Centrale PC 2007 Math 1 Partie I
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Centrale PC 2007 Math 1 Partie I
Centrale PC 2007 Math 1 Partie I IA1) La fonction x 7! xn f (x) est continue sur R; et lim x2 jxn f (x)j = 0 donc la fonction est intégrable sur R: 1 IA2) La fonction x 7! x f (x) est impaire, donc son intégrale (qui existe) sur R est nulle: IA3)pour n 0 intégrons par parties sur un segment [a; b] : u = e Z En faisant tendre a vers b n x e a x2 2 xn+1 e dx = n+1 x2 2 b + a 1 et b vers +1; puis en divisant par 8n x2 2 p ; v 0 = xn Z b xn+2 e an + 1 x2 2 dx 2 ; on obtient :mn = 2 , mn = (n m1 = 0 1)mn mn+2 et donc : n+1 2 . Partant de m0 = 1; on obtient: m2n = (2n 1)(2n 3):::3:1: Partant de m1 = 0; on obtient: m2n+1 = 0: 8n 2 N,m2n = IB) La fonction x 7! e En e¤et ln x2 e 2 n tx tx f (x) tx f (x) est continue sur R; et = 2 ln fjxjg tx xe 2 lim x > 1 1 ln(2 ) 2 (2n)! , m2n+1 = 0 2n n! x2 e tx f (x) = 0 donc la fonction est intégrable sur R: xe et donc ln x2 xn e 2 x > 1 tx f (x) donc x x e f (x) tend vers 0: (on utilisera plusieurs fois ce type d’équivalents pour prouver une intégrabilité) calcul : x2 1 1 2 tx = (x + t) + t2 2 2 2 d’où Z Z 2 1 1 t2 e tx f (x)dx = p e 2 e 2 (x+t) dx 2 R R Le changement de variable C 1 bijectif u = x + t donne: Z e tx tend vers 1 et t2 f (x)dx = e 2 R IC1) D’après le développement en série de la fonction exponentielle: lim Sn (x) = e tx f (x) n!1 IC2) Théorème de convergence dominée : 8n 2 N , Sn est continue , intégrable sur R comme combinaison linéaire des fonctions x 7! xn f (x) continues , intégrables sur R ( IA1) La suite (Sn ) converge simplement sur R vers x >e tx f (x) continue intégrable sur R On a domination : 8(x; t) 2 R2 ; 8n 2 N; jSn (x)j n X jtxjk k! k=0 f (x) ejtxj f (x) La fonction x 7! ejtxj f (x) est indépendante de n et intégrable sur R : fonction continue telle que 1 x2 ejtxj f (x) = p exp 2 ln(jxj + jtxj 2 tende vers 0 en 1 lim n!1 Z Sn (x)dx = R Z e R tx f (x)dx x2 2 Z Mais Sn (x)dx = R Z n X ( 1)k tk xk f (x)dx par linéarité de l’intégrale. Donc d’après IA3 : k! R k=0 Z e tx f (x)dx = R 1 X ( 1)k tk mk k! k=0 X ( 1)k tk xk XZ n Il est plus di¢ cile d’intégrer termes à termes la série f (x) car on aura besoin de jxj f (x)dx , or k! R l’intégrale n’est pas connue si n est impair. IC3) en remplaçant mk par sa valeur obtenue en A3), il vient : Z e tx f (x)dx = R 1 1 X t2i (2i)! X 1 = (2i)! 2i i! i! i=0 i=0 i t2 2 t2 =e2 On retrouve bien le résultat du B). Si l’un des calculs pose un problème ou si les deux calculs donnent des résultats di¤ érents , la machine à calculer devient bien utile. Soit pour calculer la valeur exacte si elle en est capable , soit pour calculer une valeur approchée pour un t …xé. Partie II Le sujet n’est pas clair : 8g; 9M; 9 , donc M et seul M dépend de g . IIA) critère de sous espace vectoriel : dépendent de g . Alors que les notations peuvent laisser penser que E est un sous ensemble de l’espace vectoriel C (R; R) des fonctions continues de R dans R; non vide (elle contient la fonction nulle). Soit (g; h) 2 E 2 et k 2 R: Montrons que g + kh 2 E: On a l’existence de M; N positifs, et strictement positifs, tels que: 8x 2 R; jg(x)j M f ( x) et jh(x)j N f ( x) Soit = min ( ; ) :Comme f décroît sur R+ : f ( x) f ( x) et f ( x) 8x 2 R; j(g + ph)(x)j M f ( x) + kN f ( x) f ( x): et donc : (M + jkjN ) f ( x) Donc g + kh 2 E: Ainsi, E est un R-espace vectoriel. En…n, la fonction f est dans E:(M = 1; = 1) IIB1) Pour x …xé dans R; la fonction t 7! u(t)v(x t) est continue sur R: On a l’existence de M; N positifs, et strictement positifs, tels que: 8t 2 R; ju(t)j M f ( t) et jv(x t)j N f ( (x t)): Donc: 8t 2 R; ju(t)v(x t)j MN exp 2 t 2 2 (x t) 2 2 2 2 (x t) 2 donc 2 t ju(t)v(x Cette expression tend vers 0 si t tend vers t)j MN exp 2 ln(t) 2 1 donc t 7! u(t)v(x t 2 2 ! ! t) est intégrable sur R: la fonction u v est dé…nie sur R 2 2 2 2 IIB2) le changement de variable C 1 bijectif T = x u v(x) = Z t; donne : +1 u(t)v(x t)dt = 1 Z 1 u(x Z T )v(T )( dT ) = +1 +1 u(x T )v(T )(dT ) 1 u v=v u IIB3) (f Z 1 f ) (x) = 2 t2 2 exp R Z On se ramène à une expression du type : R 2 (x t) 2 ! dt = Z x2 2 e 2 exp t2 + xt dt R T exp ( xt) f (x)dt (calculée au IB) par changement de variable t = p C 1 2 bijectif. Z t2 + xt dt exp = R = Z exp R p f ) (x) = x p 2 B exp @ D’où, (f T2 xT +p 2 2 0 1 2 x2 2 e 2 p (f Z x p 2 exp R p T 2 f (T ) du C A 2 exp du 1 p =p 2 2 x2 4 x2 4 1 1 = p p exp 2 2 1 f ) (x) = p e 2 x2 4 1 =p f 2 x p 2 x p 2 1 =p f 2 Résultat cohérent avec la question III.B.1 On a même calculé K2 au passage. IIB4) Il faut d’abord montrer que u v est continue sur R :C’est un problème de continuité d’une intégrale à paramètre: Pour x …xé dans R; la fonction t 7! u(t)v(x t) est continue sur R: Pour t …xé dans R; la fonction x 7! u(t)v(x t) est continue sur R;intégrable sur R (IIB1) domination: soient [a; b] R:et A = max (jaj ; jbj) En reprenant la majoration du IIB1),comme : 2 2 2 t 2 2 (x t) = 2 ( 2 + 2 )t2 + 2 2 on a : 8x 2 J; 8t 2 R; ju(t)v(x MN exp 2 t)j 2 ( 2 2 xt x 2 + 2 )t2 + 2 2 Ajtj La fonction majorante obtenue ne dépend pas de x et elle est continue intégrable sur R (idem IIB1): Ces trois hypothèses nous permettent de conclure que u v est continue sur R Puis majorons j(u v)(x)j en utilisant: ju(t)j M f ( t) et jv(x j(u v)(x)j On fait le changement de variable T = t : Z Z 1 f ( t) f ( (x t)) dt = R MN Z t)j N f ( (x f ( t) f ( (x t)) et en posant = min ( ; ) ; on a : t)) dt R f (T ) f ( x R 3 T ) dT = 1 (f 1 f ) ( x) = p f 2 x p 2 (pas de problème car Donc: 8x 2 R; >0) MN p f 2 j(u v)(x)j x p 2 Ainsi: u v2E IIC1) Soit u 2 E et t 2 R: La fonction x 7! e tx u(x) est continue sur R; et e tx u(x) tx Me f ( x) qui est intégrable sur R:(idem IB) u b est dé…nie sur R IIC2) On doit dériver une intégrale à paramètre : La fonction (t; x) 7! e tx u(x) est de classe C 2 sur R2 (produit de deux fonctions de classe C 2 ): de dérivées partielles : @e les trois fonctions x > e des fonctions intégrables) tx u(x) (x; t) = @t tx u(x) ,x Dominations soient J = [a; b] 8t 2 J; 8x 2 R; e tx u(x) > xe xe tx tx @2e u(x) tx u(x) (x; t) = x2 e @t2 > x2 e u(x) et x tx tx u(x) u(x) sont continue sur R , intégrales (dominées par R: et A = max (jaj ; jbj) @e eAjxj u(x) , tx u(x) (x; t) @t xeAjxj u(x) , @2e tx u(x) (x; t) @t2 x2 eAjxj u(x) . Ces trois fonctions dominantes sont continue intégrables sur R:( le produit par x2 tend vers 0 en Donc la fonction u b est de classe C 2 sur R;et : Z Z u b0 (t) = xe tx u(x)dx et u b00 (t) = x2 e tx u(x)dx R 1 comme au IB) R IID1) On veut 8 (x; t) 2 R2 , t2 + (x + t)2 a x2 + t2 0 On écrit cette expression comme un trinôme du second degré en t: (2 a) t2 + ( 2x)t + (1 D’après le signe du trinôme du second degré on doit avoir 2 a= 3 a p 5 2 a)x2 0 et 0 0 . Ce qui donne a 2 et a 2] = 3 p p 5 3+ 5 ; [: 2 2 convient 2 2 Remarque (cos ( )) + (cos ( ) + sin ( )) . Donc n on peut passer en polaire t = o r cos( ); x = r sin ( ) on veut : 8 a 2 2 a = min (cos ( )) + (cos ( ) + sin ( )) il su¢ t d’étudier la fonction pour véri…er que a > 0 IID2) les fonctions u et v sont dans E; donc u v aussi (IIB4). Donc u v est intégrable sur R (IIC1 avec t = 0). On souhaite appliquer le résultat d’interversion donné par l’énoncé à la fonction F : F (x; t) = u(t)v(x t): F est bien continue sur R2 : Reprenons la majoration du IIB 8t 2 R; ju(t)v(x t)j MN exp 2 4 2 2 t 2 2 2 (x t) 2 ! en posant encore = min ( ; ) ; on a: jF (x; t)j 2 2 MN exp 2 2 t t)2 (x a MN exp 2 2 2 t2 + x2 2 ! : MN exp 2 intégrables sur R). Donc: En notant: h1 (t) = Z a 2 t2 2 (u v) (x)dx = R a 2 x2 2 et h2 (x) = exp Z Z R u(t)v(x t)dt dx = R ; on a bien l’hypothèse de l’énoncé (h1 et h2 sont Z u(t) R Z v(x t)dx dt R Le changement de variable u = x t dans l’intégrale intérieure donne: Z Z v(x t)dx = v(u)du indépendant de t: R R D’où: Z (u v) (x)dx = R Z R Z u(x)dx v(x)dx R IID3) u[v ( ) = Z e x (u v) (x)dx = R Z e R x Z u(t)v(x R Z t)dt dx = : R Z e x u(t)v(x t)dt dx R On va encore intervertir l’ordre des intégrales : Soit (x; t) = u(t)v(x t)e x = F (x; t)e x : 2 est continue sur R :et j (x; t)j MN e 2 x exp a 2 t2 + x2 2 On a bien encore les hypothèses pour intervertir les deux intégrales, en posant cette fois: a 2 t2 MN a 2 x2 2 x exp h1 (t) = et h2 (x) = exp qui sont bien intégrables sur R . Donc: 2 2 2 Z Z Z Z x u[v ( ) = e u(t)v(x t)dx dt: = u(t) e x v(x t)dx dt R R R R Le changement de variable T = x t dans l’intégrale intérieure donne: Z Z x v(x t)e dx = v(T )e (T +t) dT = e t vb ( ) : R R Et …nalement: u[v ( ) = u b ( ) vb ( ) L’indication du sujet ne m’aide pas à trouver une autre majoration sans doute plus simple Partie III IIIA1) Soit P (n) : hn 2 E1 : P (1) est vraie. Supposons P (n) : Alors hn+1 = hn h est bien dé…nie et appartient à E (IIB). Z Z Z De plus (IID2) hn+1 (x)dx = hn (x)dx h(x)dx = 1: Donc hn+1 2 E1 : R R R Par récurrence, on a bien montré: 8n 2 N ; hn 2 E1 cn (x) = h[ b IIIA2) Avec IID3, on a: h n 1 (x)h(x); d’où, par une récurrence évidente: cn (x) = h b h(x) 5 n ! = MN e 2 x exp a IIIB1) le calcul de f2 = f f a été fait en IIB3): f2 (x) = K2 e x2 4 1 ; avec K2 = p : 2 IIIB2) Par récurrence . Si fn est de la forme proposée on calcule fn+1 avec un changement de variable pour utiliser IB comme pour le calcul de f f: x2 Supposons qu’il existe une constante Kn telle que fn (x) = Kn exp : 2n Alors fn+1 (x) Z = Z Kn t)dt = p 2 Z exp t2 fn (t) f1 (x R t2 2n exp R t)2 (x 2 x2 K 1 1 p n exp + + xt dt 2 2n 2 2 R Z n+1 2 x2 Kn n t exp + xt dt = = p exp 2 2 2 R r n+1 t: Faisons le changement de variable T = n f r r Z T2 Kn n x2 n exp fn+1 (x) = p exp +x T n+1 2 2 n+1 2 R = Avec IB): fn+1 (x) = Kn Donc r x2 2(n + 1) fn+1 (x) = Kn+1 exp x2 2 n exp n+1 n x2 n+1 2 exp ; avec Kn+1 = Kn r = Kn r n exp n+1 dt dT x2 2(n + 1) n : n+1 Par récurrence, on a bien montré, pour tout n 2 N ; l’existence d’une constante Kn telle que: x2 1 fn (x) = Kn exp : De plus, partant de K1 = p ; on obtient: 2n 2 r n 1 Y p 1 1 p Kn = =p p+1 2 2 n p=1 fn (x) = p IIIB3) c fn t p n = fb t p n n = exp t2 2n La suite proposée est constante, sa limite vaut exp 1 exp 2 n n = exp t2 2 t2 2 x2 2n : : IIIC1) g est clairement continue sur R. h i jg(x)j Pour x 2 ; ; est continue sur un segment , donc admet un maximum M: 2 2 f (x) Et comme g est nulle en dehors de ce segment, g véri…e bien une majoration requise pour être dans E; avec Z Z =2 1 1 =2 En…n: g(x)dx = cos(x)dx = [sin(x)] =2 = 1: Donc 2 2 R =2 IIIC2) (g g) ( x) = Z Z g 2 E1 g(t)g( x t)dt = g( u)g( x + u)du: R Z Puisque g est paire: (g g) ( x) = g(u)g(x u)du = (g g) (x) : R R Donc g g est paire. 6 =1. Si x : Alors, puisque t + (x t) = x; l’un des nombres t ou x Ainsi g g est nulle sur [ ; +1[: 1 2 Soit x 2 [0; ] : (g g) (x) = Or g(x : h t) = 0 si t 2 = x 2 ;x + (g g) (x) 2 Z i 1 8 = et par parité : cos (t) g(x t)dt: =2 Comme Z h x 2 ;x + 2 i \ h =2 cos (t) cos (x x t) dt = =2 ( x) cos (x) + 1 [sin (2t 2 i ; 2 2 1 8 Z h = x 2 2 i car x 2 [0; ] on a en linéarisant =2 [cos(x) + cos (2t x x)]x x))] dt =2 =2 =2 1 (( 8 x) cos (x) + sin (x)) si jxj 2 [0; ] ; (g g) (x) = 0 si jxj Remarque : on véri…e la continuité en 0:On peut aussi véri…er à la machine que Z ; : (g g) (x) = donc que t) = 0: =2 : 1 4 = t est supérieur ou égal à =2; donc g(t)g(x Z =2 0 1 (( 8 x) cos (x) + sin (x)) = 1=2 et g g=1 R IIIC3) g1 est nulle en dehors de [ =2; =2] , g2 est nulle hen dehors ide [ ; ] On peut deviner : n n ; : Soit P (n) : gn est paire, et nulle en dehors d’un segment 2 2 P (1) et P (2) sont vraies. Supposons P (n) vraie. (n + 1) n Soit x : Alors, si g(t) 6= 0 alors t =2 donc x t donc gn (x t) = 0 donc 8t 2 R gn (t)g(x 2 2 (n + 1) Idem pour x 2 (n + 1) (n + 1) ; ; Donc gn+1 est nulle en dehors de 2 2 Par récurrence, on a montré que, h n n i pour tout n 2 N ; gn est nulle en dehors du segment ; 2 2 h n n i remarque : on ne prouve pas que la fonction est non nulle sur ; 2 2 IIIC4) ! Z =2 Z =2 1 1 gb(t) = cos (x) e xt dx = Re e( t+i)x dx 2 2 =2 =2 or Z =2 e( t+i)x dx = e( =2 t+i)x = t+i =2 =2 t+i ie t2 + 1 t =2 + iet =2 D’où: IIIC5) gc n t p n = n t gb p n ln gb(t) = t2 1 t ch +1 2 : Prenons le logarithme ( la fonction est strictement positive). gc n t p n t = n ln gb p n = n ln ch Prenons des équivalents pour n tendant vers l’in…ni: 7 t p 2 n ln 1 + t2 n : t) = 0: t p 2 n lim t = 0 et lim ch p 2 n t p 2 n n ln ch n ln 1 + t2 n = 1 donc n >+1 n >+1 t p 2 n n ch 1 n >+1 0 t p 2 n 2 B B nB @ 2 1 C C C A n >+1 t2 2 8 t2 2 t p n lim gc n n!1 = exp 1 t2 8 Partie IV IVA1) On applique le IIC2 à la fonction hn ; qui est dans E : cn est C 2 et on connaît ses dérivées, donc h cn admet un développement limité à l’ordre 2 en 0 : h 0 00 1 cn (t) = 1 + h cn (0)t + h cn (0)t2 + o(t2 ) = 1 M1;n t + 1 M2;n t2 + o(t2 ): h 2 2 cn (t) = b IVA2) Par ailleurs: h h(t) =1 n n 1 M1;1 t + M2;1 t2 + o(t2 ) 2 n n (n 1) 2 nM1;1 t + M2;1 + M1;1 t2 + o(t2 ): 2 2 = 1 2 1) M1;1 ; Par unicité du D.L., on en déduit: M1;n = nM1;1 et M2;n = nM2;1 + n (n donc Vn = M2;n 2 M1;n = nM2;1 2 nM1;1 = nV1 : M1;n = nM1;1 cn IVB) h t p n = b h t p n Pour n tendant vers l’in…ni: b h Donc b h t p n et Vn = nV1 n t p n =1+ M2;1 t2 +o 2n 1 n ( car M1;1 = 0) : tend vers 1:On peut prendre le ln pour n assez grand et cn ln h t p n = n ln b h cn lim h n!1 t p n t p n n b h = exp remarque: Pour f : M1;1 = 0; M2;1 = m2 = 1: On a bien lim c fn n!1 pour g . 8 t p n M2;1 t2 2 1 M2;1 t2 2 t p n = exp t2 2 :On peut faire aussi la véri…cation