En milieu scolaire - Centre Culturel de la Ricamarie
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En milieu scolaire - Centre Culturel de la Ricamarie
, ca, s'est passe en 2013/2014... entre autres e El Cid sor tie d ges la à e t ê oya La f nce de V e g A l’ r pa ires Imagina tapas et la soirée à s e n n o tion 160 pers représenta la s rè p a sangria ues Répétitions publiq collèges s le ns et interventions da inaires ag Im s ge avec l’Agence de Voya Répétition publique ptik avec de la compagnie Dy Conscience II l’association Prise Master class avec l’association Prise II Conscience s de la Ateliers danse et rencontre les compagnie Dyptik en éco es. lèg col et s ire prima Interventions en co llèges répétitions publique et s de la compagnie l’O péra-Théâtre Rencontre avec André Fornier, metteur en scène de la compagnie l’Opéra-Théâtre Formation des ense ignants avec André Fornier mpagnie Rencontre avec la co Philippe Genty Cie Les Interventions de la rts ve Ou Yeux Grand s en collèges et lycée Interventions de François Bourcier en collèges Interventions Cie Le Souffleur de Verre en collèges des s enfants Accueil de cle ta c e our le sp ige» crèches p e n dans la n lo il p a p «Un de Interventions Cie Graine s ire ma pri les Malice en éco les nel et mater aine la compagnie Gr Interventions de de loisirs l’Escale ntre de Malice au Ce 15 théâtres du département se regroupent pour inviter le cirque équestre Pagnozoo Création de «Dyptik» devant une salle comble Stage de danse avec la compagnie Dyptik scale et le Centre de loisirs l’E A poil la saison ! La polémique lancée par un responsable politique en mars 2014 au sujet du livre pour enfants intitulé «Tous à poil !» me semblait être une nouvelle manœuvre politicienne qui ne dépasserait pas les limites du microcosme parisien. Je me trompais. Car au delà de cette manipulation, c’est bien le sens de la culture et de l’éducation qui est posé. Pourquoi les artistes créent, inventent, reprennent, traduisent, écrivent... ? Pourquoi et comment, celles et ceux qui sont en charge des programmations culturelles soutiennent et mettent en avant des œuvres classiques ou contemporaines ? Bref, quel est notre rôle dans une société qui, ces derniers temps, fait des bonds en arrière et revient sur des concepts qui me semblaient acquis ? En composant cette programmation 2014/2015 je me suis interrogé : Comment encore et toujours transmettre des valeurs universelles ? Et je me suis rendu compte que, au delà des blocages traditionnels émanant des plus conservateurs d’entre nous, grandissait la peur d’aborder certains sujets souvent difficiles tels que la mort, le divorce, la drogue, la nudité, le corps, la violence, la famille... jusqu’aux relations entre filles et garçons et cette volonté légitime d’affirmer une égalité entre personnes de sexe différent. Il y a certes quelques fois un malaise chez chacun d’entre nous à aborder des sujets délicats. Mais ce qui me semble plus inquiétant, c’est ce principe de précaution qui émerge aussi rapidement qu’un débat stérile et l’abandon de toute démarche d’explications, d’échanges, de compréhension mutuelle, de construction d’une relation et d’un vécu commun. C’est pourquoi cette saison 2014/2015 est engagée. On y retrouve la volonté réaffirmée de défendre la nouveauté avec 8 créations au programme dont certaines sont soutenues sous forme de coproduction, de préachat ou de mise à disposition de moyens humains et matériels. Nous avons également le souhait de continuer à interroger le public quel que soit son âge. Il ne s’agit pas d’apporter des réponses toutes faites et dogmatiques. Mais, à chaque fois que cela est possible, de poser des questions, d’ouvrir des espaces de réflexion, de débat, d’émotion. Aujourd’hui, comme hier, les artistes, avec un esprit libre et critique, questionnent leur époque avec la conscience qu’aucun dérapage n’est possible à l’adresse des plus jeunes. C’est le rôle de l’éducation et de la culture. C’est la mission du service public de la culture auquel nous sommes tant attachés. S’en remettre à la cellule familiale ne saurait suffir à dédramatiser ou à répondre aux questions que se pose un enfant et dont hérite un adulte. C’est cette quête du sens que nous poursuivons au Centre Culturel de La Ricamarie et à laquelle nous invitons le public. Jean-François Ruiz Directeur du Centre Culturel de La Ricamarie Le tour complet du coeur Compagnie ATTENTION FRAGILE / William Shakespeare / Gilles Cailleau 37 comédies, tragédies, tragi-comédies, 37 pièces et autant de rêves rescapés de la nuit. Le tout joué par un seul homme... Un échafaudage de trois chaises et dessus, un homme en équilibre sur la tête qui crie son bonheur d’être roi. Un magicien qui pleure de ce qu‘il fait apparaître. Un petit homme couronné qui essaie de jouer du violon pendant qu’on le déshabille. Un cracheur de feu effrayé par sa propre flamme. Une boule à neige, trois foyers de braises. Un spectateur propulsé sur la scène et qui boit du poison. Un homme trop petit dans un manteau trop grand, qui se démène comme un diable. Un autre sous un parapluie tressé de feuilles, qui nous parle en ruisselant d’eau. Un enfant sorti par magie d’une boîte. Une femme qui dit je t’aime à un ogre en le mangeant des yeux. Un accordéon qui s’ouvre et se ferme, et juchés dessus, deux minuscules amoureux qui s‘approchent et se disent adieu. Attention fragile est une compagnie foraine. Elle ne s’installe pas dans un théâtre, elle le transpor te avec elle. En l’occurrence il s’agit d’une roulotte et d’une tente marocaine sous laquelle s’installe un petit gradin de 50 places. Le tout dans le jardin public de La Ricamarie, à l’ombre des grands arbres. L’endroit est tout petit, ce qui oblige l’acteur à l’adresse directe aux spectateurs, à des regards vrais. Tout Shakespeare en 3h30 de joie simple et éphémère. Un moment que l’on voit à peine passer, tant on est pris par cette aventure étrange au terme de laquelle chacun se retrouve entre les caravanes, tentes et roulottes pour se rencontrer autour d’un verre. Stage de théâtre tous niveaux avec l’équipe du spectacle samedi 27 septembre de 10h à 12h. Faites nous partager vos talents culinaires au cours d’un pique nique avant la représentation samedi 27 septembre. Rendez-vous à 13h au Parc Henri Barbusse. Inscription obligatoire. 1 * E THÉÂTR La presse en parle «La justesse de son interprétation est prodigieuse. Véritable Protée, ce magicien remplit son spectacle d’inventions qui ravissent le public et relancent sans cesse l’intérêt de la représentation. Ce spectacle étourdissant est unique.» LES AFFICHES DE GRENOBLE «Le tour complet du cœur est un travail d’orfèvre, ciselé avec intelligence et brio, sur ces beaux bijoux que sont les œuvres de Shakespeare. Sachez qu’en 3h30, vous allez voir toutes les pièces du grand Willy, sans voir passer le temps». PREMIERE.FR Spectacle imaginé, écrit et interprété par Gilles Cailleau Mise en scène : Luc Chambon Costumes : Patou Bondaz Masques : Christophe Brot Marionnettes et graphisme : Vincent Bouet-Willaumez Coproduction : Théâtre de La Mure A partir de 12 ans Durée : 3 h 30 www.attentionfragile.net 24 et 26 septembre à 19h 27 septembre à 15h Parc Henri Barbusse La Ricamarie 12 € / 10 € Séances scolaires mardi 23 et jeudi 25 septembre à 14h , , Les psychopompes - comedie celeste * RE THÉÂTIO N CRÉAT Compagnie TRAVELLING THÉÂTRE / Gilles Granouillet / Gilles Granouillet Psychopompes : Conducteur des âmes des morts, épithète appliqué à Apollon, Hermès, Orphée… Pater et Junior dans un taxi. Deux anges le père et le fils, deux psychopompes qui transportent les âmes dans l’au-delà. Comment repérer les humains prêts pour le grand voyage ? Comment repérer les clients prêts à grimper dans le taxi ? Le père sait – croit-il – le fils apprend – mal – et ces allers-retours entre ciel et terre prennent rapidement des allures de déroute. Nos anges se déplument à chaque étape. Le père y laisse à chaque fois un peu de son autorité. Le fils gagne un peu en indépendance. Pater se retrouve avec Junior sur les bras, grand adolescent dont il avait oublié jusqu’à l’existence, mais comme la mère vient de mourir le sentiment familial se ranime un peu…Comment l’aider ? Comment le sortir de sa léthargie boutonneuse ? Comment aider l’adolescent d’aujourd’hui ? Vaste question ! Et bien si nous, pauvres mortels restons souvent sans réponse, notre Pater, demi-dieu dans l’urgence, trouve un début de solution pour ce fiston niaiseux : INSERTION PAR LE TRAVAIL ! La transmission d’un métier n’est jamais chose facile, l’accompagnement des défunts un sujet sensible, la pièce, une comédie, forcément ! Les Psychopompes a tout d’un road movie entre ciel et terre, mais c’est aussi une pièce bien concrète avec sa galerie de personnages empêtrés dans leur passé, paumés ou loufoques. Le spectacle prend des accents de cabaret jazzy, il lorgne avec humour du côté de la série noire, mais reste proche de nous, simples mortels pris dans les questions que posent des ados difficiles, des pères absents ou des mamies acariâtres. Un voyage aérien où la poésie trace elle aussi son chemin. Texte et mise en scène : Gilles Granouillet Chansons et création musicale : Claudine Charreyre Costumes : Stéphanie Lhopital Lumières : Jérôme Aubert Création vidéo : Seymour Laval Avec : Yves Barbaut, Anthony Breurec, Claudine Charreyre, Gilles Fisseau, Véronique Kapoïan Coproduction : Travelling Théâtre Théâtre du Parc Andrézieux-Bouthéon A partir de 12 ans Durée prévue : 1 h 30 www.theatreleverso.com Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes Déjà vu : Combat Rencontre «Bord de scène» avec l’équipe du spectacle à l’issue de la représentation. 2 Vendredi 17 octobre à 20h30 12 € / 10 € Nours EN BONNE COMPAGNIE / Carlo Bondi / Jocelyne Jault * E THÉÂTuRblic Jeune P EN FAMIL LE Tout d’abord, quand on va mal il faut le dire. Et on peut aider, soigner, consoler rendre heureux avec quelques mots et quelques gestes et …de la musique. Deux médecins savants un peu fous, le professeur et son assistant, accueillent des nounours pour les soulager de tous les chagrins, peurs, colères, soucis dont les enfants, à l’extérieur, dans les maisons, se sont déchargés sur eux. C’est le premier jour d’ouverture de « la pension ». Au début il n’y a qu’un patient, qui fera donc les frais de leur inexpérience.. Les nounours ont un langage qui leur est propre, ils viennent du monde des ours, et que les docteurs doivent apprendre à décoder. Les deux hommes, qui ne sont pas toujours d’accord, vont essayer différentes méthodes pour soigner leurs pensionnaires mais ils découvrent que les mots, les gestes et la musique seront leurs seules ressources. Les nounours parlent, dansent, chantent et parfois jouent d’un instrument de musique. Mais le nombre de patients, qui augmente sans cesse, risque de leur faire perdre leur flegme. Chaque nounours a droit à une petite thérapie douce après avoir à sa façon très personnelle exprimé « son problème ». Spectacle présenté en collaboration avec l’Espace Culturel Albert Camus du Chambon Feugerolles Texte : Carlo Bondi Mise en scène : Joselyne Jault Composition musicale : Valérie Gonzalez, Carlo Bondi Lumières : Dominique Ryo Scénographie et décor : Emmeline Beaussier Costumes : Lina Richard Avec : Carlo Bondi et Francisco Cabello A partir de 3 ans Durée : 50 mn Mercredi 5 novembre à 15h 3 Espace Culturel Albert Camus Le Chambon-Feugerolles Tarif unique : 5 € San Antonio chez les gones * THÉÂTR E Compagnie LES LOCATAIRES / Frédéric Dard / Elisabeth Diamantidis Bruno Fontaine Un défi? Une performance? Non, juste un comédien, tout aussi passionné et cinglant qu’un auteur. Une rencontre entre des mots et un passeur de mots. Pourquoi San Antonio?... peut-être parce que derrière ce grand commissaire se cache un grand auteur. Frédéric Dard, écrivain passionné, prolifique au possible (175 aventures de San Antonio, et bien d’autres essais, romans, pièces, scénarii...). «Il faut beaucoup de talent pour faire rire avec des mots. Mais il faut du génie pour amuser avec des points de suspension...». F. Dard SAN-ANTONIO chez les «Gônes» entraîne notre cher commissaire et son valeureux compagnon, Bérurier, dans une enquête visant à retrouver des enfants disparus à Grangognant au Mont d’Or. Des rencontres surprenantes avec une chanteuse à la retraite, un patron de bar de nuit, une institutrice candide, et bien d’autres, sont au programme, ainsi qu’une nouvelle vocation pour «Sa Majesté Béru» : instituteur! Nul doute que sa «pédé-gabegie» fasse un malheur! «Il y a tellement de rebondissements dans mes livres qu’on les croirait en caoutchouc». F. Dard Bruno Fontaine est seul sur scène, et interprète une trentaine de rôles. Un exercice physique, drôle, laborieux, et tellement savoureux ! Tout est dans le texte. Pas besoin de décors, de grands effets. Un regard, un geste, une voix, une attitude suffisent pour qu’un personnage apparaisse. Ce monologue nous emporte, nous surprend et amuse. Que demander de plus? La presse en parle «C’est un exploit de comédien accessible uniquement à quelqu’un qui connait sur le bout des doigts l’univers de l’écrivain natif de Bourgoin-Jallieu.» FRANCE TV INFO Texte : Frédéric Dard Mise en scène : Elisabeth Diamantidis Lumières : Denis Servant Compositeur : Yvan Perrier Avec : Bruno Fontaine A partir de 10 ans Durée : 1 h 30 Vendredi 14 novembre à 20h30 4 12 € / 10 € Lior Shoov , Daphne * CONCERT Lior Shoov Cette jeune israélienne parcourt depuis 5 ans les quatre coins du monde avec une tortue sur son dos et dans ses bagages, d’étranges instruments. Au gré des festivals de rue, des jardins publics et des salles de concert, elle dévoile ses compositions aux passants, aux pigeons, aux grand-mères. Ses prestations sont marquées par l’humour, la danse et le chant, et par la multitude d’objets musicaux qui s’enchaînent et s’entrechoquent. Daphné Daphné est une sirène terrestre, dont l’élégance des mots rivalise avec des arrangements somptueux. Elle nous plonge dans un western sensuel dans lequel elle campe une aristo venant de quitter sa vieille Europe avec ses plus beaux bagages, portant un regard affranchi, curieux de tout mais que rien n’étonne. Elle plane au dessus des paysages sonores qu’elle fabrique, démiurge d’un monde fantastique qu’elle dessine à coups de lignes vocales d’une fraîcheur inégalée. Comme une Kate Bush sans les roucoulades baroques, son chant est d’une innocence que rien n’ébranle. C’est en pure autodidacte que Daphné aborde la production musicale : s’exerçant à écrire ses textes depuis son plus jeune âge, elle se lance au fil des ans dans la composition de ses chansons, sans jamais avoir pris aucun cours de solfège, cherchant avant tout une communion de son inspiration avec l’univers qui l’entoure, et une expression artistique que certains pourraient rapprocher de l’art brut ou de l’écriture automatique. Partenariat Pôle culture du SIVO, Les Oreilles en Pointe, Ville de La Ricamarie, Centre Culturel de la Ricamarie et l’Autre Lieu liorshoov.com/fr Dimanche 16 novembre à 17h 5 20 € / 17 € Michèle Bernard / Michèle Guigon / Susy Firth Michèle Bernard n’est pas une chanteuse pour enfants. Mais quand elle présente un spectacle pour jeune public, c’est un enchantement de mots et de musiques. «Je convoque la petite fille qui veille en moi, et comprends qu’elle n’est jamais très loin quand je crée». Depuis le temps qu’elle « fait l’artiste », écrit, compose, chante avec son accordéon plus gros qu’elle, les enfants s’approprient certaines de ses chansons. Sans leur être spécialement destinées, elles les touchent. Alors, Michèle Bernard revisite son répertoire, y entremêle de nouvelles chansons qui circuleront, vivront leur vie, se partageront entre l’enfance et l’enfant qui veille en chaque grande personne. Quand les sens interdits vous anesthésient le cœur et le corps, mettez tout sens dessus dessous, et suivez Michèle Bernard dans ses farandoles jamais résignées à accepter un monde où trois pigeons s’entrebattent pour 4 miettes de pain au lieu de les partager. Le récital de Michèle Bernard est comme une entrée en eau claire; sa voix limpide laisse ondoyer la mélodie et la poésie de ses chansons. Accompagnée de son accordéon et de deux musiciens qui assurent des intermèdes très drôles, ses textes évoquent les désirs, le permis et l’interdit et bien d’autres «sens» cachés ou révélés. Elle offre à ses héros des personnages souvent décalés, rejetés, des chansons bouleversantes de beauté et d’humanité. Jeune P La presse en parle «Un spectacle musical pour toutes les générations écrit et interprété à la perfection ; un pur plaisir de finesse et d’émotion.» TÉLÉRAMA «L’interprétation est sans faille, d’une jeunesse qui rappelle que le respect de l’autre, l’engagement, le regard porté sur autrui sont aussi des qualités qui font partie d’un avenir à préparer avec les enfants.» ACADÉMIE CHARLES CROS Textes, musiques, accodéon, chant : Michèle Bernard, Accordéon, violon, percussions, tuba, yukulele, chant : Sandrine de Rosa Arrangements, contrebasse, guitares, chant : Michel Salaville Mise en scène : Michèle Guigon, Susy Firth Création lumières : Romain Ratsimba, Véronique Chanard Costumes : Vanessa Fougerallas Régie générale : et lumières : Julie Berthon Son : Christophe Allègre A partir de 7 ans Durée : 55 mn www.michelebernard.net Uniquement en séances scolaires 6 Mercredi 19 novembre à 9h30 Jeudi 20 novembre à 9h30 Photo David Merle Sens dessus dessous * E MUSIQuUblic , , Les Aventures d Aglae au pays des malices et des merveilles * E THÉÂTuRblic Jeune P Compagnie LE SOUFFLEUR DE VERRE / Julien Rocha - Sabine Revillet / Julien Rocha Aglaé veut changer la face du monde et réécrire les contes de fées, des contes où les filles ne feraient pas que dormir ou attendre le prince marchand ! Et voilà ! Aglaé a six ans, aujourd’hui c’est la rentrée des classes, elle retrouve ses amis. Chacun arrive avec son nouveau cartable et raconte ses vacances. Jules est parti à Tulles. C’est nul ! Louise à Venise, Léo à Bornéo, Raoul à Séoul, Balthazar aux Baléares… Aglaé, elle, n’est pas partie, elle est restée chez elle car sa maman n’a pas assez d’argent, alors elle a accumulé des rêves et mille et une questions. Pourquoi la nuit est noire ? Pourquoi existe-t-il des métiers réservés aux filles et d’autres aux garçons ? Pourquoi l’hiver est froid ? Pourquoi y a-t-il du sel dans la mer ? Pourquoi les étoiles brillent-elles ? Ses questions l’amènent de l’autre côté du miroir pour sauver son amie Nojoud mariée de force à l’oRgre du Yémen. Elle lui font traverser les plantes du salon pour atterrir dans la forêt amazonienne, entrer dans le frigo pour atteindre la banquise quand elle a le coeur tout remué d’avoir vu Valentin d’un peu trop près à la récré, se perdre dans la grande nappe de la table, visiter le musée de l’Homme… et… surtout ô jamais devenir une petite fille modèle comme le voudrait la Direct-stricte de l’école. Cogiter c’est se battre. Même pas avoir peur. Fouiner dans la terre. Compter sur les doigts. Raconter des blagues. Avoir un arc et des fléchettes dans la tête. Défendre la veuve et l’orphelin. Aimer par-dessus tout les dictionnaires, agacer les garçons. Déchirer les robes de princesses. Oui tout cela, c’est possible… Aglaé veut tracer sa route prodigieuse. Elle veut voir les merveilles et les non-merveilles du monde aussi. Parce ce qu’il y en a. Le monde aussi a ses croûtes aux genoux. 7 Texte : Sabine Revillet, Julien Rocha Mise en scène : Julien Rocha Dramaturgie et coaching corporel : Cédric Veschambre Avec : Delphine Grept et Arthur Vandepoel Lumière : François Blondel Scénographie : Elodie Quenouillère. Coproduction : Compagnie le Souffleur de Verre, Ville de Cournon d’Auvergne, Ville de Monistrol s/ Loire A partir de 6 ans Durée : 1 h www.souffleurdeverre.fr Déjà vu : Le Roi Nu Uniquement en séances scolaires Jeudi 4 décembre à 9h30 et 14h Vendredi 5 décembre à 9h30 Compagnie NOSFERATU / Carole Thibaut / Claudine Van Beneden Après plus de 35 ans, pour certaines, d’obéissance silencieuse, de tête penchée sur l’ouvrage, elles ont stoppé net la machine. Un combat, une révolte, une prise de conscience ou une révélation, un peu tout cela à la fois pour un groupe d’ouvrières des ateliers textiles Lejaby qui en 2010, à Yssingeaux, ont commencé le combat pour sauvegarder leurs emplois. Quatre comédiennes et un musicien prêteront leur corps et leur voix aux hommes et aux femmes de cette histoire faite de résistance. A la suite d’un collectage de paroles dans différents sites d’ateliers de lingerie, Claudine Van Beneden, metteure en scène et comédienne a confié ce matériau à l’auteure Carole Thibaut pour que ces mots deviennent un texte de théâtre sur le monde ouvrier au féminin. Mais ici pas de misérabilisme, pathos ou regard défaitiste, non bien au contraire, elles sont fortes, parfois émouvantes et souvent drôles. La musique entre en scène. Bruit de moteurs, de chaine de montage ou autres presses à tissus. La création de Simon Chomel reprendra comme pour le texte une partie des bandes sonores enregistrées sur site et des créations originales à la guitare électrique. Ici on fabrique du rêve, du glam, du sensuel et du charnel. On chante à la gloire de la femme au travail sur des parodies de chansons, on vit tout simplement. Ce qui nous intéresse c’est ce que ça raconte de nos humanités et de nos vies dans ces sociétés que nous continuons à coudre malgré tout, jours après jours. Rencontre «Bord de scène» avec l’équipe du spectacle à l’issue de la représentation. 8 * E THÉÂTARL MUSIC N CRÉATIO Inspiré du combat des Ex Lejaby Texte : Carole Thibaut Mise en scène : Claudine Van Beneden Assistant à la mise en scène : Raphaël Fernandez Musique : Simon Chomel Scénographie : Sophie Toussaint Regard chorégraphique : Yan Raballand Lumière : Christophe Pont Son : Magali Burdin Avec : Angeline Bouille, Barbara Galtier, Chantal Péninon , Claudine Van Beneden, Simon Chomel. Coproduction : Compagnie Nosferatu, Ville d’Yssingeaux, Théâtre du Cloître de Bellac, scène conventionnée. A partir de 14 ans Durée prévue : 1 h 20 www.compagnienosferatu.fr Vendredi 12 décembre à 20h30 12 € / 10 € Photo Cédric Roulliat A plates coutures Cadavres exquis Le cabaret des morts Compagnie HALTE / Grégoire Béranger / Grégoire Béranger « Avez-vous vu le « Diable » ? Si vous ne l’avez pas vu, payez un penny et entrez. » (Jack L’Éventreur – correspondance avec Scotland Yard) Entre déglingue, poésie et cruauté, voici une sorte de pièce d’épouvante insolite qui réanime les visages marquants de nos mémoires. Et si les morts se mettaient enfin à table... ! S’ils se mettaient à nous parler, nous raconter leurs déboires éternels ! Et s’ils s’ennuyaient, devant sans cesse inventer des jeux et se mettant en scène pour nous rejouer des instants de leur vie afin ne pas oublier ? Et quels morts ? Car c’est bien en compagnie de Nosferatu, la Dame Blanche, Jack L’Eventreur et autres figures emblématiques de la grande faucheuse que nous allons passer la soirée ! Entrecoupée de scènes macabres et décalées, emmenée en musique et chansons originales, voici une fresque d’horreur conçue à la manière d’un cabaret. Sous le regard plus ou moins bienveillant de 5 musiciens perchés sur un échafaud, 3 comédiens se partageront la parole de personnages purement littéraires ou réels, incongrus ou terrorisants au destin tragique et fascinant. Donner la mort, prendre la vie ou simplement mourir... Comment vivre la mort ? De manière ludique, nous est donc donnée une réflexion loufoque à l’humour noir autour d’un thème qui nous touche tous, un jour ou l’autre ! Rien de plus certain. Bienvenue dans cette farce dramatique portée par la poésie triviale et lumineuse de Jean Genet, la clairvoyance fatale de Stig Dagerman, la fièvre de Lorca, la verve sublimement macabre de Baudelaire, les correspondances insolentes de Jack L’Éventreur, l’érotisme gothique de Bram Stocker... Bienvenue dans le Cabaret des Morts ! 9 Les morsures littéraires. Petit avant goût du spectacle. Prenez votre jeton pour la caravane de l’épouvante et ses histoires cauchemardesques. Frissons garantis ! A partir de 19h30 devant la salle, gratuit. Durée 5 mn devant 2 à 7 personnes. * E THÉÂTR N CREATIOTION MUSICAL C COPRODU D’après les œuvres, textes et correspondances de : Jean Genet, Bram Stocker, Jack l’Eventreur, Fédérico Garcia Lorca, Stig Dagerman, Charles Baudelaire, Grégoire Béranger... Adaptation et mise en scène : Grégoire Béranger, Assistant à la mise en scène : Raphaël Fernandez Création et régie son : Magali Burdin Création et régie lumière : Elsa Jabrin Scénographie : Caroline Oriot Avec : Barbara Galtier, Raphaël Fernandez, Pierre-Yves Bernard Musiciens et arrangeurs : Grégoire Béranger, Aurélie-Nadia Pirrera, David-Marcel Fournier, Aurélien Pommier, Jean Adam. Coproduction : Centre Culturel de La Ricamarie, l’Echappé à Sorbiers, Espace culturel La Buire L’Horme A partir de 14 ans Durée prévue : 1 h 20 www.compagniehalte.com Déjà vu : Le marchand de parapluie, Sous les gouttes. Jeudi 22 janvier Vendredi 23 janvier à 20h30 12 € / 10 € DOT Compagnie MADUIXA THEATRE / Juan Pablo Mendiola / Mamen Garcia * E THÉÂTuRblic Jeune P L’univers minimaliste du plasticien Sol LeWitt mis à la portée des plus jeunes. DOT est un spectacle où la danse, le théâtre, la musique et les nouvelles technologies se combinent pour offrir un casse-tête magique où tout est possible. Prenant comme point de départ le travail stimulant de l’artiste américain Sol LeWitt, nous transformons un mur blanc géant en un espace plein de couleurs. Laia se charge de supprimer toutes les taches qui apparaissent sur son grand mur blanc. Lorsque Dot apparaît, elle ne s’imagine pas du tout ce qu’il peut arriver. Avec un peu de magie et beaucoup d’imagination, Dot et Laia entreprennent un voyage à travers la musique et la couleur. Ils n’auront qu’à unir les points pour que commence la magie. Maduixa théâtre est une jeune compagnie originaire de Valence en Espagne. La volonté de grandir et de travailler de nouvelles disciplines consolide les bases de ce qui va devenir les principales valeurs de Maduixa : conjuguer le théâtre, la danse, les arts plastiques et les nouvelles technologies. D’après les œuvres de Sol LeWitt Dramaturgie et direction : Juan Pablo Mendiola Direction chorégraphique : Mamen Garcia Musique : Damian Sanchez Audiovisuel : Bea Herraiz Costumes : Joan Miquel Reig Lumière : Juan Pablo Mendiola Interprètes : Joaquin Collado Lala Sorribes A partir de 3 ans Durée : 45 mn www.maduixacreacions.com Uniquement en séances scolaires 10 Mardi 27 janvier à 9h30 et 14h Jeudi 29 janvier à 9h30 et 14h , , Medina Merika Compagnie NOMADE IN FRANCE / Oran Pamuk - Abdelwaheb Sefsaf / Abdelwaheb Sefsaf La véritable culture du Made in Médina. Du bric et du broc musical et poétique pour rapprocher deux mondes bouillonnants et chahutés. Médina Mérika, c’est l’histoire d’un rêve américain depuis la médina, sur fond de printemps arabe à la dérive. Une Amérique générique, symbole de l’Occident tout entier, à la fois «quête» et pire ennemi. Un symbole de liberté autant que d’impérialisme, de modernité autant que de déchéance, tout à la fois possible et impossible. La médina, c’est celle qui emprunte aux personnages de « Dallas » les noms de ses tissus orientaux pour en rehausser le prestige. Tissus « Sue Ellen » ou « Pamela » pour déclencher l’achat compulsif chez la ménagère voilée de moins de 50 ans. Un «Made in América» revu et corrigé à la sauce «Médina Mérika». Quelle Médina ? Toutes les médinas. Médina en arabe c’est la ville. Un nom souvent utilisé pour baptiser les nouveaux quartiers commerçants où se trouve généralement le souk. Carrefour commercial mais aussi carrefour d’idées mêlant zones d’échanges et de changes plus ou moins légaux. Lieux de rencontres et de convoitise. Le spectacle « Médina Mérika » est une tentative d’établir un état des lieux sans concession, sans complaisance et dépouillé de tout romantisme. Un face à face, un mano à mano entre Orient et Occident, pour imaginer et recenser ce qui nous sépare pour mieux inventer ce qui nous unit. C’est aussi la poursuite d’un chemin entrepris avec Dezoriental et poursuivi avec le Fantasia Orchestra. Une fusion entre la pop décalée du Fantasia et la Word de Dezoriental. Onirisme et intelligence d’écriture sur des textes en français et en arabe, pour permettre la fusion en même temps que la mise en perspective de deux mondes. Enfin, Médina Mérika, c’est la rencontre de deux artistes, Georges Baux et Abdelwaheb Sefsaf, apparemment opposés par leur naissance mais qui sont finalement les deux faces d’un même personnage. Leurs compositions semblent être toujours à la confluence d’un nord et d’un sud, comme une synthèse de leurs deux personnalités. Docteur Baux, issu de la bourgeoisie Toulousaine et musicien chevronné : c’est un peu « l’Amérique ». Mister Sefsaf, Stéphanois, fils d’immigrés Algériens, comédien de formation et autodidacte du chant : c’est franchement la Médina. Leur rencontre artistique c’est aussi un peu « l’impossible devenu possible ». 11 * E THÉÂTR L A IC S U M ION CRÉAT CREATIO N Spectacle présenté par l’Espace Culturel Albert Camus du Chambon Feugerolles en collaboration avec la Comédie de Saint-Etienne et le Centre Culturel de La Ricamarie Texte : Abdelwaheb Sefsaf, librement inspiré de l’œuvre de Orhan Pamuk «Mon nom est rouge». Musique : Georges Baux, Abdelwaheb Sefsaf Avec : Claude Gomez, Georges Baux, Marion Guerrero, Toma Roche, Abdelwaheb Sefsaf Scénographie : Pierre Heydorff Vidéo : Cyril Besnard Son : Titou Victor A partir de 14 ans Durée prévue : 1 h 30 Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes Déjà vu : Quand m’embrasseras-tu ? Vendredi 30 janvier Samedi 31 janvier à 20h30 Espace Culturel Albert Camus Le Chambon Feugerolles 16 € / 13 € Ce qui n'a pas de nom Rêverie théâtrale avec acrobaties, musique, images et tragédie Compagnie LES VOISINS / Pascale Henry L’énigme à l’heure de la soirée télé commence bien. Un cadavre de femme. Plutôt jeune et belle. On perçoit furtivement qu’elle a pu être l’objet de convoitise. Comment disséquer, analyser, le tableau d’une disparition ? Une femme est assassinée. Une d’en bas. Elle était caissière dans un supermarché. Pas d’enfants. Chaque jour à 16 h 30, elle sortait fumer sur le trottoir. Seule. En silence. Inlassablement son regard se portait sur les façades d’immeuble, sautant d’une fenêtre à l’autre, remontant les étages un à un pour enfin entrevoir le ciel. Un homme est là, aussi. Il a peur. Cette « composition » s’accomplit par touches, impressions, afin de tendre vers l’imperceptible. L’invisible. Les images, les sons, Hélène Cixous, Joyce Carol Oates, Christa Wolf… s’entremêlent. Ainsi que l’écho de la tragédie et de ses figures : Médée, Iphigénie, Cassandre… Des femmes, beaucoup de femmes. Pascale Henry choisit de raconter « une rêverie, soulevée par le spectacle ressassé d’une affaire de faits divers avec femme assassinée » et réunit une artiste aérienne, des comédiens(nes), un vidéaste, pour rencontrer l’énigme et danser avec eux au milieu des idées reçues et des clichés. * RE THÉÂTIO N CRÉAT Spectacle présenté par la Comédie de Saint-Etienne avec la complicité du Centre Culturel de La Ricamarie Mise en scène : Pascale Henry Scénographie : Michel Rose Vidéo et son : Wilfrid Haberey Lumières : Léo Van Cutsem Chorégraphie : Anna Ventura Régie générale : Vanessa Haubrich Production déléguée Les voisins du dessous Coproduction MC2 : Grenoble, Les Nouvelles Subsistances - Lyon, Scène nationale d’Aubusson, Le Grand Angle - Voiron, Théâtre Théo Argence Saint-Priest, Groupe des 20 Rhône-Alpes Durée prévue : 1 h 30 www.lesvoisins.org Mardi 3 février Mercredi 4 février Jeudi 5 février à 20h 12 Comédie de Saint-Etienne 15 € / 11 € Sur le chemin d'Antigone * E THÉÂTR L’AGENCE DE VOYAGES IMAGINAIRES / Sophocle / Philippe Car La presse en parle Nous sommes à Thèbes. Créon, l’oncle d’Antigone, prend le pouvoir et décide du sort des deux défunts frères d’Antigone. A Etéocle, il sera fait d’imposantes funérailles, tandis que le cadavre de Polynice sera abandonné sans sépulture. Antigone, courageuse et obstinée, déterminée à aller jusqu’au bout, s’opposera à Créon le tyran et fera tout pour ensevelir son frère conformément aux rites. «Ce spectacle nous avons commencé à le fabriquer au Burkina Faso, en brousse. Des clowns blancs devant un public noir avec qui nous ne partagions aucune référence à part celles de se tenir debout et d’avoir la capacité de rêver. Le rêve pour un acteur. Le Burkina, pays des hommes intégres, où la place de la femme de Bobo Dialousso est représentée par une statue de femme qui passe le balai...» Très tôt, la société nous apprend à ne pas résister. On ne résiste pas facilement à ses petites habitudes et à ses peurs. Antigone ne triomphe pas du pouvoir, elle ne le combat même pas. Simplement elle lui résiste comme un matériau résiste à la pression, elle ne lui laisse aucune prise. Valérie Bournet, actrice polymorphe, joue tour à tour Antigone, Créon et Séraphin, le conteur de la pièce ; un être à la fois pur et malicieux. Accompagnée de ses deux anges gardiens, elle s’approprie le mythe et nous invite à un voyage qui nous transporte au plus près de l’âme de la tragédie. Séraphin, dans la tradition de la tragédie antique joue tous les rôles, y compris celui du chœur. Le tragique mais aussi l’humour et le merveilleux sont là, parce que c’est comme ça qu’on aime raconter les histoires. 13 Adaptation et écriture : Valérie Bournet, Philippe Car Mise en scène : Philippe Car Avec : Valérie Bournet, Lucie Botiveau, Marie Favereau. Scénographie : Valérie Bournet Composition musicale : Vincent Trouble Création lumière : Julo Etiévan Costumes et accessoires : Magali Leportier, Christian Burle A partir de 14 ans Durée : 1 h 20 www.voyagesimaginaires.fr Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes Déjà vu : Le Bourgeois Gentilhomme, El Cid Rencontre «Bord de scène» avec l’équipe du spectacle à l’issue de la représentation. Vendredi 6 février à 20h30 Stage de théâtre tous niveaux avec Valérie Bournet, comédienne, mercredi 4 février de 18h30 à 21h30. Inscription obligatoire. 12 € / 10 € Séance scolaire Jeudi 5 février à 14h30 Photo Elian Bachini Résister c’est refuser d’être assujetti à un ordre dont on ne veut à aucun prix. «Valérie Bournet étonne tout au long de la pièce par sa capacité à être toutes les voix, toujours juste et à bonne distance des personnages incarnés et du public.» TÉLÉRAMA «Une version très décoiffée de Sophocle dans un décor féerique et surtout avec beaucoup d’imagination.» FRANCE INTER Ecris moi un mouton , , MARION * NETTE Volet 1 // le passe - Volet 2 // le present Volet 3 // le futur Compagnie ARNICA / Sébastien Joanniez / Emilie Flacher Cette histoire commune est déclinée en 3 volets. Le volet 1 : le passé (On dirait rien longtemps - puis tout à coup tout). Sur les traces d’anciens appelés du contingent. Là où les femmes ont vu leurs hommes prendre un fusil, où les frères sifflent un au-revoir, où les sœurs rêvent d’un pays lointain et tellement proche à la fois. Le volet 2 : le présent (On vivrait tous ensemble - mais séparément). Au coeur d’une cité où la vie palpite. En ouvrant une fenêtre on entend les chibanis gazouiller sur un balcon, on dessine les innombrables liens entre la France et l’Algérie. Le volet 3 : le futur (On en croirait pas ses yeux - au début). Rencontre «Bord de scène» avec l’équipe du spectacle à l’issue de la représentation. 14 * NETTE MARIONTION CRÉA Le volet 3 : le futur. ON EN CROIRAIT PAS SES YEUX (AU DEBUT) est une pièce d’anticipation. Elle raconte le parcours de Smail Béranger, pur français musulman, qui est né en Algérie en 1994, au temps des attentats. Il revient en France à 18 ans, travaille dans une coopérative vinicole et se retrouve à la tête de sa municipalité, tiré au sort lors de la révolution de 2024. 50 ans sont passés depuis la guerre d’Algérie. Il est peutêtre temps de faire la paix avec ce passé, d’assumer notre histoire commune et d’inventer demain. Entre 1954 et 1962 2 millions de militaires engagés et appelés se sont succédés pour «pacifier» un pays en quête d’indépendance. A leur retour, la honte et le silence ont pris le dessus et cette guerre n’a pas fait parler d’elle. Au lendemain du cessez le feu 1 million de harkis et de pieds noirs ont été rapatriés en France. Leur histoire a longtemps été minorée. Nous connaissons tous dans nos familles ou nos voisins d’anciens appelés, pieds noirs ou personnes issues de l’immigration algérienne. Et ce qui n’est pas dit pèse autant que ce qui l’est. Comment ne pas faire de lien entre cette histoire récente et les débats d’aujourd’hui ? C’est à partir de témoignages que l’auteur - Sébastien Joanniez - a écrit une histoire qui rende compte d’une mémoire collective. A ses côtés Emilie Flacher, marionnettiste, parce que le théâtre de marionnettes et d’objets nous propose une distance entre ce qui est vécu, le réel, et sa représentation forcément fictive puisque jouée par des choses. Ecris moi un mouton La Ricamarie 2024 Ecriture : Sébastien Joanniez Mise en scène : Emilie Flacher Acteurs marionnettistes : Agnès Oudot, Clément Arnaud Musique : Thierry Küttel, Pierre Lassailly Marionnettes et construction : Emilie Flacher, Florie Bel, Pierre Josserand Création lumière : Nicolas Galliot A partir de 8 ans Durée : 1 h 30 en 2 parties avec entracte de 15 mn compagnie.arnica.free.fr En 2024, le réchauffement climatique aura provoqué l’assèchement de la méditerranée : des hordes de migrants feront l’aller-retour avec des chameaux et des réserves d’eau. La France sera recouverte d’une forêt profonde, dans laquelle vivront tous les rejetés des villes : ensemble ils s’organiseront autrement. Pour choisir le gouvernement, on tirera au sort un habitant qui recueillera dans un grand cahier les doléances des uns et des autres... tels pourraient être les scénarios inventés ensemble pour 2024. C’est à partir de cette projection dans l’avenir que nous invitons les ricamandois à participer à des ateliers d’écriture, de fabrication ou de manipulation de marionnettes, selon leurs affinités. De tous âges, de toutes origines, nous vous proposons d’inventer LA RICAMARIE 2024. A partir de rencontres, d’ateliers de pratique et de moments de création partagée, les habitants de La Ricamarie sont appelés, entre le 30 mars et le 2 avril 2015, à inventer des scénarios pour leur ville du futur. Le texte de LA RICAMARIE 2024 sera écrit pour être joué par un chœur de marionnettes et d’habitants en première partie du spectacle ON EN CROIRAIT PAS SES YEUX (AU DEBUT). A partir de 14 ans Durée : 1 h 30 Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes Volet 3 Volet 1 et 2 Vendredi 27 février à 20h30 12 € / 10 € Volet 3 : + 1€ Séance scolaire Jeudi 26 février à 14h Vendredi 3 avril à 20h30 12 € / 10 € Volet 1 et volet 2 : + 1€ Séance scolaire Vendredi 3 avril à 14h , Compagnie LES VEILLEURS/ Catherine Zambon / Emilie Le Roux Mon frère, ma princesse a la force des textes qui posent les grandes questions, ceux qui permettent enfin de reprendre la discussion. «Un jour, je voudrais être maman, Nina. C’est ça que je voudrais. Et être une princesse, je voudrais bien...» souffle Alyan, un petit garçon de cinq ans, à sa grande soeur. « C’est nul les princesses » lui répond Nina. Mais ça ne suffira ni à le consoler, ni à l’empêcher de porter des robes de fées, ni à éviter la cruauté des autres. Que faire quand son petit frère est si différent et que le monde entier semble n’y rien comprendre ? En quoi naître fille ou naître garçon nous détermine à être ce que nous sommes ? Quelle liberté avons nous réellement à nous définir et à nous sentir fille ou garçon avec chacun notre part de féminité et de masculinité ? Quelle liberté nous laissons-nous ? Et quelle liberté laissons-nous aux autres d’affirmer une identité qui n’est pas celle que la nature semble leur avoir confiée ? Comment les normes sociales, familiales et culturelles que nous avons intégrées conditionnent notre capacité à accepter l’Autre dans sa différence ? Ces derniers temps, nous n’avons pas su affronter ces questions sans heurt. La violence que crée ce débat révèle à quel point ces normes restent profondément intégrées. Comme tout débat éthique, celui-ci est souvent stérile. Faute d’un vécu commun qui nous permettrait de débattre, nous ne parvenons plus à avancer collectivement sur cette question. Le texte de Catherine Zambon crée un passage par le sensible : nous accompagnons Alyan dans ses turpitudes, nous nous mettons à la place de ses parents, nous mesurons le courage de sa soeur. Rencontre «Bord de scène» avec l’équipe du spectacle à l’issue de la représentation. 15 * RE THÉÂTIO N CRÉAT Texte : Catherine Zambon Mise en scène : Emilie Le Roux Assistée de Fanny Duchet Avec : Julien Anselmino, Marie Bonnet, Fabienne Courvoisier, Colin Melquiond, Najib Oudghiri distribution en cours Création lumière : Eric Marynower Création musicale : Théo Ceccaldi, Valentin Ceccaldi, Roberto Negro. Coproduction : Espace 600, scène Rhône-Alpes [Grenoble]. «Mon frère, ma princesse» a été édité dans la collection Théâtre de l’École des Loisirs en 2012. Il a aussi reçu le Prix Collidram prix de littérature dramatique des collégiens en 2013. A partir de 8 ans Durée prévue : 1 h Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes Vendredi 13 mars à 19h30 12 € / 10 € Séance scolaire Vendredi 13 mars à 14h Photo Fanny Duchet & Éric Marynower Mon frere, ma princesse Le Misanthrope THÉÂTRE ET COMPAGNIE / Molière / Michel Belletante * RE THÉÂTIO N CRÉAT Ce n’est jamais tout à fait un hasard quand le désir des metteurs en scène se fixe ainsi avec insistance sur l’une des grandes pièces du répertoire. Visiblement, Le Misanthrope a des choses à dire sur et à notre époque. Cette «comédie» nous peint la complexité humaine au travers de la primauté de l’amour propre : chacun lutte pour imposer son point de vue personnel et, peu importe les moyens, pourvu qu’on ait la fin… Molière, en écrivant sa première grande pièce en vers, en 1665, a voulu, en fait, dresser le portrait de son siècle. Il s’agissait moins pour lui d’étudier le caractère du misanthrope, que de se servir de cet archétype humain comme révélateur des usages du monde. La pièce est écrite dans une langue admirable, on le sait, mais c’est chaque fois un étonnement de le vérifier. La société dans laquelle nous vivons n’a, en apparence, plus grand-chose en commun avec celle du Roi-Soleil. Mais la question posée par Molière reste brûlante : faut-il, face à une société en perpétuelle représentation et qui a perdu ou dévoyé ses valeurs, se draper dans sa hautaine solitude et se retirer, comme Alceste, ou composer avec le monde tel qu’il est, comme Philinte, son «ami», qui incarnerait alors, face à cette intransigeance, la «sagesse» du juste milieu ? Faut-il se contenter de la société du «signe» et de l’apparence de réalité ou imposer du sens dans la réalité ? Taciturne, sincère (?) et farouchement opposé à l’étiquette mondaine qui dénature le langage, Alceste critique ouvertement toutes les fausses attitudes à la mode, les fausses valeurs et les faux-semblants, se présentant lui, l’incorruptible comme un parangon de vertu défendant le sens au milieu d’une société du signe futile et artificielle…Vous avez dit people ? Vous avez dit téléréalité ? Vous avez dit Facebook…? Rencontre «Bord de scène» avec l’équipe du spectacle à l’issue de la représentation. 16 Texte : Molière Mise en scène : Michel Belletante Assisté de : Carl Miclet Création lumières : Andrea Abbatangelo Musique : Patrick Najean Costumes : Anne Dumont Maquillage : Kathy Kuhn Création vidéo : Benjamin Nesme Avec : Steeve Brunet, Renaud Dehesdin, Floriane Durin, Léo Ferber, Carl Miclet, Gilles Najean, Philippe Nesme, Marianne Pommier, Pierre Tarrare Coproduction Théâtre et compagnie, Théâtre du Vellein CAPI, Théâtre de Vienne. A partir de 12 ans Durée prévue : 1 h30 Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes Vendredi 20 mars à 20h30 12 € / 10 € Papa est en bas LA CLINQUAILLE / Christophe Roche / Alban Coulaud * E THÉÂTuRblic Jeune P Le milieu de la petite enfance, crèches, haltes-garderies, mais aussi les spectacles à destination des tout petits sont des environnements très féminins. Mais un homme peut également aller dans cet univers et parler de la maternité. Sur une idée originale de Christophe Roche Interprétation : Christophe Roche Mise en scène : Alban Coulaud Marionnettes : Judith Dubois Musiques : Christophe Roche Création lumière : Ludovic Charrasse A partir de 2 ans Durée : 40 mn clinquaille.eklablog.com Uniquement en séances scolaires Jeudi 9 avril à 9h30 et14h Vendredi 10 avril à 9h30 17 Photo Thierry Laporte Ce soir là, papa est en bas, dans le laboratoire de sa drôle de chocolaterie. Il vient d’endormir son enfant dans la pièce voisine. Il range et nettoie les ustensiles, vérifie le chocolat qui fond dans la casserole. Comme il est tard, il somnole et s’endort. Soudain le petit monde de la cuisine s’anime. Les moules de poules défilent jusqu’à la casserole de chocolat chaud. Tout se remet en marche. Papa fabrique une poule avec une machine bizarre. Comme elle s’ennuie et rêve d’amour, il lui fait un beau coq, tout de chocolat blanc vêtu. L’histoire peut commencer. Ces deux voisins cohabitent, tentent de faire connaissance. Mais leur différence est si grande… Papa est fort chagriné. Comment va naître l’amour entre ces deux là ? Vont-ils oser ? Et puis... un oeuf ! Un beau petit oeuf en chocolat. Quelle surprise ! Ni l’un ni l’autre ne peuvent l’abandonner là. Et cet oeuf qui grandit, grandit encore. Comme un ventre de femme qui s’arrondit, il faut le choyer, le préserver. Et il grossit, grossit encore. Tant et si bien que pour le déplacer, il faut déployer des trésors d’ingéniosité. Quel mystère ! Que peut-il contenir ? Des poussins ? BULBILLE LA SOUPE AUX ÉTOILES / Nathalie Pérat / Irène Chauve * E THÉÂTR L MUSICuAblic Jeune P II était une fois une jolie bulle, portée par le vent. Un peu en haut, un peu en bas. Elle monte dans le ciel, comme pour toucher le soleil. Il était une fois une bulle vive et légère portée par le vent. Au fil de son voyage, elle collecte mille et un trésors, elle fait des rencontres, mais ne sait pas où aller. L’oiseau saura guider la bulle jusqu’à l’Arbre à Musique... Ensemble, ils feront des merveilles. Ce récit, conçu pour les plus jeunes enfants, est conté et illustré par la musique et les objets. Dans un univers coloré et chaud, les interprètes vont à la rencontre des enfants pour les faire voyager. Les mots sont contés ou chantés mais restent simples. Bulbille est une bulle qui rassure. Dans un nuage de bulles aux reflets colorés, l’histoire d’une bulle particulière commence. Durant le spectacle, elle sera incarnée par une balle de jonglerie en acrylique (translucide comme une bulle). Avant de parvenir à l’Arbre à Musique, elle se laisse porter par le vent et joue avec les plumes que les oiseaux laissent tomber. Elle rencontre différents animaux. Chacun d’entre eux correspond à un des quatre éléments et conduit la bulle dans son univers. Comme le jeune enfant, cette bulle virevolte sans cesse mais elle sait aussi prendre le temps de découvrir, de se reposer et de rêver. Sur une idée originale et un texte de : Nathalie Pérat Mise en espace : Irène Chauve Comédienne, jongleuse : Maud Terrillon Musicien , jongleur : Sylvain Michel Conception graphique et décors : Didier Pourat A partir de 1 an Durée : 35 mn www.lasoupeauxetoiles.fr Uniquement en séances scolaires 18 Mardi 5 mai à 9h15 et 10h30 , Beaute Monstre Compagnie LA BELLE TRAME / Charlotte Pareja / Charlotte Pareja * E THÉÂTuRblic Jeune P ION CRÉAT EN FAMIL Un hommage à la haute couture revisité par une costumière de théâtre, truffé d’images de rêves, qui se transformeront en d’étranges silhouettes. Tout commence autour de l’univers du défilé de mode et de ses conventions. Au-delà d’une simple vitrine, le défilé de mode est un vrai spectacle, mis en scène, avec ses codes, son mode de représentation. Charlotte PARÉJA cherche à interroger ce mode de représentation, ce processus et à le confronter à celui du théâtre. Sur le podium, des personnages paradent selon des codes précis et tendent à représenter un idéal de beauté et de jeunesse. Peu à peu, le rituel mécanisé s’enraye et nous entraîne vers une accumulation et une déformation d’images, basculant du trop beau vers le grinçant, l’étrange, l’inattendu... Jusqu’où peut-on exagérer le beau ? Où se trouve la frontière entre beauté et laideur ? Il s’agit d’interroger le Beau et le Laid au vue de nos références communes mais aussi selon la perception de chacun, de sa singularité et de son expérience (adultes, adolescents, enfants, tout-petits...). Ainsi, le public est invité à s’interroger sur ses propres critères de beauté et se laisse guider vers le plaisir du jeu des acteurs et des apparences. LE Mise en scène : Charlotte Pareja Création sonore : Nicolas Forges Création lumière et régie : Magali Larché Création des costumes : Florinda Dongattauser, Pauline Kocher, Charlotte Paréja Avec : Gabriel Aguiar, Violeta Toda-Gonzales, Gabrielle Jeru, Pauline Kocher Coproductions : Centre d’Animation de la Cité Lausanne (Suisse) Très Tôt Théâtre, scène conventionnée jeune public Quimper (29) Quelques p’Arts, centre national des arts de rue, scène Rhône-Alpes Boulieu-les-Annonay (07) A partir de 6 ans Durée : 50 mn Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes L’atelier «costumes monstres». En collaboration avec l’association «Un tissage coloré» nous proposons un atelier de création de costumes monstrueux. Ces costumes sont destinés à être utilisés lors des interventions dans les classes des écoles primaires de La Ricamarie. 19 Déjà vu : Oripeaux Mercredi 27 mai à 14h30 Séances scolaires Jeudi 28 mai à 9h30 et 14h Photo Emile Zeizig La séance du mercredi 27 mai sera suivie d’un goûter et d’un atelier «danse et joue avec les vêtements» en compagnie de Charlotte Pareja, de 16h15 à 17h45. Inscription obligatoire. Tarif : 5 € pour le couple parent-enfant à partir de 6 ans. * Klaxon CIRQUE AKOREACRO En itinérance, cette création en circulaire, puise dans le savoir-faire des anciens tout en tenant compte des enjeux contemporains. Avec une technique acrobatique virtuose et beaucoup d’invention, ce collectif d’artistes confronte l’imaginaire à la réalité. Sur la piste, 5 musiciens et 6 acrobates traversent, se croisent, se supportent, se passent la balle ... Un univers au quotidien surprenant, où ce qui est supposé être normal devient magique, un piano qui s’affole, un dresseur approximatif, des sons qui claquent. Dans l’obscurité les folies douces de chacun chercheront la lumière. A la fois drôle, farfelu et spectaculaire, toujours aux limites du réalisable, chacun va tenter de se hisser à la hauteur de ses désirs. Dans ce cercle chacun a sa partition, sa vision, sa bonne raison. Une création collective défendue corps et âmes par ces artistes aux multiples talents. Le tout entraîné par une musique originale et contrastée, composée pour ce voyage improbable où l’imaginaire n’est autre que la réalité de l’artiste. L’acrobatie est la colonne vertébrale du spectacle. Ici réside la réussite de Klaxon : l’acrobatie est d’autant plus émouvante qu’on ne l’attend pas, elle surgit de l’embouteillage scénique, se laisse oublier pour surprendre encore. A chaque instant elle est là, comme support du rêve. Un micro remplace une massue, un chapeau une balle : le numéro de jonglage se déploie comme une joute de slam, où chien, groove, boîte à rythme se lancent des défis... Rêvons, rêvons le cirque, car tout devient poème, de la performance acrobatique à la chute d’une plume ; tout est rythme, tout est musique surtout. E Loir n scène Spectacle présenté par l’association LOIRE EN SCÈNE LOIRE EN SCÈNE est une association loi 1901 qui regroupe un ensemble de professionnels représentant les lieux de création et de diffusion artistique et culturelle, agissant dans le domaine du spectacle vivant et implanté sur le département de la Loire. L’ensemble des adhérents partage une préoccupation commune d’élargissement des publics, de notion de service public de la culture, d’aide à la création avec une attention particulière mais non exclusive portée aux artistes ligériens. 20 La presse en parle «Les scènes se succèdent à un rythme effréné, plus aucun temps mort, on ne sait plus où donner de la tête. Le souffle court, on tremble, on vibre, on vit l’instant présent dans une sorte d’état second, baigné par une ivresse jouissive qui tire les sourires et les rires comme les larmes.» L’ECHO (Haute-vienne) «Dans le tumulte, on perd jusqu’au propos. Qu’importe. Akoreacro déploie une énorme énergie généreuse et les membres du groupe, soudés comme les doigts de la main, donnent force et cohésion à l’ensemble.» LA SCENE A partir de 5 ans Durée prévue : 1 h15 www.akoreacro.com Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes Vendredi 29 mai Samedi 30 mai à 20h30 Dimanche 31 mai à 17h 18 € / 15 € moins de 15 ans 10 € Photo Niels Benoist Alchimie entre musique et acrobaties. Tout est dans tout et réciproquement, telle est la logique secrète de Klaxon. S'il pleut de partout, c'est que le ciel est plein de trous * E THÉÂTuRblic Jeune P LA CLINQUAILLE / Louis Calaferte / Christophe Roche / Alban Coulaud Forme théâtrale hybride mêlant chansons, musique et théâtre ce spectacle est une traversée improbable et brinquebalante. Ils sont deux, Mâdâme et Norbert son homme à tout faire. Elle, chanteuse d’opéra oubliée, se rêve encore en diva malgré le temps qui ruisselle. Elle vit dans un monde à elle, un monde de poésie et de douce folie où tout ne tourne pas toujours très rond. Lui, le fidèle majordome, est le dernier compagnon de route de Mâdâme. Il tente de maintenir à flot cet intérieur qui doucement prend l’eau, et accompagne Mâdâme dans ses rêves d’opéra passés. Norbert se met en quatre pour ses beaux yeux et lui invente un chemin doré. Et qui sait, si l’amour était au bout de leur voyage ? Une partie de la poésie de Louis Calaferte peut toucher le jeune public par son intensité et son humour autant dans les registres de la tendresse, l’émerveillement, la drôlerie ou l’insolence. Certains de ces textes conduisent à imaginer des tableaux (de peinture), sortes d’images arrêtées ponctuant une saynète. Et certaines images de ce spectacle trouvent un écho dans des phrases ou poèmes. Texte : Louis Calaferte Interprétation : Christophe Roche, Odile Bertotto Mise en scène : Alban Coulaud Musique : Christophe Roche Création lumière : Guillaume Lorchat Scénographie : Isabelle Decoux Uniquement en séances scolaires 21 Mardi 2 juin à 9h30 et 14h Jeudi 4 juin à 9h30 et 14h Photo Thierry Laporte A partir de 2 ans Durée : 35 mn clinquaille.eklablog.com Les réseaux et labels Coproduction et diffusion en réseau Cette saison, le Groupe des 20 accompagnera trois créations en coproduction et diffusion: - Le Retour de Garance, Théâtre de Nuit /Aurélie Morin - Ce qui n’a pas de nom, Cie Les Voisins du dessous/Pascale Henry - Chant d’hiver, Samuel Sighicelli En milieu scolaire La Route des 20, rencontre professionnelle entre compagnies et responsables de programmation aura lieu les 7 et 8 janvier 2015 au Théâtre du Vellein à Villefontaine (38) Le Centre Culturel de La Ricamarie est en délégation de service public avec la Ville de La Ricamarie et est conventionné par le Conseil Général de La Loire et le Conseil Régional Rhône-Alpes. Il est soutenu par la Direction Régionale des Affaires Culturelles dans le cadre de ses actions d’éducation artistique en milieu scolaire. E Loir n scène Le Centre Culturel de La Ricamarie est membre du réseau «Loire en Scène». «Loire en scène» est une association loi 1901 qui regroupe un ensemble de professionnels représentant les lieux de création et de diffusion artistique et culturelle, agissant dans le domaine du spectacle vivant et implanté sur le département de la Loire. L’ensemble des adhérents partage une préoccupation commune d’élargissement des publics, de notion de service public de la culture, d’aide à la création avec une attention particulière mais non exclusive portée aux artistes ligériens. LEGROUPE DES 20 DE LA REGION RHÔNE-ALPES Situés dans les villes moyennes au coeur de la Région ou dans les périphéries des agglomérations grenobloises, lyonnaises et stéphanoises, les théâtres du Groupe des 20 constituent un réseau représentatif de la décentralisation du théâtre public français : inscription dans un territoire avec une activité de diffusion pluridisciplinaire ; soutien des équipes artistiques régionales pour la création ; médiation entre les publics et les artistes afin de favoriser la découverte des œuvres. Le Groupe des 20 travaille en partenariat avec la Région Rhône-Alpes et le Ministère de la Culture-Direction Régionale des Affaires Culturelles, qui le soutiennent pour l’ensemble de ses activités. Le Groupe des 20 Rhône-Alpes Théâtre du Parc – Andrézieux-Bouthéon / Château Rouge – Annemasse / Quelque p’Arts – Boulieu Lès Annonay / Théâtre de Bourg en Bresse / Espace Albert Camus – Bron / Le Polaris – Corbas / La Rampe- La Ponatière – Echirolles / L’Amphithéâtre – Le Pont de Claix / L’Hexagone Scène Nationale – Meylan / Train Théâtre – Porte Lès Valence / Théâtre de Privas / Centre Culturel – La Ricamarie / Théâtre de Roanne / L’Heure Bleue – St Martin d’Hères / Théâtre Théo Argence – St Priest / L’Auditorium – Seynod / La Maison des Arts – Thonon les Bains / Théâtre de Vénissieux / Théâtre de Vienne / Théâtre du Vellein – Villefontaine / Théâtre de Villefranche Les scènes Rhône Alpes soutiennent activement la création en accueillant des artistes en résidence et en coproduisant des spectacles. Leurs programmations sont concertées et complémentaires, elles jouent un rôle fondamental dans la diffusion de la création contemporaine décentralisée et de la création régionale, et s’ouvrent à d’autres disciplines (musiques actuelles, classiques ou contemporaines, théâtre musical, danse, arts de la rue, du cirque ou du récit). La médiation entre les artistes, les oeuvres et le public reste une priorité. Ces scènes sont également engagées dans un processus de développement durable, respectueux de l’environnement et de l’égalité homme / femme. La volonté du Centre Culturel de La Ricamarie est de mettre la création artistique à la portée du plus grand nombre et d’accompagner au mieux la démarche des spectateurs. En favorisant la rencontre, sous toutes les formes imaginables, entre les artistes et les publics, en mettant en œuvre de nombreux projets en milieu scolaire, nous encourageons la découverte, la réflexion, la pratique et la complicité avec les artistes accueillis. Les parcours artistiques pour les collèges et les lycées. Nous souhaitons favoriser l’implication des élèves et de leurs enseignants dans la durée. C’est pourquoi nous avons imaginé différents parcours qui constituent autant de rencontres avec les artistes de la saison. Les classiques revisités 3 spectacles : «Le tour complet du cœur», «Sur le chemin d’Antigone», «Le Misanthrope». 3 h d’atelier avec la compagnie Attention Fragile (Le tour complet du cœur) 3 h d’atelier avec l’Agence de Voyages Imaginaires (Sur le chemin d’Antigone). 1 h de rencontre avec Michel Belletante Metteur en scène du Misanthrope. Auteur total 3 textes de théâtre d’auteurs contemporains à lire. 3 rencontres avec les auteurs. 3 spectacles écrits par des auteurs contemporains à voir. 1 rencontre avec l’un des metteurs en scène. En option 8 h d’atelier d’écriture. Histoires de l’humanité 3 spectacles à choisir sur 4 propositions : «Mon frère, ma princesse», «Médina Mérika», «Le Misanthrope», «On en croirait pas ses yeux». Une répétition publique de «Mon frère, ma princesse». Le prologue «Boys‘n’girls» joué en classe par la compagnie Les Veilleurs (Mon frère, ma princesse). 1 h de rencontre avec Abdel Sefsaf - metteur en scène de «Médina Mérika» 1 h de rencontre avec Michel Belletante - metteur en scène du «Misanthrope». 1 h de rencontre avec Emilie Flacher - metteure en scène de «On en croirait pas ses yeux». En option possibilité d’atelier d’écriture et/ou de marionnette. En option 9 h d’atelier d’analyse d’images et de création vidéo sur le thème de «la représentation de soi et le regard des autres». Les parcours artistiques pour les écoles primaires et maternelles Chaque année le Centre Culturel de La Ricamarie propose aux élèves des écoles primaires de la ville 3 spectacles et 2 spectacles pour les élèves des écoles maternelles. Ces spectacles sont gratuits pour les élèves et leur famille. Par ailleurs plusieurs actions d’éducation artistique sont proposées. Pour 2014/2015, 3 parcours artistiques sont proposés aux écoles primaires et 1 parcours aux écoles maternelles : «Boys‘n’girls» 2 spectacles : «Mon frère, ma princesse» et «Les aventures d’Aglaé au pays des malices et des merveilles» + 1 spectacle au choix. Le prologue «Boys‘n’girls» en classe. Rencontre avec Sabine Revillet, auteure des «Aventures d’Aglaé au pays des malices et des merveilles» 10 h d’atelier avec Cédric Veschambre - metteur en scène des «Aventures d’Aglaé au pays des malices et des merveilles» Représentation de soi, regard des autres 2 spectacles : «Les aventures d’Aglaé au pays des malices et des merveilles» et «Beauté Monstre» + 1 au choix. Rencontre avec Sabine Revillet, auteure des «Aventures d’Aglaé au pays des malices et des merveilles» 4 ateliers de 1h30 chacun avec Charlotte Pareja - metteure en scène de «Beauté Monstre». Dessus, dessous, autour de Michèle Bernard. Les enfants des écoles primaires s’approprient les chansons de Michèle Bernard en compagnie de Véronique Lefebvre et Flavie Marcon, musiciennes intervenantes à l’Ecole Intercommunale des Arts La Ricamarie - Le Chambon Feugerolles. Autour de Sol LeWitt 1 spectacle : DOT. + 1 au choix. 8 h d’atelier de découverte de l’oeuvre de Sol Lewitt en compagnie de Cécile Egger, platicienne. La collaboration avec «la plateforme» de Nos partenaires associatifs Le Centre Culturel de La Ricamarie et l’AGASEF (association de prévention spécialisée auprès des jeunes) collaborent pour la réalisation de «chantiers d’accueil». Ces chantiers consistent à participer le soir des spectacles à l’accueil du public et des artistes. Une convention lie l’association Vivre Ensemble (association d’action sociale et de loisirs) et le Centre Culturel de La Ricamarie pour la réalisation des repas des équipes artistiques accueillies. Cette action vise à favoriser une participation active des membres de l’association à la vie du Centre Culturel. De nombreuses actions de médiation sont organisées régulièrement en collaboration avec l’Harmonie des Mineurs de La Ricamarie, l’Ecole Intercommunale des Arts, la Médiathèque Jules Verne, les Centres de Loisirs, l’association Prise II Conscience (culture hip hop), l’association «Un tissage coloré»... Les ateliers Atelier photo : en alternance le jeudi et le vendredi de 18h30 à 20h30. Atelier photo : 28 rue de la Libération - La Ricamarie. Adhésion annuelle : 13 € + 23 € Atelier d’art floral : un jeudi par mois entre octobre et juin à 20h30 au gymnase Youri Gagarine. Adhésion annuelle : 13 € + 15 € par cours. L’idée de ce projet est toute simple. Comment valoriser le fait que le théâtre ne naît pas sur une scène ? Car il y a un avant. Un avant spectacle. Un avant scénique bien sûr, dans le travail de répétition. Mais surtout un avant d’écriture. Toute pièce, qu’elle soit théâtrale, chorégraphique, circassienne, musicale, est, à un moment ou à un autre, passée par l’écriture. Et si aujourd’hui les formes de création ont évoluées pour aller vers un théâtre « autrement » - improvisation, mélange des genres, aller-retour entre la scène et l’écriture – il n’en demeure pas moins que l’intérêt de l’auteur, reste fondamental, même si sa posture et sa présence dans l’acte de création ont changé. A partir de là, comment organiser la rencontre ? La rencontre entre l’auteur et le public. La rencontre entre l’auteur et le metteur en scène. La rencontre entre les différents publics. Comment faire comprendre au public jeune que l’auteur contemporain est parmi eux, bien vivant, perméable aux diversités de la vie et inscrit dans le monde que nous partageons ? Comment rendre compte du lien étroit entre la scène et la table où s’ébauche le texte, l’un étant dépendant de l’autre ? Comment rendre ce public actif en le faisant entrer dans le plaisir de la lecture et dans le plaisir du jeu avec les mots ? La réponse se trouve très certainement dans les mots «partage», «échange», «rencontre», «compréhension», «découver te», «curiosité», «intelligence», et dans bien d’autres encore qui sont à inventer. Notre réponse, nous avons tenté de la trouver dans le projet « AUTEUR TOTAL». la compagnie Ariadne (Bourgoin-Jallieu) et avec Troisième bureau (Grenoble). Conditions d’abonnement et tarifs Plutôt que de créer un nouveau lieu ressource pour les auteurs, il nous a semblé plus pertinent de collaborer avec 2 structures régionales ayant les compétences et les ressources nécessaires pour nous proposer une sélection de textes dramatiques s’adressant à tous les publics. Une première sélection de 6 textes sera soumise à un comité de lecture composé de metteurs en scène, d’enseignants engagés dans le projet et de personnes issues du public. 3 textes seront retenus pour être proposés dans les collèges et lycées partenaires et auprès d’un large public sollicité pour collaborer à cette action. Les 3 auteurs seront invités à la rencontre des publics. Au terme de 2 mois de lecture et de rencontres (entre janvier et février), l’ensemble des lecteurs désignera un lauréat. Son texte sera mis en lecture dans le cadre d’une soirée AUTEUR TOTAL où il recevra une bourse de 1500 €. La lecture et le texte seront ensuite diffusés auprès de lieux partenaires. 1 formulaire par personne pouvant être photocopié, à retourner au Centre Culturel de La Ricamarie salle Louis Daquin avenue Maurice Thorez 42150 La Ricamarie. Votre abonnement doit être composé de 4 spectacles minimum sélectionnés dans au moins 3 des 4 postes proposés. Vous pouvez choisir le nombre de spectacles que vous désirez dans chacun des postes. Il n’y a pas de maximum. A vous de composer votre menu. Cochez la case des spectacles retenus et celle de la date choisie s’il y en a plusieurs. Faites votre addition et vous avez le montant de votre abonnement. Il ne sera délivré qu’une seule place par spectacle choisi dans l’abonnement. La place supplémentaire pour un spectacle déjà choisi sera facturée au tarif normal ou tarif réduit en fonction de la catégorie à laquelle vous appartenez. Les abonnements réduits sont accordés aux adhérents du Centre Culturel, aux moins de 16 ans, aux personnes sans emploi, aux étudiants, aux intermittents du spectacle, et aux groupes, collectifs ou associations à partir de 10 abonnements. Possibilité de règlement en plusieurs fois. Date limite d’encaissement : 31/12/2014. Nous acceptons la Carte M’ra pour les lycéens, les chèques vacances, les coupons culture de l’Université Jean Monnet. Abonnement réduit : réservé aux adhérents du Centre Culturel, aux intermittents du spectacle, tout abonnement à partir de 7 spectacles Abonnement famille : 8 places (hors festival Les Oreilles en Pointe, supplément 2,50 € pour Klaxon - compagnie Akoreacro) pour 60 € quel que soit le poste. Minimum 2 postes, maximum 4 places par spectacle. Cet abonnement s’adresse aux familles avec au minimum 1 adulte et 2 enfants. Scolaires : Tarif de la place à l’unité : 7,50 € pour les collégiens et lycéens hors carte M’Ra, tarif réduit pour les lycéens payant avec la carte M’Ra. Accompagnateur gratuit dans la limite de 1 pour 10 élèves. Abonnement collèges et lycées : non nominatif pouvant être utilisé pour plusieurs élèves. 3 places pour 21 €. Spectacle supplémentaire 7 €. Abonnement Maxi Plus : Abonnez-vous pour 10 spectacles à 85 €. Abonnement Collectif : Tarif réduit à partir de 10 abonnements (associations, groupes, collectifs). Vos coordonnées M. Mme Nom : Prénom : Adresse : Code postal : Ville : Téléphone :email : & ABONNEZ-VOUS Composez votre abonnement en choisissant au minimum 4 spectacles dans 3 des 4 postes proposés. Date Horaire Tarif Tarif réduit Le tour complet du coeur 10 € 8€ Sur le chemin d’Antigone 10 € 8€ Le Misanthrope 10 € 8€ Les psychopompes 10 € 8€ A plates coutures 10 € 8€ 10 € + 1 € 8€+1€ Poste 1 Poste 2 Ecris-moi un mouton Poste 3 Klaxon 15 € 12 € / 10 € Daphné / Lior Shoov 17 € 15 € Médina Mérika 13 € 11 € Ce qui n’a pas de nom 13 € 11 € Cadavres exquis 10 € 8€ San Antonio chez les gones 10 € 8€ Mon frère, ma princesse 10 € 8€ moins de 15 ans VENIR AU CENTRE CULTUREL DE LA RICAMARIE Le Centre Culturel de La Ricamarie est une association. PAR LE TRAIN La gare de La Ricamarie est à quelques pas du Centre Culturel. Horaires sur www.voyages-sncf.com Président : Pierre-Olivier PRORIOL Vice-Présidente : Josiane FEUDO Trésorière : Claudette BOUCHET Secrétaire : Chantal DECROIX et les membres du Conseil d’Administration. Rejoignez-nous en adhérant au Centre Culturel de La Ricamarie et en participant à la vie de l’association. PAR LA ROUTE En venant de LYON : - Arriver à Saint-Etienne prendre direction FIRMINY - LE PUY. Passer sous le tunnel du Rond-Point, poursuivre en direction de FIRMINY. Prendre la sortie d’autoroute LA RICAMARIE. Au bout de la bretelle, au feu, prendre à gauche, puis continuer toujours tout droit. Vous arrivez à un nouveau feu en haut de la côte, continuer tout droit, descendre. - Arriver à La Ricamarie, passer sous le pont d’autoroute, continuer jusqu’au rond point (arrêt de bus sur votre droite, monument aux morts sur votre gauche). Passer le rond point et prendre la première rue à droite (rue Voltaire). Aller jusqu’au rond point, puis prendre à gauche avenue Maurice Thorez. Poursuivre sur 300 m, le Centre Culturel est sur la gauche. Une série de panneaux indique «Centre Culturel» et «Salle Louis Daquin» En venant de CLERMONT-FERRAND : - Sur l’A72, avant d’arriver sur SAINT-ETIENNE, prendre direction FIRMINY - LE PUY. - Poursuivre cette direction jusqu’à la sortie LA RICAMARIE. - Au bas de la bretelle de sor tie, descendre la rue, passer devant l’hypermarché GÉANT, puis prendre la seconde route à droite (massif fleuri). - Poursuivre sur 1 km environ, toujours tout droit. Le Centre Culturel est sur la gauche. Poste 4 Montant total de votre abonnement A retourner accompagné de votre règlement libellé à l’ordre de «Centre Culturel de La Ricamarie» € € Retrouvez nous sur Facebook www.facebook.com/cclaricamarie Centre Culturel de La Ricamarie salle Louis Daquin - Avenue Maurice Thorez 42150 La Ricamarie Tel : 04 77 80 30 59 email : [email protected] Notre programme en images sur notre site : www.centre-culturel-laricamarie.fr VILLE DE LA RICAMARIE Sc è ne R é g io na le Scène Départementale