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CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Courbes contraintes déformations et densité Résistance au cisaillement drainé des sols granulaires On va commencer avec les sols granulaires Î plus simple Î puisque toujours drainé (sauf sol fin, silt, etc.) Dans ce chapitre, on traite du comportement véritable des sols granulaires. Depuis le temps, on a fait beaucoup de recherche pour étudier en détail la résistance au cisaillement drainé des sols granulaires. On a S ou φ = fonction (chapitre 2, en particulier la densité). • D’après coulomb (S = σ tanφ) Î ici on va introduire l’importance de la densité, e = Vv/Vs (acétate), Sol lâche Sol dense • Sol : ensemble de particules et de vide Î important de normaliser Î Id = (emax-e)/(emax-emin) • Dans les sols granulaires : toujours drainé sauf si tremblement de terre ou choc quelconque. 2 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Courbes contraintes déformations et densité Courbes contraintes déformations : C’est ce qu’on examine lorsqu’on teste un matériau (béton, acier, etc.). Supposons deux essais de compression triaxiaux sur deux échantillons de densités (ou compacités) différentes (soit un échantillon dense et un échantillon meuble-lâche), confinés à la même pression effective σ’3. Essai drainé σ1 dense σ3 lâche ΔV, ε Déformation, ε (%) el ecl ec ecd ed Indice des vides, e Plusieurs points importants à noter : 1. La forme des courbes. Dense = rupture fragile, τ décroît. Meuble = rupture plastique. 2. Déformation axiale à la rupture est plus grande dans le sol lâche (pour même contrainte). 3. Sable lâche pas parfaitement élastique. Edense > Elâche. 4. À grande déformation, la résistance au cisaillement est presque égale. Indépendante de la densité initiale. 5. Échantillon dense après la rupture gonfle jusqu’à un certain indice des vides critique, ec (dilatant). Échantillon meuble se densifie jusqu’à un certain indice des vides critique, ec, indépendant de l’indice de densité initiale (contractant). i.e. Lors du cisaillement, les particules tendent vers une densité qui est fonction uniquement de σ3 et non pas de la densité initiale. 3 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Courbes contraintes déformations et densité Qu’arrivera t-il, si l’indice des vides au départ était égal à ec ?. Pas de changement de volume Î def : indice des vides critique pour un σ’3 donné. Si σ3 varie : théoriquement ec meuble = ec dense. Cependant en pratique, ec est un peu plus faible pour les spécimens denses pour la raison suivante. Rupture dense localisée sur un plan Δe est localisé surtout sur le plan de rupture Rupture meuble localisée sur plusieurs plans Généralisée Δe est repartie à travers tout l’échantillon Le Δe est mesuré d’après le changement de volume de tout l’échantillon. Si nous pouvions mesurer Δe dans la zone de rupture, nous aurions le même ec dense et lâche. Indice des vides critique sera vu plus en détail plus loin Noter : Ces comportements sont idéalisés; difficiles à mesurer sur un plan. ΔV est mesuré sur tout l’échantillon Les termes meuble et dense sont relatifs. Par exemple un échantillon formé à une certaine densité se comporte comme dense à faible pression de confinement et comme lâche à une pression de confinement plus élevée. 4 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Courbe enveloppe de résistance D’après les courbes précédentes, nous voyons que la relation τ = σNtanφ n’est pas unique dans un sol donné. C’est-à-dire que pour un sol donné à une certaine σ3, φ peut varié avec la densité par exemple. L’enveloppe de rupture sera donc différent si nous faisons une série d’essais sur des échantillons denses ou sur des échantillons lâches. dense τ= σNtanφ implique une droite comme enveloppe de rupture lâche σ 1. 2. 3. 4. 5. φdense > φ lâche Les courbes enveloppes passent par l’origine. Les courbes ne sont pas linéaires si on trace pour une plage de contraintes assez grande. La courbe est plus grande pour les sols denses φ à faible σ3 > φ à grande σ3 5 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Courbe enveloppe de résistance Angle de friction apparent, φ Dans tout problème pratique, la résistance des sols granulaires est exprimée par φ, qui est la pente d’une courbe enveloppe linéaire passant par l’origine. Si l’enveloppe est une courbe, elle peut être remplacée par une droite qui définit un angle de friction moyen pour la gamme de σ3 considérée. σ1/σ3 = tan2(45+φ/2) est valide pour cette plage de contrainte Î φ mobilisé. φ1 Plage de φ1 Plage de φ2 φ2 σ Angle de repos, φ L’angle de repos est l’angle d’inclinaison avec l’horizontale d’une pente de sol granulaire déversé, donc à l’état meuble. L’angle de friction φ d’un sol granulaire meuble et sec est approximativement égal à son angle de repos. Angle de repos ≠Angle de friction. a) Pour un sol dense : car granulaire déversé = meuble (lâche). b) Pour un sol humide : angle de repos plus élevé à cause de la capillarité. 6 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Source résistance des sols granulaires L’expression τ = σ tanφ suggère que la résistance au cisaillement des sols granulaires est due uniquement à la friction entre les grains, comme un corps sur un plan. L’angle de friction φ serait alors égal à l’angle de friction φu d’un matériau tel qu’en physique. φu mesuré en faisant glisser deux blocs l’un sur l’autre. φu = 22o pour un quartz. Cependant les angles de friction mesurés dans les sols sont habituellement supérieurs à φu. De plus, nous venons de voir des essais triaxiaux sur un même sable et soumis à un même σ Î φ différents. Il y’a donc d’autres sources de résistance que la friction. Quelles sont ces sources; où est consommée l’énergie appliquée. • • • • Friction mobilisée lors du glissement d’une particule sur une autre. Changement de volume de l’échantillon : dilatance Î énergie nécessaire pour changer de volume Î travail à faire contre σc φ’ courbe dense : dilatance ↑ à faibles pressions de confinement. Réarrangement des particules Fracture des particules. Les sources de résistance sont plus au moins importantes selon le matériau, la pression de confinement et la densité initiale. Ex. Le fractionnement des particules a lieu seulement à de hautes pressions extérieures, dépendant de la dureté des particules Î Allons voir plus en détail la dilatance 7 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Source résistance des sols granulaires Changement de volume de l’échantillon On a toujours appuyé plus sur cette source de résistance, car à basse pression de confinement c’est la plus importante après la friction. i.e. Si on appliquait une correction pour tenir compte du changement de volume, on devrait se rapprocher de φu (pour des pressions de Confinement faibles). Correction : évaluation de l’énergie nécessaire pour ΔV Afin d’arriver à la détermination d’un angle φ qui soit plus fondamental, des corrections pour le changement de volume ont été dérivées par au moins trois chercheurs : - Correction de Taylor : pour la boîte de cisaillement - Correction de Bishop : pour le triaxial - Correction de Rowe : pour le triaxial Correction importante : dans l’étude de stabilité d’un barrage. Les corrections de Taylor et Bishop sont fondamentalement les mêmes et sont basées sur l’énergie nécessaire pour permettre au sol d’augmenter de volume contre la pression de confinement. 8 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Source résistance des sols granulaires σN a) Correction de Taylor : cisaillement direct τe Δh h τe : contrainte de cisaillement nécessaire pour permettre l’expansion σN : contrainte normale dx : augmentation du déplacement de cisaillement dh : augmentation de l’épaisseur de l’échantillon Travail dû à τe = travail contre σN énergie nécessaire pour expansion τe x δdx = σN x δdh τe = σN x δdh/δdx Déformation, dx τcorr. = τ - τe La correction est facile à faire en tout point durant l’essai. Si nous faisons cette correction, l’angle φ sera unique pour un sol donné (fait disparaître l’effet de densité initiale) δΔh δΔx Déformation, dx 9 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Source résistance des sols granulaires Δσ ΔV/V, ε1 b) Correction de Bishop : triaxial Le même principe que dans la correction de Taylor appliquée au triaxial. σd : σ3 : V : ΔV : ε1 : σ3 déviateur nécessaire pour dilatance contrainte de confinement volume de l’échantillon augmentation due au changement de volume déformation axiale Travail du à σd = travail contre σ3 énergie nécessaire pour expansion σd x δε1 = σ3 x δΔV/V σd = σ3 x (δΔV/V)/δε1 Déformation, ε1 σ1/σ3 = (δΔV/V)/δε1 φ est donné par : Donc : (σ1/σ3)f = tan2(45o+φ/2) (σ1/σ3 – (δΔV/V)/δε1)f = tan2(45o+φcorr/2) δΔV δε1 Déformation, ε1 10 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Source résistance des sols granulaires c) Correction de Rowe Exemple : Les corrections de Taylor-bishop ne tiennent compte que du travail extérieur fait contre la pression de confinement. Cependant, selon Rowe, il y a aussi durant l’expansion de l’énergie absorbée par friction due à la rotation des grains entre eux. Rowe a dérivé une autre correction qui, à des faibles pressions de confinement, devrait donner φu. (σ1/σ3 – (δΔV/V)/δε1)f = tan2(45o+φcorr/2) (σ1/σ3)x 1/(1+(δΔV/V)/δε1) = tan2(45o+φcorr/2) (σ1/σ3)x 1/(1+(δΔV/V)/δε1) = tan2(45o+φcorr/2) Essai CID 01 – Bersimis σ3 = 100 kPa à ΔH/H = ε1 = 2,5% (σ1/σ3)f= 6; ΔV/V = 1,3% à ΔH/H = ε1 = 1,0% ΔV/V = 0 %; N.B. Correction de Bishop, basée uniquement sur le travail extérieur, donne sensiblement le même φ que si on choisissait σc où on n’aurait pas de ΔV. Bishop Î (δΔV/V)/δε1= 0,86 Î tan2(45o+φcorr/2) = 5,14 φcorr = 42,39o au lieu de 45,6o (voir CID 3 peu de ΔV) Correction de Rowe donne φu à de faibles pressions de confinement. Rowe Î (δΔV/V)/δε1= 0,86 Î tan2(45o+φcorr/2) = 6x(1/1,86) φcorr = 31,8o s’approche de φu 11 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Source résistance des sols granulaires 45,6o 41,8o 36,9o 30o emax = 0,78 emin = 0,46 e = 0,55 Î Id = 72% σ3c =100 kPa ec=0,54 σ3c =400 kPa; ec=0,57 σ3c =450 kPa; ec=0,53 σ3c =700 kPa; ec=0,55 12 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES État critique Indice des vides critique et pression de confinement critique 9 On a vu au début du cours que si on fait deux essais triaxiaux l’un dense et l’autre meuble, à un même σc, les deux échantillons vont avoir un ΔV+ et un ΔV- et vont tendre vers un indice des vides critique. 9 Si on faisait un essai sur un échantillon formé à un indice des vides critique, on n’aurait aucun changement de volume. 9 1. Si on fait un essai sur un échantillon à un indice des vides plus faible (échantillon plus dense), expansion, i.e. travail contre pression de confinement. Qu’arriverait t-il si on augmentait σc? On peut augmenter σc et empêcher l’expansion de l’échantillon. Cet indice des vides serait donc à nouveau l’indice des vides critique. + ΔV/V 0 σ3 = cte ec e0 − σ3 ↑ L’indice des vides critique est fonction de σc. Pour un indice des vides critique correspond une pression de confinement critique où il n’y a pas de ΔV. i.e. L’indice des vides est critique seulement à une pression de confinement donnée. 13 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES État critique Indice des vides critique 9 + Indice des vides qui ne correspond à aucun changement de volume durant l’essai de cisaillement sous un certain σ3. ec 1. e à σ3 + 2. e ↑ à σ3 3. ecrit à σ3 0 σ3a = cte ΔV/V 0 − e0 σ3b = cte Après consolidation Pression de confinement critique 9 9 σ3 ↑ Pression de confinement où il n’y a pas de changement de volume durant l’essai. Même un sol qui montre une expansion durant un essai à faible σc peut être empêché d’avoir de l’expansion en augmentant σ3 jusqu’à σ3c. Sable dense kg/cm2 e = cte ΔV/V 0 − Valeurs de σ3c Sable meuble 0,5 < σ3c < 9 σ3crit + σ3 e = cte avant cisaillement e↓ ecrit ecrit meuble 1,7 < σ3c < 100 kg/cm2 Essai : sol tend vers un état critique durant le cisaillement ecrit, σcrit « Steady-state » Donc dans un essai drainé où σ3 = cte ceci se fait par un ajustement de e. meuble dense dense σ3 Logσ3 14 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Facteurs d’influence φmeuble φdense Rond uniforme 30 37 1. Composition minéralogique - L’angle de friction réel entre Rond, bien gradué 34 40 les grains, φu, varie avec les matériaux. L’influence n’est Angulaire, uniforme 35 43 Angulaire, bien gradué 39 45 pas très marquée sur φ. φu quartz = 22o. 2. Forme des grains φ angulaire > φ arrondie ≈ 5o 3. Texture (gradation): φ d’un sol bien gradué > φ sol uniforme. Cette influence est très difficile à évaluer car la gradation a aussi un effet sur la densité ∼ peut être 4o. 4. % passant Forme et texture Facteurs reliés au matériau lui même Grosseur des particules. Si la forme de la courbe est la même (même texture, même forme des grains). À la même densité relative : pas de différence, même φ. Log (dimension des grains) 15 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Facteurs d’influence Facteurs indépendants des matériaux 1. Indice de densité Id. La résistance augmente avec la densité. Id = 0, faible φ (tend à comprimer durant le cisaillement. Id = 100%, φ élevé tend à augmenter de volume durant le cisaillement. 2. Pression de confinement. φ diminue avec la pression de confinement. Très souvent φ est défini comme la tangente à un cercle donné. (σ1/σ3)f = tan2(45o+φ/2). Si nous faisons cela, nous allons remarquer une diminution appréciable avec σ3 (6 à 9o). 3. Eau. Réduit φ par au moins 1 à 2o. Certains sables peuvent être plus affectés. Si le sable est mouillé sur le terrain, les essais devraient être fait mouillés. Attention capillarité Î différent. 4. Condition des contraintes. État de contrainte plane par opposition à triaxial. Terrain : exemple barrage 3D? contrainte plane εy = 0. Il existe des appareils de contraintes planes. On peut faire un essai pour comparer avec triaxial. Contrainte plane Î restriction additionnelle. On s’est aperçu qu’il y a une différence entre CP et T. Cette différence est plus importante lorsque le sol est plus dilatant. c.a.d. plus dense à faible σ3. σ z y x φ C.P. T e 16 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Relation entre la résistance et le rapport K0 Influence de la résistance sur le rapport des contraintes K0 = σ3/σ1 ε3 Triaxial - terrain σv σv σv ε1 σh K0 = σh/σv σh = K0σv ? ε3=0 – déviateur supporté sans ε3 σh σh Si S=∞; σh=0 ; K0 =0 Si S=0; ex. eau σv=σh ; K0 =1 Chargement 1- Dans compression uniaxiale résistance intergranulaire donc contrainte de cisaillement au contact (σh=0, mais le mouvement (ε3) est réduit par la résistance entre les grains). 2 – Confinement - résiste au mouvement dû à σv donc, σh < σv K0 = f(φ’) – σ3 = σ1-σ1sinφ = σ1 (1-sinφ) donc K0 = 1-sinφ’ (Jaky, 1944) φ=30o Î K0 =0,5 et φ’ = 40o Î K0=0,36 – K chargement = K0 (N.C.) Chargement uniaxial S > σv σh Tendance de ε3 – résistance entre les grains récite la tendance. Si confiné développement de σ3 17 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT CHAPITRE III RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DRAINÉ DES SOLS GRANULAIRES Relation entre la résistance et le rapport K0 Au déchargement Δσv Les contraintes de cisaillement entre les particules sont inversées au déchargement c’est à dire que la résistance entre les grains résiste à la diminution de σ’h Î retient une partie de σ’h. Ainsi pour un même Δσ’v, Δσh sera plus petit au déchargement jusqu’au chargement. σv σh Δσh K0 sur le terrain dépend donc de l’histoire des contraintes du dépôt – O.C. ou N.C. σh = f(σp)(1-sinφ) σh = σ1 (1-sinφ)f((OCR=σp/σ1)) σ’h K0 O.C. = f(K0 N.C, OCR) = K0 N.C. OCRα Selon Ladd α = 0,4 ou selon Mayer α = sinφ K0 σ’v 18 GCI 737 -RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT