents en réunion. Q : Comment sont articulées les élections des conseillers des organes de la métropole par rapport aux élections municipales ? R : Les conseillers métropolitains et territoriaux ont été désignés par les conseils municipaux. Cependant, lors du prochain renouvellement des conseils municipaux, ceux-ci seront fléchés, comme cela était le cas pour les communes membres de communautés d’agglomérations par exemple. Q : Existe-t-il une préséance pour les vice-présidents des EPT ? R : Il n’y a pas de préséance entre les différents vice-présidents du conseil territorial. Chacun est responsable d’un domaine de compétence (le dénominatif 1er, 2ème,… résulte d’un tirage au sort). Il y a préséance dans le seul cas où le vice-président responsable est absent. Q : Quelles sont les compétences des EPT ? R : La semaine dernière le conseil territorial de Paris Grand-Est a voté la création de 6 commissions : - Plan Local d’Urbanisme, aménagement, logement, habitat, transition énergétique Assainissement, eau et déchets, Finances, ressources humaines, systèmes d’information, affaires générales, Développement économique action sociale, santé, insertion, emploi, Equipement culturels et sportifs, Compte rendu de la neuvième réunion du CLDD 13/04/2016 p 3/7 - Politique de la ville et renouvellement urbain Une expérience de collaboration entre les villes du Paris Grand-Est est à construire : Clichy-sous-Bois et Montfermeil avaient l’habitude de travailler ensemble depuis 15 ans au sein d’une intercommunalité. Ce fut une bonne expérience qui s’est construite avec le temps. Désormais, le territoire Paris Grand-Est réunit 14 communes qui ne se connaissent pas ou peu. Les villes vont devoir apprendre à se connaitre et à travailler ensemble, mais les élus ont confiance en la bonne réussite de ce processus. Q : Si une entreprise veut s’installer, qui est concerné ? La métropole ou le territoire ? R : La question n’a pas encore de réponse. C’est l’idée de l’intérêt métropolitain de définir ce partage de compétences entre métropole et territoires. Néanmoins tous les territoires sont représentés au sein du conseil métropolitain ce qui peut être une opportunité pour les territoires de l’Est, où la dynamique économique est moins bonne que pour les territoires de l’Ouest parisien. Le développement de nouvelles lignes de transport, pourrait notamment permettre l’essor de certaines ville du Grand-Est, comme Montfermeil, jusqu’ici mal desservies. Il faudra néanmoins que les différents territoires du conseil se mettent d’accord pour construire rapidement une vision commune afin de ne pas laisser des territoires de côté. Q : Qui possède les compétences du réseau routier ? R : Pour l’instant, rien n’a changé : ce sont la région, le département et les villes qui possèdent cette compétence, comme avant la Métropole. Mais il n’est pas exclu qu’à l’avenir les EPT gèrent des infrastructures routières, si le conseil de territoire en prend la décision ainsi que les conseils municipaux des villes concernées. 4 Présentation des initiatives de transition énergétique de la ville de Montfermeil La Ville de Montfermeil a une population de 25269 habitants, elle se situe à l’Est du département de Seine-Saint-Denis, en limite de la Seine-et-Marne, et s’étend sur 545 ha. Sa localisation sur le plateau de l’Aulnoye en fait la commune la plus « élevée » du département. Montfermeil bénéficie d’une situation géographique particulière par la proximité d’importants pôles d’emplois (Marne la vallée, Roissy et Paris sont à 15 km). Elle se trouve également au cœur des axes de transit majeurs de la région (A4, A3, Francilienne, A86...) et du réseau ferré régional, amélioré dernièrement par le passage d’Éole. Le projet de prolongation du T4 dont la mise en service annoncée en 2017 devrait participer au désenclavement du territoire. De même, le projet de métro, initié dans le cadre du Grand Paris qui programme un arrêt à la lisière de la forêt de Bondy, entre Montfermeil et Clichy-sous-Bois poursuit ce même objectif de désenclavement. La ville, dont un quartier était concerné par les émeutes de 2005, a bénéficié d’un plan de rénovation urbaine afin de combattre les différents types de précarité dont la précarité énergétique, elle a notamment procédé à la destruction de ses 4 barres de 12 étages. Ce quartier comportait de nombreux ensembles construits dans les années 60 et 70, très mal isolés et énergivores, à ce jour il ne reste plus qu’une barre à détruire. Aujourd’hui, c’est la zone pavillonnaire représentant 60% du tissu résidentiel de la commune qui fait l’objet de toutes les attentions en la matière. En effet, cette dernière est composée de pavillons construits dans les années 50-60 dont les populations sont fortement victimes de la précarité énergétique puisque le poids de l’énergie peut atteindre jusqu’à 50% du revenu dans certains foyers. Dans ce contexte, la ville de Montfermeil a entamé depuis 10 ans une politique de lutte contre la précarité énergétique appuyée sur plusieurs actions : -Des actions de sensibilisation et de détection en s’appuyant sur le programme SLIME (Service Local d’Intervention et de Maîtrise de l’Energie) et ses visites économie d’énergie, sur l’organisation de balades thermiques (visualisation des pertes thermiques dans le quartier à Compte rendu de la neuvième réunion du CLDD 13/04/2016 p 4/7 l’aide de caméras thermiques), sur une thermographie aérienne des zones pavillonnaires en partenariat avec GRDF, et sur des permanences ouvertes aux habitants. -Des actions d’accompagnement à la rénovation : - - un Espace Info>Energie depuis 2014 avec des permanences à l’Hôtel de Ville tenues depuis février 2015 par l’agence MVE et des permanences aux Services Techniques de la Ville par un architecte conseil du CAUE 93. des partenariats avec des structures externes, telle que la Maison de l’Habitat de Clichy-sous-Bois / Montfermeil (MHAB) -Des actions de sensibilisation et mise en réseau des acteurs locaux : - - - - signature d'une convention de partenariat avec l'Anah et Procivis Gironde et d'un Pacte Energie avec Combles Eco Energie du groupe Certinergy (programme d’isolation de combles à 1€/m²) un salon de la rénovation énergétique réunissant dans le même lieux des organismes de lutte contre la précarité énergétique pouvant identifier, sensibiliser et monter des dossiers de subventions, des acteurs locaux de la rénovation certifiés RGE (Reconnu Garant de l’Environnement), des industriels comme GRDF, ERDF, Engie, et enfin des banques pouvant apporter des solutions d’aide au financement de rénovations. La deuxième édition aura lieu le 21 mai 2016 et sera étendue au thème du développement durable, et l’équipe municipale de Montfermeil convie les membres du CLDD à y participer. La création du Club Territoires d’Energies rassemblant les artisans locaux RGE, les entrepreneurs locaux, GRDF, ERDF, ENGIE, etc. dont le projet prioritaire défini par ses membres concerne la rénovation énergétique en secteur pavillonnaire. L'accompagnement des artisans de la rénovation énergétique dans leur montée en qualification : organisation de formations à la mention RGE un site internet d’informations : www.jerenoveamontfermeil.fr La mobilisation de partenariats avec des acteurs de la transition énergétique afin de faire de Montfermeil un lieu d’expérimentations : partenariat avec des fournisseurs d’énergies ou avec des laboratoires de chercheurs par exemple. La ville se sert également de ses outils de planification territoriale pour agir plus efficacement sur la transition énergétique, notamment à travers : - - Le Plan Climat de Clichy-sous-Bois/Montfermeil o Optimisation des modes de consommations et de production o Lutte contre les vulnérabilités o La transition énergétique du bâti o Des modes de transports plus durables et responsables La révision du PLU o Prise en compte des priorités en terme de Transition Energétique Le Plan Local de l’Energie formalisé par l'Agence Parisienne d'URbanisme (APUR) De plus, l’ensemble des rénovations entreprises sont ambitieuses et visent la RT2020. Montfermeil entreprend également des actions de production d’énergie renouvelable notamment avec la géothermie de faible profondeur dont les résultats semblent encourageants. L’ensemble des actions menées et en projet sont annexées à ce document (support de présentation). Compte rendu de la neuvième réunion du CLDD 13/04/2016 p 5/7 Présentation des initiatives de développement durable en matière d’énergie de la ville de Rosny-sous-Bois (liste non exhaustive) 5 Actions exemplaires déjà réalisées : • • • • • Réhabilitation bioclimatique des façades de l’école élémentaire Jean Mermoz ayant permis à la Ville de diminuer par 4 les consommations énergétiques de cette école. Construction d’une éco-école maternelle de 8 classes, ouverte en septembre 2014, passive consommant moins de 15kWh/m²/an avec structure bois et isolation paille ainsi qu’une toiture végétalisée de 800 m² contribuant à la limitation de l’effet d’ilot de chaleur urbain, la récupération des eaux de pluie, l’aspect pédagogique et récréatif pour les enfants ainsi que la promotion de la biodiversité. Mise en place de chantiers participatifs (construction du mur d’enceinte en terre, mosaïques des salles d’eau réalisées par des écoliers, plantation des arbres fruitiers de la cour...). Signature d’une convention avec l’agence locale de l’énergie et du climat MVE en 2011 pour 3 ans puis adhésion de la Ville à l'agence MVE en mars 2014. Permanences info-énergie tous les 3èmes mercredis après-midi de chaque mois à la maison des projets, ouvertes au grand public et public du CCAS. Accompagnement de projets de la Ville (précarité énergétique…), actions de sensibilisation. Campagne de communication auprès des agents pour réduire les consommations d’électricité Nombreux changements techniques opérés au niveau des bâtiments municipaux par la mise en place de matériels plus performants et économes (changement des chaudières de l’Hôtel de Ville par des chaudières condensation à gaz, mise en place de détecteurs de présence dans les toilettes et couloirs, ampoules LED…). A titre d’exemple, après le remplacement des chaudières de l’hôtel de ville et travaux dans les étages (ventiloconvecteurs et régulation), une baisse de 18% des consommations a été observée dès la 1ère saison de chauffe. Sur l’ensemble des bâtiments, entre 2007 et 2015, la consommation de gaz entre 2007 et 2015 a baissé de 28%. Quant à l’électricité, la consommation entre 2013 et 2015 a baissé de 13%. Présence à la COP21 du 1er au 11 décembre 2015 au parc des expositions du Bourget : La Ville étant engagée depuis de nombreuses années dans la voie du développement durable, a souhaité être présente à la COP21 et a pour cela tenu un stand au sein des Espaces Générations Climat de la COP21. Elle y a présenté les projets phares qu’elle mène en matière de développement durable. Cette présence était importante afin de montrer que les collectivités sont un maillon essentiel pour mettre en œuvre des actions visant à promouvoir un monde plus durable. Actions en cours et à venir : • • Le déploiement d’un réseau de géothermie réparti également sur les villes de Montreuil et Noisy-le-Sec qui fournira à terme 10 000 logements en chaleur géothermique (6500 équivalents logements pour la Ville de Rosny et certains bâtiments municipaux) limitant le recours aux énergies fossiles et donc une réduction des émissions des gaz à effet de serre avec une stabilité des coûts de l’énergie renouvelable utilisée. La construction d’une nouvelle éco-école (ouverture prévue en septembre 2017) ainsi que l’ensemble de ses équipements annexes (office, réfectoire, logement de gardien…) qui sera connectée à l’éco-école maternelle des Boutours contiguë, formant un nouveau groupe scolaire. Ce projet, à nouveau mené en interne par une équipe d’architectes et Compte rendu de la neuvième réunion du CLDD 13/04/2016 p 6/7 d’ingénieurs, visera une action globale positive ou neutre vis-à-vis de l’écosystème humain au travers, notamment d’une ventilation naturelle contrôlée à haute performance énergétique, de l’utilisation de matériaux biosourcés, de la compensation de l’énergie consommée lors de la construction et de l’utilisation du bâtiment, de la compensation des matériaux biosourcés consommés, de la recherche de mise en œuvre de technologies de très basse complexité, de la poursuite de la démarche participative, de l’amplification de la formation in situ afin que ces nouveaux savoir-faire demeurent sur le territoire, de l’utilisation de matériaux locaux sains pour le biotope et la santé des enfants, du développement de la biodiversité, d’une architecture « pédagogique », de la réutilisation des « déchets »… • 6 La construction d’un nouvel éco-quartier dans le nord de la Ville : la ZAC CoteauxBeauclair Le prolongement de la ligne 11 du métro, qui prévoit l’ouverture de trois stations dans la partie nord de Rosny-sous-Bois, en 2022, et l’arrivée de la future ligne 15 du Grand Paris Express, à l’horizon 2025, vont impacter profondément le paysage urbain de ce secteur, devenu territoire privilégié de développement urbain. Profitant de cette opportunité, la Ville ambitionne d’aménager, aux Coteaux-Beauclair, un nouveau quartier d’environ 1200 logements (soit 3000 habitants) capable de répondre aux enjeux du développement durable ainsi qu’aux critères du label national éco quartier. Prochain rendez-vous CLDD le mercredi 15 juin à 19h à la Maison des associations : Plan Vélos (notamment présentation de futurs lieux d’implantation d’arceaux vélos) Compte rendu de la neuvième réunion du CLDD 13/04/2016 p 7/7