Dossier de presse - Centre Wallonie

DOSSIER DE PRESSE
12 Novembre 2014
Pleins feux sur Annie Cordy
Du 10 au 13 décembre 2014
A l’occasion de son nouvel album et de la prochaine sortie du film de Jean-Paul Rouve où elle tient le
rôle principal, le Centre Wallonie-Bruxelles à Paris est heureux de rendre hommage à l’une des plus
célèbres chanteuses et actrices belges, Annie Cordy, avec une soirée exceptionnelle et une
rétrospective de ses rôles les plus marquants, en sept séances uniques, en sa présence.
Calendrier
Mercredi 10 décembre
18h30 : Classe de cinéma d’Annie Cordy
Suivie du
Concert de l’ensemble Astoria (œuvres d’Astor Piazzolla pour le cinéma)
21h : Les Souvenirs de Jean-Paul Rouve, en avant-première
(2014, 1h37) sortie nationale le 14/01/15
Rétrospective, en présence d’Annie Cordy :
Jeudi 11 décembre
18h30 : Le Chanteur de Mexico de Richard Pottier
(1956, 1h43, copie restaurée 35mm)
20h30 : Le Passager de la pluie de René Clément
(1970, 2h, copie 35mm)
Vendredi 12 décembre
18h30 : Souvenir of Gibraltar de Henri Xhonneux
(1975, 1h38, copie 35mm)
20h30 : Rue Haute d’André Ernotte
(1976, 1h34, copie 35mm)
Samedi 13 décembre
16h30 : Le Dernier des fous de Laurent Achard
(2006, 1h36, copie 35mm)
18h30 : Un été après l’autre (Impasse de la Vignette) d’Anne-Marie Etienne
(1989, 1h47, copie 35mm)
20h30 : La Rupture de Claude Chabrol
(1970, 2h04, copie numérique)
Classe de cinéma : gratuit.
Entrée : 5 €. Tarif réduit : 3€
Centre Wallonie-Bruxelles
Direction : Anne Lenoir
46, rue Quincampoix - 75004 PARIS
Métro : Châtelet – les Halles ou Rambuteau
Dossier de presse – Pleins feux sur Annie Cordy, du 10 au 13 décembre 2014
Contacts presse cinéma
Louis Héliot
+33 (0)1 53 01 96 91
[email protected]
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Annie Cordy a enregistré plus de 700 chansons, joué dans neuf comédies musicales et douze
pièces de théâtre, tourné dans 40 films, 30 téléfilms, et donné près de dix mille galas !
Née à Bruxelles, Annie Cordy prend, dès sa plus tendre enfance, des cours de danse. Puis elle apprend
le piano et le solfège tout en poursuivant ses études, et participe à des galas de bienfaisance. Entre les
numéros dansés, elle chante les succès du moment. Très vite, elle est remarquée par le directeur
artistique du Lido et vient à Paris où elle commence sa carrière.
En 1952, elle obtient le Prix Maurice Chevalier et est engagée dans l’opérette de Raymond Vincy, La
Route Fleurie (musique de Francis Lopez) avec Georges Guétary et Bourvil. Tout en continuant
l’opérette, elle enregistre ses premiers succès. Elle apparaît aussi au grand écran dans Si Versailles
m’était conté de Sacha Guitry (1953), Poisson d’avril avec Bourvil et Louis de Funès (1954) et
Bonjour sourire avec Henri Salvador (1955). La même année, elle passe en vedette à l’Olympia et à
Bobino et reçoit le Grand Prix de l’Académie Charles Cros pour la chanson Oh Bessie !
Après le succès au cinéma du Chanteur de Mexico avec Luis Mariano et Bourvil, elle débute en 1957
une nouvelle opérette Tête de linotte, avant de retrouver Luis Mariano dans Visa pour l’amour (de
1961 à 1964). Avec Darry Cowl comme compositeur et partenaire, elle crée Pic et Pioche en 1967 et
en compagnie de Pierre Doris, Indien vaut mieux que deux tu l’auras.
En 1972, elle crée la version française de Hello Dolly !, qui lui vaut l’Award de la meilleure showwoman européenne ; triomphe avec Nini la Chance (1976) et Envoyez la musique ! (1982). Dans les
années 1980, c’est au théâtre qu’elle enchaîne les succès avec Madame Sans-Gêne (1981 et 1987),
Sacrée Gladys avec Jacques Balutin (1990), La Célestine avec Gérard Chambre (1994) ou Laissezmoi sortir de Jean-Marie Chevret, avec Mimi Lebon (2009 et 2010).
Pendant toutes ces années, elle a aussi enchaîné les tournages pour le cinéma ou la télévision,
alternant drames ou tragédies et comédies populaires, en jouant sous la direction de Jacques Baratier,
Raoul André, Pierre Granier-Deferre (Le Chat), Pierre Tchernia, Nadine Monfils, Fabien Onteniente et
Alain Resnais(Les Herbes folles) ou dans des séries télévisées récentes telles que Scènes de
ménages, Y’a pas d’âge, Chefs et H-Man.
En 2004, Annie Cordy est anoblie par le roi des Belges Albert II qui lui confère le titre de baronne. Elle a
choisi pour devise : « La passion fait la force ». Elle incarne merveilleusement la noblesse du musichall.
Mardi 9 décembre à 20h – concert privé sur invitation
En cette fin d’année paraît son nouvel album : Annie Cordy chante Noël (Johnny Williams Son, Sun
records). C'est accompagnée de trente musiciens qu'elle est retournée en studio pour nous offrir treize
chansons, mélange de créations originales et de reprises de grands standards superbement
orchestrées. « Depuis 1998 je n'avais plus rien enregistré, trop occupée à parcourir la France et les
pays francophones avec mes berlurons (mes musiciens), tourner pour le cinéma, jouer au théâtre, pour
la télévision... C'est ma nièce Mimi qui m'a persuadée de reprendre le chemin du studio. »
A cette occasion, Annie Cordy et ses musiciens interprètent les nouvelles chansons et reprennent les
grands succès pour un concert privé, réunissant ses amis et ses fans.
Production : Thierry Fééry. Agence Panir.
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Mercredi 10 décembre à 18h30 : Classe de cinéma d’Annie Cordy et concert d’Astoria.
Au cours d’un entretien, Annie Cordy revient sur sa carrière du music-hall au cinéma, sur ses
rencontres professionnelles et sa méthode de travail.
Cette « classe » sera suivie d’un concert exceptionnel donné par Astoria, conduit par Christophe
Delporte, qui a assuré la direction artistique du nouvel album d’Annie Cordy.
L’ensemble Astoria interprétera des œuvres écrites pour le cinéma par Astor Piazzolla. Son album In
the Mood for Movies – Astor Piazzolla paraîtra en janvier 2015, édité par Outhere Music.
L’ensemble Astoria a la particularité́ d’interpréter exclusivement l’œuvre d’Astor Piazzolla adaptée et
transcrite par l’accordéoniste Christophe Delporte.
Composé de cinq artistes, tous diplômés de Conservatoires Royaux, lauréats de concours
internationaux ou membres de grands orchestres, l'ensemble Astoria réussit à imposer son identité́
grâce à̀ l’énergie, à la rigueur, et à l’émotion qui émanent de leurs interprétations. Dans le sillage
d'Astor Piazzolla, Astoria s'inscrit à la croisée des chemins. Un souci constant de qualité́ musicale et de
maitrise instrumentale rapproche sa démarche de l'univers classique, dont sont issus ses musiciens ;
mais tout en faisant surgir au premier plan la qualité́ d'écriture du maitre argentin, Astoria veille à
préserver l'ensorcellement rythmique et mélodique des originaux.
En troquant le plafond bas du bar enfumé ou du studio d'enregistrement pour la salle de concert,
l'ensemble rejoint les aspirations du compositeur : Piazzolla aimait dans ses dernières années laisser
s'exhaler les sonorités uniques et inimitables de son ensemble dans des cadres adaptés.
Christophe Delporte (Accordéon/Bandonéon/Accordina) ; Isabelle Chardon (Violon) ; Eric Chardon
(Violoncelle) ; Leonardo Anglani (Piano).
Entrée libre, dans la limite des places disponibles.
Réservation indispensable : [email protected] ou 01.53.01.96.96
Mercredi 10 décembre 21 h : en avant-première (sur invitation)
Les Souvenirs de Jean-Paul Rouve
(2014 – France/Belgique – 1h36)
Scénario : Jean-Paul Rouve, d’après le roman de David Foenkinos. Image : Christophe Offenstein.
Montage : Chrystel de Winter. Avec Michel Blanc, Annie Cordy, Chantal Lauby, Mathieu Spinosi,
Audrey Lamy, William Lebghil. Production : Nolita Films, Nexus Factory. Distribution France : UGC
Distribution. (Sortie nationale : le 14 janvier 2015).
Romain a 23 ans. Il aimerait être écrivain mais, pour l'instant, il est veilleur de nuit dans un hôtel. Son
père a 62 ans. Il part à la retraite et fait semblant de s'en foutre. Son colocataire a 24 ans. Il ne pense
qu'à une chose : séduire une fille, n'importe laquelle et par tous les moyens. Sa grand-mère a 85 ans.
Elle se retrouve en maison de retraite et se demande ce qu'elle fait avec tous ces vieux.
Un jour son père débarque en catastrophe. Sa grand-mère a disparu. Elle s'est évadée en quelque
sorte. Romain part à sa recherche, quelque part dans ses souvenirs…
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Rétrospective, du 11 au 13 décembre, en présence d’Annie Cordy
Emouvante, drôle, voire délirante avec sa générosité et son punch, Annie Cordy vit depuis 65 ans une
merveilleuse histoire d'amour avec son public qui lui rend au centuple la tendresse qu'elle leur
témoigne. Au cinéma, elle a souvent tenu des rôles tragiques et bouleversants, aux antipodes de
l’image de « rigolote » que le public à d’elle par ses chansons. Retour sur quelques rôles marquants, en
sept séances uniques.
Jeudi 11 décembre à 18h30 : Le Chanteur de Mexico de Richard Pottier
(France/Espagne– 1956 – 1h43)
Scénario : Raymond Vincy, Jesus Maria de Arozamena, d’après l’opérette éponyme. Musique : Francis
Lopez. Avec : Luis Mariano, Bourvil, Annie Cordy, Tilda Thamar, Pauline Carton, Fernando Rey.
Production : Vauban Production, Jason Production, C.E.F., Benito Perojo. Distribution : Studiocanal.
Craignant la vengeance de sa terrible et bien nommée petite amie, Tornada, qu'il a abandonnée, le
célèbre chanteur Miguel Morano refuse de retourner au Mexique. Qu'à cela ne tienne, Cartoni, son
impresario, lui trouve un sosie en la personne de Vincent Etchebar, un jeune basque, excellent
chanteur. Etchebar se rend à Paris avec son ami Bilou, mais les jeunes gens ne parviennent pas à
retrouver l'impresario. Ils deviennent peintres en bâtiment et la belle Cri-Cri s'éprend de Vincent. Elle va
les aider à retrouver Cartoni.
"Il faut surtout savoir gré à M. Luis Mariano d'une grande discrétion. Il a su, beaucoup mieux que dans
ses films précédents, renoncer à jouer à la comédie. C'est d'une grande sagesse lorsqu'on a Bourvil
pour partenaire. Chants, danses, costumes, figuration, farandoles et autres accessoires indispensables
concourent à composer une opérette filmée agréable."
Le Figaro - 01/12/56
Jeudi 11 décembre à 20h30 : Le Passager de la pluie de René Clément (int – 12 ans)
(France/Italie – 1970 – 2h)
Scénario : Sébastien Japrisot. Musique : Francis Lai. Avec Marlène Jobert, Charles Bronson, Annie
Cordy, Jean Piat. Production : Serge Silberman. Distribution : Studiocanal. Golden Globe du meilleur
film étranger 1971.
Un soir, un inconnu surprend Mélancolie Mau seule chez elle et la viole. Folle de terreur, elle le tue et
se débarrasse du cadavre. Mais peu de temps après, un mystérieux Américain la harcèle de questions.
Refusant d'avouer le meurtre, elle se retrouve alors impliquée dans une lutte sans merci avec son
inquisiteur.
« Perfectionniste, méthodique et froid, René Clément a mené parfaitement à bien ce conte
psychanalytique. Il n’y a pas de petits sujets pour les grands metteurs en scène. »
Claude Veillot, 19/01/1970, L’Express
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Vendredi 12 décembre à 18h30 : Souvenir of Gibraltar de Henri Xhonneux
(en présence du producteur Eric Van Beuren)
(Belgique/France – 1975 – 1h38)
Scénario : François-Xavier Morel, Claude Klotz, Henri Xhonneux. Image : Michel Housiau. Musique :
Tucker Zimmerman. Avec : Annie Cordy, Eddie Constantine, Armand Xhonneux. Production :
Aligator Films. Distribution : Belfilm.
Bien loin du célèbre détroit, le réalisateur situe l’action de ce premier long métrage entre Bruxelles,
Eupen et Welkenradt et propose une « autobiographie » familiale qui se veut avant tout une comédie
populaire et une réflexion sur le cinéma.
Dans son bain, le réalisateur Henri Xhonneux (interprété par l’acteur François-Xavier Morel), lit un
article de journal consacré à son frère boxeur. La photo de sa belle gueule un peu cassée lui donne
l’idée de faire un film sur lui, sur sa famille… Le voilà parti dans un fantasme d’une heure et demie où
seront développées toutes les raisons de faire ou de ne pas faire ce film.
Il faut avant tout convaincre l’acteur principal, le frère boxeur, le taiseux Armand Xhonneux qui
interprète ici son propre rôle. Il faut aussi convaincre les parents, bouchers charcutiers de profession,
incarnés eux par les professionnels aguerris que sont Annie Cordy et Eddy Constantine.
Vendredi 12 décembre à 20h30 : Rue Haute d’André Ernotte
(Belgique – 1976 – 1h34)
Scénario : André Ernotte, Eliott Tiber. Image : Walther Vanden Ende. Musique : Mort Shuman. Avec :
Annie Cordy, Mort Shuman, Bert Struys, Henny Halma, Suzy Falk. Production : Comedia.
Un peintre américain plutôt mondain (Mort Shuman) débarque à Bruxelles. Le hasard le porte à croiser
le chemin de Mimi (Annie Cordy), une femme ayant des crises de violence. Elle vend du poisson sur
une charrette du côté des Marolles. Connue dans le quartier, il apprend qu'elle n'a plus toute sa tête.
Curieux, il perd peu à peu son côté snob en allant du Sablon vers les Marolles et cherche à se
rapprocher de cette personnalité pour le moins bizarre.
Samedi 13 décembre à 16h30 : Le dernier des fous de Laurent Achard
(France – 2006 – 1h36)
Scénario : Laurent Achard et Nathalie Najem d’après le roman de Timothy Finley. Image : Philippe
Grivel. Avec : Julien Cochelin, Annie Cordy, Pascal Cervo, Dominique Reymond. Production : Agat
Films & Cie. Distribution : Ad Vitam. Prix de la Mise en scène Festival de Locarno 2006. Prix Jean Vigo
2006.
C’est l’été et le début des vacances pour Martin, onze ans, qui vit dans la ferme de ses parents et
observe, désemparé, la désintégration de sa famille : sa mère vit cloîtrée dans sa chambre, son frère
aîné, qu’il adore, se noie dans l’alcool, et son père, dominé par la grand-mère, assiste en spectateur
impuissant à la déchéance familiale Et même si Mistigri, son chat, et Malika, la bonne marocaine, lui
procurent un peu de réconfort, Martin est décidé à en finir avec cette confusion.
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Samedi 13 décembre à 18h30 : Un été après l’autre (Impasse de la Vignette) d’Anne-Marie
Etienne
(Belgique/France/Canada – 1989 – 1h47)
Scénario : Anne-Marie Etienne. Image : Jean-Claude Neckelbrouck. Musique : Yves Laferrière. Avec :
Annie Cordy, Paul Crauchet, Jean-Paul Comart, Suzy Falck, Françoise Bette. Production : Alain
Keystman Productions, RTBF, Ciné-Contact.
Trente ans de la vie d’une famille, à travers le personnage de la mère, depuis l’installation de celle-ci
impasse de la Vignette, à la fin des années 1930… Le destin d'une femme avec, en creux, une
émouvante chronique du Liège populaire.
Annie Cordy a reçu pour ce rôle le Prix d’interprétation féminine au Festival de Digne et au Festival des
Antilles. Prix du Meilleur premier film au Festival de La Ciotat.
Samedi 13 décembre à 20h30 : La Rupture de Claude Chabrol
(France/Belgique/Italie – 1970 – 2h04)
Scénario : Claude Chabrol, d’après le roman « Le Jour des Parques » de Charlotte Armstrong. Image :
Jean Rabier. Musique : Pierre Jansen. Avec : Stéphane Audran, Jean-Pierre Cassel, Michel
Bouquet, Jean-Claude Drouot, Jean Carmet, Michel Duchaussoy, Annie Cordy, Catherine
Rouvel, Mario David. Production : Les Films de la Boétie, Cinévog Films, Euro International Film.
Distribution : Artédis.
Dans la banlieue bruxelloise, Charles Régnier, à la suite d'une forte absorption de drogue, brutalise sa
femme Hélène et blesse son fils qui est transporté à l'hôpital. Hélène décide aussitôt de divorcer et
s'installe dans une pension de famille vétuste voisine de l'hôpital. Pendant ce temps, son beau-père,
Ludovic Régnier, qui n'a jamais accepté le mariage de son fils avec Hélène, entraîneuse de cabaret, va
user de sa fortune et de son influence pour récupérer la garde de son petit-fils...
Remerciements :
Annie Cordy, Michèle Lebon, Olivier et Marc-Antoine Coulon, André-Paul Ricci, Christopher Robba,
Thierry Fééry, Christophe Delporte, UGC Distribution, Nolita Cinéma, Tamasa Distribution, Forum des
Images, Belfilm, Centre du cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles,
Cinémathèque Royale de Belgique, Ad Vitam, Artédis.
CENTRE WALLONIE-BRUXELLES A PARIS
Direction : Anne Lenoir
46 rue Quincampoix – 75004 Paris
M°: Châtelet-les-Halles, Rambuteau
[email protected] - www.cwb.fr
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Contacts presse cinéma
Louis Héliot
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