Aspects réglementaires
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Aspects réglementaires Journal Officiel code de la construction et de l’habitation document technique unifié DTU lois et décrets CODE CIVIL construction et habitation Aspects Réglementaires (normes, codes, règles, contraintes…) relatifs à l’étanchéité des toitures et terrasses Code Civil Aspects réglementaires Sommaire Éléments porteurs 3 Réglementation incendie 4 Assurance incendie 8 Charges climatiques 10 Le classement FIT 14 Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Éléments porteurs ATTENTION : Les indications ci-après constituent un aide-mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne sauraient dispenser l’homme de l’art d’une connaissance complète des r églementations et des documents de référence, résultant de la consultation de leur texte intégral. Éléments porteurs en maçonnerie Source : DTU 20.12/NF P 10.203. Élément porteur de type A Élément porteur dont au moins la partie supérieure de la section résistante est réalisée en béton armé coulé en œuvre de façon continue sur l’ensemble de la surface. Par exemple : les dalles pleines coulées en œuvre; les dalles confectionnées à partir de prédalles; les planchers à poutrelles (BA ou BP), entre-vous de coffrage et dalle de répartition complète coulée en œuvre; les planchers à bacs métalliques collaborants. Élément porteur de type B Élément porteur constitué d’éléments préfabriqués en béton armé ou p récontraint posés jointifs, solidarisés par des armatures noyées dans un béton de liaison coulé en place. Élément porteur de type C Élément porteur constitué d’élément préfabriqués jointifs en matériaux de nature éventuellement différente, solidarisés par des blocages en béton et/ou des chaînages transversaux en béton réalisés in situ. Par exemple les planchers à poutrelles (BA ou BP) et entrevous porteurs en béton ou en terre cuite, sans dalle de répartition rapportée en béton coulé in situ. Élément porteur de type D Élément porteur réalisé à partir d ’éléments préfabriqués en béton armé ou précontraint posés jointifs et s olidarisés par des clefs continues en béton. Sauf exception (certaines dalles a lvéolées), les éléments ne sont pas complétés par une dalle rapportée en béton armé. Par exemple : p lancher formé de dalles alvéolées préfabriquées en béton armé ou p récontraint, sans dalle collaborante rapportée en béton, p lancher formé d’éléments en T ou en double T. Ils doivent présenter une pente m inimale de 1 %. Nota : on appelle clef la partie du joint qui, par sa forme, permet de solidariser les éléments entre-eux, interdisant ainsi tout déplacement vertical (effet «touches de piano»). Dalles de toiture en béton cellulaire autoclavé armé Source : C onditions générales d’emploi des dalles de toiture en béton cellulaire autoclavé armé. C ahier du CSTB nº 2192 d’octobre 1987. Ces dalles doivent être utilisées dans les limites et conformément aux d ispositions de leurs Avis Techniques. Elles peuvent convenir pour des t oitures et toitures-terrasses (plates ou en pente), autoprotégées ou sous p rotection lourde, comportant des noues à pente nulle, des zones techniques (pente 7 %) et des chemins de c irculation (pente 50 %), à l’exclusion des terrasses accessibles aux piétons ou aux véhicules. Leur emploi est généralement limité à la réalisation de toitures de locaux à faible et moyenne hygrométrie (W/n 5 g/m³). Pente minimale admise : 1 %. L’emploi en climat de montagne est exclu (cf DTU 43.1/NF P 84.204). Les joints d’abouts courants entre dalles, ainsi que les joints latéraux et d’abouts de dalles coïncidant avec les joints de la structure-support, doivent être pontés. Éléments porteurs en tôles d’acier nervurées (tan) Source : DTU 43.3/NF P 84.206. Ils peuvent être en : t ôles d’acier galvanisées (norme XP P 34.310); t ôles d’acier revêtues en continu d’alliage de zinc-aluminium (95 % de zinc) (norme XP A 36.324); t ôles d’acier conformes aux p récédentes et prélaquées ou r evêtues en continu d’un film o rganique (norme XP P 34.301). Le choix des revêtements dépend n otamment de la destination des locaux et en particulier de leur hygrométrie et de leur ambiance intérieure (cf DTU 43.3/NF P 84.206 - Annexe E). Les TAN peuvent être à plages pleines ou perforées (ou «crevées») si on s ouhaite obtenir une correction a coustique du local couvert ; la perforation constitue toutefois un affaiblissement de la tenue mécanique des tôles, dont il doit être tenu compte dans le calcul des portées admissibles. Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Aspects réglementaires Éléments porteurs en bois et dérivés Matériaux en panneaux de p articules (éléments ou dalles) Source : DTU 43.4/NF P 84.207. Matériaux en bois massif Épaisseur Largeur minimale maximale Pose dite «jointive» frises 18 mm 80 mm 150 mm planches 22 mm 120 mm 150 mm Pose dite «bouvetée» lames à plancher cf NF B 54.000 23 mm – 150 mm planches bouvetées 23 mm – 150 mm Les Documents Particuliers de Marché doivent préciser les essences choisies (cf vocabulaire défini dans la norme NF B 50.002) et les éventuelles exigences de traitement fongicide ou insecticide. ou insecticides ou être ignifugés si les Documents Particuliers de Marché l’exigent. longueur : 3,15 m. largeur : 1,55 mm. Matériaux en contreplaqué épaisseur : Ils doivent être conformes à la norme NF B 54.161 (marquage «NF Extérieur CTB-X») et peuvent comporter des traitements complémentaires fongicides 1 0 mm si les panneaux sont s upportés sur les quatres côtés ; 1 2 mm si les rives perpendiculaires aux appuis ne sont pas supportées. Ils doivent satisfaire aux normes NF B 54.100 et NF B 54.110, et aux prescriptions de la marque de qualité «CTB-H». Si les Documents Particuliers de Marché l’exigent, ils peuvent comporter un traitement complémentaire fongicide ou insecticide, voire être ignifugés. épaisseur : 18 mm. largeur : 1,25 m. longueur : 2,70 m pour les dalles d’épaisseur comprise entre 18 et 25 mm ; 3,10 m pour les dalles d’épaisseur 25 m ; 3,10 m pour les éléments supports d’étanchéité semiindépendante ; 4,10 m pour les éléments s upports d’isolants ou de systèmes d ’étanchéité en indépendance. Réglementation incendie ATTENTION : Les indications ci‑après constituent un aide‑mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne s auraient dispenser l’homme de l’art d’une connaissance complète des r églementations et des documents de référence, résultant de la consultation de leur texte intégral. En outre, certains types de bâtiments peuvent être soumis à des règlementations particulières non r épertoriées ci-après. Bâtiments d’habitation l’Habitation : articles L.123.2 et R.123.1 à R.123.55. à L.231.5-1 et articles R.232.12 à R.232.12-22. Principaux textes de référence Arrêté du 23/03/65 (complété ou Loi nº 76.663 du 19.07.76. Classification des matériaux et définition des essais modifié de nombreuses fois par la suite). Décret nº 77.1133 du 21/09/77. Code de la Construction et de Arrêté du 25/06/80 (complété ou l’Habitation : Article R.121.1 à R.121.13 (ancien décret 57.1161 du 17 octobre 1957). modifié de nombreuses fois par la suite). IGH (Immeubles de Grande Hauteur) Arrêté du 30/06/83 modifié par Code de la Construction et l’Arrêté du 28/08/91. Arrêté du 03/08/99 et ses annexes. Code de la Construction et de décret nº 67.1063 du 15/11/67 modifié par le décret du 15/06/76). l’Habitation : articles R.111.1 à R.111.19. Arrêté du 18/10/77, modifié le Arrêté du 31/01/86 modifié les 18/08/86 et 19/12/88. 22/10/82 (abrogeant l’arrêté du 24/11/67 modifié le 15/12/70). ERP (Établissements Recevant du Public) Locaux industriels et commerciaux et installations classées Code de la Construction et de Code du travail : articles L.231.1 de l’Habitation : articles R.122.1 à R.122.29, R.152.1 à R.152.3 (ancien Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Classification et essais de comportement au feu des matériaux Le comportement au feu des matériaux et éléments est apprécié selon trois critères : la réaction au feu; le comportement au feu (pour les toitures); la résistance au feu. La réaction au feu C’est l’aliment qu’un matériau peut apporter au feu et au développement de l’incendie. Ce critère permet de répartir les matériaux en cinq catégories d’après les modalités d’essai définies dans l’arrêté du 30 juin 1983, ces essais ne pouvant être effectués que par les laboratoires agréés. Classification Appellations actuelle antérieures les couvertures se laissant traverser par le feu en un temps : supérieur à 30 mn compris entre 15 et 30 mn compris entre 5 et 15 mn T30 T15 T5 La résistance au feu 1) Résistance mécanique. Toutefois sont également classées en première famille les habitations individuelles à un étage sur rez-dechaussée, groupées en bande, lorsque les structures de chaque habitation concourant à la stabilité du bâtiment sont indépendantes de celles de l’habitation contiguë. 2) É tanchéité aux flammes et aux gaz chauds. 3) Isolation thermique - limitation de l’échauffement de la face non exposée. 4) M aintien de la fonction pour d’autres produits ou éléments de construction (ventilateurs, exutoires, etc.). M1 combustible non inflammable M2 combustible difficilement inflammable M3 combustible moyennement inflammable PF (pare-flammes) = critère 2 satisfait (et en général critère 1 satisfait) ; M4 combustible facilement inflammable CF (coupe-feu) = critères 2, 3 satisfaits (et en général critère 1 satisfait). les couvertures propageant le feu en surface en un temps : indice 1 supérieur à 30 mn compris entre 10 et 30 mn indice 2 indice 3 inférieur à 10 mn Les bâtiments d’habitation sont classés comme suit du point de vue de la sécurité-incendie : 1 ère famille : incombustible Une classification complémentaire pour les toitures revêtues de matériaux classés M4, définie par l’Arrêté du 31 janvier 1986 indique les modalités d’essais des couvertures en matériaux combustibles par rapport au danger d’incendie résultant d’un feu extérieur, et permet d’attribuer un classement complémentaire T5, T15, T30 avec indice, 1, 2 ou 3, dont la définition est la suivante : Classification Elle qualifie l’aptitude des éléments de construction à conserver leur rôle isolant au feu, durant le temps n écessaire à l’évacuation, au sauvetage et à la lutte contre l’incendie. Quatre critères sont pris en compte : M0 Le comportement au feu Bâtiments d’habitation (arrêté du 31/01/86) Les éléments de construction peuvent ainsi être classés, selon la satisfaction aux critères précédents : SF (stable au feu) = critère 1 satisfait ; Les durées de classement retenues sont : 1/4 h, 1/2 h, 3/4 h, 1 h, 1 h 1/2, 2 h, 3 h, 4 h, 6 h. Exigences de la réglementation incendie concernant les couvertures Remarque préliminaire D’une manière générale, seul le classe ment «réaction au feu» d’un matériau de couverture ou le «comportement au feu» d’un complexe d’étanchéité est actuellement pris en compte pour déterminer si celui-ci est utilisable sur tel type de local conformément à la réglementation incendie. Les exigences de «résistance au feu» n’interviennent qu’au niveau du support. h abitations individuelles isolées ou jumelées à un étage sur rez-de-chaussée, au plus; h abitations individuelles à rez-de-chaussée groupées en bande. 2 e famille : h abitations individuelles isolées ou jumelées de plus d’un étage sur rez-de-chaussée; h abitations individuelles à un étage sur rez-de-chaussée seulement, groupées en bande, lorsque les s tructures de chaque habitation c oncourant à la stabilité du bâtiment ne sont pas indépendantes des s tructures de l’habitation contiguë; h abitations individuelles de plus d’un étage sur rez-de-chaussée groupées en bande; h abitations collectives comportant au plus trois étages sur rez-de-chaussée. Pour l’application des 1 ère et 2 e familles ci-dessus, sont considérées comme maisons individuelles les bâtiments d’habitation ne comportant pas de logements superposés ; les escaliers des bâtiments d’habitation collectifs de trois étages sur rez-de-chaussée, dont le plancher bas du logement le plus haut est à plus de huit mètres du sol, doivent être encloisonnés. Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Aspects réglementaires 3 e famille : 4 e famille : Habitations dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à vingt-huit mètres au plus au-dessus du sol utilement accessible aux engins des services de secours et de lutte contre l’incendie, parmi lesquelles on distingue : 3 e famille A : habitations comportant au plus sept étages sur rez-dechaussée, dans lesquelles la distance entre la porte palière de logement la plus éloignée et l’accès à l’escalier est au plus égale à sept mètres, et implantées de telle sorte qu’au rez-de-chaussée les accès aux escaliers soient atteints par la voie échelles ; 3 e famille B : habitations ne satisfaisant pas aux conditions précédentes. Habitations dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à plus de vingt-huit mètres et à cinquante mètres au plus au-dessus du niveau du sol utilement accessible aux engins des services publics de secours et de lutte contre l’incendie. Dans les communes dont les services de secours et de lutte contre l’incendie sont dotés d’échelles aériennes de h auteur suffisante, le maire peut d écider que les bâtiments classés en 3 e famille B, situés dans le secteur d ’intervention desdites échelles, p euvent être soumis aux seules p rescriptions fixées pour les bâtiments classés en 3 e famille A. Dans ce cas la hauteur du plancher bas du logement le plus haut du bâtiment projeté doit correspondre à la hauteur susceptible d’être atteinte par les échelles, et chaque logement doit pouvoir être a tteint soit directement soit par un parcours sûr. Nota : certains immeubles de 4 e famille, contenant des locaux à usage autre qu’habitation, doivent être rangés dans la catégorie des IGH (cf ci-après). Exigences en couverture (extrait de l’article 15) Les revêtements M0, M1, M2, M3 peuvent être utilisés sans restriction en couverture, s’ils sont établis sur un support continu en matériau incombustible ou en panneau de bois ou assimilé classé par le CECMI. Pour les revêtements M4, la classe à utiliser sera fonction du classement du bâtiment d’habitation : 1 ère famille : T5, T15 ou T30 2 e famille : T15 ou T30 e e 3 et 4 familles : T30 L’indice de propagation de la c ouverture d’un immeuble se d étermine selon le tableau ci-après, en fonction : d e la distance qui le sépare soit d’un immeuble voisin, soit de la limite de propriété ; d e l’indice de propagation de la c ouverture de l’immeuble voisin. Distance minimale de 0 à4m de 4 à 8 m de 8 à 12 m Indice de l’immeuble voisin 1 2 1 3 2 1 Indice minimal recherché 1 1 2 1 2 3 Au-delà de douze mètres, toute couverture peut être utilisée sans restriction. Les couvertures dont les revêtements sont classés en catégorie M0 à M3 sont a ssimilées à des couvertures d’indice 1. Établissements recevant du public : ERP Définition Deux classements complémentaires sont utilisés pour définir les é tablissements qui rentrent dans cette catégorie et les normes incendie correspondantes : C lassement selon l’effectif du public : Article 19 du décret du 31 octobre 1973 ère 1 catégorie : au-dessus de 1.500 personnes ; e 2 catégorie : de 701 à 1.500 personnes ; e 3 catégorie : de 301 à 700 personnes ; e 4 catégorie : 300 personnes et au-dessous à l’exception des établissements compris dans la 5 e catégorie ; e 5 catégorie : établissements visés à l’article 14 du Décret nº 73.1007 du 31 octobre 1973, dans lesquels l’effectif du public n’atteint pas le chiffre minimum fixé par le règlement de sécurité pour chaque type d’exploitation. C lassement selon le type d ’établissement : Article GN1 du r èglement de sécurité dans les ERP (Arrêté du 25/06/80 modifié) L - s alles d’auditions, de conférences, de réunions, de spectacles ou à usage multiple ; M - m agasins de vente, centres c ommerciaux ; N - restaurants et débits de boissons ; O - hôtels, pensions de famille ; P - salles de danse et salles de jeu ; R - é tablissements d’enseignement, de colonies de vacances ; S - b ibliothèques, centres de documentation ; T - salles d’exposition ; U - établissements sanitaires ; V - établissements de cultes ; W - banques, bureaux, administrations ; X - établissements sportifs couverts ; Y - musées ; PA - établissements de plein air ; CTS - chapiteaux, tentes et structures ; SG - structures gonflables ; PS - parcs de stationnement couverts ; GA - gares ; OA - hôtels-restaurants d’altitude. Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Exigences en couverture : Article CO17 du règlement de sécurité dans les ERP Nota : au-delà de 12 m entre l’établissement et le bâtiment voisin ou la limite de la parcelle voisine, aucune exigence n’est demandée pour la protection de la toiture par rapport à un feu extérieur. La couverture doit être réalisée en respectant l’une des solutions suivantes : en matériaux M0; e n matériaux des catégories M1 à M3 posés sur support continu en bois ou agglomérés de fibres ou particules de bois ou en matériaux reconnus équivalents par le CECMI; e n matériaux des catégories M1 à M3 non posés dans les conditions précédentes ou de la catégorie M4 : la couverture doit alors présenter les caractéristiques minimales de classe et d’indice de propagation fixées dans le tableau ci-dessous en fonction de la catégorie, de la destination de l’établissement et de la distance «d» entre ce dernier et le bâtiment voisin ou à défaut la limite de la parcelle voisine. Immeuble de grande hauteur : IGH Définition Les immeubles sont dits de grande h auteur lorsque le plancher bas du dernier niveau est situé, par rapport au niveau du sol le plus haut utilisable par les engins des services publics de s ecours et de lutte contre l’incendie : Catégorie et destination de l’établissement à plus de 50 m pour les immeubles d’habitation, à plus de 28 m pour tous les autres immeubles, les immeubles de bureaux étant divisés en deux catégories selon que leur hauteur est comprise entre 28 et 50 m ou supérieure à 50 m. Exigence en couverture (Article GH14) Les matériaux superficiels en éléments légers combustibles pouvant s’arracher enflammés sont interdits ; donc les revêtements M0 pourront être admis. En technique d’étanchéité classique, seule la toiture terrasse avec protection lourde pourra convenir, la chape ciment ou les gravillons rapportés en surface étant par eux-mêmes incombustibles. Dans le cas de mitoyenneté, l’Article GH7 indique des dispositions complémentaires : § 1 : en application des Articles 2 et 9 du Décret, un immeuble de grande hauteur doit être isolé des c onstructions voisines par un mur ou une façade verticale coupe-feu de degré deux heures au moins sur toute sa hauteur ou par un volume de protection. § 2 : La limite latérale du volume de protection est constituée par une s urface verticale située à 8 m au moins de tout point des façades de l’immeuble qui ne sont pas coupefeu de degré deux heures au moins. La limite inférieure du volume de p rotection est constituée soit par le sol, soit par des constructions ou parties de construction coupe-feu de degré deux heures au moins. Établissements classés dangereux, insalubres ou incommodes, locaux industriels Le classement est fonction des sources de nuisances et des dangers éventuels occasionnés par le type d’exploitation de l’établissement considéré. Les établissements classés 1 et 2 sont soumis à autorisation préfectorale, les impératifs de sécurité étant donc définis au coup par coup. Pour les établissements de 3 e classe soumis à simple déclaration, certains arrêtés-type exigent des couvertures incombustibles quelquefois légères ou un plancher haut coupe-feu une heure. Pour les établissements non classés, en dehors des prescriptions concernant la sécurité des travailleurs, ce sont en général des notions d’assurance qui interviennent dans la conception des ouvrages. Distance entre l’établissement et le bâtiment voisin ou la limite de la parcelle voisine d8m 8 m d 12 m Établissements de 1 ère catégorie et établissements de 2 e, 3 e et 4 e catégories comportant par destination des locaux réservés au sommeil. T30 Indice 1 T15 Indice 1 Établissements de 2 e, 3 e et 4 e catégories ne comportant pas par destination de locaux réservés au sommeil. T30 Indice 2 T15 Indice 2 Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Aspects réglementaires Assurance incendie ATTENTION : Les indications ci-après constituent un aide-mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne sauraient d ispenser l’homme de l’Art d’une connaissance complète des documents de référence résultant de la consultation de leur texte intégral. L’APSAD (Assemblée Plénière des Sociétés d’Assurance Dommages) a établi des classifications et des Cahiers de Spécifications servant de référence dans l’évaluation du risque incendie, et notamment pour les couvertures. Il est donc souhaitable de s’y référer pour la conception des ouvrages. Classifications Matériaux de construction Ils sont classés selon trois catégories : matériaux durs; matériaux semi-légers; matériaux légers. Cette classification est nominative à la différence de la réglementation incendie basée sur des résultats d ’essais normalisés. Bâtiments Les bâtiments se classent d’après la nature de la construction de leurs murs extérieurs (risque) et d’après la nature de leur couverture (classe), en fonction du pourcentage de matériaux durs, semi-légers et légers utilisés. Pour les couvertures, on distingue ainsi : 1 ère classe : couverture comprenant plus de 90 % de matériaux durs. 2 e classe : a) Couvertures en matériaux de toute nature, mais dans lesquels les matériaux légers n’excèdent pas 10 % (et les matériaux durs n’excèdent pas 90 %). b) Couvertures en matériaux durs et éléments de polyester armé ou en plaques de PVC répondant à certaines conditions (Cahier des Spécifications 4 PR/F). 3 e classe : couvertures comprenant plus de 10 % de matériaux légers. Cahiers des spécifications Cahier CB2 : risques industriels Il traite du cas particulier des toitures composées de supports rigides lignocellulosiques associés à des revêtements souples continus ou discontinus. Ce cahier édicte des règles qui d éfinissent les caractéristiques m inimales nécessaires aux couvertures de bâtiments composées de : u n support ligno-cellulosique rigide (bois, panneaux dérivés et assimilés) ; u n matériau d’isolation thermique (éventuellement) ; u n revêtement d’étanchéité souple continu ou discontinu (feutres bitumés, bardeaux bitumés, etc.) de telle sorte qu’elles correspondent à la catégorie des matériaux «semi-légers» dans le classement établi par l’APSAD. Cahier CC2 : Couvertures isolantes en acier Il établit les règles en vue de définir les caractéristiques auxquelles les toitures en tôles d’acier nervurées, comportant isolation thermique et étanchéité, doivent satisfaire pour correspondre à la catégorie «matériaux durs», et ainsi bénéficier des tarifs d’assurances correspondants. Ces couvertures sont constituées des trois éléments suivants (de l’intérieur vers l’extérieur) : un élément porteur métallique nervuré ; u ne couche d’isolant thermique incombustible ; un revêtement d’étanchéité. Les spécifications du Cahier CC2 intéressent non seulement les travaux neufs mais également les travaux de réfection et de rénovation. Pour les travaux neufs Les spécifications du Cahier CC2 sont à rapprocher des dispositions du DTU 43.3 pour réaliser des toitures classées «matériaux durs». Il en est ainsi pour les éléments p orteurs en tôles d’acier nervurées pleines ou perforées décrits dans le DTU 43.3. Pour les pare-vapeur sur tôles p erforées, le dispositif retenu dans le CC2 est celui décrit dans le DTU 43.3 (l’écran Ceceal de Siplast est cité). Pour les travaux de rénovation Le Cahier CC2 actuel part de l’hypothèse que les anciens travaux ont été réalisés conformément à l’ancien Cahier CC2 (édition de février 1968 et additif de 1970) c’est-à-dire, en particulier, que les isolants existants étaient du type panneaux de laine m inérale ou panneaux de perlite cellulose. Trois cas peuvent être envisagés : 1 er cas : on enlève l’ancienne é tanchéité et l’ancienne isolation. On refait alors ces parties d’ouvrages comme des travaux neufs, conformément au Cahier CC2. 2 e cas : on met en œuvre sur l’ancien revêtement d’étanchéité une nouvelle isolation thermique et un nouveau revêtement d’étanchéité, ces deux ouvrages étant conformes au Cahier CC2. 3 e cas : on met en œuvre sur l’ancien revêtement d’étanchéité un nouveau matériau ou système d’étanchéité conforme aux dispositions du Cahier CC2. Ce dispositif est admis avec la réserve suivante : si le nouveau matériau ou système d’étanchéité est classé M3 ou T30/1, c’est l’ensemble constitué par l’association des revêtements a nciens et nouveaux qui doit satisfaire aux prescriptions du Cahier CC2 (en particulier classement M3 au plus, ou T30/1). Cette contrainte ne serait toutefois pas nécessaire dans les cas : de protection lourde; d ’emploi de nouveau revêtement autoprotégé par feuille métallique réglementaire (Veral 50 S, Paradial S, Vercuivre S, Supradial A/G S, Verinox S). Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Pour en savoir plus : APSAD 26 Bd Haussmann 75009 PARIS Tél : 01 42 47 90 00 Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Aspects réglementaires Charges climatiques ATTENTION : Les indications ci-après constituent un aide-mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne sauraient dispenser l’homme de l’art d’une connaissance complète des documents de référence (Normes, DTU, Règles professionnelles, etc.) résultant de la consultation de leur texte intégral. Principaux documents de référence NF P 06.001 : Base de calcul des constructions - charges d’exploitation des bâtiments. DTU P 06.002 : Règles vent NV 65. DTU P 06.006 : Règles N84 m odifiées 95 - Actions de la neige sur les constructions ou son modificatif n°1 d’avril 2000. Effet dû à la neige La charge de neige sur le sol s ° par unité de surface est fonction de la localisation géographique et de l’altitude du lieu considéré. La carte ci-contre, établie à partir d’une e xploitation statistique des séries c limatologiques de hauteurs maximales annuelles de neige, distingue quatre régions 1, 2, 3 et 4. Les valeurs de charges indiquées ci-dessous tiennent compte des charges remarquables o bservées et d’une masse volumique de la neige de 150 kg/m³. Zones dont l’altitude est 200 m de 50 %, et précisée dans les Documents Particuliers de Marché. Les valeurs minimales de s ° sont les suivantes : Région 1 : s ° min = 0,45 kN/m² Région 2 : s ° min = 0,55 kN/m² Région 3 : s ° min = 0,65 kN/m² Région 4 : s ° min = 0,90 kN/m² Au-delà de 2 000 m, les Documents Particuliers de Marché doivent préciser la valeur de charge de neige à prendre en compte. Nota : 1 kN 100 kg Zones dont l’altitude est supérieure à 200 m La valeur de s ° est déterminée par les lois de variations suivantes : p our 200 m h 500 m : 0,15h - 30 s ° = s ° min + 100 pour 500 m h 1000 m : 0,3h - 105 s ° = s ° min + 100 pour 1000 m h 2000 m : 0,45h - 255 s ° = s ° min + 100 avec h en m et so en kN/m². ( ( ( La charge de neige sur une toiture(s) dépend de la charge de neige sur le sol (s °), d’un coefficient de forme (µ), et d’une majoration éventuelle (s1) : s = µ s ° + s1 s1 tient compte de la difficulté d ’évacuation des eaux de pluie en p résence de neige dans les zones de faible pente (versants et noues). ) La charge accidentelle de neige (sa) permet de tenir compte des chutes e xceptionnelles de neige (neige seule ou neige et pluie consécutives). ) ) Les valeurs de s ° ainsi déterminées sont des valeurs «plancher». Les conditions locales peuvent conduire, dans certains secteurs (vallées encaissées, certains massifs exposés), à des charges nettement supérieures à celles déterminées par les lois de variation ci-dessus. Compte tenu des données météorologiques enregistrées, les régions de neige 1 et 2 ont été subdivisées en deux zones chacunes (1A et 1B, 2A et 2B) pour lesquelles la charge accidentelle de neige est différente. Pour ces cas, la valeur de s ° est m ajorée, avec en principe un maximum Zones s ° a kN/m² 10 1A 1B 2A 2B 3 4 - 1,00 1,00 1,35 1,35 1,80 Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Neige - carte des charges de neige 62 59 80 76 50 14 95 93 78 9275 94 27 61 53 44 52 45 25 58 18 36 39 71 86 03 69 63 16 1B 42 73 19 2A 38 43 15 24 2B 33 3 07 46 4 48 82 34 31 64 65 84 30 81 32 26 05 12 47 40 74 01 23 87 17 90 70 21 37 79 68 89 41 49 85 67 88 10 72 56 Zones de neige 1A 54 77 28 35 57 55 51 91 22 29 08 02 60 13 04 06 83 11 09 66 2A 2B Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr 11 Aspects réglementaires Effet dû au vent On suppose toujours que la direction d’ensemble du vent est horizontale. Les surfaces d’une construction e xposées au vent sont dites «au vent» et les surfaces non exposées au vent sont dites «sous le vent». Pour effectuer le calcul des sollicitations sur un élément, il faut procéder à la détermination des paramètres c i‑dessous, comme précisé dans les règles NV 65 révisées en 1967, 1970, 1974 et 1975 : pression dynamique q ; coefficient de pression c ; catégorie de la construction ; proportions de cette construction ; action cq. Les Règles NV65 ont bénéficié d’un m odificatif n°2 en décembre 1999 r elatif à la carte des zones de vent. Pression dynamique q Selon les régions définies sur la carte ci-contre et pour une altitude < 1 000 m : Valeur de base Pression dynamique normale (daN/m²) Pression dynamique extrême (daN/m²) Zone 1 50 87,5 Zone 2 60 105 Zone 3 75 131 Zone 4 90 157,5 Les pressions sont influencées par la hauteur au-dessus du sol, le site (protégé, normal ou exposé) et éventuellement l’effet de masque dû à une autre construction. Coefficient de pression (ou de succion) c Le diagramme R-III-6 des Règles NV 65 donne un coefficient c en fonction de l’angle d’inclinaison en degrés de la toiture et des rapports de dimensions. Dans le cas d’une voûte, le diagramme R-III-7 des Règles NV 65 permet de déterminer le coefficient c en chaque point de cette voûte en fonction de l’inclinaison . 12 Le coefficient c est positif si l’élément est soumis à une pression «au vent» et négatif dans le cas où il est soumis à une succion «sous le vent». L’action élémentaire unitaire p du vent est donnée par le produit cq : cq 0 = succion, cq 0 = pression. Actions locales du vent sur une toiture 3 0° a 40° : interpolation entre les deux valeurs ci-dessus. Angles de la toiture : 30° : coefficient de succion c triple de celui appliqué au versant. 40° : pas de succion supplémen taire à celle intéressant le versant. 3 0° 40° : interpolation entre les 2 valeurs ci-dessus. Rives de la toiture : 30° : coefficient de succion c double de celui appliqué au versant. 40° : pas de succion s upplémentaire à celle intéressant le versant. Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Vent - carte des régions 62 59 80 76 50 14 95 93 92 75 94 78 27 61 29 08 02 60 54 77 91 22 28 35 53 44 52 45 25 58 18 36 39 71 86 03 87 69 63 16 42 73 19 Zone 1 38 43 15 24 Zone 2 33 Zone 3 07 46 Zone 4 48 12 47 82 40 74 01 23 17 90 70 21 37 79 68 89 41 49 85 67 88 10 72 56 57 55 51 30 81 32 34 26 84 13 05 04 06 83 31 64 65 11 09 66 Cumul des charges climatiques En fonction de l’élément porteur c onsidéré, chaque DTU de la série 43 précise le mode de prise en compte des charges climatiques, en fonction n otamment de la destination des toitures, de la configuration de la construction... Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr 2A 2B 13 Aspects réglementaires Le classement FIT ATTENTION : les indications ci-après constituent un aide-mémoire bien sûr non exhaustif. Elles ne sauraient d ispenser l’homme de l’Art d’une connaissance complète des documents de référence résultant de la consultation de leur texte intégral. Référence : «Classement FIT des é tanchéités de toitures» - Cahier du CSTB nº 2358 de Septembre 1989. Qu’est-ce que le classement FIT ? Le classement FIT (F comme Fatigue, I comme Indentation (poinçonnement), T comme Température) est un classement performanciel des revêtements d’étanchéité de toitures de partie courante constitués d’une ou plusieurs couches assemblées pour assurer la fonction étanchéité. c omplète dans le but d’aider les maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre à choisir des systèmes d’étanchéité adaptés aux sollicitations auxquelles ils seront soumis. Nota : il ne s’applique pas actuellement aux revêtements fixés mécaniquement, et n’est pas attribué aux systèmes sous Cahier des Charges de Pose. Ce classement, basé sur des critères majeurs de comportement, ne se substitue pas aux Avis Techniques, mais les Établi pour des utilisations en France métropolitaine, il peut par extension s’appliquer aux pays européens dont les conditions climatiques sont reconnues comme analogues. Le classement F de résistance à la fatigue Le classement I de résistance à l’indentation (poinçonnement) Le classement T de tenue à la température L’essai conventionnel, conforme aux Directives Générales UEAtc consiste à soumettre un revêtement d’étanchéité adhérant à un support fissuré, à des cycles de variation de largeur de fissure. Le revêtement d’étanchéité est soumis à deux séries d’essais : p oinçonnement statique (bille) cf. NF P 84.352 ; p oinçonnement dynamique (poinçon) cf. NF P 84.353. L’essai conventionnel consiste à s oumettre le revêtement d’étanchéité adhérant à un support incliné à 45 °, à une forte chaleur (jusqu’à + 90 °C), et à mesurer son glissement (ou son absence de glissement) sous l’effet de la chaleur. Il caractérise l’endurance du revêtement d’étanchéité aux mouvements alternés d’un support, y compris à basse température (jusqu’à - 20 °C), et après vieillissement. Selon le degré d’endurance la lettre F du classement est affectée d’un indice croissant de 1 à 5 : F1 à F5. 14 La combinaison des résultats de ces deux essais permet d’affecter la lettre I du classement d’un indice croissant de 1 à 5 : I1 à I5. Selon la tenue du revêtement d ’étanchéité, la lettre T du classement sera affectée d’un indice croissant de 1 à 4 : T1 à T4. Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr Le classement FIT minimal support, pente, protection) le c lassement FIT minimal auquel doit répondre le revêtement d’étanchéité : pour chacun des paramètres F, I, ou T, Le tableau ci-dessous, établi par un groupe d’experts, indique par type d’utilisation de la toiture (accessibilité, Support direct du revêtement Pente (%) Exploitation et usage de la toiture et type de protection Inaccessible Accessible Piétonnier Autoprotection (apparent) Meuble (graviers) Véhicules Protection dure (1) (1) Isolant thermique Béton Béton + Isol. inversée Béton cellulaire Bois et panneaux dérivés Ancien revêtement l’indice de classement du revêtement doit être au moins égal à celui indiqué dans le tableau. 0 F4.I2.T2 (3)(4) F3.I3.T1 Plate F4.I2.T2 (3)(4) F3.I3.T2 (5) Inclinée F4.I2.T2 (6) 0 F4.I2.T2 F3.I3.T1 Plate F4.I2.T2 F3.I3.T2 Inclinée F4.I2.T2 (5) F4.I4.T2 F4.I4.T2 Accessible Piétonnier Technique Véhicules Protection Protection Autodirecte directe par protection dalles sur couche (apparent) plots drainante Dure dalles sur graviers (2) F5.I4.T3 F3.I5.T1 F4.I4.T2 F3.I3.T2 (5) F5.I4.T3 F3.I5.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2 (5) F4.I4.T2 (6) F4.I4.T2 F4.I4.T2 F5.I4.T3 F3.I5.T1 F4.I4.T2 F3.I3.T2 F5.I4.T3 F3.I5.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 0 F3.I3.T1 Plate F3.I3.T2 Plate F4.I2.T2 Inclinée F4.I2.T2 Plate F4.I2.T2 Inclinée F4.I2.T2 (6) 0 F4.I2.T2 F3.I3.T2 Plate F4.I2.T2 F3.I3.T2 Inclinée F4.I2.T2 (6) F3.I3.T2 F3.I3.T2 (2) F3.I5.T1 F3.I3.T1 F3.I3.T2 (2) F3.I5.T2 F3.I3.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 (6) F4.I4.T2 F4.I4.T2 F5.I4.T3 F3.I5.T1 F4.I4.T2 F3.I3.T2 F5.I4.T3 F3.I5.T2 F4.I4.T2 F3.I3.T2 F4.I4.T2 (6) (1) Indice I porté à I3S pour les revêtements monocouches. (2) Indice I porté à I4 pour les revêtements monocouches. (3) Indice I porté à I3 pour laine minérale sur béton et béton cellulaire. (4) Indice I porté à I3 sur laine minérale de Rth 2 m².°C/W. (5) Indice I porté à I4 pour laine minérale sur béton et béton cellulaire et pour polystyrène expansé. (6) Indice T porté à T3 si Rth 2 m².°C. Icopal | 12, rue de la Renaissance - 92184 Antony Cedex | Tél. : 01 40 96 35 00 - Fax : 01 46 66 24 85 | www.siplast.fr 15 Fascicule 12 - Édition 6 Journal Officiel CODE CIVIL 12, rue de la Renaissance 92184 Antony Cedex Tél. +33 (0)1 40 96 35 00 Fax. +33 (0)1 46 66 24 85 www.siplast.fr DTU lois et décrets habitation document technique unifié Code Civil B4-33 | 01/07 | R.C.S. Nanterre B 552 100 984 construction et