Neuflize OBC 21au25032014
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Neuflize OBC 21au25032014
SYNTHESE DE PRESSE Du 21 au 25 mars 2014 Actualité de Neuflize OBC La stratégie gagnante de Neuflize OBC Neuflize OBC a enregistré au titre de l’année 2013 son meilleur résultat en cinq ans, avec une collecte nette de 5 milliards d’euros, un chiffre d’affaires en hausse et des bénéfices de 48 millions d’euros. Ces bonnes performances sont le fruit d’ « une stratégie discrète, lancée en 2008 par Philippe Vayssettes, le président du directoire », explique Challenges. Alors que les autres banques privées avaient choisi, alors, de se concentrer sur une clientèle d’entrepreneurs, Neuflize OBC avait pour sa part fait le choix de capitaliser sur son positionnement historique, avec ceci de spécifique que le client, qu’il s’agisse d’un sujet professionnel ou patrimonial, a un seul interlocuteur. Alors que les grandes banques de réseaux ont choisi de séparer banque d’entreprise et gestion de patrimoine, chez Neuflize OBC, le client se voit offrir une large palette de services : gestion de trésorerie, crédit, conseil en immobilier … Autre spécificité de cette stratégie : une logique de niche. Neuflize OBC a su se spécialiser dans certaines industries : santé, cinéma, culture, finances … C’est ainsi que la banque a lancé le premier fonds français dédié au cinéma. Des films à succès tels que Neuf mois ferme ou Yves Saint Laurent, en ont bénéficié tout récemment. Enfin, dernier élément important qui a fait de cette stratégie une stratégie gagnante : Neuflize OBC a su réduire ses dépenses, notamment en fusionnant ses sociétés de gestion, faisant ainsi baisser ses frais réglementaires. (Challenges, 27/03) Neuflize OBC propose un fonds immobilier opportuniste d’un nouveau type Neuflize OBC propose à sa clientèle privée un fonds opportuniste d’un nouveau type : il s’agit d’un fonds immobilier qui, géré par la société Arcange Reim, a ceci de spécifique que, contrairement aux investissements au long cours de type SCPI, il vise une création de valeur assez rapide. En effet, ce fonds va investir dans des immeubles de bureaux, des commerces et des immeubles résidentiels, à Paris et en première couronne. Les actifs seront revendus au bout de 1 à 5 ans. Le premier investissement, d’une vingtaine de millions d’euros, est prévu au mois de mai : il s’agit d’un immeuble résidentiel de 3 000 mètres carrés, dans le 16ème arrondissement, à Paris. Les promoteurs espèrent, pour cet investissement, un taux de rendement (TRI) de trois à quatre ans. D’une manière générale, l’objectif global du fonds est de 9% par an, sachant toutefois qu’il n’y a aucun rendement garanti. (Le Figaro, 26/03) Olivier Raingeard : « La Fed pourrait accélérer le rythme de réduction de ses achats d’actifs » Dans une interview accordée à L’Agefi, Olivier Raingeard, chef économiste de la Banque Neuflize OBC, est interrogé sur la première conférence de Janet Yellen, nommée récemment à la tête de la Banque centrale américaine, la Fed. De cette première conférence, il est ressorti, selon M. Raingeard, que la Fed pourrait « interrompre son programme d’achat d’actifs » et qu’ « elle pourrait même accélérer le rythme de réduction du programme d’assouplissement quantitatif en cours d’année ». Ceci « ne nous surprend pas vraiment », car « l’économie américaine s’améliore et devrait légèrement accélérer cette année grâce à la réduction de la contrainte budgétaire », tandis que « par ailleurs, le marché de l’emploi se renforce et [que] le taux de chômage devrait poursuivre son déclin au cours des prochains mois ». Par ailleurs, M. Raingeard pense que la Banque centrale ne baissera pas, au cours des six prochains mois, son taux de refinancement. En effet, « la Banque centrale européenne agira si les tensions sur les marchés monétaires s’accroissent ou si le risque de déflation augmente ». Or « dans les deux cas, une baisse du taux directeur n’aurait que peu d’impact pour lutter contre ces deux risques ». Aussi, « nous tablons plutôt sur une action non-conventionnelle, si les tensions sur les marchés monétaires s’accroissent ». (L’Agefi, 24/03) Quelles allocations préconiser actuellement ? Les réponses de différents analystes, dont Olivier Raingeard Olivier Raingeard, responsable Analyse et stratégie d’investissement chez Neuflize OBC Investissements, a participé, aux côtés de Pascale Auclair, directeur général de La Française AM, et de Laurent Berrebi, président-fondateur de Global Macro Finance, à une table ronde sur la situation macroéconomique mondiale, qui, si elle n’est pas encore au beau fixe, montre des signes d’amélioration certains, et sur les choix à faire en matière d’allocation d’actifs, dans le cadre de cet environnement économique. Après un tour d’horizon de la situation économique aux Etats-Unis, en Europe, au Japon, en Chine et dans les pays émergents, le journaliste, ayant écouté les analyses des différents experts ayant participé à cette table ronde, parvient à la conclusion que l’environnement macroéconomique actuel est « mouvant ». Face à cette situation, quelles allocations préconiser ? « Pour obtenir de la performance, il faut prendre des risques, il faut donc allouer une poche significative aux actions, sélectionnées pour leurs fondamentaux, mais aussi selon la dynamique économique récente qui sous-tend chacune des zones », répond Pascale Auclair. De son côté, Olivier Raingeard se dit en grande partie d’accord avec cette analyse, à ceci près que « néanmoins, nous considérons que les espérances de rendement des différentes classes d’actifs diminuent ». Par conséquent, « nous surpondérons principalement les actions européennes et américaines, car nous suivons les cycles », étant donné que « l’Europe est en phase de reprise, et les Etats-Unis en phase d’expansion ». Par ailleurs, « nous sommes positifs sur le Japon, mais ne sommes quasiment pas exposés aux actions nippones, en raison de leur forte volatilité ». S’agissant des pays émergents, « nous sommes absents, en raison de l’augmentation des risques macroéconomiques et financiers, aussi bien sur les marchés d’actions que de dette ». Enfin, « sur la poche obligataire, nous sommes investis sur des stratégies de portage sur le high yield européen, car le compartiment est davantage susceptible d’être protégé par l’action de la BCE que son homologue américain ». (L’Agefi Actifs, 21/03) En bref Le seuil de détention d’OPCVM du FCP Neuflize Actions Euro ISR ramené à 10% de l’actif net – Boursorama signale qu’à compter du 28 mars, le seuil de détention d’OPCVM du FCP Neuflize Actions Euro ISR est ramené à 10% de l’actif net, en lieu et place de 100% de l’actif net. Le journal spécialisé précise que grâce à cette évolution réglementaire, la souscription des parts du Fonds à toutes les catégories d’investisseurs devient possible, ce qui n’était pas le cas jusqu’alors. Enfin, le profil de risque du FCP n’est en rien modifié par ce changement. (Boursorama, 26/03)