Rue Frontenac - Le Bum, les Belles et la Brute

Rue Frontenac - Le Bum, les Belles et la Brute
Écrit par Pascale Lévesque
Jeudi, 25 février 2010 20:30 - Mis à jour Vendredi, 26 février 2010 12:16
Avec sa vie singulière, Éric Grenier fait déjà bien des envieux. Mais en cohabitant pendant un
mois avec six top-pitounes pour le tournage de Le Bum, les Belles et la Brute, le propriétaire du
magazine
Québe
c Érotique
et du club de danseuses Le Garage avait de quoi susciter la jalousie. Beaucoup de jalousie… et
pourtant !
« Six princesses… », lance en soupirant la vedette de la nouvelle téléréalité signée Anne-Marie
Losique, en parlant des danseuses de la tournée Québec Érotique qui ont partagé son
quotidien durant un mois l’été dernier. « C’était quelque chose de spécial… disons, de vraiment
difficile par moments. Moi qui suis habitué de vivre tranquille avec ma blonde, mes enfants… et
qui reçoit quatre fois semaine la visite de la femme de ménage », décrit-il.
Le bum, les belles et la brute,
une incursion dans le monde d'Éric Grenier, un genre de Hugh Hefner québé
Et Éric Grenier d’ajouter : « Sérieux, j’en ai bavé! » Bavé? Un « cri du cœur » qui fait sourire,
parce que si l’homme d’affaires en a bavé au plan du ménage avec ses jolies colocataires,
l’emballage de Le Bum, les Belles et la Brute, diffusée ici sur la télé payante, nous laisse croire
que les téléspectateurs baveront tout autant, mais pour d’autres motifs plus... « sexy ».
La série de six épisodes de 30 minutes propose une incursion dans le quotidien d’un homme
qui a fait de l’érotisme sa business. Un genre de Hugh Hefner québécois, quoi! À l’instar de la
légendaire figure de l’empire Playboy, Éric Grenier et sa vie soulèvent bien des curiosités et
l’idée de partager le tout avec le grand public faisait son chemin depuis un long bout de temps.
« Je me suis souvent fait dire par mon entourage que j’étais un personnage, un mythe, et que je
devrais en faire un roman. J’ai croisé Anne-Marie Losique, et de discussion en discussion, le ti
ming
a fini par être bon! », raconte-t-il.
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Rue Frontenac - Le Bum, les Belles et la Brute
Écrit par Pascale Lévesque
Jeudi, 25 février 2010 20:30 - Mis à jour Vendredi, 26 février 2010 12:16
Vrai... au trois quarts
Bien entendu, Éric Grenier (le bum) n’habite pas vraiment avec ses six danseuses vedettes (les
belles) et son ami adepte de combats ultimes, Derek Gauthier (la brute). Même s’il est arrivé à
l’occasion que les belles et leur patron dorment sous le même toit. Reste qu’il assure que ce
qu’on verra de son quotidien à l’écran est aux trois quarts vrai. Au menu, outre les
mésaventures de ménage, des défilés en petite tenue, du jet-set… et une partie de golf qui
promet. « De tout le tournage, je dirais que ça… ça a vraiment été quelque chose », dit
l’homme d’affaires, qui semble promettre que le spectateur trouvera vraiment son compte dans
cette anecdote.
S’il a du mal à se regarder à l’écran, Éric Grenier a beaucoup aimé son expérience, et s’il se fie
aux commentaires très positifs de son entourage, il pourrait bien remettre ça pour une seconde
saison. « On attend de voir la réaction du public, mais on n’a pas encore abordé la question, la
productrice et moi », indique-t-il. IDI, la boîte d’Anne-Marie Losique, est cependant en
discussion avec des diffuseurs européens intéressés à acheter la première saison.
« Il y a au moins dix personnes par semaine qui me disent qu’elles voudraient passer 24 heures
dans ma vie », assure Éric. Voilà peut-être une chance pour ces personnes d’y goûter un peu
avec Le Bum, les Belles et la Brute.
* Le Bum, les Belles et la Brute, disponible sur Illico et sur Bell Télé dès le 5 mars.
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