Document numérique - Orientation Pays de la Loire

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Document numérique - Orientation Pays de la Loire
ETUDE POUR
l’OPTIMISATION DES ACTIONS D’INFORMATION
ET D’ORIENTATION DANS
LES PAYS DE LA LOIRE
ONISEP Pays de la Loire - Janvier 2000
Sommaire
Introduction
I - Expression des acteurs
II - Fiches descriptives des actions repérées
- Actions d’information ou d’orientation
- Forums spécialisés
- Actions de formation spécialisées
III - Pistes et propositions
Annexe
- Extrait formacode (Travail matériau et Agroalimentaire)
- Liste des fiches d’action
- Forums et salons de l’académie de Nantes (document SAIO)
- Liste des sigles et abréviations
- Liste des personnes interviewées
- Repères bibliographiques
Première partie : expression des acteurs et cadres de
références
1-1 Recueil des infor mations
Les entretiens et questionnaires d’enquête qui visaient à repérer les actions menées en matière d’information et d’orientation dans les Pays de la Loire ont été un moyen sur un temps très court de faire des constats dont
certains sont exposés dans l’introduction et d’autres dans cette partie, et de raviver l’intérêt pour un ensemble de
questions liées entre elles.
➞ Questions autour de l’information sur les formations et sur les métiers,
➞ Questions autour des stages et visites d’entreprises,
➞ Questions autour des dispositifs de pilotage et d’animation de la politique éducative et du lien école/entreprise,
➞ Questions autour de la communication,
➞ Questions autour de l’orientation,
➞ Questions autour des formations,
➞ Questions autour du recrutement,
➞ Questions autour de la diversification professionnelle des femmes,
➞ Questions autour des conditions de travail et réalités professionnelles
➞ Questions autour des comportements sociaux,
➞ Questions autour des images et représentations.
Il faut rappeler qu’il ne s’agissait pas d’une enquête lourde visant à l’exhaustivité et qui aurait nécessité les
moyens adéquats pour lever les divers obstacles méthodologiques nécessaires à une telle recherche.
Les éléments disparates d’informations recueillis ne peuvent être considérés comme représentatifs de catégories d’acteurs. Compte tenu d’un “turn-over” conjoncturel important, plusieurs personnes interrogées venaient
de prendre leurs nouvelles fonctions. Il convient de situer dans ce contexte les constats et questionnements qui suivent dont nous reproduisons quelques points forts mais forcément réducteurs et qui nous ont semblé révélateurs
pour alimenter une réflexion d’ensemble, un débat ou une recherche à venir s’agissant ici d’une étude exploratoire.
1-2 Bref rappel sur les I ndustries métallurgiques et les I ndustries Agro-alimentair es
➞ Définition des Industries Métallurgiques et connexes* et chiffres-clés : “Ensemble d’activités industrielles porduisant et transformant le métal”. 106 000 salariés dans les Pays de la Loire (source : UNEDIC 31/12/1995). 15 % de l’ensemble des salariés de la région. 6 % des salariés de l’ensemble des industries métallurgiques au niveau national dont 23 239 salariés dans le secteur Métallurgie et transformation des métaux (source :
INSEE - estimation d’emplois 31/12/1997).
➞ Définition des Industries Agro-alimentaires* et chiffres-clés : “Ensemble des industries participant à la
transformation, à l’élaboration et au conditionnement des produits d’origine essentiellement agricole, mais aussi
animaux, végétaux, aquatiques, eaux minérales etc… 50 034 salariés dans les Pays dela Loire (source : INSEE estimation d’emplois 31/12/1997).
1-3 Principaux constats
S’ajoutant à ceux énoncés dans l’introduction quelques autres constats s’imposent :
➞ les structures n’ont pas tendance à mettre en avant le travail avec les branches professionnelles ,
➞ pour les Industries Métallurgiques et connexes , il semble que la question de la pénurie de main d’oeuvre
pour certains métiers (usinage, soudage, chaudronnerie…) ne soit pas nouvelle, mais permanente ou récurrente
(par exemple les métaux en feuille) depuis plus de trente ans,
* voir le schéma fléché des secteurs en annexe
-1-
➞ L’image est très forte, très puissante liée à l’histoire, aux matériaux, et globalement connotée négativement.
➞ Pour les Industries Agro-alimentaires le problème de recrutement déficitaire semble avoir des causes
plus géographiques : il n’y a pas la population candidate sur place.
➞ L’image est floue, voire inexistante ou connotée négativement par l’actualité.
➞ Autour de l’image des métiers : il existe des métiers réputés “durs” “où il ne faut pas aller”. Reste à vérifier la part et l’exactitude des représentations et de la réalité (des études sont nécessaires).
➞ Autour des démarches et constructions de projet professionnel :
- L’approche est naturellement multisectorielle.
- Les projets professionnels (quand ils existent) et les réalités locales ont du mal à se rejoindre.
- Les choix professionnels ne vont pas d’emblée vers l’industriel.
- L’environnement du jeune est aussi important que le jeune.
➞ Autour de l’information professionnelle :
- Rares sont les démarches d’information sectorielles.
- Les actions d’information et/ou d’orientation peuvent renforcer les stéréotypes chez les jeunes et aussi chez
les adultes.
➞ Autour des entreprises :
- L’identité ne se créé pas qu’au travail “quand l’entreprise méprise l’humain ça se sait, ça se transmet”.
- Le passé de l’entreprise, son histoire ont un rôle dans les recrutements actuels.
- Les entreprises ont de plus en plus recours à des contrats à durée déterminée.
➞ Autour du recrutement :
- En matière de pénurie de main d’oeuvre, on manque d’analyse approfondie “tout est informel, il faut faire
au plus vite”.
➞ Autour des formations :
- Les formations se font plus par niveau que par secteur.
- Les actions de formation continue apparaissent parfois comme trop liées aux branches professionnelles ou
à des réseaux “l’offre occulte la demande”.
➞ Autour des partenariats :
- Il y a des limites à l’investissement dans les partenariats école/entreprise si le “retour sur investissement”
n’est pas suffisamment visible et /ou mesurable (CORIMEEC).
➞ Autour de la précarité :
- Face à la précarité les demandeurs d’emplois semblent moins pressés de retrouver un emploi.
➞ Autour du dialogue et de la communication :
- Il existe une attente vis à vis de la Région. Le PRDF ne s’est pas encore exprimé clairement sur les questions d’information et d’orientation.
1-4 Les questionnements
➞ Une question préalable :
- Qu’est-ce que les différents acteurs mettent sous le mot information et sous le mot orientation ?
➞ Qu’est ce que les Institutions attendent des professionnels de l’orientation ?
-2-
➞ Questions autour de la pénurie de main d’oeuvr e :
- Qu’est-ce qu’un secteur réellement porteur d’emplois dans la durée ? Quels critères le définissent ?
- Les Industries Agro-alimentaires sont-elles un secteur porteur d’emplois ?
- Y-at-il vraiment tant d’offres ?
- N’est-ce pas un problème de structure de l’offre ? Quelle partie du secteur ? Quels emplois ? Quelles zones ?
- Comment identifier de plus près les problèmes qui se posent aux entreprises en matière de recrutement.
➞ Questions autour de l’information sur les formations et sur les métiers :
- Les organismes d’information. L’ONISEP, le CIDJ, l’Etudiant, le Centre Inffo, le CARIF, les branches
professionnelles, l’Association Jeunesse-Entreprise (AJE) élaborent, produisent, diffusent de nombreux documents
(supports papier, audio-visuels, logiciels, bientôt Internet). La diffusion se fait par les Centres d’Information et
d’Orientation (CIO) ou vers les établissements scolaires, par les antennes locales, ou par vente aux publics intéressés.
- Comment est utilisée cette information ? Qui assure l’accompagnement, la découverte des contenus, dans
quelles conditions ? Comment en mesure-t-on les effet ? L’information arrive-t-elle toujours au bon moment ?
Est-elle assimilable par le public visé ? Est-elle suffisante au niveau local ? N’est-elle pas trop difficile à utiliser ? En
résumé n’est-elle pas trop abondante, trop dispersée, trop inaccessible ? Un important travail est à faire sur la pertinence et l’usage de l’information si l’on veut contrôler son efficacité.
- Les actions d’information sont intéressantes si l’élève, le jeune, les familles sont capables de les situer dans
un environnement professionnel.
- Les forums sur lesmétiers se multiplient or la participation d’un organisme à un forum créé une montée
en charge de demandes d’information tous azimuts. Par exemple, après Formathèque, le CEBAN constate des
demandes multipliées par quatre ou cinq dans le mois suivant. Il est très difficile de gérer les retombées. On se
trouve ici devant une véritable question d’organisation de gestion de l’information et/ou du conseil à posteriori.
- Difficultés de mise à jour de l’information.
- Comment mieux lier l’information sur les métiers et les offres d’emplois de façon systématique à l’instar
des espaces-ressources-emploi de l’AFPA.
- Comment améliorer l’information ?
- Il faudrait repenser le circuit de l’information professionnelle dans les établissements scolaires.
- Comment rendre compte de l’évolution réelle des métiers.
➞ Questions autour des stages et des visites d’entreprises :
- En s’interrogeant sur les moyens qui permettraient d’améliorer la transmission de l’information, il est clair
qu’il ne suffit pas de placer une personne en contact avec des sources d’information sur les professions (brochures,
films) pour que ces informations soient intégrées (S. Blanchard) et pour voir se développer ses motivations à
l’égard de ces professions, ni même des motivations à s’informer (Lemercier Kuhn) aussi paraît-il essentiel de multiplier stages et visites d’entreprises, rencontres avec des professionnels, mais un certain nombre d’écueils doivent
être évités et beaucoup réinterrogent les conditions de stages pour les collégiens et le déroulement des visites.
- Quelle est la préparation ?
- Quelle est l’exploitation ?
- Quelles sont les conditions d’accueil ?
- Qu’est-ce qu’on transmet ?
- Qu’est-ce qu’on apprend ?
- En réponse à ces multiples questions nous renvoyons vers un guide méthodologique tout récent :
“Accompagner les stages de découverte en entreprise” (ONISEP Pays de la Loire, Académie de Nantes - décembre
1999), résultat de cinq années d’expérimentation dans le cadre d’une convention de partenariat entre le Rectorat
de l’académie de Nantes et RENAULT Le Mans pour expérimenter avec des établissements scolaires volontaires
des dispositifs de découverte de l’entreprise. Dispositifs qui devraient être transférables à d’autres établissements
scolaires et à d’autres entreprises.
- Les visites d’entreprises font ou devraient aussi faire l’objet de contrats ou chartes. Outre les questions
matérielles de déplacement, se posent les questions du renforcement des stéréotypes ou du déplacement des représentations qui répondent à des questions complexes, en particulier dans les Industries Agro-alimentaires (exemple :
une accompagnatrice “référente” s’évanouit régulièrement pendant les visites des ateliers de découpe de volaille).
- Se posent aussi les questions de confidentialité/sécurité (protection des secrets de fabrication…).
-3-
➞ Questions autour des dispositifs de pilotage et d’animation de la politique éducative et du lien école/enteprise :
- Chaque département s’est doté de structures qui sont décrites comme fonctionnant bien, par exemple
pour le Maine-et-Loire : la Commission départementale école/entreprise, APREEC*, CALEP(Comité Angevin de
Liaison entre l’Enseignement et les Professions), Avenir, Groupe d’Observation DDTEFP/ANPE/Agriculture
/CCI/Fongecif/CIO/Inspection du technique.
- Les groupes départementaux pour l’élaboration des planches ARGOS.
- Dans la Sarthe, le groupe Education/Economie ne fonctionne plus depuis dix huit mois. Pourquoi ?
Formasarthe est très actif ; en Vendée c’est le PRIT Pôle de Ressources et d’Innovation Technologiques. On note
donc dans les départements, une animation des lieux de rencontres et de décision, cependant plusieurs questions
émergent :
- Par rapport à la cohérence académique.
- Pa rapport à la cohérence générale.
- Par rapport au rôle de la Région et au manque d’impulsion ou de dynamique ou de directives repérables.
- Manque de coordination.
➞ Les questions autour de la communication :
- L’expérience la plus exemplaire rencontrée est celle de la convention entre l’usine Renault du Mans et l’inspection académique de la Sarthe et demanderait d’être approfondie, interrogée car elle semblerait pouvoir être
transférable sous certaines conditions à d’autres secteurs.
- La question principale est celle de la politique de communication. Où fixer les zones et limites de partage ?
- Jusqu’où l’Education Nationale a-t-elle à participer voire à assurer la communication d’une entreprise ?
On touche ici à une véritable question de fond pour l’ensemble des relations des branches professionnelles dans la
mise en place d’actions d’information et d’orientation vers des publics scolaires ou vers les enseignants.
- Une autre série de questions touche à la politique de communication vers les établissements scolaires et
vers les familles. Tout est à faire en ce domaine.
- Se pose aussi la question de savoir comment évaluer les retombées de campagnes de communication par
exemple après une campagne d’affichage “la métallurgie recrute” ou une campagne médiatique (presse écrite,
radio, TV). Aucune étude n’a été faite.
- Toute une série de questions émergent aussi autour de la visibilité et de la lisibilité des branches professionnelles qu’elles soient très structurées comme la métallurgie, ou peu structurées comme les Industries Agro-alimentaires.
➞ Les questions autour de l ’orientation :
- Qu’est-ce que l’orientation aujourd’hui par rapport à la pression institutionnelle, par rapport à la pression
de temps horaire, par rapport à la pression professionnelle (il faut sensibiliser les jeunes à la métallurgie ou aux
industries agro-alimentaires). Qu’est-ce que cela signifie en termes de choix d’orientation ?
- Au-delà des questions de connaissance des secteurs, se posent de véritables questions éthiques. Il ne semble
pas possible d’éluder ces questions des fondements de l’orientation.
- De nombreuses questions autour du programme TRACE. Comment chiffrer l’inchiffrable ? Comment
apporter des réponses “à tout prix” ? Comment surmonter les contraintes de temps (un contact avec les jeunes tous
les quinze jours au risque de rompre le contact). Comment assurer un accompagnement individuel en 3 mois ?
Comment prendre le temps d’écoute et de l’analyse de la demande ?
- Comment répondre à l’élargissement continuel des missions assignées aux personnels d’orientation ?
➞ Peut-on vraiment établir des fontières entre publics jeunes et publics adultes, contre toute réalité. Dans le
manque de visibilité du système, chacun s’adresse où il peut, et l’on assiste à de véritables “parcours du combattant”
pour accéder à des stratégies d’orientation :
- Vouloir décrire dans une étude exploratoire les dispositifs d’accueil d’information, d’orientation, d’aide à
l’insertion, de l’éducation au choix, est très difficile en effet, outre la question du temps et de la méthodologie
quatre ensembles de questions se posent de façon incontournable que J. Guichard rappelle dans un article récent
“Développement de carrière et politiques publiques en France (15 mars 1999).
- Les dispositifs sont en évolution constante.
- Les structures des organismes recevant ou se dotant de ces missions d’accueil, d’information et d’orientation sont de plus en plus nombreuses, de nature et de statuts très divers, et interviennent à des niveaux très hétérogènes, avec des méthodes extrêmement diversifiées et dont on a aucune lecture globale et référencée à l’heure
actuelle.
* la liste des sigles développés se trouve en annexe
-4-
- La question se pose aussi de l’articulation des initiatives relevant de l’Etat et de celles propres à la Région.
- Enfin les activités et actions mises en place en ce domaine sont moins spécifiées qu’autrefois. Activités et
actions d’information et d’orientation sont entremêlées.
- Des questions se posent autour des dispositifs en faveur des jeunes dont l’objectif majeur est l’aide à la
construction de projets personnels et professionnels sous le vocable “éducation à l’orientation”.
- Comment mettre en oeuvre aux niveaux local, départemental, régional des stratégies cohérentes et complémentaires par rapport à l’ensemble des textes législatifs fixant le cadre du droit au conseil en orientation et à
l’information sur les enseignements et les professions. Pour mémoire nous en rappelons quelques uns :
- “Le droit au conseil en orientation et à l’information sur les enseignements et les professions font
partie du droit à l’éducation. L’élève élabore son projet d’orientation scolaire et professionnel avec l’aide de l’établissement et de la communauté éducative, notamment des enseignants et des conseillers d’orientation, qui lui
en facilitent la réalisation tant en cours de scolarité qu’à l’issue de celle-ci”. (Article 8-Loi d’orientation sur l’éducation - 10 juillet 1989)
- “Tout jeune doit se voir offrir, avant sa sortie du système éducatif et quelque soit le niveau d’enseignement qu’il a atteint, une formation professionnelle”. (Article 54-Loi quinquennale relative au travail, à
l’emploi et à la formation professionnelle - 20 juillet 1993)
- “Les élèves disposent de l’ensemble des informations nécessaires à l’élaboration des informations
nécessaires à l’élaboration d’un projet d’orientation scolaire et professionnelle. Ils bénéficient notamment d’une
information sur les professions et sur les formations qui y préparent, sous contrat de travail de type particulier et
sous statut scolaire (…). Cette information est conjointement réalisée par les conseillers d’orientation psychologues, les personnels enseignants, les conseillers de l’enseignement technologique et les représentants des organisations professionnelles et des chambres de commerce et d’industrie, de commerce et d’agriculture”. (Article 56
de la même loi). Loi de décentralisation, la loi quinquennale confie aux régions les prérogatives en matière d’accueil, d’information et d’orientation et l’obligation “de définir un plan d’action pour la mise en oeuvre d’une
politique d’information et d’orientation”. (Article 52 de la même loi)
- “Tout chômeur âgé de 16 à 25 ans ou tout chômeur de longue durée ou rencontrant des difficultés d’insertion professionnelle, a le droit à un accueil, un bilan de compétences et une action d’orientation professionnelle afin de bénéficier d’un nouveau départ sous forme d’une formation, d’un appui individualisé ou d’un
parcours vers l’emploi ou la création ou la reprise d’entreprise”. (Article 4-Loi d’orientation relative à la lutte
contre les exclusions - 29 juillet 1998)
- Des arrêtés ou circulaires fixent les modalités d’intervention.
- Concernant les objectifs de la mission générale d’insertion on citera quelques extraits significatifs.
“Sensibiliser tous les jeunes à l’insertion et offrir des actions spécifiques pour les jeunes en grande difficulté en
leur proposant des dispositifs de formation adaptés au parcours antérieur de chacun”. (Circulaire du 10 mai 1998
- Ministère de l’Education Nationale)
-5-
- Outre les établissements scolaires, l’ensemble des mesures concernent les CIO d’une part, les Missions
Locales (ML) et permanences d’accueil d’information et d’orientation (PAIO) d’autre part.
- Des analyses existent dans les projets triennaux 1999-2002 de chaque CIO et des propositions multiples
y sont faites dans le cadre fixé au niveau départemental par le texte définissant “des objectifs départementaux pour
les CIO et dans le projet académique 1999-2001”.
L’ensemble de ces propositions représentent un des fondements essentiels pour le Plan Régional
d’Information et d’Orientation et le SAIO dispose d’une source d’informations statistiques et propositionnelles
que les branches professionnelles pourraient s’approprier avec profit.
- Par ailleurs on dispose également d’un rapport de l’Animation Régionale des Missions Locales et PAIO
des Pays de la Loire de septembre 1999 qui brosse un tableau complet et actualisé des personnels des missions
locales et PAIO des Pays de la Loire au 31 mars 1999 et d’une évaluation du dispositif Performances 1998-1999
pour la formation des personnels des structures d’accueil et d’insertion des Pays de la Loire (DESS SIFA/Université
de Nantes - juin 1999).
- Indépendamment de ces structures les publics jeunes sont aussi accueillis, informés ou conseillés dans
d’autres lieux, structures et organismes (SUIO, GRETA, les bureaux d’information des chambres de commerce,
de métiers d’artisanat ou d’agriculture…).
- Peut-on vraiment opérer un clivage entre public jeune et public adulte ? Il s’avère que non, cependant par
commodité nous pouvons classer les prestations d’information et d’orientation dispensés par l’ANPE, l’AFPA et
le CEBAN, ainsi que le FONGECIF et les OPCA pour les salariés comme s’adressant à un public adulte.
➞ Les questions autour du r ecrutement :
- Il semble qu’une étude auprès des organismes de travail intérimaire ayant recruté pour les Industries agroalimentaires et les Industries métallurgiques serait éclairante sur les motivations et les compétences.
- Les entreprises recrutent de plus en plus en contrat à durée déterminée et les jeunes n’en veulent pas.
- Les pré-requis pour les industries métallurgiques sont trop élevés et posent la question de la formation initiale et continue.
- Le recours aux demandeurs d’emploi via l’ANPE entraîne des circuits administratifs trop lourds et trop
longs. Maints exemples sont cités. On en retiendra un. Pour le recrutement de 100 postes de tourneur à pourvoir,
une entreprise du boccage vendéen a contacté l’ANPE. 850 personnes ont été contactées par l’ANPE. 80 sont vernues à la séance d’information sur les 80 personnes, 50 ont accepté de passer un test, 22 personnes ont été retenues, 17 ont suivi une formation AFPA/AFPT. En final il est resté 15 personnes.
- Sous l’effet de la conjoncture peut-on recruter “n’importe qui pour faire n’importe quoi” ?
- Le recrutement local passe par la formation.
- Les relais Missions Locales/ANPE sont indispensables renforcés par des actions de médiatisation très fortes.
- Mais un paradoxe existe car beaucoup accèdent à l’emploi sans formation et l’on trouve des places vacantes
dans de nombreux stages.
➞ Les questions autour des conditions de travail et des réalités professionnelles :
- Outre les questions de réelle pénibilité de certaines tâches, les entreprises sont disséminées ce qui entraîne des contraintes d’horaire et/ou de travail posté.
- Questions autour du transport, de l’hébergement, de la mobilité.
- Par ailleurs l’alternance peut être favorable à l’insertion ou avoir l’effet inverse.
- Là aussi entre les représentations et la réalité, il faudrait effectuer des enquêtes locales fiables.
➞ Questions autour de la diversification professionnelle des femmes :
- Directement liée aux ensembles des questions touchant au recrutement et aux conditions de travail se
posent les questions autour du recours à l’emploi féminin.
- La féminisation “par contrainte” “les chômeurs étant des chômeuses” est en train d’évoluer favorablement
et après avoir levé les obstacles liés aux représentations et aux mentalités, des insertions réussies se multiplient mais
on ne saurait réduire cette question à celle du recrutement dans l’urgence et un important travail reste à faire sur
l’orientation et la formation des jeunes filles et l’insertion professionnelle des jeunes femmes.
- On dispose d’un répertoire, des actions et outils pour la diversification professionnelle des femmes en Pays
de la Loire réalisé dans le cadre du programme “Now” : actions collectives, outils et parcours individuels (URCIDF
- septembre 1996) et d’un rapport sur l’évaluation des plans académiques en faveur de la diversification de l’orientation des filles (Ministère de l’Education Nationale et Ministère de la Solidarité, service droits des femmes novembre 1995).
-6-
➞ Questions autour des comportements sociaux :
- Les questions de mobilité. “Si l’entreprise fait partie du paysage naturel de l’enfant en Vendée” il n’en reste
pas moins qu’on se heurte d’autant plus à des difficultés psychosociologiques de mobilité. Difficulté renforcée par
le fait que le système éducatif sauf exception, ne prépare paa particulièrement à la mobilité.
- Les questions de promotion sociale. Une des causes du peu d’attractivité pour certains emplois pourrait
être cherchée dans la force de dissuasion exercée par certains parents. Souvent la promotion sociale est perçue
comme la capacité de sortir de son milieu d’origine.
➞ Questions autour des images et r eprésentations :
- Les images autour de la pénibilité sont transmises par les parents qui se fondent sur leur propre expérience ou sur ce “qu’ils ont entendu dire” mais certaines expériences sont anciennes et il faut vérifier que la réalité
actuelle corresponde à ces images anciennes. Des études sont à mener sur les représentations familiales persistantes
et aussi un travail d’information est à faire auprès des parents.
- A ces représentations familiales s’ajoutent celles de certains conseillers d’orientation et d’enseignants dont
la connaissance des entreprises est insuffisante. Des visites et des formations sont nécessaires pour faire évoluer les
représentations des conseillers d’orientation et des enseignants et développer une culture d’entreprise et une culture industrielle.
- En contrepartie il revient aux branches professionnelles d’améliorer leur image. On citera l’exemple des
Biscuits Nantais (BN) qui développent des visites payantes (dix francs par personne) deux employées étant dédiées
à ce travail.
- Au-delà du développement d’un tourisme industriel, se pose la question des moyens mis en oeuvre pour
la promotion d’une culture industrielle inter-professionnelle et inter-générations. Les branches professionnelles ne
peuvent pas attendre que “les autres” changent leur image.
De ce bouillonnement de questions, il n’est pas possible en l’état, de dégager un positionnement clair des
industries agro-alimentaires. Il n’en est pas de même pour les Industries Métallurgiques. En schématisant, on peut
dire que l’impulsion générale est donnée par l’Union des Industries Métallurgiques et Minières.
La CORIMEEC* renvoie pour le détail des actions et les spécificités locales vers les organisations départementales. La référence commune est le Contrat d’Etudes Prospectives dans lequel il est spécifié
1°) que les actions de communication autour des métiers ne peuvent être opérantes si elles ne s’appuient
pas sur une valorisation effective des métiers,
2°) que pour attirer des candidats d’un meilleur niveau de formation de base il faut valoriser les perspectives professionnelles offertes par ces métiers.
Les objectifs par rapport à ces questions sont de :
- développer une politique liée à une meilleure information sur les métiers,
- développer une politique de communication avec les média,
- changer l’image des métiers pour attirer les jeunes.
Les types d’actions mises en oeuvre sont :
1°) des actions de découverte du monde industriel, de l’entreprise et des métiers (voir les fiches descriptives),
2°) des actions d’information/édition : séries vidéo, collection Bravo l’industrie : débuter dans l’industrie
(VI/l’étudiant), le passeport du collégien,
3°) des actions de formation.
L’Association pour la formation du personnel (AFP) forme 400 jeunes avec un financement uniquement
professionnel. L’AFP organise des journées de présentation des métiers auprès des Conseillers de l’ANPE…
Réponses à des sollicitations :
- Journées “portes ouvertes” le samedi dans les établissements,
- Animation d’espaces professionnels dans les salons/forums…
* Coordination Régionale des Industries Métallurgiques, Electriques, Electroniques et connexes des Pays de la Loire
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Positionnement actuel :
- Difficulté d’évaluer l’impact du dispositif Jeunes-Industries. Quel est le “retour sur investissement” pour
les secteurs ?
- Les forums ont un effet de massification de l’information intéressante.
- Rapprochement en cours de préparation avec l’IUFM de Nantes pour la formation initiale des enseignants.
- Nécessité de mieux sensibiliser les parents.
- Où se fait l’orientation structurelle et continue pour l’orientation des jeunes ? Manque de lisibilité des
réseaux et des dispositifs.
- Risque de dispersion si on se mobilise sur plusieurs axes puisque la DDTEFP de Loire-Atlantique travaille
sur un plan d’action local 2000 (Zone de Nantes) pour améliorer l’adéquation de la demande d’emploi aux métiers
porteurs.
- Une forte attente existe par rapport aux enseignants et aux conseillers d’orientation tant dans les Missions
Locales et PAIO que par rapport aus conseillers de l’ANPE et aux conseillers d’orientation psychologues dans les
CIO. C’est en ce sens que des actions d’information sont organisées.
Un ensemble d’actions pertinentes et cohérentes devrait permettre à moyen terme de faire évoluer
les représentations. Les initiatives et les actions sont nombreuses et diversifiées. L’ensemble des actions est-il assez
cohérent pour être efficace ?
On trouvera dans la deuxième partie de l’étude des fiches descriptives des actions repérées.
Une tentative de classement a été élaboré d’où il ressort que :
- les objectifs visés sont multiples,
- les publics visés sont essentiellement les élèves de 4ème et de 3ème ainsi que les enseignants et personnels d’information et d’orientation volontaires,
- les actions sont majoritairement multi-sectorielles,
- les actions sectorielles pour la métallurgie sont déclinés en région à partir de dispositifs nationaux.
Pour les salons et forums, le Service Académique d’Information et d’Orientation avait produit une
grille d’analyse qui est proposée en annexe.
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Deuxième partie :
- Tableau récapitulatif des actions repérées
- Synthèse des fiches d’action 1998-2000
- Fiches descriptives par action
Note
Pour harmoniser la présentation générale nous avons distribué l’information disponible sur
chaque action dans une fiche type.
Selon que les informations ont été recueilies par entretien ou à partir de documents, toutes les
rubriques n’ont pu être également remplies, d’où le contenu très inégal des renseignements référencés par
rubriques qui auraient nécessité pour chacune d’être retravaillée, vérifiée, validée. Si le temps l’avait permis.
-9-
Troisième partie : pistes et propositions
1 - Se doter d ’un système d ’analyse
L’ensemble des fiches présentées n’est pas exhaustif. Les informations sont incomplètes. La difficulté de
recueillir des informations dispersées auprès de nombreux acteurs montre la nécessité pour la Région de se doter
d’un système d’analyse permanent et performant qui fait actuellement défaut. On voit mal comment continuer à
recueillir de l’information actualisée et fiable auprès d’une multitude d’interlocuteurs qui développent eux-mêmes
de nombreux réseaux de partenaires et qui ont tous en commun le désir et la nécessité de connaître l’existence et
les finalités des autres actions.
Proposition : créer une base de données décrivant les actions et leurs objectifs. La rendre accessible par
Internet pour permettre les échanges et l’enrichissement permanent des actions.
2 - Se doter d ’un système d ’évaluation global
Les politiques régionales de formation des jeunes sont évaluées. La prochaine évaluation portera sur la
période 2000-2002.
Le deuxième rapport du Comité de coordination des programmes régionaux d’apprentissage et de formation qui va être discuté au Parlement, montre que les régions deviennent des acteurs pivots de la formation des
jeunes, mais que les insuffisances sont encore nombreuses.
Si l’on considère comme primordiales les grandes fonctions que recouvrent l’information sur les métiers, les
emplois et les formations, on ne peut les isoler des fonctions d’accompagnement et de suivi, d’orientation/bilan et
de la fonction d’affectation, telles qu’elles sont définies dans le Plan Régional pour l’Information et l’Orientation
(1998).
“C’est en effet autour d’une fonction accompagnement du parcours (même si elle est éclatée) que doit se
faire la cohérence de toutes les actions. Autrement dit, c’est l’ensemble du système d’accueil information/orientation et suivi qui doit assurer l’accompagnement”. C’est l’ensemble du système qui doit être évalué.
En effet, que la Région se positionne comme “pilote, arbitre, ou acteur actif” elle détermine les stratégies
des autres acteurs et pour passer, dans le cadre du PRDF, d’un partenariat de réflexion à un partenariat de ges tion, il faut disposer d’un ensemble de procédures de recueil des informations pertinentes pour l’évaluation du système.
La mise en oeuvre de ces procédures implique l’existence dans le système d’une fonction d’évaluation qui
n’est rien d’autre qu’un système d’information traitant les informations permettant d’évaluer le système dans son
ensemble:
- rôle des acteurs
- rôle des partenaires
- quantité et qualité des actions
- quels doivent être les usagers et les usagers prioritaires ?
- quelles sont les actions répondant le mieux à ces besoins ?
- quels sont les outils utilisés ?
- quel est leur impact ?
- quels sont les moyens à mettre en oeuvre ?
- quels sont les liens entre l’échelon régional, les échelons départementaux et les opérateurs locaux ?
- Comment prendre en compte les niveaux infra régionaux (bassins d’emplois, villes, pays…) sans un suivi
permanent des propositions ?
- Comment prendre en compte tous les paramètres si on les ignore ?
Proposition : sur la base d’un outil décrivant le système dans son ensemble, élaborer un questionnaire de type
check-up qui devrait permettre de cerner le système et les défaillances de son fonctionnement et aboutir à une
typologie d’actions prioritaires et concertées. Conçu non pas comme un système de contrôle centralisé et autoritaire mais comme un club, une bourse d’échange d’informations pour parvenir à une complémentarité des actions
vers des publics élargis incluant les parents au delà des élèves de 4ème et 3ème et de quelques enseignants volontaires.
- 10 -
3 - Mieux expliquer les fondements des objectifs régionaux : promotion de l’Enseignement professionnel et de l’apprentissage
Le rapport du Comité de coordination des programmes régionaux d’apprentissage et de formation classe la
Région des Pays de la Loire dans un groupe avec cinq autres Régiona (Auvergne, Basse-Normandie, Bourgogne,
Centre, Poitou-Charente) ayant comme caractéristique commune “le choix de la prééminence de l’enseignement
professionnel et le développement fort de l’apprentissage au niveau V, le niveau de chômage si situant dans la
moyenne nationale.
Proposition : mettre en place et développer une politique forte de revalorisation de l’enseignement professionnel et de l’apprentissage en lien avec les branches professionnelles conceernées et construire des actions d’information concertées dans le cadre des contrats d’objectifs. “Mais les branches représentent un secteur d’activité
et non les métiers auxquels se destinent les jeunes en formation”*. Il est donc nécessaire de mobiliser les entreprises
elles-mêmes.
4 - Mobiliser les entr eprises
“Rares sont les organisations de branches qui soutiennent activement l’insertion des jeunes peu qualifiés. Le
mandat qui leur est généralement confié par les employeurs est, au contraire, de renforcer la qualité des recrutements”**.
Proposition : inciter les branches professionnelles à conseiller les entreprises en pénurie de main d’oeuvre :
- pour améliorer leur analyse de compétences
- améliorer les conditions d’accueil et de tutorat
- travailler sur l’image de l’entreprise
- construire des méthodes pédagogiques d’apprentissage des métiers avec des partenaires compétents
- améliorer les conditions de travail et conditions de vie
- développer les groupements d’employeurs pour l’insertion et la qualification (à l’instar du BTP) : outil de
collectifs d’entreprises solidaires destinés à organiser les parcours continus d’insertion et de qualification quand la
main d’oeuvre n’existe pas et que la pénurie est flagrante en s’appuyant sur les structures institutionnelles (ANPE,
PLIE, ML…).
5 - S’appuyer sur les plans d ’action locaux
Dans le cadre de la lutte contre les exclusions, des plans d’action locaux s’appuyant sur un partenariat renforcé des acteurs du Service Public de l’Emploi et de l’Action Sociale sont en train d’être mis en place. A partir
d’un diagnostic territorial, ces plans visent à mettre en oeuvre l’ensemble des ressources disponibles***.
Par bassin d’emploi, ils formulent des propositions de pistes pour l’action.
Le projet globalisation 2000 du bassin d’emploi de Nantes notamment, propose des diagnostics spécifiques
par branches professionnelles (implantation des entreprises, principaux métiers par secteurs dominants, cause des
tensions quand l’offre est supérieure à la demande : image, salaires, métiers peu connus, conditions d’éxécution du
métier, temps partiel, pénibilité etc…).
Proposition : éviter les enquêtes redondantes, coordonner les projets d’études, élargir les groupes de travail
permanents.
6 - Organiser la pr oduction et la diffusion d ’informations sur les métiers, les emplois et les for mations
de telle sor te qu’elles soient assimilables par leurs destinatair es et disponibles au bon moment
L’information est pléthorique, il faut la rendre pertinente et efficace pour les destinataires jusqu’au niveau
local.
Proposition 1 : se mettre en cohérence en termes d’information entre les partenaires :
ONISEP/CARIF/OREF/ CRIJ/Branches professionnelles/OPCA et tout organisme public ou privé produisant de
l’information.
* Céreq Bref n°157 - octobre 1999
** Casella P., Freyssinet J., Céreq Bref n°157 - octobre 1999
*** Diagonales n°55 - avril/mai 1999
- 11 -
Proposition 2 : a court terme, parvenir à coordonner les activités des différentes structures d’accueil, d’information et de conseil et bilan en orientation scolaire et professionnelle mais auparavant clarifier les missions et
limites de chacune car la “trop faible cohérence qui existe entre les interventions respectives brouille le paysage et
aujourd’hui obtenir une information, un conseil et finalement accéder à la formation relève trop souvent du parcours du combattant, notamment pour les personnes les plus vulnérables” (Aubry 1998).
➞ La mise en synergie de ces différentes structures s’inscrit dans le contrat de plan Etat-Région 2000-2006
en particulier pour le réseau des missions locales et des PAIO, le développement des espaces jeunes et les dispositifs d’accompagnement personnalisé à l’emploi, le positionnement du CARIF et de l’OREF et les Ateliers de pédagogie personnalisée.
➞ Au niveau local l’information du grand public est prise en charge par diverses autres structures qui ont
toutes une fonction d’accueil et/ou d’information : agences locales pour l’emploi (ANPE), centres d’information
et d’orientation (CIO), ONISEP, centres d’information jeunesse, centres d’information des droits des femmes…
Une grande partie des acteurs de l’information traitent également d’orientation.
Proposition 3 : articuler toutes ces prestations auotur de deux ou trois pôles fédérateurs forts.
7 - Intensifier les actions de sensibilisation au monde pr ofessionnel auprès des enseignants et pr ofessionnels de l ’information/orientation
Dans le cadre du Plan Académique de formation, de la convention (1995-1998) relative au partenariat
Ecole/Entreprise, des contrats d’objectifs, ou par le biais d’autres dispositifs complémentaires et innovants, faciliter l’accès à une culture industrielle et d’entreprise.
Proposition :
- faciliter les jumelages école/entreprises
- facilier les stages de découverte et les stages longs en entreprise
- exploiter les outils d’information (productions ONISEP et autres)
- doter chaque CDI d’établissement d’une personne-ressource spécialisée pour l’animation de l’information
professionnelle
- former une équipe éducative ressource par établissement autour du thème de l’information sur les métiers
porteurs/secteur porteurs
- améliorer l’efficacité des visites d’entreprises…
8 - Mettre en oeuvr e une politique d ’information et de communication en dir ection des par ents
Proposition : dans un premier temps :
- mener une étude auprès des associations de parents d’élèves
- faire l’inventaire des initiatives et des besoins.
9 - Créer un lieu d ’écoute, d’échange et de v eille pour assur er la dynamique du système
Information/Orientation
Il existe une multitude de lieux où s’élaborent et se construisent les actions. Cependant les groupes de travail peuvent être sources de tension, particulièrement en période de clarification des missions pouvant entraîner
des situations concurrentielles. A part les réunions d’élaboration ARGOS, il n’existe pas de lieu d’échanges et l’on
note cependant un réel besoin de s’exprimer sur les difficultés de mise en oeuvre des actions. Les journées de rencontres de professionnels comme celles organisées à l’initiative de l’OREF ou du CAFOC mettent en lumière ce
besoin par le succès qu’elles remportent.
Proposition : créer une cellule de veille qui aurait pour rôle d’enregistrer l’expression des difficultés des professionnels de l’information et du conseil en orientation et qui permettrait de mieux connaître les publics tout en
repérant les sources de dysfonctionnement en vue d’y remédier.
- 12 -
10 - Superviser les pratiques
Dans les Missions Locales, les PAIO, les “espaces jeunes”…, les fonctions de conseil sont assurées par des
personnels divers contrairement au corps homogène que représentent les conseillers d’orientation psychologues
des CIO dont les principaux modes d’intervention sont l’entretien de conseil, les séances d’information et les animations de groupe.
Proposition : mobiliser les moyens nécessaires pour que les pratiques des différents acteurs et professionnels
donnent lieu à supervision et permettent la professionnalisation de l’ensemble des acteurs concernés dans les prestations d’information, orientation, conseil.
11 - Organiser en 2000 des “Etats Généraux” sur le thème : secteur et métiers porteurs dans les Pays de la Loir e
en mobilisant tous les acteurs afin d’améliorer les actions d’information/orientation et l’adéquation de la demande d’emploi aux métiers porteurs. “Les Métiers porteurs : parlons-en”.
12 - Apporter des réponses pertinentes aux problèmes complexes évoqués ici, demande de développer, encou rager et soutenir les recherches et études nécessaires pour répondre aux questionnements d’ordre cognitif, socio
logique, politique et éthique que soulèvent les questions relatives à l’information et à l’orientation profession
nelles et à l’attractivité des métiers.
13 - Proposer un dispositif de formation modulaire transversal.
Nantes, le 6 janvier 2000
Geneviève SQUILLANTE
Chargée de Mission
ONISEP Pays de la Loire
- 13 -
-
Introduction
Présentation du thème de l’étude
La faible attractivité de certains métiers, notamment industriels, pose problème aujourd’hui et l’on se trouve devant le paradoxe de difficultés de recrutement en période de chômage. Des questions du même ordre se
posent pour la relation enseignement général - enseignement professionnel et dans certains phénomènes de poursuite d’études sans objectifs précis.
Face à cette situation, se pose aujourd’hui la question du renforcement ou de l’optimisation des actions d’information et d’orientation mises en place à l’intention des jeunes pour valoriser les métiers.
Afin de pouvoir définir les orientations qui pourraient être prises pour répondre à la situation, cette étude
a été engagée pour
◗ situer dans leur globalité les questions d’attractivité des métiers pour les jeunes
◗ faire un repérage des actions réalisées actuellement à cet effet et d’en évaluer les effets
◗ définir des pistes d’action pour l’avenir.
Compte tenu du nombre et de la grande variété des actions conduites sur ces questions, l’étude devait plus
particulièrement être orientée sur des secteurs professionnels engagés dans un contrat d’objectifs et rencontrant
des difficultés de recrutement, notamment l’agro-alimentaire et la métallurgie.
HISTORIQUE DE L’ÉTUDE
Engagée à la demande de la Direction de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage de la Région
des Pays de la Loire, cette étude a fait l’objet d’une convention avec l’ONISEP pour sa réalisation.
➞ Le programme prévu pour cette étude a porté sur une durée de trois mois du 6 septembre au 6 décembre
1999.
➞ Une première phase devait permettre d’obtenir en priorité des rendez-vous avec les représentants des
branches professionnelles concernées pour repérer les difficultés et identifier clairement les actions mises en place,
ou en projet, mais pour de multiples raisons, assez prévisibles, les premiers entretiens ont eu lieu assez tardivement,
s’échelonnant du 27 septembre au 15 novembre 1999.
➞ La stratégie du recueil d’information a consisté à multiplier les contacts avec les autres partenaires connus
ou pressentis, l’objectif étant d’adopter une approche très large des types d’actions et des acteurs en jeu.
La disponibilité des interlocuteurs a donc prévalu sur la logique de regroupement par catégorie d’acteurs.
Ainsi ont été rencontrés ou interrogés simultanément les principaux acteurs des Services Publics et Privés :
Inspecteurs de l’Education Nationale pour l’Information et l’Orientation, Mission Générale d’Insertion,
Directeurs de CIO et Conseillers d’Orientation Psychologues en CIO ou SAIO*, AFPA, ANPE, DAFPIC,
DAFCO, DDTEFP, CARIF, OREF, Animation régionale des Missions Locales (ML) et Permanences d’Accueil
d’Information et d’Orientation (PAIO), le CEBAN (Centre de bilans), le FONGECIF, la DRAF, le Comité de
bassin d’emploi de Chateaubriant, les Chambres de Commerce et d’Industrie de Cholet et de Laval, les MEDEF
des Pays de la Loire et de Loire-Atlantique, les responsables de dispositifs pédagogiques, les antennes de la
Direction de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage en Mayenne et en Vendée, la DDEC de LoireAtlantique.
* la liste des sigles développés se trouve en annexe
➞ Pour la métallurgie, l’Union des Industries de Loire-Atlantique (VI44), l’Union des Industries
Métallurgiques de la Vendée (VIMV), l’Union des Industries Métallurgiques et connexes de la Sarthe (VIMS) et
la Coordination Régionale des Industries Métallurgiques, Electriques, Electroniques et Connexes des Pays de la
Loire (CORIMEEC).
➞ Pour les Industries Agro-alimentaires il n’a pas été possible de joindre la Confédération des Coopératives
Agricoles (CCAOF) et d’une façon générale, les interlocuteurs représentatifs sont difficiles à identifier.
Nous avons pu tout de même rencontrer les représentants d’IFRIA, de l’ADEFIA, de l’AGEFAFORIA et
de l’OPCA2, et Fleury-Michon*.
CADRE DE L’ÉTUDE ET RÉFÉRENCES
➞ L’étude s’appuie sur les résultats d’une étude de l’OREF publiée en mars 1999 sous l’intitulé : l’Emploi
dans les Pays de la Loire : mutations et perspectives (INSEE).
➞ Elle s’appuie également sur le Contrat d’Etudes prospectives des industries métallurgiques des Pays de la
Loire (BIPE 1997).
➞ Pour les Industries agro-alimentaires, en l’absence du Contrat d’Etudes prospectives ou d’autre document récent de référence, l’étude prend en compte la version la plus complète du Contrat d’objectifs en cours et
les projets d’action ; notamment :
- la valorisation de l’image de l’agro-alimentaire pour favoriser l’entrée des jeunes en entreprise
- le développement de la filière apprentissage
- la féminisation des emplois.
➞ Des études sur les filières agro-alimentaires du Choletais (1995) les industries agro-alimentaires en Anjou
(1994) une enquête ayant pour objectif de vérifier l’existence et le développement d’emplois peu qualifiés dans le
secteur agro-alimentaire de Loire-Atlantique et de Vendée (Inférence 1997) ainsi qu’une étude d’opportunité de
création d’un dispositif de formation du personnel destiné aux industries agro-alimentaires du Haut Anjou
(Comité d’expansion du Segréen 1998) apportent quelques éclairages sur un secteur confronté à une mauvaise
image, ou à l’absence d’image, à des problèmes de sous qualification et de rémunération inférieure à la moyenne
nationale.
➞ A noter une étude DDTEFP/AFPA pour la Loire-Atlantique (1997) sur la féminisation des emplois dans
l’agro-alimentaire.
➞ Par ailleurs il s’agissait de situer dans leur globalité les questions d’attractivité des métiers, et nous avons
effectué un élargissement des références de départ en étendant les recherches bibliographiques pour mieux comprendre comment les actions proposées tiennent compte des comportements de recherche d’information, des
causes de l’intensité de la recherche d’information, des styles de recherche d’information, des sources d’information sollicitées en fonction des décalages entre attentes et réalité professionnelle selon des valeurs relatives aux
domaines de vie : familial, professionnel, personnel et social (Almudever, Croity-Belz, Hajjar).
➞ Nous avons recherché les éléments permettant d’éclairer les difficultés liées au prélèvement et au traitement d’information pour les personnes en situation de choix professionnel (Blanchard). Nous avons également
tenté de repérer dans une littérature abondante, s’il exsitait des informations plus pertinentes que d’autres sur les
professions, et si oui, comment les destinataires les assimilaient (Guichard). A ce sujet le concept de pertinence
apparaît comme fondamental dans le processus de communication (Sperber et Wilson).
➞ Il fallait aussi faire le point sur l’état de l’art en matière de choix d’orientations différentes en fin de troisième pour les collégiens ruraux dans un contexte prévisionnel de ralentissement de l’apprentissage d’ici à 2007
(Montalvillo).
* la liste des sigles développés se trouve en annexe
➞ Les questions touchant aux valeurs et aux représentations du travail chez les lycéens et/ou chez des jeunes
en recherche d’insertion professionnelle, la notion de centralité du travail, le degré d’implication à l’égard de l’activité professionnelle ne peuvent être minimisées (Verquerre, Masclet, Durand) sous peine d’amoindrir, voire de
rendre inefficaces les actions entreprises.
Au sujet du mot actions, et d’une façon plus générale de la lecture des discours sur l’orientation, une contribution récente (Blesson) permet d’interroger la présentation des méthodes d’éducation à l’orientation par leurs
concepteurs.
Pour cet aspect sémiotique des discours sur l’orientation nous retiendrons pour cette étude le sens suivant
du mot actions.
➞ “On convient d’appeler action (d’information et de préparation au choix professionnel) un ensemble
d’activités coordonnées ayant leur unité” (Huteau et Mullet 1987).
C’est par rapport à l’aspect de coordination et d’unité qu’il serait utile d’interroger les actions pour en avoir
une meilleure visibilité et/ou lisibilité.
➞ On convient d’appeler acteurs (pour l’information et l’orientation) l’ensemble des professionnels qui
interviennent auprès de publics en matière d’accueil, d’information, d’orientation, d’insertion.
- dans les organismes de conseil pour les jeunes : CIO, Missions Locales (ML), Permanence d’Accueil et
d’Information (PAIO), GRETA, Chambres de Commerce, de Métiers, d’Artisanat ou d’Agriculture, Réseau
Informatique Jeunesse (RIJ), Réseau Régional en Milieu Rural pour l’Information sur la Formation
Professionnelle (RRMR), les Services Universitaires d’Information et d’Orientation (SUIO)
- dans les organismes de conseil (public adulte) : ANPE, AFPA, CIBC, APEC, APECITA, Retravailler
(public féminin), OPCA, CIF
- dans les organismes d’information publics : ONISEP, CIDJ
- dans les organismes d’information privés d’orientation-service, l’Etudiant…
- dans les organismes d’information : CARIF, MIF (Maison d’Information sur la Formation…)
- dans les branches professionnelles : quand le service pour l’information et l’orientation est structuré.
➞ On convient d’appeler publics concernés : les jeunes et leurs familles mais aussi les adultes en
recherche d’insertion professionnelle.
➞ Il n’était pas possible d’éluder la marginalisation progressive des CIO (Guichard) sans s’interroger sur
leur articulation avec les autres structures d’accueil et d’orientation au plan régional, ni de s’interroger sur la qualification et la formation initiale et continue des nouveaux “conseillers”. A ce sujet se pose la question de la professionnalisation des nouveaux conseillers et la nécessaire clarification de ce qu’est aujourd’hui l’activité de conseil
en orientation, notamment dans l’utilisation des procédures d’évaluation relatives aux domaines de la personnalité : représentation de soi et des environnements (système d’attente par rapport à soi et à l’environnement, intérêts, valeurs, motivation et maturité du choix professionnel (Blanchard).
Aussi apparaît-il nettement que l’aide au choix professionnel avec des jeunes en échec scolaire doit prendre
en compte les attentes professionnelles particulières que développent ce type de jeunes (Guichard) et que cela
nécessite d’abord de bien évaluer les attentes.
➞ Il fallait resituer les dispositifs en faveur des jeunes par rapport à la loi d’orientation sur l’éducation du
10 juillet 1989 ainsi que par rapport à la loi quinquennale relative à l’emploi et à la formation professionnelle du
20 décembre 1993, loi de décentralisation qui confie aux régions les prérogatives dont disposait l’Etat quant à la
formation professionnelle continue des jeunes de moins de 26 ans, et en particulier, celles en matière d’accueil,
d’information et d’orientation, notamment l’article 52 qui institue un plan régional de développement des formations professionnelles des jeunes “qui définit un plan d’action pour la mise en oeuvre d’une politique d’information et d’orientation”.
➞ Il fallait se pencher sur les méthodes d’éducation à l’orientation et leur évaluation notamment par rapport à l’hétérogénéïté des effets, la représentation des filières et des métiers, la représentation de soi, la conception
de l’orientation…
Comment évaluer les méthodes d’éducation à l’orientation et tout d’abord faut-il les évaluer ? (Huteau
1999).
➞ Enfin le rôle des enseignants mérite à lui seul une réflexion approfondie particulièrement dans la relation école/entreprise quel que soit le cadre scolaire Enseignement Général ou Enseignement Professionnel.
➞ La question de l’apprentissage dans sa complexité ne peut être traitée ici.
LES PRINCIPAUX CONSTATS
➞ Les actions et les supports existants sont nombreux (forum des métiers, opérations jeunes-entreprises,
enseignants-entreprises, cassettes-vidéo sur les métiers, CD-Rom) sans que chacun des acteurs n’en ait une bonne
lisibilité.
➞ La dynamique d’actions semble s’emballer, parfois dans l’urgence et sous la pression extérieure (forums
sur les métiers porteurs de la métallurgie, 1er forum des Industries agro-alimentaires) mais avec quel objectif ?
➞ En multipliant les obsevations et les entretiens, on a le sentiment d’une hyper-activité, d’un grouillement
d’initiatives locales, des forums emploi/formation se multiplient dans les départements, on en trouve à la Rochesur-Yon mais également aux Herbiers, à Noimoutier, à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, à Challans, à la Chataigneraie
etc… et de même dans les autres départements.
➞ Cette vitalité est source de richesses d’informations, de rencontres, de médiatisation et semble constituer
une caractéristique majeure des politiques d’information et d’orientation.
➞ En contrepartie la lisibilité insuffisante incite à jeter les bases d’un lieu ressource de réflexion commune
pour rechercher quelles seraient les coordinations possibles pour rendre le système plus lisible et plus efficace et
pour lui donner plus d’unité.
MÉTHODOLOGIE DE L’ENQUÊTE ET PRÉSENTATION DES RÉSULTATS
Nous avons procédé par entretiens semi-directifs ou par entretien téléphonique complété d’un questionnaire adressé par fax que l’on retrouve dans les fiches descriptives d’actions dans la deuxième partie.
Les informations ainsi collectées ont été complétées par la recherche ou l’envoi de documents quand ils existaient.
On trouvera trois parties dans cette étude.
➞ Une première partie résumant les questions évoquées au cours des entretiens.
➞ Une deuxième partie qui décrit sous forme de fiches les actions d’information et d’orientation repérées
et tente de dégager une typologie et les caractéristiques de ces actions.
➞ Une troisième partie formule quelques pistes et propositions.
Compte tenu des contraintes de temps, il n’a pas été possible de réaliser dans le cadre de cette étude, les
entretiens nécessaires auprès des jeunes eux-mêmes, des familles, des enseignants, des Missions Locales, PAIO ni
directement auprès des entreprises, ce qui reste à faire.
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Connaissance de l’Industrie et Orientation des jeunes
(dans la cadre de Jeunes-Industrie 99/2000)
- Daté de création : 1998
- Organisateur principal : UI 44 (ex SIMEECLA)
- Partenaires : Inspection Académique, Direction Diocésaine de l’Enseignement
- Objectifs visés :
En partenariat avec l’Inspection Académique et la DDEC, sensibiliser les équipes d’enseignants des collèges à la
connaissance des métiers de l’industrie afin de les aider dans la partie “éducation à l’orientation” de leurs projets d’établissement.
- Publics visés :
Principaux des collèges et adjoints, professeurs principaux des classes de 5ème, 4ème et 3ème, conseillers d’orientation
psychologues… composant l’équipe éducative en privilégiant les professeurs de l’enseignement général (mathématiques,
français, langues, histoire-géographie).
- Désignation des participants :
L’Inspection Académique et la DDEC recueillent les candidatures et établissent les listes (nom, prénom, nationalité,
fonction), les transmettent au SIMEECLA afin de gagner du temps dans les formalités d’accueil des entreprises.
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
Le groupe doit être fixé à 20 personnes maximum (4 - 7 personnes par établissement scolaire).
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : à la demande (6 visites maximum) entre octobre 99 et avril 2000
- Durée : 1 journée
- Lieux : départ UI 44 - entreprise ; retour UI 44
- Organisation :
Dates :
Les jours et dates seront arrêtés le plus tôt possible et impérativement avant le 30 septembre 1999 en concertation avec
l’Inspection Académique, la DDEC et le SIMEECLA à charge pour ce dernier de les négocier avec les entreprises d’accueil, et de les confirmer.
La visite sera préparée en fonction des attentes des équipes d’établissement et seront adressées au SIMEECLA pour les
transmettre à l’entreprise. Cette préparation peut se faire avec la participation du SIMEECLA (C. LAINE, ou C. BREBION). Elle devra être transmise avec la liste des participants.
- Préparation :
oui ❒
non ❒
Préalablement une documentation sur l’entreprise visitée sera remise aux participants par l’intermédiaire de l’Inspection
Académique et de la DDEC (fournies par le SIMEECLA).
- Exploitation :
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
Quelques semaines après la visite, possibilité si c’est souhaité par les enseignants, que le SIMEECLA se déplace dans
les collèges, les rencontrer pour faire un bilan.
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
Le SIMEECLA prendra à sa charge le transport par car des participants (départ 12, rue Gaëtan Rondeau à Nantes) ceci
afin de mieux gérer les horaires, l’arrivée et la visite (dans certains cas un car est nécessaire pour se déplacer dans l’entreprise).
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Personnes à contacter :
UI 44
René Guinot
Secrétaire Général
12, rue Gaëtan Rondeau - BP 86227 - 44262 Nantes cedex 2 - Tél. 02 51 72 92 60 - Fax 02 40 89 73 02
Site Internet : www.UI44.FR
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°1
Jeunes-Industrie (ex Bravo l’Industrie)
Education aux choix d’orientation (Loire-Atlantique)
- Date de création : 1991
- Organisateur principal : UI 44 (ex SIMEECLA)
- Partenaires :
- Comité Jeunes-Industrie
- Conseil Général
- Inspection Académique
- DDEC
- les entreprises
- Objectifs visés :
L’industrie s’engage
Le monde industriel manque et manquera encore davantage à l’avenir de personnel qualifié et motivé. Cependant de
nombreux jeunes cherchent désespérement un emploi dans des secteurs moins porteurs, mais qu’ils jugent plus
attrayants parce que mieux connus.
C’est pouquoi l’opération “JEUNES-INDUSTRIE”, lancée par l’UNION DES INDUSTRIES MÉTALLURGIQUES
ET MINIÈRES (U.I.M.M.) en 1991 pour une première période de cinq années, est une action concrète pour aider à
résoudre ce paradoxe. Elle s’appuie sur des études d’images reflétant la nécessité d’un contact vrai et d’un rapprochement par l’action de deux mondes qui souhaitent mieux se connaître : le monde de l’Industrie et celui de l’Education.
Elle se traduit par la mise en oeuvre et la médiatisation de projets concrets réalisés par les jeunes de 4ème ou de 3ème
de collèges avec des entreprises industrielles.
Creuset d’expériences uniques, mille fois répétées, l’opération “JEUNES-INDUSTRIE” vise par sa durée à la généralisation d’une culture industrielle, et par effet d’entraînement, à une orientation plus favorable des jeunes gens et des
jeunes filles vers ces métiers.
- Publics visés :
L’opération “JEUNES-INDUSTRIE” est mise en oeuvre sous la forme de projets concrets réalisés par des jeunes de
3ème et de 4ème de collèges avec des Entreprises Industrielles ; ces projets se déroulent pendant l’année scolaire. Ces
projets peuvent être éducatifs, pré-professionnels, ludiques. Ces projets comportent un engagement réciproque :
- l’entreprise permet aux jeunes de mieux la découvrir
- les jeunes s’engagent à s’investir pour mieux connaître et porter l’image de l’entreprise
- Nombre de jeunes concernés :
(résultats à évaluer pour les Pays-de-la-Loire)
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
Fiche n°1 (suite)
- Rythme : annuel
- Durée :
- Lieux :
- Organisation :
- Préparation :
oui ❒
non ❒
Une CHARTE institue entre les signataires un COMITÉ JEUNES-INDUSTRIE ayant pour mission d’apporter son
concours aux jeunes et à l’entreprise dans :
- la mise en place
- le suivi
- la phase finale de réalisation
- la médiatisation de l’action
- Exploitation :
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
Le COMITÉ est réuni à l’initiative du S.I.M.E.E.C.L.A., en tant que de besoin, au début, en fin d’action et périodiquement. Il définit les besoins et élabore un budget prenant en compte :
- les déplacements Collège-Entreprise
- les moyens techniques de réalisation
- le contrat d’assurance Responsabilité civile et Accident corporel
- les modalités de reconnaissance des projets
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances : “stand by” - “pause” de réflexion
- Innovations :
oui ❒
- Personnes à contacter :
UI 44
Union des Industries de Loire-Atlantique
Adresse postale : BP 86227 - 44262 Nantes cedex 2
12, rue Gaëtan Rondeau
44200 Nantes
Tél. 02 51 72 92 60
Fax 02 40 89 73 02
non ❒
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°2
Bravo l’Industrie
Jeunes-Industrie
Journée des projets - Mayenne
- Date de création : 1991
- Organisateur principal : CIMM, Chambre Syndicale des Industries Métallurgiques et Connexes du Département de
la Mayenne.
- Partenaires :
- Inspection Académique
- Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique
- Conseil Général
- Objectifs visés :
Ce projet permet aux jeunes de visualiser l’entreprise, de parler avec les hommes et les femmes qui travaillent au sein de
l’entreprise et exercent des métiers différents. Ils ont un contact direct et ont ainsi une meilleure approche de la réalité
de l’entreprise. Outre cet objectif d’information, elle permet aux élèves de se valoriser et d’accomplir un projet complet
dont ils sont les auteurs.
- Publics visés :
8ème année de l’Opération Jeunes-Industrie. Action mise en place par la Chambre Syndicale des Industries
Métallurgiques, dans le cadre d’une opération nationale dont l’objectif essentiel est d’informer les élèves de 4ème sur
l’entreprise et l’évolution de ses métiers. Les jeunes doivent construire un projet ayant un début et une fin.
- Nombre de jeunes concernés : 100 élèves
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
Sans l’encadrement d’équipes pédagogiques motivées et de professionnels de l’entreprise passionnés, cette action ne
pourrait connaître un tel succès.
- Nombre d’entreprises impliquées : 6
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
6
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : annuel
- Durée : annuel
Fiche n°2 (suite)
- Lieux : établissements scolaires, entreprises et partenaires
- Organisation :
Jeudi 8 octobre 1998 : lancement de l’opération pour la nouvelle année - bilan et perspectives
Sont invités tous les établissements scolaires du département ayant des classes de 4ème et les entreprises souhaitant être
partenaires.
jeudi 17 décembre 1998 : réunion de travail - Mise en route des projets
Entreprises et collèges souhaitant partir dans l’opération sont conviés.
Mardi 26 janvier 1999 : signature de la Charte regroupant tous les contrats de partenariat chez THOMSON CSF
COMMUNICATION
Mardi 6 avril 1999 : réunion de travail - suivi de l’oparation et organisation de la journée des projets
Entreprises et collèges participants à l’opération
du 21 mai au 31 mai 1999 : passage du jury dans les établissements scolaires
Mercredi 2 juin 1999 : journée des projets à Laval au Vieux Château
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
- Modalités d’évaluation :
Présentation des projets :
- dans les établissements scolaires : un jury se déplace au sein de chaque collège pour apprécier le travail réalisé par les
élèves. L’appréciation se fait sur trois critères, noté de 1 à 5 :
1 - la présentation - la forme - la clarté
2 - le fond - le contenu - la compréhension
3 - la communication : transmission aux autres élèves, parents, professeurs et également sur les points émergents des
projets.
- Journées des Projets : le mercredi 2 juin à Laval pour 6 projets.
Le jury sera composé de : 1 représentant de la CIMM, 1 représentant de l’Inspection Académique, 1 représentant de la
Direction Diocésaine, 1 élève d’un collège Public ne participant pas à l’Opération, 1 élève d’un collège Privé ne participant pas à l’Opération.
Les critères d’appréciation :
1 - la présentation du projet
2 - l’approche pour la découverte des métiers
Les élèves acteurs, les enseignants, les industriels encadrant les projets recevront un tee-schirt “Bravo l’Industrie”.
Le projet le plus significatif recevra une distinction : un trophée “Jeunes-Industrie”.
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
Fiche n°2 (suite)
- Tendances :
- Innovations :
- Personnes à contacter :
CIMM
7, rue de Paradis - BP 2054
53020 Laval cedex 9
Tél. 02 43 53 78 27
Fax 02 43 53 17 22
oui ❒
non ❒
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Bravo les artisans
- Date de création :
- Organisateur principal : Chambre des Métiers de la Sarthe
- Partenaires :
- Direction de l’artisanat
- Ministère des Entreprises et du développement économique
- Ministère de l’Education Nationale
- UPA
- APCM
- Objectifs visés :
- Découverte de l’entreprise artisanale par un stagiaire collégien
- Elaboration d’un projet concret lié au métier
- Publics visés : collégiens
- Nombre de jeunes concernés : 76
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées : 75
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
12
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : opération annuelle
- Durée : novembre 99 à avril 2000
- Lieux : entreprises
- Organisation : élargissement du fichier d’entreprises d’accueil
- Préparation :
oui ❒
- Exploitation : une maquette de journal
non ❒
Fiche n°3
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
Subvention ministère : 60 000 F
Subvention région : 100 000 F
Coût total : 252 000 F
- Autres actions connues :
- Tendances :
lesquelles ?
sur la Sarthe seulement
- Innovations :
- Personnes à contacter :
Mr de Villartay
Chambre des Métiers de la Sarthe
22, rue du 33e Mobiles
72016 Le Mans cedex 2
oui ❒
non ❒
Fiche n°3 (suite)
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°4
COMMET (Projet de communication sur les métiers porteurs)
- Date de création :
- Organisateur principal : CCI de Laval et de la Mayenne. Projet interconsulaire structuré en trois sous-projets distincts
- Partenaires : ANPE, DDTEFP, Conseil Général, OREF, IA, Direction Diocésaine, CRCI, CIO…
- Objectifs visés : faire découvrir aux collégiens les métiers porteurs, peu ou mal connus voire les nouveaux métiers
relevant du commerce, de l’industrie et des services du département, par le biais d’un support multimédia appuyé de
témoignages de professionnels.
- Publics visés : collégiens des classes de 4ème et 3ème (tous établissements confondus)
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : 1 animation par classe
- Durée : 1 h 30
- Lieux : Collèges publics + privés + MFR des secteurs géographiques des Groupements d’Action Locale NordMayenne (25 classes) et Sud-Mayenne (25 classes).
- Organisation :
- Préparation :
oui ❒
non ❒
Rencontre avec les professionnels des secteurs concernés afin de sélectionner les métiers et de communiquer au mieux
sur ces métiers. Un partenariat avec un collège pourra être envisagé (à l’étude pour l’instant).
- Exploitation :
Réalisation du support multimédia et animation dans les collèges.
Fiche n°4 (suite)
- Résultats attendus :
- à court terme : changement d’image (par rapport aux secteurs et aux métiers)
- à moyen terme : orientation des jeunes vers ces métiers et secteurs porteurs
- à long terme : équilibre offres/demandes d’emploi
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
Un questionnaire post-animation rempli par les professeurs-relais.
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
Fonds Social Européen dans le cadre de LEADER (Mesure 2.1 “Soutien et développement de l’emploi en milieu rural”).
- Exploitation :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
ALREN 1998-1999 : BILAN (alternance - relations Ecole/Etntreprise)
➞ Forum des Métiers de Mayenne
Sollicitation de l’association Dynacom (BTS Action Commerciale) pour participer à l’organisation du Forum des
Métiers de Mayenne du 29 janvier 1999.
➞ Mercredis de l’entreprise 1998-1999
THÈME : “De mieux en mieux et de plus en plus vite : la production”
5 visites organisées par la CCI de janvier à mai 1999 à destination des enseignants :
- ALCATEL BUSINESS SYSTEMS - Laval
- VERNIERS - Cossé-le-Vivien
- INOXYDABLES DE L’OUEST - Congrier
- TISSUS D’AVESNIERES - Laval
- Ets BRISARD - St-Pierre-des-Landes
➞ Visite d’un établissement scolaire
Le 29 avril 1999, le Lycée Léonard de Vinci à Mayenne a accueilli 19 chefs d’entreprise.
➞ Conférences-débats ALREN (Public : enseignants)
- le 10 janvier 1999 sur le thème de l’EURO : 27 participants
- le 28 mai 1999 sur le bug de l’An 2000 : les professeurs étaient associés à une réunion d’information destinée à des
chefs d’entreprise (10 professeurs ont participé à la rencontre)
➞ Guide des formations avec stages
- recensement avec l’aide de l’Inspection Académique des formations avec stages
- ajout de la rubrique “Objectifs du stage”
Projet : mettre le contenu sur Internet pour une mise à jour facilitée (beaucoup de données changent tous les ans).
➞ Enquête ALREN
Rappel objectif : mieux cerner les attentes des entreprises dans le domaine des relations école-entreprise.
Cible : 807 questionnaires envoyés (entreprises de 10 salariés et plus).
Fiche n°4 (suite)
Bilan :
- 112 entreprises ont retourné le questionnaire soit une participation de 13,9 %
- Visite d’entreprise : 70,64 % des entreprises souhaitent recevoir un groupe de visiteurs, de préférence des jeunes ou
des enseignants
- Stages : 64,22 % désirent accueillir des stagiaires tout au long de l’année, issus des lycées professionnels, technologiques ou d’un établissement d’enseignement supérieur
- Visite d’établissement scolaire : 30,28 % des entreprises ont un partenariat avec un établissement scolaire ; parmi
celles qui n’en ont pas 34,86 % souhaitent parrainer un établissement scolaire afin de venir en aide aux jeunes
- Promotion de certains métiers : 44,95 % des entreprises souhaiteraient promouvoir certains métiers tels que :
- chauffeur-routier
- tourneur-fraiseur
- soudeur…
➞ Forum sur les métiers du transport : une journée sur les métiers du transport a été réalisée le 2 octobre 1999 (difficultés de recrutement dans ce secteur en Mayenne) avec différentes activités :
- essais de véhicule avec instructeur
- démonstration poids lourd Bourny
- exposition de poids lourds et de cars anciens et récents
- exposition d’une collection de miniatures dans un poids lourd
- conférences-débats : 3 conférences-débats sur le même thème mais avec des témoignages différents sont planifiées sur
la journée (formation, sécurité…)
- un chapiteau avec une vidéo et ensemble de stands d’information sur les métiers du transport
Le bilan a été globalement très positif tant du point de vue des partenaires que des professionnels, puisque 2 500 à 3 000
personnes sont venues à cette manifestation (des jeunes et leur famille, des demandeurs d’emploi mais aussi des professionnels).
NB : un bilan complet a été réalisé, n’hésitez pas à le réclamer au besoin.
➞ Bulletin Rencontres : journal relatant les actions école-entreprise du département en partenariat avec l’IA, la DDEC,
le MEDEF…
En 1999 : un numéro a été réalisé.
ALREN 1998-1999 : PROJETS
➞ Mercredis de l’entreprise 1999-2000
THÈME : “Nouvelles compétences… Homme nouveaux… Nouvelles formations”
6 visites sont proposées par la CCI aux enseignants :
- 17/11/1999 : T.M.E. (Technique Montage Electronique) à Gorron
- 15/12/1999 : AMBROISE BOUVIER TRANSPORTS à St-Pierre des Landes
- 19/01/2000 : SOCOPA à Evron
- 16/02/2000 : Ste MARCHAND à Laval
- 15/03/2000 : FBA à Laval
- 12/04/2000 : LES CARRIÈRES DE VOUTRE
➞ Visite d’un établissement scolaire
- Lycée Professionnel Gaston Lesnard : secteur bâtiment.
➞ Conférence-débat ALREN
➞ Forum des Métiers à Laval
Dates : 3, 4 et 5 février 2000 au Parc des Expositions.
La CCI a plus particulièrement en charge la présentation de deux pôles :
- Commerce, secrétariat, gestion, juridique, gestion des ressources humaines
- Transport et logistique
Fiche n°4 (suite)
- Tendances :
- Innovations :
- Personnes à contacter :
CCI de Laval et de la Mayenne
12, rue de Verdun - BP 239
53002 Laval cedex
Tél. 02 43 49 50 00
Fax 02 43 49 33 16
oui ❒
non ❒
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°5
ENTREPAJE 99
(L’entreprise parle aux jeunes)
- Date de création : L’Entreprise parle aux jeunes 1995, Entrepaje 1997
- Organisateur principal : District du Pays d’Ancenis
- Partenaires : Comité de Bassin d’Emploi du Pays d’Ancenis, Chambre des Métiers de Loire-Atlantique, PAIO
d’Ancenis, Chambre d’agriculture de Loire-Atlantique, ADIRA (Association pour le Développement Industriel de la
Région d’Ancenis)
- Objectifs visés :
Cette action vise les jeunes des classes de 4ème de collège de l’Arrondissement d’Ancenis ou limitrophes (1).
(1) Les élus de l’Arrondissement d’Ancenis ont souhaité cette année que tous les jeunes habitants en classe de 4ème du
Pays d’Ancenis bénéficient de cette opération. 6 collèges limitrophes participent donc à l’opération.
Cette action qui s’inspire de EUREKA créée en 1995 sur le Vignoble Nantais, a pour objectif final de favoriser une
meilleure orientation professionnelle des jeunes par la présentation des métiers présents dans l’entreprise, leurs attraits et
leurs difficultés, l’approche des formations possibles ou des savoir-faire et ainsi, changer les idées reçues souvent négatives voir très négatives sur les secteur évoqués précédemment.
- Publics visés :
Ainsi, 1 100 jeunes de 4ème de collège sont invités à visiter par groupe de 6 à 20, une à deux entreprises industrielles,
artisanales ou agricoles, du 08 au 31 mars prochain.
Cette opération présente une originalité puisque sont associés aux visites, sous l’égide de la PAIO, une cinquantaine de
jeunes demandeurs d’emploi (16-25 ans).
Organisation :
Visites d’entreprises + une soirée bilan + remise de trophées Entrepaje.
- Nombre de jeunes concernés : 1 101
- 846 en Loire-Atlantique
- 255 en Maine-et-Loire
- 20 à 25 demandeurs d’emploi CEFRES Ancenis
- 20 à 25 demandeurs d’emplois PAIO Ancenis
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées : environ 110
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
) 4 Maine-et-Loire
- lycées
) 9 Loire-Atlantique - 1 Loire-Atlantique
- autres établissements :
Fiche n°5 (suite)
- Rythme : annuel
- Durée : 1 journée + 1 soirée
- Lieux : entreprises Loire-Atlantique et Maine-et-Loire
- Organisation : guide méthodologique des visites possibles (voir fiche jointe)
- Préparation :
oui ❒
non ❒
Pré-visite ou téléphone.
Buts :
- connaître l’entreprise et ainsi mieux préparer la visite avec les jeunes
- faire part au responsable de la visite dans l’entreprise, des attentes des jeunes
- l’aider dans sa démarche pédagogique
Préparation de la visite avec les jeunes :
Buts :
- élaborer un questionnaire pour la visite (un questionnaire type est fourni avec la plaquette)
- choisir un mode de restitution et en déterminer les outils (écrits, panneaux, vidéo…)
NB : n’oubliez pas de demander l’autorisation au responsable de l’entreprise pour photographier ou filmer la visite.
- Exploitation : oui
La restitution :
Buts :
- clarifier les idées des jeunes sur l’entreprise ou ses métiers
- réaliser un document qui sera transmis à l’entreprise (travail collectif ou individuel)
- réaliser un document pour la soirée bilan (affiche, vidéo, petit dossier, plaquette…)
- participer aux “Trophées Entrepaje 99”
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
Il est indispensable pour nous, organisateurs, de connaître le regard et l’intérêt que vous portez et que les jeunes portent
sur les visites.
Pour les jeunes : ils devront répondre individuellement au questionnaire.
Pour l’enseignant responsable de la restitution : il devra faire une synthèse des questionnaires afin de procéder à une
analyse du groupe ou transmettre par exemple, ce travail à son collègue enseignant de mathématiques qui pourra effectuer cette étude avec les élèves, dans le cadre de “l’analyse de données”.
Pour les conseillers PAIO ou formateurs : ils devront faire une synthèse des questionnaires afin de procéder à une analyse des réponses du groupe.
Les questionnaires d’évaluation et les outils de restitution (accompagnateurs, jeunes) vous sont remis dans cette plaquette.
- Modalités d’évaluation :
- Financement : Budget 116 000 F - dépenses réalisées : 118 051 F
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
Lycée Polyvalent de Chemillé (voir fiche)
- Personnes à contacter : Florence JOULAIN, coordinatrice, est à votre disposition. N’hésitez pas à la contacter au
06 81 23 30 99 ou par fax au 02 40 83 31 76
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°6
EUREKA
- Date de création : 1993
- Organisateur principal : Syndicat Mixte du Vignoble Nantais
- Partenaires : Une opération pilotée par le Syndicat de Pays avec le concours :
- la Chambre de Métiers
- la Chambre d’Agriculture
- le club d’industriels “Alliance, des entreprises et des hommes”
- le CIO de Rezé
- le lycée de la Herdrie de Basse-Goulaine
- le lycée Charles Péguy de Gorges
ainsi que le Conseil Général et le Conseil Régional pour leur soutien financier
- Objectifs visés :
- faire découvrir les métiers de l’artisanat, de l’industrie et de l’agriculture
- valoriser le potentiel économique du Pays du Vignoble Nantais
- fédérer les partenaires et fournir un outil supplémentaire dans la démarche d’orientation des collégiens
- Publics visés : collégiens particulièrement 4èmes. Organisation : visites d’entreprises.
- Nombre de jeunes concernés : 1 600
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés : 160
- Nombre d’entreprises impliquées : 139
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
15
- lycées
2
- autres établissements :
- Rythme : annuel
- Durée : 1 journée + 1 espace-temps “soirée de clôture”
- Lieux : 34 communes au Sud Est de la Loire-Atlantique : le Pays du Vignoble Nantais
- Organisation :
- Préparation :
oui ❒
non ❒
Fiche n°6 (suite)
“Au fil des années, les pré-visites se sont réellement mises en place. Dans le cas de notre
entreprise, nous avons ainsi préparé une documentation spécifique élèves-collèges avec par exemple une fiche métier”.
“A continuer dans l’intérêt des enfants”.
- Exploitation : oui
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
enquête SPVN - juin 99
- Modalités d’évaluation :
- Financement : les entreprises, soutien financier du Conseil Général et du Conseil Régional
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Personnes à contacter :
Antoine ORAIN
Cantons de : Aigrefeuille-sur-Maine, Clisson, Le Loroux-Bottereau, Vallet, Vertou, Vertou-Vignoble
Maison de Pays
Allée du Chantre - BP 74
44190 Clisson
Tél. 02 40 36 09 10
Fax 02 40 36 09 15
e-mail : [email protected]
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°7
Rallye des Jeunes + concours Graine de créateurs
- Date de création : 1997
- Organisateur principal : MEDEF Loire-Atlantique
- Partenaires :
- Inspection académique
- Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique
- Objectifs visés :
Plus de 100 collaborateurs d’entreprise prennent volontairement 1/2 journée sur leur temps de travail pour vous présenter leurs métiers, leurs parcours et leurs entreprises. N’hésitez pas à leur poser toutes les questions que vous souhaitez, c’est ce qu’ils attendent de vous et cette marque d’intérêt sera leur plus grande récompense.
A l’issue de chaque visite, le professeur posera cinq questions sur l’entreprise : n’hésitez pas à prendre des notes au
cours des entretiens.
En amont de ce rallye, nous proposons aux jeunes un projet d’accompagnement pédagogique “GRAINE DE
CRÉATEURS”. Il doit vous permettre de travailler avec les élèves sur le thème : la création d’entreprise.
Le concours est déjà lancé depuis début septembre, il s’achève le jour du rallye avec la remise des projets tant sous
forme de dossier que par saisie sur internet : http://www;entreprises44.com/graine-de-créateurs/1999
- Publics visés : élèves de lycée, 1ère, terminale ES
- Nombre de jeunes concernés : 1 150
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés : 100
- Nombre d’entreprises impliquées : 24
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
)
- lycées
) 22
- autres établissements :
- Rythme : annuel
- Durée : 1 journée : 2 visites d’entreprise
- Lieux : départ La Beaujoire, arrivée dans les entreprises à 12 heures, retour au lycée le soir
- Organisation :
- Préparation :
oui ❒
non ❒
Fiche n°7 (suite)
Nous vous remercions de bien vouloir sensibiliser vos élèves pour le bon déroulement de la
journée, en insistant notamment :
sur la préparation de questions :
- comment avez-vous été recruté ?
- avez-vous tout le temps exercé le même métier ?
- comment se passe une journée de travail ?
- quelles sont les difficultés de ce métier ?
- qu’est-ce qui en fait l’intérêt ?
- Exploitation : oui, site internet, résultats de concours, distribution de prix
Déroulement du mercredi 17 novembre 1999
- 1er prix : 10 000 francs
- 2ème prix : 5 000 francs
- 3ème prix : 3 000 francs
- 4ème prix : 2 000 francs
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
- Modalités d’évaluation :
- Financement : Partenariat Crédit Agricole, France-Telecom, Europcar, Renault Nantes, Ville de Nantes, Conseil
Général, Conseil Régional
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
UNE JOURNÉE POUR PARLER MÉTIERS
Le Rallye des Jeunes, c’est un après-midi centré sur la découverte des métiers présentés par des professionnels en situation réelle.
Les déplacements s’effectuent en cars à raison de deux classes par car. Chaque classe, encadrée par un enseignant et un
accompagnateur dirigeant d’entreprise est accueillie successivement dans 2 entreprises de tailles et d’activités différentes.
A chaque visite, l’approche de l’entreprise et de ses métiers se fait en 2 temps :
- Premier temps : le chef d’entreprise accueille l’ensemble des participants (50 à 60 élèves), fait visiter sa société et présente ses activités et son parcours personnel.
- Second temps : les élèves se répartissent par petits groupes de 10. Chaque groupe est pris en charge par un collaborateur de l’entreprise qui présente son métier au quotidien ainsi que la formation et l’expérience requise pour le pratiquer.
Au terme de ce premier échange, les groupes permuttent et découvrent un second métier selon les mêmes principes.
Lors des transferts en cars, chaque classe répond à un questionnaire remis au préalable aux enseignants.
Déroulement du rallye :
11h00 - 11h30
Départ en car depuis le lycée
(chaque participant doit se munir d’un pique-nique)
12h00 - 12h30
Regroupement et accueil au Stade de la Beaujoire
Distribution de cadeaux, Pique-nique, Briefing
Départ vers la première entreprise
14h00 - 16h00
Visite et découverte des métiers dans l’entreprise 1
16h00 - 16h30
Transfert en car et réponse aux questions sur l’entreprise 1
16h30 - 18h30
Visite et découverte des métiers dans l’entreprise 2
18h30 - 19h00
Réponse aux questions sur l’entreprise 2
Retour vers les lycées
Le lendemain avant midi : vous retournez par télécopie au 02 40 48 50 48 les
questionnaires remplis à l’issue des visites.
Fiche n°7 (suite)
GRAINE DE CRÉATEURS, MODE D’EMPLOI
Graine de Créateurs vise à :
- familiariser les élèves avec les mécanismes de la création d’entreprise
- rendre les élèves “sujets actifs” en créant des entreprises fictives au sein des classes
- aider les enseignants à développer des stratégies pédagogiques prenant appui sur la simulation
- favoriser les échanges inter-filières et inter-lycées au moment et en aval de l’élaboration des projets
Dans cette première épreuve du rallye, le but de chaque équipe, réunissant une classe entière ou un groupe d’élèves
volontaires, est de se mettre dans le peau d’un créateur d’entreprise et de créer une entreprise fictive. C’est à dire à
décrire son objet social, son statut, son marché ainsi que les financements et les moyens nécessaires à son activité.
Ce jeu de rôle débute dès la réception du présent dossier. Dès lors, vous aurez 9 semaines pour peaufiner votre projet
et le transmettre au jury directement via Internet. En effet, pour la seconde édition de Graine de Créateurs, vous saisissez, consultez et modifiez votre projet “on line” en toute confidentialité. Les modalités pratiques de saisie de votre
projet sont précisées à la fin de ce dossier au chapitre “A vos claviers”.
Votre projet doit être saisi au plus tard le 16 novembre à minuit. Le site Graine de Créateurs sera alors provisoirement fermé pour permettre l’édition papier des projets destinée aux 6 chefs d’entreprise membres du Jury.
Le projet Graine de Créateurs est noté sur 20 avec un coefficient de 6 :
- l’originalité sur 4 pts
- la globalité (réponse à toutes les rubriques) sur 8 pts
- la démarche (cohérence, contacts pris…) et la “vente” du projet sur 8 pts
Les réponses aux questions du rallye sont notées sur 20 avec un coefficient 1, soit 140 points au total.
Le jury délibère le 18 novembre en fin d’après-midi. Les quatre classes lauréats sont averties le soir même et invitées à
recevoir leurs prix lors de la soirée de clôture du Rallye des Entreprises, le samedi 20 novembre, à la Biscuiterie
Nantaise à Vertou.
- Personnes à contacter :
Sophie Magnaudeix - Evelyne Bocquenet
Mouvement des Entreprises de France - MEDEF Loire-Atlantique
En cas de problème de réception, ou si vous avez des questions, appelez-nous au 02 40 20 11 80
37 bis, quai de Versailles - BP 81506 - 44105 Nantes cedex 1 - Tél. 02 40 20 11 80 - Fax 02 40 48 50 48
Site internet : www.entreprises44.com
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°8
“J’apprends… j’entreprends. Du lycée… à l’entreprise”
- Date de création : au cours de l’année scolaire 1998/1999
- Organisateur principal : Lycée Polyvalent de Chemillé
- Partenaires :
- 7 entreprises
- Cholet Basket
“J’apprends… j’entreprends. Du lycée… à l’entreprise” est un projet de rapprochement Ecole/Entreprise et d’ouverture sur les langues.
- Objectifs visés :
L’objectif du projet était de donner aux élèves une approche globale de l’entreprise, une meilleure connaissance de son
fonctionnement, de son organisation interne, de ses méthodes de recrutement, etc. Une façon de préparer les jeunes à la
future recherche d’emploi, à la vie professionnelle, mais également personnelle par les prises de contacts en tous genres.
C’est pourquoi nous leur avons permis de s’adresser directement aux chefs d’entreprise avec leurs propres mots, de les
faire réfléchir, dialoguer, de leur faire prendre leurs responsabilités. Cette découverte concrète de l’entreprise s’est faite
en 3 temps : les “clubs entreprises”, les “journées entreprisses” et la présentation orale du projet par les élèves.
- Publics visés : les élèves du lycée de Chemillé
- Nombre de jeunes concernés : 126
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés : 20
- Nombre d’entreprises impliquées : 7
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées 1
- autres établissements :
- Rythme : au fur et à mesure
- Durée : 5 jours
- Lieux : au lycée et dans les entreprises
- Organisation : 3 étapes
Fiche n°8 (suite)
- Lors des “clubs entreprises”, les dirigeants des 7 entreprises partenaires sont venus
dialoguer avec les élèves en mars dernier. Il y a là une inversion des termes de l’échange,
et les lycéens considèrent comme une véritable reconnaissance le fait que les chefs d’entreprise se déplacent
dans le lycée pour venir les voir et leur expliquer le fonctionnement de leur entreprise.
- Les “Journées entreprise” des 7, 8 et 9 avril : 3 jours durant lesquels sont organisées les visites des entreprises partenaires par tous les élèves (18 groupes de 7 élèves). Mais attention, il ne s’agit pas de visites classiques laissant place
uniquement à l’observation. En effet, les élèves étudient un thème lié à l’entreprise, chaque thème représentant une pièce
d’un puzzle -matérialisée par un classeur- reconstituant une entreprise fictive. Le choix des thèmes et l’organisation des
visites auront été préalablement préparés par les enseignants et les aides-éducatrices.
- La Présentation des classeurs aux entreprises partenaires : 13 élèves volontaires ont présenté leur travail aux dirigeants d’entreprise, le 26 mai. Ils ont fait découvrir les slogans qu’ils ont inventés tels que “Flory, c’est le paradis” ou
“avec MTA tout va”. Ces derniers ont tous apprécié tant la qualité des comptes-rendus que celle de leur présentation
orale.
Enfin, les classeurs ont été exposés dans quelques unes des entreprises. Les salariés ont porté un grand intérêt au regard
des élèves sur leur entreprise, notamment à travers les slogans. Ils ont salué la qualité des classeurs et la façon dont les
jeunes ont restitué leurs visites.
LES LANGUES : UNE OCCASION DE MONTRER SA MOTIVATION
Durant cette année-test, l’application de l’anglais dans le quotidien de l’entreprise a été abordée avec une classe du
lycée, les terminales BEP Bioservices. Ces élèves ont ainsi pu prendre conscience de l’importance grandissante de l’anglais dans le milieu du travail. Ils ont ainsi rencontré un directeur commercial qui leur a expliqué la nécessité d’étudier
cette langue dans le cadre de ses voyages d’affaires et qui a fait une simulation de vente de produits en anglais avec son
collaborateur. Ils ont également pu dialoguer en anglais avec un joueur professionnel d’origine américaine.
Parce qu’elles ont su montrer le mieux leur motivation en prenant la parole lors des interventions, deux d’entre eux,
Sylvaine et Vanessa, se sont vues offrir l’opportunité de passer une semaine au Danemark, à Horsens, accompagnées de
Sylviane, tous frais payés par la subvention reçue par les entreprises partenaires du Projet. Ainsi, elles ont pu établir une
étude comparative entre services de restauration danois et français. Accueillies par l’Ecole Polytechnique d’Horsens,
elles ont discuté avec les danois et des étudiants de nationalités diverses (Pologne, Finlande, Islande, France, Espagne,
etc) par un moyen de communication nécessaire : l’anglais. Elles ont rédigé un rapport -actuellement consultable au
lycée- et fait une présentation orale aux entreprises partenaires, le tout en anglais ! Ces dernières ont été très impressionnées par leur aisance. Expérience réussie !
CHOLET BASKET : UNE “ENTREPRISE” QUI OFFRE DES OPPORTUNITÉS
Nous avons permis à la classe de seconde BEP Electronique de visiter le Club de Cholet Basket et d’y découvrir l’entreprise qui se cache derrière l’activité sportive. Les élèves ont donc pu faire le parallèle entre les entreprises qu’ils ont
visitées et le Club. Ils ont rédigé un compte-rendu qu’ils ont ensuite présenté au directeur administratif et financier de
CB ainsi qu’aux entreprises partenaires. De plus, les 3 élèves qui se sont le plus investis dans le projet Manuella,
Sébastien et Jérôme, ont saisi l’occasion d’aller assiter à la Finale de la Coupe de France à Bercy. En outre, un élève de
seconde Electronique, Aurélien, a pu mettre en valeur ses qualités en mathématiques, lors de sont stage au Lycée de
Chemillé, en établissant un calcul précis des performances des basketteurs grâce aux statistiques brutes de 2 matchs de
baskets. Il a présenté oralement son travail aux membres d’une réunion au Siège social de Cholet Basket qui ont tous
salué ses qualités de statisticien.
LA RÉVÉLATION DES TALENTS POUR LES ÉLÈVES, LES PARENTS ET L’INSTITUTION
Par toutes ces opérations, nous avons donné à tous nos élèves la possibilité de se mettre en valeur et, ainsi, de bénéficier
d’opportunités variées. Certains ont saisi cette chance. Après son séjour au Danemark, Sylvaine nous a fait part de son
désir de poursuivre ses études ou de trouver un emploi à l’étranger, afin de pouvoir utiliser l’anglais et d’autres langues.
Dès lors, nous avons pu lui proposer un contrat à durée déterminée de 6 mois aux Iles Canaries dans une chaîne hôtelière espagnole. Vanessa quant à elle, opte pour un parcours plus classique : elle poursuivra ses études en France, tout en
désirant approfondir sa pratique de l’anglais. Quant à Sébastien, élève de 3ème Techno, il a su mettre en valeur à chaque
étape du Projet, en présentant oralement son classeur à l’un des initiateurs du Projet, lors de la FInale de basket, le 2
mai, ainsi qu’aux dirigeants d’entreprise, le 26 mai. Maintenant, il souhaite poursuivre ses études en BEP
Electrotechnique. Enfin, Aurélien, a su mettre en avant ses performances en mathématiques et a pu donc bénéficier d’un
stage de 3 semaines au Lycée de Chemillé pour y étudier, entre autres, les statistiques de Cholet Basket. Les parents de
ces élèves ont été très agréablement surpris par les opportunités qui se sont offertes à leurs enfants et ont été étonnés du
changement d’attitude de ces derniers. Elèves et parents avaient du mal à croire à la réalité de ces opportunités du fait
que le projet n’est qu’en phase expérimental. L’expérience que nous avons menée avec tous ces élèves est donc une
réussite et vaut la peine d’être renouvelée pour l’année prochaine : une affaire à suivre !
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
Fiche n°8 (suite)
- Exploitation : oui
- Evaluation :
- Modalités d’évaluation : évaluation réciproque des partenaires
- Financement :
- le lycée a payé un consultant pour trouver les emplois en Espagne
- les entreprise ont financé les déplacements et voyages
- taxe d’apprentissage
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
DES OPPORTUNITÉS POUR UN PLUS GRAND NOMBRE D’ÉLÈVES L’ANNÉE PROCHAINE
Pour l’année scolaire 1999/2000, nous engageons l’orientation du Lycée Polyvalent de Chemillé vers des débouchés
professionnels résolument tournés vers l’international. En effet, en association avec EUROPEAN LINK, une entreprise
chargée de placer des élèves en recherche d’emploi à l’étranger, le lycée proposera à une dizaine d’élèves des postes
dans des chaînes hôtelières en Espagne. Il fournira également des stages dans des lycées français au Danemark, au
Maroc, à Buenos Aires, etc.
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Orientation de type recrutement : 50 places disponibles dans les chaînes hôtelières espagnoles pour accueillir les élèves
avec des contrats de travail attractifs.
- Dépasser la notion de métier. C’est l’entreprise qui est demandeuse.
- Enrichir le catalogue de l’APREEC.
- Philosophie et éthique de l’entreprise.
- Développement des langues.
- Deux aides-éducatrices ont été recrutées au Lycée Polyvalent de Chemillé (Maine-et-Loire) afin de coordonner les différentes étapes d’un projet intitulé “J’apprends… j’entreprends. Dy lycée… à l’entreprise”.
- Personnes à contacter :
Mlles LAOUHIBI Saïda et BODET Sylviane
Coordinatrices du Projet
“J’apprends… j’entreprends. Du lycée… à l’entreprise”
Lycée Polyvalent de Chemillé
71, rue Nationale - 49120 Chemillé
Tél. 02 41 30 61 41
Fax 02 41 30 69 93
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°9
Programme d’action à long terme visant à revaloriser les métiers de la
métallurgie/plasturgie/métiers de la fonderie/métiers du bâtiment
- Date de création : 1996-1997
- Organisateur principal : Comité du bassin d’emploi de Chateaubriant
- Partenaires : “Chefs de file” groupes de travail
- Communauté de communes
- CCI
- Association des industriels
- Lycée d’Enseignement général Lenoir
- CIO
- Objectifs visés :
L’activité économique du Pays de Chateaubriant se caractérise par la prédominance d’emplois industriels, 5 500, qui
représentent 50 % des emplois marchands.
Durant ces 24 derniers mois, 760 emplois nouveaux ont été créés dont 360 dans le seul secteur de la métallurgie.
Face à un manque affirmé de qualification et des difficultés croissantes de recrutement les entreprises et les partenaires
économiques ont tiré la sonnette d’alarme afin :
- de renforcer les niveaux de formation
- de mobiliser les parents, les enseignants, les adolescents et les jeunes demandeurs d’emplois aux opportunités d’emplois que peuvent offrir les entreprises de ces secteurs ainsi que celles du bâtiment qui se sont associées à ce mouvement.
Après plus d’un an de consultation et d’échanges et des travaux des différents groupes de travail, il a été élaboré un programme d’action à long terme qui vise à revaloriser ces métiers autour de quatre axes principaux :
- motiver les enseignants et les parents
- ouvrir l’entreprise aux jeunes
- conforter les filières de formation
- offrir des formations de qualification avec un contrat de travail à la clef
- Publics visés :
Pour le secteur de la métallurgie/plasturgie
Au regard des innombrables métiers concernés, le groupe de travail a décidé de concentrer son action vers les publics en
phase d’orientation scolaire. Des actions plus précises et qualifiantes seront engagés dans un deuxième temps.
Trois publics sont concernés prioritairement :
- les enseignants technologiques et les coordinateurs d’établissements
- les scolaires en phase d’orientation
- les parents d’élèves
1 - Sensibilisation auprès des enseignants par des journées découvertes des entreprises par groupe de 3 à 4 ensei gnants
2 - Sensibilisation des élèves par :
- des journées de découverte de la vie des entreprises avec visite d’entreprises volontaire et
conférences dans les classes concernées
- des journées découverte des formations avec le Lycée Lenoir
Fiche n°9 (suite)
Pour le secteur de la fonderie
Mise en place d’une action de sensibilisation à la qualification des demandeurs d’emplois. Cette action concernera 120
demandeurs d’emplois sur 2 ans.
L’action de sensibilisation se déroulera en trois étapes et visera avant tout à présenter le métier de fondeur dans sa globalité sans écarter la pénibilité de certains postes de travail.
1 - Communication et recrutement des demandeurs d’emplois assurés par la PAIO/ANPE et les missions locales.
2 - Journées de découverte des métiers de la fonderie dans l’atelier pédagogique de Fonderie* à la Hunaudière avec :
- présentation des techniques de formation des moules en sable
- présentation des techniques de moulage, de coulée sur sable
- présentation des objectifs de formation et d’emplois
3 - Visite d’une entreprise de fonderie et perspectives professionnelles.
A la suite de cette phase de sensibilisation, les demandeurs d’emplois intéressés se verront proposer une formation qualifiante de 800 h par alternance avec un contrat de travail à durée indéterminée à la clef.
Au delà de cette initiation aux métiers, les candidats pourront poursuivre leur spécialisation dans le cadre d’une formation de niveau C.A.P. par alternance sur 2 ans.
Objectif : 100 emplois qualifiés en 3 ans.
Cet atelier a été créé par l’association des fondeurs de la région de Chateaubriant dans le but d’initier les jeunes à la
découverte des métiers mais également de faire valoir la technique auprès d’un public visiteur.
Valorisation des métiers du bâtiment
Le secteur bâtiment traverse une grave cirse d’effectifs et souffre d’une pénurie de compétences de l’ouvrier à la maîtrise, liée en partie à la méconnaissance totale de ce secteur d’activité (niveau d’exigence des qualifications, niveau des
rémunérations). Ce constat a été confirmé par une étude réalisée par le CBE pour les planches ARGOS et par les professionnels.
Un groupe de travail s’est réuni sous l’impulsion de Christian de Grandmaison à partir de septembre 1998 avec des élus,
le CBE, la DDTE, la CCI et la Chambre des Métiers, l’AFPA, et des représentants du secteur bâtiment, (architecte et
entreprises).
L’AFPA a réalisé une étude sommaire sur les possibilités pour l’embauche des jeunes en contrat de qualification.
Mais très vite, il s’est avéré que le problème essentiel était celui de l’image de ces métiers complètement dévalorisée
aux yeux des parents et des enseignants (on en gagne pas sa vie, c’est dur, c’est sale, etc…).
A la suite de nombreux contacts avec des chefs d’entreprise, il a été décidé un plan d’action sur deux ans, comprenant
les étapes suivantes :
1 - Foire de Béré 1999. Présentation sur un espace de 250 m2 des métiers du bâtiment et des organismes de formation,
avec animations.
2 - Proposer à toutes les classes volontaires de 4ème et de 3ème des collèges publics et privés d’avoir une animation
“Chantiers de la vie” par un animateur CAPEB (agréé par l’Inspection Académique). Il s’agit en une journée de
construire une maquette géante, où tous les corps de métiers sont présentés.
3 - Découverte du chantier de la salle multifonctions à Chateaubriant de septembre à juin. (de la conception à la réalisation. L’architecte prendra la classe une fois par mois. Il sera secondé par l’animateur de la CAPEB. Les élèves réalisent
un reportage photo et une vidéo sur la construction.
4 - Découverte de chantiers (rénovation, maisons individuelles, bâtiments industriels etc…) par les jeunes de la PAIO
(-26 ans) en recherche de formation.
5 - Développer avec l’AFPA les contrats de qualification dans le bâtiment.
6 - Impliquer le CIO dans une information répétée et positive sur ces métiers.
Partenaires : CAPEB - AFPA - GEIQ/BTP - CCI - Chambre des métiers - Ordre des architectes - DDTEFP - Centre
Information et d’Orientation - PAIO
Financement : CRDP Nozay-Blain - Chateaubriant - Programme Leader II
Fiche n°9 (suite)
Pour le secteur du bâtiment
1 - Création d’un évènement de notoriété autour de la Foire de Béré 1999 :
- stand d’exposition des métiers avec démonstrations des professionnels et présentation des filières de formation
2 - Mise en place d’une action de sensibilisation à la qualification de jeunes demandeurs d’emplois :
En préalable à l’organisation de stages de qualification professionnelle avec l’AFPA bâtiment, nous assurerons une animation personnalisée des activités du bâtiment par des visites de chantiers et des rencontres avec les chefs d’entreprises.
Objectif : 60 demandeurs d’emplois.
3 - Création d’un évènement éducatif autour d’un grand chantier :
Il s’agit de faire participer une classe de troisième au suivi du chantier de la salle multifonctions de Chateaubriant. Une
fois par mois et durant toute l’année scolaire, la classe sélectionnée assurera un reportage et un travail pédagogique
encadré par les techniciens de chantiers.
L’objectif sera de communiquer et de réaliser un document pédagogique présentable aux autres classes d’âges.
4 - Mise en place de journées d’animation pédagogique sur la découverte des métiers du bâtiment :
- organisation d’une vingtaine de journées pédagogiques avec les artisans messagers, ceci permettra d’initier environ 600
élèves
- Nombre de jeunes concernés : environ 2 000
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés : 250
- Nombre d’entreprises impliquées : toutes, environ 40
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants : potentiellement tous
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : programme d’action à long terme
- Durée : permanent
- Lieux : Bassin de Chateaubriant : Derval - Nozay - Chateaubriant
- Organisation : voir plus haut
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
voir plus haut
- Exploitation : résultats
- Evaluation :
analyse des résultats
- Modalités d’évaluation : groupes de travail
Fiche n°9 (suite)
- Financement :
- programme Européen LEADER
- contrats régionaux de développement
- Autres actions connues :
lesquelles ?
non
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
- Personnes à contacter :
Monsieur Godin
Coordinateur du bassin d’emploi de Chateaubriant
14, rue des Vauzelles - BP 139
44114 Chateaubriant cedex
Tél. 02 40 28 36 64
Fax 02 40 28 05 98
non ❒
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°10
“NET BPAV REPORTER”
(remplace jeune reporter économique régional 99)
- Date de création : 1999
- Organisateur principal : BPAV
- Partenaires :
- Inspecteur Académique du Mainet-et-Loire
- Inspecteur Académique de la Vendée
- Enseignement Catholique du Mainet-et-Loire
- Enseignement Catholique de Vendée
- Centres d’Information et d’Orientation d’Angers et de la Roche-sur-Yon
- CASDEN Banque populaire
- Conseil Général du Maine-et-Loire
- Conseil Général de la Vendée
- Comité d’expansion du Maine-et-Loire
- Ville d’Angers
- Ville d’Avrillé
- Ville de Cholet
- Ville de Fontenay-le-Comte
- Ville de Montreuile-Bellay
- Ville de la Roche-sur-Yon
- Ville des Sables d’Olonne
- Ville de Trélazé
- CONFIG Système Angers Micro Informatique
- Le Courrier de l’Ouest
- Futuroscope
- Packard Bell
- Objectifs visés :
Le grand concours NetBPAV.Reporter a pour objectif de permettre aux apprentis, élèves et étudiants des établissements
publics et privés des départements de Maine-et-Loire et de Vendée de découvrir et valoriser les atouts économiques de
nos deux départements en se familiarisant avec les nouvelles techniques de communication et notamment Internet.
L’équipe choisit un thème qui vise à faire connaître le patrimoine économique sous l’un de ses aspects multiples : atouts,
environnement, situation géographique, histoire, technologies, loisirs…
- Publics visés : apprentis, élèves, étudiants des établissements publics et privés des départements de Mainet-et-Loire
et de la Vendée. Elèves de 4ème, 3ème, 2nde, 1ère, terminales.
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
Fiche n°10 (suite)
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : annuel
- Durée : Inscription : seules les équipes inscrites avant le 31 décembre 1999 pourront effectivement concourir.
Remise des prix : le 10 mai 2000 à 18h30 pour le département du Maine-et-Loire ; le 3 mai 2000 à 18h30 pour le département de la Vendée.
- Lieux : Maine-et-Loire et vendée
- Organisation :
Composition des équipes : l’équipe est formée de 6 jeunes appartenant à la même classe (en ce qui concerne les
apprentis et les élèves de 4ème à la terminale) ou au même établissement (en ce qui concerne les étudiants).
Chef de projet : les étudiants en désignent un parmi l’équipe. Pour les apprentis et les élèves de 4ème à la terminale,
c’est un enseignant qui représente l’équipe.
Remise du projet : le dépôt des dossiers doit s’effectuer avant le 1er mars 2000.
Catégories proposées :
Apprentis et élèves de 4ème à terminale
Etudiants
Départemantl : meilleur site
Départemental : meilleur site
Ville : 1er prix, 2ème prix
Ville : 1er prix, 2ème prix
Economique : meilleur site
Economique : meilleur site
Open : 1er prix, 2ème prix
Open : 1er prix, 2ème prix
Grand prix : récompense le meilleur site, toutes catégories confondues.
- Préparation :
oui ❒
non ❒
Le contenu pédagogique de ce concours a été élaboré en étroite collaboration avec les Inspections d’Académie du
Maine-et-Loire et de la Vendée et les Centres d’Information et d’Orientation des 2 départements…
- Exploitation :
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
- Modalités d’évaluation : à définir
Critères de sélection : la réalisation de chaque équipe, dont l’objectif est la découverte et la valorisation des atouts économiques, sera soumise à un jury qui sélectionnera les meilleures réalisations selon les critères suivants :
- convivialité
- originalité
- ergonomie
INFORMATION CONCEPTION
- pertinence
- intérêt
- qualité du rédactionnel
Attention, l’information et la conception ne sont pas dissociées. La synergie développée par l’association de ces deux
éléments est un critère fondamental. Pour les étudiants, l’utilisation de la langue anglaise en complément du français
pour tout ou partie de la présentation est possible, avec les mêmes critères mentionnés ci-dessus.
Fiche n°10 (suite)
Vote en ligne : en complément du vote du jury, un vote populaire sera organisé sur le site
Internet de la Banque Populaire Anjou-Vendée www.bpav.fr. De nombreux lots de valeur s
ont à gagner : voyage, ordinateur…Les internautes voteront pour élire le lauréat du concours “grand prix”.
Attention, ce vote sera nominatif, un seul vote par personne sera accepté. Les participants au concours ne sont pas autorisés à voter en ligne. Les voix obtenues par Internet intègreront la note finale pour 1/10ème.
- Financement : partenaires
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances : innovation - remplace jeune reporter économique régional 99
- Innovations :
oui ❒
Innovations apportées à l’action : 1er concours du genre.
- Personnes à contacter :
Site Internet : www.bpav.fr
ou par demande écrite :
Banque Populaire Anjou-Vendée
NetBPAV.Reporter
35, rue du Nid de Pin SP 148
49001 Angers cedex 01
non ❒
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°11
Les rencontres du Point Information Jeunesse à CHOLET
- Date de création : 1998
- Organisateur principal : PIJ
- Partenaires :
1 ou 2 animateurs (les responsables du Point Information Jeunesse)
4 ou 5 intervenants qualifiés pour traiter du sujet :
- 1 représentant d’un organisme de formation (établissements scolaires, I.U.T., Université, Ecole d’ingénieur, centre de
formation…
- 1 ou 2 professionnels en activité
- 1 représentant d’un organisme d’aide à la recherche d’emploi (ANPE, Mission Locale) suivant le sujet abordé
- 1 étudiant ou 1 apprenti ou 1 jeune en activité depuis peu qui vient parler de son expérience
- Objectifs visés :
Carrefour d’information, de rencontre et d’échange au cours duquel une question relative aux préoccupations quotidiennes des jeunes est abordée.
Il s’agit souvent d’un secteur d’activité ou d’un métier (les différentes formations, les débouchés possibles…).
- Publics visés : tous publics PIJ
- Nombre de jeunes concernés : pas de bilan
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés : pas de bilan
- Nombre d’entreprises impliquées : pas de bilan
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : mensuel ou bi-mensuel le mercredi
- Durée : 2 heures - 15h-17h
- Lieux : salle polyvalente de la médiathèque Hôtel de Ville
Fiche n°11 (suite)
- Organisation :
Rencontre débat :
- présentation succincte du Point Information Jeunesse et de ses activités
- présentation des intervenants
- annonce du sujet du jour (pourquoi ce thème, les questions qui peuvent se poser…)
- apport théorique sur le métier (présentation des différentes formations)
- débat entre les participants et les intervenants. Pour la clarté de la séance, il semble important qu’un débat s’instaure
plutôt qu’une suite de monologues (même si l’apport pédagogique est riche) ; en aucun cas il ne s’agit d’une conférence
Mini-Forum :
Les intervenants occupent une place spécifique à une table, les jeunes vont vers l’intervenant de leur choix, ce qui facilite le contact direct et personnel.
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
projet avec la mairie
- Personnes à contacter : Monsieur Pelissier - Espace Jeunes - Point Information Jeunesse
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°12
APREEC
Démarches multi-sectorielles
- Date de création : L’A.P.R.E.E.C. existe depuis 25 ans
- Organisateur principal : APREEC (Assiocation pour le Rapprochement Ecole/Entreprise du Choletais)
- Partenaires :
- Etablissements scolaires
- Entreprises
- CCI du Choletais
- CIO de Cholet
- Objectifs visés :
Favoriser le rapprochement entre l’Ecole et l’Entreprise. La visite d’entreprise est un des moyens que privilégie
l’APREEC pour faciliter les échanges entre ces deux mondes.
La découverte de la vie de l’Entreprise n’est pas un acte banal. Cela demande un investissement en temps et en
hommes pour l’entreprise ; pour la classe de collège ou de lycée, c’est un outil pédagogique précieux.
Les Chefs d’Entreprises et les Professeurs sont unanimes : une visite d’entreprise réussie est une visite qui a été bien
préparée de part et d’autre. C’est la raison pour laquelle un “Guide de la visite réussie” a été élaboré ; c’est un outil
indispensable et complémentaire au catalogue des entreprises adhérentes.
Pour l’entreprise :
Il s’agit de faire connaître :
- l’entreprise
- des métiers ignorés ou méconnus
- des technologies
Ce contact avec des élèves, par les réactions qu’ils suscitent, est un élément de “fraîcheur” dans la vie de l’entreprise.
Une visite ne peut être réussie sans un objectif précis. Les buts sont multiples, sans les hiérarchiser nous pouvons recenser :
Pour l’école :
1 - une prise de contact avec le monde du travail : les élèves manquant de références par rapport à la vie active - en
terme d’orientation notamment, de choix de stages… De nombreux métiers traditionnels ou récents sont méconnus des
élèves.
2 - un outil pédagogique : la visite vient renforcer le programme étudié : visites techniques - aspects qualité, hygiène,
sécurité,… - améliorant la connaissance technologique des élèves.
3 - développer la “culture économique” :
- mieux appréhender le système économique à travers les fonctions de production, de commercialisation
- mieux connaître l’environnement économique local.
- Publics visés : élèves des collèges, lycées, Maison Familiale Rurale, AFPA CHolet, Centre FPA-AFPIC Cholet, CFA.
- Nombre de jeunes concernés : 3 000
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
Fiche n°12 (suite)
- Nombre d’entreprises impliquées : environ 65
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
)
- lycées
) environ 50
- autres établissements : )
- Rythme : permanent
- Durée : selon convention
- Lieux : entreprises
- Organisation : guide méthodologique des visites possibles (voir fiche jointe)
- Préparation :
oui ❒
non ❒
Avec les supports pédagogiques de l’Association Jeunesse et Entreprise (AJE)
- Exploitation : oui, par les enseignants et les entreprises
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
- Modalités d’évaluation :
- Financement : APREEC 50 %
- Autres actions connues :
lesquelles ?
CCI de Cholet :
- stages de 3 semaines d’enseignants en entreprise (professeurs de 4ème et 3ème)
- tableau synoptique de tous les stages possibles pour les élèves
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
Lycée Polyvalent de Chemillé (voir fiche)
- Personnes à contacter :
Fonctionnement assuré conjointement par
- la Chambre de Commerce et d’Industrie du Choletais : Samuel LEBLOND - Catherine CHAUVEAU
Tél. 02 41 49 10 00 - 34, rue Nationale - BP 2116 - 49321 Cholet cedex
- par le Centre d’Information et d’Orientaiton : Yves POINT - Tél. 02 41 46 02 66 - Tour Emraude
4, rue du Val de Loire - 49300 Cholet
- Lycée de Chemillé : Monsieur MALEYRAND - Tél. 02 41 30 61 41
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°13
Les Mercredis des entreprises et des services (Sarthe)
- Date de création : 1994
- Organisateur principal : FORMASARTHE
L’association est présidée par l’Inspecteur d’Académie. Ses vice-présidents : le Président de l’Université du Maine ; le
Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie ; le Président de la Chambre de Métiers ; le Président de la
Chambre d’Agriculture ; le Directeur Diocésain de l’Enseignement Catholique. L’ensemble des Etablissements publics
et diocésains, des C.F.A. et des C.I.O. sont adhérents de l’association.
- Partenaires :
Les collectivités locales : Conseil Régional, Conseil Général, Communauté Urbaine du Mans, Ville du Mans, Ville de
Sablé-sur-Sarthe, Ville de St-Cosme-en-Vairais, Ville de la Flèche. Les entreprises ou unions patronales : Union des
Industries Métallurgiques de la Sarthe (UIMS) ; Union des Entrepreneurs et Artisans du Bâtiment et des Travaux Publics
(UDEABTP) ; Crédit Agricole de la Sarthe ; et chacune des 57 entreprises visitées lors des Mercredis des entreprises
organisés de 1994 à 1999. Les associations : F.I.L.M.S. (Forum d’Information des Lycéens du Mans et de la Sarthe) ;
Clubs Rotary de la Sarthe ; Forum Avenir Sablé-sur-Sarthe.
- Objectifs visés :
- promotion des enseignements professionnels et technologiques
- rapprochement entre éducation et économie
- que l’école apprenne l’entreprise et que l’entreprise apprenne l’école
Depuis une décennie, Formasarthe s’efforce de promouvoir une information ouverte, plurielle, contradictoire, sur les
manières dont l’école s’y prend pour préparer les collégiens, les apprentis, les lycéens, les étudiants à leur entrée dans la
vie sociale et professionnelle.
- Publics visés :
Depuis 1994, plus de 1 200 volontaires -professeurs, chefs de travaux, conseillers d’orientation psychologues, personnels administratifs et de direction de l’Education nationale et de l’enseignement diocésain- ont participé à l’une ou
l’autre des 58 visites que les responsables d’entreprises ou de services leur ont proposées dans le cadre des Mercredis
des entreprises et des services.
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés : 1200
- Nombre d’entreprises impliquées : 58
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
Fiche n°13 (suite)
- Rythme : annuel de janvier à avril
- Durée : 1 journée ou 1/2 journée
- Lieux : dans les entreprises
- Organisation : visites
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
- Modalités d’évaluation :
Le 28 avril 1999, nous proposions aux personnes ayant participé à une ou plusieurs visites des Mercredis des entreprises
et des services en 1998 ou 1999 de remplir et nous retourner le questionnaire d’évaluation suivant, accompagné de ces
propos liminaires : “Depuis 1994, chaque année, l’association Formasarthe propose à tous les personnels de
l’Education nationale, de l’enseignement diocésain et, depuis peu, du réseau public d’insertion des jeunes, quelles que
soient leur fonction et leurs responsabilités, et sur la base du volontariat, un cycle de visites d’entreprises.
En 1999, sixième édition du dispositif, le succès de la formule ne s’est pas démenti. Toutefois, il nous faut encore pro gresser. Votre avis nous intéresse vivement ! Nous en tiendrons compte pour l’édition 2000, septième édition du genre”.
57 personnes ont répondu à notre invitation. La synthèse des questionnaires est présentée ci-après. Elle confirme la spécificité et l’intérêt de notre démarche. Elle invite toutefois à infléchir la formule en conservant néanmoins ce qui en fait
sa singularité agissante, au coeur de la fonction médiatrice de Formasarthe, entre éducation et économie. (voir annexe)
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- calendrier annuel publié depuis 1989
- salon Formasarthe
- guide méthodologique des stages en entreprise
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
Guide des stages
- Personnes à contacter :
Association FORMASARTHE
Inspection Académique
34, rue Chanzy
72071 Le Mans cedex 9
Tél. ou télécopie : 02 43 78 22 98
E-mail : [email protected]
non ❒
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Les Mercredis de l’entreprise (Mayenne)
- Date de création :
- Organisateur principal :
- Partenaires :
- MEDEF
- Chambre de Commerce et d’Industrie
- Inspection Académique
- Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique
- Objectifs visés :
Créer un lieu d’échange entre formation d’aujourd’hui et emploi industriel de demain.
- Publics visés :
- professeurs du second degré
- conseillers d’orientation psychologues
- personnels administratifs et de direction de l’Enseignement public et privé
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés : 120
- Nombre d’entreprises impliquées : 10
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges )
- lycées ) 32
- autres établissements :
- Rythme : 5 mercredis de janvier à mai
- Durée : 1 journée
- Lieux : dans les entreprises
- Organisation : groupe de 12 à 15 personnes :
- présentation de l’entreprise
- exposé technique
- visite de l’entreprise par rapport au thème
- synthèse
Fiche n°14
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
- Modalités d’évaluation : questionnaire
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
Thème de l’année 1999 : de mieux en mieux et de plus en plus vite… La production.
- Personnes à contacter :
Union Patronale Interprofessionnelle de la Mayenne
7, rue de Paradis - BP 2054
53020 Laval cedex 9
Tél. 02 43 53 78 27
Fax 02 43 53 17 22
Fiche n°14 (suite)
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°15
Les journées de l’entreprise
“Education au choix d’orientation”
- Date de création : 1991
- Organisateur principal : UI 44 (ex SIMEECLA)
- Partenaires : Inspection Académique - Etablissements scolaires - CIO
- Objectifs visés : 1999/2000
Depuis 1991, le SIMEECLA avec le concours de l’Inspection Académique a cherché à créer avec les collèges des liens
privilégiés aboutissant à des contrats de partenariat entre des entreprises et des jeunes élèves des classes de 4ème ou de
3ème.
Cette opération, déclinaison locale d’un engagement national pris par notre Fédération, l’UIMM s’est développée avec
la mise en place d’un comité appelé “Comité Jeunes-Industrie” dont l’objectif est de définir les orientations qui peuvent
être mises en oeuvre en commun pour faciliter l’éducation au choix d’orientation des jeunes collégiens.
- Publics visés :
Le Comité “Jeunes-Industrie” qui rassemble les signataires de la Charte Jeunes-Industrie, dont vous trouverez un exemplaire ci-joint, propose la mise en place des visites d’entreprises à l’attention d’une équipe pédagogique constituée d’enseignants menée par le principal ou son ajoint.
Le SIMEECLA se chargerait de trouver les entreprises d’accueil, et se chargerait de l’organisation matérielle pour ces
visites.
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : à la demande
- Durée : 1/2 journée
Journée du 13 janvier 1999 pour la visite de l’établissement de l’AEROSPATIALE de BOUGUENAIS par les collèges
Victor Hugo, La Reinetière, Georges de la Tour, et le Centre d’Information et d’Orientation de Beaulieu. Le départ aura
lieu à 13h30 au SIMEECLA.
Cette visite s’inscrira dans la semaine de l’Enseignement technique. Elle est le prélude à d’autres opérations de ce type
qui permettront de préparer des équipes pédagogiques à la mise en place d’opérations “éducation au choix d’orientation”
dans leurs propres établissements scolaires.
Fiche n°15 (suite)
- Lieux : Entreprise - départ UI 44
- Organisation :
Durée : maximum 3 heures y compris l’accueil et la présentation.
Les dates retenues au titre de l’année 1999 :
- le mercredi 13 janvier : pour un établissement public
- le mercredi 3 mars : pour un établissement privé
- le mercredi 24 mars : pour un établissement public et un établissement privé
- le mercredi 7 avril : pour un établissement public et un établissement privé
Nous sollicitons prréalablement à la visite, une documentation sur l’entreprise qui sera remise à chaque participant.
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
- Modalités d’évaluation :
- Financement : UI 44
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
- Personnes à contacter :
Mr Rémi GUINOT
UI 44
12, rue Gaëtan Rondeau
Adresse postale : BP 86227 - 44262 Nantes cedex 2
Tél. 02 51 72 92 60
non ❒
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°16
Rencontres avec l’entreprise
- Date de création : 1998
- Organisateur principal : Union Patronale de Loire-Atlantique (UPLA)
- Partenaires :
- Objectifs visés : 1999/2000
- appréhender globalement l’Entreprise à travers des grilles de lecture et des repères
- dentifier les compétences attendues et les prospectives en matière d’emploi
- mettre en relation les souhaits des élèves, l’offre de formation et les besoins des entreprises
- développer des partenariats Ecole/Entreprise
- Publics visés :
- professeurs principaux des classes de troisième et quatrième
- conseillers d’orientation psychologues
Deux sessions au choix de 15 personnes chacune.
Organisation :
- deux journées de formation sur la connaissance de l’entreprise et la préparation du stage
- six journées d’immersion en entreprise
- une journée d’exploitation des expériences
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : annuel
- Durée : 3 jours de formation + 6 jours de stage
Périodes et dates :
- 1ère session : trois jours de formation les 19 et 20 octobre et le 8 décembre 1999 + six jours de stage en
octobre/novembre
- 2ème session : trois jours de formation les 8 et 9 mars et le 17 mai 2000 + six jours de stage de mars à mi-mai.
Fiche n°16 (suite)
- Lieux :
MEDEF Loire-Atlantique - 37 bis, quai de Versaille - BP 81506 - 44015 Nantes cedex 1
- Organisation :
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
Bilan de la première opération “Rencontre avec l’entreprise”
Madame BOQUENET a remercié “ceux qui ont cru ou croiront à cette expérience qui n’est pas un mélange des genres,
mais un investissement de part et d’autre pour la compréhension, le dialogue et la connaissance mutuelle. Le but est de
donner au système éducatif les moyens de son rôle pour faire évoluer le Pays”. Son souhait est que les participants à ce
bilan interpellent les chefs d’entreprise pour continuer l’expérience en étant le plus efficace possible.
Des propos des 2 stagiaires désignés comme rapporteur des travaux d’évaluation réalisés au cours de la journée et des
échanges qui ont suivi leur rapport, on peut retenir, sans classement, ni commentaire, les éléments suivants :
- la qualité de l’accueil dans les entreprises et la compétence des interlocuteurs
- l’organisation du temps en entreprise, même si un peu “verrouillé”
- les emplois du temps très riches
- un stage d’une bonne durée pour l’intégration (une semaine)
- le contexte Education Nationale (IA 44) favorable et facilitateur
- la souplesse appréciée dans la négociation du calendrier
- la transparence des informations données (sauf, parfois, sur les salaires)
- les entreprises auraient souhaiter recevoir un CV et une lettre de motivation de leur(s) stagiaire(s)
- le peu de contact avec la base, les opérateurs ; rencontres avec le niveau cadre
- l’intérêt d’une expérience de travail “bloqué” sur 39 heures
- découvrir les nuances sur la notion de métier dans l’entreprise
- la grande importance de la formation continue en entreprise du travail d’équipe, de la circulation de l’information
- le soin apporté par l’entreprise à son image (bâtiment, accueil, communication…)
- les personnels fiers de leur entreprise, de leur travail (appartenance forte)
- la “pression” et le “stress” ressentis, dus aux exigences de la clientèle
- la recherche permanente de la qualité
- les doutes exprimés sur l’efficacité du “stage en entreprise” pour les collégiens (et le contraire…)
- la nécessité de faire venir l’entreprise à l’école
- la nécessité d’une restitution de l’expérience auprès des collègues et des collèges
- la mise en place de partenariats à poursuivre
- le fait que la métallurgie embauche actuellement 50 % des personnels au niveau V
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Personnes à contacter :
Mr Stéphane LEPRON - MEDEF Pays de la Loire
37 bis, quai de Versailles - BP 81506 - 44015 Nantes cedex 1 - Tél. 02 51 82 00 62
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°17
Les mercredis de l’apprentissage à partir du Serveur 3614 Métiers 44
- Date de création :
- Organisateur principal : Chambre des Métiers de Loire-Atlantique
- Partenaires : ANPE
- Objectifs visés :
- affinement du projet professionnel
- connaissance du marché du travail
- aide à la technique de recherche d’emploi en apprentissage
- Publics visés :
- entreprises cherchant des apprentis
- jeunes en recherche d’apprentissage
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme :
- Durée :
- Lieux :
- Organisation :
- réunions co-animées avec l’ANPE à partir d’un serveur minitel 3614 Métiers 44
- dépôt des offres auprès de l’ANPE
- consultation 3614 Métiers 44
choix 2 : candidatures apprentissage
choix 1 : jeunes
- convocation automatique aux réunions des “Mercredis de l’apprentissage”
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
- Personnes à contacter :
Mr Melanson
Chambre des Métiers de Loire-Atlantique
7, rue de Bréa - BP 14618
44046 Nantes cedex 1
Tél. 02 40 44 65 65
Fax 02 40 44 65 74
non ❒
Fiche n°17 (suite)
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°18
Actions permanentes et campagnes de l’AJE
Jeunesse et Entreprises
- Date de création : 1986
- Organisateur principal : Association Jeunesse et Entreprises (reconnue d’utilité publique)
- Partenaires : organisations patronales ou consulaires et collectivités intéressées.
- Objectifs visés : généraliser et améliorer l’apport des entreprises à la formation et à l’insertion des jeunes.
- Publics visés : collégiens particulièrement 4èmes. Organisation : visites d’entreprises.
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme :
- Durée :
- Lieux :
- Organisation :
Actions permanentes :
- réaliser des enquêtes annuelles et sondages
- diffuser des documents sur les actions exemplaires d’entreprises novatrices
- informer les entreprises sur les mesures d’aide à l’emploi des jeunes
- proposer des méthodes pour accueillir des jeunes en formation et préparer leur embauche
- favoriser les opérations de rapprochement entre école et entreprise
- organiser des séminaires et colloques sur les thèmes relatifs à l’emploi et à la formation des jeunes
- implanter des clubs Jeunesse et Entreprises et des relais sur tout le territoire
Fiche n°18 (suite)
Campagnes :
A partir de suggestions des entreprises, Jeunesse et ENtreprises propose aux Pouvoirs Publics
des actions pour :
- développer l’information des jeunes sur les métiers
- définir un statut de stagiaire
- favoriser le premier emploi
- susciter l’organisation systématique du tutorat des jeunes
Edition :
- livres, dossiers, dépliants
Colloques et séminaires :
Chaque colloque annuel, auquel participent de nombreuses personnalités du monde industriel, est présidé par le Ministre
de l’Emploi ou le Ministre de l’Education Nationale. Jeunesse et Entreprises apporte en outre son concours à d’importantes manifestations nationales ou régionales.
Campagnes nationales
Télévision éducative :
Jeunesse et Entreprises a suscité la création de l’Association E.T.E.F. (Entreprise Télévision Education Formation) pour
contribuer à l’essor d’émissions éducatives et favoriser l’information des jeunes sur les métiers, les formations et l’entreprise.
Clubs régionaux “Jeunesse et Entreprises” :
Jeunesse et Entreprises compte plus de quarante clubs J.E., associations affiliées ou relais initiant des actions locales
avec l’appui des principales organisations patronales ou consulaires et des collectivités intéressées. Les opérations ainsi
développées sont très variées :
- information des jeunes et des enseignants sur les métiers et la vie d’entreprise
- création de tandems “classe/entreprise”
- organisation de stages de découverte de l’entreprise
- formation d’enseignants, de formateurs et de professionnels des services d’accueil, d’information ou d’orientation
- présentation aux entreprises des nouveaux diplômes de l’enseignement technique
- développement des formations en alternance
- réalisation de colloques ou de manifestations facilitant le rapprochement entre jeunes et entreprises
- organisation d’opérations marketing de l’emploi des jeunes
Les adresses des clubs ou relais J.E. peuvent être obtenues au secrétariat de l’Association.
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Personnes à contacter :
Mr Gallocher - Association Jeunesse Entreprises Vendée
Résidence “Le Victoria” - 78, bd d’Angleterre - BP 373 - 85009 La Roche-sur-Yon cedex - Tél. 02 51 05 53 93
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°19
Appui personnalisé à la définition du projet de formation
- Date de création : 1999
- Organisateur principal : AFPA
- Partenaires : CFPA
- Objectifs visés :
- créer des “boucles d’information” pour élargir un projet professionnel trop flou ou peu réaliste
- faire changer les “représentations professionnelles” en particulier de certains publics féminins
- faire découvrir de nouveaux métiers dans des secteurs en pénurie de main d’oeuvre (et de formation)
- Publics visés : jeunes et adultes
- Nombre de jeunes concernés : environ 10 000/an
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées : 8 services d’orientation AFPA
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements : 8 CFPA
- Rythme : sur l’année à raison d’environ 40 personnes par mois par psychologue (40 psychologues)
- Durée : 1/2 journée à une journée
- Lieux : les CFPA concernés
- Organisation :
- visite de découverte de certains métiers par contact avec des sites de formation qui sont en pénurie de recrutement correspondant à des secteurs en pénurie d’emplois
- l’AFPA adresse vers les CFPA correspondants
- contrat avec les CFPA pour l’organisation pédagogique de la visite des ateliers de formation
- Préparation :
oui ❒
non ❒
- prestation technique d’entretien psychologique d’écoute et d’analyse initiale de la demande
- analyse des motivations personnelles et professionnelles
- Exploitation :
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
- Modalités d’évaluation : n’a pas encore fonctionné
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- bilan d’évaluation conseil du projet de formation
- bilan d’orientation ou bilan d’élaboration à un projet de formation
- Tendances :
- Innovations :
nouvelle prestation
- Personnes à contacter : les CFPA
oui ❒
non ❒
Fiche n°19 (suite)
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°20
Mission Générale d’Insertion
- Pour les Pays de la Loire 39 coordinateurs (sur des postes équivalents à 37 temps plein) participent à la mise
en oeuvre de plusieurs types d’action parmi lesquelles on citera : des CIPPA (cycles d’insertion professionnelle par alternance) pour s’ajuster aux secteurs porteurs d’emplois. Mais il s’agit de publics parfois illétrés, ou de SEGPA ou 2nde professionnelle.
- Les questions qui se posent sont parmi d’autres celles ayant trait :
- à l’âge (16 ans) qui rend difficile autant les stages en entreprise que le recrutement, même sur des postes
sans qualification requise (cf. Fleury-Michon),
- à l’information (les établissements assurent le suivi), les fiches métiers CIDJ sont simplifiées,
- aux stages, avec cinq stages par an.
- Chaque stage est réorienté en fonction du stage précédent et des compétences du jeune.
- Pour savoir dans quels secteurs on trouverait de l’emploi, les enquêtes se font auprès de l’ANPE et des sociétés de travail intérimaire.
- Il faut concevoir des actions volontaristes (ex : les plâtriers en Vendée). 1er temps : réalisation d’une vidéo
sur les métiers du plâtre (coordinateur CIPPA). 2ème temps : 1 journée au CFA avec un travail à exécuter. 3ème temps :
un stage chez un plâtrier. En fin d’opération 6 ont signé un contrat d’apprentissage.
- La question de la transférabilité vers d’autres secteurs ne peut être automatique et l’on retrouve à ce niveau
toutes les questions préalablement soulevées.
Des essais infructueux ont été tentés avec les métiers de la bouche car les conditions d’implication sont difficiles, on n’arrive pas à mettre un planning sur pied, on doit prendre en compte les rejets pa rapport au sang, à la boucherie. Il faudrait travailler avec le coordinateur CIPPA sur ses propres représentations, les mêmes freins existent par
exemple pour les métiers de vendeur en poissonnerie.
Pour aider à la résolution de ces difficultés on citera des projets.
- Réalisation vidéo sur les secteurs porteurs pour les élèves de 3ème.
- Un séminaire pour l’information des coordinateurs (OREF) et de nécessaires prolongements de l’information vers les parents.
- Des projets de formation intégrée en 3 ans sur des secteurs porteurs d’emploi : 1ère année sous statut scolaire comme un CIPPA mais sur un seul métier. 2ème année comme en apprentissage avec le même référent que la 1ère
année sur un secteur porteur et un vivier d’entreprises prêtes à se lancer dans l’action (ex : horticulture, hôtellerie, hébergement, restauration, maintenance hygiène des locaux, commerce et grandes surfaces, mais pour les parents MLH est égal
“à faire le ménage chez les autres”.
- Un travail d’information est nécessaire auprès des parents : à l’inscription, par entretien dans l’établissement, par “groupes de parole” animés par la coordination CIPPA et l’assistante sociale.
Si l’on tente d’appliquer cette démarche aux Industries agro-alimentaires on comprend les obstacles (âge
etc…). Par exemple chez Fleury-Micheon accepteraient ils des stagiaires en stage de découverte, ou des agents techniques
d’alimentation sur ces profils ? Le même problème se pose pour les industries métallurgiques pour les mêmes raisons augmentées des niveaux de pré-requis.
- D’autres questions similaires se posent par rapport au MOREA (module de repréparation à l’examen par
alternance) avec très peu de candidats vers la métallurgie car su Saint-Nazaire, l’emploi existe et il n’est pas utile de préparer l’examen. Il serait intéressant d’imaginer des 2nde professionnelles avec un temps de polyvalence.
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°21
Campagne Ouest-France
L’inventaire des métiers qui recrutent
- Date de création : 13-14 novembre 1999
- Organisateur principal : Ouest-France
- Partenaires :
- Objectifs visés :
- médiatiser la question persistante des pénuries de main d’oeuvre dans certains secteurs en valorisant les métiers déficitaires
- valoriser la rubrique “Spécial Avenir” du samedi
- Publics visés : grand public
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme :
- Durée :
- Lieux :
- Organisation :
- la “Une” d’Ouest-France et une pleine page
- édition d’un hors série Ouest-France Spécial Avenir - 164 métiers qui recrutent - en vente chez les marchands de journaux, 194 pages, 35 F, à partir du 18 novembre 1999
- Préparation :
- Exploitation :
oui ❒
non ❒
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
à préciser
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
hors-série
- Personnes à contacter :
Joël Crusson
Ouest-France
oui ❒
non ❒
Fiche n°21 (suite)
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Fiche n°22
Premier Forum des Métiers porteurs du Pays de Retz Atlantique
(bâtiment et travail des métaux)
- Date de création : 1999
- Organisateur principal : Syndicat du Pays de Retz Atlantique
- Partenaires :
- Conseil Régional
- Conseil Général
- Groupe de travail Animation économique et sociale
- Objectifs visés :
- faire découvrir les emplois disponibles et des secteurs professionnels méconnus
- revaloriser l’image du travail manuel
- créer des synergies
- Publics visés : 15/25 ans
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme : sans doute annuel
- Durée : 1 jour - samedi 9 octobre 1999
- Lieux : Complexe sportif de la Viauderie à Saint-Michel-Chef-Chef
Fiche n°22 (suite)
- Organisation :
Ce forum a été le fruit de la réflexion du groupe de travail “Animation Economique et sociale” du Contrat Régional de
Développement et a donc été conduit en partenariat avec les acteurs du territoire, c’est-à-dire établissements scolaires,
entreprises, clubs d’entreprises, organismes de formation, organisations professionnelles et élus locaux.
Pour mieux connaître les cursus professionnels, le syndicat avait fait appel non seulement à des artisans et à des entreprises mais également aux clubs d’entreprises, aux lycées et organismes de formation, aux organisations professionnelles. Deux débats, l’un sur le bâtiment, l’autre sur le travail des métaux, ont réuni une soixantaine de participants.
L’Education Nationale était également partie prenante, car elle doit, avec les parents, revaloriser l’image du travail
manuel.
- Préparation :
oui ❒
non ❒
“Au fil des années, les pré-visites se sont réellement mises en place. Dans le cas de notre entreprise, nous avons ainsi
préparé une documentation spécifique élèves-collèges avec par exemple une fiche métier”.
“A continuer dans l’intérêt des enfants”.
- Exploitation :
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
à préciser
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
L’expérience sera renouvelée l’an prochain.
- Innovations :
oui ❒
Forum ciblé sur des métiers offrant des débouchés.
- Personnes à contacter :
Mr Dechouppes
Syndicat du Pays de Retz Atlantique
Place du Marché - BP 4
44320 Saint-Père-en-Retz
Tél. 02 40 21 80 40
Fax 02 40 21 84 08
e-mail : [email protected]
non ❒
Fiche descriptive d’action
d’information ou d’orientation
Premier forum des métiers agro-alimentaires
- Date de création : 1999
- Organisateur principal : ADEC (Agence pour le Développement Economique du Choletais)
- Partenaires :
- Mairie de Cholet
- CCI du choletais
- Comité d’expansion économique du Maine-et-Loire
- Conseil régional
- DDTEFP du Maine-et-Loire
- AGEFAFORIA
- ANPE Maine-et-Loire
- Jeanne Delanoue-Les 3 Provinces
- Objectifs visés :
- faire découvrir les emplois disponibles et un secteur qui se développe dans le choletais
- faire rencontrer des entreprises qui recrutent
- Publics visés : 15/25 ans et parents
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme :
- Durée : 2 jours - 14 et 15 janvier 2000
- Lieux : salle des expositions - Hôtel de Ville de Cholet
- Organisation :
Fiche n°23
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
à suivre
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
Forum ciblé agro-alimentaire
- Personnes à contacter :
M. Boucard
ADEC
Parc Perroteau - 46, avenue Gambetta - BP 1202
49312 Cholet cedex
Tél. 02 41 71 67 10
Fax 02 41 71 67 15
E-mail : [email protected]
Internet : www.adec-cholet.com
non ❒
Fiche n°23 (suite)
Fiche descriptive d’action
de formation
Fiche n°24
Aide en rayon “produits frais”
- Date de création : 15/02/99
- Organisateur principal : Institut Rural des Maisons Familiales Rurales
- Partenaires :
Les Enseignes Commerciales Nord-Est Vendée : Système U, Centre Leclerc, Intermarché, Casino…
L’ANPE - 5, rue Château Gaillard - 85500 Les Herbiers - Mr Garcia Xavier - Tél. 02 51 66 80 90
Mission Locale - 85500 Les Herbiers - Mme Lescaret Corinne - Tél. 02 51 66 81 15
La Maison Familiale de Bellevue - BP 37 - 85700 Pouzauges - Mr Guerineau André - Tél. 02 51 57 02 52
- Objectifs visés : L’aide en Rayon “Produits Frais” est celui qui est l’auxiliaire et le collaborateur du chef de rayon
en produits frais.
- Identifier et contrôler les matières 1ères
- Préparer et conditionner les produits frais
- Disposer et approvisionner les rayons en produits frais
- Respecter la démarche qualité mise en place : HACCP, ISO 9002,…
- Tenir un tableau de bord avec les indicateurs de gestion des stocks
- Accueillir et servir les clients
Contenu : une formation modulaire, organisée de façon collective avec la théorie en centre de formation et la pratique en
milieu professionnel (GMS) :
- mathématiques appliquées
- communication et TRE
- technologie et qualité des produits frais
- vente action marchande
- compte rendu et logistique de stage
- outillage, installations, hygiène, sécurité
1 - connaissance des produits frais : crèmerie, formage
2 - fruits et légumes
3 - produits de la mer et poissonnerie
4 - boucherie - charcuterie traiteur
- Publics visés : principalement des jeunes filles n’ayant jamais eu d’expérience professionnelle en vente ou commerce. Jeunes filles ayant besoin d’une formation pour accéder à l’emploi comme aide en rayon produits frais.
Pré-requis : personnes nécessitant une adaptation et ou une réactivation des savoirs et des capacités d’aide en rayon produits frais. Niveau scolaire : V ou Vbis - aptitudes : personnes aptes à acquérir la qualification professionnelle d’aide en
rayon produits frais.
- Nombre de jeunes concernés : 14 (7 PAPIL + 7 SIFE) - conventionné Région : 7 - rémunéré : 7 - par groupe
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
Fiche n°24 (suite)
- Rythme :
- Durée : 640 h (en centre : 343 h (9 sem.) - en entreprise : 296 h (8 sem.)
Hebdomadaire : en centre : 39 h - en entreprise : 39 h - temps plein
- Lieux : Institut Rural des Maisons Familiales Rurales - BP 329 - 14, rue de la Chesnaie - 85503 Les Herbiers cedex
- Organisation :
- Une équipe pédagogique de 8 formateurs permanents ayant déjà une expérience en formation continue : SIFE,…
- Des salles d’enseignements et des locaux pédagogiques disponibles et spécifiques pour la formation professionnelle
continue
- Des équipements et des matériels pédagogiques récents et adaptés : CDI, Labo de langue, Salle informatique,
Laboratoire de sciences, Matériels vidéo et de rétroprojection,…
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
Portefeuille de capacités et attestation de fin de formation.
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Personnes à contacter :
Dominique Godard
MFR - BP 329 - 14, rue de la Chesnaie - 85503 Les Herbiers cedex - Tél. 02 51 91 09 72
Fiche descriptive d’action
de formation
Fiche n°25
CAP Préparateur en produits carnés : boucher
- Date de création : 13/10/95
- Organisateur principal : Chambre de Métiers de la Vendée
- Partenaires :
- Objectifs visés :
- Mobiliser les DE pour la profession de boucher
- Donner les compétences professionnelles et techniques pour l’accès à l’emploi
- Obtenir le CAP “Boucher”
Contenu : technologie, pratique, sciences, français, maths, VSP, économie d’entreprise, stage.
- Publics visés : demandeurs d’emploi, moins de 26 ans, Rmistes.
Pré-requis : être motivé - niveau scolaire : CAP - aptitudes : physiques + permis B - expérience professionnelle : dans
l’agro-alimentaire voire dans la viande.
- Nombre de jeunes concernés : 15 - conventionné Région : 5 - rémunéré : 15
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme :
- Durée : 1 189 h (en centre : 728 - en entreprise : 461) - temps plein.
- Lieux :
- Organisation :
- formation en alternance entreprise/centre
- enseignants expérimentés et mobilisés sur le projet
- laboratoires récents aux normes européennes
- suivi important en entreprise
Mode d’entrée : par groupe.
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
Obtention du CAP ; taux d’insertion
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Personnes à contacter :
Philippe Chauvet
Chambre de Métiers de la Vendée
24, Rond-point du Côteau - 85000 La Roche-sur-Yon - Tél. 02 51 36 53 09
Fiche n°25 (suite)
Fiche descriptive d’action
de formation
Fiche n°26
Découverte du métier d’opérateur en industries agro-alimentaires/
découpe de viandes de volailles
- Date de création : 08/03/99
- Organisateur principal : MFR du Pays des Olonnes
- Partenaires :
- Objectifs visés :
- Accès à l’emploi
- Orientation vers un parcours qualifiant
- Découverte des métiers de la découpe et de la transformation de la viande de volailles
Contenu : stage de 8 semaines en entreprise, modules généraux, modules professionnels (théorie, pratique).
- Publics visés :
- jeunes 16-26 ans
- adultes plus de 26 ans sans emploi
- demandeurs d’emploi longue durée
- avec ou sans qualification (niveau VI, V, et V bis)
Pré-requis : niveau scolaire : niveau 3ème - aptitudes : rigueur, motivation pour le métier - expérience professionnelle :
aptitudes physiques liées aux conditions de travail en agro-alimentaire.
- Nombre de jeunes concernés : 15 - conventionné Région : 5 - rémunéré : 5
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme :
- Durée : 522 h (en centre : 210 h - en entreprise : 312 h). Hebdomadaire centre : 37h30 - entreprise : 39 h - temps plein
- Lieux : Espace Diderot - 85300 Challans - Intitulé de la ZEP : Vendée Ouest 85
Fiche n°26 (suite)
- Organisation : par groupe
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
Attestation de suivi - portefeuille de compétences.
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Personnes à contacter :
Monsieur Pascreau Rémi - Directeur de la MFR
110, rue du Docteur Schweitzer - 85180 Le Chateau d’Olonne - Tél. 02 51 23 67 80 - Fax 02 51 23 67 81
Fiche descriptive d’action
de formation
Fiche n°27
Action préparatoire aux métiers de l’agro-alimentaire
- Date de création : 01/03/99
- Organisateur principal : Maison Familiale Rurale “Bellevue”
- Partenaires :
- Objectifs visés :
Permettre aux stagiaires de découvrir les métiers de l’agro-alimentaire afin de trouver un emploi d’opérateur ou de poursuivre en formation qualifiante (CAP IAA).
Contenu :
- apport de connaissances techniques (hygiène, process, etc) en lien avec la découverte du métier dans l’entreprise
- apport de techniques de communication
- Publics visés : hommes et femmes de moins de 26 ans sans qualification et en recherche d’insertion professionnelle.
Pré-requis : niveau scolaire V - VI - VI B.
- Nombre de jeunes concernés : 16 - conventionné Région : 8 - rémunéré : 8
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme :
- Durée : 491 h (centre : 265 h - entreprise : 226 h) - temps plein.
- Lieux : MFR - 44, chemin des Puys - 85702 Pouzauges cedex
- Organisation : entrées et sorties permanentes. Salle de cours équipée d’une télévision, d’un rétroprojecteur, d’ordinateurs. Les formateurs spécialisés en agro-alimentaire font référence au milieu professionnel et communiquent avec le
tuteur par un carnet d’alternance et par des rencontres.
- Préparation :
oui ❒
non ❒
Fiche n°27 (suite)
- Exploitation :
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
- Modalités d’évaluation :
Attestation de suivi signée par l’entreprise et par la Maison Familiale.
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Personnes à contacter :
André Guerineau
MFR - 44, chemin des Puys - 85702 Pouzauges cedex - Tél. 02 51 57 02 52
Fiche descriptive d’action
de formation
Fiche n°28
Immersion en entreprise
- Date de création : mi-octobre 98
- Organisateur principal : DECLIC Formation
- Partenaires :
- Objectifs visés :
- Intégration dans l’entreprise
- Adaptation au poste de travail
- Acquisition de savoir-faire et de savoir-être
- Développement de la polyvalence
Contenu : environnement économique et professionnel, organisation personnelle, développement des compétences
sociales, acquisition de savoir-faire et de savoir-être.
- Publics visés : jeunes de moins de 26 ans niveau V
Pré-requis : motivation face à l’emploi et au secteur d’activité, acceptation des contraintes liées à l’emploi, adaptabilité,
mobilité.
- Nombre de jeunes concernés : 15 conventionné Région - 15 rémunéré
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme :
- Durée : 676 h (en centre : 225 h - en entreprise : 451 h) - temps plein en alternance
- Lieux : Entreprise CHARAL - La Chateaigneraie
- Organisation :
- Alternance avec formation en centre sur le site
- Accompagnement des jeunes et des tuteurs
Modes d’entrée : fixes.
- Préparation :
oui ❒
non ❒
oui ❒
non ❒
- Exploitation :
- Evaluation :
- Modalités d’évaluation :
- Financement :
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
- Personnes à contacter :
Monsieur Eric Roignant
DECLIC Formation
ZA du Plessis - Rue Maurice Ravel - 17000 La Rochelle
non ❒
Fiche n°28 (suite)
Fiche descriptive d’action
de formation
Fiche n°29
Insertion dans les entreprises du travail industriel des viandes
- Date de création :
- Organisateur principal : CFPPA de Laval
- Partenaires : la DDTEFP, l’ANPE, la Mission Locale
- Objectifs visés :
- faire découvrir les métiers du travail industriel des viandes et permettre aux bénéficiaires de cette action de s’insérer
professionnellement dans ce domaine
- la découverte de ces métiers
- la connaissance d’un poste de travail et son appropriation
- l’accès à un contrat de travail dans l’entreprise d’accueil
- Publics visés : 5 jeunes (moins de 26 ans) et 7 adultes intéressés par la découverte de la filière agro-alimentaire et
plus spécifiquement celle de la viande.
- Nombre de jeunes concernés :
- Nombre d’enseignants mobilisés concernés :
- Nombre d’entreprises impliquées :
- Nombre d’établissements scolaires et de formateurs participants :
- collèges
- lycées
- autres établissements :
- Rythme :
- Durée : 546 heures, 234 en centre, 312 en entreprise (en trois périodes : 1,5 et 2 semaines)
- Lieux :
- Organisation :
- Préparation :
- Exploitation :
oui ❒
non ❒
Fiche n°29 (suite)
- Evaluation :
oui ❒
non ❒
Cette action sera évaluée au regard des résultats attendus auxquels il faut ajouter le degré de satisfaction des stagiaires et
des entreprises.
- Modalités d’évaluation :
- Financement : l’action d’un montant de 141 960 F (hors rémunérations) a été confinancée par l’Etat (82 810 F) et la
Région (59 150 F).
- Autres actions connues :
lesquelles ?
- Tendances :
- Innovations :
oui ❒
non ❒
- Personnes à contacter :
CFPPA de Laval
- Observations :
Il n’a pas été possible de trouver cinq jeunes intéressés par l’action, trois seulement ont intégré l’action. Cette situation
montre combien ces métiers ont une image dégradée au niveau des jeunes.
Un tour de table réunissant les entreprises et les institutions a été récemment organisé par la Communauté de Communes
du Pays de Laval, il a abouti à un projet de communication sur ces métiers.
Un travail important est également à effectuer avec les entreprises concernant :
- la pénibilité des postes au travers de la répétitivité des gestes et des problèmes de santé (tendinite) que cela engendre
- l’accès des femmes à ces postes
- les rémunérations et les “facilités” de vie : transport, garderie, restaurant d’entreprise, etc…
Tableau des actions d’information/orientation repérées
Loire-Atlantique
Maine-et-Loir e
Mayenne
Sarthe
Vendée
CIMM
VIMS
UIMV
fi Dispositifs nationaux déclinés en région
pour les élèves de 4e et/ou 3e
fi
Jeunes-industrie
UI 44
Bravo les artisans
Chambre des métiers
GIMAR
Dispositifs départementaux ou locaux pour
les élèves de 4e et/ou 3e
COMMET
fi
Projet interconsulaire
ENTREPAJE
District du Pays d’Ancenis
EUREKA
Syndicat mixte du
vignoble nantais
Dispositifs départementaux ou locaux pour
les lycéens
Rallye des jeunes
Graine de créateurs
MEDEF
J’apprends, j’entreprends
Du lycée à l’entreprise
Lycée de Chemillé
Dispositifs départementaux ou locaux
multi-publics
fi
Programme d’actions à long terme
NET BPAV Reporter
Les rencontres du PIJ de Cholet
Comité de bassin d’emploi
de Chateaubriant
BPAV
BPAV
Point d’Information
Jeunesse
Démarches multisectorielles
APREEC
fi Dispositifs départementaux ou locaux pour
l’apprentissage
Le serveur 3614 métiers
Chambre des Métiers
Les Mercredis de l’apprentissage
Dispositifs nationaux déclinés en région
pour les enseignants de 2nd degré, les
conseillers d’orientation psychologues, les
personnels administratifs et de direction
de l’Education Nationale et de l’Enseignement
privé
fi
Les Mercredis des entreprises
MEDEF
CCI
IA+DDEC
Les Journées de l’entreprise
UI 44
Connaissance de l’industrie et orientation des jeunes
UI 44
Rencontres avec l’entreprise
MEDEF
fi
Formasarthe
Autres actions
Actions permanentes et campagnes de l’Association
Jeunesse Entreprise
Appui personnalisé à la définition du projet de
formation S2
Bilan d’évaluation conseil
Bilan d’orientation
AJE - MEDEF
AFPA
AFPA
AFPA
Prestations
ANPE
APEC
APECITA
Bilans de compétences
CIBC
Consultations
CIO
Loire-Atlantique
fi
Maine-et-Loir e
Mayenne
Sarthe
Vendée
Autres actions (suite)
Actions d’initiative locale (PAPIL)
X
Convention Renault/Inspection Académique
X
X
Prestations
Missions Locales
PAIO
Prestations
DDTEFP
Prestations
Réseau MFR
Prestations
Fongecif
OPCA
Prestations
GRETA
DAFPIC
Prestations
MGI
Secteur associatif
Secteur privé marchand
fi
FORUMS et SALONS
FORMATHÈQUE
X
FORMASARTHE
ORIENTHÈQUE
X
X
FORUM FORMATIONS/PROFESSIONS
Métiers porteurs du Pays de Retz
X
X
1er Forum des industries agro-alimentaires
Forum pour l’Emploi en Pays d’Ancenis
X
X
Forum des métiers à la rencontre des passionnés
X
Emploi’Yon
X
Carrefour des formations et métiers
X
Forums et salons ponctuels de sensibilisation
fi Média : Campagne Ouest-France
“Les métiers qui recrutent”
X
X
X
X
X
Positionnement de la CORIMEEC
L’impulsion générale est donnée par l’Union des Industries Métallurgiques et Minières (VI).
La CORIMEEC renvoie pour le détail des actions et les spécificités locales vers les organisations
départementales.
La référence commune est le Contrat d’Etudes Prospectives dans lequel il est spécifié
1°) que les actions de communicatiion autour des métiers ne peuvent être opérantes si elles ne s’appuient pas sur une valorisation effective des métiers,
2°) que pour attirer des candidats d’un meilleur niveau de formation de base il faut valoriser les perspectives professionnelles offertes par ces métiers.
Questions : Où se pense la politique d’information sur les métiers et les formations ?
Comment se met-elle en oeuvre ?
Objectifs par rapport à ces questions
w Développer une politique liée à une meilleure information sur les métiers.
w Développer une politique de communication avec les média.
w Changer l’image des métiers pour attirer les jeunes.
Les types d’actions mis en oeuvre
1°) Actions de découverte du monde industriel, de l’entreprise et des métiers (voir les fiches descriptives).
2°) Actions d’information/édition
- séries vidéo
- collection Bravo l’industrie : débuter dans l’industrie (VI/l’étudiant)
- le passeport du collégien
Question : qui assure la pédagogie de l’information ? l’accompagnement pour la découverte et l’assimilation des informations ?
Réponse : n’est-ce pas le travail des Conseillers d’Orientation et des enseignants ?
3°) Actions de formation
L’Association pour la formation du personnel (AFP) forme 400 jeunes avec un financement uniquement professionnel.
L’AFP organise des journées de présentation des métiers auprès des Conseillers de l’ANPE…
w Réponse à des sollicitations
- Journées “portes ouvertes” le samedi
- Animation d’espaces professionnels dans les salons/forums…
Positionnement actuel
w Difficulté d’évaluer l’impact du dispositif Jeunes-Industries. Quel est le “retour sur investissement”
pour les secteur ?
w Les forums ont un effet de massification de l’information intéressante.
w Rapprochement en cours de préparation avec l’IUFM de Nantes pour la formation initiale des enseignants.
w Nécessité de mieux sensibiliser les parents.
w Où se fait l’orientation structurelle et continue pour l’orientation des jeunes ? Manque de lisibilité des
réseaux et des dispositifs.
w Risque de dispersion si on se mobilise sur plusieurs axes puisque la DDTEFP travaille sur un plan
d’action local 2000 (Zone de Nantes) pour améliorer l’adéquation de la demande d’emploi aux métiers porteurs.
INSTRUMENT D’OPTIMISATION PAR ACTION : 1 fiche par action
Acteurs
Acteur principal
Action
Intitulé
Moyens à mettre en oeuvre Besoins complémentaires
Acteur principal (piolote)
- Temps/personnes
Publics visés
1 2
3
4
Outils utilisés*
5
6
7
8
9
10
Outils à produire Secteur
professionnel
Temps/personne
Matériel
- Autres acteurs
Objectifs
1
Formation
- Matériel
Expert
2
- Formation
Autres acteurs
Production d’outils
- Expert
3
Subventions
- Production d’outils
4
Autres
5
Partenaires
Contenus
Autres partenaires
- Temps/personnes
- Matériel
Déroulement
- Formation
- Exeprt
Modalités d’optimisation
prévues
Axe 1
- Productions d’outils
- Autres
Axe 2
Axe 3
Axe 4
Axe 5
Modalités d’évaluation
* Voir la liste d’objectifs, le cas échéant, la compléter
* voir la liste des publics visés, le cas échéant, la compléter
Métier
concerné
5 AXES POUR OPTIMISER LES ACTIONS
Les acteurs
L’action
Les moyens à mettre en
oeuvre
Les besoins complémentaires
- par l’acteur principal
- temps/personne
- par les partenaires
- matériel
Axe 1
Arranger
Corriger
Rectifier
Refaire
Remanier
Axe 2
Améliorer
Perfectionner
Elargir
Renforcer
Axe 3
Changer
Moderniser
Rajeunir
Renouveler
Réorganiser
Axe 4
Choisir
Epurer
Trier
Axe 5
Innover
- subvention
SYNTHÈSE DES FICHES D’ACTION 1998-2000
Rappel des principaux objectifs visés
1 - Sensibiliser, faire découvrir, mieux informer sur les métiers porteurs
2 - Faire évoluer l’image de certains secteurs et métiers
3 - Travailler sur les représentations
4 - Aider les enseignants et personnels compétents à développer des stratégies pédagogiques
5 - Outiller les familles
6 - Aider à s’orienter : construire son projet par étapes
7 - Identifier les compétences attendues et les perspectives en matière d’emploi
8 - Généraliser une culture industrielle
9 - A long terme, équilibrer les offres et demandes d’emploi dans certains secteurs
10 - Autre
Action
1
2
Objectifs visés
3 4 5 6 7
Jeunes Industries
X
X
Bravo les artisans
X
X
Commet
X
Entrepaje
X
Euréka
X
Rallye des jeunes
8
9
X
X
X
1
NetBPAV Reporter
X
Secteur professionnel
8 IAA
Métallurgie
Multi
sectoriel
X
X
X
X
Vignoble
Nantais
X
X
X
X
X
X
X
7
X
X
X
Publics visés
3
4
5
6
X
X
Programme d’action à long
terme pour revaloriser les
métiers de la métallurgie…
2
X
X
“J’apprends”, j’entreprends.
Du Lycée… à l’entreprise”
Les rencontres de Point
PIJ à Cholet
10
Rappel des publics visés
1 - Elèves de 4e/3e
2 - Lycéens
3 - Apprentis
4 - Jeunes en recherche d’insertion professionnelle
5 - Autres demandeurs d’emploi
6 - Familles
7 - Enseignants et autres personnels d’éducation
8 - Autre
9 - Public spécifiquement féminin
10 - Etudiants
X
X
X
X
X
X
X
X
X
Métier
Action
1
APREEC
2
Objectifs visés
3 4 5 6 7
X
Les mercredis de
l’apprentissage
X
8
9
10
1
2
Publics visés
3
4
5
6
X
X
X
X
X
7
X
Les mercredis de
l’entreprise
X
X
X
X
Rencontres avec
l’entreprise
X
Actions permanentes
de l’AJE
Campagne Ouest-France
Spécial Avenir
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
Appui personnalisé à la
définition du projet de
formation PAPIL
X
Aide en rayon produits
frais
X
Découverte du métier
d’opérateur en industries
agro-alimentaires découpe
des viandes et volailles
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
CAP Préparation en produits
carnés boucher
Multi
Métier
sectoriel
X
X
X
X
professionnel
Métallurgie
X
X
Connaissance de l’Industrie
et Orientation des jeunes
Secteur
IAA
X
X
X
9
X
Les mercredis des entreprises
et des services
Les journées de l’entreprise
Education des choix
8
X
X
X
X
X
Action
1
Action préparatoire aux
métiers de l’agro-alimentiare
2
Objectifs visés
3 4 5 6 7
8
9
10
1
2
Publics visés
3
4
5
6
X
X
X
Insertion dans les entreprises
du travail industriel des viandes X
X
X
Immersion en entreprise
X
X
7
8
9
Secteur
IAA
X
X
X
X
professionnel
Métallurgie
Multi
Métier
sectoriel
ANNEXE
Fiches d’action
➞ Jeunes-Industrie (ex Bravo l’Industrie)
Education au choix d’orientation (Loire-Atlantique)
➞ Bravo l’Industrie - Jeunes-Industrie - Journée des projets - Mayenne
➞ Bravo les artisans
➞ COMMET (Projet de communication sur les métiers porteurs)
➞ ENTREPAJE 99 (L’entreprise parle aux jeunes)
➞ EUREKA
➞ Rallye des Jeunes + concours Graine de créateurs
➞ “J’apprends… j’entreprends. Du lycée… à l’entreprise”
➞ Programme d’action à long terme visant à revaloriser les métiers de la
métallurgie/plasturgie/métiers de la fonderie/métiers du bâtiment
➞ “NET BPAV REPORTER” (remplace jeune reporter économique régional 99)
➞ Les rencontres du Point Information Jeunesse à Cholet
➞ APREEC Démarches multi-sectorielles
➞ Les Mercredis des entreprises et des services (Sarthe)
➞ Les Mercredis de l’entreprise (Mayenne)
➞ Les journées de l’entreprise “Education au choix d’orientation”
➞ Rencontres avec l’entreprise
➞ Les Mercredis de l’apprentissage à partir du Serveur 3614 Métiers 44
➞ Actions permanentes et campagnes de l’AJE Jeunesse et Entreprises
➞ Appui personnalisé à la définition du projet de formation
➞ Mission Générale d’Insertion
➞ Campagne Ouest-France - L’inventaire des métiers qui recrutent
➞ Premier Forum des Métiers porteurs du Pays de Retz Atlantique
➞ Premier Forum des métiers Agro-alimentaires
➞ Aide en rayon “produits frais”
➞ CAP Préparateur en produits carnés : boucher
➞ Découverte du métier d’opérateur en industries agro-alimentaires/
découpe de viandes de volailles
➞ Action préparatoire aux métiers de l’agro-alimentaire
➞ Immersion en entreprise
➞ Insertion dans les entreprises du travail industriel des viandes
Fiche 1
Fiche 2
Fiche 3
Fiche 4
Fiche 5
Fiche 6
Fiche 7
Fiche 8
Fiche 9
Fiche 10
Fiche 11
Fiche 12
Fiche 13
Fiche 14
Fiche 15
Fiche 16
Fiche 17
Fiche 18
Fiche 19
Fiche 20
Fiche 21
Fiche 22
Fiche 23
Fiche 24
Fiche 25
Fiche 26
Fiche 27
Fiche 28
Fiche 29
Liste des sigles et abréviations
ADEC
ADEFIA
AFPA
AGEFAFORIA
AJE
ANIA
ANPE
ARPREEC
CARIF
CCAOF
CEBAN
CFA
CIMM
CIO
COP
CORIMEEC
DAFPIC
DDEC
DDTEFP
DRAF
EREF
FONGECIF
FRMF
GIMAR
GRETA
IENIO
IFRIA
MEDEF
MGI
ML
ONISEP
OPCA2
OREF
PAIO
PIJ
SAIO
SIPE
UI44
UIMS
UIMV
URCIDF
Agence pour le Développement Economique du Choletais
Association pour le Développement Emploi Formation des Industries Agro-alimentaires
Association Nationale pour la Formation des Adultes
Association de Gestion du Fonds d’Assurance Formation des Industries Agro-alimentaires
Association Jeunesse-Entreprise
Association Nationale des Industries Agro-alimentiares
Agence Nationale pour l’Emploi
Association Pour le Rapprochement Ecole/Entreprise du Choletais
Centre d’Animation et de Ressources de l’Information sur la Formation
Confédération des Coopératives Agricoles de l’Ouest de la France
Centre d’Evaluation et de Bilan de l’Agglomération Nantaise
Centre de Formation des Apprentis
Chambre Syndicale des Industries Métallurgiques de la Mayenne
Centre d’Information et d’Orientation
Conseiller d’Orientation Psychologue
Coordination Régionale des Industries Métallurgiques, Electriques, Electroniques et connexes des
Pays de la Loire
Délégation Académique à la Formation Professionnelle Initiale et Continue
Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique
Direction Départementale du Travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle
Direction Régionale de l’Agriculture et de la Forêt
Espaces Ruraux Emploi-Formation
Fonds Paritaire Interprofessionnel de Gestion des Congés Individuels de Formation
Fédération Régionale des Maisons Familiales
Groupement des Industries Métalliques d’Angers et sa Région
Groupement d’Etablissements
Inspecteur de l’Education Nationale pour l’Information et l’Orientation
Institut de Formation Régional des Industries Agro-alimentaires
Mouvement des Entreprises Françaises
Mission Générale d’Insertion
Mission Locale
Office National d’Information sur les Enseignements et les Professions
Organisme Paritaire Collecteur Agréé pour les Organismes et Coopératives Agricoles
Observatoire Régional de l’Emploi et de la Formation
Permanence d’Accueil, d’Information et d’Orientation
Point d’Information pour la Jeunesse
Service Académique pour l’Information et l’Orientation
Syndicat Intercommunal Pour l’Emploi
Union Industrielle des Pays de la Loire
Union des Industries Métallurgiques et connexes de la Sarthe
Union des Industries Métallurgiques de la Vendée
Union Régionale des Centres d’Information sur les Droits des Femmes
Personnes rencontrées du 10 septembre au 10 novembre 1999
LOIRE-ATLANTIQUE
Mme ROUZIC
Mme MERCIER
Mr POIRIER
Mme DUPONT
Mr H. LOUIS
Mr DELALANDE
Mme DEHIER
Mme BOLLORE-DEPIERRE
Mme THIBAULT
Mme RETIERE
Mr BODIN-HULIN
Mr BUJEAU
Mr HOUGET
Mr GUILLEMOT
Mr FOURNIER
Mr BIROTTEAU
Mr ROUSSEAU
Mr BROUHARD
Mme DUCLOUX
Mr GUINOT
Mr KERVERDO
Mr BOUCHAU
IENIO
MGI
CARIF
FONGECIF
DDTEFP
CIO Nantes
SAIO Nantes
SAIO Nantes
SAIO Nantes
CEBAN
Missions Locales/PAIO
AFPA
AFPA
AFPA
AFPA
DAFPIC
DAFPIC
DAFCO
DAFCO
UI44
OPCA2
DDEC
MAINE-et-LOIRE
Mr ROUX
Mr THEVENIN
IENIO
CIO de Segré
MAYENNE
Mr HUVET
IENIO
SARTHE
Mr VAULOUP
Mme TORDJMAN
Mr PASTEAU
Mme LECOR
IENIO
CIO Le Mans
UIMS/CORIMEEC
UIMS/CORIMEEC
VENDÉE
Mr DUPUY
Mme DEGRELLE
Mr NAULLEAU
IENIO
CIO La Roche-sur-Yon
UIMV
OUEST
Mr CADE
Mr BUSSERY
ADEFIA
AGEFAFORIA
Enquête par téléphone/fax du 10 septembre au 10 novembre 1999
LOIRE-ATLANTIQUE
Mr METAY
Mme HOLTZ
Mr MARIE
Mme CHEVALIER
Mr DECHOUPES
Mme POTTIER
Mme PEREZ
Mr GODIN
Mme JOULAIN
Mr ORAIN
Mr LEPRON
Mme DESANTI
ANPE Direction Régionale
ANPE Saint-Herblain
ANPE Saint-Nazaire
ANPE Rezé
Syndicat du Pays de Retz
DRAF
Maison de l’économie de Pontchâteau
Comité du bassin d’emploi de Chateaubriant
Entrepaje
Euréka
MEDEF Pays de la Loire
Service statistique du Rectorat de Nantes
MAINE-et-LOIRE
Mr LEBLOND
Mme FLECK
Mr PELISSIER
Mr ABRAHAM
Mr MALLEYRAND
Mr POINT
Mme DEVY
CCI de Cholet
PAIO de Segré
PIJ de Cholet
Mairie de Cholet
Lycée polyvalent de Chemillé
CIO de Cholet
BPAV
MAYENNE
Mr LEFORT
Mme MEIGNAN
Mme MAGNE
Mme COCQUEMONT
Mme COCAUD
CIMM
CCI de Laval et de la Mayenne
CCI de Laval et de la Mayenne
CCI de Laval et de la Mayenne
Direction de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage
Conseil Régional Antenne de la Mayenne
VENDÉE
Me BASTIDE
Mr CHIRON
Mme DERRE
Mr GUERINEAU
Mr BOUCARD
Mme ALAIN
Mr de VILLARTAY
Mme NADJAR
Fleury-Michon
ANPE Les Herbiers
ANPE Les Herbiers
Maison Familiale de Pouzauges
ADEC - Agence pour le Développement Economique du Choletais
PAIO d’Ancenis
MEDEF de la Loire-Atlantique
Direction de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage
Conseil Régional Antenne de la Vendée
Repères bibliographiques
Techniques et Méthodes de l’orientation, L’Orientation Scolaire et Professionnelle, numéro spécial, vol. 28,
n°2, 1999
L’Orientation Scolaire et Professionnelle, vol. 28, n°3, 1999
CEREQ : L’Orientation professionnelle des adultes
Etude n°73, mai 1999 - AFPA
Centre-Inffo, CNAM
Publications ONISEP
AGROALIMENTAIRE
◗ Avenirs :
- Agriculture, agroalimentaire, 1996, n°476-477
◗ Cahiers :
- Agriculture, agroalimentaire, 1999
◗ CEDEROM Itinéraire pour un métier
- Agriculture, agroalimentaire, 1999
◗ le Savoir Vert, mai 1998, pp. 24-27
MÉTALLURGIE
◗ Cahiers :
- Les métiers de la mécanique productique, 1996
- Matériaux d’hier et de demain, 1999
◗ CEDEROM Itinéraire pour un métier
- Plasturgie et matériaux, 1999
Collection UI/l’Etudiant
Débuter dans l’industrie, 1998