Conjoncture - Essonne Developpement
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Conjoncture - Essonne Developpement
Essonne Conjoncture L’apprentissage en Essonne I La campagne 2011/2012 La campagne 2011/2012 a connu un maintien du nombre de contrats d’apprentissage signés. 4 830 contrats ont été validés, contre 4 824 l’année précédente. 71 % de ces contrats sont gérés par la CCI Essonne, 26 % par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Essonne et 3 % par la chambre d’agriculture d’Ile-de-France. Les deux tiers des contrats conclus par les employeurs de l’Essonne ont bénéficié à des jeunes résidant dans le département, le tiers restant étant conclu avec des jeunes résidant dans d’autres départements. Inversement, plus de 2 800 jeunes essonniens ont pu bénéficier d’un contrat avec un employeur d’un autre département, principalement à Paris, dans les Hauts-de-Seine et dans le Val-de-Marne. Au total, un peu plus de 6 000 jeunes essonniens sont entrés en contrat d’apprentissage durant la campagne 2011/2012. Transports Conseil Conseil routiers de marchandises Les employeurs affaires gestion en publicité ■ Chiffre d’affaires ■ Effectifs Les trois employeurs plus importants sont, par ordre décroissant : La SNECMA, Faurecia et SANOFI-AVENTIS. La plupart de ces employeurs sont de petite taille. 50 44,2 % 40 30 20 10,3 % 10 0 moins de 10 salariés Transports routiers de 10 - 19 salariés Conseil affaires 10,2 % 20 - 49 salariés 10,5 % 50 - 99 salariés 14,6 % 7,3 % 100 - 249 salariés Conseil en 250 salariés et plus Quatorze secteurs d’activité ont conclu au publicité moins cent contrats en marchandises gestion 2011/2012, la construction et d’affaires le commerce de détail ayant réalisé à ■ Chiffre ■ Effectifs eux seuls presque le quart des contrats. 14 12 10 8 6 4 2 0 12,6 % 10,4 % 6,7 % 6,1 % 5,6 % 5,3 % 4,5 % 3,5 % 3,4 % 3,1 % 3,0 % 2,7 % 2,5 % 2,1 % x e e e n s ls e rs tion e ts ce ce ce r i e e s t u r i e rc h n t u i e s i a u n r i e r t c i e x d n e r i l i q u re e r e s e r o s t i o au ctio m éta hét iffu m bil m gr ura dustntair hitec nier echeeme Prodtiqu s soc estiomaténspo nan mmaatiqu fi n e rc n g é R p p a g e rT av stru Comde d Est t co Comomo Com de esta a I s r s ra m g m A ti e R o ut o r m i è l d e t re e t i c e P ro g i n f o r ali co n e ve l inf Snsei Au d Ser v d’a dé Co Les apprentis Plus de la moitié des apprentis embauchés par les entreprises du département étaient auparavant scolarisés, le quart avait un contrat d’apprentissage, 14 % étaient étudiants, 8 % connaissaient une autre situation : salarié en contrat précaire, demandeur d’emploi. Les diplômés de niveau V (CAP-BEP) restent ceux qui sont le plus fréquemment préparés, mais la part des formations supérieures s’accroît et atteint pour cette campagne 49 % des formations préparées. Par niveau de formation, les diplômes les plus fréquemment préparés par les apprentis des entreprises de l’Essonne sont les suivants : - Master pro informatique et ingénierie des réseaux - DCG (comptabilité et gestion) - BTS négociation et relation clients - Bac pro commerce - CAP coiffure et CAP cuisine A noter enfin que les 2 800 jeunes essonniens qui ont signé leur contrat avec un employeur situé hors du département préparent souvent des diplômes de niveau plus élevé que ceux qui sont restés dans leur département. Ils sont 67 % à préparer un diplôme d’enseignement supérieur. I L’amorce de la campagne 2012/2013 La campagne 2012/2013 qui s’engage devrait voir croître le nombre d’inscriptions en CFA, en particulier dans les CFA du supérieur et à la Faculté des métiers. A fin octobre comme chaque année, les CFA ont encore des places vacantes et pour certaines, des employeurs en attente d’un apprenti. Par ailleurs, des jeunes inscrits en CFA n’ont pas encore trouvé d’employeurs. Des places sont disponibles notamment dans le tertiaire, mais aussi l’industrie, le BTP et le commerce. I La convention d’objectif et de moyens pour le developpement de l’apprentissage jusqu’en 2015 En déclinaison de l’accord régional, un travail partenarial s’est déroulé en Essonne, avec l’ensemble des acteurs contribuant à l’apprentissage : conseil régional, Etat (Direccte et Education nationale), chambres consulaires, Centres de Formation d’Apprentis, Pôle emploi, missions locales, afin de définir les moyens nécessaires pour développer l’apprentissage. Après une phase d’échange, un plan d’action a été élaboré qui vise à promouvoir l’apprentissage tant auprès des employeurs que des jeunes et de leurs familles : encourager le recrutement d’apprentis de bas niveau de qualification, sans nuire à la croissance des autres niveaux - améliorer le taux de remplissage des CFA – sécuriser le parcours des jeunes en CFA en prévenant les ruptures – veiller à l’accès pour un large public notamment en ZUS. Ce travail se concrétisera courant novembre par la signature d’une convention d’objectif et de moyens signée entre le conseil régional d’Ile-de-France, le préfet de l’Essonne et la directrice d’inspection académique. numéro 26 novembre 2012 2000 1807 1800 1721 1600 1549 1779 1502 1441 1400 1219 1200 890 800 Tendances 1375 1192 854 794 1487 1373 1232 1180 1076 1032 1010 1000 1562 1437 1137 908 1074 992 879 600 400 200 20 10 1e rt 4e 3e tri tri m rim 20 09 20 09 20 09 m 20 09 tri 2e 1e rt Radiations m 20 08 rim m tri 4e Immatriculations 20 08 20 08 m tri 3e 2e 1e rt tri rim m 20 08 20 07 20 07 m m tri 4e 3e tri rim tri 2e 1e rt Les entreprises m 20 07 20 07 0 Les créations – disparitions d’entreprises 2000 Les immatriculations - radiations 1562 1600 1375 1400 Comme à l’accoutumée en cette période de l’année, la création d’entreprises est en chute, avec 1 179 immatriculations au 3ème trimestre 2012. C’est également un niveau plus faible que le même trimestre des 2 années précédentes, mais plus élevé que le 3ème trimestre 2009. En revanche, concernant la radiation d’entreprise, le 3ème trimestre 2012 enregistre une légère baisse, en s’établissant à 836 unités, alors qu’elle avait enregistré une hausse les 2 années précédentes pour le même trimestre. Le solde des immatriculations-radiations est lui aussi en baisse, à 343 unités, mais reste supérieur aux soldes constatés pour le même trimestre des années 2008, 2009, 2010, à l’exception de 2011. 1491 1396 1373 1232 1137 1180 1076 1200 1594 1487 1388 1249 1385 1188 1074 1032 992 908 879 1000 1359 1039 926 818 1510 826 1179 1030 994 826 854 857 836 800 600 Radiations d'entreprises 400 200 2 0 0 8 2 0 0 9 2 0 1 0 2 0 1 1 3 ème trim im trim 2 ème trim 1 er tr trim 4 ème 3 ème trim 2 ème 4 ème 1 er tr im trim trim 3 ème trim 2 ème 4 ème 1 er tr im trim trim 2 ème 4 ème 3 ème trim im trim 0 1 er tr I Immatriculations d'entreprises 1800 2 0 1 2 Source : Tribunal de commerce - évry Les transferts d’entreprises I Départs 100 Les transferts d’entreprises 80 Nombre d’unités 60 300 40 20 Les flux entrants en Essonne baissent (167 arrivées d’entreprises), tandis que les flux sortants sont en hausse (202 départs), d’où un solde des flux qui se dégrade de nouveau, en s’établissant à -35 unités (contre -14 précédemment). 278 250 0 200 -20 150 -40 100 Arrivées 234 198 178 235 180 177 176 254 218 211 154 133 juin juil août sept oct nov déc janv fév mars Solde avr mai juin juil août sept oct nov déc janv fév mars avr mai juin juil août sept Nouvelle dégradation de la situation de l’Essonne du point de vue des mouvements d’entreprises au 3ème trimestre 2012, alors qu’elle était en amélioration au trimestre précédent. 50 2 0 1 1 2 0 1 0 2 0 1 2 0 1er trim 2010 1er trim 2007 2e trim 2007 3e trim 2007 4e trim 2007 1er trim 2008 2e trim 2008 3e trim 2008 4e trim 2008 1er trim 2009 2e trim 2009 3e trim 2009 4e trim 2009 Source : Tribunal de commerce - évry Les ouvertures de procédures collectives 300 278 279 254 250 234 253 235 218 248 242 227 228 218 187 180 200 160 173 177 150 100 2 0 0 8 2 0 1 0 Source : Tribunal de commerce - évry trim trim 3 ème im 1 er tr 2 ème trim trim 3 ème 2 0 1 1 4 ème trim 2 ème im 1 er tr trim 4 ème trim 3 ème trim 1 tr im 2 ème er trim trim trim 2 0 0 9 4 ème 3 ème 2 ème im 1 er tr 4 ème 0 trim 50 trim Habituellement, le 3ème trimestre fait l’objet d’une baisse des défaillances. 2012 ne fait pas exception, avec 173 ouvertures de procédures collectives. Cependant, ce niveau est légèrement supérieur à ce qu’il était en 2011 (160), tout en restant inférieur à ce qu’il était en 2008, 2009 et 2010. Les ouvertures de procédures collectives 3 ème I 2 0 1 2 Tendances Les ménages Evolution du taux de chômage I Le marché du travail 10 9 France Métropolitaine Au 2nd trimestre 2012, le taux de chômage essonnien s’est établi à 7,2 % de la population active, contre 8,5 % en Ilede-France et 9,7 % en France metropolitaine. Par rapport au trimestre précédent, le taux de chômage s’est inscrit en hausse de 0,1 point, une hausse identique à celle observée en Ile-de-France (0,1 point). 8 Île-de-France 7 6 Essonne 5 2 0 0 8 2 0 1 0 2 0 1 1 trim 2 ème trim 1 er tr im trim 4 ème trim 2 ème 3 ème trim 4 ème 1 er tr im trim trim 2 ème 2 0 0 9 3 ème trim 1 er tr im 4 ème trim trim 2 ème 3 ème trim 1 er tr im 4 ème trim trim 2 ème 2 0 0 7 3 ème trim 1 er tr im 4 ème trim 3 ème 2 ème trim 4 2 0 1 2 Source : INSEE Evolution du nombre de demandeurs d’emploi cat. A (CVS) A la fin du mois de septembre 2012, 47 020 personnes sont inscrites comme demandeurs d’emploi en catégorie A . La reprise à la hausse de la demande d’emploi entamée au 2ème trimestre 2011 se poursuit au 3ème trimestre 2012. Entre fin juin 2012 et fin septembre 2012, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A s’est accru de 2,3 %. Cette progression est légèrement inférieure à celle qu’a connu, en moyenne, la région Ile-de-France pour ce 3ème trimestre 2012 (+2,8 %). A l’inverse, le nombre de jeunes demandeurs d’emploi de catégorie A en Essonne fait l’objet d’une baisse de -0,3 % pour ce trimestre. Cette baisse contraste avec la hausse observée en moyenne francilienne pour la même période et pour la même catégorie d’âge (+1,3 %). 47 000 45 000 43 000 41 000 39 000 37 000 Sur un an, le nombre d’inscrits à Pôle Emploi en catégorie A affiche une hausse toujours aussi soutenue, sur un rythme en outre un peu plus élevé que celui de la région : +8,8 % en Essonne et +8,5 % en Ile-de-France à fin septembre 2012. 35 000 33 000 31 000 2012 sept. juil. mai nov. janv mars 2011 sept. juil. mai nov. janv mars juil. mai 2010 sept. 2 0 0 9 nov. janv mars juil. mai sept. 2 0 0 8 nov. janv mars mai juil. sept. janv mars 29 000 Demandeurs d’emploi de catégorie A : demandeurs d’emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi, sans emploi 1 Source : DARES - Pôle emploi I Les procédures de licenciement collectif Nombre de suppressions de postes Nombre de procédures concernant plus de 10 salariés 800 700 600 15 500 400 10 300 200 5 100 0 2 0 0 7 2 0 0 8 Source : DIRECCTE IDF 2 0 0 9 2 0 1 0 2 0 1 1 1 er tr im 2 ème trim 3 ème trim trim trim 4 ème 3 ème im trim 1 er tr 2 ème trim 4 ème trim 1 er tr im èm 2 e trim 3 ème trim 4 ème trim 1 er tr im èm 2 e trim 3 ème trim 4 ème trim 3 ème im trim 2 ème 1 er tr trim trim 3 4 ème ème im 2 ème trim 0 1 er tr Nombre de procédures 20 900 2 0 1 2 Nombre de suppressions de postes 25 Les procédures de licenciements collectifs Au 3ème trimestre 2012, seulement 4 procédures de licenciement collectif ont été notifiées à la DIRECCTE de l’Essonne. Ce chiffre est le plus faible enregistré en Essonne depuis 2006, juste devant celui du 3ème trimestre 2011 (5 procédures). Si ces procédures sont conduites à leur terme, elles se traduiront par la suppression de 238 emplois dans le département. Même s’il est plus élevé qu’au 3ème trimestre 2011 (116 emplois), ce chiffre reste plutôt faible au regard des niveaux enregistrés lors des 3ème trimestres des années de crise (480 en 2008, 506 en 2009, 853 en 2010). Vue d’ensemble de l’activité économique en Île-de-France Mois sous revue : septembre 2012 I Source : Banque de France, Succursale d’Evry Le taux d’utilisation des capacités de production a peu évolué, s’établissant toujours très en deçà de sa moyenne de longue période. Industrie En septembre, l’activité industrielle francilienne s’est stabilisée, malgré la contraction significative enregistrée dans les secteurs des équipements électriques et électroniques et de la fabrication des denrées alimentaires. Globalement, les prix des matières premières et des produits finis ont peu varié sauf dans le secteur de l’aéronautique où des tensions à la hausse perdurent. On note, depuis deux mois, une dégradation générale de la demande étrangère. Les industriels continuent, néanmoins, d’apporter une appréciation positive sur les semaines à venir. Les carnets de commandes se maintiennent, en lien avec le bon niveau toujours observé dans les secteurs des équipements électriques et électroniques et de l’aéronautique. Les stocks sont adaptés aux plans de charge. I Services marchands En septembre, l’activité dans les services marchands s’est repliée en raison, essentiellement, des fortes diminutions enregistrées dans le travail temporaire, la publicité et la location automobile. Les prix ont globalement peu évolué avec, néanmoins, des réductions tarifaires significatives dans les secteurs de la location automobile, de l’ingénierie informatique et des activités de conseil aux entreprises. Les effectifs ont été très légèrement ajustés à la hausse ; le secteur de l’ingénierie informatique demeurant un des plus actifs en terme d’embauche. En dépit d’un manque de visibilité sur l’évolution de la demande globale, les chefs d’entreprises se montrent plutôt positifs à court terme. Accès aux résultats de notre dernière enquête : http://www.banque-france.fr/fileadmin/user_upload/banque_de_france/Economie_et_ Statistiques/Conjoncture_et_Croissance/Tendances_regionales/r01_complet.pdf Enquête régionale de conjoncture Médiamétrie-CCI de Paris-Ile-de-France Résultats Essonne - Edition 2012 Chaque année au mois de septembre, l’institut Médiamétrie réalise une enquête pour le compte des CCI de Paris Ile-de-France. Environ 5 500 chefs d’entreprises franciliens, dont 400 en Essonne1, sont interrogés sur leur perception de la situation économique du pays ainsi que sur des indicateurs de santé économique (chiffres d’affaires, investissements, trésorerie, effectifs, etc.). Les entreprises de l’Essonne sont gagnées par le pessimisme Des résultats de l’édition 2012, il ressort que le moral des entreprises françaises et franciliennes se dégrade fortement, dans un contexte international et européen de ralentissement économique, mais aussi de rigueur budgétaire en France. Les entreprises essonniennes y sont sensibles puisque leur pessimisme sur la situation du pays est plus marqué que la moyenne régionale (cf. graphique). En soldes d’opinions : % des opinions «s’améliorer» - % des opinions «se détériorer» 10 7 2 4 4 3 2 -7 -6 -8 -26 Essonne Ile de France Grande Couronne 2004 2005 -45 -46 -49 -47 2006 2007 2008 -53-53 2009 2010 2011 -62 -63 -69 2012 Ce pessimisme se répercute sur les anticipations des entreprises essonniennes, suivant en cela la tendance régionale (baisse des prévisions de chiffres d’affaires, d’investissements, d’effectifs). Méthode des quotas – un échantillon représentatif est constitué pour chaque département, ce qui permet des comparaisons entre l’échelle régionale et les départements. contact 1 [email protected] [email protected] Evolution du nombre de salariés ces 6 derniers mois En solde d’opinions : % d’opinions «en hausse» - % d’opinions «en baisse» Evolution prévue de la situation économique de la France dans les 6 prochains mois 20 10 0 -10 -20 -30 -40 -50 -60 -70 -80 L’Essonne affiche des résultats moins négatifs qu’en Ile-de-France A noter cependant que les anticipations de chiffres d’affaires des entreprises essonniennes ne baissent pas suffisamment pour que le solde passe en négatif (il s’établit à +1), alors que c’est le cas dans les autres départements (-6 en moyenne). Les résultats « Essonne » se démarquent également sur les évolutions passées de certains indicateurs ; ainsi le solde d’opinion des chiffres d’affaires constatés depuis 6 mois est en amélioration en Essonne (passant de -6 à -3 entre 2011 et 2012), alors qu’il est en nette dégradation en moyenne régionale (passant de -3 à -20). De même, le solde d’opinion concernant l’évolution des effectifs depuis 6 mois est en amélioration en Essonne, et passe même en positif pour la 1ère fois depuis le début de la crise, alors que ce même solde se dégrade fortement en moyenne régionale (cf. graphique). 12 10 8 6 4 2 0 -2 -4 -6 -8 7 7 10 9 5 1 2 3 3 3 Essonne Ile de France Grande Couronne -1 -2 -5 1 1 -1 -3 -3 -3 -7 -7 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 En revanche, l’indicateur d’évolution des investissements depuis 6 mois en Essonne, de même que celui des trésoreries, subissent une baisse presque aussi prononcée qu’en moyenne régionale. Pour conclure, il semble que l’Essonne tire relativement plutôt bien son épingle du jeu en comparaison de la région Ile-de-France. Il faut cependant noter que ce sont les secteurs des services et de l’industrie qui affichent de bons résultats en Essonne et améliorent de ce fait la moyenne, tandis que le commerce et la construction affichent de moins bons résultats. Mise en page : Soleis, www.soleis.com, 01 69 53 60 30 - Imprimeur : Willaume Egret, 16 rue Denis Papin 91240 Saint Michel-sur-Orge - Éditeur : Chambre de commerce et d’industrie de l’Essonne, 2 cours Mgr Roméro CS50135 - 91004 Évry cedex - Représentant légal : Philippe Lavialle - Directeurs de publication : Bruno Malecamp et Alain Schebath - Rédaction : Emmanuel Bacholle, Julie Cheruette - Dépôt légal à parution décembre 2012 N° ISSN 1281-2471 - Imprimé sur du papier recyclé Cyclus Print.