Albacete Stephane Molinier Team 18

CHAMPIONNAT DU MONDE D’ENDURANCE ALBACETE
Le week-end du 20 et 21 mai a eu lieu la troisième épreuve du championnat du monde
d’endurance à Albacete.
Avec l’équipe du Team 18, c’était notre deuxième participation à ce championnat après
l’épreuve des 24 Heures du Mans.
Nous connaissions tous ce circuit pour avoir déjà participé l’an passé à cette épreuve où nous y
avions terminé 6ième.
Le circuit d’Albacete se situe dans une zone assez aride et pour cette raison il est courant d’y
rencontrer des serpents non motorisés sur la piste. Cela donne une bonne motivation pour ne
pas chuter…
La durée de l’épreuve est de 8 heures, et toujours en raison de la chaleur, le départ est donné
à 18 h le samedi soir. Le circuit est très bien éclairé.
Une endurance de 8 heures ne pardonne aucune grosse perte de temps dans les stands n’y
erreur sur la piste : toutes les secondes sont précieuses car on a peu de temps pour rattraper
celles qui sont perdues.
En raison de tous les contrôles administratifs, nous devions tous être présents le dès le jeudi.
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Nous avons ensuite faits nos premiers tours de piste le vendredi matin afin de régler la moto
pour les premières séances d’essais qualificatifs qui ont eu lieu l’après-midi sous plus de 35°.
Le vendredi soir a eu lieu ensuite les essais de nuit non chronométrés mais obligatoires.
La seconde séance d’essais qualifs du samedi matin a permis à la plupart des pilotes
d’améliorer de plus d’une seconde en règle générale en raison de la température plus
clémente.
Au final, nous nous plaçons 12ième sur la grille du départ.
Une ultime session de roulage (warm-up) en début d’après-midi permet de tout bien valider
pour la course.
18 heures, c’est la mise en épi.
Je réalise un mauvais départ et boucle le premier tour en 17ième position.
Albacete est un circuit technique et physique, style Lédenon, mais plat, la piste n’est pas
large et le bitume abîmé : il est difficile d’y doubler en raison des écarts de chronos peu
important entre les pilotes et je n’ai pu grignoter que peu de places.
Les relais avec G. Pialloux et G. Grelaud se succèdent sans soucis (nous en ferons deux
chacun), le travail dans les stands est très efficace.
Tout cela fait que notre position oscille entre la 10ième et la 12ième place.
C’est finalement en 9ième position ‘au scratch’ que nous passons sous le drapeau à damier.
Nous sommes par contre les premiers en Superproduction (un autre équipage français
monte sur la deuxième marche de cette catégorie : le Genous Team).
Après cette épreuve nous nous retrouvons en tête au
Superproduction du championnat du monde d’Endurance.
classement
Stéphane Molinier
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provisoire