Groupes de travail BSI - Brussels Studies Institute
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Groupes de travail BSI - Brussels Studies Institute
www.bsi.brussels www.knowledge.brussels Groupes de travail BSI : que font-ils et quel soutien reçoivent-ils ? 1. Qu’est-ce qu’un groupe de travail BSI ? Des groupes de travail thématiques respectant les missions du Brussels Studies Institute (BSI) ont été créés. Ils rassemblent des chercheurs issus de différentes institutions, au-delà des frontières linguistiques et disciplinaires. L’objectif est de rassembler des chercheurs issus de différentes institutions, par-delà les appartenances linguistiques et disciplinaires. Des acteurs non-académiques peuvent également y être associés. Les groupes de travail BSI se consacrent à des problématiques touchant Bruxelles ou les grands ensembles urbains et qui méritent une approche interdisciplinaire. Ils se concentrent sur des activités de mise en réseau et de création d’outputs partagés. Dans le cadre de tels groupes, le BSI permet de rassembler divers chercheurs aux profils et expertises différentes pour une mise en réseau et l’échange d’informations et d’expériences. Ces groupes peuvent également être à l’origine de la production ou de la valorisation de connaissances nouvelles ou existantes sur un thème choisi. Chaque groupe de travail BSI travaille de manière autonome, tant qu’il est de nature interuniversitaire, multidisciplinaire et cross-communautaire, ainsi que (idéalement) il associe des acteurs urbains non-académiques. Chaque thématique est choisie librement. 2. Conditions concrètes pour la création de groupes de travail BSI Un groupe de travail BSI doit remplir une série de conditions dont principalement: a. Il compte des chercheurs issus d’au moins 2 institutions différentes. b. Il compte des chercheurs issus d’au moins 2 disciplines différentes. c. Il comprend à la fois des chercheurs francophones et néerlandophones. d. Au sein de la thématique sélectionnée, on recherchera (si besoin avec le soutien du BSI) des www.bsi.brussels www.knowledge.brussels acteurs non-académiques disposant d’une expertise utile et pertinente et qui peuvent être associés aux activités du groupe. e. Au sein de chaque groupe de travail seront désignés un ou deux pilotes dont, au minimum 1 membre du BSI (individuellement ou via son centre de recherche). Ce(s) pilote(s) seront responsables des activités réalisées au sein du groupe de travail. f. Le groupe de travail mettra à disposition du BSI une courte note (1 page) dans laquelle seront présentés le projet, aussi bien ses collaborations (centres de recherche et chercheurs impliqués) qu’un bref plan d’action (sur base annuelle) qui comprendra aussi les outputs envisagés. Par output s’entend, par exemple, d’une part, la rédaction d’une note de synthèse BSI (*) ou d’un article pour la revue électronique Brussels Studies et, d’autre part, la préparation de fiches thématiques BSI/factsheets (**) consacrées au projet choisi (voir plus loin). 3. Soutien d’un groupe de travail par le BSI a. Un soutien et un feedback en ce qui concerne la recherche de partenaires potentiels b. Un soutien dans la recherche de sources de financement pour les activités du groupe de travail c. Un support financier jusqu'à 2000 euros par groupe de travail par an (justificatifs à entrer directement au BSI, avec un maximum de 5 groupes reconnus durant la convention de fonctionnement du BSI) d. Un soutien administratif et logistique pour le lancement d’un groupe de travail (kick off) : envoi des invitations, réservation d’un local de réunion, catering… 4. Soutien financier d’un groupe de travail BSI : Les dépenses suivantes sont finançables par le BSI (avec un maximum de 2.000 euro par an, par groupe de travail, via le BSI): a. Location d’une salle pour un séminaire/ workshop b. Coût du catering lors d’un séminaire/workshop c. Coût de transport et d’hébergement en fonction de(s) activité(s) du groupe de travail d. Coût de traduction de documents (voir aussi encadré 1) e. Développement d’instruments spécifiques (enquêtes online, modules de sites web…) f. Autres : sur demande ad hoc au BSI. Les dépenses sont finançables par le BSI avec son accord préalable. Remarque : Il faut prévoir, dans le cadre d’activités payantes organisées par des groupes de travail subsidiés par le BSI, une réduction de 10 à 20% pour les membres du BSI (par exemple : une réduction sur le prix d’inscription à une journée d’étude). www.bsi.brussels www.knowledge.brussels 5. Terminologie : quelques concepts-clés Définition d’une discipline: « Branche du savoir développée par une communauté de spécialistes adhérant aux mêmes pratiques de recherche ». En d’autres mots, l’histoire contemporaine et celle du moyen-âge, par exemple, ne constituent pas des disciplines distinctes. Il en va de même pour les linguistes et les philologues ou les juristes en droit public et international, etc. (*) Note de Synthèse Studies : cette collection online (double blind peer reviewed) prolonge et complète les notes de synthèse produites lors des Etats Généraux de Bruxelles (20082009). Publiée par la revue Brussels Studies, elle offre un état de la question sur différents enjeux bruxellois sur lesquels des conclusions sont partagées et certaines thématiques encore débattues. Une note de synthèse ne doit pas dépasser 60.000 signes. et être présentée soit en français, soit en néerlandais, soit en anglais, soit dans une combinaison de ces trois langues. Le BSI et Brussels Studies prennent en charge les frais de traduction (s’il n’existe pas d’autres sources de financement) puisque chaque note est simultanément publiée en français, néerlandais et en anglais. Une Note de Synthèse BSI parue dans Brussels Studies (en open access) est en moyenne téléchargée 4.500 fois et est donc largement lue.). www.brusselsstudies.be Exemple de Note de Synthèse BSI ici. (**) Fiches thématiques BSI : cette forme de publication vise à offrir des informations sur un sujet précis (concernant Bruxelles), présentées de manière accessible. Il s’agit de données de base relatives à un sujet en particulier (par exemple, l’usage des langues à Bruxelles), à des concepts précis (par exemple, la communauté métropolitaine), à des secteurs d'activités (par exemple, des chiffres-clés sur les PME à Bruxelles), etc. Les chiffres-clés y sont présentés et analysés brièvement avec quelques références rassemblées sur une page A4 recto verso. Exemple de factsheet ici.