Optimiser le retour sur investissement de vos infrastructures
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Optimiser le retour sur investissement de vos infrastructures
Infrastructure e-business IBM Décembre 2001 Optimiser le retour sur investissement de vos infrastructures informatiques Infrastructure e-business IBM Page 2 Sommaire Définir les besoins en retour sur investissement Identifier les moteurs stratégiques Créer une fiche d’évaluation stratégique Créer une structure de retour sur investissement Introduction La presse spécialisée se fait chaque jour l’écho de nouveaux revirements boursiers, d’entreprises technologiques annonçant des résultats en baisse et d’une actualité économique toujours plus confuse. Dans ce contexte particulièrement morose, M. Dupont, responsable informatique de la société X, osera-t-il se présenter devant le conseil d’administration, le directeur général et les cadres de son entreprise pour réclamer des fonds pour son infrastructure informatique ? Est-ce vraiment la bonne chose à faire ? Heureusement, M. Dupont sait qu’il peut justifier une telle dépense en exposant clairement, à l’aide d’arguments commerciaux, comment les projets informatiques proposés étayeront les initiatives commerciales, indispensables à la réalisation des objectifs stratégiques de son entreprise. Evaluer les besoins en infrastructure e-business Pourquoi fait-il preuve d’une telle assurance ? Parce que M. Dupont a effectué des analyses du retour sur investissement qui lui permettent de définir l’ordre de priorité des projets informatiques en fonction des initiatives commerciales. Il peut adopter une approche globale de la valeur ajoutée de l’informatique et identifier ainsi les avantages tangibles et intangibles, essentiels et accessoires, financiers et non financiers. Il est capable de suivre l’impact d’investissements disparates au sein d’une structure standard et cohérente. Il sait qu’il peut élaborer une infrastructure informatique abordable, puissante et disponible, capable de supporter les délais de commercialisation les plus courts. Nous allons suivre le responsable informatique de la société X afin de comprendre comment le processus de retour sur investissement lui permet de gagner le soutien de sa direction. Nous verrons comment il développe et actualise les moteurs commerciaux stratégiques de son entreprise. Nous étudierons également les coûts et bénéfices des initiatives informatiques. Infrastructure e-business IBM Page 3 Définir les besoins Lors de l’étude préalable des besoins en matière de méthodologie de calcul du retour sur investissement, le responsable informatique a souhaité évaluer tous les projets informatiques en fonction de l’ensemble des coûts et bénéfices de l’entreprise. Il a recherché la structure qui lui permettrait de relier directement les investissements informatiques de la stratégie et des moteurs commerciaux de l’entreprise. Cette structure devait lui permettre d’évaluer l’impact de certains investissements non seulement sur les résultats financiers, mais aussi sur l’amélioration de la position concurrentielle, des capacités, des processus opérationnels et de la fidélisation de la clientèle de l’entreprise X. D’autre part, la structure devait permettre à la société X de résoudre différents problèmes, notamment : • Absence de synchronisation entre les résultats commerciaux et les efforts informatiques • Absence d’évaluation et de justification commerciales des initiatives informatiques • Cloisonnement des investissements informatiques et e-business, considérés indépendamment les uns des autres • Absence d’intégration des stratégies informatiques et commerciales • Manque de cohérence dans la justification des différents investissements informatiques • Justification des investissements informatiques du point de vue de la réduction des coûts plutôt que de l’amélioration de la compétitivité. La direction de la société X avait besoin de cette structure pour développer une vision commune de sa stratégie d’entreprise, et informer les tiers (les actionnaires et les analystes financiers, par exemple) des avantages commerciaux de nouveaux investissements informatiques. De par sa conception, la structure devait être capable d’évoluer en fonction des besoins de l’entreprise, et surtout permettre à la direction de prendre des décisions d’investissement basées sur l’évaluation de facteurs stratégiques mais moins tangibles, comme la satisfaction du client et l’image de marque. Nous allons à présent examiner comment cette structure de retour sur investissement a été développée et mise en pratique. Infrastructure e-business IBM Page 4 Identifier les moteurs stratégiques Pour notre responsable informatique, la première étape dans la création de la structure de retour sur investissement consistait à déterminer les moteurs stratégiques de l’entreprise, c’est-à-dire les domaines de compétence clés sur lesquels l’entreprise doit se concentrer pour mettre en œuvre sa stratégie. Une équipe composée de salariés de la société X et d’un prestataire de services externe a examiné la documentation de X en matière de stratégie pour établir la liste des domaines de compétence de base nécessaires à l’exécution de la stratégie. Cette liste a été réduite aux quatre groupes de moteurs stratégiques suivants. Finances Les moteurs financiers créent de la valeur pour une entreprise et ses actionnaires. La hausse des revenus des actionnaires, la réduction des frais d’exploitation, l’augmentation des profits et des recettes générées par la clientèle existante sont les principaux moteurs définis par l’entreprise X. Client Ces moteurs apportent de la valeur ajoutée aux clients via les initiatives de l’entreprise. La société X a déterminé que ses principaux moteurs dans ce domaine consistaient à renforcer son image de marque, fidéliser davantage le client et accroître sa satisfaction. L’entreprise souhaitait également développer ses principales activités et s’en servir comme d’un moteur. Pour y parvenir, elle a prévu de développer son activité de transport traditionnelle pour offrir des services d’entreposage. Infrastructure e-business IBM Page 5 Processus Ces moteurs sont les processus clés permettant d’exécuter la stratégie commerciale d’une entreprise. La société X a conclu que ses principaux moteurs consistaient à optimiser le cycle de vie de son parc informatique, réinventer ou accroître l’efficacité des processus internes, et améliorer la prestation de services, la sécurité, la mise en œuvre et l’exécution des projets, ainsi que la gestion des connaissances. Organisation Les moteurs se concentrent sur la culture, les valeurs, le savoir-faire, le capital intellectuel, les plateformes technologiques stratégiques, etc. Les principaux moteurs sélectionnés par la société X consistaient à mettre à profit ses ressources intellectuelles, accroître la satisfaction du personnel, devenir un employeur de choix, assurer le développement et la formation des salariés et exploiter/améliorer l’infrastructure informatique. Infrastructure e-business IBM Page 6 Moteurs stratégiques potentiels Finances • • • • • Augmenter le revenu des actionnaires Réduire le coût du capital Augmenter la participation des actionnaires Augmenter les marges Augmenter le chiffre d’affaires Client • • • • • Proposer un large éventail de produits et de services Fidéliser la clientèle Renforcer l’image de marque Acquérir de nouveaux clients Améliorer la réactivité des clients Processus • Mettre en œuvre un processus efficace de gestion des modifications • Améliorer les processus de gestion de la relation client (CRM) et de tarification • Renforcer le processus de risque de crédit • Améliorer le processus de gestion de la distribution • Mettre en œuvre un processus efficace de gestion du contenu • Améliorer le processus de gestion de la chaîne d’approvisionnement • Améliorer la gestion et l’exécution logistiques • Améliorer le processus de segmentation du marché et de l’industrie • Améliorer le processus de gestion des connaissances • Optimiser la gestion de parc • Renforcer le développement de nouveaux produits et les processus de gestion des produits Organisation • Attirer et fidéliser les salariés • Accroître les compétences en matière de vente et de gestion des relations • Améliorer et renforcer le savoir-faire en matière d’Internet/intranet • Développer les compétences de mise en œuvre technique/gestion de projets • Créer une culture innovante/de prise de risques • Exploiter et renforcer les compétences en gestion logistique Infrastructure e-business IBM Page 7 Même s’il est possible qu’une initiative informatique n’ait aucun impact sur certains moteurs stratégiques de la société X, la direction peut rapidement évaluer l’impact potentiel d’une initiative particulière sur la stratégie de l’entreprise en déterminant le nombre de moteurs stratégiques sur lequel elle a une incidence. Après avoir identifié ses moteurs, la société X était en mesure de les relier afin d’obtenir une représentation visuelle de sa stratégie (« arborescence stratégique »). Créer une arborescence stratégique L’arborescence stratégique désigne la représentation graphique de la stratégie d’une entreprise, basée sur les moteurs stratégiques identifiés. Elle repose sur la ou les deux principales interdépendances entre chacun des moteurs, ce qui permet de comprendre les impacts des investissements sur les dimensions client, processus et organisation de la stratégie. Infrastructure e-business IBM Page 8 Figure 1 – Arborescence stratégique Augmenter le revenu des actionnaires Réduire les frais d'exploitation Optimiser le cycle de vie des ressources Augmenter les profits Fidéliser davantage le client Améliorer la prestation de services Réinventer/améliorer l'efficacité des processus internes (réorganisation) Exploiter/améliorer l'infrastructure informatique Légendes Finances Client Processus Organisation Améliorer l'image de marque Assurer le développement du personnel Développer les principales activités de l'entreprise Accroître la satisfaction du client Augmenter la rentabilité des contrats Améliorer la gestion des connaissances Exploiter les ressources intellectuelles Augmenter la part de revenus générée par la clientèle existante Accroître la satisfaction du personnel Améliorer la mise en œuvre/l'exécution des projets Devenir un employeur de choix/attirer les salariés La société X utilise actuellement l’arborescence stratégique qu’elle a développée, illustrée ci-dessus, pour expliquer comment les revenus sont ou peuvent être créés et comment les investissements informatiques peuvent être directement liés à sa stratégie d’entreprise et à ses moteurs commerciaux. En partant du moteur financier « augmenter le revenu des actionnaires », il est possible de relier d’autres moteurs entre eux, comme le moteur « fidéliser davantage la clientèle » (Client), le moteur « optimiser le cycle de vie des ressources» (Processus) et le moteur « accroître la satisfaction du personnel » (Organisation). L’arborescence peut ensuite refléter de nouveaux changements de stratégie si la société X découvre les nouveaux moyens d’offrir de la valeur ajoutée à ses clients et actionnaires. Infrastructure e-business IBM Page 9 En développant l’arborescence et en l’actualisant sans cesse en fonction de l’évolution économique, les dirigeants de la société X conservent une vision commune de la stratégie. Les clients peuvent également comprendre les priorités stratégiques de l’entreprise tandis que les salariés peuvent percevoir rapidement les domaines sur lesquels les initiatives informatiques à l’étude auront une incidence. Cette vision commune évite à l’entreprise d’engager des investissements sans tenir compte de leur impact à l’échelle de l’entreprise. L’arborescence stratégique permet à la société X de calculer l’impact financier net des bénéfices et des coûts liés aux moteurs stratégiques non financiers. Ainsi, le lien établi entre les moteurs de satisfaction du client, de fidélité du client et de rentabilité permet à l’entreprise de déterminer la rentabilité d’un projet en fonction des modifications apportées aux moteurs de satisfaction et de fidélité du client. Créer une fiche d’évaluation stratégique Après avoir articulé ses moteurs en arborescence stratégique, l’entreprise doit définir les indicateurs clés de chaque moteur. A titre d’exemple, pour l’indicateur clé « fidéliser davantage le client », la société X aurait pu choisir le nombre de clients perdus au cours d’une période donnée, le nombre de renvois des appels client ou la valeur en dollars d’une perte d’activité. La direction a opté pour le nombre de clients perdus. Après avoir défini les indicateurs de chaque moteur et les relations entre les moteurs, la société X est désormais en mesure d’évaluer chaque initiative informatique. L’entreprise peut ainsi suivre plusieurs mesures à différentes échelles de l’entreprise et prévoir plus facilement le succès ou l’échec des initiatives informatiques. Infrastructure e-business IBM Page 10 Pour obtenir les fonds nécessaires au financement de projets informatiques, il est essentiel d’élaborer une formule Cette fiche d’évaluation stratégique facilite également la prise de décisions en aidant la direction à affiner les hypothèses commerciales et la stratégie globale de l’entreprise. financière qui démontre la valeur des avantages intangibles. Concrétiser l’intangible Parce qu’elle a mis au point un moyen standard permettant de déterminer les impacts financiers sur les moteurs stratégiques, la société X peut désormais simplifier son analyse des investissements informatiques. Ces hypothèses et calculs financiers sont particulièrement utiles car ils concernent des avantages intangibles, comme la satisfaction du client. Par exemple, à partir d’informations historiques, la société X a élaboré une formule financière indiquant la corrélation entre la satisfaction du client, la fidélité de ce dernier et la perte de revenus. Ainsi, elle a calculé que chaque point supplémentaire de l’indice de satisfaction du client (ISC) gagné équivaut à 150 clients et 6 millions de dollars de revenus conservés (pour un chiffre d’affaires moyen de 40 000 dollars par client). Infrastructure e-business IBM Page 11 Tester la structure du retour sur investissement Afin de s’assurer de sa robustesse, la société X a testé la structure du retour sur investissement sur diverses initiatives informatiques. L’une d’entre elles, un projet de facturation en ligne, est décrite dans la figure 2. Figure 2 Finances Une augmentation d'un point de l'ISC équivaut à 150 clients conservés (pour un chiffre d’affaires moyen de 40 000 dollars par client) Client Augmenter le revenu des actionnaires Augmenter les profits Fidéliser davantage le client Accroître la satisfaction du client Améliorer la prestation de services Réinventer/améliorer l'efficacité des processus internes Processus Organisation Assurer le développement et la formation du personnel Diminution du nombre de clients perdus Economies : 2,8 millions de dollars (marge : 6,6 %) Amélioration de la facturation du service client Résultat : augmentation de l'ISC de 0,5 point Abandon du téléphone au profit du courrier électronique pour répondre aux questions de facturation Economies : 50 000 dollars/an Amélioration de l'accès du client aux informations de facturation Résultat : augmentation de l'ISC de 3 points Abandon du téléphone au profit du courrier électronique pour répondre aux questions de facturation Economies : 50 000 dollars/an Besoins en formation liés aux modifications apportées aux processus Coût : 650 000 dollars La société X a réalisé, à titre de test, une étude d’opportunités commerciales basée sur les coûts et bénéfices des moteurs illustrés dans l’arborescence stratégique de la figure 1. Les résultats de ce test ont révélé que la société pouvait améliorer les éléments suivants : • Satisfaction du client : les clients peuvent vérifier plus précisément et facilement leurs factures, d’où une diminution de la perte de revenus mesurée par l’ISC. • Image de marque : les clients ont conscience de recevoir davantage de valeur, ce qui peut être mesuré en termes de capitalisation boursière. • Efficacité des processus internes : la société X peut réduire la charge de travail de son centre d’appels, les délais de recouvrement des créances et la « paperasserie ». Infrastructure e-business IBM Page 12 Côté coût, la société X a additionné les dépenses liées à l’infrastructure informatique (matériels, logiciels et services), la formation du personnel et la documentation marketing. Le résultat net, traduit en une étude pluriannuelle, indique une valeur actualisée nette positive. Evaluer pour maintenir la dynamique Après avoir réalisé ces études d’opportunités pour démontrer le bien fondé de sa stratégie, la société X utilise à présent la méthodologie de calcul du retour sur investissement pour estimer le succès de ses initiatives informatiques existantes. L’entreprise évalue également les nombreuses initiatives étudiées par le groupe informatique. Elle hiérarchisera, développera et mettra en œuvre ces initiatives en fonction de leur impact positif sur la stratégie de l’entreprise, comme indiqué par la structure du retour sur investissement. La société X envisage également de nombreuses autres applications potentielles de sa structure, notamment son utilisation pour le processus d’allocation des capitaux. Pour X, la clé du succès à long terme de la structure du retour sur investissement passe par le soutien constant de la direction. Tous les services doivent comprendre qu’ils doivent utiliser cette structure pour évaluer les projets informatiques et se servir de la fiche d’évaluation stratégique pour vérifier si les initiatives informatiques sont en adéquation avec les résultats commerciaux prévus. Pour que la société X exploite pleinement sa structure, celle-ci doit être actualisée et rester conforme à la stratégie commerciale de l’entreprise. Pour ce faire, il est indispensable que les personnes chargées de la planification l’actualisent en fonction des orientations définies par la direction et que la fiche d’évaluation stratégique du retour sur investissement soit mise en œuvre, suivie et analysée. Infrastructure e-business IBM Page 13 Mesure est synonyme de valeur. En mesurant la valeur des projets informatiques, vous posez les bases du financement des projets futurs. La fiche d’évaluation stratégique aidera le personnel chargé de la planification à établir des hypothèses et des calculs de plus en plus précis à mesure que les relations statistiques entre les moteurs se solidifieront. Des hypothèses et des calculs plus pointus pourront ensuite conduire à des prévisions plus précises. Considérations liées à l’infrastructure informatique M. Dupont le sait : s’il est important de rester en haut de la vague, construire une infrastructure hautement disponible et économique, capable de supporter la croissance de l’entreprise est un travail de longue haleine. Il est donc essentiel que la société X évalue les besoins en infrastructure informatique de toutes les initiatives d’applications professionnelles et prépare l’infrastructure de demain comme celle d’aujourd’hui. La planification des besoins ne doit pas exclure les situations imprévues, qu’il s’agisse d’une campagne publicitaire particulièrement réussie conduisant à dix millions de connexions à un site Web au lieu des deux millions prévus ou de la décision soudaine de mettre en œuvre une application qui offrira un avantage concurrentiel, par exemple. Le responsable informatique doit alors identifier des ressources, tant internes qu’externes, capables de faire face à ce changement brutal. Infrastructure e-business IBM Page 14 Pour réaliser des études d’opportunités de retour sur investissement réussies, les responsables informatiques de la société X doivent être en mesure de gérer le cycle de vie de chaque équipement utilisé par l’entreprise pour remplir sa mission commerciale (c’est ce que l’on appelle la gestion des ressources d’infrastructure [IRM]). Dans ce contexte, le terme « actifs » désigne tout ce que la société X possède et utilise, y compris les ordinateurs portables, les postes de travail, les serveurs et les imprimantes, sans oublier les réseaux, les installations et le parc informatique mobile. L’IRM régule la location, l’approvisionnement, l’acquisition, l’inventaire, le service et la maintenance, le comptage des licences, les mises à niveau, la distribution, les solutions d’assistance téléphonique et pour finir, les informations de l’entreprise. La société X peut aligner plus étroitement ses équipements informatiques sur ses objectifs commerciaux, déployer et améliorer rapidement ses actifs en évaluant les informations détaillées complètes sur les ressources d’infrastructure et leur utilisation. D’autre part, en réunissant ces informations, la société X peut développer des profils, des stratégies et des pratiques d’application informatique motivés par les objectifs commerciaux, la réalité économique et les besoins de l’utilisateur. De tels efforts permettent à la société X de souligner le rôle de l’informatique dans le succès global de l’entreprise. Résumé De nos jours, les entreprises éprouvent de plus en plus de difficultés à rester compétitives. Dans ce contexte, il est important de créer une structure permettant d’évaluer les investissements informatiques, de les lier à une stratégie d’entreprise et d’identifier leur valeur commerciale globale. En appliquant la méthodologie de calcul du retour sur investissement décrite dans le présent document, les entreprises peuvent affecter des coûts et des bénéfices – tangibles et intangibles – à des initiatives en matière d’organisation, de processus, de finance et de clientèle. Grâce à la structure du retour sur investissement, elles peuvent évaluer l’incidence globale des investissements informatiques sur les objectifs commerciaux, plutôt que d’en étudier la contribution de chacun d’entre eux. Infrastructure e-business IBM Page 15 Plus important encore, elles peuvent communiquer la valeur de l’infrastructure informatique, qui est la base même des applications informatiques, et qui leur permettra d’engager le type d’investissement nécessaire pour conserver leur viabilité et leur compétitivité. Comme notre responsable informatique a pu le constater, l’arborescence stratégique crée un langage commun favorisant la communication et l’action et permettant à l’informatique de faire partie intégrante des facteurs de succès de l’entreprise. Auteur Christopher Sowa est spécialiste de la stratégie du retour sur investissement et des entreprises chez IBM. Il enseigne aux consultants et aux cadres d’IBM à mesurer et évaluer les investissements e-business. Pour en savoir plus Pour en savoir plus sur les produits et solutions d’infrastructure e-business d’IBM, visitez les sites Web : ibm.com/e-business/fr ibm.com/e-business/infrastructure/fr ibm.com/software/webservers/appserv ibm.com/software/ad/vajava ibm.com/software/ts/mqseries/messaging ibm.com/software/data/db2 ibm.com/software/webservers/studio ibm.com/financing/fr www.tivoli.com/products/index/secureway_policy_dir Compagnie IBM France Tour Descartes 2, avenue Gambetta La Défense 5 92400 Courbevoie Tél. : 0810 015 810 ibm.com /e-business/infrastructure/fr IBM est une marque déposée d’International Business Machines Corporation. * Le logo e-business est une marque d’IBM. Toutes les marques citées sont déposées par leurs sociétés respectives. Ces informations concernent des produits et services commercialisés par IBM France et n’impliquent aucunement l’intention d’IBM de les commercialiser dans d’autres pays. 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