SOLAAR PLEURE Mc Solaar - Service diocésain des jeunes
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SOLAAR PLEURE Mc Solaar - Service diocésain des jeunes
Textes et chansons Solaar pleure Mc Solaar Fuck la terre, si je meurs voici mon testament : Déposez des cendres dans la bouche de tous nos opposants Virez à coup d’front kick les faux qui viennent se recueillir J’veux des fleurs et des gosses, que ma mort serve leur avenir Peut être comprendront-ils le sens du sacrifice La différence entre les valeurs et puis l’artifice. Je sais qui pleurera et pourquoi, Vous êtes les bienvenus, y aura pas de parvenus Juste des gens de la rue La presse people n’aura que des smicard et des sans papiers Des costumes mal taillés, même si les mecs voulaient bien s’habiller Ci gît Claude, l’arabe de Salem, Initiale MC C’est un p’tit qui a voulu que la vie d’autrui soit comme une poésie Et surtout va pas croire qu’y aura dix milles filles Je dis ça pour ma famille, je n’étais pas parti en vrille. On me jette de la terre, on dépose quelques fleurs . Seul, sous son saule pleureur, Solaar pleure. Il souffre il est l’heure, Ecoute Solaar pleure Il souffre il est l’heure, Ecoute Solaar pleure Mon âme monte, je vous vois en contre plongée C’est ceux qui sont déjà partis que je m’en vais retrouver Ne vous inquiétez pas, non, je pars pour le paradis Pas pour parader mais professer la 7ième prophétie. J’ai tenu tête aux maîtres, aux prêtres, aux traîtres, Aux faux culs sans cortex qui dansent encore le funky jerk. Si c’est toi, courbe-toi, marche profil bas et tais-toi. Recherche une aura sinon va, tiens ! gomme toi. Excusez pour le mal que j’ai pu faire, il est involontaire J’ai été mercenaire, plutôt que missionnaire Je regrette et pour être honnête je souhaite que Dieu me fouette Dieu tu es la lettre, il faut que l’on te respecte Archange, comprend moi au nom du père Certains me trouvent exceptionnel mais j’ai pas fait l’élémentaire Le mike pleure, la feuille pleure, le bic pleure Et sous le saule pleureur : Solaar pleure. Il souffre il est l’heure, Ecoute Solaar pleure Il souffre il est l’heure, Ecoute Solaar pleure Je suis au paradis, je sillonne les plaines A la recherche de resquilleurs dans le jardin d’Eden J’ai contrôlé les anges, pas de haine et pas d’ennemis Sinon j’ai le canif et j’inaugure le meurtre au paradis. J’ai joué au maigrelet chaque fois que l’on m’a provoqué Contemplatif et ordonné, j’ai pardonné sans pardonner Mais je n’étais pas un héros, juste un mec fait d’os et d’eau Maintenant je suis une âme qui plane perdu sans stylo. Eden exterminator, ange exterminateur, Videur matador du divin examinateur M’assure que c’est par méprise que je trippe avec les anges Et m’envoie aussitôt vers les flammes et puis la fange. 500 one + 165, 111 x 6, le code barre de l’Antéchrist Je vois des porcs et des sangliers Le feu et le sang liés Je prie car j’ai peur Satan rit Solaar pleure, Solaar pleure, Solaar pleure, ... NON, pourquoi moi ? C’est une erreur Gardes-moi, je suis noble de coeur Arrêtez la chaleur, je crache sur Belzébuth Je garderais la foi et puis j’ai l’uppercut Pourquoi ce blâme ? Pourquoi ces flammes ? Pourquoi ce torréfacteur qui nous crame ? Cet âne de Chétane plane sur nos âmes Il vit par le feu, périra par le lance-flammes Du lac Lancelot, double A du graal Rabbin, prêtre, imam Priez, aidez OIM, pourquoi moi Pourquoi ce karma, Zarma J’ai porté la foi jusqu’à la main de Fatma Je suis comme un gladiateur d’Esperado Envoyé en enfer pour une mission commando Lucifer ne vois-tu pas que Dieu est fort Si nous sommes soudés, nous t’enverrons toucher la mort. Solaar pleure, ses larmes éteignent les flammes Libère les âmes, fait renaître arbres et âmes Le diable est à l’agonie, unissons nos forces Bouddha grand Architecte, Thérésa bombons le torse Priez, aidez-moi, il chancelle, il boite Il se consume, il fume, il n’a plus qu’une patte Je vois qu’il souffre, je vois qu’il hurle Il a créé le mal et c’est le mal qui le brûle Le bien pénètre chez la bête de l’apocalypse Comme poussé par une hélice pour que son aura s’éclipse Raël, Ezechiel, avec la lumière combattre le mal suprême Le mal hurle, je l’entend hurler Des fleurs poussent, el diablo est carbonisé Il implose, il explose, Et de l’antimatière jaillissent des ecchymoses Satan est mort, le bien reprend vie A quand la terre comme nouveau paradis On ne sait plus que faire, On ne sait plus quoi faire L’enfer est sur Terre et qui la gère ? Célébrer - L'Eucharistie - Service Diocésain des Jeunes Textes et chansons La mort Je te prie, Seigneur, pour tous ceux qui sont dans la souffrance mais qui gardent l’espérance de revoir parents et amis. Parfois on les oublie, on continue notre vie. Mais au fond de notre cœur, on entend encore des pleurs. Car ceux qu’on aimait sont partis à jamais. Ils nous laissent dans la tristesse mais nous avons la promesse que nous les reverrons un jour et qu’alors ce sera pour toujours. Amen Sébastien (13 ans) Qui a tué Grand-maman ? Paroles et musique : Michel Polnareff Il y avait du temps de grand-maman Des fleurs qui poussaient dans son jardin Le temps a passé, seules restent les pensées Et dans tes mains il ne reste plus rien Refrain : Qui a tué grand-maman, est-ce le temps Où les hommes qui n’ont plus l’ temps D’ passer le temps? La la la la la la... Il y avait du temps de grand-maman Du silence à écouter Des branches sur les arbres, des feuilles sur les branches Des oiseaux sur les feuilles et qui chantaient Refrain Le bulldozer a tué grand-maman Et change ses fleurs en marteaux-piqueurs Les oiseaux pour chanter ne trouvent que des chantiers Est-ce pour cela que l’on te pleure ? Refrain Qui a tué grand-maman, est-ce le temps Ou les hommes qui n’ont plus l’ temps D’ passer le temps ? Célébrer - L'Eucharistie - Service Diocésain des Jeunes Textes et chansons La perte d'un ami Mon ami avait peur de l’avenir. Il n’avait plus le courage d’y faire face. Il s’est suicidé… Pourquoi ? Jamais nul ne le saura car il emporte son secret avec lui. Je sais que là-haut, c’est un monde nouveau. Il nous regarde en essayant de nous consoler, Tout en sachant qu’au fil du temps, des amis vont l’oublier. Rien ne sera pareil maintenant qu’il est passé du côté du soleil. Ne plus lui parler, le voir ni le toucher, ce sera dur de ne pas pleurer. Cet air d’été ne sera plus léger même si au fond de nous, Nous gardons l’espoir qu’il sera enfin heureux. Que sa souffrance soit apaisée pour qu’enfin sa vie soit éternelle. Il ne nous reste plus qu’à oublier en versant les larmes qui peu à peu nous apporteront un souffle de souvenirs. Nul n’y peut rien. J’ai grand besoin de toi, Seigneur. Je te remercie de ta présence dans ma vie… Ne m’abandonne pas… J’ai besoin de toi, Seigneur… Pascale (16 ans) Célébrer - L'Eucharistie - Service Diocésain des Jeunes